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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. ça me rappelle une histoire ... on y vient...on y vient... Petite histoire de fourmi Il était une fois, une Fourmi heureuse et productive qui, tous les jours ,arrivait de bonne heure à son travail. Elle passait toute sa journée à travailler dans la joie et la bonne humeur, poussant même la chansonnette. Elle était heureuse de travailler et son rendement était excellent mais, malheur !, elle n'était pas pilotée par un manager ... Le Frelon, PDG de l'entreprise, considérant qu'il n'était pas possible que la situation puisse perdurer, créa un poste de manager pour lequel il recruta une Coccinelle avec beaucoup d'expérience. La première préoccupation de la Coccinelle fut d'organiser les horaires d'entrée et de sortie de la fourmi. Elle créa également un système de compte-rendu et de fiches navettes. Très vite, il fallut engager une secrétaire pour l'aider à préparer les dossiers et le reporting, si bien qu'elle recruta une Araignée qui mis sur pied un système de classement et qui fut chargée de répondre au téléphone. Pendant ce temps là, la fourmi heureuse et productive continuait de travailler, travailler, travailler. Le Frelon, PDG de l'entreprise, était ravi de recevoir les rapports de la Coccinelle , si bien qu'il lui demanda des études comparatives avec graphiques, indicateurs et analyse de tendance. Il fallut donc embaucher un Cafard pour assister le manager et il fallut acheter un nouvel ordinateur avec une imprimante. Assez vite, la Fourmi heureuse et productive commença à baisser de rythme et à se plaindre de toute la paperasserie qui lui est dorénavant imposée. Le Frelon, PDG de l'entreprise, considéra qu'il était temps de prendre des mesures. Il créa donc le poste de chef de service pour superviser la Fourmi heureuse et productive. Le poste fut pourvu par une Cigale qui changea tout le mobilier de son bureau et qui demanda un nouveau fauteuil ergonomique ainsi qu'un nouvel ordinateur avec écran plat. Seulement, avec plusieurs ordinateurs, il fallut aussi installer un serveur réseau. Le nouveau chef de service ressenti rapidement le besoin de recruter un adjoint (qui était son assistant dans son ancienne entreprise) afin de préparer un plan stratégique de pilotage ainsi que le budget de son nouveau service. Pendant ce temps-là, la Fourmi était de moins en moins heureuse et de moins en moins productive. "Il va nous falloir bientôt commander une étude sur le climat social", dit la Cigale. Mais , un jour, le Frelon, PDG de l'entreprise, en examinant les chiffres, se rendit compte que le service dans lequel la Fourmi heureuse et productive travaille n'était plus aussi rentable qu'avant. Il eut donc recours aux services d'un prestigieux consultant, M. Hibou, afin qu'il fasse un diagnostic et qu'il apporte des solutions. Le Hibou fit une mission de trois mois dans l'entreprise à l'issue de laquelle il rendit son rapport : "il y a trop de personnel dans ce service". Le Frelon, PDG de l'entreprise, suivit ses recommandations et .. licencia la Fourmi ! Moralité : Ne t'avise jamais d'être une Fourmi heureuse et productive. Il vaut mieux être incompétent et ne servir à rien. Les incompétents n'ont pas besoin de superviseur, à quoi cela servirait puisque tout le monde le sait ! Si malgré tout, tu es productif, ne montre pas que tu es heureux au travail, on ne te le pardonnerait pas. Si tu t'obstines à être une Fourmi heureuse et productive, monte ta propre entreprise : au moins tu n'auras pas à faire vivre les Frelon, Coccinelle,Araignée, Cigale, Hibou et autre Cafard.
  2. Aiguilleurs du ciel Un article de Libération http://www.liberation.fr/societe/010160416...-ciel-vu-du-sol Roissy, le ciel vu du sol Une frénésie aéronautique habite les cieux, mais faut-il s’inquiéter de ce trafic grandissant ? Visite guidée dans les tours de contrôle de Charles-de-Gaulle. Par Lionel FROISSART Photos Laurent TROUDE Jour et nuit des milliers d’avions passent dans le ciel de France. Ils s’ajoutent à ceux qui décollent et atterrissent des différents aéroports et aérodromes de l’Hexagone. Ainsi, toutes les vingt-quatre heures, ce sont près de 8 000 avions qui occupent l’espace aérien français. Aucun de ces vols n’échappe aux radars des contrôleurs de Brest, Aix-en-Provence, Athis-Mons, Reims, Marseille ou Bordeaux. Sans oublier ceux des deux aéroports parisiens, Orly et Roissy. Alors, faut-il s’inquiéter de cette frénésie aéronautique au-dessus de nos têtes ? Une visite prolongée à Roissy, et guidée par Patrick Berthault, l’un des contrôleurs qualifié pour l’aéroport Charles-de-Gaulle, incite à répondre qu’il n’y a pas de raison de s’angoisser. Le ciel est bien gardé. Même si la gestion de la circulation au sol est un casse-tête à «CDG» (pour les intimes), l’aéroport parisien cumulant une centaine de kilomètres de taxiways. Les temps de roulage qui en découlent, jusqu’à vingt minutes, ne manquent pas d’exaspérer les pilotes. Patrick Berthault résume leur état d’esprit par rapport à celui de leurs interlocuteurs à terre : «Un contrôleur travaille dans l’intérêt collectif tandis que les pilotes voient les choses d’une manière plus individuelle. Alors oui, deux logiques différentes peuvent parfois s’opposer. Mais il faut se souvenir qu’au sol, on peut tout arrêter. En l’air, il faut composer au mieux avec la situation qui se présente. La sécurité est une priorité.» De fait, le contrôleur a une vue d’ensemble du trafic aérien au-dessus de son terrain, ce qui n’est pas le cas dans un cockpit. Roissy est la plus grande plateforme aéroportuaire d’Europe au nombre de mouvements d’avions, soit 550 000 décollages et atterrissages par an (près de 650 000 les années où est organisé le salon aérien du Bourget). Avec un tel niveau d’activité, Charles-de-Gaulle rivalise avec les plus grands aéroports nord-américains. Cette intensité dans la rotation des avions suppose des outils et des moyens humains considérables. Ainsi, sur les 4 012 «ICNA» (Ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne) en activité en France, Charles-de-Gaulle en monopolise près de 300, plus des dizaines d’ingénieurs pour l’entretien du matériel informatique. C’est en moyenne une quarantaine d’ICNA - sans compter les nombreux stagiaires - qui à chaque instant scrutent les pistes et l’espace aérien de Roissy sur leurs écrans. A travers les vitres de leur tour de verre ou dans les sous-sols de la tour centrale, là où s’étend sur près de 700 m2 la salle d’approche - une appellation erronée puisque c’est là, dans ce véritable bunker, que sont traités aussi bien les vols au départ que ceux à l’arrivée. Décollages en «doublé» Chaque mouvement d’avion commence avec une petite bande imprimée : le «strip». Ce morceau de papier de 21,5 cm sur 3 cm, matérialise l’appareil pour chacun des quatre à six contrôleurs qui vont, tour à tour, «prendre» un avion en charge dès lors que le pré-vol a autorisé la mise en route de l’appareil à son point de parking, ou lorsqu’il se trouve à environ un quart d’heure de son terrain de destination en phase d’approche. Craché par un ordinateur, le strip affiche une cinquantaine d’informations : le type de l’appareil et le nom de la compagnie à laquelle il appartient, le numéro du vol, le code du transpondeur (son identifiant radio pour la durée du vol), sa destination, les balises qu’il va accrocher sur sa route et différents paramètres techniques que le contrôleur va cocher à mesure qu’il les donnera au pilote avant le départ ou lors de l’approche. Ainsi renseignés, les contrôleurs savent quelle longueur de piste sera nécessaire au décollage de l’avion et calculer l’espacement à respecter entre deux types d’appareils. Ils connaissent aussi le parking de départ ou d’arrivée qui a été attribué par la compagnie en collaboration avec les Aéroports de Paris (ADP). Si les contrôleurs décident de la piste sur laquelle un avion va décoller ou atterrir, ils n’ont pas d’influence sur l’endroit où un avion va stationner. Même si certains grognent parfois de devoir atterrir à l’opposé de leur point de stationnement. Outre le centre névralgique qu’est la salle d’approche, Roissy Charles-de-Gaulle compte trois tours de contrôles : la tour centrale, la plus ancienne, est utilisée pour les vols de nuits entre 22 heures et 6 h 40, la tour sud et la tour nord sont chacune dédiées aux deux pistes - sud et nord - de la plateforme délimitée en son milieu comme deux territoires bien distincts. Enfin, une vigie contrôle les mouvements de véhicules au sol, soit un espace équivalant au tiers de Paris. Roissy est également l’unique aéroport européen à permettre des atterrissages et des décollages «en doublé». Une particularité dont ne sont pas peu fiers ses contrôleurs. Les tours de contrôles ont pour mission de prendre en charge les avions de leur point de parking jusqu’au seuil de la piste, véritable «sanctuaire» comme le souligne Patrick Berthault. L’appareil est alors «transféré» à un contrôleur de la salle d’approche. Lors du roulage ou de l’approche des avions, les contrôleurs ont devant eux un écran radar sur lequel chaque appareil encore au sol est signalé en bleu, alors que ceux en approche sont en rose ou mauve selon qu’ils vont se poser au nord ou au sud du terrain. En cliquant sur leur icône, le contrôleur accède à une multitude de paramètres dont la vitesse d’évolution, l’altitude, la vitesse de montée, le cap, etc. Gagnés par le stress Mais un mouvement d’avion ne se limite pas à des chiffres sur un écran électronique. C’est aussi, et avant tout, un échange radio entre chaque contrôleur au sol et le pilote dans son cockpit. Il suffit d’enfiler un casque radio dans une salle d’approche pour se rendre compte à quel point ce métier peut s’avérer stressant - surtout dans les phases d’atterrissage ou lorsque la météo est mauvaise - et aussi pourquoi il impose une remise à niveau régulière après une formation qui peut durer jusqu’à sept ans après le bac. Un aéroport comme celui de Roissy exige une «qualif» spécifique et ce n’est pas l’affectation la plus demandée par ceux qui redoutent d’y être gagnés par le stress. Conséquence de l’augmentation du trafic, depuis l’automne 2007, Eurocontrol, auquel adhère une quarantaine d’Etats membres, offre une harmonisation européenne des méthodes de contrôle dans le ciel européen. Dans la pratique, un contrôleur faisant atterrir et décoller les avions en même temps relève de la fiction. Ces deux phases d’un vol sont traitées d’une manière séparée par des contrôleurs différents. Quant aux «engueulades» entre contrôleurs et pilotes, elles sont d’une extrême rareté. Tout simplement parce qu’ils n’en ont pas le temps. Interrogés sur le sujet, des pilotes précisent qu’«un cockpit est le dernier endroit pour régler ses comptes avec son copilote ou avec un contrôleur». Et les deux corps de métier se rejoignent sur ce point :«Si ona quelque chose à dire, on l’écrit.» Si un pilote - ou un contrôleur - se laisse aller à régler ses comptes sur la fréquence, cela s’apparente à une faute grave. De fait la teneur des échanges entre le sol et un avion (tous enregistrés) se résume à un langage codé, succinct qui ne laisse aucune place aux digressions, d’autant que les avions ne cessent pas pour autant de s’empiler, façon millefeuille, dans les phases d’atterrissage, et les queues de s’allonger aux «portes» des décollages. Mais comme dans toute activité humaine, différentes philosophies s’opposent parfois. Ainsi, certains pilotes ne comprennent pas qu’on puisse les «ralentir» en approche ou ne pas leur proposer des «raccourcis» alors que le trafic n’est pas celui des heures de pointe. D’autres commandants reprochent aux contrôleuses (34 % des effectifs) une trop grande rigidité dans l’application des procédures. A moins que ce ne soit une preuve de sérieux. Depuis trois ans, un (ou une) chef règne sur la salle d’approche et règle les éventuels dysfonctionnements et atténue les tensions qui peuvent surgir à la suite d’un incident. C’est également ce responsable qui décide de l’ouverture ou la fermeture d’une «position» en fonction de la densité du trafic. Il y a quelques semaines, un article à charge du Figaro avait laissé entendre que les contrôleurs abandonnent parfois leur poste dans les périodes creuses. C’était une interprétation de ce qui, dans la réalité, permet aux contrôleurs de «passer la main» à une position voisine lorsque le rythme du trafic baisse, tout en restant à disposition du contrôle. Pour d’évidentes raisons de sécurité, un contrôleur change de position à chaque heure et ne travaille pas plus de trois heures d’affilée avant de s’octroyer une pause pour enchaîner à nouveau trois séquences de contrôle d’une heure chacune, et ce trente-deux heures par semaine. Ecouler les vols Les vols sont programmés de telle façon par les compagnies aériennes que les «hubs» de départs succèdent à ceux des arrivées par un phénomène de vagues assez régulier. Entrecoupés de périodes d’un calme relatif. Chaque jour, Roissy vit au rythme de six grandes vagues. La première déferle à 5 h 30 pendant une heure avec les arrivées des longs courriers, puis ce sont les départs de 8 heures à 9 h 30. De 11 heures à 12 heures s’entassent des départs et des arrivées, puis à nouveau de 14 h 30 à 15 h 30 une majorité de départs. De 17 heures à 19 heures, les contrôleurs s’évertuent à «vider le ciel» comme le dit joliment Patrick Berthault. Enfin, de 20 h 45 à 22 h 15 c’est au tour des moyens courriers d’occuper les fréquences avant de laisser la tour centrale écouler les vols de nuit et les départs des avions Cargo de Fedex et de la Poste. Malgré l’augmentation du trafic aérien ces dernières années, les rapports d’incidents, les «air prox» que les pilotes peuvent déposer s’ils jugent avoir été mis en position de danger, se font plus rares chaque année. Il n’y en a eu que 65 en 2008 pour près de 3 millions de vols traités, soit une moyenne d’un «air prox» tous les 44 000 vols. Que les passagers et les riverains des aéroports se rassurent, même en cas de fausse manœuvre d’un contrôleur, les avions sont bardés de systèmes anti-collision.
  3. 2 membres fêtent leur anniversaire ce jour dams59(32), jean-lou var(59) Bon Anniversaire ainsi qu'à ceux de la semaine... okok
  4. Dons aux associations : Bruxelles épingle le régime fiscal français LePoint.fr La Commission européenne exige que la France modifie son régime fiscal pour les dons aux organismes d'intérêt général et sans but lucratif, qu'elle juge discriminatoire et contraire aux règles de l'Union européenne (UE). Bruxelles demande dans un "avis motivé" la suppression des différences de fiscalités qui existent aujourd'hui selon que l'organisme concerné est basé et actif en France ou à l'étranger. Elle menace de saisir la Cour de justice européenne si Paris n'agit pas dans les deux mois. Actuellement, les contribuables français bénéficient d'un régime fiscalement avantageux s'ils versent des dons ou des cotisations à des organismes d'intérêt général, mais seulement si ces derniers réalisent leurs activités en France. Les organismes en question peuvent également être exemptés d'impôts sur les dons qu'ils reçoivent, mais là encore, seulement s'ils sont en France. Les organismes d'intérêt général basés ou actifs dans un autre pays de l'UE doivent, eux, payer des impôts sur les dons obtenus en France. "La différence de régime fiscal entre les donations effectuées à des organismes français et celles des organismes étrangers constitue un obstacle injustifiable à la liberté de circulation des capitaux" dans l'UE, dénonce la Commission dans son communiqué. Mode ironique On Quand on sait que ce sont ceux qui gagnent le moins qui donnent le plus pour aider ceux qui ont encore moins qu'eux ... Ah ces technocrates... Mode ironique OFF
  5. Ah.. la transparence financière... lotrela
  6. Vraiment Excellent... et Véridique au propre comme au figuré...
  7. Excellent
  8. CORR - Le grand emprunt ne concernerait plus les particuliers Reuters Le "grand emprunt" annoncé par Nicolas Sarkozy en juin dernier ne concernerait finalement pas les ménages mais s'opérerait uniquement sur les marchés financiers, une option politiquement plus banale. L'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard, chargé de réfléchir à ce dossier avec le maire UMP de Bordeaux Alain Juppé, et qui remettra ses propositions jeudi, le déclare dans un entretien publié mercredi par le journal gratuit Direct matin. "Pour lever auprès des particuliers, il faudrait les allécher, ce qui coûte plus cher. Ça ne vaut pas le coup. Nous lèverons tout auprès des marchés, sans doute en deux fois, mais avec une sélection de secteurs", a-t-il déclaré. La ministre de l'Economie Christine Lagarde a confirmé cette option sur France info, en confirmant le chiffre déjà évoqué de 35 milliards d'euros. "Ca me parait, si c'est le cas, une bonne décision sur le plan financier. Un grand emprunt qui est financé par appel aux marchés coûte généralement moins cher qu'un grand emprunt qui s'adresse à l'ensemble de nos concitoyens", a dit Christine Lagarde. "Je crois que ce qui est important dans le grand emprunt, c'est le mot 'grand', c'est pas forcément le mot 'emprunt'", a-t-elle dit. TOURNANT POLITIQUE Si elle se confirmait, une telle orientation serait un tournant politique, le "grand emprunt" ayant été conçu au départ par Nicolas Sarkozy comme un moyen de relancer la confiance dans le pays et de solliciter symboliquement l'appui des Français. Par ailleurs, il est évoqué l'idée d'utiliser l'argent des aides remboursées par les banques, soit 13 milliards d'euros, pour financer l'opération, ce qui ramènerait l'emprunt proprement dit à 22 milliards d'euros. Ce chiffre ne sera peut-être in fine que d'une douzaine de milliards en 2010 car, selon le Canard enchainé, le Trésor a déjà augmenté pour cette année ses emprunts habituels sur les marchés de dix milliards d'euros. La France, qui présente des budgets en déficit depuis les années 1970, emprunte tous les jours sur les marchés financiers et l'opération annoncée sera donc en elle-même banale, même si le montant reste important. L'emprunt sur les marchés est une option d'autant plus économique que les taux sont très bas actuellement. Solliciter les ménages supposerait une rémunération attractive et des frais bancaires, ce qui coûterait, selon une estimation officielle évoquée aussi mercredi par le Canard enchaîné, cinq milliards d'euros. Le débat sur ce dossier a enflammé la majorité depuis plusieurs mois. Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy Henri Guaino, appuyé par certaines personnalités de l'UMP, souhaitait que soit emprunté jusqu'à 100 milliards d'euros. Le ministre du Budget Eric Woerth et d'autres ont cependant obtenu finalement que l'opération soit ramenée à des niveaux plus banals, en insistant sur le fait que les déficits publics français atteindront des records en 2010 en raison de la crise et des dépenses de l'Etat visant à stimuler l'économie. Thierry Lévêque, édité par Pascal Liétout J'ai comme l'impression qu'ils nous prennent vraiment pour des billes... Allez je retourne jouer dans la cour de récré...
  9. Forte augmentation du nombre de ménages surendettés Reuters Le nombre de ménages surendettés ayant engagé des procédures de demande d'aide a atteint 162.171 sur les trois premiers trimestres de 2009, contre 137.842 sur la même période de 2008, selon le journal Le Parisien, qui cite la Banque de France. Les situations sont de plus en plus graves, puisque la procédure exceptionnelle de "rétablissement personnel", qui consiste à vendre la totalité du patrimoine d'un ménage en contrepartie de l'effacement des dettes, a été déclenchée 32.000 fois déjà cette année contre 25.000 durant la même période un an plus tôt. La moyenne de surendettement atteint 40.000 euros par dossier en France, contre une somme deux fois moindre en Allemagne et 18.000 euros en Belgique. Le phénomène s'est développé notamment depuis les années 1980 en France, avec l'usage très large du crédit à la consommation par les banques, sous des formes aujourd'hui contestées comme le "revolving". Cette pratique consiste à mettre à disposition des sommes importantes en échange de taux de rémunération très élevés. Le gouvernement a refusé d'interdire cette pratique en octobre, Christine Lagarde expliquant qu'elle créait des emplois. A été lancé simplement un projet d'encadrement léger des pratiques bancaires qui doit être examiné en 2010.
  10. Crise : Réduction de la consommation, réduction de la production... Ce sont les industries qui sont touchées par la baisse de consommation d'électricité... La consommation des ménages (des particuliers) est toujours en hausse.
  11. Bienvenue Julie

    Biz

    Dom

  12. D'ailleurs ils devraient payer pour travailler ces C..s ... koiquesse
  13. Fermer l'un des fils de discussions les plus populaires du forum ? koiquesse
  14. Excellent ... Excellent... http://fr.wikipedia.org/wiki/Clyst%C3%A8re Je sens qu'il y en a quelques uns qui vont apprécier
  15. En fait c'est peut être encore à cause de ses emm... de grévistes qui font baisser la productivité et affectent la rentabilité financière des centrales nucléaires...
  16. Dessin du jour...
  17. Sinon le cheminot lambda pourra toujours se suicider comme à France-Télécom ? Tiens on devrait envoyer des clients mystères dans les bureaux des hautes directions Mode ON "C'Koa" des "clients pystère" mode OFF
  18. La mystérieuse reddition de Toni Musulin Lefigaro.fr (avec agences) 17/11/2009 | La police monégasque a remis lundi soir le convoyeur de fonds Toni Musulinà la police judiciaire française. Accusé d'avoir dérobé 11,6 millions d'euros, le convoyeur de fonds a été transféré à Lyon dans la nuit pour y être entendu. L'hypothèse d'un abandon planifié est envisagée par la police judiciaire. La reddition de Toni Musulin, lundi à Monaco, surprend les enquêteurs. Transféré la nuit dernière à Lyon, le convoyeur de fonds, accusé d'avoir volé la semaine dernière 11,6 millions d'euros, est actuellement en garde à vue pour être entendu. Il doit être présenté mercredi au parquet. Mais déjà, la police estime qu'il sera difficile de lever le mystère sur ce vol hors norme. «Nous avons eu quatre heures de trajet pour nous rendre compte de ce que sera son système de défense : il ne va pas coopérer», précisé une source judiciaire, après son transfert de Monaco à Lyon. La police s'oriente vers la thèse d'une capitulation planifiée du convoyeur de fonds. «C'est un vol simple. Il encourt trois ans de prison maximum», explique cette source. Un moyen, peut-être, pour le suspect de profiter ensuite au grand jour de sa prise de plus de deux millions d'euros. Un somme qui reste introuvable. La majeure partie du butin, soit neuf millions, avait en effet été retrouvée le 7 novembre dernier par les enquêteurs. «C'est sa décision», a déclaré mardi son avocat. «Toni Musulin est quelqu'un de responsable, il a commis un délit, pas un crime, et il a décidé de faire face à ses responsabilités», poursuit Me Christophe Cottet-Bretonnier, qui a vu son client au début de sa garde à vue dans la nuit de lundi à mardi, et devait le revoir mardi. L'avocat, qui a refusé de s'exprimer sur le fond, a indiqué que Toni Musulin n'était «pas particulièrement marqué par sa cavale». «C'est quelqu'un de solitaire, qui avait décidé de couper avec sa famille. (...) Mais les planques, l'errance, ce n'est pas pour lui. Je pense que ça a joué», indique celui qui est devenu son conseil en avril dernier, lorsque Toni Musulin avait déclaré sa Ferrari volée et effectué des démarches judiciaires pour obtenir un dédommagement de son assurance. Une star de l'Internet Toni Musulin s'est rendu lundi en milieu de journée à la police monégasque. Barbe de dix jours et traits visiblement fatigués, il avait déclaré qu'il était recherché par les services de police et qu'il était là pour se rendre. Le convoyeur de 39 ans, qui s'était volatilisé le 5 novembre avec le chargement du fourgon qu'il conduisait, a été réceptionné au «jardin exotique» - un lieu touristique situé à la frontière de l'Etat de Monaco et de la France , et ensuite pu être récupéré par la PJ de Lyon. Puisqu'aucun mandat d'arrêt international en bonne et due forme n'avait semble-t-il été diffusé par la France, la police monégasque n'a pas été en mesure d'arrêter formellement le malfaiteur d'origine serbo-croate lundi. Il a en effet été remis à la police française en homme libre, «sans menottes» et uniquement parce qu'il a «accepté d'être entendu par la police française». Cette reddition a immédiatement fait chuter la cote de popularité de celui qui était devenu en quelques jours, une star de l'Internet. «L'Arsène Lupin, l'artiste, la référence, le modèle de certains n'était qu'un looser!», estime par exemple un internaute sur lefigaro.fr. «J'ai un peu honte à l'avouer mais je suis déçu que ce type se rende. Un gros butin acquis sans la moindre effusion de sang et qui ne lèse personne en particulier (les banques ont encore récemment publié des profits record !), cela m'avait fait fantasmer...», avoue un autre lecteur. Il aurait du distribué les 9 millions... Tu vois l'émeute...
  19. Y'en a bien qui portent des cheveux longs et d'autres qui sont rasés chauves. Y'en avait même un qui portait un bonnet rouge... Il me semble que le conseil d'Etat s'est penché il y a bien longtemps déjà sur cette question et a rappelé que dans ce pays il y a des libertés individuelles à respecter.
  20. http://www.plumedepresse.com/spip.php?article1279 Emeute suite à une distribution d’argent avortée : ces irresponsables qui nous gouvernent lundi 16 novembre 2009, par Olivier Bonnet Je conseille la lecture des commentaires...
  21. POLÉMIQUE NDIAYE Bertrand Delanoë déplace la polémique sur le terrain du racisme lepoint.fr PATRICK BERNARD/AFP Le maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, estime "profondément malsaine" la polémique lancée par le député UMP Eric Raoult sur les propos de Marie Ndiaye La polémique "Marie NDiaye - Éric Raoult" pourrait encore rebondir et se déplacer sur un terrain sensible, celui de la couleur de peau. Lundi, sur son blog , Bertrand Delanoë publie un billet dans lequel il ne mâche pas ses mots quant à l'idée d'imposer un devoir de réserve aux prix Goncourt. "En quoi un prix littéraire aurait-il vocation à brider la liberté de parole de l'écrivain ?", interroge le maire PS de Paris, qui juge la polémique "malsaine". Surtout, il demande si ce "rappel à l'ordre" n'est pas plutôt inspiré par la "couleur de peau" de la romancière. Bertrand Delanoë en veut pour preuve "l'exégèse douteuse à laquelle se livre" Éric Raoult dans Le Monde daté de samedi. Réaffirmant que les propos de Marie Ndiaye qualifiant de "monstrueuse" la France de Nicolas Sarkozy sont "inadmissibles", le député UMP ajoute : "Même Yannick Noah et Lilian Thuram n'en ont pas fait autant qu'elle." Une assertion qui fait bondir le maire de Paris. "(L'ex-tennisman) Yannick Noah et (le footballeur) Lilian Thuram ? Sa critique initiale ne portait donc pas exclusivement sur la liberté de parole des écrivains ? (...) Serait-ce donc la couleur de leur peau qui inspirerait ce rappel à l'ordre pas vraiment républicain ?", se demande Bertrand Delanoë. Et de faire le lien avec un autre sujet sensible, sur lequel le PS s'oppose à la majorité : au moment où le gouvernement lance un débat sur l'identité nationale , un député de la majorité "suggère que certains Français seraient avisés de se taire. Peut-être parce que leur identité déplaît", écrit encore Bertrand Delanoë, qui va jusqu'à faire part de son "sentiment de dégoût".
  22. Ouest France Comparateur de prix du médiateur de l'Electricité Marché de l'énergie : attention aux pièges lundi 16 novembre 2009 Choisir son fournisseur de gaz ou d'électricité relève du casse-tête. Sur fond de concurrence exacerbée,le « comparateur » des offres lancé au début du mois est critiqué par l'UFC-Que Choisir. Près de deux ans et demi après l'ouverture du marché de l'électricité à la concurrence, les consommateurs se retrouvent confrontés à pléthore d'offres différentes. Outre EDF et GDF Suez, il existe sept fournisseurs d'énergie en France : Direct Énergie, Enercoop, Planète Oui, Poweo, Alterna, GEG Source d'Énergie et Altergaz. D'où une comparaison objective difficile. Le comparateur d'énergie, mis en place au début du mois par le médiateur national de l'énergie et la Commission de régulation, éclaire-t-il le consommateur ? Sur ses droits, indéniablement. Sur les tarifs, c'est plus discutable. L'UFC-Que choisir va jusqu'à parler d'un « piège », d'une « machine à faire quitter les tarifs réglementés ». En juin, seulement 3,5 % des ménages avaient abandonné EDF pour un autre fournisseur d'électricité, 4,5 % du côté de Gaz de France. Les critiques de Que Choisir ? Certes, ce comparateur recense les offres des divers fournisseurs - sauf, à sa demande, Enercoop - mais l'information est-elle complète? « On est plus près de la propagande, accuse Élisabeth Chesnais, spécialiste de ces questions à l'UFC-Que choisir. Ce sont les fournisseurs eux-mêmes qui entrent les données. Une offre de prix annonce moins 10 % sur les tarifs réglementés. Ces 10 % concernent les prix du kW/h, pas celui de l'abonnement. C'est faux, incomplet... » Quant aux offres vertes, un leurre ? « Elles portent sur une électricité renouvelable qui arrive jusqu'à nos compteurs depuis des lustres ! La transformer en offre commerciale environnementale est simple : le fournisseur achète des certificats verts à un coût dérisoire et l'affaire est jouée ! » « Nous ne voulons encourager personne à quitter les opérateurs classiques », se défendent les services du médiateur qui, las de crouler sous les plaintes (13 000 depuis début 2009), ont mis ce comparateur en ligne. Alors, quels conseils donner aux consommateurs, tentés par le changement, mais pour qui un retour en arrière sera impossible au-delà du 30 juin 2010 voire, à y regarder de plus près, dès le 31 décembre ? « Un seul : ne pas quitter le tarif réglementé d'EDF, répond Élisabeth Chesnais. La pression de Bruxelles contre ce genre de tarif est forte. Si les consommateurs l'abandonnent, il finira par être supprimé par les pouvoirs publics avec, à l'arrivée, l'assurance d'une flambée des prix de 20 à 25 %. » On n'en est pas là. En optant pour un fournisseur non historique, des consommateurs ont effectivement fait quelques économies. Le tout est de savoir si elles seront durables.
  23. A priori c'est pas chose facile...
  24. parce que c'est complexe... François Hollande remonte en flèche dans un sondage Reuters Le socialiste François Hollande enregistre une forte progression au baromètre des personnalités de l'opposition de Viavoice, publié dans l'édition de lundi du journal Libération. L'ancien Premier secrétaire du Parti socialiste bénéficie désormais d'une popularité de 39 %, en hausse de 8 points par rapport aux données recueillies le mois dernier. Il se place en cinquième position, derrière Bertrand Delanoë (55%), Dominique Strauss-Kahn (54%), Olivier Besancenot (45%) et Martine Aubry (40%). Par ailleurs, 61% des personnes interrogées, contre 21%, déclarent approuver le rassemblement social, écologique et démocrate initié par l'eurodéputé Vincent Peillon. "Ces scores s'expliquent parce que la démarche est fédératrice et parce qu'elle bouscule les organisations partisanes traditionnelles", souligne l'institut de sondage. Toutefois, la crédibilité du rapprochement reste à confirmer, 48% des personnes interrogées contre 35% estimant que cette démarche n'est pas crédible. Ce sondage a été effectué les 12 et 13 novembre auprès d'un échantillon de 1.004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Gérard Bon
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