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zobos

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Messages publiés par zobos

  1. Même en dessous de 3H avant départ on arrive encore a obtenir des sillons, mais dans ces cas la l'heure de départ est justement très floue, c'est à la dernière minute que l'on sait si l'engin va partir ou non.

    Où bien le sillon qui tombe parfois jusqu'à 45mn après l'heure de départ théorique prévue helpsoso

    Il me semble qu'en opérationnel 3h est la minimum si il n'y a qu'un cro de concerné, il faut rajouter une heure par cro supplémentaire.

  2. Elles font des trains Belgique-port-Bou?

    Cela arrive il que ces messageries soient assurés par des 66? j'en vois quelques fois avec des MA100 entre Paris et Laroche.

    Une fois, j'ais vu passer en vitesse un messageries à Sens avec une G2000, pouvez vous me donner plus d'infos sur les horaires et destinations sur les messageries passant sur Paris-Laroche? Merci d'avance!

    Salut,

    Par la PLM, les 186 font des trains Belgique - Port Bou pour les messageries.

    En cas d'indisponibilité d'une 186, une G2000, 66 ou même 77 peut être mise en tête (pour la 77 c'est quand même assez rare vu qu'elles sont limitées à 100). Dans le cas où une G2000 serait en tête, elle serait remplacée à Chalon sur Saone.

    Pour les destinations, c'est Port-Bou, quand aux horaires ca dépend des marches utilisées. A la descente ca part grosso modo à 4h30 de Valenton et a la remontée, toujours en fonction de la marche utilisée ca arrive entre 21h et 1h du matin à Valenton.

    Des 186 peuvent aussi être engagées sur d'autres trains que des messageries mais dans ce cas, 9 fois sur 10 c'est du sdm alors impossible a prévoir à l'avance.

  3. Oui et pourtant, comme dit plus bas, les class 77 sont autorisés UM alors qu'elles ont plus de couple que les class 66, ce n'est donc surement pas une question de limites de resistances des attelages mais une question effectivement d'attelage auto'.

    Et oui çà tire 3000 tonnes (même 3600) en us, mais à quelle vitesse?!

    C'est surtout que ca n'a pas été demandé lors de l'homologation de l'engin. Pas testé, pas validé donc pas autorisé. Par contre la DT en 66 c'est assez fun!

  4. C'est ça, puisque aucun texte ne régit en dehors du lieu de formation. En pratique on se comporte comme si c'était a chaque fois un lieu de formation, mais ce qui est inquiétant c'est que quelqu'un qui partirai sans essai de frein après un stationnement prolongé hors lieu de formation ne serait pas inquiété si il se passait quelque chose ensuite.

    Alors maintenant deux solutions, soit on reste comme c'est, dans le vide règlementaire complet concernant ce cas précis et chacun fait ce qu'il veut, soit celui-ci est comblé avec pourquoi pas la solution proposée par ecr. J'ai la naïveté de croire que ce ne sont pas des charlots à l'epsf et qu'ils savent ce qu'ils font.

  5. Salut,

    Je pense surtout qu'ils jouent avec le terme "lieu de formation". Si l'on se réfère à la page de l'in postée par km315, il semblerait qu'effectivement en dehors de ce lieu de formation il y ai une sorte de vide règlementaire comblé en pratique par le fait que l'on considère que l'on est toujours dans le cas du lieu du formation.

    Me suis-je fait comprendre, j'ai un doute lotrela

  6. A mon humble avis de has-been, il vaut mieux essayer les freins AVANT de se mettre en mouvement! Mais comme les abords des voies se dépeuplent de tout personnel avec une grande célérité, il faut bien trouver un palliatif.... Et puis le premier freinage doit évidemment être adapté aux caractéristiques du train: d'où l'intérêt d'une formation pratique initiale de qualité et d'une pratique suffisante de diverses catégories de trains. Et surtout la formation et le suivi de tous les acteurs, conducteurs et autres agents formation par des dirigeants maîtrisant tous les aspects de la sécurité des circulations ferroviaires.

    Une chose est sûre, il faut que la procédure soit claire et précise notamment sur le moment et l'endroit ou l'appliquer, la valeur de la dépression et la façon de procéder si l'essai n'est pas concluant et surtout être prévue formellement par les textes réglementaires.

    Juste une 'tite précision, l'essai dynamique de freinage n'est PAS un essai de frein. On sait que les freins fonctionnement lors de cet essai dynamique puisque l'essai de frein prescrit au départ aura été réalisé. Il sert juste a voir comment se comporte la rame au freinage et a été (ré)instauré suite à ce qui s'est passé à Mautauban.

    Pour la procédure de l'essai dynamique, celle-ci est claire et précise puisque intégralement décrite dans l'IR chapitre C13.01

    Atteindre une vitesse suffisante proche de la vitesse limite du train

    Choisir un endroit judicieux en tenant compte du profil et ne risquant pas de gêner les autres circulations (bif, zone de gare)

    ramener, si ce n'est déjà fait, la manipulateur de traction à 0

    effectuer une dépression d'au moins 0,8bars à la CG

    s'assurer de l'efficacité du freinage

    Si l'efficacité du freinage n'est pas sarisfaisante, provoquer un freinage d'urgence et appliquer le point F24.02 "absence ou insuffisance de freinage"

  7. Qu'elles sont tes sources pour affirmer cela, à propos de l'EPSF ?

    la note en question dans sa phrase "(...) et des discussions menées avec les autorités de sécurité ferroviaire sur le RFN (ndlr l'EPSF), les modalités suivantes sont à appliquer"

    J'espère que tu plaisantes en disant cela, tu crois vraiment que les agents SNCF vont effectuer les essais de freins d'Euro Cargo Rail. Il faut rester sérieux.

    Euro Cargo Rail a le personnel en nombre suffisant pour effectuer ces essais car chaque conducteur a une double casquette Conducteur et AFR.

    Ca se fait déjà, c'est au catalogue des prestation payantes proposées par la SNCF envers les autres ef.

  8. je suis allé sur le site de la FGAAC et en trainant j'ai lu ceci.

    En gros pour résumer, lors d'un station supérieur à 2H et Inférieur à 12H le conducteur doit effectuer une Vérification du Fonction des Freins pour pouvoir repartir (VFF).

    Extraits de ce que dénonce la FGAAC :

    Par une note de service référencée –ECR – FR NS 0004 n° 0006-10 Rev 1, vous précisez à vos personnels les procédures à suivre pour effectuer certains types d'essais de frein.

    Après examen des préconisations de cette note, nous tenons à vous faire part de nos observations :

    · Votre commentaire sur le fait que les essais à effectuer dans les sites référencés comme « lieux de formation » sont clairs et conformes au document publié par l'EPSF sous la référence RC A-B 7a N°2. Sont repris comme types d'essais concernant les trains effectués par Euro Cargo Rail : l'essai complet, l'essai partiel, l'essai de continuité et l'essai de raccordement.

    · Pour ce qui concerne la deuxième partie des essais à effectuer, dans ce que vous

    nommez en dehors des « lieux de formation », les conditions de réalisation des essais prévus dans vos procédures reprises dans votre IR C 12.03 ne suscitent de notre part aucun commentaire. Toutefois, nous nous interrogeons sur la justification et la référence réglementaire qui vous permet de faire référence à certaines durées de stationnement pour qualifier les types d'essais de frein à réaliser.

    En revanche, la préconisation d'effectuer une « Vérification du Fonctionnement du Frein » lors d'un stationnement supérieur à 2 heures sans dépasser 12 heures, nous paraît inappropriée. En effet, contrairement à votre note de service, les articles IR C 12.03 et F 27.01, indiquent les opérations à effectuer après un incident en ligne (Article F27.01 – Vérification du fonctionnement des freins (VFF), après un incident).

    Il paraît logique que l'agent de conduite, qui, au cours d'un incident de frein, a à intervenir dans les cas précisés dans l'article F27.01, soit contraint d'effectuer cette vérification des freins seul. Il n'en est pas de même dans le cadre de conditions normales d'exploitation, quel qu'en soit le lieu, puisque l'entreprise ferroviaire doit prévoir dans son organisation la présence d'agents en nombre suffisant.

    Autoriser l'application de normes, prévues pour une mise en oeuvre dans des conditions dégradées, dans l'organisation normale d'exploitation, ne nous semble pas correspondre aux critères de sécurité des circulations actuelles sur le Réseau Ferré National.

    L'agent de conduite ne peut cumuler, sous sa seule responsabilité, la réalisation d'un essai de frein et le contrôle de sa bonne réalisation.

    Le principe fondateur en matière de sécurité ferroviaire, basé sur la boucle de rattrapage, serait gravement remis en cause.

    La F.G.A.A.C. souhaite que nos remarques vous permettront de modifier cette note de service et de mettre le personnel au sol suffisant pour la bonne réalisation des procédures de sécurité applicables à toutes les entreprises ferroviaires.

    Dans un souci de transparence, nous vous informons que nous transmettons ce courrier et l'ensemble des pièces le concernant à l'Établissement Public de Sécurité Ferroviaire.

    Qu'est ce que vous en pensez ?

    On pense que le titre est racoleur. Les essais de freins sont correctement réalisés. En fait ce tract est là pour réagir a une note de service qui nous a été pondu récemment.

    J'explique: hors lieu de formation, c'est a dire dans le cas où le train reste stationné quelque part sans remaniement, sans coupe etc... Machine arrêtée (plus d'alimentation)

    Arrêt inférieur à 2h -> test de fonctionnement des freins (serrage et desserrage, constatation de la montée de pression aux cf) Arrêt d'une durée de 2 à 24h -> essai de continuité, arrêt supérieur à 24h -> essai complet. Ça c'est pour l'existant.

    Maintenant ils nous rajouté la donnée pour un stationnement entre 2h et 12h où là ils veulent que l'on fasse des vff tout ca pour économiser l'envoi d'un agent.

    C'est ce que dénonce ce tract. Ce qui m'inquiète c'est que selon la note de service en question, Cette décision aurait été prise en consultation avec l'epsf.

    On en en parle d'ailleurs là ->

    Si quelqu'un veut fusionner lapleunicheuse

  9. je ne suis pas du meme avis

    je travaille pour vivre et non l'inverse

    j'ai signé en toute connaisance de cause mais pas pour ne plu voir ma femme et mes enfants

    chez nous on te met plusde 30h pour un seul rhr alors tu peux imaginer le reste

    quand ils comprendront que ca coute moins cher de payer un a/r en ter pour rentrer chez soi et revenir ensuite chercher le train plutôt que de payer des chambres d'hôtels ils changeront peut être d'avis... Certaines uo l'ont compris, d'autre non. Et après ils viennent pleurer qu'ils n'ont plus de thunes quand on voit tout ce qu'ils dépensent et qui pourrait être évité...

  10. Pour recruter moins cher.

    Pour lourder les mecs qui l'ouvrent trop ou qui ont connu la SNCF (et peuvent donc justifier des temps de préparation / remisage).

    ECR se rend compte que le FRET n'est pas (ou peu) rentable. Il n'y a pas de petites économies.

    Pas besoin de venir de la sncf pour justifier des temps de préparation ou de remisage, ca s'apprend vite :blush:

    Sinon, avec la DB au cul, je n'ose pas imaginer un seul instant qu'ils ne soient pas au courant du fort peu de rentabilité du secteur!

  11. La grande fraternité chez ecr, c'est bien vrai, elle est nul. Au début c'est : dégueulasse copain je comprend pas, ensuite c'est tu c'est : tu comprend je peux pas t'aider, et pour terminer : c'était un bon collègue quand même mais tant pis.

    Une grève aurait du être mis en place mais ce n'est pas la sncf, les cas de licenciement sont avéré et devant l'inspection du travail encore plus.

    Ce qui est encore plus grave c que les inspecteurs d'exploitations au courant de la chose ne bouge pas, ne dise rien, même eux la peur se fait ressentir dans les discours. Le cas de mon ami et de mes autres collègues ne sont pas isolé et les salariés d'ecr ne bougent pas car a eux sa ne leur est pas arrivé.

    Chacun sa merde mais il y en a qui bouge mais sont tres peu pour faire bouger cela.

    Le vengeur masqué dit que ce ne sera pas les seuls mais il y en aura beaucoup plus d'ici quelques temps même ceux qui se croive à l'abris je vous promet que quand vous recevrez cette lettre vous penserez a vos collègues licencié. Parole de vengeur masqué. Invision-Board-France-119.gif

    Bah c'est pas étonnant, tant que les forums en général, et celui-ci en particulier resteront la principale source d'info de ce qui se passe chez nous, ca va pas beaucoup bouger...

  12. Quand a l'histoire de menace de licenciement pour avoir refuser de circuler sur une ligne sans connaissance de ligne, c'est fort possible, j'affirme que moi ainsi que des amis et collegues ecr, avons deja rouler sur des partis de ligne sans etude de ligne et sans meme avoir circuler dessus, et encore, c qu'une raison parmis d'autre de pretexte de licenciement.

    Des prétextes fallacieux ça ils n'en manquent pas mais virer quelqu'un parce qu'il a refusé de circuler sur une ligne qu'il ne connaissait pas (au sens où la ligne n'est pas sur son titre d'habilitation), c'est couillu a défendre pour eux en cas d'attaque du salarié derrière cestachier

  13. Sinon, c'est vrai que le bordel est en place ausssi chez ECR. J'ai vu un ME 120 calé à PY lundi après midi, le lendemain il était toujours là et la 186 168-1 repartait HLP sur le sud dans l'après midi ... A Laroche Migennes, un autre est resté calé plus de 24 h 00 avec la 2903 SNCB de lundi à mardi. Au faisceau de Les Laumes, un class 66 a pris "son repos" là bas de vendredi jusqu'à dimache ...

    Et oui, quand un train est calé pour une raison x ou y, il est quasiment impossible de trouver quelqu'un pour une reprise rapide... L'agent sur le train calé étant déjà prévu sur autre chose derrière. Des exemples comme ça il y en a à la pelle!

    C'est de sa propre responsabilité de dire non, et je peux t'assurer que si son chef lui demande de faire çà et qu'il refuse, il n'aura en aucun cas un problème. Après s' il se plaint, c'est son problème. Et au faites, St louis c'est près de Bale, à 20kms de Mulhouse, et je vois de qui tu parles. No comment...

    C'est vrai pour ceux qui commencent a avoir un peu d'ancienneté et a qui l'on ne fait plus avaler n'importe quoi. Malheureusement ce sont souvent aux plus jeunes que l'on demande ce genre de chose...

  14. Salut,

    Un autre chanceux -> http://www.leprogres.fr/fr/article/2762343...e-a-niveau.html

    Un train en cachait bien un autre, mercredi matin, chemin de Cuègre, lorsque le jeune conducteur impatient a tenté de se faufiler entre les demi-barrières baissées

    Trop pressé, trop impatient, trop imprudent. Ce garçon de vingt ans, originaire de Saint-Etienne-du-Bois, se souviendra sans doute toute son existence de cet incroyable accident, qui aurait aussi bien pu lui ôter la vie, mercredi matin, chemin de Cuègre, au nord de Bourg-en-Bresse.

    Si son véhicule, une Citroën de type AX, a été quasiment pulvérisé par un train de marchandises lancé à pleine vitesse, lui s'en est sorti avec une coupure à la main et des maux de tête, qui lui ont valu une nuit d'hospitalisation, en observation. Sorti hier matin indemne du centre hospitalier de Fleyriat, le jeune homme était auditionné hier après-midi, dans les locaux du commissariat de Bourg-en-Bresse.

    La vie sauve, c'est déjà ça, il va devoir désormais assumer le prix de son inconscience, la collision matinale ayant occasionné, selon la SNCF, un total de 500 minutes de retards pour 26 trains, dont deux TER immobilisés plus d'une heure. Une plainte devrait être déposée dans les prochaines heures par la SNCF.

    L'accident s'était produit mercredi, peu après 7 h 30 du matin, lorsque l'automobiliste avait tenté de franchir la voie ferrée en slalomant entre les demi-barrières baissées. Les feux clignotants étaient au rouge, et un premier convoi venait de passer.

    Il semble que le jeune conducteur n'ait pas tenu compte de l'avertissement inscrit en grosses lettres sur les panneaux de signalisation, de part et d'autre de la voie : «Un train peut en cacher un autre ». Alors que ce premier train venait de passer, un témoin a vu le conducteur de l'AX reculer un peu pour se dégager de la barrière, avant de repasser la marche avant pour se faufiler sur la voie. À ce moment précis, arrivait, lancé, le train de fret assurant la liaison entre Modane et Dijon. La collision était inévitable, qui a projeté la voiture sur le côté, avant que le convoi ne s'immobilise.

    Depuis le début de l'année, dans le département de l'Ain, il s'agit du troisième accident impliquant un train et une automobile sur les rails. Le 20 janvier à Ambronay, c'est un conducteur de 33 ans qui avait été sérieusement blessé dans des circonstances laissant fortement supposer une tentative de suicide, puisque la Citroën ZX était engagée sur la voie ferrée, à une vingtaine de mètres du passage à niveau.

    Par chance, le conducteur du train de marchandises avait eu le temps de freiner au dernier moment pour ralentir le convoi, sans parvenir à éviter le choc. Le 29 janvier, à Seyssel, un chauffeur de taxi âgé de 54 ans, domicilié à Rumilly (Haute-Savoie), était décédé après avoir été percuté par la rame TER de la ligne Culoz-Bellegarde, avec à son bord 38 passagers. Son véhicule était resté bloqué au milieu de la voie, sur le ballast, alors que les barrières s'abaissaient. Pour le jeune Aurélien, mercredi était jour de chance.

  15. En commençant comme AFR il y a heureusement quelques perspectives. En restant dans cette branche tu pourras évoluer vers un poste de visiteur ou bien de formateur AFR, Inspecteur d'exploitation AFR et ensuite évoluer dans la hiérarchie.

    Sinon tu auras aussi la possibilité d'évoluer vers la traction si cette branche t'intéresses en suivant la formation adéquat lorsque des formations reprendront.

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