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Le Web des Cheminots

Les français et les retraites


Invité Gnafron 1er

Messages recommandés

Travailler plus pour gagner plus : les Français ne sont pas chauds .....

ici........;;;; !

le titre du figaro !

http://www.lefigaro.fr/retraite/2010/01/10...la-retraite.php

je traduit: le journal de dassault se félicite .

les français ont enfin compris que pour leur future retraite , c'est plié !

le but recherché est atteint ,les gens se font une raison ,ça va repousser la révolte un peu plus loin !

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Les francais étaient bien pour les cheminots partent plus tard mais ils sont pas trop pour partir plus tard eux même !

Très francais ces francais.

surtout quand tu vois ce que ça coûte un cheminot qui part plus tard :Smiley_40:

et comment on est au chômage à 45 ans dans le béni privé...

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surtout quand tu vois ce que ça coûte un cheminot qui part plus tard :Smiley_40:

Surtout que par les temps qui courent , je désirais savoir comment notre boite pourrait "se débarrasser " de ceux qui rabioteraient jusqu'à 60 ans ... !

et comment on est au chômage à 45 ans dans le béni privé...

On peut être vieux salairé(e) beaucoup plus tôt......

D'aiileurs dans la réforme des retraite le GVT ne s'y est pas trompé.Un salarié en invalidité avant 60 ans est mis d'office en retraite....qlq soit ses trimestres .Si il lui en manque = il aura le strict minimum ..... !

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Le vrai problème c'est le montant des pensions versées aux retraités...

d'où

l'augmentation du nombre de trimestres nécessaires

la baisse du nombre de trimestres validés (durée des études, entrée tardive dans la vie active, périodeS de chômage...)

le système de décôte (trimestres non validés)

tout le débat depuis 20 ans...

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Pour tout le systeme de protection sociale, il devient inique de faire contribuer les entreprises sur la masse salariale.

En effet, les entreprises à forte valeur ajoutée et à faible effectif se retrouvent éxonérées ou largement dispensées de charges sociales.

Depuis des années on le sait et on y travaille, mais depuis que la branche des "services" est à la tête du Medef, il n'en est plus question...

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Et si tout comme il y a un salaire minimum, on instaurait une retraite maximum.... ? Ce serait bien aussi que ceux qui avaient 20 ans en 68, et on connu les 30 glorieuses autrement que dans les livres d'histoire géo, et qui maintenant sont devenus des sexagénaires qui seront les derniers à avoir une pension à un niveau décent soient mis à contribution....

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20 ans en 1968

60 ans en 2008

1968 annonçait la crise...

Me semble que la crise a commencé à se faire sentir en 70/71...

voir les courbes du chômage...

74 premier choc pétrolier...

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Et hop c'est reparti...

Il faudra travailler plus pour assurer les retraites, dit Darcos

Reuters

Le rétablissement financier du système de retraite en France passera nécessairement par un allongement de la durée de cotisation effective, selon le ministre du Travail, Xavier Darcos, qui est chargé de préparer la réforme prévue cette année.

Lors d'un débat mardi au Sénat, Xavier Darcos a expliqué qu'il poursuivait deux objectifs: sauvegarder le système de retraite par répartition et veiller à l'équité, ce qui passera selon lui par une modification des règles en vigueur dans la fonction publique.

Face à l'accroissement des déficits, l'exécutif dispose de trois leviers, a-t-il ajouté: baisser le montant des retraites, augmenter les cotisations et allonger la durée de cotisation effective.

"Diminuer le montant des pensions, je vous le dis clairement, serait inacceptable. Quant à l'augmentation des cotisations, j'observe que nous avons déjà le niveau de cotisation le plus élevé d'Europe", a-t-il dit, selon le texte de son discours.

"Je le dis donc sans ambages: dans un pays dont l'espérance de vie s'accroît d'un trimestre chaque année, nous n'avons d'autre solution que de travailler plus longtemps."

Le ministre du Travail a ainsi évoqué le ratio "deux tiers-un tiers" entre la durée de cotisation et la durée de la retraite, qui a déjà conduit à allonger progressivement la durée de cotisation de 40 à 41 ans en 2012.

Le ministère du Travail a ensuite précisé que l'allongement dont parlait Xavier Darcos était celui de la durée de cotisation effective et pas nécessairement une hausse du nombre d'années travaillées nécessaire pour toucher une retraite à taux plein.

Travailler plus longtemps revient aussi à augmenter le taux d'emploi des travailleurs âgés, qui est de 39% en France contre une moyenne de près de 45% en Europe, a ajouté Xavier Darcos.

Xavier Darcos a souligné que "dès 2010, une retraite sur dix n'est plus financée" et que la situation irait en s'aggravant, le rapport actuel de 1,8 cotisant pour un retraité passant à 1,5 dans une dizaine d'années et à 1,2 en 2050.

"J'ai parlé d'urgence car la question du financement des retraites concerne directement la génération qui vient d'entrer dans la vie active et qui verra, année après année, s'accroître le poids de la charge qui pèse sur elle", a-t-il dit.

"Nous avons une lourde responsabilité à l'égard de cette génération, à laquelle nous nous sommes trop longtemps dérobés."

Travailler plus longtemps nécessitera aussi, selon lui, de répondre au problème de la pénibilité de certaines professions, un aspect sur lequel les syndicats insistent.

"Nos longues discussions avec les partenaires sociaux ont déjà permis des avancées sur cette question difficile et je suis déterminé à aller plus loin pour réfléchir aux réponses à apporter", a dit Xavier Darcos.

La situation des retraites de la fonction publique sera abordée "sans faux semblant", a-t-il ajouté, car "si nous n'agissons pas, c'est l'ensemble des contribuables qui continueront de supporter la dérive financière du régime de retraite des fonctionnaires".

Le déficit de la branche vieillesse (retraites) du régime général de la Sécurité sociale est prévu à 10,7 milliards d'euros cette année, après 8,2 milliards en 2009, et atteindrait 14,5 milliards en 2013 selon les prévisions du gouvernement.

Jean-Baptiste Vey

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Et hop c'est reparti...

Il faudra travailler plus pour assurer les retraites, dit Darcos

Reuters

Le rétablissement financier du système de retraite en France passera nécessairement par un allongement de la durée de cotisation effective, selon le ministre du Travail, Xavier Darcos, qui est chargé de préparer la réforme prévue cette année.

Lors d'un débat mardi au Sénat, Xavier Darcos a expliqué qu'il poursuivait deux objectifs: sauvegarder le système de retraite par répartition et veiller à l'équité, ce qui passera selon lui par une modification des règles en vigueur dans la fonction publique.

Face à l'accroissement des déficits, l'exécutif dispose de trois leviers, a-t-il ajouté: baisser le montant des retraites, augmenter les cotisations et allonger la durée de cotisation effective.

"Diminuer le montant des pensions, je vous le dis clairement, serait inacceptable. Quant à l'augmentation des cotisations, j'observe que nous avons déjà le niveau de cotisation le plus élevé d'Europe", a-t-il dit, selon le texte de son discours.

"Je le dis donc sans ambages: dans un pays dont l'espérance de vie s'accroît d'un trimestre chaque année, nous n'avons d'autre solution que de travailler plus longtemps."

Le ministre du Travail a ainsi évoqué le ratio "deux tiers-un tiers" entre la durée de cotisation et la durée de la retraite, qui a déjà conduit à allonger progressivement la durée de cotisation de 40 à 41 ans en 2012.

Le ministère du Travail a ensuite précisé que l'allongement dont parlait Xavier Darcos était celui de la durée de cotisation effective et pas nécessairement une hausse du nombre d'années travaillées nécessaire pour toucher une retraite à taux plein.

Travailler plus longtemps revient aussi à augmenter le taux d'emploi des travailleurs âgés, qui est de 39% en France contre une moyenne de près de 45% en Europe, a ajouté Xavier Darcos.

Xavier Darcos a souligné que "dès 2010, une retraite sur dix n'est plus financée" et que la situation irait en s'aggravant, le rapport actuel de 1,8 cotisant pour un retraité passant à 1,5 dans une dizaine d'années et à 1,2 en 2050.

"J'ai parlé d'urgence car la question du financement des retraites concerne directement la génération qui vient d'entrer dans la vie active et qui verra, année après année, s'accroître le poids de la charge qui pèse sur elle", a-t-il dit.

"Nous avons une lourde responsabilité à l'égard de cette génération, à laquelle nous nous sommes trop longtemps dérobés."

Travailler plus longtemps nécessitera aussi, selon lui, de répondre au problème de la pénibilité de certaines professions, un aspect sur lequel les syndicats insistent.

"Nos longues discussions avec les partenaires sociaux ont déjà permis des avancées sur cette question difficile et je suis déterminé à aller plus loin pour réfléchir aux réponses à apporter", a dit Xavier Darcos.

La situation des retraites de la fonction publique sera abordée "sans faux semblant", a-t-il ajouté, car "si nous n'agissons pas, c'est l'ensemble des contribuables qui continueront de supporter la dérive financière du régime de retraite des fonctionnaires".

Le déficit de la branche vieillesse (retraites) du régime général de la Sécurité sociale est prévu à 10,7 milliards d'euros cette année, après 8,2 milliards en 2009, et atteindrait 14,5 milliards en 2013 selon les prévisions du gouvernement.

Jean-Baptiste Vey

49 e congrès de la CGT -

N° 124- page 8 - de la note économique ( mars 2009) :

" Quelle réforme structurelle ?

La proposition qui s’appuie sur une critique pertinente de défauts du système actuel ne peut pas être rejetée d’un revers de main. Elle oblige en tous cas à revenir sur les fondements même du système et les choix de réforme. Ces trois dimensions sont toujours présentes dans les différentes composantes des systèmes sociaux de retraite, même si l’histoire propre des régimes en privilégie plutôt l’une ou l’autre. Ainsi en est-il de la fonction « report » qui est à la base du régime historique des pensions de l’État et des industries électriques et gazières. Mais ces régimes n’ignorent pas les fonctions « solidarité » et « assurance ». A l’inverse, les régimes complémentaires du privé comme l’AGIRC et l’ARRCO sont d’abord fondés sur l’assurance mais incluent cependant des dimensions solidaires. Plus globalement, se combinent dans notre système français de retraite un régime de base à caractère redistributif et des régimes complémentaires plus contributifs. Cet équilibre est d’autant plus important que les inégalités s’accroissent fortement :

– tout d’abord, celles liées à l’espérance de vie en bonne santé qui s’amplifient malgré l’allongement moyen de la durée de vie à la retraite ;

– ensuite, celles liées aux parcours professionnels qui induisent de fortes disparités dans l’acquisition des droits ;

– en troisième lieu, les inégalités de genre puisque l’écart de niveau des pensions entre hommes et femmes est de plus d’1/3 ; 600 000 femmes de plus de 65 ans vivent en dessous du seuil de pauvreté.

Il paraît évident qu’il ne faut ni basculer dans un système purement assurantiel, ce qui générerait plus d’inégalité, ni dans un système purement solidaire qui nous conduirait à l’assistance.

[Commentaires perso:

Donc pas de rejet catégorique d'un complément assuranciel ...... bigbisous .A noter aussi , un rejet d'un système complétement soilidaire .... lotrela Pas !C'es très désagréable d'être considéré comme un assisté car je perçois une retraite du système dit solidaire.........beurk]

C’est pourquoi la critique du déséquilibre financier des régimes de retraite au nom des « charges indues » est dangereuse. Le risque est que ce discours justifie la mise en place de deux systèmes qui s’adresseraient chacun à une fraction de la population : d’un côté, le système solidaire auquel auraient accès les citoyens les plus modestes et les salariés précaires et, de l’autre, le système assurantiel qui serait réservé aux couches sociales dont la situation est stable et aux secteurs professionnels les plus favorisés.(...)"

Donc ,je m'interroge sur les débat qui ont eu lieu autour du sujet mais parfois.......Moi , je vous dis qu'ils vont arriver à se mettre d'accord avec Darcos ...... pascontent

Modifié par MarcM
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Darcos il a trouvé un truc pour imposer aux patrons du privé de garder au boulot les + de 55 ans ? C'est bien beau de vouloir faire travailler les gens jusqu'à la fin, mais quand on est éjecté à 55 ans, c'est fini... Y'a déja une solution pour rouvrir les robinets au niveau des recettes : suppression immédiate du bouclier fiscal, taxation accrue des retraites chapeau et autres conneries à 1 ou 2 millions d'euros par an pour patrons du CAC 40, si ils veulent vraiment faire rentrer le pognon il y a des pistes....

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Darcos il a trouvé un truc pour imposer aux patrons du privé de garder au boulot les + de 55 ans ? C'est bien beau de vouloir faire travailler les gens jusqu'à la fin, mais quand on est éjecté à 55 ans, c'est fini...

Il faut sortir de cela .Le GVT n'a aucunement envie de nous faire travailler plus longtemps , pas plus que le MEDEF.

C'est juste un alibi pour diminuer les retraites!

Si tu n'a pas les trimestres nécéssaires , tu aura une retraite moindre = c'est tout !

Tu ne t'en sortiras pas avec ce que tu touches = tu vendra ta maison ou ton appart , en viager....D'ailleurs , il est à noter un retour de "cette formule" depuis qlq temps alors qu'elle avait quasiment disparu .J'ai même entendu des Pub radio récemment ...curieux !

Si tu n'as rien , tu te contentera des minimas sociaux qui subsisteront ....

Ils se moquent pas mal de ce que tu toucheras......

Y'a déja une solution pour rouvrir les robinets au niveau des recettes : suppression immédiate du bouclier fiscal, taxation accrue des retraites chapeau et autres conneries à 1 ou 2 millions d'euros par an pour patrons du CAC 40, si ils veulent vraiment faire rentrer le pognon il y a des pistes....

Comme toi , j'y penses mais on est mal barré .....! !

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Article pas mal ce WE dans Marianne, on nous explique que les conseillers s'activent à l'Elysée, papy Soubie conseille de rester prudent en n'excluant pas un scénario à la 1995, tandis que Minc et les éléments les plus libéraux veulent aller au delà des revendications du MEDEF et un passage éclair au 49/3 fin juin début juillet alors que les médias ne causeront que foot et la période peu propice à la mobilisation et aux grèves.

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