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Le Web des Cheminots

Dates historiques


Invité Gnafron 1er

Messages recommandés

Invité MarcM

Mort de Staline , le 5 Mars 1953

A 21h50, Joseph Vissarionovich Djougachvili meurt dans sa datcha des environs de Moscou, victime d'une hémorragie cérébrale. Il a 73 ans. Appelé Staline, "l'homme d'acier" en russe, il a dirigé la Russie durant plus de 20 ans. A sa mort, toutes les organisations communistes du monde orchestrent des manifestations de deuil conformes au culte de la personnalité que Staline avait instauré. La communauté internationale rend hommage au vainqueur de Stalingrad qui a libéré la Russie du nazisme durant la Seconde Guerre mondiale. Son "règne", symbolisé par des collectivisations massives et une période de répression sans précédent, aura des conséquences désastreuses sur la Russie et l'ensemble de ses dominions communistes.

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une période de répression sans précédent

"Une" période, qu'ils disent... :blush:nonmaismdrmdr sob...

Ou alors il fallait mettre "répression" au pluriel... Et là encore, ça serait un euphémisme. Le "meurtre organisé" serait plus proche de la réalité.

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Invité MarcM

"Une" période, qu'ils disent... :blush:nonmaismdrmdr sob...

Ou alors il fallait mettre "répression" au pluriel... Et là encore, ça serait un euphémisme. Le "meurtre organisé" serait plus proche de la réalité.

On ne va pas mégoter sur les virgules ....................pas !

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Hé Marc, fais gaffe!!!

Le petit fils de Staline a porté plainte contre un journal russe par ce qu'il a critiqué son grand père....

avec le titre de ton topic, tu vas subir la même chose!!!

Verdict: un billet aller simple pour la Sibérie

Bon, finalement, le rejeton stalinien n'a pas obtenu gain de cause....

http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/...53598_3214.html

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Invité MarcM

Hé Marc, fais gaffe!!!

Le petit fils de Staline a porté plainte contre un journal russe par ce qu'il a critiqué son grand père....

avec le titre de ton topic, tu vas subir la même chose!!!

Verdict: un billet aller simple pour la Sibérie

Bon, finalement, le rejeton stalinien n'a pas obtenu gain de cause....

http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/...53598_3214.html

! remarque un mois ou deux au pain sec et à l'eau ferait du bien ....

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wouarf ! remarque un mois ou deux au pain sec et à l'eau ferait du bien ....

Ouais... plus efficace que Wheight Watch*r....

Comme disaient les inconnus:

- T'as perdu combien?

- 3000 balles

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Invité MarcM

Anniversaire de la mort de Pierre Semard: le 7 Mars !Il était secrétaire général de la fédération CGT des cheminots .

Pierre Semard, né le 15 février 1887 à Bragny-sur-Saône (Saône-et-Loire) et mort fusillé par les Allemands le 7 mars 1942 à la prison d'Évreux (Eure) a été syndicaliste, secrétaire général de la Fédération des cheminots et dirigeant du PCF dont il fut secrétaire général de 1924 à 1928.

Enfance et Jeunesse

Fils d'un cantonnier des chemins de fer, et d'une garde-barrière du réseau PLM, Pierre Semard passe son enfance dans la campagne bourguignonne. Il commence à travailler en 1898, après avoir passé son certificat d'études, chez un notaire d'abord, puis chez de nombreux autres employeurs. En 1904, il se rend à Paris et exerce divers petits métiers : apprenti charcutier, vendeur de journaux, débardeur aux halles. En 1906, il retourne en Bourgogne, dans l'Yonne où il gagne sa vie comme charcutier et comme cuisinier. Il se rend ensuite à Lyon puis à Valence où il se fixe finalement en s'engageant pour trois ans dans l'armée. Il est promu au grade de brigadier. Bon danseur, il s'insère facilement dans la société locale. Il trouve également du temps pour lire et arrondit sa solde en gagnant des courses cyclistes. Il épouse une jeune valentinoise avant de revenir à la vie civile.

Il passe alors un examen pour entrer aux chemins de fer comme facteur aux écritures. En 1912, il entre au secrétariat du chef de gare de Valence. C'est là qu'il devient militant syndical.

Militant syndical

À la déclaration de guerre, en 1914, étant père de trois enfants, il est mobilisé sur place. Son engagement syndical lui vaut d'être muté du secrétariariat du chef de gare au service des trains. En 1917, il représente la section de Valence au premier congrés de l'union des syndicats du PLM qui se tient à Avignon. D'après Serge Wolikow, les fonctions qu'il avait exercées au secrétariat du chef de gare auraient freiné son accession aux responsabilités syndicales. Toujours mobilisé fin 1918, il est envoyé en Belgique.

Sa femme atteinte par la grippe espagnole meurt le 3 mars 1919. Le 13 août, Pierre Semard devient secrétaire général d'une Ligue de défense et d'action contre les mercantis et les spéculateurs nouvellement créée et qui regroupe des commerçants et artisans avec des ouvriers. Il reste avant tout le dirigeant des cheminots de la Drôme et déploie une activité militante de plus en plus intense en faveur des idées du syndicalisme révolutionnaire s'inspirant de la révolution française et de la jeune révolution russe.

Ce n'est qu'à partir de 1920 que Pierre Semard commence à jouer un rôle national. Il est l'un des rares dirigeants du syndicat de l'union PLM à exprimer des doutes sur les nationalisations comme mot d'ordre mobilisateur. Révoqué des PLM pour fait de grève, il épouse en secondes noces une ancienne employée des PLM également révoquée. Il devient alors gérant de la coopérative des cheminots pour subvenir aux besoins de sa famille.

Bien vite cependant, l'activité syndicale l'accapare et l'amène à Paris l'année suivante. Il se situe dans le camp des minoritaires, révolutionnaires, contre les réformistes. Au printemps 1921, les minoritaires dominent le syndicat du Réseau PLM, et Pierre Semard, secrétaire à la propagande du syndicat, dénonçant les menaces d'exclusion brandies par la direction de la CGT, déclare « si les minoritaires d'aujourd'hui deviennent les majoritaires de demain, ils n'excluront pas leurs camarades minoritaires ». En Juin 1921, Pierre Semard est élu secrétaire général de la Fédération des cheminots, qui est dans une période particulièrement mouvementée puisque les syndicats qui avaient refusé de reconnaître le nouveau changement de majorité en faveur des révolutionnaires ont quitté la Fédération.

Pierre Semard joue alors un rôle de première importance dans la fondation de la CGTU. Il intervient dans La Vie Ouvrière pour affirmer des conceptions syndicalistes révolutionnaires antibureaucratiques et dénoncer la centralisation bureaucratique. Il réclame la restauration de l'ancien rôle des bourses. En décembre 1921, il signe la motion Mayoux hostile au contrôle du parti sur l'activité syndicale.

Lors du Ier congrès de la CGTU, à Saint-Étienne, en juin 1922, il prend la parole comme membre de la tendance Monmousseau, défendant une position centriste : il plaide pour l'adhésion à une Internationale révolutionnaire, jugeant que la CGTU ne peut pas rester isolée dans le monde, mais il refuse fermement la liaison avec le parti communiste et propose que la CGTU entre dans l'ISR pour y défendre son point de vue.

syndicalisme

De 1932 à 1939, on s'interroge sur la nature des responsabilités de Semard au sein du parti français, mais surtout au sein de l'Internationale. Il réside quelque temps à Moscou en tant que membre du secrétariat international du PCF, et il s'y occupe des questions paysannes.

À l'automne 1933, Semard renoue avec le syndicalisme : le bureau confédéral décide, en accord avec l'ISR, de l'affecter à la Fédération des cheminots qui l'élit secrétaire général le 26 juin 1934. Lors du congrès de fusion entre la CGT et la CGTU, le 24 novembre 1935, il est élu au secrétariat de la fédération réunifiée comme secrétaire général aux côtés de Jarrigion qui représente les ex-confédérés.

En juin 1936, alors que les cheminots n'étaient pas entrés dans la grève, il fait partie de la délégation syndicale qui rencontre Léon Blum et les ministres concernés. Le gouvernement promet d'intervenir auprès des compagnies pour l'octroi de 21 jours de congé, les 40 heures, les conventions collectives et la réintégration des révoqués de 1920. En contrepartie, la direction fédérale s'engage à éviter une occupation des chemins de fer.

Au nom de la CGT, Semard se prononce en faveur de la nationalisation. Lorsque la SNCF est créée, il est un des quatre administrateurs issus de la représentation syndicale. Malgré ses multiples responsabilités il se rend souvent sur la frontière espagnole pour s'occuper de l'acheminement de l'aide matérielle à la République espagnole.

Il souhaite explicitement que la force syndicale puisse éviter d'en venir à la grève générale des chemins de fer dont il rappelle les risques qu'elle comportait. À ceux qui critiquent la participation des secrétaires fédéraux aux instances de la SNCF, Semard oppose la nécessité d'une représentation du personnel agissant sur mandat de l'organisation syndicale.

Au lendemain de la grève du 30 novembre 1938, il est révoqué du conseil d'administration pour avoir signé des tracts qui appelaient à la grève. Le conseil de discipline le rétrograde au rang d'employé aux écritures.

La Seconde Guerre mondiale

À la suite du Pacte germano-soviétique, l'unité du Bureau fédéral de la CGT vole en éclats et les ex-confédérés (CGT) décident, le 25 septembre, d'exclure Semard et ses camarades des fonctions dirigeantes. Pierre Semard est, une fois encore, incarcéré à la Santé par le juge d'instruction militaire sous l'inculpation de détournement de fonds et d'infraction au décret du 26 septembre 1939 concernant la dissolution du PC. En dépit du témoignage favorable de M. Bloch, ingénieur en chef du matériel à la SNCF, il est condamné à trois ans de prison. Le 20 mai, il est évacué et incarcéré à Bourges. Il met à profit son emprisonnement pour écrire et entretenir une correspondance abondante avec sa femme et ses enfants, notamment sa fille Yvette. Il reste très attentif aux problèmes de sa famille. Sa femme est arrêtée en août 1941, puis sa fille Yvette, au début de 1942.

Au début 1942, Semard est transféré de Bourges au camp d'internement de Gaillon où il se retrouve avec les détenus de droit commun. Le 6 mars, on l'envoie à la prison d'Évreux. Il est fusillé comme otage le lendemain à la demande des autorités allemandes.

Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise, à Paris.

Modifié par MarcM
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dans le texte ci dessus : pas un mot sur l'accointence de staline et de semard !

pourtant en atteste cette phrase ci dessous (d'un site stalinien), staline se sentait représenté par semard.

en 1933 déjà, les crimes de staline étaient dénoncés. et pas uniquement depuis le camp de la droite.

bien des militants de la classe ouvriere s'opposaient aux méthodes, à la politique du dictateur.

même et particulièrement des fondateurs de la cgt.

évoquer semard comme le texte ci dessus sans dénoncer, ou poser le problème, c'est éffacer (sauf un passage hyper allusif "que faisait semard à moscou") l'adhésion au stalinisme et à ses horeurs.

J’estime qu’un tel groupe doit se former (…) ou se formera à bref délai autour de camarades tels que Sémard, Thorez, Monmousseau, Crémet ».Staline apporte une précision décisive

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Invité MarcM

dans le texte ci dessus : pas un mot sur l'accointence de staline et de semard !

pourtant en atteste cette phrase ci dessous (d'un site stalinien), staline se sentait représenté par semard.

en 1933 déjà, les crimes de staline étaient dénoncés. et pas uniquement depuis le camp de la droite.

bien des militants de la classe ouvriere s'opposaient aux méthodes, à la politique du dictateur.

même et particulièrement des fondateurs de la cgt.

évoquer semard comme le texte ci dessus sans dénoncer, ou poser le problème, c'est éffacer (sauf un passage hyper allusif "que faisait semard à moscou") l'adhésion au stalinisme et à ses horeurs.

J’estime qu’un tel groupe doit se former (…) ou se formera à bref délai autour de camarades tels que Sémard, Thorez, Monmousseau, Crémet ».Staline apporte une précision décisive

Certe ....

Ce qui suit n'est absolument une apologie du stalinisme .

Simplement , il est bon de replacer cela dans l'histoire "du moment " . Pendant la guerre , combien de "camp " anti hitlérien , y avait il en France ?

Moscou , malgré le pacte germano soviétique .O ne peut balayer le rôle du peuple Russe

Usa, malgré qu'ils ne soient pas entré tout de suite du côté des agréssés

En France , De Gaulle....qui a été le 1er

Et chacun essayait de se trouver une place en fonction de ses sensibilités .

Comme disait Renaud dans sa chanson : "Il n'y avait pas beaucoup de Jean Moulin !"

De Gaulle lui même , n'excluait pas de se rapprocher des Russes si les GB et Usa ne l'écoutaient pas plus .....

Donc juger , aujourd'hui , avec toutes les connaissances que l'on a (après coup ), un homme qui a fait preuve de sa combativité et y a laissé sa vie me parait qlq peu déplaçé .Car , ne pas oublier que le facisme brun était à nos portes ou presque (Allemagne , Italie et Espagne ).

Qu'en 1933 , qu'il y ait des gens qui ont dénonçé Staline ...certe !

Mais , ceux dont c'était les convictions politiques , était "en droit" (pas trouvé d'autres expressions) de penser à une campagne de désinformation compte tenu du contexte de l'époque .

Maintenant , on sait que c'était une connerie.Il y en a eu bien d'autres et pourtant on sait maintenant que "certains" savaient pleins de choses .

Mais doit-on taire leurs combats sous prétexte que les rapprochements qu'ils ont pu avoir ne seraient (peût être) pas ceux qu'on feraient aujourd'hui ?

Pour moi , non !

Car , à leurs places ?

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tout ceci est vrai. Analyser (ni juger ni encenser) un personnage aussi complexe que Staline dans une période aussi complexe de l'histoire mérite beaucoup mieux que trois phrases sur un forum. Encore plus pour ceux et celles qui ont perdu la vie pour ne pas avoir renié leurs engagements du bon côté de la balance.

Ceux-là, qui refusaient de donner du M. Hitler (comme titraient tant de journaux à l'époque) méritent sans conteste notre respect.

Pour le reste, certains ont montré pendant leur court passage au pouvoir qu'ils n'auraient guère fait mieux s'ils y étaient restés.

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Invité MarcM

Perso , je parlais principalement de ne pas juger .

Chez nous , ceux qui écrivaient :

"Hitler plutôt que le front populaire ...."

Ont-ils été jugé ?

Modifié par MarcM
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en 1933, il y avait nombre de témoignages contre le détournement de la révolution russe.

bien des militants ayant été enthousiasmés par la participation massive de la population au renversement de la féodalité et à la mise en place d'une direction issu des rangs des militants les plus progressistes était etra ordinaire.

semard était dirigeant du parti communiste il connaissait les écrits, le combat de ces militants. d'autant que, vis à vis de ces hommes qui voyaient dans la lutte des classes le passage pour un changement de société, il leur menait la guerre.

en 1933 on est pas loin des premiers procès de moscou !

qui suscitent bien des interrogations dans les rangs des militants ouvriers.

semard est dirigeant du parti communiste avec cachin, thorez... d'autres staliniens.

alors dire : "on ne savait pas, qui savait ?" cela n'a d'autre objectif que d'éffacer. le "on se demande ceux qu'il faisait à moscou" est allusif.

semard était stalinien, d'autres militants contemporain on combattu les dérives de la révolution russe en conscience.

parfois contre vents et marées pas lui.

le passé prépare l'avenir, autant le regarder dans les yeux.

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Et chacun essayait de se trouver une place en fonction de ses sensibilités .

Comme disait Renaud dans sa chanson : "Il n'y avait pas beaucoup de Jean Moulin !" .

Mais doit-on taire leurs combats sous prétexte que les rapprochements qu'ils ont pu avoir ne seraient (peût être) pas ceux qu'on feraient aujourd'hui ?

Pour moi , non !

Car , à leurs places ?

Respecter la personne d'un militant n'entraine pas d'approuver tous ses combats... inversement, agir c'est prendre le risque de se tromper.

Pensée donc pour P.Sémard, comme pour ceux qui ont cherché comment tordre le cou à l'idéologie de mort qu'était le nazisme et qui se sont fait abuser par un remède aussi néfaste que le mal ...

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semard était stalinien, d'autres militants contemporain on combattu les dérives de la révolution russe en conscience.

parfois contre vents et marées pas lui.

compte-tenu de la connotation qu'a le terme stalinien dans tes écrits, il ne mérite donc aucune considération. Il n'a même pas droit à une majuscule !

Sans commentaires ....

Modifié par 5121
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un remède aussi néfaste que le mal ...

ajouter presque me paraîtrait plus juste, parce qu'en effet le remède était particulièrement amer, surtout pour les défenseurs du socialisme. Mais sans entrer dans un débat filandreux, il n'y a jamais eu nulle part, ni en URSS ni ailleurs, sauf peut-être au Cambodge, d'extermination massive et systématique comme celle organisée sur une base industrielle par le régime nazi.

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Invité MarcM

compte-tenu de la connotation qu'a le terme stalinien dans tes écrits, il ne mérite donc aucune considération. Il n'a même pas droit à une majuscule !

Sans commentaires ....

Tu as raison sans commentaires.

Comme quoi , finalement :

- il y a des révisonnistes qui contestent l'existence même des chambres à gaz

- il y a en aussi qui ont voulu semer le doute sur l'intégrité de Jean Moulin

- il y en a eu qui refuse d'admettre le rôle de De Gaulle dans la libération de la France

- il y en a qui "cache " la résistance du peuple russe (ex: Stalingrad , jamais célébré en Europe de l'Ouest )

- Maintenant , il y en a qui auraient préféré que P.Semard et d'autres restent les mains dans les poches parce qu'ils ont rencontré Staline ....

Finalement , par cheminement intellectuel qui élimine beaucoup de personnage historique , ils entrent dans un moule bien déterminé :

Seuls les américians ont combattu ...!

Ils retrouvent bien loin des idées qui paraissent être les leurs au départ ....classique ! !

Ne sont-ils pas eux même Staliniens ?

Modifié par MarcM
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n'est pas fait la liste des personnes que semard a rencontré !

je préfèere aucune des deux alternatives proposées.

je remarque que si l'on évoque un dirigeant politique (comme dans l'intro du sujet, pour regretter ensuite l'absence de réaction...), en occultant un aspect important de ce personnage.

on risque de renouveler les : on savait pas, qu'est ce qu'on aurait fait ?

le mini c'est de s'enrichir du passé. des individus ou d'un individu.

que semard est été stalinien certains le regrette, d'autres trouvent cela bien, d'autre s'en accomode.

d'autres ne recherchent ni sauveurs, ni personnages à encenser.

et pour ceux qui veulent comprendre des périodes, le rôle des individus dans ces périodes la pleine lumière est éclairante.

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Invité MarcM

n'est pas fait la liste des personnes que semard a rencontré !

je préfèere aucune des deux alternatives proposées.

je remarque que si l'on évoque un dirigeant politique (comme dans l'intro du sujet, pour regretter ensuite l'absence de réaction...), en occultant un aspect important de ce personnage.

on risque de renouveler les : on savait pas, qu'est ce qu'on aurait fait ?

le mini c'est de s'enrichir du passé. des individus ou d'un individu.

que semard est été stalinien certains le regrette, d'autres trouvent cela bien, d'autre s'en accomode.

d'autres ne recherchent ni sauveurs, ni personnages à encenser.

et pour ceux qui veulent comprendre des périodes, le rôle des individus dans ces périodes la pleine lumière est éclairante.

Il est vrai que beaucoup ne souhaite pas rappeller la mémoire de P.Semard......de droite , de gauche , et d'extreme gauche ... !

Par contre , arrive à s'accomoder d'un pseudo qui rend hommage au créateur de l'armée rouge (qui a servi à Staline helpsoso ), issu d'un milieu Grand BOurgeois? qui est passé de la social démocratie au bolchovisme par enchantement ;Qui a préféré l'exil en Suisse plutôt de resté auprès de son peuple qui souffrait de la 1ére guerre mondiale !

Et qui a participé à la révolution russe en sillonnant la Russie dans un train blindé ...re !

finalement !

Modifié par MarcM
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et pour ceux qui veulent comprendre des périodes, le rôle des individus dans ces périodes la pleine lumière est éclairante.

je ne sais pas en quoi tu as éclairé les choses .... à part des sous-entendus : stalinien -> Staline -> pacte germano-soviétique -> collaboration de fait etc ..... en quoi tu rejoins ceux qui l'ont envoyé en prison d'abord, à la mort ensuite.

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Par contre , arrive à s'accomoder d'un pseudo qui rend hommage au créateur de l'armée rouge (qui a servi à Staline helpsoso ), issu d'un milieu Grand BOurgeois? qui est passé de la social démocratie au bolchovisme par enchantement ;Qui a préféré l'exil en Suisse plutôt de resté auprès de son peuple qui souffrait de la 1ére guerre mondiale !

Et qui a participé à la révolution russe en sillonnant la Russie dans un train blindé ...re !

finalement !

sans oublier la militarisation de l'économie, la répression de Kronstadt et l'écrasement des anarchistes et autres SR. Sacré bilan en si peu de temps .... ça promettait en effet.

Comme pour Staline, l'époque était trop trouble pour porter un jugement définitif et surtout pour se mettre aux côtés des partisans de Nicolas II ! Par contre, ce bilan ne donne aucune justification à traiter Pierre Sémard comme tu (Lev D.) le fais

Modifié par 5121
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Invité MarcM

je ne sais pas en quoi tu as éclairé les choses .... à part des sous-entendus : stalinien -> Staline -> pacte germano-soviétique -> collaboration de fait etc ..... en quoi tu rejoins ceux qui l'ont envoyé en prison d'abord, à la mort ensuite.

De toute manière ,personnellement , j'ai tjrs eu une pensée pour Pierre Semard car ce fut un resistant ouvrier.

Même si celui-ci a rencontré Staline ...d'ailleurs comme tous les chefs d'état de l'époque .

Pour moi , ça reste un personnage historique .....quoiqu'en dient certains .

Surtout dans une période où des journalistes accusent la sncf et les cheminots de collaboration .

Finalement , ceux qui "casent " P.Semard sont dans le même camp , de fait , que Mme Laborde par exemple ....c'est à dire bien loin du monde ouvrier qu'ils prétendent défendre !

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quelques remarques : bien des militants sont passé de la social démocratie au bolchévisme enrussie, pour cause ils étaient tous membre du posdr, c'est ainsi que s'appelait leur parti. tout comme le parti de karl marx s'appelait de son vivant parti social démocrate.

Le Parti ouvrier social-démocrate de Russie, ou POSDR (Российская Социал-Демократическая Рабочая Партия, РС-ДР), Le POSDR se divise plus tard en deux factions : les bolcheviks et les mencheviks.

lénine dont l'activité intellectuel, et l'intervention auprès de son parti a été d'importance ! capitale ? était éffectivement en suisse pendant la 1ere guerre mondiale. il construisait une organisation, rassemblait ceux qui voulait s'opposer à la boucherie de cette guerre en estimant que la guerre servait les puissances de l'argent, contre l'intérêts des masses. une formule d'anatole france (?) on croit mourir pour la patrie, on meurt pour les banquiers.

il avait ralié à sa cause des fondateurs de la CGT de france.

et puis on peut venir d'un milieu aisé, et choisir le camp de la classe dont on pense qu'elle représente l'avenir ...comme lénine par exemple.

Lorsqu'éclate la révolution de Février 1917, suite à la chute du tsar Nicolas II, Lénine se trouve en Suisse à Montreux, comme nombre d'exilés russes.

Son père Ilia Nikolaïevitch Oulianov (1831-1886), monarchiste modéré, fut une grande figure de l'instruction publique en Russie et fut anobli par le Tsar en 1882.

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Pierre Semard était en effet un cheminot militant qui a beaucoup évolué au cours de son engagement.

Son exécution par les nazis est condamnable, bien entendu, et même si ce qu'on peut dire sur ce forum n'y changera rien et n'influe pas sur ce qui a pu se passer à l'époque, la place de l'ensemble du mouvement ouvrier à cette époque était à ses côtés, contre les nazis.

Son meurtre cependant ne peut en revanche servir de prétexte à ne pas discuter de ses choix, de sa politique et de faire un bilan.

Pierre Semard n'était pas juste un militant de base, c'était un dirigeant politique qui s'est illustré par des choix. Des choix bien différents par exemple, des conceptions syndicalistes révolutionnaires, dirigés contre les tendances bureaucratiques centralistes des appareils CGT/CGT-U, qu'il avait défendu dans la Vie Ouvrière des années 20. C'était un dirigeant politique qui a fait le choix conscient, au sein du PCF des années 20, d'accompagner les exclusions de militants historiques comme Boris Souvarine, Alfred Rosmer et bien sur ... Pierre Monatte grande figure du syndicalisme révolutionnaire, qui avaient une toute autre vision (très critique de Staline et des répercussions de la politique stalinienne dans le mouvement ouvrier mondial) et qui dans les années 30 a participé de plein pied à l'avènement/transition vers la nouvelle direction du PCF incarnée par Maurice Thorez et Cie qui était en grande partie leur contraire. Pierre Semard ne s'est pas "trompé", pas plus que Staline. Il a fait des choix politiques en parfaite connaissance de cause et a combattu ceux qui dénonçaient le stalinisme au sein même du mouvement ouvrier, d'un point de vue de classe.

Des choix bien antérieurs à son meurtre, encore une fois condamnable, le 7 mars 1942.

Sinon, pour aller dans le même sens que lev davidovitch, bien des militants sont passés de la social-démocratie vers le bolchévisme. Y compris des dirigeants. De mémoire, Albert Treint, un des dirigeants du PC dans les années 20, était à la SFIO (PS) juste avant de basculer, d'être convaincu par les thèses de l'IC ...

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Invité MarcM

Pierre Semard était en effet un cheminot militant qui a beaucoup évolué au cours de son engagement.

Son exécution par les nazis est condamnable, bien entendu, et même si ce qu'on peut dire sur ce forum n'y changera rien et n'influe pas sur ce qui a pu se passer à l'époque, la place de l'ensemble du mouvement ouvrier à cette époque était à ses côtés, contre les nazis.

Son meurtre cependant ne peut en revanche servir de prétexte à ne pas discuter de ses choix, de sa politique et de faire un bilan.

Pierre Semard n'était pas juste un militant de base, c'était un dirigeant politique qui s'est illustré par des choix. Des choix bien différents par exemple, des conceptions syndicalistes révolutionnaires, dirigés contre les tendances bureaucratiques centralistes des appareils CGT/CGT-U, qu'il avait défendu dans la Vie Ouvrière des années 20. C'était un dirigeant politique qui a fait le choix conscient, au sein du PCF des années 20, d'accompagner les exclusions de militants historiques comme Boris Souvarine, Alfred Rosmer et bien sur ... Pierre Monatte grande figure du syndicalisme révolutionnaire, qui avaient une toute autre vision (très critique de Staline et des répercussions de la politique stalinienne dans le mouvement ouvrier mondial) et qui dans les années 30 a participé de plein pied à l'avènement/transition vers la nouvelle direction du PCF incarnée par Maurice Thorez et Cie qui était en grande partie leur contraire. Pierre Semard ne s'est pas "trompé", pas plus que Staline. Il a fait des choix politiques en parfaite connaissance de cause et a combattu ceux qui dénonçaient le stalinisme au sein même du mouvement ouvrier, d'un point de vue de classe.

Des choix bien antérieurs à son meurtre, encore une fois condamnable, le 7 mars 1942.

Sinon, pour aller dans le même sens que lev davidovitch, bien des militants sont passés de la social-démocratie vers le bolchévisme. Y compris des dirigeants. De mémoire, Albert Treint, un des dirigeants du PC dans les années 20, était à la SFIO (PS) juste avant de basculer, d'être convaincu par les thèses de l'IC ...

Commme d'habitude , vous ré écrivez l'histoire avec les connaissances d'aujourd'hui.

Pour vous , l'assassinat de P.Semard par les nazis est juste condamnable ...Vous êtes écoeurant .Un assassinat est une chose horrible et non un fait juste condamnable .

Relisez vous = par déduction , donc le nazisme est condamnable ......

On s'en fout de vos théories...Ce Sujet est un hommage à Pierre Semard .Vous ouvrez un sujet si vous voulez !

Comme bon nombre , vous crachez sur des gens à qui vous êtes redevables et cela est intolérable à mes yeux !

Surtout que les personnages que vous mettez réguliérement en avant , ont du sang sur les mains .

Le seul sang qu'à Pierre Semard sur ses mains est ....le sien .Lors de son assassinat.

Il n'a jamais fusillé, ni toruturé aucun ouvrier .Contrairement à votre figure de proue !

Dans les mêmes circinstances qu'auriez vous fait ?

Comme votre idôle ...l'exil en Suisse.Votre idôle a pu allé en Suisse (il a été plaçé son argent ? lotrela ) car il était pété de thunes .Vous rétorquerez que d'autres étaient en URSS ou en GB .Mais ils étaient dans un pays en guerre et non dans un pays neutre .

Donc , merci d'ouvrir "votre sujet ".

Modifié par MarcM
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