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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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C'est tous les jours le 1er avril... mais en fin de compte qui paira cette taxe : le consommateur et le citoyen ... merci Madame, Monsieur le Maire de prendre autant de soin de vos administrés...
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Un sujet très intéressant connu depuis bien longtemps mais toujours aussi peu médiatisé... donc répercuté... Silence...
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Lettre de G GARREL du 11/05/11
Dom Le Trappeur a répondu à On Sight situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
heureusement que Gilbert GARREL a écrit à l'EPSF, cela nous a permis de découvrir le nom du nouveau Directeur Général de l'EPSF (merci à toi...) Le rectif était passé inapperçu... c'est vrai que l'actualité est bien prenante depuis bebut janvier... Tiens j'en profite pour mettre le lien vers la dite-lettre : http://www.cheminots...e-incident-ecr/ -
Affaire DSK : la femme de chambre aurait été découverte "tremblante" et "traumatisée" http://www.lemonde.f...#ens_id=1522342 LEMONDE.FR | 22.05.11 | 12h45 La femme de chambre, qui affirme avoir été violée samedi 14 mai par Dominique Strauss-Kahn, se serait cachée dans un couloir de l'hôtel juste après l'agression. Elle aurait été découverte "traumatisée, avec des difficultés à parler et inquiète de perdre son travail si elle portait plainte", assure un journaliste du Center for public integrity, une fondation qui finance le journalisme d'investigation. Center for public integrity le lien ci-dessus est en anglais
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Ben oui, on m'a dit de toujours sortir couvert...
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Elections locales en Espagne sur fond de manifestations Des milliers d'Espagnols ont campé dans la nuit de samedi à dimanche dans plusieurs villes du pays pour protester contre les mesures d'austérité et le chômage à quelques heures d'élections locales qui devraient sanctionner le gouvernement socialiste. Des dizaines de milliers de manifestants se sont rassemblés toute la semaine et samedi soir, ils étaient près de 30.000 amassés sur la place centrale de Madrid, la Puerta del Sol, pour protester contre la gestion de la crise économique par le gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero. http://fr.news.yahoo.com/elections-locales-en-espagne-sur-fond-manifestations-072236154.html;_ylt=AntsKENf6VruhnW1.tzMM4b.fcl_;_ylu=X3oDMTM5NGRjb2cxBHBrZwM5MGMxNDA2NC1lNjViLTNhNmYtODExMy04YmNkOTEwOTQ0YjMEcG9zAzEEc2VjA01lZGlhVG9wU3RvcnkEdmVyA2EwOTIyNjEwLTg0NDQtMTFlMC05ZjdlLTMwOTY0OWE2OTJiYg--;_ylg=X3oDMTFjczM0ajEzBGludGwDZnIEbGFuZwNmci1mcgRwc3RhaWQDBHB0A3NlY3Rpb25zBHRlc3QD;_ylv=3
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A défaut de parapluie, pourraient-ils mettre un distributeur de préservatifs ...?
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A lire ... Une affaire qui révèle quelque chose sur nos représentations Par CLÉMENTINE AUTAIN Directrice du mensuel «Regards» et membre de la Fédération pour une alternative sociale et écologique Sidération : depuis la révélation de «l’affaire DSK», la France est en état de choc. Ce que l’on n’arrive pas à croire, c’est qu’un homme de pouvoir aussi haut placé ait pu violer une femme de chambre. Personne, à part les deux protagonistes, ne sait ce qui s’est réellement passé dans la suite du Sofitel new-yorkais. Mais la réception de l’événement raconte quelque chose de profond sur nos représentations. La parole des femmes victimes de violences sexuelles est suspecte. On sous-estime l’ampleur du phénomène, voire sa banalité : un viol a lieu tous les quarts d’heure en France. Une grande confusion domine entre la drague, le libertinage, «l’amour des femmes», d’une part, et le harcèlement, les agressions sexuelles, le viol, d’autre part. «L’homme qui aime les femmes sans modération», titrait un quotidien, au moment où DSK est accusé d’avoir imposé une fellation à une employée d’hôtel et de l’avoir séquestrée. Les stéréotypes sur le profil des violeurs ont également la vie dure : un «homme aussi intelligent» n’aurait pas pu commettre un tel crime, réservé dans l’imaginaire collectif aux milieux populaires. Or les auteurs de violences sexuelles se recrutent dans toutes les catégories sociales. Quel que soit le verdict juridique, c’est l’occasion de briser le silence qui entoure le viol, de dénoncer l’omerta sur les comportements de nombreux hommes de pouvoir qui utilisent leur position pour obtenir des relations sexuelles en écrasant le désir de l’autre. En politique comme dans les entreprises, certains dirigeants considèrent les femmes comme des proies à saisir pour compléter un tableau de chasse. La tolérance sociale à l’égard de ce type de violences est forte, comme l’a illustré la phrase de Jack Lang sur son «ami» DSK : «Il n’y a pas mort d’homme.» Après tout, ce qui est en cause n’est que le viol d’une femme de chambre… Le viol est profondément destructeur pour les victimes et pèse comme une menace sur la liberté de toutes les femmes. Au-delà du politiquement correct qu’est devenue la lutte contre la domination masculine, il est temps de se donner les moyens de combattre son expression ultime. La parole doit être libérée. Nous, femmes violées, sommes invisibles d’abord parce que nous sommes enfermées dans le silence, prisonnières de nos peurs, celle de ne pas être crue, celle du regard des autres. On estime que seule une femme sur dix porte plainte. Aller raconter dans un bureau froid, devant un inconnu, les détails crus d’un viol est pour le moins difficile. Le viol est le seul crime dans lequel la victime a généralement honte et nourrit un sentiment de culpabilité. Le cas de Tristane Banon ne dit pas autre chose. En 2007, quand elle raconte dans une émission de Thierry Ardisson qu’elle a été victime d’une tentative de viol de la part d’un homme politique, le ricanement des hommes présents est glaçant. Elle dit que l’homme l’a mise à terre et lui a arraché son soutien-gorge. A ce moment-là, Ardisson réplique en rigolant : «J’adore.» Le nom du politique est bipé mais cette révélation ne suscite aucune enquête, aucune reprise journalistique. Silence radio. Encouragée par sa mère et son éditeur, Tristane Banon décide de ne pas porter plainte. La peur de ne pas être crue, de voir sa carrière brisée, d’être à vie vue comme celle qui a dénoncé ces faits. J’ai mis plus de dix ans à dire publiquement cette vérité : j’ai été victime de viol. Avant, je mentais sur les raisons de mon engagement féministe. Et tout le monde, ou presque, autour de moi m’incitait à me taire. Il m’a fallu du temps pour avoir la force d’assumer. Mais je ressassais : par mon silence, je suis complice des violeurs. Ce n’est pas ma vie privée, c’est la violation de mon intimité, de mon intégrité. C’est un crime. Si aucune victime ne montre son visage, quelle peut en être la réalité ? Je voulais témoigner aussi qu’il est possible de vivre et non survivre après un viol. L’homme qui m’a violée a avoué avoir commis entre vingt et trente viols. Aux Assises, nous étions trois plaignantes. Je pense à celles qui n’étaient pas là. Pour elles, pour toutes celles qui ont peur, sont seules dans la douleur et dont le violeur court toujours, je veux dire à toute la société que les oreilles doivent se tendre et qu’il est temps de nous entendre et de nous croire.
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Analyse Le Monde L'affaire Strauss-Kahn, leçon de démocratie http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/05/21/l-affaire-strauss-kahn-lecon-de-democratie_1525489_3232.html#ens_id=1522342 "Atteinte aux droits de l'homme", "mise à mort médiatique", "traitement injuste","mise en scène judiciaire honteuse" : les griefs contre le sort réservé à Dominique Strauss-Kahn formulés par les élites intellectuelles, politiques et économiques françaises, dans des cercles privés comme publics, ont traversé les clivages partisans. Ce concert d'indignations dépasse en effet le seul cadre des amis et des fidèles de l'ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) et candidat potentiel à la primaire socialiste pour l'élection présidentielle de 2012 en France. Même les Français, par le biais des sondages, partagent l'incrédulité des classes dirigeantes en évoquant "la brutalité des images" et "une manipulation". Cette sidération est pourtant proprement française. Elle renvoie aux archaïsmes de notre société et à la place de la justice dans notre démocratie si pauvre en culture de contre-pouvoir. Une fois de plus, les élites françaises se scandalisent du fonctionnement de la justice quand elle s'applique à l'un d'eux. En France, à la fin des années 1990, quand le monde politique et économique a dû répondre devant les juges des dérives financières mélangeant l'argent public et privé, il a, d'un coup, découvert l'horreur du régime, déjà ancien, des gardes à vue et de la détention. Il a fallu, alors, d'urgence, réduire les prérogatives du juge d'instruction, suspecté de s'ériger en juge de la démocratie et de la bonne gestion. Cette fois-ci, une justice étrangère réserve à un membre éminent de l'univers politique français, proche des cercles de pouvoir économiques et intellectuels et accusé de faits criminels, un traitement égal à celui de tout justiciable. Selon de nombreux commentaires émanant de responsables français, la justice américaine aurait commis une forme d'abus de pouvoir et se serait fait de la publicité sur le dos de M. Strauss-Kahn en l'exhibant ainsi devant les caméras. Il aurait dû être protégé. N'a-t-il pas, a-t-on pu lire et entendre, rendu de grands services dans le cadre de ses fonctions professionnelles ? Mais la première injustice du système judiciaire américain ne réside pas dans ce traitement, qui est tout à fait ordinaire aux Etats-Unis. Ce qui paraît brutal, vu de France, n'est que l'absence de prise en compte, dans ce pays étranger, de considération sociale dans la façon de traiter le suspect. Ce qui paraît violent au public français n'est que l'absence d'égards dus, pense-t-on, à la "caste sociale" de l'intéressé. L'iniquité de la justice américaine est pourtant avant tout économique. Elle se trouve en effet dans la place extraordinaire prise par l'argent dont dispose l'accusé pour se défendre. De sa fortune dépend la qualité des avocats et des moyens déployés pour soutenir sa cause devant la justice. A ce titre, M. Strauss-Kahn figure parmi les privilégiés, et son incarcération a obéi tout de même à des considérations humaines puisqu'il n'a pas été mêlé aux autres prisonniers au cours de sa détention. Il n'est pas victime avant même d'avoir été jugé. La protection offerte à la plaignante à l'origine des accusations retenues contre M. Strauss-Kahn, par les services de police et du procureur new-yorkais, permet avant tout d'équilibrer le jeu judiciaire. A l'abri des pressions, la présumée victime n'est pas un pion instrumentalisé dans le cadre d'une chasse à l'homme ; sa protection illustre, de façon concrète, l'indépendance de la justice et permet de maintenir l'égalité d'un rapport de forces inévitable entre les parties. Il existe, certes, une mise en scène de la part des chefs de la police et du parquet, mais c'est celle d'une justice élue qui rend des comptes à ses électeurs sur le terrain de son indépendance. Enfin, nous ne sommes pas confrontés dans cette affaire à un accès de puritanisme anglo-saxon, comme celui dont les Américains ont pu faire preuve notamment dans le cas de Bill Clinton pour l'affaire Lewinsky. C'est un dossier criminel qui repose sur des chefs de poursuite graves. Ce qui choque, en France, finalement, c'est cette culture de contre-pouvoir américain. Chez nous, historiquement, la justice a été construite pour protéger les biens et les personnes, et non pour s'ériger en véritable pilier de la démocratie, à hauteur des pouvoirs politique et économique. Il a fallu beaucoup d'efforts, dans les années 1990, pour que la justice française s'arme contre les grands délits financiers derrière lesquels se cachaient le financement illégal de la vie politique, la corruption d'élus et les bilans truqués des grands groupes. Mais, depuis les années 2000, le pouvoir politique, soutenu par la puissance économique, a tué cette volonté émancipatrice d'une justice qui était en passe de rééquilibrer les pouvoirs au sein de notre démocratie et, par là même, de moderniser le lien entre la démocratie française, la République et ses élites. Que la justice s'occupe des agresseurs de vieilles dames et des pilleurs de banques ! Une vraie justice de classe. L'"Angolagate", les affaires Chirac ou Bettencourt, et tant d'autres, n'ont fait que démontrer à quel point le pouvoir politique, en France, entend contrôler étroitement le cours de la justice au gré de considérations douteuses, voire partisanes, et souvent liées à la puissance des personnes et des intérêts potentiellement visés par des poursuites judiciaires. Même le traitement réservé à certains témoins dans des volets du dossier Bettencourt a montré que la puissance publique, par la voie du parquet de Nanterre (Hauts-de-Seine) et des policiers, pouvait tenter de transformer des plaignants en suspects. L'indignation française dans l'affaire DSK agit comme un miroir d'une démocratie bancale. La rencontre entre l'un des membres les plus éminents de l'élite, et la justice américaine n'est pas brutale en soi : elle montre surtout le chemin qui reste à parcourir en termes de séparation des pouvoirs dans notre pays.
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Ce fil, parait-il, est considéré par certains comme un peu partial voir acide ce qui n'est certainement pas faux ... Encore faut-il souvent en avoir une lecture au deuxième voir millième degré, sans parler des modes "humour" ou "(mauvaise) humeur"... Mais je suis sûr que tu vas nous éclairer de ton analyse lucide... Ceci étant, tu ne dois pas avoir tout lu sur le FMI et ses conséquences sur les peuples... (moi non plus d'ailleurs... j'en découvre tout les jours...)
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A coup de dizaines de milliers de dollars ... La société de sécurité Guidepost Solutions mène l'enquête pour les avocats de l'inculpé http://www.lemonde.fr/dsk/article/2011/05/21/la-societe-de-securite-guidepost-solutions-mene-l-enquete-pour-les-avocats-de-l-inculpe_1525620_1522571.html#ens_id=1522342
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Politique Addiction Fiction... «Dominique a été pris en grippe par quelques-uns des gangs les plus redoutés. Les Bloods étaient en violent désaccord avec sa vision keynésienne et préféraient l'approche néoclassique de la charge de la dette. Encore pire était sa querelle avec les Latin Kings sur le modèle optimal de régulation macro-prudentielle. Pendant un moment, on aurait dit que la question était seulement de savoir quel gang l'aurait le premier. Il avait même peur de se doucher seul par peur d'être assailli par un fanatique de la discipline budgétaire.» « Un jour, on lui a confié la charge de la banque à tabac de Rikers. L'Espagnol qui s'en occupait avait été poignardé et les règles disaient que le boulot devait aller à un Européen, donc Dominique s'est présenté. Les prisonniers à court de cigarettes pouvaient venir lui demander un prêt. […] Parfois, il restructurait leurs cigarettes de qualité en roulées.» «Un matin, il était parti. Ils ont mis sa cellule sans dessus dessous et il n'était plus là. […] Quelques jours plus tard, un homme répondant à sa description et se faisant appeler Monte Cristo s'est présenté dans une banque de New York où il avait transféré tous les profits de la banque à tabac. Il a retiré une grosse somme et a dit qu'il rentrait en France pour "régler des comptes".» Sous le titre «DSK and the Rikers Redemption» (qui rappelle The Shawshank Redemption de Frank Darabont, alias Les Evadés), l'éditorialiste Robert Shrimsley a imaginé une fiction dont il explique qu'elle «s'ouvre sur les hauts murs d'une prison de New York, alors qu'une musique douce s'évanouit et qu'on entend la voix de Morgan Freeman».
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Au Sujet de la Sécurité Ferroviaire (Incident ECR)
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Informations syndicales
11 mai 2011 Lettre de Gilbert GARREL secrétaire Général de la Fédération des Cheminots CGT à Mrs MARIANI secrétaire d'Etat aux Transports Et AYMRIC Directeur de l'EPSF au sujet de la sécurité ferroviaire et d'un nouvel incident concernant la société privée ECR (absence KVB sur un train Valenton Marseille) A noter que sur l'organigramme de l'EPSF voir lien suivant: http://www.securite-...hp?mod=2&id=172 Le Directeur Général est Denis HUNEAU http://www.securite-ferroviaire.fr/fr/index.php?mod=1&id=127 Voir également page suivante mais le lien pdf est encommagé : http://www.securite-...hp?mod=4&id=130 2011-05-21-cgt-cheminots-SecuriteFerroviaireKVB-ECR.pdf -
Je te conseille de relancer PAR ECRIT ta demande auprès de ton Directeur d'Etablissement (via ton Dpx, Dup...) : courrier écrit avec attestations et documents si tu en as... Tu rappelles tout ton historique professionnel et l'historique de ta demande de mutation, tu expliques la situation professionnelle de ton épouse (dates, mutation professionnelle etc...) tu développes tous les arguments en ta faveur. Tu conserves un exemplaire de tous les documents à ranger dans un dossier que tu conserveras. Si tu remets ta lettre à ton Dpx tu lui demandes un accusé de réception (il peut daté et signé le double de ta lettre par exemple) Rien ne t'em^pêche d'adresser à ton DET une lettre recommandé avec accusé de réception (les écrits restent, les paroles s'envolent...et nous avons tous une très mauvaise mémoire) Double à tes Délégués du Personnel pour leurs demander une intervention en réunion de DP sur ton cas personnel.
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Radars. Les panneaux toujours en place en Bretagne [Carte] http://www.letelegra...011-1303379.php Rennes. Amendes radar : grève encore reconduite à Asphéria http://www.letelegra...011-1308286.php Les salariés du site Asphéria à Rennes - le seul en France à traiter les amendes des radars automatiques - ont à nouveau reconduit ce vendredi la grève commencée lundi pour réclamer "des salaires décents", a-t-on appris vendredi de sources syndicales. Sur le site rennais qui emploie 110 personnes, les salariés estiment notamment insuffisante la hausse de salaire de 1,7% prévue par les négociations annuelles obligatoires. Ils ont réclamé en début de semaine 150 euros bruts par mois, avec une prise en compte de l'ancienneté, puis jeudi ont fait une nouvelle proposition de 20 euros mensuels par salarié mais vendredi "devant le refus de la direction de négocier, devant ce mépris les salariés ont décidé de reconduire le mouvement de grève vendredi, a indiqué à l'AFP Benoît Robert, secrétaire fédéral FO. Selon la direction, une grille de classification pour les opérateurs, qui devait être mise en place au 1er janvier 2012, entrerait en vigueur au 1er juillet pour "encadrer l'évolution professionnelle de cette catégorie".
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Une montgolfière tombe sur les caténaires
Dom Le Trappeur a répondu à ADC01 situé dans Actualité ferroviaire générale
Avec une photo... http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Montgolfiere-sur-les-rails-circulation-des-trains-paralysee-pres-de-Nantes_6346-1804971_actu.Htm -
Point de vue Sexisme : ils se lâchent, les femmes trinquent http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/05/21/sexisme-ils-se-lachent-les-femmes-trinquent_1525179_3232.html#ens_id=1522342 Depuis une semaine, nous sommes abasourdies par le déferlement quotidien de propos misogynes tenus par des personnalités publiques, largement relayés sur nos écrans, postes de radios, lieux de travail comme sur les réseaux sociaux. Nous avons eu droit à un florilège de remarques sexistes, du "il n'y a pas mort d'homme" au "troussage de domestique" en passant par "c'est un tort d'aimer les femmes ?" ou les commentaires établissant un lien entre l'apparence physique des femmes, leur tenue vestimentaire et le comportement des hommes qu'elles croisent. Nous sommes en colère, révoltées et révoltés, indignées et indignés. Nous ne savons pas ce qui s'est passé à New York samedi 14 mai mais nous savons ce qui se passe en France depuis une semaine. Nous assistons à une fulgurante remontée à la surface de réflexes sexistes et réactionnaires, si prompts à surgir chez une partie des élites françaises. Ces propos illustrent l'impunité qui règne dans notre pays quant à l'expression publique d'un sexisme décomplexé. Autant de tolérance ne serait acceptée dans nul autre cas de discrimination. Ces propos tendent à minimiser la gravité du viol, tendent à en faire une situation aux frontières floues, plus ou moins acceptable, une sorte de dérapage. Ils envoient un message simple aux victimes présentes et futures : "ne portez pas plainte". Nous le rappelons : le viol et la tentative de viol sont des crimes. Ces propos prouvent à quel point la réalité des violences faites aux femmes est méconnue. De la part d'élites qui prétendent diriger notre société, c'est particulièrement inquiétant. 75 000 femmes sont violées chaque année dans notre pays, de toutes catégories sociales, de tous âges. Leur seul point commun est d'être des femmes. Le seul point commun des agresseurs, c'est d'être des hommes. Enfin, ces propos font apparaître une confusion intolérable entre liberté sexuelle et violence faite aux femmes. Les actes violents, viol, tentative de viol, harcèlement sont la marque d'une volonté de domination des hommes sur le corps des femmes. Faire ce parallèle est dangereux et malhonnête : ils ouvrent la voix aux partisans d'un retour à l'ordre moral qui freine l'émancipation des femmes et des hommes. Les personnalités publiques qui véhiculent des stéréotypes qu'on croyait d'un autre siècle insultent toutes les femmes ainsi que toutes celles et ceux qui tiennent à la dignité humaine et luttent au quotidien pour faire avancer l'égalité femmes - hommes. Cet appel contre le sexisme est initié par les associations Osez le Féminisme et La Barbe.
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Affaire DSK : "Oui, il faut prendre au sérieux la femme victime !" http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/05/20/affaire-dsk-oui-il-faut-prendre-au-serieux-la-femme-victime_1524815_3232.html Les hommes et femmes politiques français(es), ainsi que les médias, ont répété à l'envi que Dominique Strauss-Kahn était "présumé innocent". Peu ont cru bon de préciser que la femme de chambre était, elle, "présumée victime". Jusqu'à preuve du contraire, et même si c'est un exercice difficile, on doit les croire tous les deux. Il n'y a aucune raison de remettre en cause a priori la parole de cette femme: même si son statut social est considéré comme inférieur à celui de l'accusé, sa parole, devant la justice, vaut autant, et il faut se réjouir de ce principe d'égalité. Pourquoi n'est-ce pas le principe qui prévaut dans le traitement médiatique de cette affaire ? Parce que la victime présumée est une immigrée? Parce qu'elle est femme de chambre ? Ou simplement parce qu'il s'agit d'un crime sexuel et sexiste ? La mise en doute de la parole des victimes de viol ou d'agression sexuelle est monnaie courante, beaucoup plus que pour d'autres types d'agressions. Leur entourage, puis parfois la police, peut les accuser d'affabuler, d'exagérer; au mieux, elles sont soupçonnées d'avoir été imprudentes, peut-être même tentatrices. Et si on finit par les croire, les pressions sont souvent fortes pour étouffer l'affaire. C'est pour ces raisons que seule 1 victime sur 10 porte plainte, alors que plus de 75 000 femmes sont violées chaque année en France. Dans cette mesure, comment reprocher aux femmes victimes de violences sexuelles de ne pas avoir parlé ou porté plainte immédiatement –comme on l'a entendu sur certains plateaux de télévision? Lorsque, au surplus, l'agresseur est un homme disposant d'une aura médiatique, d'une position sociale privilégiée, est-il si difficile d'imaginer leur sentiment d'impuissance et d'écrasement ? Dans ce contexte, il faut saluer le courage de cette femme de chambre, qui maintient sa version malgré les pressions de l'opinion internationale voire les insultes, ainsi que celui de son employeur, qui l'a soutenue dans sa plainte contre un client pourtant rémunérateur… Le soupçon systématique qui pèse sur les victimes d'agression sexuelle sévit de nouveau. Les commentaires au sujet de l'aspect physique de la femme de chambre plaignante, "peu séduisante" pour certains, "très jolie" pour d'autres, sont hors de propos : cherche-t-on à établir le profil type de la "bonne" victime ? Il n'existe pas, les associations d'aide aux victimes le savent. On voit bien, en revanche, quel est le but de ces remarques: si elle n'est pas séduisante, il n'y a, dit-on, aucune raison de la violer; si elle l'est, elle a donc aguiché; dans les deux cas, sa parole est disqualifiée. Par chance pour elle, l'enquête de voisinage se révèle favorable; ses voisins n'en disent que du bien et sa vie semble "moralement irréprochable", selon les critères retenus. On comprend que le viol d'une femme désagréable avec les voisins et ayant plusieurs amants ne serait plus vraiment un crime! LIBERTINAGE Cette façon de jauger la légitimité de la victime renvoie à la confusion entre ce qui relève de la vie privée et des actes condamnables au regard du code pénal. Pourtant, entre des relations sexuelles et un crime sexuel, la frontière est claire: le consentement entre adultes. Un homme qui plaque une femme au sol et tente de lui arracher ses vêtements contre son gré, c'est une tentative de viol. Un homme qui, après avoir rencontré une femme dans un cadre professionnel, multiplie les messages insistants et grossiers, c'est du harcèlement sexuel. Un homme qui abuse de sa position professionnelle pour forcer une collaboratrice à avoir une liaison, c'est du harcèlement sexuel et un viol. Un homme qui va, seul ou accompagné, dans des bars échangistes… il s'agit alors de vie privée. Lorsque les journalistes parlent de libertinage pour évoquer l'agression sexuelle dont Dominique Strauss-Kahn est accusé, ils participent de cette confusion et confortent la tolérance de notre société envers les violences sexuelles, au nom d'une pseudo-séduction à la française. Pour faire reculer ces violences, il est essentiel d'écouter la parole des victimes, même supposées. Si la présomption d'innocence est un principe fondamental, elle ne peut être un alibi à la négation de cette parole. Dominique Strauss-Kahn dispose d'avocats efficaces, de moyens financiers, d'une famille et d'amis prêts à le défendre. Souhaitons à cette femme migrante, mère seule avec enfant, autant de soutiens à l'heure où sa vie, en plus d'être bouleversée, va être disséquée. Béatrice Gamba, Agnès Guérin-Battesti, porte-parole de l’association Mix-Cité Paris
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Affaire Dominique Strauss-Kahn Clémentine Autain : "Il y a une tolérance sociale extrême face à cette histoire" http://www.aufeminin.com/combats-de-femmes/interview-clementine-autain-dominique-strauss-kahn-d20290.html Clémentine Autain, ancienne conseillère à la Mairie de Paris, membre de la Fédération pour une alternative sociale et écologique, et féministe convaincue, décrypte pour nous la façon dont est vécue l'affaire DSK dans les médias et dans l'opinion. Et en profite pour dénoncer le lourd tabou social qui pèse sur les violences faites aux femmes. Alors que les médias s’attachent tous à préciser que Dominique Strauss-Kahn reste présumé innocent, vous êtes allée à contre courant en rappelant aussi la "présomption de victime". Pourquoi ? Dans les premières 24h, j’étais extrêmement choquée de la tonalité générale des commentaires qui parlaient de l’épreuve que traverse Dominique Strauss-Kahn, qui avaient une pensée pour ses amis, sa femme, ses camarades socialistes, qui se souciaient de l’image de la France ou de l’impact sur les primaires. Et il y avait une grande absente : c’était la femme de chambre. Quelque soit ce qu’il s’est passé dans la suite du Sofitel, elle traverse elle aussi une épreuve et à elle aussi une famille qui doit vivre un sale moment. Et je trouvais qu’il n’y avait pas deux poids deux mesures. S’il y a une présomption d’innocence à respecter - j’y tiens, et je trouve d’ailleurs que cette présomption qui ne fonctionne pas aux Etats-Unis est un vrai problème - avoir "de la dignité et de la décence", comme l’ont beaucoup réclamé les socialistes, c’est aussi avoir une pensée pour la victime présumée de cette tentative de viol. Pensez-vous qu'il y a un consensus médiatique et politique autour de cette affaire ? Oui, consensus qui se retrouve d’ailleurs dans un sondagequ’on nous livre ce matin, et qui a été fait lundi, dans lequel on apprend qu’une majorité de Français pensent qu’il s’agit d’un complot. Et si une majorité de Français -et encore plus les socialistes à 70%- soutiennent la théorie du complot, c’est parce que la tonalité générale donnait à voir cette hypothèse, et apportait peu de crédit à la parole de la plaignante. Comment expliquez-vous cette prise de position générale ? Parce que dans cette affaire, il y a aussi une sidération : l’idée qu’un homme, patron du FMI, ne peut pas avoir fait ça. On a quand même beaucoup entendu dire "Comment un homme aussi intelligent peut violer ?" Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je n’étais pas dans la chambre du Sofitel. Moi ce qui m’intéresse c’est la façon dont on réceptionne les événements. Cela révèle beaucoup sur nos représentations et notre imaginaire collectif. Et notre imaginaire collectif, curieusement, pense qu’un violeur vient forcément de catégories populaires, que c’est un jeune arabo-musulman des quartiers qui a fait la Une des journaux pour des affaires de tournante. Et qu’un patron ou un haut responsable politique ne peut pas faire ça. Mais on est très loin de la réalité ! Oui, il y a des hommes de pouvoir qui utilisent leur position de domination pour obtenir des relations sexuels forcées. La politique reste un milieu très macho ? Oui, je confirme ! Mais ce n’est pas le seul. Ce qui se raconte depuis quelques jours doit faire écho à ce que vivent beaucoup de femmes dans les entreprises, qui subissent du harcèlement, ont vécu des tentatives de viol etc. Il ne faut pas croire que cela ne touche que l’univers politique. C’est la question plus globale de l’utilisation des rapports de domination entre hommes et femmes, et de la fragilité spécifique de femmes qui sont sous une emprise économique ou hiérarchique, dont il s'agit. Existe-t-il toujours un tabou sur les violences faites aux femmes ? C'est évident, il y a une tolérance sociale extrêmement forte à l’égard de ce type de crime et délit. La suspicion porte toujours sur la parole de la victime, elle pèse sur elle et contribue à son silence. Quand j’entends Jack Lang dire "Il n’y a pas mort d’homme", je pense que cela symbolise totalement le fait que au fond, on pense que ce n’est "qu’un viol", que ce n’est pas si grave que ça. Ce qui rend le viol encore plus difficile à surmonter, c’est le fait de ne pas pouvoir en parler. Le tabou contribue au traumatisme. Il faut vraiment le dire : le silence alimente la difficulté pour une femme de surmonter ce qu’elle a subit. Pour toutes ces raisons évoquées, votre prise de position "détonne". N'avez-vous pas peur de créer une polémique ? De toute ma vie entière, je n’ai jamais reçu autant de messages de soutien sur mon blog, de textos, de mails... Essentiellement des femmes, oui, mais des hommes aussi, qui sont d'accord avec ce que je dis -et je ne suis pas la seule à le dire, Mélenchon, Cécile Duflot l'ont dit aussi. Le fait que cette parole soit très peu véhiculée choque aussi beaucoup. Donc il faut qu’il y ait un débat. Propos recueillis par Ludivine Le Goff
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Mais bon y'en a qui plongent... Fukushima : 11 milliards de perte pour Tepco qui congédie son patron http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Fukushima-11-milliards-de-perte-pour-Tepco-qui-congedie-son-patron_39382-1803780_actu.Htm
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Et la vie continue... Les traders français ont touché des bonus de deux milliards d'euros en 2010 Dans ce palmarès des « bonus », les banques les plus généreuses sont la BNP Paribas et… la Société Générale. Ainsi, 3464 salariés de BNP ont touché, en moyenne, 291 000 euros de bonus par personne en 2010. Dans le même temps, 3663 salariés de la Société générale touchaient, en moyenne, 198 000 euros par personne. http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Les-traders-francais-ont-touche-des-bonus-de-deux-milliards-d’euros-en-2010_39382-1803867_actu.Htm Et vous ? Allez à la louche... 15.000, 20.000, 30.000 euros ...de salaires primes comprises... Et n'oubliez pas de faire votre déclaration d'impôts...
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Nouvelles manifestations et affrontements en Syrie http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/05/20/nouvelles-manifestations-et-affrontements-en-syrie_1525089_3218.html#ens_id=1481132
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L'Espagne continue de bouger... http://www.liberation.fr/monde/11011495-espagne-les-indignes-dans-la-rue http://humanite.fr/19_05_2011-le-printemps-espagnol-cherche-à-sétendre-472519