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Le Web des Cheminots

lucie

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Tout ce qui a été posté par lucie

  1. lucie

    29 janvier

    Un conseil ???? Gasp. Curieux conseil qu'est celui de demander à d'autres de se taire. Pas d'animosité ? : Mais sais-tu que ce sont des menaces, ça ? Note que je n'en ai rien à cirer, mais quand même, t'es pas un peu gêné aux entournures côté conscience ? Bon on na va pas non plus emmerder le monde avec nos histoires. Donc, je soutiens le parti de gauche, j'appelle de mes voeux un grand service public, dont la SNCF, qui a une culture d'entreprise remarquable, et j'espère qu'on se retrouvera le 29 janvier, dans la rue pour défendre tous ceux qui se cassent le train à bosser pour engraisser les actionnaires et autres politiques de mes deux (pardon pour la trivialité) Bonnes luttes à tous. Et je ne dis pas merci au censeur de service. En revanche, Sarko, au poteau okok
  2. lucie

    29 janvier

    Gasp, t'es qui toi ? Il est si étroit du bulbe ce forum, il me semblait croiser des gens biens. Et merci du conseil, mais je n'ai pas pour habitude de me plier à une modération quelle qu'elle soit. Je ne fais pas de prosélytisme, et j'emmerde les gendarmes et la maréchaussée. Il n'est pas né celui qui me fera coincer mon clairon. Le PG soutient le service public dont la sncf, et si j'ai envie d'afficher mes convictions je continuerai,PG ou non. Me faire virer, pffft, peu importe, l'essentiel est de se faire entendre, si ce n'est pas ici ce sera ailleurs. Basta.
  3. lucie

    29 janvier

    Bonsoir, Juste quelques mots pour vous dire que cette fois, contrairement à novembre 2007, vous serez moins seuls. A l'image de Gourdon, nous sommes nombreux à exiger que le service public ne laisse pas en rade ses usagers. http://www.ladepeche.fr/article/2009/01/26...-les-gares.html Ceci étant, n'oubliez pas le privé dans vos luttes, on est souvent pieds et poings liés avec le spectre du chômage sur nos têtes et la perspective de se faire traiter de fainéants quand ça arrive. Quant aux usagers, 80% sont en région parisienne, comme les journalistes qui assoient votre réputation Triste réalité.
  4. Thibault !!!! ksss, question représentativité, encore un qui vire au jaune. Je viens d'entendre que la cgt renonçait à faire grève dimanche.
  5. bonsoir à toutes et tous, 2005 a vu un référendum où le peuple s'est exprimé en disant non au traité constitutionnel. Ce résultat n'a pas eu l'heur de plaire à nos élites. A l'initiative de sarko et avec la bénédiction de quelques pseudos démocrates du ps le traité de lisbonne qui reprend l'essentiel des termes du TCE va être soumis, cette fois, au vote du parlement. Pour ce faire, il est nécessaire que la constitution soit modifiée, sans cette modification sarko n'aura d'autre choix que d'organiser un nouveau référendum. Pour que cette modification soi effective il faut que le congrés (assemblée nationale+senat) approuve. A cet effet, le congrés est donc convoqué le 4 février à versailles. A ce jour, La droite globalement va voter pour la modification de la constitution et le ps se déchire sur la question. Moralité il est probable que le nouveau traité, équivalent au précédent refusé par le peuple, une fois la constit modifiée, soit validé par le parlement. Pour que ce déni de démocratie n'ait pas lieu et que nous ne soyons pas dépossédés de notre vote, oui ou non, il ne nous reste que la résistance, je compte sur vous pour faire tourner l'appel qui s'est mis en place. Exigeons un référendum. http://www.tousaversaillesle4fevrier2008.fr/ Bien cordialement,
  6. Curiosité : Tunnel pare-neige ligne La Bastide/Mende Vue de-dessus un dernier
  7. Info ou intox dati pourrait remplacer MAM
  8. Dont acte. Aprés vous avoir relu, je vous laisse le bénéfice du doute. lapleunicheuse
  9. Le quote, le quote, je n'ai rien inventé, Et garçon, si tu n'assumes pas ce que tu racontes. On va en rester là. Et tes histoires d'échelles et d'échelons ça me laisse pantoise que tu les mettes en avant, à moins que tu ne sentes vraiment le boulet du privé arriver. Parceque là c'est la misère, chacun pour soi et machin pour tous, ce n'est plus mon train ne passe pas aujourd'hui, c'est tous les jours marche ou crève même quand les trains circulent. Donc, tout ça pour dire, qu'un peu plus de solidarité avec ceux qui sont en lutte ne ferait pas de mal. Sans rancune, mais tu m'énerves un peu quand même. lapleunicheuse
  10. La réalité ? laquelle ? Depuis des lustres les puissants font leur beurre sur le dos des "petits", et quand aujourd'hui certains se révoltent tu prends le parti des oppresseurs ? Mais mon pauvre ami, si comme moi t'es dans le privé, es-tu content de te peler un salaire de m...., es-tu content de ne pouvoir rien dire parceque les syndicats quand ils existent sont muselés et que de toute façon tout le monde la ferme de peur de se faire au mieux mal voir au pire virer ? T'es content qu'on soit passé de 37,5 ans de cotisation à 40 ? T'est content que ta retraite soit passée de 80% de ton dernier salaire à 60 ou 65% ? Pfft, non seulement les cheminots ont raison de se battre mais ça devrait nous faire une bonne leçon à tous, si on s'entendait on serait moins dans la mouise. Mais ça, c'est de notre faute, faut pas le leur mettre sur le dos. Alors, moi, je ferai tout pour que tu changes d'avis, et ce que je viens de dire ce n'est pas de la démagogie, juste le constat d'une salariée qui a le sentiment de se faire avoir.
  11. Ouh là tu arrives sur un terrain glissant. Pour ce qui est des chiffres je constate que les mêmes qui réclament des votes dans les facs ne se satisfont pas des résultats de votes chez les cheminots, et si on veut étendre ça à la politique ceux qui suivent comme un seul homme sarko sur la ratification du traité européen par les parlements s'assoient de fait, sur les résultats du réfendum de 2005 où le peuple a dit NON. Quand vous aurez résolu ces quelques contradictions, vous pourrez venir faire la leçon.
  12. Hum, si ma mémoire est bonne, sarko est passé avec effectivement 53% des suffrages exprimés mais bref, ensuite sauf erreur la majorité de son électorat ce sont les transfuges du FN (qu'il a carressé dans le sens du poil toute la campagne) et les plus de 60 ans....alors question représentativité chez les actifs ce n'est pas le top. En résumé, ceux qui ont voté majoritairement pour notre président bien aimé n'en n'ont rien à cirer de ses réformes. source ipsos Sur le critère de l'âge, Nicolas Sarkozy réalise un score impressionnant chez les 60 ans et plus… Cet électorat (de sarkozy) se situe traditionnellement à droite. Mais chez les plus de 70 ans par exemple, Chirac récoltait 34% des voix en 2002. Là, Sarkozy fait le plein à plus de 44%. Voili voilou.
  13. Bonjour, Je suis dans le privé, et ils commencent à être lourds les usagers en colère, si vous permettez ils commencent même à nous les briser menus. Ci-après un bon résumé qu'il serait souhaitable que fassent entrer dans leur petit crâne ces râleurs inconscients en activant les 4 neuronnes qui leur restent après prosternation devant les jt et autre intox gouvernementale. -------- Source rezo.net. Anti-grévistes, vos gueules ! Publié le samedi 17 novembre 2007. La grève des transports pour la défense des retraites donne l'occasion à la droite de vomir sa bile haineuse. Micros et caméras pataugent dans la fange des inepties des anti-grévistes. Il faut répondre aux pires de ces délires. "C'est une prise d'otages !". Non. Une prise d'otage, c'est si on t 'enferme dans une cave, menotté au mur, cagoulé, et que régulièrement on vient te foutre un pistolet sur la nuque en te menaçant de te buter parce que ta famille ne paye pas. C'est ça, une prise d'otage. Là, il s'agit simplement d'une grève. "On nous empêche de travailler !". Non. Il n'y a pas de piquet de grève devant chaque entreprise. Personne n'est empêché de travailler. Simplement il faut nous démerder tous seuls pour nous déplacer, sans les cheminot-e-s et les traminot-e-s. Au passage, la situation illustre l'absurdité totale de l'aménagement du territoire qui consiste à loger les travailleurs et travailleuses à l'est de Paris et à placer leurs entreprises à l'ouest. Si habitation et travail étaient plus harmonieusement organisés, les transports ne poseraient pas tant de problème. "Supprimer les régimes spéciaux, c'est une question d'équité". Non. C'est une question de dumping social. L'équité, ce n'est pas aligner sur le pire régime, mais sur ce qu'on peut faire de meilleur pour le plus grand nombre. Et l'équité n'est pas non plus à géométrie variable. Si la préoccupation réelle du gouvernement Sarkozy était l'équité, il instaurerait un salaire unique. Puisque tou-te-s les travailleurs/euses sont sensés cotiser le même temps pour leur retraite, pourquoi donc ont-ils et elles des salaires différents ?! Voilà pour le coup qui est bien inéquitable ! Allez, hop, tout le monde aligné sur le salaire moyen (1903 euros par mois en 2005), y compris le président de la République qui vient de se tripler son salaire pour gagner 10 fois ce salaire moyen ! "La mondialisation oblige à supprimer les régimes spéciaux". Non. Ceux et celles qui pensent ça sont donc prêt-e-s immédiatement à toucher un salaire chinois ou indien, puisqu'"avec la mondialisation on n'a pas le choix" ? Bonne nouvelle pour leurs collègues qui vont pouvoir se partager la différence ! La mondialisation n'est qu'un prétexte pour cacher des choix purement idéologiques. "Avec l'allongement de la vie, il faut bien travailler plus longtemps". Non. La productivité augmente plus vite que l'espérance de vie. Donc la richesse existe pour financer largement cet allongement de l'espérance de vie. Simplement il y a un choix politique idéologique : laisser les capitalistes, les actionnaires, les possédants, accaparer cette richesse supplémentaire au lieu de la distribuer à ceux et celles qui ont contribué à la produire. "C'était une promesse de campagne, être contre est anti-démocratique". Non. La démocratie, ce n'est pas tout est à prendre ou à laisser. La démocratie, c'est l'élaboration collective du fonctionnement de la société. Il n'y a pas de débat sur cette question, mais un passage en force du fait d'une lubie d'un seul homme. La démocratie, ce n'est pas un chèque en blanc. "L'opinion publique est contre cette grève, les sondages le prouvent". Non. Un sondage n'a jamais rien prouvé. Tout dépend de la manière dont on pose la question. Demandons si vous pensez normal de travailler plus pour gagner moins. 99% de Non ! Donc 99% de gens contre la contre-réforme des retraites de Sarkozy. Alors les anti-grévistes, vos gueules ! Arrêtez vos arguments de pilier de comptoir sans logique. Faites-vous greffer des neurones ! Et soutenez plutôt ceux et celles qui sont en train de se battre pour le droit à la retraite de tous et toutes. Car il faut être soit complètement stupide, soit totalement malhonnète pour imaginer que le gouvernement Sarkozy s'arrêtera aux régimes spéciaux. C'est l'ensemble du régime de retraite par répartition qu'il veut détruire pour faire plaisir aux actionnaires des assurances privées. Dès qu'il en aura fini avec les régimes spéciaux, c'est le régime général qui passera à la moulinette de l'allongement de la durée de cotisation (encore !) et de la réduction des pensions (encore et toujours !). Alors bien sûr que c'est chiant, crevant, exaspérant de devoir se débrouiller sans les transports en commun pour se déplacer. Mais les responsables, ce sont les saboteurs des retraites : Sarkozy, Fillon et Bertrand. Battons-nous maintenant si nous ne voulons pas bosser jusqu'à ce que mort s'en suive ! AL 93 ---- Bonne lutte.
  14. Si ça peut vous remonter le moral, joli texte, il y en a d'autres, on est quelques uns à essayer de les diffuser par le biais des listes mail, juste histoire de permettre de faire réfléchir autrement, c'est une goutte d'eau dans la mer....mais bon...c'est quand même plus gratifiant que de se beurrer les infos de tfhaine et autre france2. Des " otages" empêchés d'aller travailler
  15. Je commence par la fin : "Alors quand bien même je devrais être la seule à le faire, dans ce concert de plaintes d' « otages » « empêchés » d'aller travailler, je leur dis : chapeau, les grévistes, et merci. Merci pour nous tous. <h2 class="titre-texte">Des "otages" "empêchés" d'aller travailler</h2> Ou comment les mots se trompent de guerre jeudi 15 novembre 2007. Il faut, décidément, faire attention aux mots. On entend beaucoup ces jours-ci les usagers se plaindre que les grévistes les « empêchent » d'aller travailler. Or, au sens strict, ils ne les empêchent pas. Ils cessent de les y aider. C'est quand même très différent : les grévistes suspendent le service qu'habituellement ils rendent contre salaire, et renoncent à leur paie pour la durée où ils cessent de « servir ». Ils exercent ce faisant leur droit de grève, strictement incontestable. Que la grève constitue une nuisance est tout aussi incontestable, c'est même de là qu'elle tire son pouvoir relativement persuasif. Mais si elle est constitutionnellement garantie, c'est bien qu'elle est légitime dans son principe : elle est reconnue comme un instrument légal dans la négociation du rapport de force entre les employeurs et les employés. On observera au passage que la constitution prévoit donc bien que les relations entre ceux-ci et ceux-là sont susceptibles de prendre la forme de rapports de force, et qu'en somme les luttes sociales font partie du programme légitime de la société. A ce titre, le terme d' « otage » dont les « usagers-vus-par-les-médias » à moins que ce ne soient les « médias-vus-par-les-usagers » nous abreuvent est parfaitement inacceptable, et même obscène. Obscène évidemment pour les otages, les vrais, ici et là en quelques coins de la terre. Inacceptable ensuite parce qu'il porte une représentation du corps social trompeuse et délétère. Dans corps social il y a corps : nous en sommes tous les membres, il n'y a pas de partie neutre, qui se trouverait prise au piège, « à son corps défendant », d'une problématique ne la concernant pas. Chacun est agent du devenir collectif, et nous sommes tous partie prenante de la lutte sociale qui se joue ici. On me répondra que c'est parce que nous sommes tous responsables du devenir collectif que les bénéficiaires de régimes spéciaux doivent contribuer à l'effort commun pour rendre possible le financement futur des retraites. Problème moral, plus qu'économique, puisque les personnes concernées représentent une part dérisoire du corps social, et que s'agissant d'économie(s), le gouvernement eût pu s'aviser d'en faire autrement qu'en tapant sur les petites retraites, en s'abstenant par exemple d'offrir l'équivalent de 90 fois la somme qu'il espère tirer de cette réforme, sous la forme de cadeaux fiscaux dont personne n'a réussi à prouver l'intérêt sur le plan collectif. Problème moral décidément, car si l'on veut vraiment tendre vers l'équité dans le système des retraites, il faut évidemment prendre en compte non seulement la pénibilité, mais l'espérance de vie moyenne propre à chaque corps de métier dans le calcul des pensions : seul moyen de rendre une politique de financement des retraites acceptable, parce que cohérente. Car la politique aussi fait corps, c'est un système symbolique complexe dont on attend au minimum de la cohérence. De la part d'un gouvernement de droite qui pratique une politique clientéliste et réserve à son sommet les privilèges les plus indécents (je songe notamment aux Centquarantepourcent, appelons-les comme ça puisque personne ne sait exactement de quoi il retourne), cette réforme-là est inacceptable. On ne demande pas un tel effort à ceux d'en bas quand on a fait tant de largesses à ceux d'en haut. C'est plus qu'un problème de communication. C'est un problème moral. J'avoue ne pas connaître assez les métiers concernés (tellement divers !) pour être absolument certaine que ces régimes spéciaux ne sont pas la juste compensation d'efforts particuliers déjà consentis. Et j'ose dire que ce n'est pas le cœur de la question. Le cœur de la question bat dans ce fameux corps social envisagé comme un tout, dont le « corporatisme », tant décrié et bien mal compris, n'est que la métonymie. Je m'explique : quand un corps de métier se bat pour que ses membres bénéficient d'une situation décente, c'est AUSSI à la décence des situations de travail en général qu'il œuvre. Sans doute les motivations des grévistes sont-elles pour partie (la majeure ? Et alors ?) personnelles. Mais DANS LES FAITS, leurs conquêtes construisent et consolident les droits des travailleurs en général. Notamment pour cette raison simple et évidente que lorsqu'ils échouent, le démantèlement de leur statut sert toujours d'exemple et de justification au démantèlement du statut voisin - comme le montre très exactement toute l'histoire de la réforme des retraites. TOUS les travailleurs ont donc intérêt à ce que CERTAINS travailleurs parviennent à défendre la décence de leurs conditions de travail : la lutte sociale ne s'arrête pas ce soir, les victoires des uns sont susceptibles de servir d'exemple, de modèle et de justification aux luttes - et aux victoires - des autres. Qu'elles le deviennent en effet dépend de nous : tous les travailleurs, y compris ceux du privé, ont le droit de se syndiquer, de faire grève, de lutter pour la dignité de leurs conditions de travail et de vie. Ces droits n'existent réellement que si on les exerce ; cet exercice est une lutte, et la lutte, ça coûte. Ça coûte en énergie, morale et physique, et ça coûte de l'argent. C'est un risque, toujours : le risque de perdre. Je sais de quoi je parle. Il y faut de l'audace, du courage, de la détermination, et un certain sens du collectif. Toutes qualités dont je n'entends pas beaucoup parler, à propos des grévistes actuellement engagés dans la lutte. Alors quand bien même je devrais être la seule à le faire, dans ce concert de plaintes d' « otages » « empêchés » d'aller travailler, je leur dis : chapeau, les grévistes, et merci. Merci pour nous tous.
  16. On dirait un "usager" qui parle...rien à faire la couleur jaune ça déteint.
  17. Oh tu sais il n'y a aucun mérite, juste une conviction que si les "petits" ne s'unissent pas, on passera tous à la trappe. et surtout, que si nous ne gardons pas nos convictions humanistes porteuses d'égalité de liberté et de fraternité nous y laisseront notre honneur, notre vie et celle de nos enfants. BiZ @+
  18. Bonsoir, Juste un mot pour vous dire que nous sommes nombreux dans le privé à soutenir votre mouvement. Ne vous laissez pas destabiliser par les diverses infos des médias. Il n'y a pas que des usagers en colère. Il y a aussi des salariés qui se sont faits avoir par les 2 dernières lois sur les retraites. Vous êtes notre dernier rempart avant une mise au pas globale des salariés sur toutes les avancées sociales acquises de hautes luttes par nos aînés. Ils nous ont mis à genoux en nous grignotant nos acquis et nous pauvres tâches n'avons rien vu venir, maintenant nous n'avons qu'un choix la porte ou rentrer dans le rang. Dieu (si j'y croyais) vous en préserve. C'est terrible mais on compte sur vous et aussi sur les étudiants, parceque le sarko il va dézinguer tout ce qui de près ou de loin ressemble à de l'opposition. Je sais les sacrifices que ça doit impliquer. Courage et un très gros merci. BiZ @+
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