Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Question RH (utilisation du personnel)
Que faisais-tu également avant ton premier RP ?
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Question RH (utilisation du personnel)
Tu es en roulement ou réserve ? Faudrait que je lise mieux les messages : tu es en roulement Titre I (roulant) ou titre II (sédentaire : exploitation, transport, commercial...) certainement sédentaire...
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Polémique Téléthon pierre Bergé
C'pô grâve... Y'a mieux que le téléthon, le sidaction, les resto du coeur, les secours pop et catho et les centaines, milliers d'associations caritatives: Le nain a budgèté 380 millions d'euros pour s'offrir un petit aéroplane présidentiel... Pas de blème, la mise au pot sera obligatoire via la TVA et autres impôts (y compris celui remplaçant la taxe professionnelle...
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Un tiers de l'humanité vit dans le noir
J'avoue que je doute des conclusions de cet article... Enfin tout est relatif en ce bas monde... chômage, licenciements, crise financière, téléthon et sidaction... bientôt les fêtes de fin d'années et les éclairages publiques... J'suis comme Renaud... un peu désabusé...
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Un tiers de l'humanité vit dans le noir
Un tiers de l'humanité vit dans le noir Libération Selon un rapport de l'ONU, 1,5 milliards de personnes dans le monde n'ont pas accès à l'électricité. Près d'un tiers de l'humanité vit dans le noir faute d'accès à l'énergie, dont 80% résident dans les pays les moins développés et en Afrique sub-saharienne qui n'ont pratiquement aucune chance d'atteindre les objectifs de développement fixés pour 2015, selon un rapport de l'ONU. L'étude du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) insiste sur l'étroite corrélation entre extrême pauvreté et manque d'accès à l'énergie: moins de 3% des Burundais, des Tchadiens ou des Libériens ont le courant, moins de 5% au Rwanda, en République centrafricaine ou en Sierra Leone, 13% en Birmanie ou en Afghanistan. "Actuellement, environ 1,5 milliard d'habitants des pays en développement n'ont pas accès à l'électricité et 3 milliards dépendent de combustibles solides (biomasse, charbon) pour cuisiner et se chauffer", indiquent les auteurs. Le rapport, réalisé avec l'aide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), concerne 140 pays en développement, dont 50 appartiennent à la catégorie des "moins avancés" (PMA) -avec un PNB inférieur à 750 USD/habitant-, situés pour 31 d'entre eux en Afrique sub-saharienne. Il en ressort que "79% des populations dans les PMA et 74% en Afrique sub-saharienne sont privées d'accès à l'électricité, contre 28% en moyenne dans les pays en développement". "Compte tenu des niveaux actuels d'accès à l'énergie, il est clair qu'il sera particulièrement difficile à ces pays d'atteindre les Objectifs de développement du Millénaire", fixés par l'ONU en 2000 pour espérer diviser par deux la pauvreté d'ici 2015, estime Minoru Takada, responsable Energie et Environnement du PNUD à l'AFP. Pour atteindre ce but, il faudrait qu'environ 1,2 milliard de personnes supplémentaires bénéficient de l'électricité et 1,9 milliard de combustibles modernes pour se chauffer et cuisiner. "Apporter l'électricité à chaque foyer coûterait environ un dollar par personne pour un service minimum", ajoute M. Takada pour qui la "meilleure option pour équiper les zones rurales reculées serait "du petit hydraulique ou du micro-solaire voltaïque". Mais comme pour le service de l'eau, l'accès à l'énergie n'apparaît pas comme une priorité aux gouvernements regrette-t-il: "Ils préfèrent avoir des réalisations spectaculaires à montrer". Dans le monde en développement, 45% de la population utilise la biomasse (bois, résidus agricoles...) et le charbon à des fins domestiques: cette proportion passe même à 71% en zone rurale. Mais seuls 27% se servent de foyers améliorés qui garantissent une meilleure combustion et évacuation des émanations (6% dans les PMA et l'Afrique sub-saharienne). Or les auteurs du rapport estiment que 2 millions de décès sont occasionnés chaque année dans le monde par la pollution intérieure liée à ces combustibles. Les femmes (50% des décès) et les enfants (44%) sont particulièrement touchés par les pneumonies, maladies pulmonaires chroniques et cancers du poumon car ce sont eux qui restent près du foyer, soulignent-ils. "Dans les PMA et en Afrique sub-saharienne, plus de 50% de l'ensemble des décès sont dus à ces maladies qui peuvent être attribuées aux combustibles utilisés". Le futur accord climat qui doit être négocié à Copenhague à partir du 7 décembre doit garantir un financement aux pays les plus démunis pour les aider à se développer sur des modes non polluants, tout en s'adaptant à un climat déréglé. L'accès à l'énergie et aux technologies propres sera pour ces pays un des enjeux de cette conférence. (source AFP)
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Un tiers de l'humanité vit dans le noir
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Sabotages caténaires............
ça sent encore l'entreprise de communication du ministère de l'Intérieur Libération Sabotages SNCF: nouvelle arrestation à Tarnac Suspecté d'être «proche» de Julien Coupat, un jeune homme a été interpellé ce mardi à 6h30 à son domicile. Un jeune homme, suspecté d'être un «proche du groupe de Tarnac» (Corrèze) auquel appartenait Julien Coupat, arrêté dans le cadre de l'enquête sur des sabotages au préjudice de la SNCF, a été interpellé mardi à 6h30 à son domicile à Tarnac. Ni son âge ni son identité n'ont été précisés. Il a été arrêté par la sous-direction antiterroriste (Sdat) de la direction centrale de la police judiciaire et placé en garde à vue, tandis qu'une perquisition de son domicile a été aussitôt entamée. Selon les mêmes sources proches du dossier, le jeune homme «est susceptible d'être mis en cause dans la mouvance à laquelle Julien Coupat appartient, mais n'est pas soupçonné d'être complice des sabotages». La justice enquête depuis le 15 novembre 2008 sur des sabotages de lignes TGV attribués à un groupe de jeunes basés à Tarnac (Corrèze) et réunis autour de Julien Coupat, étudiant mis en examen pour des actes présumés de terrorisme. Vingt personnes avaient été arrêtées dans le cadre de l'enquête sur les sabotages, dont onze rapidement libérées. Les neuf autres, âgés de moins de 35 ans, dont trois femmes et le leader supposé du groupe, Julien Coupat, ont été mises en examen, et cinq écrouées. Elles ont été libérées les unes après les autres, au bout de quelques semaines de détention. Plusieurs autres personnes ont également été interpellées dans le cadre de la même enquête, et rapidement remises en liberté. (Source AFP) ********************************************** Ouest France Nouvelle arrestation dans le dossier des sabotages SNCF Un jeune homme a été arrêté, ce mardi à Tarnac (Corrèze), et placé en garde à vue dans l'enquête sur les sabotages de lignes de TGV en novembre 2008. Ces sabotages sont imputés à un groupe de militants d’« ultra-gauche ». L’homme arrêté est le conjoint d'une femme déjà mise en examen. Il est soupçonné d'avoir falsifié des cartes d'identité. Julien Coupat, remis en liberté en mai après six mois et demi de détention, sa compagne et sept autres personnes, qui résidaient pour la plupart à Tarnac, sont mis en examen pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ». Julien Coupat est présenté par l'accusation comme le chef d'un mouvement d'ultragauche auquel sont imputés les sabotages commis par le placement de fers à béton sur des caténaires dans la nuit du 7 au 8 novembre 2008, ainsi que le 26 octobre 2008. Tous les suspects nient les faits.
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Coucou les Cheminots... Voilà le voyageur Mystère
Pire qu'à la chaîne de l'usine... ;)
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Coucou les Cheminots... Voilà le voyageur Mystère
Il y avait déjà des "clients" mystère au début des années 80... c'est à dire quand la direction sncf a commencé à imposer justement cette notion de "service client" ...
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prévention routière, tous les coups sont permis.
Je crois qu'il y a une norme d'implantation qui fait que quand on aperçoit alors qu'on roule à 110, le panneau 90 , rien qu'en levant le pied, sans freiner, la vitesse devrait d'elle même descendre à 90... Bon faut quand même être super attentif et c'est vrai un panneau d'annonce serait le bienvenu... idem quand on arrive sur une agglomération il y a des fois c'est pas du tout évident de passer de 90 à 50...
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Coucou les Cheminots... Voilà le voyageur Mystère
ça me rappelle une histoire ... on y vient...on y vient... Petite histoire de fourmi Il était une fois, une Fourmi heureuse et productive qui, tous les jours ,arrivait de bonne heure à son travail. Elle passait toute sa journée à travailler dans la joie et la bonne humeur, poussant même la chansonnette. Elle était heureuse de travailler et son rendement était excellent mais, malheur !, elle n'était pas pilotée par un manager ... Le Frelon, PDG de l'entreprise, considérant qu'il n'était pas possible que la situation puisse perdurer, créa un poste de manager pour lequel il recruta une Coccinelle avec beaucoup d'expérience. La première préoccupation de la Coccinelle fut d'organiser les horaires d'entrée et de sortie de la fourmi. Elle créa également un système de compte-rendu et de fiches navettes. Très vite, il fallut engager une secrétaire pour l'aider à préparer les dossiers et le reporting, si bien qu'elle recruta une Araignée qui mis sur pied un système de classement et qui fut chargée de répondre au téléphone. Pendant ce temps là, la fourmi heureuse et productive continuait de travailler, travailler, travailler. Le Frelon, PDG de l'entreprise, était ravi de recevoir les rapports de la Coccinelle , si bien qu'il lui demanda des études comparatives avec graphiques, indicateurs et analyse de tendance. Il fallut donc embaucher un Cafard pour assister le manager et il fallut acheter un nouvel ordinateur avec une imprimante. Assez vite, la Fourmi heureuse et productive commença à baisser de rythme et à se plaindre de toute la paperasserie qui lui est dorénavant imposée. Le Frelon, PDG de l'entreprise, considéra qu'il était temps de prendre des mesures. Il créa donc le poste de chef de service pour superviser la Fourmi heureuse et productive. Le poste fut pourvu par une Cigale qui changea tout le mobilier de son bureau et qui demanda un nouveau fauteuil ergonomique ainsi qu'un nouvel ordinateur avec écran plat. Seulement, avec plusieurs ordinateurs, il fallut aussi installer un serveur réseau. Le nouveau chef de service ressenti rapidement le besoin de recruter un adjoint (qui était son assistant dans son ancienne entreprise) afin de préparer un plan stratégique de pilotage ainsi que le budget de son nouveau service. Pendant ce temps-là, la Fourmi était de moins en moins heureuse et de moins en moins productive. "Il va nous falloir bientôt commander une étude sur le climat social", dit la Cigale. Mais , un jour, le Frelon, PDG de l'entreprise, en examinant les chiffres, se rendit compte que le service dans lequel la Fourmi heureuse et productive travaille n'était plus aussi rentable qu'avant. Il eut donc recours aux services d'un prestigieux consultant, M. Hibou, afin qu'il fasse un diagnostic et qu'il apporte des solutions. Le Hibou fit une mission de trois mois dans l'entreprise à l'issue de laquelle il rendit son rapport : "il y a trop de personnel dans ce service". Le Frelon, PDG de l'entreprise, suivit ses recommandations et .. licencia la Fourmi ! Moralité : Ne t'avise jamais d'être une Fourmi heureuse et productive. Il vaut mieux être incompétent et ne servir à rien. Les incompétents n'ont pas besoin de superviseur, à quoi cela servirait puisque tout le monde le sait ! Si malgré tout, tu es productif, ne montre pas que tu es heureux au travail, on ne te le pardonnerait pas. Si tu t'obstines à être une Fourmi heureuse et productive, monte ta propre entreprise : au moins tu n'auras pas à faire vivre les Frelon, Coccinelle,Araignée, Cigale, Hibou et autre Cafard.
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Roissy, le ciel vu du sol
Aiguilleurs du ciel Un article de Libération http://www.liberation.fr/societe/010160416...-ciel-vu-du-sol Roissy, le ciel vu du sol Une frénésie aéronautique habite les cieux, mais faut-il s’inquiéter de ce trafic grandissant ? Visite guidée dans les tours de contrôle de Charles-de-Gaulle. Par Lionel FROISSART Photos Laurent TROUDE Jour et nuit des milliers d’avions passent dans le ciel de France. Ils s’ajoutent à ceux qui décollent et atterrissent des différents aéroports et aérodromes de l’Hexagone. Ainsi, toutes les vingt-quatre heures, ce sont près de 8 000 avions qui occupent l’espace aérien français. Aucun de ces vols n’échappe aux radars des contrôleurs de Brest, Aix-en-Provence, Athis-Mons, Reims, Marseille ou Bordeaux. Sans oublier ceux des deux aéroports parisiens, Orly et Roissy. Alors, faut-il s’inquiéter de cette frénésie aéronautique au-dessus de nos têtes ? Une visite prolongée à Roissy, et guidée par Patrick Berthault, l’un des contrôleurs qualifié pour l’aéroport Charles-de-Gaulle, incite à répondre qu’il n’y a pas de raison de s’angoisser. Le ciel est bien gardé. Même si la gestion de la circulation au sol est un casse-tête à «CDG» (pour les intimes), l’aéroport parisien cumulant une centaine de kilomètres de taxiways. Les temps de roulage qui en découlent, jusqu’à vingt minutes, ne manquent pas d’exaspérer les pilotes. Patrick Berthault résume leur état d’esprit par rapport à celui de leurs interlocuteurs à terre : «Un contrôleur travaille dans l’intérêt collectif tandis que les pilotes voient les choses d’une manière plus individuelle. Alors oui, deux logiques différentes peuvent parfois s’opposer. Mais il faut se souvenir qu’au sol, on peut tout arrêter. En l’air, il faut composer au mieux avec la situation qui se présente. La sécurité est une priorité.» De fait, le contrôleur a une vue d’ensemble du trafic aérien au-dessus de son terrain, ce qui n’est pas le cas dans un cockpit. Roissy est la plus grande plateforme aéroportuaire d’Europe au nombre de mouvements d’avions, soit 550 000 décollages et atterrissages par an (près de 650 000 les années où est organisé le salon aérien du Bourget). Avec un tel niveau d’activité, Charles-de-Gaulle rivalise avec les plus grands aéroports nord-américains. Cette intensité dans la rotation des avions suppose des outils et des moyens humains considérables. Ainsi, sur les 4 012 «ICNA» (Ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne) en activité en France, Charles-de-Gaulle en monopolise près de 300, plus des dizaines d’ingénieurs pour l’entretien du matériel informatique. C’est en moyenne une quarantaine d’ICNA - sans compter les nombreux stagiaires - qui à chaque instant scrutent les pistes et l’espace aérien de Roissy sur leurs écrans. A travers les vitres de leur tour de verre ou dans les sous-sols de la tour centrale, là où s’étend sur près de 700 m2 la salle d’approche - une appellation erronée puisque c’est là, dans ce véritable bunker, que sont traités aussi bien les vols au départ que ceux à l’arrivée. Décollages en «doublé» Chaque mouvement d’avion commence avec une petite bande imprimée : le «strip». Ce morceau de papier de 21,5 cm sur 3 cm, matérialise l’appareil pour chacun des quatre à six contrôleurs qui vont, tour à tour, «prendre» un avion en charge dès lors que le pré-vol a autorisé la mise en route de l’appareil à son point de parking, ou lorsqu’il se trouve à environ un quart d’heure de son terrain de destination en phase d’approche. Craché par un ordinateur, le strip affiche une cinquantaine d’informations : le type de l’appareil et le nom de la compagnie à laquelle il appartient, le numéro du vol, le code du transpondeur (son identifiant radio pour la durée du vol), sa destination, les balises qu’il va accrocher sur sa route et différents paramètres techniques que le contrôleur va cocher à mesure qu’il les donnera au pilote avant le départ ou lors de l’approche. Ainsi renseignés, les contrôleurs savent quelle longueur de piste sera nécessaire au décollage de l’avion et calculer l’espacement à respecter entre deux types d’appareils. Ils connaissent aussi le parking de départ ou d’arrivée qui a été attribué par la compagnie en collaboration avec les Aéroports de Paris (ADP). Si les contrôleurs décident de la piste sur laquelle un avion va décoller ou atterrir, ils n’ont pas d’influence sur l’endroit où un avion va stationner. Même si certains grognent parfois de devoir atterrir à l’opposé de leur point de stationnement. Outre le centre névralgique qu’est la salle d’approche, Roissy Charles-de-Gaulle compte trois tours de contrôles : la tour centrale, la plus ancienne, est utilisée pour les vols de nuits entre 22 heures et 6 h 40, la tour sud et la tour nord sont chacune dédiées aux deux pistes - sud et nord - de la plateforme délimitée en son milieu comme deux territoires bien distincts. Enfin, une vigie contrôle les mouvements de véhicules au sol, soit un espace équivalant au tiers de Paris. Roissy est également l’unique aéroport européen à permettre des atterrissages et des décollages «en doublé». Une particularité dont ne sont pas peu fiers ses contrôleurs. Les tours de contrôles ont pour mission de prendre en charge les avions de leur point de parking jusqu’au seuil de la piste, véritable «sanctuaire» comme le souligne Patrick Berthault. L’appareil est alors «transféré» à un contrôleur de la salle d’approche. Lors du roulage ou de l’approche des avions, les contrôleurs ont devant eux un écran radar sur lequel chaque appareil encore au sol est signalé en bleu, alors que ceux en approche sont en rose ou mauve selon qu’ils vont se poser au nord ou au sud du terrain. En cliquant sur leur icône, le contrôleur accède à une multitude de paramètres dont la vitesse d’évolution, l’altitude, la vitesse de montée, le cap, etc. Gagnés par le stress Mais un mouvement d’avion ne se limite pas à des chiffres sur un écran électronique. C’est aussi, et avant tout, un échange radio entre chaque contrôleur au sol et le pilote dans son cockpit. Il suffit d’enfiler un casque radio dans une salle d’approche pour se rendre compte à quel point ce métier peut s’avérer stressant - surtout dans les phases d’atterrissage ou lorsque la météo est mauvaise - et aussi pourquoi il impose une remise à niveau régulière après une formation qui peut durer jusqu’à sept ans après le bac. Un aéroport comme celui de Roissy exige une «qualif» spécifique et ce n’est pas l’affectation la plus demandée par ceux qui redoutent d’y être gagnés par le stress. Conséquence de l’augmentation du trafic, depuis l’automne 2007, Eurocontrol, auquel adhère une quarantaine d’Etats membres, offre une harmonisation européenne des méthodes de contrôle dans le ciel européen. Dans la pratique, un contrôleur faisant atterrir et décoller les avions en même temps relève de la fiction. Ces deux phases d’un vol sont traitées d’une manière séparée par des contrôleurs différents. Quant aux «engueulades» entre contrôleurs et pilotes, elles sont d’une extrême rareté. Tout simplement parce qu’ils n’en ont pas le temps. Interrogés sur le sujet, des pilotes précisent qu’«un cockpit est le dernier endroit pour régler ses comptes avec son copilote ou avec un contrôleur». Et les deux corps de métier se rejoignent sur ce point :«Si ona quelque chose à dire, on l’écrit.» Si un pilote - ou un contrôleur - se laisse aller à régler ses comptes sur la fréquence, cela s’apparente à une faute grave. De fait la teneur des échanges entre le sol et un avion (tous enregistrés) se résume à un langage codé, succinct qui ne laisse aucune place aux digressions, d’autant que les avions ne cessent pas pour autant de s’empiler, façon millefeuille, dans les phases d’atterrissage, et les queues de s’allonger aux «portes» des décollages. Mais comme dans toute activité humaine, différentes philosophies s’opposent parfois. Ainsi, certains pilotes ne comprennent pas qu’on puisse les «ralentir» en approche ou ne pas leur proposer des «raccourcis» alors que le trafic n’est pas celui des heures de pointe. D’autres commandants reprochent aux contrôleuses (34 % des effectifs) une trop grande rigidité dans l’application des procédures. A moins que ce ne soit une preuve de sérieux. Depuis trois ans, un (ou une) chef règne sur la salle d’approche et règle les éventuels dysfonctionnements et atténue les tensions qui peuvent surgir à la suite d’un incident. C’est également ce responsable qui décide de l’ouverture ou la fermeture d’une «position» en fonction de la densité du trafic. Il y a quelques semaines, un article à charge du Figaro avait laissé entendre que les contrôleurs abandonnent parfois leur poste dans les périodes creuses. C’était une interprétation de ce qui, dans la réalité, permet aux contrôleurs de «passer la main» à une position voisine lorsque le rythme du trafic baisse, tout en restant à disposition du contrôle. Pour d’évidentes raisons de sécurité, un contrôleur change de position à chaque heure et ne travaille pas plus de trois heures d’affilée avant de s’octroyer une pause pour enchaîner à nouveau trois séquences de contrôle d’une heure chacune, et ce trente-deux heures par semaine. Ecouler les vols Les vols sont programmés de telle façon par les compagnies aériennes que les «hubs» de départs succèdent à ceux des arrivées par un phénomène de vagues assez régulier. Entrecoupés de périodes d’un calme relatif. Chaque jour, Roissy vit au rythme de six grandes vagues. La première déferle à 5 h 30 pendant une heure avec les arrivées des longs courriers, puis ce sont les départs de 8 heures à 9 h 30. De 11 heures à 12 heures s’entassent des départs et des arrivées, puis à nouveau de 14 h 30 à 15 h 30 une majorité de départs. De 17 heures à 19 heures, les contrôleurs s’évertuent à «vider le ciel» comme le dit joliment Patrick Berthault. Enfin, de 20 h 45 à 22 h 15 c’est au tour des moyens courriers d’occuper les fréquences avant de laisser la tour centrale écouler les vols de nuit et les départs des avions Cargo de Fedex et de la Poste. Malgré l’augmentation du trafic aérien ces dernières années, les rapports d’incidents, les «air prox» que les pilotes peuvent déposer s’ils jugent avoir été mis en position de danger, se font plus rares chaque année. Il n’y en a eu que 65 en 2008 pour près de 3 millions de vols traités, soit une moyenne d’un «air prox» tous les 44 000 vols. Que les passagers et les riverains des aéroports se rassurent, même en cas de fausse manœuvre d’un contrôleur, les avions sont bardés de systèmes anti-collision.
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Bon Anniversaire !
2 membres fêtent leur anniversaire ce jour dams59(32), jean-lou var(59) Bon Anniversaire ainsi qu'à ceux de la semaine... okok
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Actualités Politiques
Dons aux associations : Bruxelles épingle le régime fiscal français LePoint.fr La Commission européenne exige que la France modifie son régime fiscal pour les dons aux organismes d'intérêt général et sans but lucratif, qu'elle juge discriminatoire et contraire aux règles de l'Union européenne (UE). Bruxelles demande dans un "avis motivé" la suppression des différences de fiscalités qui existent aujourd'hui selon que l'organisme concerné est basé et actif en France ou à l'étranger. Elle menace de saisir la Cour de justice européenne si Paris n'agit pas dans les deux mois. Actuellement, les contribuables français bénéficient d'un régime fiscalement avantageux s'ils versent des dons ou des cotisations à des organismes d'intérêt général, mais seulement si ces derniers réalisent leurs activités en France. Les organismes en question peuvent également être exemptés d'impôts sur les dons qu'ils reçoivent, mais là encore, seulement s'ils sont en France. Les organismes d'intérêt général basés ou actifs dans un autre pays de l'UE doivent, eux, payer des impôts sur les dons obtenus en France. "La différence de régime fiscal entre les donations effectuées à des organismes français et celles des organismes étrangers constitue un obstacle injustifiable à la liberté de circulation des capitaux" dans l'UE, dénonce la Commission dans son communiqué. Mode ironique On Quand on sait que ce sont ceux qui gagnent le moins qui donnent le plus pour aider ceux qui ont encore moins qu'eux ... Ah ces technocrates... Mode ironique OFF
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Deutsche Bahn accuse la SNCF de dumping dans le fret
Ah.. la transparence financière... lotrela
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Actualités Politiques
Vraiment Excellent... et Véridique au propre comme au figuré...
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Spéciale dédicace à ........
Excellent
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Actualités Politiques
CORR - Le grand emprunt ne concernerait plus les particuliers Reuters Le "grand emprunt" annoncé par Nicolas Sarkozy en juin dernier ne concernerait finalement pas les ménages mais s'opérerait uniquement sur les marchés financiers, une option politiquement plus banale. L'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard, chargé de réfléchir à ce dossier avec le maire UMP de Bordeaux Alain Juppé, et qui remettra ses propositions jeudi, le déclare dans un entretien publié mercredi par le journal gratuit Direct matin. "Pour lever auprès des particuliers, il faudrait les allécher, ce qui coûte plus cher. Ça ne vaut pas le coup. Nous lèverons tout auprès des marchés, sans doute en deux fois, mais avec une sélection de secteurs", a-t-il déclaré. La ministre de l'Economie Christine Lagarde a confirmé cette option sur France info, en confirmant le chiffre déjà évoqué de 35 milliards d'euros. "Ca me parait, si c'est le cas, une bonne décision sur le plan financier. Un grand emprunt qui est financé par appel aux marchés coûte généralement moins cher qu'un grand emprunt qui s'adresse à l'ensemble de nos concitoyens", a dit Christine Lagarde. "Je crois que ce qui est important dans le grand emprunt, c'est le mot 'grand', c'est pas forcément le mot 'emprunt'", a-t-elle dit. TOURNANT POLITIQUE Si elle se confirmait, une telle orientation serait un tournant politique, le "grand emprunt" ayant été conçu au départ par Nicolas Sarkozy comme un moyen de relancer la confiance dans le pays et de solliciter symboliquement l'appui des Français. Par ailleurs, il est évoqué l'idée d'utiliser l'argent des aides remboursées par les banques, soit 13 milliards d'euros, pour financer l'opération, ce qui ramènerait l'emprunt proprement dit à 22 milliards d'euros. Ce chiffre ne sera peut-être in fine que d'une douzaine de milliards en 2010 car, selon le Canard enchainé, le Trésor a déjà augmenté pour cette année ses emprunts habituels sur les marchés de dix milliards d'euros. La France, qui présente des budgets en déficit depuis les années 1970, emprunte tous les jours sur les marchés financiers et l'opération annoncée sera donc en elle-même banale, même si le montant reste important. L'emprunt sur les marchés est une option d'autant plus économique que les taux sont très bas actuellement. Solliciter les ménages supposerait une rémunération attractive et des frais bancaires, ce qui coûterait, selon une estimation officielle évoquée aussi mercredi par le Canard enchaîné, cinq milliards d'euros. Le débat sur ce dossier a enflammé la majorité depuis plusieurs mois. Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy Henri Guaino, appuyé par certaines personnalités de l'UMP, souhaitait que soit emprunté jusqu'à 100 milliards d'euros. Le ministre du Budget Eric Woerth et d'autres ont cependant obtenu finalement que l'opération soit ramenée à des niveaux plus banals, en insistant sur le fait que les déficits publics français atteindront des records en 2010 en raison de la crise et des dépenses de l'Etat visant à stimuler l'économie. Thierry Lévêque, édité par Pascal Liétout J'ai comme l'impression qu'ils nous prennent vraiment pour des billes... Allez je retourne jouer dans la cour de récré...
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Actualités Politiques
Forte augmentation du nombre de ménages surendettés Reuters Le nombre de ménages surendettés ayant engagé des procédures de demande d'aide a atteint 162.171 sur les trois premiers trimestres de 2009, contre 137.842 sur la même période de 2008, selon le journal Le Parisien, qui cite la Banque de France. Les situations sont de plus en plus graves, puisque la procédure exceptionnelle de "rétablissement personnel", qui consiste à vendre la totalité du patrimoine d'un ménage en contrepartie de l'effacement des dettes, a été déclenchée 32.000 fois déjà cette année contre 25.000 durant la même période un an plus tôt. La moyenne de surendettement atteint 40.000 euros par dossier en France, contre une somme deux fois moindre en Allemagne et 18.000 euros en Belgique. Le phénomène s'est développé notamment depuis les années 1980 en France, avec l'usage très large du crédit à la consommation par les banques, sous des formes aujourd'hui contestées comme le "revolving". Cette pratique consiste à mettre à disposition des sommes importantes en échange de taux de rémunération très élevés. Le gouvernement a refusé d'interdire cette pratique en octobre, Christine Lagarde expliquant qu'elle créait des emplois. A été lancé simplement un projet d'encadrement léger des pratiques bancaires qui doit être examiné en 2010.
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Baisse historique de la consommation mondiale d'électricité
Crise : Réduction de la consommation, réduction de la production... Ce sont les industries qui sont touchées par la baisse de consommation d'électricité... La consommation des ménages (des particuliers) est toujours en hausse.
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Baisse historique de la consommation mondiale d'électricité
D'ailleurs ils devraient payer pour travailler ces C..s ... koiquesse
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Actualités Politiques
Fermer l'un des fils de discussions les plus populaires du forum ? koiquesse
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Coucou les Cheminots... Voilà le voyageur Mystère
Excellent ... Excellent... http://fr.wikipedia.org/wiki/Clyst%C3%A8re Je sens qu'il y en a quelques uns qui vont apprécier
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Baisse historique de la consommation mondiale d'électricité
En fait c'est peut être encore à cause de ses emm... de grévistes qui font baisser la productivité et affectent la rentabilité financière des centrales nucléaires...
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