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Le Web des Cheminots

Religion : Danger ou pas !


Invité Gnafron 1er

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De plus, il n’y aurait plus d’idolâtrie en islam. Même la Colonne de Nelson n’existerait pas, et nous proposerions en échange par exemple, une place où les gens pourraient prier

bla bla bla ...

Donc, ces choses doivent être ... remplacées par la vénération et l’obéissance à Allah.

blablabla

.... je crois que ce sont des idoles que les gens vénèrent aujourd’hui qui les éloignent de l’adoration de notre seigneur, Allah.

logique non ?

niveau maternelle ! et ils veulent notre respect ? Affligeant ... mais dangereux !!

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bonjour

ou en est le Vatican avec les problémes de pédophilie en Allemagne, là ou officier le pape avant qu'il ne soit désigné ???

Pour t'être agréable , voici qlq chiffres :

Par Estelle Gross Nouvelobs.com

Depuis une dizaine d'années des affaires de pédophilie à travers le monde secouent l'église catholique :

En France :

Au début des années 2000, une dizaine de prêtres et religieux sont mis en examen dans des affaires de pédophilie.

L'abbé René Bissey, sera ainsi condamné en 2000 à dix-huit ans de prison pour viol, et l'évêque de Bayeux et Lisieux, Mgr

Pierre Pican, poursuivi pour non-dénonciation, sera condamné en septembre 2001 à trois mois de prison avec sursis.

Le 20 septembre 2001, Bernard Mercury, un prêtre de 51 ans est condamné à quatre ans de prison par le tribunal correctionnel de Bordeaux pour des atteintes sexuelles sur huit enfants mineurs dont il s'occupait dans le cadre de ses activités à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux.

En février 2009, un prêtre de Lille est écroué après avoir été dénoncé par un enfant de 13 ans avec lequel il correspondait sur Internet. L'homme de 39 ans a par la suite reconnu avoir eu plusieurs relations sexuelles avec des mineurs.

Aux Etats-Unis :

En février 2002, quatre-vingts prêtres du diocèse de Boston ont été accusés de pédophilie.

Australie :

107 prêtres et religieux catholiques ont déjà été condamnés par la justice pour des agressions sexuelles ou des viols, selon Broken Rites, une association de défense des victimes.

En Irlande :

En mai 2009, le rapport du juge Sean Ryan révèle que des centaines d'enfants ont été touchés et violés, à partir des années 1940, dans les institutions religieuses du pays.

En Autriche :

Bruno Becker, supérieur de l'abbaye bénédictine Saint-Pierre de Salzbourg donne sa démission le 8 mars 2010 avec effet immédiat. Il a avoué publiquement avoir abusé d'un enfant en 1969 dans sa commune natale de Grödig.

Aux Pays Bas :

L'ordre des salésiens vient de faire l'objet d'accusations pour des faits qui se seraient produits dans les années 1960 et 1970 dans un internat près de Nimègue. Une commission d'enquête de l'Eglise néerlandaise, appelée Aide et droit, a lancé début mars un appel aux personnes victimes de prêtres: 34 cas d'abus sexuels ont été signalés en quatre jours.

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Une autre demande de béatification suscite moins la polémique : celle de Jean-Paul II . On met souvent en avant sa participation à la résistance aux occupants de son pays , allemands comme russes. Mais on oublie un peu vite son attitude face aux régimes dictatoriaux d’Amérique Latine : la visite officielle au Chili du général Pinochet , salué avec forces sourires et bénédictions en est un exemple choquant.

sans compter l'absence de réaction quand l'extrême-droite a assassiné son archevèque Romero au cours d'une messe à San-Salvador, en 1980.

voir http://www.temoignagechretien.fr/journal/a...mp;categ=Croire

En 1995, Jean Paul II a rendu un hommage « particulier » à Romero. Il a nommé archevêque de San Salvador Fernando Saens Lacalle. Membre de l'Opus Dei, celui-ci mène une lutte acharnée contre la distribution des préservatifs et combat la théologie de la libération.
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Ferrat , le MRAP et la laicité .....!

On ne peut accusé Jean Ferrat de racisme ou quoique ce soit , visionnaire ?Peut être !

Lettre ouverte de Jean Ferrat à Mouloud Aounit

Cher Mouloud,

Je suis certainement un des plus anciens adhérents du MRAP mais c'est la première fois que je me demande si je ne vais pas être obligé de démissionner de l'association.

Déjà, dans l'affaire Papon je t'avais exprimé nettement mon désacord avec la position que tu avais prise et s'il est vrai que tu avais reconnu ton erreur et t'en étais excusé ensuite publiquement il n'en reste pas moins que tu l'avais commise.

Pourquoi n'en serait-il pas de même aujourd'hui dans l'affaire des caricatures?

Non, contrairement à ce que tu déclares :

..."Le MRAP porte plainte contre le message raciste véhiculé par le dessin de "France Soir" qui assimile Mahomet donc tous les musulmans ( c'est moi qui souligne) à des terroristes" ....Ce dessin pour moi, ne vise que ceux qui utilisent l'Islam à leurs fins politiques : ...."La bombe en forme de turban, ce sont les islamistes radicaux qui l'ont posée sur la tête de Mahomet*".....

Je suis donc absolument opposé à la plainte déposé contre "France Soir" et, évidement contre celle envisagée contre "Charlie- Hebdo".

Je trouve la position du MRAP extrèmement grave pour notre mouvement et au delà pour l'avenir de notre démocratie laïque.

Je me vois donc forcé de me désolidariser entièrement de cette position et de cette action et de le faire savoir publiquement.

A mon très grand regret.

Jean Ferrat.

Reproduction autorisée avec mention de la source : © www.prochoix.org

Modifié par MarcM
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Dure journée pour Benoît XVI. En recevant vendredi 12 mars, Mgr Robert Zollitsch, président de la conférence épiscopale allemande, le pape a de nouveau été confronté aux révélations d'abus sexuels commis sur des mineurs par des membres du clergé. Mais, après sa rencontre historique avec les évêques irlandais sur ce thème il y a moins d'un mois, une touche personnelle s'est ajoutée cette fois à "l'émotion" éprouvée, selon Mgr Zollitsch, par Benoît XVI lors de leur entrevue.

Trois-cents cas de "véritable pédophilie" selon un haut responsable du Vatican Mgr Charles Scicluna, un haut responsable de la Congrégation pour la doctrine de la foi s'est livré à un calcul pour chiffrer à "environ 300" les cas de "véritable pédophilie, c'est-à-dire d'une attraction sexuelle pour des garçons impubères", commis par des prêtres ou religieux et remontés au Vatican entre 2001 à 2010.

Durant cette période, il y a eu "environ 3 000 accusations regardant des prêtres pour des crimes commis ces 50 dernières années", a-t-il déclaré à Avvenire, journal de la conférence épiscopale italienne. "Dans environ 60% des cas, on a plutôt affaire à des actes d''éphébophilie', c'est-à-dire d'attraction physique pour des adolescents de même sexe. Dans 30 %, de rapports hétérosexuels et pour les 10 % restant, de véritable pédophilie", note le prélat.

"En neuf ans, les cas de prêtres accusés de pédophilie sont donc d'environ 300" sur "400 000 prêtres diocésains et religieux" dans le monde. "Trop certes, mais il faut constater que le phénomène n'est pas étendu comme on veut le faire croire", a-t-il ajouté.

Les 170 plaintes qui secouent depuis plusieurs semaines le pays natal du pape, concernent des faits survenus dans les années 1970 et 1980, au cœur des diocèses où Joseph Ratzinger exerça ses fonctions de prêtre, professeur et évêque. Dans la soirée, Süddeutsche Zeitung révélait qu'un prêtre pédophile présumé avait été hébergé en 1980 par l'archevêché de Munich, dirigé entre 1977 et 1982 par l'actuel pape, pour y "suivre une thérapie".

Le diocèse a confirmé que ce fait était connu de Mgr Ratzinger. En revanche, le vicaire général de l'époque assume seul la responsabilité d'avoir confié un poste d'aumônier au prêtre concerné, en dépit des soupçons qui pesaient sur lui. Le prêtre s'était alors rendu coupable d'autres abus qui lui valurent en 1986 d'être condamné à dix-huit mois de prison avec sursis. Il y a une dizaine de jours, et avant que l'information ne soit publique, c'est le frère de Benoît XVI, Mgr Georg Ratzinger, qui avait informé le pape que des abus sexuels et des châtiments corporels avaient été commis sur des enfants de la chorale de Ratisbonne, qu'il a dirigée durant trente ans.

Dans ce contexte, le pape a apporté son "soutien" à l'Eglise allemande pour la façon dont elle fait face à ces scandales qui touchent deux tiers des 29 diocèses allemands. A l'issue de son entretien avec le pape, Mgr Zollitsch a rappelé qu'un évêque avait été spécifiquement chargé de suivre ces affaires et a renouvelé "ses excuses" envers les victimes. Il a indiqué vouloir faire la lumière sur l'ensemble des affaires, y compris les cas prescrits. Le 8 mars, la ministre de la justice allemande, avait estimé que le Vatican avait mal géré le dossier, évoquant un "mur de silence" dans l'institution catholique.

En quête d'explications et de solutions face à ce phénomène qui, s'il n'est pas limité à l'Eglise catholique, interroge par son caractère récurrent, des voix se sont élevées pour relancer le débat sur le célibat des prêtres. Le théologien suisse Hans Küng a le premier évoqué le sujet, estimant que l'abolition du célibat limiterait les risques de pédophilie. L'archevêque de Vienne, Mgr Christoph Schönborn, a pour sa part expliqué que "sans remettre en cause cette règle", il fallait s'interroger sur "les causes" de la pédophilie au sein du clergé, parmi lesquelles "le célibat". Lui-même a été nommé à son poste en 1995, à la suite d'un scandale d'abus sexuel impliquant son prédécesseur, Mgr Hans Hermann Groër.

Plus explicite l'archevêque de Salzbourg a déclaré vendredi : "Le temps et la société ont changé. L'Eglise doit se demander si elle peut entretenir ce mode de vie et ce qu'elle doit y changer." L'Autriche fait également face depuis quelques jours à une série de révélations d'abus, qui ont entraîné la révocation de plusieurs prêtres Le Vatican, qui sur ce sujet met régulièrement en avant le fait que les auteurs d'actes pédophiles se retrouvent majoritairement au sein des familles, a une nouvelle fois balayé toute évolution de la tradition catholique en la matière. Vendredi, le pape a réaffirmé la "valeur du célibat sacré". "Le célibat est le signe de la consécration tout entière au Seigneur", a-t-il insisté lors d'une rencontre avec la Congrégation du clergé.

Selon des experts, d'autres facteurs expliqueraient l'ampleur de ce phénomène au sein de l'Eglise catholique. La théologienne Marie-Jo Thiel, interrogée par La Croix le 11 mars, évoque une "culture et une philosophie cléricales, avec une conception de l'autorité qui permet de se mettre au-delà de la justice, de la démocratie, de toute transparence". "Longtemps le clergé a considéré la pédophilie comme une faiblesse passagère, au même titre qu'une liaison avec une femme ou un homme, alors que l'on est là face à un acte criminel", estime aussi une juriste qui a travaillé sur ces questions avec l'épiscopat français. "La culture du secret et de l'étouffement est une tradition dans l'Eglise, qui a toujours préféré arranger ses affaires avec sa propre justice, au nom de sa suprématie et de son autonomie", commente Emile Poulat, historien du catholicisme.

Pour un psychanalyste, qui a travaillé avec l'Eglise catholique française, le risque zéro n'existe pas. "Mais dans une institution où la relation duelle est importante il faut, dans ces affaires, mettre en place des procédures générales et un fonctionnement collégial." Sous la pression des opinions publiques, l'Eglise catholique s'est engagée depuis quinze ans dans un processus de reconnaissance, de prévention et de sanctions. Selon Mgr Zollitsch, le Vatican réfléchirait à la mise en place de normes universelles pour traiter ces affaires, dévastatrices pour la crédibilité de l'Eglise.

Le contexte actuel rend d'autant plus urgente la publication de la "Lettre aux Irlandais" promise par Benoît XVI sur ce sujet, "avant Pâques". Elle devrait s'adresser aux fidèles et clergés concernés. S'il voit le jour, ce texte sera à mettre au crédit du pape, mais il ne lèvera pas les interrogations sur ce que le cardinal Ratzinger, préfet pour la congrégation de la doctrine de la foi, durant plus de vingt ans, savait de tous ces scandales.

(extrait Le Monde)

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Dure journée pour Benoît XVI. En recevant vendredi 12 mars, Mgr Robert Zollitsch, président de la conférence épiscopale allemande, le pape a de nouveau été confronté aux révélations d'abus sexuels commis sur des mineurs par des membres du clergé. Mais, après sa rencontre historique avec les évêques irlandais sur ce thème il y a moins d'un mois, une touche personnelle s'est ajoutée cette fois à "l'émotion" éprouvée, selon Mgr Zollitsch, par Benoît XVI lors de leur entrevue.

Trois-cents cas de "véritable pédophilie" selon un haut responsable du Vatican Mgr Charles Scicluna, un haut responsable de la Congrégation pour la doctrine de la foi s'est livré à un calcul pour chiffrer à "environ 300" les cas de "véritable pédophilie, c'est-à-dire d'une attraction sexuelle pour des garçons impubères", commis par des prêtres ou religieux et remontés au Vatican entre 2001 à 2010.

Durant cette période, il y a eu "environ 3 000 accusations regardant des prêtres pour des crimes commis ces 50 dernières années", a-t-il déclaré à Avvenire, journal de la conférence épiscopale italienne. "Dans environ 60% des cas, on a plutôt affaire à des actes d''éphébophilie', c'est-à-dire d'attraction physique pour des adolescents de même sexe. Dans 30 %, de rapports hétérosexuels et pour les 10 % restant, de véritable pédophilie", note le prélat.

"En neuf ans, les cas de prêtres accusés de pédophilie sont donc d'environ 300" sur "400 000 prêtres diocésains et religieux" dans le monde. "Trop certes, mais il faut constater que le phénomène n'est pas étendu comme on veut le faire croire", a-t-il ajouté.

Personne ne veut rien faire croire.......C'est le fait de savoir qlq chose et de ne rien dire qui est dégueulasse , voir horrible .

Imagine t-on , qlq'un qui connait un violeur et qui le cache ?

Quelle condamnation aura t-il et ce serait normal .Pourquoi ces religieux devraient être protéger de la justice des hommes ?

Les 170 plaintes qui secouent depuis plusieurs semaines le pays natal du pape, concernent des faits survenus dans les années 1970 et 1980, au cœur des diocèses où Joseph Ratzinger exerça ses fonctions de prêtre, professeur et évêque. Dans la soirée, Süddeutsche Zeitung révélait qu'un prêtre pédophile présumé avait été hébergé en 1980 par l'archevêché de Munich, dirigé entre 1977 et 1982 par l'actuel pape, pour y "suivre une thérapie".

Le diocèse a confirmé que ce fait était connu de Mgr Ratzinger. En revanche, le vicaire général de l'époque assume seul la responsabilité d'avoir confié un poste d'aumônier au prêtre concerné, en dépit des soupçons qui pesaient sur lui. Le prêtre s'était alors rendu coupable d'autres abus qui lui valurent en 1986 d'être condamné à dix-huit mois de prison avec sursis. Il y a une dizaine de jours, et avant que l'information ne soit publique, c'est le frère de Benoît XVI, Mgr Georg Ratzinger, qui avait informé le pape que des abus sexuels et des châtiments corporels avaient été commis sur des enfants de la chorale de Ratisbonne, qu'il a dirigée durant trente ans.

Dans ce contexte, le pape a apporté son "soutien" à l'Eglise allemande pour la façon dont elle fait face à ces scandales qui touchent deux tiers des 29 diocèses allemands. A l'issue de son entretien avec le pape, Mgr Zollitsch a rappelé qu'un évêque avait été spécifiquement chargé de suivre ces affaires et a renouvelé "ses excuses" envers les victimes. Il a indiqué vouloir faire la lumière sur l'ensemble des affaires, y compris les cas prescrits. Le 8 mars, la ministre de la justice allemande, avait estimé que le Vatican avait mal géré le dossier, évoquant un "mur de silence" dans l'institution catholique.

En quête d'explications et de solutions face à ce phénomène qui, s'il n'est pas limité à l'Eglise catholique, interroge par son caractère récurrent, des voix se sont élevées pour relancer le débat sur le célibat des prêtres. Le théologien suisse Hans Küng a le premier évoqué le sujet, estimant que l'abolition du célibat limiterait les risques de pédophilie. L'archevêque de Vienne, Mgr Christoph Schönborn, a pour sa part expliqué que "sans remettre en cause cette règle", il fallait s'interroger sur "les causes" de la pédophilie au sein du clergé, parmi lesquelles "le célibat". Lui-même a été nommé à son poste en 1995, à la suite d'un scandale d'abus sexuel impliquant son prédécesseur, Mgr Hans Hermann Groër.

Plus explicite l'archevêque de Salzbourg a déclaré vendredi : "Le temps et la société ont changé. L'Eglise doit se demander si elle peut entretenir ce mode de vie et ce qu'elle doit y changer." L'Autriche fait également face depuis quelques jours à une série de révélations d'abus, qui ont entraîné la révocation de plusieurs prêtres Le Vatican, qui sur ce sujet met régulièrement en avant le fait que les auteurs d'actes pédophiles se retrouvent majoritairement au sein des familles, a une nouvelle fois balayé toute évolution de la tradition catholique en la matière. Vendredi, le pape a réaffirmé la "valeur du célibat sacré". "Le célibat est le signe de la consécration tout entière au Seigneur", a-t-il insisté lors d'une rencontre avec la Congrégation du clergé.

Selon des experts, d'autres facteurs expliqueraient l'ampleur de ce phénomène au sein de l'Eglise catholique. La théologienne Marie-Jo Thiel, interrogée par La Croix le 11 mars, évoque une "culture et une philosophie cléricales, avec une conception de l'autorité qui permet de se mettre au-delà de la justice, de la démocratie, de toute transparence". "Longtemps le clergé a considéré la pédophilie comme une faiblesse passagère, au même titre qu'une liaison avec une femme ou un homme, alors que l'on est là face à un acte criminel", estime aussi une juriste qui a travaillé sur ces questions avec l'épiscopat français. "La culture du secret et de l'étouffement est une tradition dans l'Eglise, qui a toujours préféré arranger ses affaires avec sa propre justice, au nom de sa suprématie et de son autonomie", commente Emile Poulat, historien du catholicisme.

Pour un psychanalyste, qui a travaillé avec l'Eglise catholique française, le risque zéro n'existe pas. "Mais dans une institution où la relation duelle est importante il faut, dans ces affaires, mettre en place des procédures générales et un fonctionnement collégial." Sous la pression des opinions publiques, l'Eglise catholique s'est engagée depuis quinze ans dans un processus de reconnaissance, de prévention et de sanctions. Selon Mgr Zollitsch, le Vatican réfléchirait à la mise en place de normes universelles pour traiter ces affaires, dévastatrices pour la crédibilité de l'Eglise.

Le contexte actuel rend d'autant plus urgente la publication de la "Lettre aux Irlandais" promise par Benoît XVI sur ce sujet, "avant Pâques".

Et après ? Qu'est ce que cela peut bien faire à la victime ?

Et les dénoncer à la justice , jamais ?

Elle devrait s'adresser aux fidèles et clergés concernés. S'il voit le jour, ce texte sera à mettre au crédit du pape, mais il ne lèvera pas les interrogations sur ce que le cardinal Ratzinger, préfet pour la congrégation de la doctrine de la foi, durant plus de vingt ans, savait de tous ces scandales.

(extrait Le Monde)

Et il veut donner des leçons de moral à toute la planète ...C'est quoi ces guignoles ?

Modifié par MarcM
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Laicité , je vous dis .....

Le ministres de Affaires religieuses d'Algérie, Bouabdallah Ghlamallah, avit organisé, le 10 février 2010, un colloque sur les affaires religieuses auquel il avait convié des responsables religieux de divers pays et religions, dont Monseigneur Ghaleb Bader, archevêque d'Alger.

Celui-ci fut déçu par la teneur des débats, qui ne tinrent pas les promesses d'ouverture qui avaient été faites.

En particulier, il pose la question de la réciprocité en matière de conversions : puisque un chrétien peut se convertir à l'islam, pourquoi l'inverse ne serait-elle pas possible ? La fin de non-recevoir est unanime, et un religieux musulman s'étonnant même que la demande ait pu être formulée.

Le ministre des Affaires religieuses exprime son refus en ces termes :

«Personne ne veut qu’il y ait des minorités religieuses en Algérie car cela risque d’être un prétexte pour les puissances étrangères de s’ingérer dans les affaires intérieures du pays sous couvert de protection des droits des minorités».

Avis perso :Donc , si la France applique le même principe , elle est raciste ...... !Etonnant .

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L'article , sur le site du Crif :

Le ministre algérien des Affaires religieuses, Bouabdallah Ghlamallah, a voulu un débat serein sur les religions. En organisant, le 10 février 2010, un colloque à Alger, auquel étaient invités des professeurs et des religieux d’Asie, d’Europe et d’Amérique, le ministre voulait apporter la preuve que la diversité religieuse a bel et bien sa place en Algérie. Ghaleb Bader, archevêque d’Alger, reconnaît que certains points sont positifs comme la reconnaissance de l’existence d’autres religions que l’Islam. Mais sa satisfaction s’arrête là. Il demande purement et simplement l’abrogation de l’ordonnance de 2006 réglementant l’exercice du culte.

Ce n’est pas l’avis du ministre, qui estime que ce texte ne fait que réguler certains aspects pratiques comme il le fait pour la mosquée. Ce qui n’empêche pas le représentant de la communauté chrétienne d’énumérer ses griefs. Il pense qu’il n’est pas opportun de restreindre l’exercice du culte dans des lieux précis. Selon lui, des chrétiens sont éparpillés à travers de nombreux points du pays où il n’y pas nécessairement d’églises. Il demande alors que des salles soient affectées à l’exercice du culte, une fois par semaine. Même si les textes réglementaires ne sont pas abrogés, ils pourraient au moins être assouplis pour prendre en charge cette doléance, suggère-t-il. Tout le monde lui oppose une fin de non-recevoir.

Les réticences de l’Algérie à répondre favorablement à ces demandes sont justifiées par le ministre des Affaires religieuses par des considérations de sécurité nationale. «Personne ne veut qu’il y ait des minorités religieuses en Algérie car cela risque d’être un prétexte pour les puissances étrangères de s’ingérer dans les affaires intérieures du pays sous couvert de protection des droits des minorités», assène-t-il.

Source : lexpressiondz.com

Qu'en pense le Mrap ,par exemple ?On ne sait pas .......Les religions sont donc plus respectées dans un pays laic comme la France que dans un pays où une religion domine le pays ! !

Modifié par MarcM
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<h3 class="story_title main">Quatre propositions de loi pour interdire la burqa en rue</h3> Rédaction en ligne

mercredi 17 mars 2010, 14:54

<h4 class="chapeau">La commission de l’Intérieur de la Chambre s’est accordée ce mercredi matin pour discuter, le 31 mars prochain, de quatre propositions de loi (MR, cdH, auxquelles se sont ajoutées deux propositions de loi CD&V et Vlaams Belang) sur l’interdiction du port de la burqa sur la voie publique. </h4> Ecolo, lui aussi opposé au port de la burqa mais dubitatif sur l’opportunité de légiférer à ce propos et de lancer un débat « stérile voire dangereux », a demandé de s’interroger sur le meilleur instrument législatif à utiliser (règlement de police, communal, etc).

L’avis de bourgmestres qui ont déjà été confrontés à des cas concrets peut toujours être sollicité, estiment plusieurs députés. En revanche, la commission a rejeté une demande de Fouad Lahssaini (Ecolo) de faire examiner les propositions de loi par le Conseil d’Etat. « S’il faut à terme voter, nous soutiendrons l’interdiction », a observé le député Ecolo.

Le règlement communal est l’instrument le plus efficace et le plus rapide pour agir, a souligné le PS qui, dans plusieurs communes qu’il dirige, a déjà pris ce genre d’initiative. Mais dès lors qu’un accord semble se dégager pour une loi d’interdiction, les députés PS sont d’accord pour travailler à partir du texte du MR, en précisant que les bourgmestres devraient, idéalement, prendre les initiatives.

Pour le MR, auteur d’une des quatre propositions de loi, le texte du CD&V « va aussi dans notre sens ». Corinne De Permentier estime qu’il existe un consensus pour avancer rapidement, notamment au vu des enjeux de respect de l’égalité homme-femme.

Georges Dallemagne, auteur de la proposition cdH, se réjouit aussi de constater qu’il existe une « très large majorité » pour réclamer une loi et insiste, tout comme d’autres députés, sur l’importance de la sécurité juridique et de l’effectivité de cette future législation.

(d’après Belga le soir, une fois)

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<h3 class="story_title main">Quatre propositions de loi pour interdire la burqa en rue</h3> Rédaction en ligne

mercredi 17 mars 2010, 14:54

<h4 class="chapeau">La commission de l’Intérieur de la Chambre s’est accordée ce mercredi matin pour discuter, le 31 mars prochain, de quatre propositions de loi (MR, cdH, auxquelles se sont ajoutées deux propositions de loi CD&V et Vlaams Belang) sur l’interdiction du port de la burqa sur la voie publique. </h4> Ecolo, lui aussi opposé au port de la burqa mais dubitatif sur l’opportunité de légiférer à ce propos et de lancer un débat « stérile voire dangereux », a demandé de s’interroger sur le meilleur instrument législatif à utiliser (règlement de police, communal, etc).

L’avis de bourgmestres qui ont déjà été confrontés à des cas concrets peut toujours être sollicité, estiment plusieurs députés. En revanche, la commission a rejeté une demande de Fouad Lahssaini (Ecolo) de faire examiner les propositions de loi par le Conseil d’Etat. « S’il faut à terme voter, nous soutiendrons l’interdiction », a observé le député Ecolo.

Le règlement communal est l’instrument le plus efficace et le plus rapide pour agir, a souligné le PS qui, dans plusieurs communes qu’il dirige, a déjà pris ce genre d’initiative. Mais dès lors qu’un accord semble se dégager pour une loi d’interdiction, les députés PS sont d’accord pour travailler à partir du texte du MR, en précisant que les bourgmestres devraient, idéalement, prendre les initiatives.

Pour le MR, auteur d’une des quatre propositions de loi, le texte du CD&V « va aussi dans notre sens ». Corinne De Permentier estime qu’il existe un consensus pour avancer rapidement, notamment au vu des enjeux de respect de l’égalité homme-femme.

Georges Dallemagne, auteur de la proposition cdH, se réjouit aussi de constater qu’il existe une « très large majorité » pour réclamer une loi et insiste, tout comme d’autres députés, sur l’importance de la sécurité juridique et de l’effectivité de cette future législation.

(d’après Belga le soir, une fois)

Alors là , même si la Belgique s'y met ... cestachier !

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Lu aujourd'hui sur mon quotidien régional que le denier du culte faisait l'objet d'une déduction fiscale de 66%.

Une petite recherche sur google pour avoir confirmation ; j'y ai trouvé un site catholique qui invitait les "fidèles" qui souhaitaient faire un don

de 150€, de verser 450€. Sont vraiment des bons comptables les curés.

Cette possibilité de déduction fiscale date de 2005. J'ai pas souvenir qu'il y ait du tapage sur le sujet.

C'était pour faire plaisir à Bernadette sans doute (Bernadette Chirac bien sûr notre célèbre dévôte).

Suis pas sûr que Marc M va sortir le chéquier.

Modifié par kerguel
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Lu aujourd'hui sur mon quotidien régional que le dernier du culte faisait l'objet d'une déduction fiscale de 66%.

Une petite recherche sur google pour avoir confirmation ; j'y ai trouvé un site catholique qui invitait les "fidèles" qui souhaitaient faire un don

de 150€, de verser 450€. Sont vraiment des bons comptables les curés.

Cette possibilité de déduction fiscale date de 2005. J'ai pas souvenir qu'il y ait du tapage sur le sujet.

C'était pour faire plaisir à Bernadette sans doute (Bernadette Chirac bien sûr notre célèbre dévôte).

Suis pas sûr que Marc M va sortir le chéquier.

Non au contraire .....

Et le dernier du culte , il porte une lanterne rouge ? !

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Maintenant les turbans ....!

Rue 89

(De Delhi) Tandis que des membres de la communauté sikhe sont toujours sans papiers en France, le gouvernement indien a renouvelé sa demande de lever l'interdiction de porter le turban sur les photos d'identité.

L'Inde aurait trouvé un nouvel argument pour faire lever l'interdiction du port du turban sikh sur les photos d'identité de cette communauté religieuse vivant en France. Selon elle, les autorités françaises enregistreraient des informations inexactes en procédant ainsi, rapporte The Times of India.

En effet, pour Preneet Kaur, secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères :

« La France prend des photos et des empreintes digitales comme des marqueurs d'identité. Or, si les Sikhs sont photographiés sans turban, alors elle enregistre des données inexactes car normalement un Sikh porte toujours un turban. »

Tandis que cette question est actuellement étudiée par le gouvernement français, la secrétaire d'Etat indienne confie avoir bon espoir qu'elle soit résolue très prochainement. Selon elle, la visite en France en juillet dernier du Premier ministre indien, Manmohan Singh, lui-même sikh, constitue un « message fort, » prouvant que la France n'est pas hostile au turban.

Mann Shingara Singh, président de l'ONG United Sikhs en France, ne partage néanmoins pas l'enthousiasme affiché par la secrétaire d'Etat. Contacté par téléphone, c'est avec des rires ironiques et de longs soupirs qu'il réagit :

« C'est comme d'habitude. Vous savez, ce n'est pas la première fois que l'on reçoit ce genre de communiqué. Si c'est réussi par le gouvernement indien, très bien, mais pour être honnête, nous ne comptons plus sur la politique. »

Il est vrai que toutes les tentatives par les Sikhs en France, pourtant appuyées par le gouvernement indien ainsi que la diaspora indienne, ont jusqu'à présent échoué. Ils tentent en vain de convaincre Paris de modifier les nouvelles normes relatives aux photographies sur les documents français d'identité (passeports, cartes d'identité, permis de conduire), introduites dans la loi en 2005.

« Je suis chauffeur de taxi à Paris, de nationalité française et d'origine indienne. Pourtant je suis dépourvu d'identité. »

Le président de United Sikhs avoue ne plus être en possession de son permis de conduire depuis 2004, mais continue d'exercer son métier malgré tout :

« Si je croise des policiers et qu'ils m'arrêtent, eh bien ils me donnent une amende et je la paie. Il faut bien continuer à travailler. »

La loi votée par le Parlement français le 15 mars 2004 interdit le port de tenues, signes ou symboles qui manifestent ostensiblement une appartenance religieuse dans les lieux publics. Dès lors, des élèves sikhs portant le turban ont été exclus d'établissements scolaires publics tandis que plusieurs adultes sont actuellement en procès pour pouvoir garder leur turban sur leurs papiers.

Mann Shingara Singh explique :

« La communauté sikhe, qui compte de 10 000 à 11 000 membres en France, vit cette loi comme une entrave profonde à la pratique de sa religion. En effet, tout comme le Kesh (les cheveux non coupés et la barbe) ou le Kirpan (poignard traditionnel), le turban est l'un des cinq attributs que doit obligatoirement porter un homme de cette religion, sans jamais s'en défaire. Pour eux, l'enlever [serait comme] renoncer au principe de laïcité pour un Français républicain. »

C'est en effet dans la conception même de ce principe que réside le nœud du problème. Car tandis qu'en Inde, la laïcité se définit comme une neutralité de l'Etat et donc comme une acceptation de la liberté religieuse, l'Etat français voit en elle le droit de limiter cette liberté au nom de l'égalité devant la loi.

C'est donc le statu quo au niveau politique. Les requêtes de la communauté sikhe ont jusqu'ici été ignorées par Paris. La France n'apparaît pour le moment pas prête à repenser sa définition de la laïcité, même si c'est le géant et partenaire indien, gouverné par un homme au turban bleu, qui le lui demande.

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Seul le mariage religieux existe :Des Libanais veulent pouvoir se marier à la mairie

Des jeunes filles habillées de robes de mariées ou de tailleurs blancs, accompagnées de jeunes hommes en costume, ont investi la place de l'Etoile à Beyrouth jeudi pour une manifestation festive appelant à l'autorisation du mariage civil. Au Liban, seuls les mariages religieux sont permis.

A l'appel de l'association Chaml (Jeunes citoyens libanais non sectaires et non violents), des couples de « mariés » ont manifesté en chantant et en dansant pour l'adoption d'une loi autorisant le mariage civil au Liban. Ces couples ont échangé symboliquement leurs vœux au centre-ville, place de l'Etoile, devant le député Ghassan Moukheiber.

Les manifestants ont également transmis au secrétariat du Parlement un document dans lequel ils demandent :

« La loi sur le code de statut personnel civil doit sortir enfin des tiroirs et qu'elle soit débattue en vue de son adoption. »

La société civile libanaise organise régulièrement des manifestations et événements pour réclamer une loi autorisant le mariage civil dans le pays.

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Invité Gnafron 1er

Pédophilie/Italie : la honte des évêques AFP

(Commentaires perso : et Si au lieu de geindre , ils les dénoçaient ouvertement afin qu'ils aillent en taule ?)

Les évêques italiens ont exprimé lundi leur "honte" et leur "douleur" face aux scandales de pédophilie qui ont secoué l'Eglise catholique ces dernières semaines et se disent solidaires des victimes d'abus.

Evoquant "une douleur profonde et une honte impossible à effacer", le cardinal Angelo Bagnasco, président de la Conférence épiscopale italienne (CEI), a assuré que les évêques se joignaient au pape pour faire part de leur "regret et (leur) proximité" à ceux qui ont été trahis et dont l'enfance a été "violée".

"Il n'y a pas de doute, la pédophilie est toujours quelque chose d'aberrant, mais si elle est commise par une personne consacrée (un prêtre, ndlr), elle revêt une gravité morale encore supérieure", a déclaré le cardinal au cours de la réunion du Conseil permanent de la CEI.

Mgr Bagnasco a assuré que l'Eglise italienne "avait accru les efforts en ce qui concerne l'éducation des candidats au sacerdoce (...) et la vigilance pour empêcher des situations et des faits incompatibles avec le choix de Dieu".

Rappelant que la pédophilie n'est pas propre à l'Eglise catholique, mais semble être "tragiquement présente" dans divers milieux, Mgr Bagnasco a affirmé que "tout le monde devait s'interroger (...) sur une culture qui propage comme bons et séduisants des comportements fondés sur des désirs de l'individu".

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Rappelant que la pédophilie n'est pas propre à l'Eglise catholique, mais semble être "tragiquement présente" dans divers milieux, Mgr Bagnasco a affirmé que "tout le monde devait s'interroger (...) sur une culture qui propage comme bons et séduisants des comportements fondés sur des désirs de l'individu".

il a vraiment tout compris celui-là !! lotrela

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Invité Gnafron 1er

Vont-ils (ou elles ) comprendre l'humour ?

AFP

L’artiste de rue anglais Nick Walker, spécialiste du graffiti au pochoir, a réalisé une fresque de quatre mètres de long sur un mur de Paris mettant en scène six femmes portant le voile et représentées en train de danser le french cancan

. Réalisée sans autorisation jeudi soir dans une rue de Paris à deux pas de la place de la République, l’oeuvre intitulée par l’artiste “Corancan”, était toujours visible dimanche. Un bureau de vote se trouvait à quelques dizaines de mètres, a constaté un journaliste de l’AFP. Sur cette fresque, les femmes portent un voile noir ne laissant à découvert que leurs yeux, mais soulèvent leur jupe et lèvent la jambe, dévoilant jarretières et froufrous aux couleurs du drapeau français, à la manière des danseuses de french cancan

. Nick Walker a été invité à Paris par le “Studio 55″, galerie spécialisée dans l’art urbain.

“Entre les deux tours des élections régionales qui ont connu une forte progression du vote frontiste, un artiste anglais met les pieds dans le plat français”, souligne le Studio 55 qui a publié une vidéo de la réalisation de l’oeuvre sur la plate-forme Dailymotion. (JDO)

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Invité Gnafron 1er

magnifique, 2 mn de rigolade , merci Majesté !

Objectivement , et sans bobard , justement je m'interrogeais lorsqu'une tourterelle était invité par un tourtereau pour manger au resto ... , j'ai la réponse maintenant.

Mais je ne sais pas encore si c'est une vidéo "humour " ou pas .

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Fatoumata Sidibé, députée bruxelloise FDF, ex-« Ni putes ni soumises »

« Je déclare que le voile est le symbole d’un projet politique totalitaire »

mardi 23 mars 2010, 10:30

Moi, citoyenne belge de culture musulmane, originaire du Mali, un pays musulman à 90 % où la religion influence fortement les lois, règlements et différents aspects de la vie quotidienne, où certaines coutumes et traditions rétrogrades perpétuent les discriminations à l’égard des femmes, où plus de 80 % des filles sont victimes des mutilations génitales, où la polygamie est légale, où les mariages forcés sont imposés aux jeunes filles, où en matière d’héritage, les femmes sont frappées du sceau de l’inégalité, où, dès le plus jeune âge, on apprend aux petites filles que leur destin est de souffrir, de se résigner, de se soumettre, de se marier, de faire des enfants et de faire honneur à la famille,

Moi, qui suis issue d’un pays où l’intégrisme islamique gagne du terrain avec comme corollaire la prolifération du port du voile, où les avancées législatives en matière de droits des femmes se heurtent aux pressions des autorités musulmanes, au nom de la paix sociale, de l’unité nationale, de la préservation des valeurs sociales et religieuses maliennes qui confinent les femmes dans des statuts de citoyennes de seconde zone,

Moi qui, comme tant de consœurs, ai eu la chance de m’épanouir et me réaliser en Belgique dans un espace de liberté que les femmes ont conquis par de longues et âpres luttes,

Je déclare que l’immixtion du religieux dans l’espace public et le détricotage de la neutralité de l’Etat n’augurent rien de bon pour la démocratie et les droits des femmes.

Je déclare que l’émancipation n’est pas un luxe réservé aux femmes occidentales, que l’égalité hommes/femmes n’est pas négociable, ajustable, en fonction des demandes, revendications de revendications culturelles, religieuses ou supposées comme telles émanant d’individus, de communautés, de groupes.

Je déclare que de nombreuses femmes musulmanes dans le monde relient combat contre les intégrismes religieux et promotion de la laïcité. Elles savent que certains laxismes sonnent comme des glas pour elles qui luttent et risquent leur vie en Egypte, en Somalie, en Inde, en Iran, au Soudan, au Pakistan au Maroc, en Algérie, et ailleurs contre la polygamie, la lapidation, l’enfermement de leurs corps dans des linceuls ambulants, l’imposition du port du voile, la répudiation, l’excision, les crimes d’honneur.

Que dire à celles qui ont pris le chemin de l’exil et qui voient se reproduire sous leurs yeux un système de justice à la carte où, selon que vous soyez de telle ou telle confession, religion ou philosophie, les jugements de la cour vous rendent blancs ou noirs ?

Peut-on, au nom de la tolérance, du relativisme culturel, du multiculturalisme, de la liberté de religion, demander à certaines femmes vivant dans nos pays d’avoir moins de droits ?

Je déclare que le voile est le symbole de l’instrumentalisation des femmes au nom de la religion, d’un projet politique totalitaire qui sème la terreur dans certains pays, de la tentative d’asservissement, de mise sous tutelle de la femme, de la séparation des espaces féminins et masculins, une supercherie des fondamentalistes musulmans pour réaffirmer leur domination sur le corps des femmes et leurs libertés. Dans certains quartiers, les filles n’ont d’autre choix que de se voiler ou de faire attention à leur tenue vestimentaire pour ne pas subir les injures et le mépris de certains mâles auxquels on a appris que la vertu d’une femme est proportionnelle à la quantité de tissu qui la recouvre.

Je déclare qu’on atteint le summum de l’endoctrinement quand l’esclave intègre ses chaînes comme normales, lorsqu’elle ne peut plus penser autrement que par le prisme d’une société qui la convainc depuis la plus tendre enfance à travers les traditions, les cours de religion, les prêches que sa nature de femme la prédispose à occuper une position d’infériorité, de soumission. C’est cette même violence symbolique qui pousse les mères à infliger à leurs filles les violences comme le mariage forcé, les mutilations sexuelles génitales dont elles ont été elles-mêmes victimes.

Je déclare que toutes les femmes voilées ne sont pas soumises et que toutes les femmes qui ont les cheveux au vent ne sont pas libres et émancipées, mais que les filles et femmes, qui portent le voile par attachement culturel, conviction religieuse, ou parce qu’on leur interdit de le porter, n’enlèvent rien à la signification politique de ce voile sacralisé par les islamistes et imposé via un prosélytisme de procurateurs autoproclamés de Dieu. Celles qui avancent l’argument de « c’est mon choix » devraient avoir la décence et la « sororité » de reconnaître l’oppression de celles qui n’ont pas le choix.

Je déclare qu’en Europe, les offensives des islamistes contre les droits des femmes renforcent celles des partis conservateurs, de l’Eglise catholique, des lobbies religieux très puissamment implantés dans les nouveaux Etats membres et qui s’emploient à faire reculer les droits des femmes au sein de l’Union européenne. Leur mot d’ordre : revenir à l’ordre archaïque de hiérarchie patriarcale qui renvoie les femmes aux devoirs que leur dicte leur nature, à leurs sacro-saintes obligations terrestres dictées par les hommes assistés par Dieu le père, le fils et les Saints Esprits sexistes. Pas d’amen ! C’est là que la société doit intervenir au nom des droits humains !

Je déclare que les conquêtes féministes en Occident n’ont pas été arrêtées dans leur marche pour l’émancipation par la peur de stigmatiser les Eglises opposées aux droits et aux libertés des femmes. Pourquoi l’islam serait-il soustrait à cette remise en question ? Ce qui est bon pour une religion ne le serait donc pas pour une autre ?

Je déclare que la majorité des citoyens de culture musulmane vivent leur foi, quand ils en ont, en toute tranquillité, qu’ils n’en peuvent plus d’être essentialisés, considérés comme un groupe homogène dont chacun des membres partage la même façon de penser, de vivre, assignés à résidence dans « une communauté » par une minorité vagissante qui leur impose un terrorisme psychologique, parle en leur nom et qui bénéficie d’un surcroît de respectabilité de la part de certaines tribunes médiatiques et politiques.

Je déclare que le silence des intellectuels musulmans modérés est aussi assourdissant que la clameur des relativistes, des obscurantismes et d’une certaine classe politique qui se soucie plus de calculs électoralistes et d’enjeux de pouvoirs que de proposer un véritable projet démocratique de vivre ensemble.

Je déclare que la peur d’être qualifié de raciste a muselé bien des consciences, que nous sommes prêts à accepter l’intolérable par peur d’être taxés d’intolérance. Que d’abandons en reculades, nos valeurs démocratiques régressent.

Je déclare qu’il y a urgence à légiférer. A l’Etat de jouer son rôle de garant et de gardien des libertés fondamentales, où la liberté de croyance ou de non-croyance est garantie dans le respect des valeurs fondamentales grâce à un cadre juridique qui pose des balises. Je lance un appel aux progressistes de tous les partis, pour qu’ils unissent leurs voix pour ne pas reporter, dans les enceintes des parlements, les dix propositions déposées par le Mouvement Réformateur concernant le port de signes convictionnels – outre l’interdiction du port ostentatoire de signes d’appartenance dans les écoles relevant de la compétence du réseau officiel, les propositions déposées par le MR visent notamment à interdire aux parlementaires exerçant une fonction de représentation, personnes en charge de fonctions exécutives et prestataires de service public, préposés au guichet ou non, le port ostentatoire de signes convictionnels.

Faire de la politique, c’est faire des choix. Il est minuit moins cinq ! Il ne s’agit pas d’une offensive contre les religions. Il s’agit de remettre les religions à leur juste place c’est-à-dire dans la sphère privée, de faire le choix d’une société qui ne se fractionne pas en fonction des particularismes, mais qui s’unit sur des valeurs à vocation universelle.

Fatoumata Sidibé, députée bruxelloise FDF, ex-« Ni putes ni soumises »

Avant d’être élue, l’année dernière, sur la liste FDF, députée bruxelloise, Fatoumata Sidibé était présidente du comité belge de Ni putes ni soumises (NPNS), actif depuis 2006, dont la mission première consiste à « promouvoir l’égalité des droits entre les hommes et les femmes ». Belge d’origine malienne, 46 ans, licenciée en communication et romancière, elle combat depuis longtemps « l’obscurantisme, la loi du silence, la violence faite aux femmes, la misogynie… ». Sa mère l’avait surnommée « poudre de piment ». Avant Ni putes ni soumises, Fathy, comme elle est surnommée, avait travaillé dans une boîte de communication, au Centre du Librex – « elle a l’intelligence et l’autonomie qu’il faut, c’est une femme plurielle qui sait se battre pour ses idées », selon le directeur, Denis Stokkink –, pour Médecins du monde, pour les magazines Demain le monde et Défi Sud… La contraception dans les milieux musulmans conservateurs, les viols qui cachent leur nom, le sexisme à l’école ont toujours été des combats à mener pour Fathy Sidibé. En lançant NPNS, elle déclarait : « Le féminisme est mort, vive le féminisme ! » De l’excision au port du foulard forcé, de l’entrisme

islamique sur les campus aux violences conjugales, « tout est à faire », insistait-elle, rappelant que « la tolérance tue autant que le fanatisme. On ne peut pas tout tolérer au nom de Dieu ou de la Tradition ».

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Invité Gnafron 1er

Fatoumata Sidibé, députée bruxelloise FDF, ex-« Ni putes ni soumises »

« Je déclare que le voile est le symbole d’un projet politique totalitaire »

mardi 23 mars 2010, 10:30

Moi, citoyenne belge de culture musulmane, originaire du Mali, un pays musulman à 90 % où la religion influence fortement les lois, règlements et différents aspects de la vie quotidienne, où certaines coutumes et traditions rétrogrades perpétuent les discriminations à l’égard des femmes, où plus de 80 % des filles sont victimes des mutilations génitales, où la polygamie est légale, où les mariages forcés sont imposés aux jeunes filles, où en matière d’héritage, les femmes sont frappées du sceau de l’inégalité, où, dès le plus jeune âge, on apprend aux petites filles que leur destin est de souffrir, de se résigner, de se soumettre, de se marier, de faire des enfants et de faire honneur à la famille,

Moi, qui suis issue d’un pays où l’intégrisme islamique gagne du terrain avec comme corollaire la prolifération du port du voile, où les avancées législatives en matière de droits des femmes se heurtent aux pressions des autorités musulmanes, au nom de la paix sociale, de l’unité nationale, de la préservation des valeurs sociales et religieuses maliennes qui confinent les femmes dans des statuts de citoyennes de seconde zone,

Moi qui, comme tant de consœurs, ai eu la chance de m’épanouir et me réaliser en Belgique dans un espace de liberté que les femmes ont conquis par de longues et âpres luttes,

Je déclare que l’immixtion du religieux dans l’espace public et le détricotage de la neutralité de l’Etat n’augurent rien de bon pour la démocratie et les droits des femmes.

Je déclare que l’émancipation n’est pas un luxe réservé aux femmes occidentales, que l’égalité hommes/femmes n’est pas négociable, ajustable, en fonction des demandes, revendications de revendications culturelles, religieuses ou supposées comme telles émanant d’individus, de communautés, de groupes.

Je déclare que de nombreuses femmes musulmanes dans le monde relient combat contre les intégrismes religieux et promotion de la laïcité. Elles savent que certains laxismes sonnent comme des glas pour elles qui luttent et risquent leur vie en Egypte, en Somalie, en Inde, en Iran, au Soudan, au Pakistan au Maroc, en Algérie, et ailleurs contre la polygamie, la lapidation, l’enfermement de leurs corps dans des linceuls ambulants, l’imposition du port du voile, la répudiation, l’excision, les crimes d’honneur.

Que dire à celles qui ont pris le chemin de l’exil et qui voient se reproduire sous leurs yeux un système de justice à la carte où, selon que vous soyez de telle ou telle confession, religion ou philosophie, les jugements de la cour vous rendent blancs ou noirs ?

Peut-on, au nom de la tolérance, du relativisme culturel, du multiculturalisme, de la liberté de religion, demander à certaines femmes vivant dans nos pays d’avoir moins de droits ?

Je déclare que le voile est le symbole de l’instrumentalisation des femmes au nom de la religion, d’un projet politique totalitaire qui sème la terreur dans certains pays, de la tentative d’asservissement, de mise sous tutelle de la femme, de la séparation des espaces féminins et masculins, une supercherie des fondamentalistes musulmans pour réaffirmer leur domination sur le corps des femmes et leurs libertés. Dans certains quartiers, les filles n’ont d’autre choix que de se voiler ou de faire attention à leur tenue vestimentaire pour ne pas subir les injures et le mépris de certains mâles auxquels on a appris que la vertu d’une femme est proportionnelle à la quantité de tissu qui la recouvre.

Je déclare qu’on atteint le summum de l’endoctrinement quand l’esclave intègre ses chaînes comme normales, lorsqu’elle ne peut plus penser autrement que par le prisme d’une société qui la convainc depuis la plus tendre enfance à travers les traditions, les cours de religion, les prêches que sa nature de femme la prédispose à occuper une position d’infériorité, de soumission. C’est cette même violence symbolique qui pousse les mères à infliger à leurs filles les violences comme le mariage forcé, les mutilations sexuelles génitales dont elles ont été elles-mêmes victimes.

Je déclare que toutes les femmes voilées ne sont pas soumises et que toutes les femmes qui ont les cheveux au vent ne sont pas libres et émancipées, mais que les filles et femmes, qui portent le voile par attachement culturel, conviction religieuse, ou parce qu’on leur interdit de le porter, n’enlèvent rien à la signification politique de ce voile sacralisé par les islamistes et imposé via un prosélytisme de procurateurs autoproclamés de Dieu. Celles qui avancent l’argument de « c’est mon choix » devraient avoir la décence et la « sororité » de reconnaître l’oppression de celles qui n’ont pas le choix.

Je déclare qu’en Europe, les offensives des islamistes contre les droits des femmes renforcent celles des partis conservateurs, de l’Eglise catholique, des lobbies religieux très puissamment implantés dans les nouveaux Etats membres et qui s’emploient à faire reculer les droits des femmes au sein de l’Union européenne. Leur mot d’ordre : revenir à l’ordre archaïque de hiérarchie patriarcale qui renvoie les femmes aux devoirs que leur dicte leur nature, à leurs sacro-saintes obligations terrestres dictées par les hommes assistés par Dieu le père, le fils et les Saints Esprits sexistes. Pas d’amen ! C’est là que la société doit intervenir au nom des droits humains !

Je déclare que les conquêtes féministes en Occident n’ont pas été arrêtées dans leur marche pour l’émancipation par la peur de stigmatiser les Eglises opposées aux droits et aux libertés des femmes. Pourquoi l’islam serait-il soustrait à cette remise en question ? Ce qui est bon pour une religion ne le serait donc pas pour une autre ?

Je déclare que la majorité des citoyens de culture musulmane vivent leur foi, quand ils en ont, en toute tranquillité, qu’ils n’en peuvent plus d’être essentialisés, considérés comme un groupe homogène dont chacun des membres partage la même façon de penser, de vivre, assignés à résidence dans « une communauté » par une minorité vagissante qui leur impose un terrorisme psychologique, parle en leur nom et qui bénéficie d’un surcroît de respectabilité de la part de certaines tribunes médiatiques et politiques.

Je déclare que le silence des intellectuels musulmans modérés est aussi assourdissant que la clameur des relativistes, des obscurantismes et d’une certaine classe politique qui se soucie plus de calculs électoralistes et d’enjeux de pouvoirs que de proposer un véritable projet démocratique de vivre ensemble.

Je déclare que la peur d’être qualifié de raciste a muselé bien des consciences, que nous sommes prêts à accepter l’intolérable par peur d’être taxés d’intolérance. Que d’abandons en reculades, nos valeurs démocratiques régressent.

Je déclare qu’il y a urgence à légiférer. A l’Etat de jouer son rôle de garant et de gardien des libertés fondamentales, où la liberté de croyance ou de non-croyance est garantie dans le respect des valeurs fondamentales grâce à un cadre juridique qui pose des balises. Je lance un appel aux progressistes de tous les partis, pour qu’ils unissent leurs voix pour ne pas reporter, dans les enceintes des parlements, les dix propositions déposées par le Mouvement Réformateur concernant le port de signes convictionnels – outre l’interdiction du port ostentatoire de signes d’appartenance dans les écoles relevant de la compétence du réseau officiel, les propositions déposées par le MR visent notamment à interdire aux parlementaires exerçant une fonction de représentation, personnes en charge de fonctions exécutives et prestataires de service public, préposés au guichet ou non, le port ostentatoire de signes convictionnels.

Faire de la politique, c’est faire des choix. Il est minuit moins cinq ! Il ne s’agit pas d’une offensive contre les religions. Il s’agit de remettre les religions à leur juste place c’est-à-dire dans la sphère privée, de faire le choix d’une société qui ne se fractionne pas en fonction des particularismes, mais qui s’unit sur des valeurs à vocation universelle.

Fatoumata Sidibé, députée bruxelloise FDF, ex-« Ni putes ni soumises »

Avant d’être élue, l’année dernière, sur la liste FDF, députée bruxelloise, Fatoumata Sidibé était présidente du comité belge de Ni putes ni soumises (NPNS), actif depuis 2006, dont la mission première consiste à « promouvoir l’égalité des droits entre les hommes et les femmes ». Belge d’origine malienne, 46 ans, licenciée en communication et romancière, elle combat depuis longtemps « l’obscurantisme, la loi du silence, la violence faite aux femmes, la misogynie… ». Sa mère l’avait surnommée « poudre de piment ». Avant Ni putes ni soumises, Fathy, comme elle est surnommée, avait travaillé dans une boîte de communication, au Centre du Librex – « elle a l’intelligence et l’autonomie qu’il faut, c’est une femme plurielle qui sait se battre pour ses idées », selon le directeur, Denis Stokkink –, pour Médecins du monde, pour les magazines Demain le monde et Défi Sud… La contraception dans les milieux musulmans conservateurs, les viols qui cachent leur nom, le sexisme à l’école ont toujours été des combats à mener pour Fathy Sidibé. En lançant NPNS, elle déclarait : « Le féminisme est mort, vive le féminisme ! » De l’excision au port du foulard forcé, de l’entrisme

islamique sur les campus aux violences conjugales, « tout est à faire », insistait-elle, rappelant que « la tolérance tue autant que le fanatisme. On ne peut pas tout tolérer au nom de Dieu ou de la Tradition ».

lotrela

Elle est en colère on dirait ?ou alors elle est raciste ?

D'ailleurs , on excise tjrs en France pour cause religieuse .

Modifié par Gnafron 1er
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