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Le Web des Cheminots

SNCF réduit peu à peu la proportion de cheminots dans ses effectifs


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Le bilan social 2011 témoigne d'un recul régulier du nombre de salariés bénéficiant du statut spécifique à l'entreprise publique. Dans le même temps, les effectifs des filiales de droit privé augmentent, certaines d'entre elles se positionnant sur les marchés de leurs maisons mères.

A lire ici :

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0202038563739-comment-la-sncf-reduit-peu-a-peu-la-proportion-de-cheminots-dans-ses-effectifs-335657.php

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C'est certain, mais quand dit par des sympathisants de la Gauche, ça peut paraitre cliché...

Là, c'est du "serieux", une presse de Droite et Financière, qui trouve l'orientation de la Direction SNCF dans sa droite ligne de pensée..

On y note d'ailleurs toujours les termes "statut" et "privilégié" souvent associés, afin de continuer à bien "marquer" les Cheminots....

Bien entendu, ce que certains disaient et disent se verifie encore, la fuite de la charge vers les filiales.. et le passage des nouveaux agents vers le droit du travail commun...sous le pretexte de la concurrence et de la crise...réelle, bien entendu.

Le seul, à la fois petit mais trés grand privilège des Cheminots consiste, ou consistait, en la Solidarité et la structure sociale...Tout ce que la culture individualiste ne peut tolerer, seul frein à son expansion galopante au service, si on ouvre un peu les yeux et la cervelle, de quelques privilégiés, ceux là les vrais... qui ne font aucun bruit, parcequ'ils font travailler les autres à propager assez efficacement leurs noires idées....

Fabrice

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Invité TRAM21

C'est certain, mais quand dit par des sympathisants de la Gauche, ça peut paraitre cliché...

Là, c'est du "serieux", une presse de Droite et Financière, qui trouve l'orientation de la Direction SNCF dans sa droite ligne de pensée..

On y note d'ailleurs toujours les termes "statut" et "privilégié" souvent associés, afin de continuer à bien "marquer" les Cheminots....

Bien entendu, ce que certains disaient et disent se verifie encore, la fuite de la charge vers les filiales.. et le passage des nouveaux agents vers le droit du travail commun...sous le pretexte de la concurrence et de la crise...réelle, bien entendu.

Le seul, à la fois petit mais trés grand privilège des Cheminots consiste, ou consistait, en la Solidarité et la structure sociale...Tout ce que la culture individualiste ne peut tolerer, seul frein à son expansion galopante au service, si on ouvre un peu les yeux et la cervelle, de quelques privilégiés, ceux là les vrais... qui ne font aucun bruit, parcequ'ils font travailler les autres à propager assez efficacement leurs noires idées....

Fabrice

ça permet également d'allumer un contre-feu, afin de protéger les vrais privilégiés, qui se gavent à coups de bonus, stock-option et autres parachutes dorés !

si on parlait des privilèges des députés-sénateurs, par exemple ?

à côté, le système de retraite "privilégié" des cheminots SNCF fait vraiment petit joueur...

Modifié par TRAM21
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ça permet également d'allumer un contre-feu, afin de protéger les vrais privilégiés, qui se gavent à coups de bonus, stock-option et autres parachutes dorés !

si on parlait des privilèges des députés-sénateurs, par exemple ?

à côté, le système de retraite "privilégié" des cheminots SNCF fait vraiment petit joueur...

Les journalistes ne sont pas aussi pédagogues sur leur régime. Je ne veux pas le dénoncer, mais ce n'est pas normal qu'ils se fassent l'écho de cette politique de dénigrement des régimes spéciaux.

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Les journalistes ne sont pas aussi pédagogues sur leur régime. Je ne veux pas le dénoncer, mais ce n'est pas normal qu'ils se fassent l'écho de cette politique de dénigrement des régimes spéciaux.

Les journalistes sont actuellement dans une grande précarité d'emploi, eux aussi.

La plupart des journaux tournent avec des pigistes parfois très compétents mais totalement sous payés avec une liberté d'écriture absente.

Ils n'ont aucune chance de vendre leur article si ce n'est pas dans la ligne éditoriale du journal.

Les vrais journalistes sont la minorité, maintenant. C'est encore pire que la concurrence ferroviaire comme dégradation de statut.

On ne raisonne pas de la même manière quand on a un emploi à vie et quand on sait qu'on peut se retrouver au chômage d'un jour à l'autre.

L'article a au moins le mérite de parler de ce contournement du statut. Après, Les Echos", c'est "Les Echos". Pour eux, c'est un article assez modéré je trouve.

Moi, je suis un vrai privilégié, j'ai une profession dans laquelle il n'y aura pas de chômage de mon vivant et je n'ai pas besoin pour ça d'être dans la fonction publique.

La dernière fois que la dame de l'assurance maladie m'a fait remarquer qu'elle n'aurait jamais le salaire de mes collaboratrices, je lui ai dit que je l'embauchait à un salaire double mais que je n'avais aucune certitude sur la possibilité de financement de son poste plus d'un an du fait de la diminution des financements possibles. Elle n'a pas voulu quitter son statut fonction publique, et elle n'a pas hésité une seconde.

Tout le monde souffre. A des niveaux différents mais globalement c'est la merde.

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Les journalistes sont actuellement dans une grande précarité d'emploi, eux aussi.

La plupart des journaux tournent avec des pigistes parfois très compétents mais totalement sous payés avec une liberté d'écriture absente.

Ils n'ont aucune chance de vendre leur article si ce n'est pas dans la ligne éditoriale du journal.

Les vrais journalistes sont la minorité, maintenant. C'est encore pire que la concurrence ferroviaire comme dégradation de statut.

On ne raisonne pas de la même manière quand on a un emploi à vie et quand on sait qu'on peut se retrouver au chômage d'un jour à l'autre.

L'article a au moins le mérite de parler de ce contournement du statut. Après, Les Echos", c'est "Les Echos". Pour eux, c'est un article assez modéré je trouve.

Moi, je suis un vrai privilégié, j'ai une profession dans laquelle il n'y aura pas de chômage de mon vivant et je n'ai pas besoin pour ça d'être dans la fonction publique.

La dernière fois que la dame de l'assurance maladie m'a fait remarquer qu'elle n'aurait jamais le salaire de mes collaboratrices, je lui ai dit que je l'embauchait à un salaire double mais que je n'avais aucune certitude sur la possibilité de financement de son poste plus d'un an du fait de la diminution des financements possibles. Elle n'a pas voulu quitter son statut fonction publique, et elle n'a pas hésité une seconde.

Tout le monde souffre. A des niveaux différents mais globalement c'est la merde.

Je connais très bien la profession, les Echos en particulier et les conditions sociales Aldo. Je trouve justement qu'en ces temps difficiles, on a besoin de se serrer les coudes, pas de diviser.

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Je connais très bien la profession, les Echos en particulier et les conditions sociales Aldo. Je trouve justement qu'en ces temps difficiles, on a besoin de se serrer les coudes, pas de diviser.

Oui, malheureusement les journaux ont besoin de vendre et s'assoient parfois par dessus toute objectivité.

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