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Le Web des Cheminots

Religion : Danger ou pas !


Invité Gnafron 1er

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"Extrait :

" la dégradation de la situation économique du pays est à 94,7% due aux femmes à burqa.............."

Le motif d'ue éventuelle loi est le respect de la laicité .....donc même avec ironie ,, ce site fait fausse route sur son argumentation .Mais , ils rejoingnent Jean Marie Le Pen .... !

oupq, désolé, j'avais mal lu l'article que je cite.

comme quoi il faut être vigilant, ce serais dommage de nuire à notre si laique président

Certain islamisites osent même prétendre que les curés, euh les imams, sont supérieures aux instituteurs ! ils ne doutent de rien ces défenseurs du moyen-age...

encore un lien de propagande islamiste à dénoncer:

http://www.lepost.fr/article/2008/02/25/11...ore-frappe.html

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oupq, désolé, j'avais mal lu l'article que je cite.

comme quoi il faut être vigilant, ce serais dommage de nuire à notre si laique président

Certain islamisites osent même prétendre que les curés, euh les imams, sont supérieures aux instituteurs ! ils ne doutent de rien ces défenseurs du moyen-age...

encore un lien de propagande islamiste à dénoncer:

http://www.lepost.fr/article/2008/02/25/11...ore-frappe.html

A ce propos (en rouge) effectivement il y a de quoi dire .On me répondra que nous avons les scouts qui sont en perte de vitesse contrairement à ce que tu évoques .

Récit d'une expérience personnel :

Présidence d'une audience prud'hommal .La séance s'ouvre .Au 2eme dossier , un citoyen se léve et pose sur sa tête une Kippa .Je l'informe qu'il est dans un lieu républicain et laic .Il m'engueule .Je refuse de traiter le dossier en invoquant l'incident de séance qu'il a provoqué en posant sur sa tête ce signe religieux

Je passe ce que j'ai entendu ....des référence , bien entendu à mon racisme , ma xénophobie et autres propos sur la shoa.

Je l'invite à se présenter sans kippa ...il refuse !Je renvoie donc le dossier.

Pensant l'affaire close et comptant la faire revenir rapidement devant le conseil ....je dors tranquille .

Après la séance , j'ai expliqué aux autres conseillers qu'on ne pouvait admettre car ensuite comment allions nous gérer si qlq'un venait jurer sur la bible , ou avec un autre signe religieu type burqa...Réponse : "on verra"!

Les employeurs se gaussaient car ils étaient contents de voir un syndicaliste en difficulté .

Ils ont moins rigolé lorsqu'ils ont lu les courriers des association religieuses .

L'affaire est montée assez haut....La loi leur a été rappellé...mais les propos sont gravés à tout jamais!

Même les employeurs , qui rigolaient jaune ensuite , n'en revenaient pas.

Par conséquent , rapidement , réunion au sommet et nous avons pris diverses mesures et sommes tombés d'accord de rappeller la loi par affichage dans le conseil et en début de séance .

D'autres tentatives ont eu lieu de vouloir imposer un signe religieux .Au point que des collègues ne voulaient présider les audiences ...par crainte de représailles . helpsoso

Certe , certains diront : combien de cas ? sauf que si tu laisses faire ...tu ne rends plus la justice (pour cet exemple )

dans de bonnes conditions.On commence ainsi

Tout cela pour dire , que dès que les religeux peuvent prendre le dessus....ils ne se gênent pas !

Une religion, c'est comme un fauve soit , tu la domines et tu es peinard soit le "fauve" te bouffe ! quand même !

Pour le site que tu cite:

http://www.lepost.fr/article/2008/02/25/11...ore-frappe.html

Effectivement , le président français est chanoine mais aussi nomme certains religieux en Alsace...helpsoso!

Comme quoi , malgré les batailles depuis 1 siècle ...Il y a encore du chemin.............sur le chemin de la laicité , re !

Modifié par MarcM
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La laicité , rien que la laicité .....

Quand je pense qu'on a réussi à chasser , avec du mal , les intégristes cathos et les idées moyennageuses

Voilà ce que les intégristes enseignent !je lis des choses affolantes .

Alors , faut-il encore laissier des intégristes agir ???

CONSEIL EUROPÉEN DES FATWAS ET DE LA RECHERCHE

RECUEIL DE FATWAS

(Avis juridiques concernant les musulmans d'Europe)

Préface de Tariq Ramadan

« La mission du Conseil, telle que la présente dans son introduction son président, le shaykh Yûsuf al-Qarajâwî, était d'abord de combler cette lacune et d'offrir, au cours d'une élaboration pensée de façon permanente, une série de prescriptions juridiques à même d'aider les musulmans d'Occident et d'Europe. »

L'enjeu, soyons clairs, consiste à se donner les moyens de « rester musulmans » tout en vivant dans de nouveaux environnements, fondés sur des rapports au religieux, à la pratique et à la morale, que les musulmans ne connaissaient pas dans leur pays d'origine. Parlera-t-on toujours de droit et de jurisprudence en situation de minorité (figh al-agaliyyât) ? Pour des citoyens européens de confession musulmane, à quoi donc fait référence cette notion de minorité dans la relation que les individus ou les communautés entretiennent avec l'État de droit de leur société respective? 1’« intégration légale » des musulmans peut-elle se suffire d'adaptations, parfois bien alambiquées, ou suppose-t-elle une réflexion profonde qui les sorte et les libère de la logique de l'adaptation pointilleuse « pour se protéger », afin de les ouvrir à de nouveaux horizons de la contribution et du renouveau ? Ce qui aujourd'hui est utile ne doit pas nous tromper sur les défis, ô combien immenses, que l'avenir, et souvent déjà le présent, nous invite à considérer. »

Pour vivre , "ailleurs ' il semble nécéssaire , d'avoir des prescription religieuses ...

Présentation du conseil par Yusuf AL-QARADAWI Président du Conseil européen des fatwas et de la recherche

On dénombre ainsi, en Europe occidentale et orientale, environ 50 millions de musulmans.

La mise en place de ce Conseil s'est avérée nécessaire au vu de l'existence de certains prétendus savants, qui se sont autoproclamés habilités à dispenser des fatwas, prononçant ainsi des fatwas erronées et trompeuses, autorisant les musulmans à voler les biens des pays qui les ont accueillis, leur offrant le gîte et le couvert, ainsi que la sécurité, et à s'en accaparer par tous les moyens : le détournement, la falsification, la fraude... Selon eux, les musulmans ne doivent acquitter ni la contre­partie de ce qu'ils consomment ni le salaire de ceux qu'ils emploient ; ils peuvent mentir pour bénéficier d'aides auxquelles ils n'ont pas droit, tromper et trahir lorsqu'ils le peuvent les partenaires avec lesquels ils traitent. Ceux-là constituent une marque infamante sur le front de l'islam et sont assimilables à certains, parmi « les gens du livre », qui se sont accaparés illicitement les biens d'autrui en disant, tel qu'il est dit dans le Coran : « [...] Nous ne sommes tenus à aucun scrupule à l'égard de ces gens. [...] » Coran 3/75

IL est admis que "certains " préconisent (ou ont préconisés) d'agir dans l'illégalité

Les recommandations du conseil lors de ses 2eme et 3eme sessions ordinaires

« 1. La préservation de leur identité musulmane, de leur personnalité religieuse, et ce par le respect des prescriptions divines relatives à ce qui a été prescrit ou interdit, au licite et à l'illicite, en ce qui concerne tant les pratiques rituelles, les relations, les mœurs, les aliments et les boissons que les relations familiales et sociales.

2. Le Conseil recommande aux musulmans résidant en Europe d'oeuvrer inlassablement en vue d'obtenir des pays dans lesquels ils résident la reconnaissance de l'islam en tant que religion, ainsi que l'exercice - pour les musulmans en tant que minorité religieuse à l'instar des autres minorités religieuses - de tous leurs droits relatifs à l'organisation de leur statut personnel en matière de mariage, de divorce et d'héritage.

Le Conseil invite les pays européens à reconnaître la religion musulmane et les droits des musulmans, à l'instar de ce qui a été entrepris par certains d'entre eux tels la Belgique, l'Espagne, le Danemark et la Hongrie.

À cet effet, le Conseil recommande aux musulmans la création d'institutions légales afin de prendre en charge l'organisation de leur statut personnel, conformément aux dispositions de la législation islamique et dans le respect des lois en vigueur. »

« 3. Le Conseil recommande à nos frères musulmans le respect de ce qui est prescrit par le Livre et la Sunna, et le consensus des théologiens de l'islam, en matière de respect des dispositions du pacte d'al-amân (sécurité) et des conditions de résidence et de citoyenneté dans les pays européens dans lesquels ils vivent - le Conseil insistant particulièrement sur ledit respect. Les obligations les plus importantes sont :

• de considérer intangibles les vies des non­musulmans, leurs biens, leur honneur (...)

• de respecter les lois du pays d'accueil qui les protège et leur permet de bénéficier de toutes les garanties d'une vie digne. En effet, Dieu le Très-Haut dit: « La récompense du bien est­elle autre chose que le bien ? » Coran 55/60 (...) »

• de s'éloigner de toutes sortes de gains illicites, parmi lesquels les démarches faites par certains musulmans pour l'obtention d'aide sociale alors qu'ils exercent une activité salariée ou disposent d'un commerce. »

Pourquoi le rappeller ?

• de déployer tous les efforts nécessaires afin d'assurer aux nouvelles générations - garçons et filles - une éducation musulmane moderne, et ce à travers la création d'écoles, de centres d'éducation et de loisirs en vue de les prémunir contre la délinquance. »

Vivre entre soi en vase clos ?

Fatwa n° 4

« La question de la condamnation à mort de l'apostat relève des prérogatives de l'État. C'est au gouvernement islamique qu'il appartient d'en juger, et les institutions, associations ou centres islamiques ne sont pas concernés par cette question. (....)

Que vient faire un GVT islamique dans un conseil pour les musulman d'europe?

Certains parmi les pieux anciens et les oulémas sont même allés jusqu'à déclarer que tout apostat n'est pas passible de mort, mais seulement celui qui affiche son apostasie, appelle à la discorde ou à nuire à Dieu et à Son Envoyé ainsi qu'aux croyants. Sa mort vise en fait à protéger la religion et la société de ses méfaits et ne constitue pas un déni de la liberté de conscience vu le tort qu'il fait à autrui en piétinant leurs droits. Les intérêts de l'État et de la société prévalent sur l'intérêt individuel personnel. Cette question est en vérité similaire à ce que les lois modernes qualifient de « haute trahison », à la suite des préjudices qui en découlent pour l'intérêt général. (...)»

Je vous laisse découvrir la suite concernant les femmes ...moyennage !

Fatwa n° 6

« Nous sommes tenus de convaincre la musulmane que le fait de se couvrir la tête est une obligation religieuse (...)

Dieu a prescrit cette tenue pudique et ce foulard pour la musulmane afin qu'elle puisse être distinguée de la non-musulmane et de la non-pratiquante. Ainsi, par sa tenue, elle donnera l'image de la femme sérieuse et honnête, qui n'est ni une séductrice ni une tentatrice, qui ne fait de tort ni par ses paroles ni par un mouvement quelconque de son corps, afin que celui dont le coeur est pervers ne puisse pas être tenté par elle. (...)

Bien que le port du khimâr, du couvre-chef ou du hijab comme on l'appelle de nos jours soit une obligation pour la musulmane, il n'en reste pas moins qu'il n'est qu'une application de la religion et non l'un de ses fondements. (...) »

FATWAS RELATIVES AU MARIAGE ET DIVORCE

On trouvera dans cette section des réponses de première importance concernant le rapport que les musulmans doivent entre­tenir avec la législation des pays européens. Beaucoup de musulmans, sous prétexte que les pays occidentaux de sont pas islamiques se permettent des écarts avec les lois et trichent dans de nombreux domaines, dont celui du mariage dont il est question ici. « Mariages arrangés », « mariages blancs », tout devient bon pour obtenir des papiers et légaliser une situation par des voies illégales. Le Conseil rappelle ici le caractère absolument illicites de ces pratiques.

Fatwa no 21

Question :

La femme a-t-elle besoin de la permission de son époux si elle désire raccourcir la longueur de ses cheveux ?

Réponse :

La femme peut se raccourcir les cheveux de façon imperceptible pour le mari, (...)

Il existe par ailleurs un autre type de raccourcissement qui modifie l'aspect de la femme et son image pour son mari. (...) Cette coupe visible nécessite une entente préalable entre les époux avant son exécution, afin que perdure l'affection et la concorde entre eux.

Fatwa n° 24

« Cela relève de l'honnêteté dans la vie com­mune prescrite par Dieu et du principe d'équité dans la répartition des droits et devoirs entre les parties.

« Les femmes ont des droits équivalents à leurs devoirs, en toute honnêteté. Les hommes sont à un degré au-dessus des femmes. » Coran 2/228 »

Fatwa n° 26

« Les hommes ont autorité sur les femmes en raison [des qualités] par lesquelles Dieu vous a élevés les uns par rapport aux autres et en raison des dépenses qu'ils prélèvent sur leurs biens [au profit de leurs femmes]. » Coran 4/34

Fatwa n° 32

L'époux a le droit d'interdire à sa femme de rendre visite à une femme précise, musulmane ou non, s'il craint que cela porte tort ou préjudice à son épouse ou à ses enfants, ou à sa vie conjugale.

C'est l'homme en effet qui a autorité sur la famille et qui est son gardien. Il est donc tenu de préserver celle-ci de tout ce qui l'exposerait à un danger, qu'il soit réel ou supposé, l'une des règles de base étant que la prévention du mal doit prévaloir sur l'intérêt éventuel.

Pour notre part, nous recommandons à l'homme de ne pas abuser de son autorité.

Fatwa n° 3 7

Il est rapporté dans le hadith authentique que le Prophète (4) a dit « La pudeur fait partie de la foi. » « La pudeur ne peut rapporter que du bien. »

Cette pudeur est une qualité louable aussi bien chez les hommes que chez les femmes, mais elle l'est encore davantage chez la femme et plus conforme à sa nature féminine. C'est cela qui fait que, généralement, elle ne prend pas l'initiative d'adresser la parole aux hommes qui lui sont étrangers, (...) L'important est de savoir que la Loi n'interdit pas qu'une femme parle avec un homme ou vice-versa en cas de besoin, si les propos restent dans les limites du licite et conformes à ses normes.

Fatwa no 38

Question :

Est-il permis à la femme de monter à bicyclette ? Qu'en est-il pour les filles vierges, avec le risque qu'elles perdent leur virginité ?

Réponse :

Monter à bicyclette ou conduire une voiture ou prendre tout autre moyen de locomotion est un droit reconnu en soi (...)

Quant à l'éventualité de la perte de la virgi­nité pour les filles vierges, il est nécessaire d'étudier la question et de connaître le degré de risque.

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Peut être la Grande Bretagne a-t-elle raizon de ne rien interdire ...

Non , la GB n'interdit rien .Au contraire , elle autorise ...les tribunaux islamiques depuis 2007 !

Qui visent à appliquer les fatwas édicquées ailleurs .

La Grande-Bretagne compte au moins 85 tribunaux de la charia islamique

Ce nombre sidérant est 17 fois plus élevé que les chiffres précédemment admis.

Ces tribunaux, qui siègent principalement dans des mosquées, règlent des différends financiers et familiaux en fonction de principes religieux. Ils rendent des décisions qui peuvent être pleinement exécutoires si elles sont entérinées par des cours de justice nationales.

Selon un rapport de Civitas, un think tank indépendant, ces tribunaux fonctionnent à l’abri du regard d’observateurs indépendants, et leurs décisions sont susceptibles d’être injustes pour les femmes et fondées sur l’intimidation.

Les commentateurs qui se penchent sur l’influence de la charia ne comptent souvent que les cinq tribunaux de Londres, Manchester, Bradford, Birmingham et Nuneaton qui sont gérés par le Tribunal d’arbitrage musulman, un organisme dont les décisions sont exécutées par l’intermédiaire des tribunaux en vertu de la Loi sur l’arbitrage de 1996.

Selon l’étude effectuée par l’universitaire et spécialiste de l’islam Denis MacEoin, il y aurait au moins 85 tribunaux opérationnels.

La controverse entourant la propagation de la charia s’est accrue depuis que son application a été soutenue l’année dernière par l’archevêque de Canterbury, Dr Rowan Williams, et lord Phillips, le chef de la magistrature qui a démissionné en octobre dernier. Dr Williams a reconnu que le rôle de la charia semblait « inévitable » et lord Phillips a déclaré qu’il n’y avait aucune raison pour que les décisions fondées sur les principes de la charia ne soient pas reconnues par les tribunaux nationaux.

Le rapport de Civitas affirme toutefois que les fatwas (ou décrets religieux) publiés sur les sites Internet des mosquées britanniques témoignent des principes qui sont mis en application par les tribunaux de la charia. Selon M. MacEoin : « Nous trouvons des décisions qui conseillent des actions illégales et d’autres qui vont à l’encontre des normes en matière de droits humains appliquées par les tribunaux britanniques. »

L’étude cite l’exemple d’une tribunal qui a statué qu’aucune femme musulmane ne peut épouser un non-musulman sauf s’il se convertit à l’islam et que les enfants d’une femme qui le ferait lui seront enlevés jusqu’à ce qu’elle se marie avec un musulman. D’autres décisions, selon le rapport, approuvent les mariages polygames et entérinent le devoir de la femme d’avoir des rapports sexuels avec son mari sur demande.

Le rapport ajoute: «Le fait que tant de décisions en vertu de la charia en Grande-Bretagne concernent des affaires de divorce et de garde d’enfants est particulièrement préoccupant, car la charia n’accorde pas des droits égaux à la femme et ne contient pas l’obligation spécifique de tenir compte de l’intérêt supérieur de l’enfant, qui est fondamentale dans le droit de la famille du Royaume-Uni.»

«En vertu de la charia, un enfant de sexe masculin appartient au père après l’âge de sept ans, quelles que soient les circonstances. »

Le rapport dit : «Les tribunaux de la charia en Grande-Bretagne rendent des décisions qui sont inappropriées à la situation de notre pays parce qu’elles sont fondées sur des éléments de la loi islamique qui s’éloignent gravement de l’orientation de la législation occidentale. »

L’étude de Civitas recommande qu’il soit mis fin à la reconnaissance des tribunaux islamiques par le droit britannique.

Son directeur Dr David Green a déclaré: « La réalité est que pour de nombreux musulmans, les tribunaux de la charia s’inscrivent dans une atmosphère d’intimidation institutionnalisée appuyée par la sanction ultime d’une menace de mort. »

Le Conseil musulman de Grande-Bretagne a condamné l’étude pour « incitation à la haine ».

Un porte-parole a dit: « Les conseils de la charia sont parfaitement légitimes. Il n’y a pas de preuves qu’ils sont intimidants ou discriminatoires contre les femmes. Le système est purement volontaire et si les gens ne l’aiment pas, ils peuvent aller ailleurs. »

Philip Davies, député conservateur de Shipley, a déclaré: «Tout le monde devrait être profondément préoccupé par le nombre de ces tribunaux. Ils divisent la société et ne favorisent en rien l’intégration ou la cohésion sociale. Ils mènent à une société ségrégationniste.»

«Il ne devrait y avoir qu’une seule loi, et c’est la loi britannique. Nous ne pouvons pas avoir une situation où les gens ont le droit de choisir le système juridique qu’ils appliquent et celui qu’ils n’appliquent pas. »

Source : Mail (traduction d’extraits par Bivouac-Id en collaboration avec Poste de veille)

Le Canada y échappe de justesse !

Modifié par MarcM
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Non , la GB n'interdit rien .Au contraire , elle autorise ...les tribunaux islamiques depuis 2007 !

Qui visent à appliquer les fatwas édicquées ailleurs .

La Grande-Bretagne compte au moins 85 tribunaux de la charia islamique

Ce nombre sidérant est 17 fois plus élevé que les chiffres précédemment admis.

Ces tribunaux, qui siègent principalement dans des mosquées, règlent des différends financiers et familiaux en fonction de principes religieux. Ils rendent des décisions qui peuvent être pleinement exécutoires si elles sont entérinées par des cours de justice nationales.

Selon un rapport de Civitas, un think tank indépendant, ces tribunaux fonctionnent à l’abri du regard d’observateurs indépendants, et leurs décisions sont susceptibles d’être injustes pour les femmes et fondées sur l’intimidation.

Les commentateurs qui se penchent sur l’influence de la charia ne comptent souvent que les cinq tribunaux de Londres, Manchester, Bradford, Birmingham et Nuneaton qui sont gérés par le Tribunal d’arbitrage musulman, un organisme dont les décisions sont exécutées par l’intermédiaire des tribunaux en vertu de la Loi sur l’arbitrage de 1996.

Selon l’étude effectuée par l’universitaire et spécialiste de l’islam Denis MacEoin, il y aurait au moins 85 tribunaux opérationnels.

La controverse entourant la propagation de la charia s’est accrue depuis que son application a été soutenue l’année dernière par l’archevêque de Canterbury, Dr Rowan Williams, et lord Phillips, le chef de la magistrature qui a démissionné en octobre dernier. Dr Williams a reconnu que le rôle de la charia semblait « inévitable » et lord Phillips a déclaré qu’il n’y avait aucune raison pour que les décisions fondées sur les principes de la charia ne soient pas reconnues par les tribunaux nationaux.

Le rapport de Civitas affirme toutefois que les fatwas (ou décrets religieux) publiés sur les sites Internet des mosquées britanniques témoignent des principes qui sont mis en application par les tribunaux de la charia. Selon M. MacEoin : « Nous trouvons des décisions qui conseillent des actions illégales et d’autres qui vont à l’encontre des normes en matière de droits humains appliquées par les tribunaux britanniques. »

L’étude cite l’exemple d’une tribunal qui a statué qu’aucune femme musulmane ne peut épouser un non-musulman sauf s’il se convertit à l’islam et que les enfants d’une femme qui le ferait lui seront enlevés jusqu’à ce qu’elle se marie avec un musulman. D’autres décisions, selon le rapport, approuvent les mariages polygames et entérinent le devoir de la femme d’avoir des rapports sexuels avec son mari sur demande.

Le rapport ajoute: «Le fait que tant de décisions en vertu de la charia en Grande-Bretagne concernent des affaires de divorce et de garde d’enfants est particulièrement préoccupant, car la charia n’accorde pas des droits égaux à la femme et ne contient pas l’obligation spécifique de tenir compte de l’intérêt supérieur de l’enfant, qui est fondamentale dans le droit de la famille du Royaume-Uni.»

«En vertu de la charia, un enfant de sexe masculin appartient au père après l’âge de sept ans, quelles que soient les circonstances. »

Le rapport dit : «Les tribunaux de la charia en Grande-Bretagne rendent des décisions qui sont inappropriées à la situation de notre pays parce qu’elles sont fondées sur des éléments de la loi islamique qui s’éloignent gravement de l’orientation de la législation occidentale. »

L’étude de Civitas recommande qu’il soit mis fin à la reconnaissance des tribunaux islamiques par le droit britannique.

Son directeur Dr David Green a déclaré: « La réalité est que pour de nombreux musulmans, les tribunaux de la charia s’inscrivent dans une atmosphère d’intimidation institutionnalisée appuyée par la sanction ultime d’une menace de mort. »

Le Conseil musulman de Grande-Bretagne a condamné l’étude pour « incitation à la haine ».

Un porte-parole a dit: « Les conseils de la charia sont parfaitement légitimes. Il n’y a pas de preuves qu’ils sont intimidants ou discriminatoires contre les femmes. Le système est purement volontaire et si les gens ne l’aiment pas, ils peuvent aller ailleurs. »

Philip Davies, député conservateur de Shipley, a déclaré: «Tout le monde devrait être profondément préoccupé par le nombre de ces tribunaux. Ils divisent la société et ne favorisent en rien l’intégration ou la cohésion sociale. Ils mènent à une société ségrégationniste.»

«Il ne devrait y avoir qu’une seule loi, et c’est la loi britannique. Nous ne pouvons pas avoir une situation où les gens ont le droit de choisir le système juridique qu’ils appliquent et celui qu’ils n’appliquent pas. »

Source : Mail (traduction d’extraits par Bivouac-Id en collaboration avec Poste de veille)

Le Canada y échappe de justesse !

Peut on porter une burqa lorsqu'on est en grève ? et pour skier ? !

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Ci-dessous, l’intégralité de la lettre de Djemila Benhabib auteure de ma vie à contre coran ( édition VLB) :

Lettre lue de 13 novembre 2009 par Djemila Benhabib lors d’une journée débat au Palais du Luxembourg organisée par la Ligue du Droit international des Femmes de Femmes Solidaires, cette lettre a été transmise la semaine suivante à député Gérin.

Mesdames les sénatrices,

Mesdames les présidentes,

Mesdames et messieurs les dignitaires,

Chers amis,

Merci mille fois de ce grand honneur que vous me faites, aujourd’hui, de me consacrer parmi les Femmes debout et de permettre à ma voix, celle d’une femme de culture musulmane féministe et laïque de résonner dans cette prestigieuse institution de la République. Merci à vous mes amies de Femmes solidaires et de la Ligue du droit international des femmes pour votre travail acharné, permanent et indispensable que ce soit dans les quartiers, auprès des femmes victimes de violences et discriminations, des sans papiers ou encore au sein des politiques et des instances onusiennes. C’est dire que c’est ici, localement que prend racine le travail pour les droits des femmes pour se répercuter à l’échelle internationale. C’est dire aussi que la marche des femmes pour la liberté et l’égalité est une et indivisible. Lorsqu’une femme souffre dans un quelconque endroit de la planète, c’est notre affaire à toutes et à tous. Merci de nous faire sentir de mille façons que nous sommes les maillons d’une même chaîne.

Voilà encore quelques années, je n’aurais jamais imaginé que ma vie de femme, que ma vie de militante serait si intimement liée au féminisme et à la laïcité.

Je vous surprendrai peut-être en vous avouant que je ne suis pas devenue féministe en tournant les pages du Deuxième Sexe, ni en me plongeant dans ce magnifique roman d’Aragon Les Cloches de Bâle, où il était question entre autres de Clara Zetkin et de Rosa Luxembourg, deux figures de proue du féminisme et de la paix dans le monde.

Je ne suis pas devenue laïque en m’abreuvant de Spinoza, de Ibn Al-Arabi, de Descartes, de Ibn Khaldoun, ou de Voltaire, mon maître. Absolument pas.

J’aurais pu tourner mon regard ailleurs pour me perdre dans cette enfance si heureuse que j’ai eue dans une famille généreuse, cultivée, ouverte sur le monde et sur les autres, profondément engagée pour la démocratie et la justice sociale. J’aurais pu m’égarer dans la beauté de cette ville qu’est Oran où il faisait si bon vivre au bord de la mer. Cette ville qui a propulsé la carrière littéraire d’Albert Camus, avec son célèbre roman La peste, jusqu’au Nobel de littérature. J’aurais pu ne rien voir, ne rien entendre des brimades, du mépris, des humiliations et des violences qu’on déversait sur les femmes. J’ai choisi de voir et d’écouter d’abord avec mes yeux et mes oreilles d’enfant. Plus tard, j’ai choisi de dire les aspirations de toutes ces femmes qui ont marqué ma vie pour que plus jamais, plus aucune femme dans le monde, n’ait honte d’être femme.

Pour vous dire vrai, à l’enfance et surtout à l’adolescence, je n’ai jamais rêvé de mariage, de prince charmant, de robe longue, de grande maison, d’enfants et de famille. Les quelques mariages auxquels j’avais assisté, en Algérie, me faisaient sentir que la femme était un objet bien plus qu’un sujet. Inutile de vous préciser que ma perspective était ultraminoritaire, car les femmes sont formatées à devenir des épouses puis des mères dès l’enfance. Je devais avoir, quoi, cinq, six, peut-être sept ans tout au plus, lorsqu’on me somma de rejoindre ma grand-mère dans la cuisine, car ma place naturelle était à mi-distance entre les fourneaux et la buanderie, de façon à pouvoir faire éclater mes talents de cuisinière et de ménagère le moment venu.

En 1984, l’Algérie adopte un code de la famille inspirée de la charia islamique. J’ai 12 ans à cette époque. Brièvement, ce code exige de l’épouse d’obéir à son mari et à ses beaux-parents, permet la répudiation, la polygamie, destitue la femme de son autorité parentale, permet à l’époux de corriger sa femme et en matière d’héritage comme de témoignage, l’inégalité est érigé en système puisque la voix de deux femmes équivaut à celle d’un homme tout comme les parts d’héritage.

Question : L’Algérie est-elle devenue musulmane en 1984 ?

Réponse : Je vous la donnerai pendant le débat tout à l’heure si vous le souhaitez.

Pour ce qui est de la laïcité, j’ai compris sa nécessité lorsqu’au tout début des années 1990, le Front islamique du salut (FIS) a mis à genoux mon pays l’Algérie par le feu et par le sang en assassinant des milliers d’Algériens.

Aujourd’hui, on est forcé de constater que les choses n’ont pas tellement changé.

Trop de femmes dans le monde se font encore humilier, battre, violenter, répudier, assassiner, brûler, fouetter et lapider. Au nom de quoi ? De la religion, de l’islam en l’occurrence et de son instrumentalisation. Pour refuser un mariage arrangé, le port du voile islamique ou encore pour avoir demandé le divorce, porté un pantalon, conduit une voiture et même avoir franchi le seuil de la porte sans la permission du mâle, des femmes, tant de femmes subissent la barbarie dans leur chair. Je pense en particulier à nos sœurs iraniennes qui ont défilé dans les rues de Téhéran pour faire trembler l’un des pires dictateurs au monde : Ahmadinejad. Je pense à Neda, cette jeune Iranienne assassinée à l’âge de 26 ans. Nous avons tous vu cette image de Neda gisant sur le sol, le sang dégoulinant de sa bouche. Je pense à Nojoud Ali, cette petite Yéménite de 10 ans, qui a été mariée de force à un homme qui a trois fois son âge et qui s’est battue pour obtenir le droit de divorcer… et qui l’a obtenu. Je pense à Loubna Al-Hussein qui a fait trembler le gouvernement de Khartoum l’été dernier à cause de sa tenue vestimentaire.

La pire condition féminine dans le globe, c’est celle que vivent les femmes dans les pays musulmans. C’est un fait et nous devons le reconnaître. C’est cela notre première solidarité à l’égard de toutes celles qui défient les pires régimes tyranniques au monde.

Qui oserait dire le contraire ? Qui oserait prétendre l’inverse ? Les islamistes et leurs complices ?

Certainement…mais pas seulement.

Il y a aussi ce courant de pensée relativiste qui prétend qu’au nom des cultures et des traditions nous devons accepter la régression, qui confine l’autre dans un statut de victime perpétuelle et nous culpabilise pour nos choix de société en nous traitant de racistes et d’islamophobes lorsque nous défendons l’égalité des sexes et la laïcité. C’est cette même gauche qui ouvre les bras à Tarik Ramadan pour se pavaner de ville en ville, de plateau de TV en plateau de TV et cracher sur les valeurs de la République.

Sachez qu’il n’y a rien dans ma culture qui me prédestine à être éclipsée sous un linceul, emblème ostentatoire de différence. Rien qui me prédétermine à accepter le triomphe de l’idiot, du sot et du lâche, surtout si on érige le médiocre en juge. Rien qui prépare mon sexe à être charcutée sans que ma chair n’en suffoque. Rien qui me prédestine à apprivoiser le fouet ou l’aiguillon. Rien qui me voue à répudier la beauté et le plaisir. Rien qui me prédispose à recevoir la froideur de la lame rouillée sur ma gorge. Et si c’était le cas, je renierais sans remords ni regret le ventre de ma mère, la caresse de mon père et le soleil qui ma vu grandir.

L’islamisme politique n’est pas l’expression d’une spécificité culturelle, comme on prétend ça et là. C’est une affaire politique, une menace collective qui s’attaque au fondement même de la démocratie en faisant la promotion d’une idéologie violente, sexiste, misogyne, raciste et homophobe.

Nous avons vu de quelle façon les mouvements islamistes, avec la complicité, la lâcheté et le soutien de certains courants de gauche cautionnent la régression profonde qui s’est installée au cœur même de nos villes. An Canada, nous avons tout de même failli avoir les tribunaux islamiques. En Grande Bretagne c’est déjà la norme dans plusieurs communautés. D’un bout à l’autre de la planète, le port du voile islamique se répand et se banalise, il devient même une alternative acceptable aux yeux de certains car c’est tout de même mieux que la burqa?

Que dire de la démission des démocraties occidentales sur des enjeux primordiaux à la base du vivre-ensemble et de la citoyenneté tels que la défense de l’école publique, des services publics et de la neutralité de l’Etat ?

Que dire des reculs en matière d’accessibilité à l’avortement ici même en France ?

Tout ça pour dire qu’il est toujours possible de faire avancer les sociétés grâce à notre courage, notre détermination et à notre audace. Je ne vous dis pas que ce sont là des choix faciles. Loin de là. Les chemins de la liberté sont toujours des chemins escarpés. Ce sont les seuls chemins de l’émancipation humaine, je n’en connais pas d’autres.

Cette merveilleuse page d’histoire, de NOTRE histoire, nous enseigne que subir n’est pas se soumettre. Car par-delà les injustices et les humiliations, il y a aussi les résistances. Résister, c’est se donner le droit de choisir sa destinée. C’est cela pour moi le féminisme. Une destinée non pas individuelle, mais collective pour la dignité de TOUTES les femmes. C’est ainsi que j’ai donné un sens à ma vie en liant mon destin de femme à tous ceux qui rêvent d’égalité et de laïcité comme fondement même de la démocratie.

L’histoire regorge d’exemples de religions qui débordent de la sphère privée pour envahir la sphère publique et devenir la loi. Dans ce contexte, les femmes sont les premières perdantes. Pas seulement. La vie, dans ses multiples dimensions, devient soudainement sclérosée lorsque la loi de Dieu se mêle à la loi des hommes pour organiser les moindres faits et gestes de tous. Il n’y a plus de place pour les avancées scientifiques, la littérature, le théâtre, la musique, la danse, la peinture, le cinéma, bref la vie tout simplement. Seuls la régression et les interdits se multiplient.

C’est d’ailleurs pour ça que j’ai une aversion profonde à l’égard des intégrismes quels qu’ils soient, car je suis une amoureuse de la vie.

Rappelez-vous une chose : lorsque la religion régit la vie de la Cité, nous ne sommes plus dans l’espace du possible, nous ne sommes plus dans le référentiel des doutes, nous ne sommes plus dans le repère de la raison et de la rationalité si chères aux Lumières.

Séparer l’espace public de l’espace privé en réaffirmant la neutralité de l’État me semble indispensable, car seule la laïcité, permet de se doter d’un espace commun, appelons-le un référentiel citoyen, loin de toutes croyances et de toutes les incroyances, pour prendre en main la destinée de la Cité.

Avant de conclure, permettez-moi de partager avec vous une lettre destinée à l’un de vos élus.

J’ai longuement hésité avant de vous écrire. Peut-être, par peur d’être perçue comme celle venue d’ailleurs qui fait indélicatement irruption dans les « affaires françaises ». Au diable les convenances, je n’ai jamais été douée pour la bienséance surtout lorsqu’elle est au service des plus forts, des plus puissants et des plus arrogants. Puis, s’il avait fallu que je vive en fonction du regard des autres, je n’aurais rien fait de ma vie ou si peu. Lorsqu’il s’agit des droits des femmes, nulle convenance ne doit primer sur l’essentiel. L’essentiel étant : la liberté, l’égalité et l’émancipation des femmes. J’entends encore des copines françaises me dirent avec insistance : parle-lui, dis-lui, écris-lui. Etrangement, leurs propos me rappellent le titre de ce magnifique film d’Almodovar Parle avec elle où dès les premiers instants, le rideau se lève furtivement, pendant quelques secondes, sur un spectacle de danse, mettant en scène le corps d’une femme, celui de Pina Bausch. Elle qui exprimait si bien dans ses chorégraphies crûment la violence exercée à l'encontre des femmes.

Monsieur Gérin, c’est à vous que je m’adresse, je voudrais vous parler, vous dire la peur que j’ai connu le 25 mars 1994 alors que j’habitais à Oran, en Algérie et que le Groupe islamique armé (GIA) avait ordonné aux femmes de mon pays le port du voile islamique. Ce jour-là, j’ai marché la tête nue ainsi que des millions d’autres Algériennes. Nous avons défié la mort. Nous avons joué à cache-cache avec les sanguinaires du GIA et le souvenir de Katia Bengana, une jeune lycéenne âgée de 17 ans assassinée le 28 février 1994 à la sortie de son lycée planait sur nos têtes nues. Il y a des événements fondateurs dans une vie et qui donne une direction particulière au destin de tout un chacun. Celui-là, en est pour moi. Depuis ce jour-là, j’ai une aversion profonde pour tout ce qui est hidjab, voile, burqa, niqab, tchador, jilbab, khimar et compagnie. Or, aujourd’hui vous êtes à la tête d’une commission parlementaire chargée de se pencher sur le port du voile intégral en France.

En mars dernier, je publiais au Québec, un livre intitulé Ma vie à contre-Coran : une femme témoigne sur les islamistes. Dès les premières phrases, je donnais le ton de ce qu’est devenue ma vie en termes d’engagements politiques en écrivant ceci : « j’ai vécu les prémisses d’une dictature islamiste. C’était au début des années 1990. Je n’avais pas encore 18 ans. J’étais coupable d’être femme, féministe et laïque. » Je dois vous avouer que je ne suis pas féministe et laïque par vocation, je le suis par nécessité, par la force des choses, par ces souffrances qui imprègne mon corps car je ne peux me résoudre à voir l’islamisme politique gagner du terrain ici même et partout dans le monde. Je suis devenue féministe et laïque à force de voir autour de moi des femmes souffrir en silence derrière des portes closes pour cacher leur sexe et leur douleur, pour étouffer leurs désirs et taire leurs rêves.

Il fut un temps où on s’interrogeait en France sur le port du voile islamique à l’école. Aujourd’hui il est question de voile intégral. Au lieu d’élargir la portée de la loi de 2004 aux établissements universitaires, nous débattons sur la possibilité de laisser déambuler dans nos rues des cercueils. Est-ce normal ? Demain, peut-être c’est la polygamie qui sera à l’ordre du jour. Ne riez pas. Cela s’est produit au Canada et il a fallu que les cours s’emmêlent. Car après tout la culture à bon dos lorsqu’il s’agit d’opprimer les femmes. Ironie du sort, j’ai constaté dans plusieurs quartiers que les jupes se rallongent et disparaissant peu à peu. La palette des couleurs se réduit. Il est devenu banal de camoufler son corps derrière un voile et porter une jupe, un acte de résistance. C’est tout de même une banlieue française qui est le théâtre du film La Journée de la jupe. Alors que dans les rues de Téhéran et de Khartoum, les femmes se découvrent de plus en plus, au péril de leur vie, dans les territoires perdus de la république française, le voile est devenu la norme. Que se passe-t-il ? La France est-elle devenue malade ?

Le voile islamique est souvent présenté comme faisant partie de « l’identité collective musulmane ». Or, il n’en est rien. Il est l’emblème de l’intégrisme musulman partout dans le monde. S’il a une connotation particulière, elle est plutôt politique surtout avec l’avènement de la révolution islamique en Iran en 1979. Que l’on ne s’y trompe pas, le voile islamique cache la peur des femmes, de leurs corps, de leur liberté et de leur sexualité.

Pire encore, la perversion est poussée à son paroxysme en voilant des enfants de moins de cinq ans. Il y a quelques temps, j’essayais de me rappeler à quel moment précisément, en Algérie, j’ai vu apparaître ce voile dans les salles de classe. Pendant mon enfance et jusqu’à mon entrée au lycée, c’est-à-dire en 1987, le port du voile islamique était marginal autour de moi. À l’école primaire, personne ne portait le hidjab, ni parmi les enseignants, surtout pas parmi les élèves.

Voilà 12 ans que j’habite au Québec dont la devise inscrite sur les plaques d’immatriculation des voitures est « je me souviens ». A propos de mémoire, de quoi la France devrait-elle se souvenir ? Quelle est porteuse des Lumières. Que des millions de femmes se nourrissent des écrits de Simone de Beauvoir dont le nom est indissociable de celui de Djamila Boupacha. C’est peu dire. Il ne fait aucun doute pour moi que la France est un grand pays et ceci vous confère des responsabilités et des devoirs envers nous tous, les petits. C’est d’ailleurs pour cela qu’aujourd’hui, tous les regards sont tournés vers votre Commission et que nous attendons de vous à ce que vous fassiez preuve de courage et de responsabilité en interdisant le port de la burqa.

Pour notre part au Québec, on se souvient qu’en 1961, pour la première fois dans l’histoire, une femme, une avocate de surcroît, est élue à l’Assemblée législative lors d’une élection partielle. Son nom est Claire Kirkland et elle deviendra ministre. En invoquant un vieux règlement parlementaire qui exigeait des femmes le port du chapeau pour se présenter à l’Assemblée législative, on la force à se couvrir la tête pendant les sessions. Elle refuse. C’est le scandale. Un journal titre : Une femme nu-tête à l’Assemblée législative ! Elle résiste et obtient gain de cause.

Il faut comprendre par là que nos droits sont des acquis fragiles à défendre avec acharnement et qu’ils sont le résultat de luttes collectives pour lesquelles se sont engagés des millions de femmes et d’hommes épris de liberté et de justice. J’ose espérer, monsieur Gérin que la Commission que vous présidez tiendra compte de tous ces sacrifices et de toutes ces aspirations citoyennes à travers le monde et les siècles.

A vous chers amis, s’il y a une chose, une seule, que je souhaiterais que vous reteniez de ces quelques mots, c’est la suivante. Entre une certaine gauche démissionnaire, le racisme de l’extrême droite et le laisser-faire et la complicité des gouvernements nous avons la possibilité de changer les choses, plus encore, nous avons la responsabilité historique de faire avancer les droits des femmes. Nous sommes, en quelque sorte, responsables de notre avenir et de celui de nos enfants. Car il prendra la direction que nous lui donnerons. Nous, les citoyens. Nous, les peuples du monde. Par nos gestes, par nos actions et par notre mobilisation. Toutes les énergies citoyennes sont nécessaires d’un pays à l’autre au-delà des frontières. L’avenir nous appartient. La femme est l’avenir de l’homme disait Aragon. S’agissant d’homme, je veux en saluer un présent aujourd’hui, c’est mon père à qui je dois tout.

Et je finirai par une citation de Simone de Beauvoir : « On a le droit de crier mais il faut que ce cri soit écouté, il faut que cela tienne debout, il faut que cela résonne chez les autres. » J’ose espérer que mon cri aura un écho parmi vous.

LDIF, La Ligue du Droit International des Femmes

6 place Saint Germain des Près 75005 PARIS France

Fax : +33.1.45.49.16.71

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mille mercis Marc !

C'est touchant ce témoignage.................

Heureusement qu'elle ne s'appelle pas Germaine Chombier okok sinon , on l'accuserait de xénophobie !

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Tiens , ça vient d'arriver.......................

Les braqueurs de la Poste portaient la burqa okok (Le Parisien)

Les deux braqueurs qui se sont attaqués ce matin à la Poste d'Athis-Mons (Essonne) ne sont pas vraiment passés inaperçus. Au lieu des habituelles cagoules et autres écharpes, ils ont choisi d'opérer vêtus de la burqa et chaussés de baskets.

Un butin d'environ 4500 euros

Il était environ 10 h 30 lorsque les deux hommes ont fait irruption dans le bureau, situé dans le quartier sensible du Noyer-Renard et où patientaient une vingtaine de clients.

En menaçant le personnel avec une arme de poing, ils sont parvenus à se faire remettre une somme d'environ 4500 euros. Dix minutes plus tard, ils ressortaient et prenaient la fuite à pied en direction du parking voisin. L'enquête a été confiée à l'antenne d'Evry de la police judiciaire.

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Tiens , ça vient d'arriver.......................

Les braqueurs de la Poste portaient la burqa okok (Le Parisien)

Les deux braqueurs qui se sont attaqués ce matin à la Poste d'Athis-Mons (Essonne) ne sont pas vraiment passés inaperçus. Au lieu des habituelles cagoules et autres écharpes, ils ont choisi d'opérer vêtus de la burqa et chaussés de baskets.

Un butin d'environ 4500 euros

Il était environ 10 h 30 lorsque les deux hommes ont fait irruption dans le bureau, situé dans le quartier sensible du Noyer-Renard et où patientaient une vingtaine de clients.

En menaçant le personnel avec une arme de poing, ils sont parvenus à se faire remettre une somme d'environ 4500 euros. Dix minutes plus tard, ils ressortaient et prenaient la fuite à pied en direction du parking voisin. L'enquête a été confiée à l'antenne d'Evry de la police judiciaire.

les imbéciles, sur que l'on va interdire la burka en France.

Et moi comptait mettre une burka pour aller zieuter dans les WC des femmes, c"est raté !

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Religion , école et la laicité : Les hommes excluent des réunions de parents d'élèves pascontent

Certe , c'est au danemark .Mais , tirons-en l'expérience nécéssaire........;;; !

Danemark : L’école interdit la réunion de parents d’élèves aux hommes pour préserver la “pudeur” des femmes.

Par Dar al-Harb , Le Post.fr

La décision qu’a prise une école de Copenhague de bannir les pères d’une réunion de parents d’élèves, décision motivée par le respect pour les mères musulmanes, a profondément opposé hommes politiques et personnel scolaire.

L’école Holberg située dans le district de Bispebjerg de la capitale a prévu une réunion de parents d’élèves ayant pour sujet la politique anti-brimades de l’école ce soir (ndt : jeudi 4 février). Mais la réunion organisée par l’école multiculturelle est réservée aux mères seulement, et les pères, qu’ils soient danois ou d’origine immigrée, n’y sont pas les bienvenus.

L’école a invité les mères à participer à « un débat sur les brimades qui inclura des discussions avec les mères, des gourmandises, du café et des gâteaux ». Les mères sont également invitées à amener leurs jeunes enfants avec elles si nécessaire, une permanence de babysitting étant organisée.

Dans un entretien avec le journal Berlingske Tidende, le directeur de l’école, Søren Ellesøe a expliqué que l’école avait pris cette décision afin d’atteindre un certain nombre parents qui ne participent généralement pas aux réunions de parents d’élèves.

« Nous avons en particulier des mères d’origine immigrée dont les époux pensent que les femmes ne doivent pas participer à un événement auquel assistent d’autres hommes », a-t-il expliqué.

Un questionnaire sur le site internet de l’école dévoile qu’un quart des écoliers de l’école ne sont pas d’origine danoise.

Le président du syndicat danois des professeurs, Anders Bondo Christensen, appuie la décision prise par le directeur de l’école.

« Si cela vise à s’assurer que les journées des écoliers se passent bien et sans brimades, je respecte alors cette décision », a-t-il déclaré.

Mais la décision a révolté des hommes politiques, en particulier le dirigeant du Parti socialiste populaire danois, Villy Søvndal, qui est scandalisé par le fait que l’on fasse fi de l’égalité des pères pour des « idées religieuses obtuses ».

« Je suis tout bonnement choqué que le directeur d’une école publique puisse prendre une décision de ce genre. Elle a probablement été prise avec la meilleure des intentions, mais elle est profondément, profondément préjudiciable. » a déclaré Søvndal.

Il fait désormais pression sur Anne Vang, adjointe au Maire chargée des questions de la jeunesse, afin qu’elle intervienne et fasse annuler la réunion si la présence des pères n’y est finalement pas autorisée.

De son côté, le Parti populaire danois va plus loin et demande que le directeur soit licencié si la réunion a bien lieu à 5h30 sans que des pères n’y soient présents.

« Nous n’allons pas permettre que des immigrés décident de la façon dont nous organisons nos réunions dans nos écoles » a déclaré le chef du parti au conseil municipal, Carl Christian Ebbesen.

Modifié par MarcM
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! koiquesselotrelalotrelalotrelalotrelalotrelalotrela

Après s’être marié, il découvre que sa nouvelle épouse, en niqab, a une barbe et louche.

Nous nous attachons à illustrer jour après jour l’aspect liberticide, criminogène, totalitaire, belliqueux, misogyne, homophobe, anti-athée, antisémite, anti-chrétien, anti-non-musulman, anti-paix, anti-amour et anti-tolérance de l’islam.

Mais l’islam, ce n’est pas seulement ce nazisme qui nous vient des sables. L’islam, c’est aussi une formidable machine à abêtir les fidèles, et à faire rire le reste de l’humanité à gorge déployée. C’est, pour reprendre les termes de Houellebecq, par excellence « la religion la plus con », ainsi que l’illustre une nouvelle fois cette information.

Durant les rares rencontres avec sa fiancée, l’ambassadeur n’a pas pu voir la jeune femme car elle portait le niqab

DUBAI Un ambassadeur arabe a annulé son mariage après avoir découvert que sa future épouse, qui portait le niqab ou voile intégral, avait une barbe et louchait, a rapporté mercredi le quotidien émirati Gulf News. L’ambassadeur devait convoler en justes noces avec une ressortissante d’un pays du Golfe, sur la foi de photos obtenues de sa famille et qui se sont révélées être celles de la soeur de la future mariée, ajoute le journal.

Durant les rares rencontres avec sa fiancée, l’ambassadeur n’a pas pu voir les traits de la jeune femme car elle portait le niqab, selon Gulf News. Une fois le contrat de mariage signé, il a découvert, “quand il a voulu embrasser son épouse, un médecin, (…), qu’elle avait une barbe et louchait“. Il a alors déposé plainte auprès du tribunal pour avoir été “trompé” par ses beaux-parents et le divorce a été prononcé, selon le journal.

Source : La Dernière Heure

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Nous nous attachons à illustrer jour après jour l’aspect liberticide, criminogène, totalitaire, belliqueux, misogyne, homophobe, anti-athée, antisémite, anti-chrétien, anti-non-musulman, anti-paix, anti-amour et anti-tolérance de l’islam.

Mais bien sûr, mettons tout ce qui se rapporte à l'islam dans le même sac ; dans le monde, tout est noir ou blanc, c'est bien connu. okok

C'est quoi, la dernière heure, Marc ?

Modifié par Roukmoute
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Mais bien sûr, mettons tout ce qui se rapporte à l'islam dans le même sac ; dans le monde, tout est noir ou blanc, c'est bien connu. cartonrouge

C'est quoi, la dernière heure, Marc ?

http://www.rue89.com/rue69/2010/02/14/nemb...de-paris-138470

je poste ça ici pour dire que tous les extrémismes religieux sont (pour moi) à mettre dans le même sac ,je ne sais pas ce qu'en pense marc!

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Mais bien sûr, mettons tout ce qui se rapporte à l'islam dans le même sac ; dans le monde, tout est noir ou blanc, c'est bien connu. bigbisous

C'est quoi, la dernière heure, Marc ?

As tu vu que j'ai posté un article ........Voir la source en bas du post.J'ai mis cet article car la situation me paraissait ubuesque .

Précision : Je ne mets pas tout ce qui touche à l'Islam dans le même sac . Par contre , effectivement ,je mets toutes les religions dans le même panier , qu'elles ne devraient pas quittées !

Modifié par MarcM
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Mamère démenti par sa suppléante.............. !

Noël Mamère ment pour défendre la burka

le 16 février 2010

Sur la chaîne parlementaire, fin janvier, le député vert islamophile Noël Mamère mentait doublement en présentant les opinions de sa suppléante “musulmane”, qui en fait ne l’est pas, puisqu’elle se définit comme agnostique.

Naïma Charaï, n’a pas apprécié que le député-maire de Bègle parle à sa place en lui faisant dire l’exact contraire de ce qu’elle défend.

Le 28 janvier dernier, au cours du débat télévisé, le député-maire de Bègles s’était en effet exprimé sur le voile intégral, affirmant:

“Moi aussi, je connais des musulmans. J’ai même une suppléante musulmane, elle ne veut pas de loi parce qu’elle dit, comme je le dis, qu’une loi sur la burqa est une manière de stigmatiser sa religion“.

Le problème c’est que la suppléante en question se définit comme “laïque et agnostique“, et qu’elle milite précisément pour une loi interdisant le port de la burqa en France.

“ Tout mon engagement politique porte sur la laïcité “, affirme Naïma Charaï.

elle souhaite une loi interdisant la burqa dans les lieux publics, et considère que le voile islamique est ” attentatoire à la dignité humaine “.

“Le voile intégral est pour moi l’étendard d’une idéologie sectaire et intégriste, attentatoire à la dignité humaine”.

Dans un communiqué daté du 13 février, Naïma Charaï, a demandé à Mamère de cesser de la qualifier de “musulmane”, ce qu’elle n’est pas, a t-elle-dit.

Source : Libebordeaux

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  • 2 semaines plus tard...

J'ai changé le titre de mon sujet .Initialement , il traitait exclusivement de la Burqa mais le sujet est plus vaste .D'où la modification .

La guerre religieuse est déclarée sur le sol européen ........

L'appel du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi au jihad contre la Suisse arrive "à un moment inopportun" alors que des efforts sont en cours pour régler le différend entre Tripoli et Berne, a jugé vendredi le porte-parole de la chef de la diplomatie de l'UE Catherine Ashton.

Mouammar Kadhafi avait appelé jeudi à la guerre sainte (jihad) contre la Suisse, en raison de l'interdiction de la construction de minarets votée par référendum fin novembre à près de 60% dans la confédération.

Les relations entre la Suisse et Tripoli se sont détériorées après l'interpellation musclée, en juillet 2008 à Genève, d'un des fils du colonel Kadhafi, Hannibal, sur une plainte de deux domestiques l'accusant de mauvais traitements.

Peu après, les autorités libyennes avaient arrêté deux Suisses, qui ont été jugés pour "séjour illégal" et "exercice d'activités économiques illégales". L'un d'eux a été libéré lundi, mais l'autre est toujours retenu en Libye et y purge une peine de quatre mois de prison.

Membre de l'espace Schengen, la Suisse a par ailleurs mis en place une politique restrictive en matière d'octroi de visas Schengen à des citoyens libyens. Cette mesure avait provoqué la colère de la Libye qui a décidé le 14 février de faire de même avec les Européens, provoquant l'intervention des capitales européennes dans le conflit.

Source: AFP

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Pour détendre : Cherchez l'erreur Je précise , c'est de l'humour

Hallal Quick

garcimore

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