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Le Web des Cheminots

laconi

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  1. Bonjour Les passagers pris en otage par les orages !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Vite une loi pour interdire ces phénomènes naturels
  2. Bonjour Heureusement qu'il y a des extensions sur Flight Simulator tels que le 747de PMDG ou le 767 de Level D pour les avions et les extensions de Flight1 pour les décors.C'est un bon simulateur mais si on veut avoir de beaux décors de beaux avions ,une belle météo ,l'ardoise augmente assez vite.J'ai abandonné très rapidement FSX car ma configuration ne me permet pas de jouer correctement à ce jeu.Mais comme je préfère voler en IFR au FL370 ,FS2004 me suffit amplement pour l'instant seul bémol on ne peut pas voler à deux dans le même avion alors que la nouvelle mouture de FS le permet.
  3. Bonjour Les dépots sur cette région doivent être (me semble t il) : -Dijon Ville -Dijon Perrigny -Dôle -Besançon -Chalon sur Saone Un agent de cette région confirmera ou infirmera ces résidences.
  4. Bonjour Vive le grand capital comme disais récemment un député des grands propriétaires.(C'était pas au 19 eme siècle c'était cette semaine à l'assemblée nationale) Plus les riches auront de l'argent moins les impôts seront élevés, ils peuvent remercier les petits shootés à la télévision poubelle et qui ont voté pour notre David Copperfield nationale. Article de Liberation A l’Assemblée, y a tout ce qu’il faut pour les cadeaux fiscaux ISF, bouclier fiscal, succession... les députés poursuivent l’examen du projet Tepa. Par Tonino Serafini QUOTIDIEN : samedi 14 juillet 2007 Un clivage droite gauche très marqué a continué à peser sur les débats vendredi à l’Assemblée nationale, qui a poursuivi l’examen du projet de loi Tepa (Travail, emploi, pouvoir d’achat), avec au menu des débats deux dossiers emblématiques : le bouclier fiscal pour les ménages les plus aisés, et la réduction de l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF). «Comprenez notre indignation et notre colère : nous défendons des valeurs qui ne sont pas cotées en Bourse», a lancé dès l’ouverture des débats Jean-Pierre Brard (PCF-Seine-Saint-Denis). La veille, la droite avait déjà voté pour 3,7 milliards d’euros d’exonérations fiscales au titre du crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunts (lire Libération du 13 juillet). Et aussi 1,8 milliard d’euros d’allégement fiscaux sur les successions-donations (lire ci-dessous). Bis-répétita vendredi. Dépité, Jean-Louis Idiart (PS) a interpellé ses collègues de droite. «Est-ce que vous allez continuer encore longtemps ? Vous n’en pouvez plus de faire des cadeaux fiscaux. C’est votre été des mauvais coups.» Hôtel particulier. A ce moment là, l’Assemblée examinait un amendement prévoyant de porter de 20 % à 30 % l’abattement sur la résidence principale pour le calcul de l’ISF. «C’est un sujet que tous les Français attendent, qui touche plus de 400 000 contribuables», a osé Gilles Carrez (UMP) cosignataire de l’amendement avec le président du groupe UMP, Jean-François Copé. A gauche, on s’est empressé de démontrer que sous couvert d’épargner l’ISF à des propriétaires d’appartements parisiens ou de maisons sur le littoral (dont les prix ont plus que doublé en dix ans), le relèvement de l’abattement à 30 % profite surtout aux gros patrimoines. Les exemples ont fusé: 15 500 euros d’ISF à payer en moins pour un hôtel particulier d’une valeur de 10 millions d’euros et 99 euros de réduction pour un appartement de 960 000 euros. Pas de quoi décourager la droite. Montant du cadeau fiscal : autour de 105 millions d’euros. Mais ce n’était pas fini. Les députés ont aussi voté un dispositif prévoyant que les sommes investies dans «les PME ou dans des organismes de recherche» sont déductibles de l’ISF à payer dans «une limite de 50 000 euros», a rappelé la ministre de l’Economie Christine Lagarde. Le député des Yvelines, Jacques Myard (UMP) qui s’était déjà beaucoup illustré la veille par son zèle antifiscal, a déposé un amendement pour «supprimer l’ISF». Mais ses collègues n’ont pas osé le suivre. CSG. Il faut dire que quelques heures auparavant, ces mêmes députés avaient voté 810 millions d’allégements d’impôts pour les bénéficiaires du «bouclier fiscal à 50 %», des contribuables aisés, disposant souvent de patrimoines assujettis à l’ISF. Ils sont gagnants sur les deux tableaux. Sur le bouclier, la majorité parlementaire UMP a refusé les amendements tendant à rétablir un semblant d’équité. Comme celui du député (NC) Charles de Courson, voulant exclure la CSG et la CRDS du bouclier fiscal. Ce qui revient à dispenser ces riches contribuables d’une fiscalité pesant sur tous les autres. A moment là, le président (PS) de la commission des finances Didier Migaud à pris la parole: «La CSG, affecté à la protection sociale, n’est pas un impôt comme les autres, a-t-il expliqué. Il serait dangereux de faire croire à nos concitoyens qu’il serait possible de se dispenser du financement de nos comptes sociaux». La droite a écouté mais à voté contre.
  5. Bonjour Il est certain que la population est de plus en plus réactionnaire notamment sur ce sujet .Et la moindre contrariété est prétexte à employer les grands moyens sans se soucier des prochaines mesures antisociales. Mais est ce que les sondages sont ils fiables ? - Lors des élections de 2002 aucuns instituts de sondages n’avaient prévu un second tour opposant la droite et l’extrême droite. -La méthodologie des instituts est elle vraiment scientifique. -Lorsqu’on interroge 960 personnes ou moins de la population ,la marge d’erreur est bien plus importante que lorsque qu'on dispose d'un échantillon plus vaste. -Beaucoup de personnes refusent de se prêter aux sondages. ,sans compter ceux qui n’ont pas d’avis. -Les sondages pour des coûts se font de plus en plus par téléphone alors qu’un bonne partie de la population ne dispose pas de téléphone fixe (18 % en 2005). -Les questions posées sont souvent orientées . -Les réponses des sondés ne sont pas toujours leur opinion réelle. Dans notre monde ou tout est communications , les sondages participent pour leur part à faire croire que c’est l’état de l’opinion publique, alors que cela n’est qu’un moyen de plus pour vouloir faire accepter, les désirs de celui qui commande ces fameuses « enquêtes d’opinions».
  6. Bonjour Bien évidemment il faut mettre son nom si vous voulez être remboursé .
  7. Bonjour Voici la carte recto verso à envoyé à l'illusionniste Taille de la carte 14,8 X 10 ,6 cm
  8. Bonjour Pour compléter votre réponse tout à fait pertinente. Article de Libération «Des caméras peu efficaces pour prévenir la délinquance» Eric Heilmann, chercheur, analyse l’impact de la vidéosurveillance : Par Jacky Durand QUOTIDIEN : mardi 10 juillet 2007 Maître de conférence à l’université Louis-Pasteur de Strasbourg, Eric Heilmann a analysé avec Marie-Noëlle Mornet les travaux des chercheurs britanniques sur l’impact de la vidéosurveillance (1). Il revient sur les annonces de Nicolas Sarkozy en matière de déploiement de caméras et sur les préoccupations de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil, lire ci-contre). Partagez-vous l’avis de Sarkozy, « impressionné» par la police britannique et ses caméras ? Je suis étonné qu’il soit aussi peu informé des travaux des chercheurs britanniques qui étudient depuis quinze ans l’efficacité de la vidéosurveillance dans leur pays. Ils concluent tous que les caméras ont apporté rarement la preuve de leur efficacité dans la prévention de la délinquance. Quant à la résolution d’enquêtes, la vidéosurveillance peut accélérer l’obtention de résultats à condition d’être précédée d’un travail de renseignements. Les caméras ne servent à rien si l’on ne sait pas ce que l’on cherche. Prenez les attentats de Londres, en juillet 2005, c’est parce que la police britannique avait été informée de l’identité potentielle des supects qu’elle a pu ensuite les reconnaître sur des images. Cela a été possible parce que des centaines d’enquêteurs ont été mobilisés pour visionner 15 000 vidéos. Penser que l’on pourrait mobiliser de telles ressources humaines pour des actes criminels de moindre ampleur serait se moquer du monde. Les caméras ont tout de même des répercussions ? La vidéosurveillance peut provoquer un déplacement de la délinquance et un changement des modes opératoires des auteurs d’infraction. Les vols de voitures ont lieu en périphérie après l’installation de caméras au centre-ville. Les cambriolages surviennent la nuit au lieu de la journée. Quand la vidéosurveillance donne quelques résultats, elle est accompagnée d’autres moyens de prévention comme l’amélioration de l’éclairage et la limitation du nombre d’accès dans un parking. Dans aucun cas, la vidéosurveillance n’est une mesure à tout faire. Partagez-vous les craintes de la Cnil sur l’avènement d’« une société de surveillance» ? Oui, on assiste à une banalisation à l’égard de cette quincaillerie sécuritaire (caméras, badges.) qui connaît un développement incroyable sans que cela suscite de réactions d’ampleur dans l’opinion publique. J’y vois deux raisons majeures: premièrement, il y a une sorte d’enchantement technologique qui peut donner l’illusion que les machines font mieux que l’homme. Deuxièmement, il y a l’émergence d’une autre conception de la vie privée, liée au développement de la téléréalité. Ces émissions, où les gens se font filmer sous toutes les coutures, développent une esthétique séc uritaire. Ça ne choque plus grand monde de se livrer au regard des autres. Les frontières entre espaces public et privé ne sont plus les mêmes qu’il y a trente ans quand la loi informatique et liberté a été adoptée. A l’époque, on redoutait «Big Brother» . Aujourd’hui avec le développement des réseaux informatiques, des caméras sur Internet, chacun peut se livrer, se dévoiler. (1) Etude publiée par l’Inhes.
  9. Bonjour Ce qui est choquant ,c'est que cela ce fait insiduieusement. Quel est l'utilité de reconnaitre les élèves par la reconnaissance de la main ?C'est tout simple ,cela permet de faire accepter aux plus jeunes la surveillance générale ,puis ces adolescents grandissent et deviendront adultes et ils accepteront le fait d'être épié.C'est pas moi qui l'invente c'est le lobby de la sécurité qui l'avait annoncé. Un site intéressant http://bigbrotherawards.eu.org/ Le nain a été nommé plusieurs fois et il continue puisqu'il veut intensifier la vidéosurveillance.
  10. Bonjour Quand l'extrême droite se dissout dans la droite Pour compléter le message précédant (complément sur le groupuscule Occident, source dictionnaire de l'extrême droite) OCCIDENT: Défrayant la chronique pendant une bonne partie des années 1960, le mouvement Occident représentait un groupement d'extrême droite essentiellement composé d'étudiants et de jeunes adultes (et ado­lescents). Nonobstant la forte proportion d'étudiants - voire de lycéens - dans ses rangs, Occident ne se distinguait pas par ses thèses et écrits ou par son « combat par les idées » (comme le prônaient à l'époque les précurseurs de la future Nouvelle Droite), mais par la violence pure. Ma­niant beaucoup mieux le manche de pioche ou la barre de fer que la réflexion théorique, Occident avait choisi comme adversaires toutes les forces marxistes ou de gauche (les «bolchos»), très majoritaires dans le milieu étudiant de l'époque. Adeptes de la « manière forte » pour com­battre l'hégémonie intellectuelle du marxisme qu'ils vilipendaient, tout en rejetant le « régime » gaulliste à cause de « l'abandon de l'Algérie fran­çaise », ses militants ont vu leur espace politique se réduire au moment de Mai 1968. Une partie du mouvement Occident choisit à ce moment-là de se rallier à la droite républicaine au pouvoir, dont elle formera en quelque sorte des troupes auxiliaires. Plusieurs ministres et hommes politiques de premier plan de la droite ont été membres d'Occident, tels les ex-minis­tres Alain Madelin, Gérard Longuet ou Patrick Devedjian. Occident est avant tout un enfant de la France des guerres colonia­les et des mobilisations politiques qu'elles ont induites. La plupart des parcours de militants décrits par Frédéric Charpier dans son livre Géné­ration Occident: de l'extrême droite à la droite (2005) sont marqués par un « choc » ou une frustration ressentis soit au moment de la décolonisa­tion en Indochine (avec la défaite de l'armée française à Diên Bien Phu), soit au moment de la décolonisation en Algérie. L'idéologie du mouvement, né en 1964, est plutôt sommaire. L'élé­ment le plus clairement identifiable en est un nationalisme ostentatoire, exacerbé, antidémocratique, antiégalitaire, antimarxiste et, bien évidemment, anticommuniste. Occident veut clairement supprimer « le suffrage universel politique, néfaste aux intérêts de la nation », au profit d'un État autoritaire qui doit être dirigé « par une hiérarchie de responsables ». Ses membres seront cooptés par l'élite de la nation «en fonction de leurs capacités et non élus ». Occident entend « placer l'homme dans son cadre normal : la famille, la profession, la province, la nation ». Le mouvement défend «l'instinct naturel de propagation de la race», et déplore que «le régime républicain envisage (...) de peupler la France d'étrangers et d'allogènes». Ses militants ne sont pas opposés au capitalisme, mais demandent qu'il soit débarrassé « de l'influence de la haute banque et des trusts », des « puissances financières » ou encore de la « haute banque apatride». Tous ces derniers termes sont hérités de la littérature antisé­mite traditionnelle. Une élite violente et anticommuniste. Occident a choisi comme symbole la croix celtique (une croix placée dans un cercle), déjà utilisée avant lui par le mouvement Jeune Nation dans les années 1950 et repris ensuite par L'Œuvre française de Pierre Sidos. Sous de nombreux aspects, on peut constater que le mouvement utilise des symboles se rapprochant ou imi­tant des signes extérieurs du fascisme historique, pour s'en servir comme d'une sorte de folklore. Occident, qui compte aux moments les plus forts 500 à 600 membres, est un mouvement minoritaire et, en réalité, plutôt élitiste. Le mouvement possède une certaine influence, certes limitée à quelques organisations d'étudiants officiellement «apolitiques», précisé­ment dans des secteurs universitaires constituant les hauts lieux de la re­production des élites : à l'Institut d'études politiques de Paris, les facultés parisiennes de droit, de médecine et de pharmacie. Avec l'opposition aux communistes et à tous les marxistes « au ser­vice de l'étranger», l'élément central dans la politique d'Occident est la lutte (y compris militaire) contre la décolonisation et le soutien apporté aux régimes autoritaires dans l'hémisphère occidental. Son slogan prin­cipal sera d'ailleurs: «Défendre l'Occident partout où il se bat» (calqué sur celui de Jeune Nation des années 1950 : « Défendre l'armée française partout où elle se bat »). Indistinctement, le mouvement apporte son sou­tien à la dictature en Grèce (à partir de 1967), à l'Espagne franquiste, aux régimes d'apartheid en Afrique du Sud et en Rhodésie (le futur Zim­babwe), et aux dictatures militaires anticommunistes d'Indonésie et du Sud-Viêt Nam. Le mouvement participe activement à un Front uni de soutien au Sud-Viêt Nam, lancé par Roger Holeindre en janvier 1968,et encourage l'effort de guerre américain. Sur cette question, Occident adopte des positions proaméricaines, comme il s'est rapproché d'un sou­tien à la politique israélienne au moment de la guerre israélo-arabe en juin 1967. Cela distingue le mouvement des prises de position classiques de l'extrême droite antisémite, même si d'autres courants de l'extrême droite française passent également à un appui à Israël au même moment. La guerre du Viêt Nam focalisera les combats de rue de l'époque, contre les comités anti-guerre de l'extrême gauche. Les rues du Quartier latin voient les groupes s'affronter et revendiquer leurs faits d'armes. En 1967, une expédition d'Occident à l'université de Rouen fait plusieurs blessés graves. Au cours du mois de mai 1968, des contacts se nouent entre repré­sentants du pouvoir gaulliste et militants d'Occident (et autres anciens OAS ou activistes nationalistes), en vue de négocier un soutien minimal face à la crise de régime. À la grande manifestation anti-« chienlit » du 30 mai 1968, organisée par les gaullistes, Occident participe en apportant ses propres banderoles et symboles. Certains militants participeront aux CDR (Comités de défense de la République), noyaux du futur SAC (Ser­vice d'action civique), la police parallèle du mouvement gaulliste dirigée par Charles Pasqua. Mais, quelques mois plus tard, le gouvernement, observant une escalade de la violence entre militants d'Occident et « gau­chistes » (déclenchée par une mise à sac du local du SNESup, syndicat de l'enseignement supérieur, par Occident), décide de dissoudre le mouve­ment. À Paris, la brasserie Relais-Odéon (QG d'Occident) est mise à sac; les nationalistes répondent par le plasticage d'une librairie appartenant à un militant maoïste... La décision de dissoudre Occident est finalement obtenue par le ministre de l'Intérieur Raymond Marcellin, et prend effet au 1er novembre 1968. Passage(s) vers la droite. Dans les années qui suivent, plusieurs sas de tran­sition permettront à de nombreux militants d'Occident de rejoindre la droite classique pour y mener une carrière politique. Pour certains, il s'agit de l'Institut d'histoire sociale (IHS) et de la revue Est-Ouest dirigés par Georges Albertini ; cet ancien haut responsable du RNP (Rassemble­ment national populaire) de Marcel Déat au moment de la Collaboration s'était recyclé après 1945 dans l'anticommunisme professionnel, financé par des fonds américains et proche des services de renseignements. Ce sera notamment le cas d'Alain Madelin, qui profitera de l'occasion pour permettre à plusieurs de ses anciens d'amis d'Occident de rejoindre les officines patronales codirigées par Albertini. On retrouvera Alain Ma delin et certains de ses amis en 1974, soutenant activement la campagne électorale de Valéry Giscard d'Estaing. Gérard Longuet et Patrick Devc djian suivront un chemin analogue au sein de la droite. D'autres anciens militants d'Occident transiteront par Ordre Nouveau, mouvement qui prendra la place d'Occident à partir de 1969 et poursuivra des actions d'un type similaire, puis s'orientera vers la constitution d'une force élec­torale : le Front national (en 1972). Les anciens d'ON, dissous à son tour en 1973, refusant de rester au FN, créeront les comités «Faire Front», puis le Parti des forces nouvelles (PFN), l'année suivante. Les cadres di­rigeants de cette formation, regroupés autour d'Alain Robert, se retrou­vent quelques années plus tard dans le giron de la droite classique : Alain Robert devenant un proche collaborateur de Charles Pasqua (RPR) en 1981 ou Hervé Novell! (ancien d'Occident puis du PFN), aujourd'hui député de l'UMP.
  11. Bonjour C'est ce qu'on appelle la droite décomplexée!!!! Pourtant il se savait filmer ,pensait il à ce moment qu'il pourrait jouer de son influence pour éviter la diffusion de ces images ou que l'autocensure fonctionnerait à nouveau .
  12. Bonjour Effectivement , le terme "coup d'état" est bien celui employé dans la terminologie de l'encyclopédie Universalis et dans d'autres ouvrages.Cela peut paraitre conforme à la définition de ce terme.MAIS dans l'encyclopédie mentionnée ci -dessus ,la genèse de ce renversement est expliqué, les racines sont à trouver dans les évènements de Caracazo.Je ne vais pas vous mettre l'article ,puisque j'ai pas l'impression que vous lisez les textes joints . Pour appuyer mon propos ,vous dites " maintenant le résultat est le même, il n'y a plus que l'opinion de l'etat qui est propagé par la TV" .Pourtant dans le texte du monde diplomatique il y a marqué tout autre chose. "Des études de contenu effectuées sur le mois de janvier 2007 montrent que, dans ses programmes, elle a invité 21 personnalités hostiles au gouvernement, et aucune qui lui soit favorable. Le même mois, une des quatre autres grandes chaînes privées, Globovisión, a invité 59 opposants à M. Chávez et 7 de ses partisans. Seule Televen a respecté la parité : deux de chaque camp. Certes on peut regretter que la seule chaîne publique hertzienne jusqu’ici contrôlée par le gouvernement, Venezolana de Television (anciennement Canal 8), ne soit pas non plus un modèle d’équilibre, mais comment pourrait-il en être autrement dans un paysage médiatique où la plupart des journaux, radios et chaînes de télévision se comportent en partis politiques d’opposition ? Il faut espérer que TVES, la chaîne qui reprendra le signal de RCTV, tiendra ses promesses de pluralisme, même dans ces circonstances adverses." Remarqué que l'auteur de ces lignes se pose aussi quelques questions pour l'avenir. Je veux bien vous concéder que F Castro ne soit pas une référence ,mais ce pays est étranglé par les EU depuis plus de 40 ans .Je vous conseille vivement de lire les ouvrages de N Chomsky ou de H Zinn et vous changerez peut etre d'avis sur les démocraties autoproclamées
  13. Bonjour Le coup d’état de 1992 à renversé le président Pérez .Celui ci sous pression du FMI a mis en place un plan d’ajustement structurel alors qu’il a avait été élu en 1989 qu’il n’a pas parlé de cela lors de l’élection présidentielle .Il s’en est suivie des manifestation de la population réprimé et se soldant par plus de 1000 morts. Je vous laisse le soin de recherché ce qu’implique un PAS(Plan d’ajustement structurel) Lors de ce coup d’état avorté ,Chavez était soutenue par une grosse partie de la population .Il a été emprisonné puis gracié . En 2002 l’opposition soutenue par les Etat unis,les patrons ,ainsi que les medias ,fomente un coup d’état contre Chavez. La télévision RCTV n’a pas fermé ,elle diffuse encore sur le cable ,et sur internet ,elle n’émet plus sur le réseau hertzien.De plus ce n’est pas une fermeture ,le renouvellement de la concession n’a pas été accordé à la chaîne privée .Il restera au secteur privée (qui est dans l’opposition et affronte avec virulence le président ,ce qui n’est pas le cas en France) une pléthore de chaîne de télévision et de radio . Une autre vue que TF1 ;Fr2,Fr3 ,CNN,,LCI etc ……………. Un article du monde diplomatique Désinformation sur le Venezuela L’affaire ne pouvait être que de portée planétaire puisqu’elle a donné lieu, ces derniers jours, à des déclarations quasiment simultanées du Sénat des Etats-Unis, du Parlement européen et de la présidence allemande de l’Union européenne, sans parler des articles fleuves et des éditoriaux de la plupart des grands médias occidentaux. De quoi s’agit-il ? De l’Iran, du réchauffement climatique, de la Palestine, du Darfour ? Tout faux : la gravissime affaire en question est le non renouvellement, par le gouvernement vénézuélien, de la concession de 20 ans, venue à échéance le 27 mai, d’une chaîne de télévision privée, Radio Caracas Television (RCTV), afin d’installer sur sa fréquence hertzienne une chaîne de service public. C’est-à-dire exercer le droit souverain qu’a chaque Etat de disposer des biens publics rares que sont les fréquences hertziennes. Atteinte aux droits de l’homme, à la liberté d’expression, censure, dérive autoritaire, totalitaire – voire fasciste –, toute la panoplie du vocabulaire rodé depuis des années contre le gouvernement de M. Hugo Chavez a été utilisée à nouveau massivement en cette circonstance. Du côté politique, on retiendra d’abord la résolution votée à l’unanimité, le 24 mai, par le Sénat américain, en particulier par les aspirants démocrates à la succession de M. George Bush, contre la « fermeture » de RCTV. Votée précisément par les mêmes qui, reniant leurs promesses électorales, venaient, également à l’unanimité, de donner leur accord aux 100 milliards de dollars de crédits militaires demandés par la Maison Blanche pour la poursuite de l’occupation de l’Irak. Un bel exemple de rigueur démocratique. Par la voix des services de Mme Angela Merkel, présidente en exercice du Conseil européen, l’Union européenne est également allée très loin dans l’hypocrisie. Dans une déclaration du 28 mai, elle « a noté avec inquiétude la décision du gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela de laisser expirer la licence d’émission de Radio Caracas Télévision (RCTV) le 27 mai, sans appel d’offres ouvert pour la licence qui lui succède ». On ne sache pas, entre maints autres « oublis », que l’Union ait fait semblable déclaration et ait exigé un nouvel appel d’offres lorsque la licence d’émission de TF1, accordée en 1987 pour 15 ans, a été reconduite par le gouvernement français en 2002 dans la plus totale opacité. Pourtant, la « télé-poubelle » de MM. Bouygues, Le Lay et Mougeotte avait tourné en dérision les engagements qu’elle avait pris dans son cahier des charges en invoquant son « mieux-disant culturel ». Tout indique qu’elle continuera impunément à le faire avec son nouveau patron, M. Nonce Paolini, flanqué de M. Laurent Solly, transféré du jour au lendemain du « staff » de M. Nicolas Sarkozy à sa filiale médiatique. Pour ce qui est de l’abondante production des médias français, avant et après la date du non renouvellement de la concession de RCTV, la palme de la désinformation revient sans conteste, entre maints autres articles de la même veine, à l’éditorial d’un quotidien de référence, daté du 27-28 mai et intitulé « Censure à la Chávez ». Il vaut la peine d’en citer et d’en commenter quelques passages. D’emblée le ton est donné : « Le président Hugo Chávez a ordonné la disparition de RCTV ». Non, RCTV ne « disparaît » pas : elle peut continuer à émettre sur le câble, par Internet et sur le satellite, et va sans aucun doute le faire. Mais, comme la loi le prévoit, sa fréquence hertzienne et sa couverture nationale reviennent au service public à l’échéance de la concession dont elle bénficiait. Ou bien faudrait-il considérer que cette concession à durée limitée de RCTV était, en fait, à durée illimitée ? Et cela en fermant les yeux sur ses multiples entorses à son cahier des charges qui lui avaient notamment valu d’être fermée pour des durées de 24 heures à 3 jours non pas par les gouvernements de M. Chávez, mais, en 1976, 1980, 1981, 1989 et 1991, par leurs prédécesseurs sociaux-démocrates ou démocrates-chrétiens. Depuis sa première élection à la présidence de la République en 1998, M. Chávez n’a fermé aucune station de radio ou de télévision ni poursuivi aucun journaliste. Pourtant, dans n’importe quel autre pays démocratique, c’est ce qui se serait passé, compte tenu de la caution ouvertement apportée par la plupart des médias – dont RCTV – au coup d’Etat avorté du 11 avril 2002, quand ce n’était pas à son organisation. L’éditorial poursuit en dénonçant une décision politique « qui réduit le pluralisme et augmente la concentration de l’audiovisuel aux mains du gouvernement ». De quelle concentration s’agit-il ? En 2006, on comptait au Venezuela 20 chaînes hertziennes VHF privées et une publique. On comptait par ailleurs 28 chaînes hertziennes UHF privées, 6 publiques et 44 communautaires. Actuellement, avec l’incorporation de RCTV, le service public disposera de deux chaînes hertziennes VHF, de deux chaînes UHF et de deux chaînes sur la câble. On est très loin du monopole… Sans la moindre trace d’ humour, l’éditorial qualifie ensuite RCTV de « chaîne privée qui donnait la parole à l’opposition ». RCTV donnait effectivement la parole à l’opposition, et ne faisait même que cela ! Des études de contenu effectuées sur le mois de janvier 2007 montrent que, dans ses programmes, elle a invité 21 personnalités hostiles au gouvernement, et aucune qui lui soit favorable. Le même mois, une des quatre autres grandes chaînes privées, Globovisión, a invité 59 opposants à M. Chávez et 7 de ses partisans. Seule Televen a respecté la parité : deux de chaque camp. Certes on peut regretter que la seule chaîne publique hertzienne jusqu’ici contrôlée par le gouvernement, Venezolana de Television (anciennement Canal 8), ne soit pas non plus un modèle d’équilibre, mais comment pourrait-il en être autrement dans un paysage médiatique où la plupart des journaux, radios et chaînes de télévision se comportent en partis politiques d’opposition ? Il faut espérer que TVES, la chaîne qui reprendra le signal de RCTV, tiendra ses promesses de pluralisme, même dans ces circonstances adverses. Du côté de la presse écrite, la situation est encore plus tranchée : sur 10 quotidiens de diffusion nationale, 9 sont des opposants déclarés au gouvernement. Si l’on étudie le contenu des articles d’opinion publiés dans quatre d’entre eux au mois de janvier 2007, on obtient les résultats suivants : pour El Nacional, 112 hostiles, 87 neutres et 6 favorables ; pour El Universal, les chiffres correspondants sont 214, 89 et 9 ; pour Ultimas Noticias, 31, 59 et 18 ; pour El Mundo, 49, 39 et 15. Ce qui ne les empêche pas de recevoir de la publicité des entreprises, des agences et des collectivités publiques. Prétendre que la liberté d’expression est menacée au Venezuela relève donc de la plus insigne mauvaise foi. Il suffit de s’arrêter devant un kiosque à journaux ou de passer une heure devant un poste de télévision pour être convaincu du contraire. C’est même sans doute le seul pays du monde où, dans le passé, des appels publics à l’assassinat du président n’ont pas entraîné des poursuites judiciaires. Mais alors, comme dirait M. Sarkozy, pourquoi tant de haine, pourquoi tant d’acharnement et de contre-vérités ? Que M. Chávez irrite au plus haut point les Etats-Unis et leurs alliés par sa politique de récupération des richesses naturelles nationales et par la dénonciation des politiques de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international peut parfaitement se comprendre. Que des médias appartenant à de grands groupes industriels et financiers répercutent les orientations et les intérêts de leurs commanditaires est dans l’ordre des choses. En revanche, on reste perplexe devant le comportement d’organes de presse où le pouvoir éditorial est officiellement déconnecté du pouvoir des actionnaires… Bernard Cassen
  14. Bonjour Il existe une pétition à cette adresse http://arret-sur-images.heraut.eu/
  15. Bonjour Effectivement j'ai vérifié dans le référentiel c'est bien à partir de 8 voitures qu'il faut monter le second pantographes. Donc j'en fais plus que on m'en demande(il faut que ca change) puisque je le monte pour un train qui comporte des voitures ,mais je ne le monte pas lorsque le matériel est composé d'une RRR.
  16. Bonsoir La question est un peu ambigue puisque le titre de la question est "Utilisation des pantographes en continu" et la question parle du robinet normal/secours. Je vais essayer d'éclaircir un peu la chose(pas evident) Il existe -un robinet d'isolement panto/DJ (Ce que nomme A1AA1A68000 robinet normal /secours) -un robinet pour le réservoir de secours( a proximité du robinet isolement panto DJ) -Un ou deux sélecteurs panto ZPT qui ont les positions normal et secours(en fait N,N+S,et S),ils se trouvent sur le pupitre . Pour monter un pantographe il faut une pression d'au moins 6 bars dans les RP ,dans le cas contraire il faut ouvrir le réservoirs de secours aux moyens du robinet ,en veillant qu'il y a au moins 6,5 bars dans le RS.Comme le dit A1AA1A68000 si la pression de ce réservoir baisse continuellement(problème de clapet) il faut fermer le robinet isolement panto/DJ .Dans le cas ou la pression à ce réservoir de secours est inférieur à 6,5 bars il faut actionner la commande du compresseur auxiliaire(Cela peut être très long pour atteindre cette pression ,lorsque RS est vide(utilité d'une ficelle). Lorsqu'il y assez d'air (6 bars au RP ou 6,5 bars au RS) ,vous pouvez monter le pantographe à l'aide du sélecteurs panto ZPT (En le placant sur la position N comme normal,ou sur la position AR).Puis vous pouvez fermez le DJ en veillant aux pressions mentionnées plus haut. Pour l'utilisation des pantographes Il existe un sélecteur ZPT pour les machines monocourant ,et deux pour les machines bi-courant.Bien évidemment il faut utiliser en fonction de la tension se trouvantdans la ficelle le sélecteur adéquate .(Vous éclairez une gare en montant le panto continu lorsque la caténaire est en 25000V,le problème est que la machine est HS continu jusqu'à le para-surtenseur est remplacé me semble t il). La règle d'utilisation des pantos. D'une manière générale . Mettre le panto arrière pour une machine mono courant (à deux pantographes)'sauf si le premier wagon transporte des véhicules routier. Pour une machine bi courant il faut mettre le sélecteur sur N En continu pour éviter de souder le panto à la caténaire on monte les deux pantos lors de l'attelage et du dételage ,lors du décollage du train et lors des arrets lorsque qu'il a un certain nombre de voitures dans le train.En pratique on monte les deux pantos dès l'arret quelques soit le nombre de voitures. Il se rajoute encore une règle pour savoir si on monte les pantos à l'arret ou en marche(Voie de Service ou Voie Principale).Pour les puristes ventilateurs arretés ,chauffage arreté ,compresseur arreté et Mp à 0 lorsqu'on est à l'arret ,et uniquement MP à 0 lorsque l'on est en marche Il y a encore d'autres règles (vitesse max ,application du GD...) J'ai pas l'impression d'avoir éclairci le sujet.
  17. Bonjour Attention une chose très importante dans la marche à manoeuvre est que le freinage peut etre seulement réalisé au moyen du frein de l'EM.
  18. Bonjour En faisant une intervention chez Tf1 il était à la maison hier soir.Il a parlé pour son public ,je veux parler bien sûr parler des gens ayant le cerveau disponible. Encore de la démagogie toujours de la démagogie le pire c'est qu'il y en a qui y adhèrent - les entreprises de transports seront obligées d'avoir un plan de transport minimum les jours de grève Comme le dit Fabrice cela existe déjà ,il y même plusieurs plans qui existent. - un salarié gréviste devra le déclarer deux jours avant ; Cela existe déjà d'une certaine manière certain chef de feuille ou programmeur demandent de temps en temps aux agents si ils seront grévistes. Et lorsque cela ne se fait pas ils connaissent d'une manière générale les grévistes (c'est souvent les mêmes),j'ai déjà entendu un programmeur parlé à un permanent au téléphone ,"c'est bon pour cette tournée ,sur celle ci il ne sera pas là etc ......" - les salariés non grévistes qui travaillent sur une autre ligne pourront aller travailler sur une ligne en grève "si on a besoin d'eux" ; A la sncf ,comment vont ils faire avec la spécialisation des roulements et des UP ???.Naboléon va t il mettre un terme à la spécialisation ?Ou alors y aura t il des études de lignes avant les grèves (Valable que six mois)? - les jours ne grève ne seront pas payés ; Ca existe déjà ,plus les mensonges sont gros plus les gens les croient - au bout de huit jours de grève, il y aurait un scrutin à bulletin secret pour déterminer si une majorité des salariés est en faveur de ce conflit ou pas. Dans le cas ou la majorité votent pour la continuation de la grève ,les non grévistes seront ils obliger de se joindre au mouvement ?C'est la démocratie du scrutin majoritaire !!! "Je respecte le droit de grève mais enfin si les jours de grève sont payés, ça veut dire qu'on ne respecte pas celui qui travaille, parce que pourquoi travailler si quand on ne travaille pas on est payé ?" a-t-il également expliqué. Encore une couche et toujours aussi démagogigue Ce gouvernement comme d'autres ne sont que des agences de communications ,mais cela passe si bien auprès de la ménagère de moins de 50 ans. La préparation des esprits à commencer Hier le vieux parle de son service minimum,comme par hasard le Figaro sort un article sur les pourritures qui vont se la couler douce à Taiwan. Aujourd'hui ouverture du journal de Tf1 La météo biensur ,puis reportage sur ces fameux retraités qui vont à l'étranger ,puis petite breve (mais vraiment petite sur le conflit en PACA pas d'explication sur les causes et le conséquences ),et après le srvice minimum prévu par nos libéraux.
  19. Bonjour Je ne suis pas de Tours. Mais la sncf n'est pas une prison.Lorsque vous avez terminé les cours de la journée ,et bien sûr si vous habitez à proximité il va de soi que pouvez rentrer chez vous.Même pendant la formation l'entreprise est tenue de respecter le réglementation du travail.
  20. Bonjour Alors que le plan de casse véron devait sauver le fret selon ses concepteurs ;le nouveau patron du fret continue dans la casse de cette branche d'activitée .La seule variable d'ajustement des hiérarques est le salarié ,de manière à vider complètement cette activité et la revendre ou l'offrir à vil prix.
  21. Bonjour C'est simple ,ils sont embauchés pour une mission( couler la boîte) ,ils exécutent ,pas de sentiments ,pas de scrupules , certains ont peut etre même des billes dans des boites privés. Ne parlons pas du service public en générale c'est ceux qui le déteste le plus.
  22. Bonjour Purée 6000 euros par mois,mon patron me spolie de plus de 3500 euros
  23. Bonjour Tout à fait d'accord avec vous. En dehors de la déontologie (qui n'engage que ceux qui y croient) il y a des chefs corrects avec leurs agents ,et intègres mais cette "espèce" ne court pas les rues.Je me base sur mon expérience personelle et celle de mes collègues des différents services que je croise et avec lesquels je discute .Force est de constater que pour tous ces chefs c'est plus leur carrière qui leur importe et tout les moyens sont bons (certains sont lucides et savent très bien qu'on va droit dans le mur mais motus et bouche cousue).Il va de soi qu'on en trouve dans toutes les entreprises des personnes qui agissent de la sorte mais comme dans notre boutique ,il y a un taux très élevé de cadres de maitrises cela se voit quotidiennement .
  24. Bonjour J'ai discuté un jour avec des agents des ateliers de Dijon et ils m'ont dit que la situation est catastrophique.Ils n'y a plus de pièces de rechange alors lorsque les pièces cassent ,ils cannibalisent ces pièces sur des Em prévus à cet effet et ils vont jusqu'a récupérer les vis de 6. Mais quand on entends certaines personnes le secteur privée est toujours mieux que le public.
  25. Bonsoir Spécial dédicace à un CRL d'une EF qui commence par E http://www.betapolitique.fr/spip.php?article1043 Lisez le ca vaut le coup
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