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Le Web des Cheminots

ADC01

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Messages publiés par ADC01

  1. au moment où s'est posée la question du dépannage des TGV sur LGV, les 72000 étaient bien occupées, d'où l'utilisation comme tu sais de 67000 déjà obsolètes pour faire les UM de 67200. J'imagine que ce parc est amplement suffisant. Maintenant, pour les trains de ballast..age, les 72000 ne sont peut-être pas les engins les plus appropriés en forte rampe et très basse vitesse.

    De toute façon, il faut 2 engins mini en longueurs pour circuler HLP sur LGV par rapport au joint entre 2 cantons du CAB

  2. (1) On m'a dit oui, mais sur certain site, on peut lire que la distance but ce n'est pas le carré à proprement parlé, mais le point à proteger qui se trouve derriere celui ci.

    Qui a raison ?

    (2) Cette question n'a pas vraiment trouvé de réponse. On m'a dit que c'était en fonction de plein de parametre (declivite, coef de décélération, etc), mais globalement, existe-t-il une formule pour calculer la distance à partir de laquelle on releve la vbut à 35/40 (ou 10/15) ?

    Comme ça se passe sur une ligne en BAPR par exemple, la ou les cantons peuvent être trèèès long ?

    La distance but est bien le point à protéger dans tous les cas, par contre pour la formule à ta 2ème question, je ne sais pas.

  3. Décidément ces dernières semaines les variations de température ont perturbé à plusieurs reprises le trafic voyageur sur les lignes montant de Toulouse vers Paris ou Bordeaux via Montauban. Ce fut le cas d'un TER immobilisé le jeudi 9 février durant trois heures du côté de Saint-Jory parce que les freins avaient lâché. Après quelques turpitudes dues à la période de grand froid, c'est le choc thermique à l'envers qui a été cause de l'incident d'hier matin. Il est 11 h 17 quand le centre de transferts d'appel du CTA Codis 82 reçoit les premiers coups de fils lui signalant un train de voyageurs dégageant de la fumée à partir d'un des wagons du convoi. Les pompiers de Montauban sont rapidement sur place. Dans la minute suivant l'arrivée du train Téoz numéro 3630 qui relie Cerbère-Port-Bou à Paris Austerlitz. Ce long convoi d'une vingtaine de wagons est arrêté sur une des voies extérieures à la marquise. Les soldats du feu dressent un périmètre de sécurité, tandis que les wagons contigus sont provisoirement évacués. Trois pompiers munis d'ARI (appareil respiratoire individuel) interviennent et maîtrisent le sinistre. Pour eux et en attendant l'expertise maison SNCF, ils estiment que c'est l'appareil de climatisation installé sous le wagon qui s'est mis en court-circuit et a dégagé la fumée. Cet incident mécanique ayant pour conséquence de faire monter la température à l'intérieur du wagon à plus de quarante degrés. Une fois tout danger écarté il a fallu dissocier le wagon du reste du convoi et faire repartir le train vers Paris-Austerlitz avec l'aélément roulant suspect en moins. La belle frayeur et l'efficacité de l'intervention des secours ont retardé le train d'environ cinquante minutes dans sa montée vers Paris. De son côté au service régional de la SNCF Midi-Pyrénées les responsables communications précisaient hier en fin de journée ! » Le train Téoz a été stoppé en gare de Montauban suite à un dégagement de fumée sans flamme provenant d'un wagon. L'Intervention des pompiers a été efficace ; On a retiré le wagon du convoi qui est reparti avec cinquante minutes de retard. Il n'y a pas eu de risques importants, ni de personnes blessées. Le diagnostic de l'incident est en cours réalisé par les équipes compétentes en la matière de la direction régionale de la SNCF. »

    Après la chaleur et l'odeur… la fumée

    Un passager présent dans le wagon en question explique : « Me trouvant sur le train entre Toulouse et Montauban on a commencé à voir des fumées sortir des ventilations après avoir constaté une très grande chaleur dans la voiture - voiture 3 - dite de service. »

    Le personnel roulant a coupé l'arrivée du courant électrique de cette voiture et a fait évacuer les voyageurs vers les voitures encadrantes.

    Nous avons constaté lors de l'arrivée en gare de Villebourbon à Montauban des fumées relativement denses accumulées en dessous de cette voiture. Mais les sapeurs-pompiers de la ville étaient déjà - là, et ils ont pu intervenir avec célérité pour faire disparaître ces dégagements qu'ils ont jugés toxique vu les tenues arborées pour leur travail.

    Cest de ce wagon que la fumée sortait par en dessous./Pho.DDM

    http://www.ladepeche...bere-paris.html

    Notez le langage du journaleux qui parle de wagon, sans parler de la compo d'une vingtaine de véhicules, beaucoup pour 1 Théoz .

    Toujours marrant à lire.

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