Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Actualités Politiques
L'onde de choc du "non" aux minarets se propage en France Reuters L'onde de choc du "non" suisse aux minarets s'est propagée lundi en France, où l'UMP s'interroge sur la justification de ces édifices, ce que l'opposition dénonce comme une manoeuvre "électoraliste". Interrogés par référendum, les citoyens suisses ont approuvé à une nette majorité dimanche l'interdiction de construire dans la Confédération de nouveaux minarets ornant les mosquées, prenant de court le monde politique et le gouvernement. Le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, s'est déclaré "un peu scandalisé" par cette "expression d'intolérance". "Si on ne peut pas construire de minarets cela veut dire qu'on opprime une religion", a-t-il dit sur RTL. L'ancien Premier ministre socialiste Michel Rocard a de son côté jugé que la peur était "mauvaise conseillère". "C'est quand même un affichage de méfiance. C'est un vote de violence", a-t-il regretté sur Radio Classique. Mais des responsables politiques français ont estimé que la France pourrait ou devrait prendre exemple sur la Suisse. Pour le Front national, ce vote est un signal envoyé aux "élites", qui doivent "cesser de nier les aspirations et les craintes de peuples européens (face) à des signes ostentatoires que veulent imposer des groupes politico-religieux musulmans, souvent à la limite de la provocation". Plusieurs responsables de l'UMP ont fait des commentaires qui ont été vivement critiqués à gauche. Dimanche soir, le secrétaire général du parti majoritaire, Xavier Bertrand, a jugé qu'on n'avait pas "forcément besoin" des minarets en France. "AMALGAMES" Le porte-parole adjoint de l'UMP, Dominique Paillé, a abondé dans son sens lundi sur France Info. Si les salles de prière sont "évidemment tout à fait indispensables", il n'en va pas de même pour les minarets, a-t-il dit. "Il faut pouvoir assumer ses convictions sans que cela blesse qui que ce soit et sans que cela transgresse le principe de laïcité", a-t-il estimé, faisant le distinguo entre les minarets et les clochers des églises catholiques qui sont "un héritage historique". Jean-François Copé a refusé de commenter ces déclarations, joignant sa voix à celles de la gauche. "Ce vote n'aide pas car il va encourager toutes les formes d'amalgames", a dit le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale sur France Info. Au Parti socialiste, Pierre Moscovici a jugé sur LCI "électoralistes" les propos de Xavier Bertrand qui, selon lui, reviennent à dire "qu'au fond les Suisses montrent la voie". Pour Benoît Hamon, en Suisse comme en France, "la stratégie du bouc émissaire porte". "Les populations européennes sont sensibles à ces thématiques, dès lors que les gouvernements n'apportent pas d'autre réponse au plan économique et social", a dit le porte-parole du PS lors d'un point de presse. Les Verts dénoncent l'avancée des idées "xénophobes et islamophobes" en Europe. "Tous les prétextes sont bons: débat sur la burqa, mariage gris, minarets, amalgame entre la sécurité et l'immigration, identité nationale pour faire peur et nourrir un sentiment de rejet contre certains immigrés ou européens issus de l'immigration venant de pays musulmans", accuse le parti écologiste dans un communiqué. Comme les Verts, le député socialiste européen Vincent Peillon et le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, font le lien entre le vote suisse et le débat lancé par Nicolas Sarkozy et la droite sur l'identité nationale en France. En Europe, "nous sommes dans un temps où, par défaut de vigilance, par confusion, par électoralisme, on commence à jouer avec des questions fondamentales", a estimé Vincent Peillon sur i>Télé. "Cessons de jouer avec des concepts, avec des émotions mauvaises et dangereuses. N'animons pas la campagne des (élections) régionales (de mars prochain) avec des sujets qui n'ont rien à voir, comme l'identité nationale", a-t-il dit. Bernard Thibault, de son côté, a déploré qu'en période de crise "certains trouvent avantage à mettre en exergue des coupables tout désignés". "Chacun a son immigré dans son pays en Europe", a-t-il dit. Laure Bretton, édité par Yves Clarisse
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Actualités Politiques
Ce que représentent les minarets en France L'Express Alors que le débat sur l'interdiction des minarets en Suisse rebondit en France, retour sur une tradition musulmane. C'est quoi? Un minaret est un élément architectural d'une mosquée. Une sorte de "tour" qui dépasse tous les autres sommets du lieu de culte. Les mosquées n'ont pas toutes un minaret, souvent par souci de discrétion sur une terre non musulmane et pour des raisons financières ou techniques. Certaines mosquées, comme La Mecque, ont plusieurs minarets. Ça sert à quoi? La fonction principale du minaret est de lancer l'appel à la prière, cinq fois par jour. C'est le muezzin qui est chargé de répandre, par la voix, cet appel. Lorsque la mosquée possède plusieurs minarets, l'appel est lancé depuis une des tours. L'autre attrait du minaret est de repérer facilement la présence d'une mosquée. Combien y en a-t-il en France? La France compte moins de dix minarets qui coiffent tous des mosquées dites "cathédrales". Le minaret de la grande mosquée de Paris grimpe, par exemple, jusqu'à à 30 mètres tandis qu'il atteint 25 mètres à Créteil. Et à l'avenir? En novembre 2011, pour la fête de l'Aïd, le député-maire Jean-Claude Gaudin inaugurera la grande mosquée de Marseille, l'une des plus grandes jamais construites en France. Le lieu de culte, qui sera érigé dans les quartiers nord de la ville, aura un minaret haut de 25 mètres. L'appel à la prière sera lancé grâce à un faisceau lumineux. D'après La Mosquée de Paris, il n'y a pas, en France, d'appels "classiques" à la prière, c'est-à-dire par la voix.
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Suite manifestation Cheminots Commercial Voyageurs
Suite manifestation Cheminots Commercial Voyageurs Lettre Cgt à Direction sncf 30 novembre 2009 2009_11_30_cgt_CourrierDirectionRH_PrimeTravailAgentsFiliereComVoyGaares.pdf
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Fin de la desserte fret de Peyrieu (Ain)
25.000 Euros de recettes pour 50 trains (minimum) ? 500 euros par train complet de céréales ?
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TGV Est, pourquoi la Lorraine, la Champagne... sont-elles mise à l´écart des connexions européennes?
Mercantilisme ? Pas assez de rentabilité financière ?
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Actualités Politiques
Le PCF prêt à reconduire le Front de gauche dans 16 régions Mardi 24 novembre, Libération.fr Reçus 16 sur 22. Consultés depuis vendredi dans toutes les régions, les militants du Parti communiste se sont prononcés largement pour des listes «Front de gauche élargi», indépendante du PS, au premier tour des régionales de mars. Dans 16 régions, les communistes ont fait le choix de renouveler l'expérience des européennes de juin : une alliance avec le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon, ouverte à d'autres formations ou personnalités issues de la gauche radicale. Avec une participation de 63,7%, les militants PCF suivent dans leur grande majorité l'offre proposée par leur direction nationale fin octobre. Pour l'instant, seuls les militants de quatre régions (Bretagne, Lorraine, Champagne-Ardenne et Basse-Normandie) sont prêts à partir dès le premier tour avec le PS. En attendant les résultats en Poitou-Charentes et Bourgogne qui seront connus aujourd'hui Dans ces deux régions, les délégués départementaux ont plaidé ces dernières semaines pour un ticket PS-PCF. Lors des régionales de 2004, les communistes avaient choisi l'autonomie dans huit régions seulement. Et passé la barre des 5%, nécessaire pour fusionner, dans cinq d'entre elles.
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Les personnalités politiques et leurs blogs
Argent et pouvoir : la délinquance ne connaît pas de frontières. Comme nous sommes dans une démocratie représentative, avec délégation de pouvoir et absence de contrôle les dérives sont systématiques et personne n'y échappe... C'est donc l'Homme qu'il faut changer mais vous y croyez vous ?
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Actualités Politiques
Point de vue Laissez Marc Bloch tranquille, M. Sarkozy, par Suzette Bloch et NicolasOffenstadt LE MONDE | 28.11.09 | Petite-fille de Marc Bloch et historien médiéviste, nous avons décidé de joindre nos voix pour dire stop à l'utilisation abusive de l'historien, de l'intellectuel, du résistant Marc Bloch par le président de la République, Nicolas Sarkozy - et ceux qui l'entourent - pour habiller leurs discours idéologiques Un jour, moi, Suzette Bloch, j'ai demandé à mon père : "Mais comment as-tu fait pour avoir le courage physique de résister à l'occupant ?" Il m'a répondu : "Tu sais, quand tu es agressé, tu ripostes, c'est comme un réflexe, tu ne te poses même pas la question." Mon père s'appelait Louis Bloch. Il était modeste. Ses hauts faits de résistant contre les nazis et leurs auxiliaires français, je les ai appris par le récit d'autres. J'aurais pu poser la question à mon grand-père. Mais je ne l'ai pas connu. Il a été fusillé. Le 16 juin 1944. Il est tombé sous les balles allemandes. Le soir, dans un champ. A Saint-Didier-de-Formans (Ain). Il était lui aussi dans la Résistance. Il s'appelait Marc Bloch. J'aurais pu poser la question à ma grand-mère. Mais je ne l'ai pas connue. Elle est morte le 2 juillet 1944. A Lyon. De douleur, de privations, sans nouvelles de son mari, de ses fils, Etienne, Louis et Daniel, tous engagés dans l'armée de l'ombre. Elle s'appelait Simonne. Marc, Simonne, Louis m'ont laissé une mémoire, la mémoire d'une famille qui a érigé la liberté d'esprit au rang de première des valeurs humaines. Aujourd'hui, je suis indignée. Au point où j'en arrive à surmonter la timidité que j'ai aussi reçue en héritage. Pour dire "Assez !". Le 12 novembre à La-Chapelle-en-Vercors, dans la Drôme, le président de la République a prononcé un discours destiné à apporter sa "contribution" au débat qu'il a lancé sur l'"identité nationale", une notion qui ne s'impose en rien et qui peut servir les pires desseins idéologiques. Il en a appelé à mon grand-père à l'appui de son hymne à la France repliée, chrétienne et éternelle. "Honneur", "patrie", "fierté d'être français", "identité nationale française", "héritier de la chrétienté" : ces termes sont légion dans ce discours où le chef de l'Etat prétend décrire ce que doit être sa France, cautionnée par le "plus grand historien". A plusieurs reprises, pendant la campagne présidentielle, il avait cru bon de citer L'Etrange Défaite, ce retour réflexif sur 1940, écrit par l'historien, qui avait été aussi combattant. Mais là, trop, c'est trop. Je suis révulsée. Pourquoi ce besoin de recourir à Marc Bloch pour se vêtir de ses qualités d'homme irréprochable. Peut-être parce qu'il faut rendre noble et acceptable un débat qui sert à la fois de courtes visées électorales et un projet idéologique de retour au "national", sans rapport aucun avec les engagements et la vision du monde, savant et citoyen, de Marc Bloch. Je refuse que mon grand-père soit utilisé pour célébrer la patrie selon Nicolas Sarkozy, qui joue de la peur de "l'Autre". "L'étranger" ? "L'immigré" ? Toujours sommé de se justifier, forcément marginalisé par un débat centré sur l'"identité nationale", pourchassé quant il n'est pas "en règle", obligé de se cacher, de cacher ses enfants ou de travailler aux sinistres conditions du travail au noir. Quels sont ces "renoncements" qui menacent la patrie ? Toute cette phraséologie n'a rien à voir avec Marc Bloch, qui s'est battu dans un tout autre contexte contre de vrais ennemis des libertés. "Je suis, je m'en flatte, un bon citoyen du monde et le moins chauvin des hommes. Historien, je sais tout ce que contenait de vérité le cri fameux de Karl Marx : "Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !"", écrivait aussi le médiéviste dans L'Etrange Défaite, soucieux d'articuler son intense patriotisme et de plus larges horizons. Non, moi, sa petite-fille, je ne veux pas que Marc Bloch soit instrumentalisé par Nicolas Sarkozy. Il n'aurait pas approuvé cette idéologie nationaliste malsaine. Je demande au président de laisser la pensée de mon grand-père à l'étude, à la critique, aux historiens, ainsi qu'à tous les lecteurs de ses oeuvres. L'historien coauteur de ces lignes doit dire, avec bien d'autres, que le fameux passage cité à plusieurs reprises par le président et ses proches, et encore à La Chapelle-en-Vercors, pour faire croire que l'histoire de France s'adopte comme un tout, comme un animal de compagnie, est un détournement bien abusif. Voici la phrase exacte : "Il est deux catégories de Français qui ne comprendront jamais l'histoire de France, ceux qui refusent de vibrer au souvenir du sacre de Reims ; ceux qui lisent sans émotion le récit de la fête de la Fédération." Lorsqu'on remet cette phrase dans son contexte, on comprend qu'elle sert avant tout à dénoncer l'étroitesse d'esprit du patronat des années 1930, incapable de saisir l'élan des luttes ouvrières, et en particulier de celles de 1936. "Dans le Front populaire", ajoute Bloch - le vrai, celui des foules, non des politiciens -, il revivait "quelque chose de l'atmosphère du Champ de Mars, au grand soleil du 14 juillet 1790." Surtout, Marc Bloch dénonce ici l'incapacité des élites à bâtir de grands moments de rassemblement autour des idéaux démocratiques, face à ceux des régimes fascistes. Les spécialistes de Marc Bloch invitent à la prudence dans l'usage de la phrase, déjà formulée pendant la Grande Guerre. Ils en ont proposé de multiples lectures, insistant sur ce double contexte de guerre. A l'évidence, ce genre de discours d'union sacrée est un lieu commun pendant un conflit et mérite d'être entendu dans ce contexte. Comme d'habitude, le président sort des mots et des icônes de leurs contextes et de leurs engagements pour les peindre aux couleurs du jour, les plus nationales en l'occurrence, oubliant l'époque qui les a produits, empêchant toute compréhension des enjeux du temps. Comme le note l'historien Gérard Noiriel, "alors que Nicolas Sarkozy n'a cessé de stigmatiser la pensée critique comme une menace sur l'identité nationale, Marc Bloch l'a, au contraire, toujours encouragée". Suzette Bloch est Journaliste, petite-fille de Marc Bloch Nicolas Offenstadt est Maître de conférences en histoire à l'université Paris-I, auteur de "L'Histoire bling-bling", Stock
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Mailorama, distribution de cash annulée :
Ils sont sûrement assurés... (voir la pub nulle à la télé en ce moment...)
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Coucou les Cheminots... Voilà le voyageur Mystère
Je te renvoie quand même au début de ce post où un conducteur est "interrogé" alors que ce n'était pas lui l'agent concerné... ce qui renvoie quand même aux compétences de nos très chers managers... ceci dit le fil a dévié sur la question des" clients mystères"... mais franchement si le monde était bien fait en aurait-on vraiment besoin... ? Parait qu'il y en a même qui "contrôle" les boulangeries... mais si mais si... Bon c'est vrai il y en a qui te surveille avec des jumelles le long des routes ou assis devant leur écran de vidéo-surveillance...
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Mailorama, distribution de cash annulée :
Fiasco de Mailorama: le Secours populaire encaisse les 100.000€ LePost La société Rentabiliweb, maison mère du site Mailorama, qui avait organisé une distribution d'argent avortée à Paris le 14 novembre dernier a remis le chèque promis de 100.000 euros au Secours populaire français. Dans un communiqué le Secours populaire français précise que "tout cet argent sera consacré entièrement à aider les 'Pères Noël verts' dans leurs tournées pour apporter joie et réconfort, d'autant plus que le nombre des oubliés de Noël risque d'être bien plus important que les années précédentes", selon Le Figaro.fr. Rappel des faits: Le 14 novembre, le site Mailorama voulait distribuer de l'argent dans la rue à Paris, dans le VIIe arrondissement, dans le cadre d'une opération de communication. Mailorama avait dû renoncer à son projet pour des raisons de sécurité, indique Le Figaro. 7.000 personnes s'étaient retrouvées sur les lieux dans le courant de l'après-midi. A la suite de l'annulation de la distribution d'argent, de violents incidents s'étaient déroulés dans le quartier. Neuf personnes avaient été interpellées et placées en garde à vue.
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Actualités Politiques
«Dix millions de personnes souffrent de la crise du logement» INTERVIEW 31 associations appellent à une grande mobilisation citoyenne vendredi soir à l'occasion de la 2e édition de la nuit solidaire pour le logement. Entretien avec Christophe Robert, directeur d'études à la fondation Abbé Pierre. Recueilli par MARIE PIQUEMAL C'est un appel à l'aide. 31 associations, réunies en collectif, organisent vendredi soir la 2e édition de la nuit solidaire pour le logement dans plusieurs grandes villes, pour alerter sur la crise du logement en France. Loyers trop chers, appartements insalubres ou cabanons de fortune... Le problème du logement revient régulièrement sur la table et paraît insoluble. Les acteurs de terrains ne sont pas de cet avis : des solutions existent à condition qu'il y ait une volonté politique. Entretien avec Christophe Robert, directeur d'études à la fondation Abbé Pierre. ... http://www.liberation.fr/societe/010160528...ise-du-logement
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Actualités Politiques
Mais que fait Notre très Cher Président Sarkozy ? Le chômage repart vivement à la hausse : +25% en un an... Reuters La hausse du chômage qui se modérait depuis cinq mois en France s'est brutalement accentuée en octobre avec 52.400 demandeurs d'emplois supplémentaires en catégorie A, selon les données publiées jeudi par le ministère de l'Economie et Pôle Emploi. Le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A, c'est-à-dire n'occupant aucune activité, augmente ainsi de 2,0% par rapport à septembre pour atteindre 2.627.300 en métropole. Sur un an, l'augmentation est de 25,0%. En ajoutant les demandeurs d'emploi exerçant une activité réduite (catégories B et C), la progression ressort à 1,1% (+43.000 personnes) en variation mensuelle et à 20,3% d'une année sur l'autre. En comprenant les départements d'outre-mer, le nombre de demandeurs d'emplois en catégories A, B, C dépasse le cap des quatre millions pour atteindre 4.019.700 personnes, contre 3.972.400 en septembre et 3.348.100 en octobre 2008. Il faut remonter à avril pour trouver un chiffre supérieur à 50.000 en catégorie A en métropole. Le record avait été atteint en janvier avec 90.200 demandeurs d'emplois de plus. Dans un communiqué, la ministre de l'Economie Christine Lagarde déclare "prendre note de cette augmentation qui fait suite à cinq mois de hausse plus contenue et reflète la poursuite des effets de la crise sur le marché du travail." "La tendance à la dégradation de l'emploi devrait se poursuivre quelques trimestres, car une reprise graduelle de l'activité ne se traduirait pas par un repli immédiat du chômage", ajoute-t-elle. TAUX DE CHOMAGE DE 10% SELON EUROSTAT La France ne publie pas de taux de chômage mensuel mais celui-ci a grimpé en septembre à 10,0% contre 9,8% en août, selon l'agence européenne de statistiques Eurostat (plus de détails ). L'Insee publiera le 3 décembre le taux de chômage trimestriel au sens du Bureau international du travail. Celui-ci était de 9,1% au deuxième trimestre en métropole, en hausse de 0,6 point par rapport aux trois premiers mois de l'année. Après une flambée sur les quatre premiers mois de l'année, la hausse du chômage avait sensiblement ralenti depuis avril et le nombre de destructions d'emplois a parallèlement baissé à 5.500 au troisième trimestre contre 85.400 au deuxième et 185.900 au premier (plus de détails ). Dans son communiqué, Christine Lagarde rappelle les mesures en faveur de l'emploi prises par le gouvernement et ajoute que leur influence "va continuer à monter en puissance". Elle cite ainsi le soutien renforcé à l'activité partielle dont le nombre de bénéficiaires a atteint 319.000 au deuxième trimestre, le dispositif "zéro charges" dans les entreprises de moins de 10 salariés qui a contribué à l'embauche de 650.000 personnes, les contrats de transition professionnelle, le plan d'urgence pour l'emploi des jeunes ou le renforcement temporaire des moyens de Pôle Emploi dans les régions les plus touchées. Laurent Wauquiez, le secrétaire d'Etat chargé de l'emploi, avait indiqué la semaine dernière que 1,5 million de personnes avaient bénéficié des mesures de soutien . "Le coeur de la crise commence à être derrière nous même s'il faut rester vigilant parce qu'on connaîtra sans doute encore des mois où on va retomber", avait-il déclaré. HAUSSE DU CHÔMAGE DES JEUNES Chez les jeunes de moins de 25 ans, le nombre de chômeurs a augmenté de 2,5% en catégorie A (+28,1% sur un an) et de 1,2% pour les catégories A, B et C (+26,4% sur un an). Le nombre de chômeurs de longue durée - inscrits à Pôle emploi depuis un an ou plus - a quant à lui augmenté de 2,5% en octobre pour les catégories A, B, C (+22,8% sur un an). Les entrées au service public de l'emploi en catégories A, B, C ont progressé de 0,8% en octobre par rapport à septembre. Les sorties ont quant à elles augmenté de 0,2% en octobre mais celles motivées par des "cessations d'inscription pour défaut d'actualisation" ont baissé de 3,2% alors qu'elles avaient augmenté les mois précédents, contribuant à modérer les chiffres mensuels des inscrits à Pôle emploi. Véronique Tison, édité par Sophie Louet Certains économistes estiment que le nombre réel de personnes sans emploi s'élèverait à plus de 6 millions (rappel il y a en France 64 millions d'habitants environ 35 millions entre 18 et 60 ans...)
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Question RH (utilisation du personnel)
Tu nous diras comment la CPS t'a graphiqué en définitive.... Merci
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Sabotages caténaires............
Affaire de Tarnac: la police a-t-elle fait pression sur Jean-Hugues Bourgeois? http://fr.news.yahoo.com/63/20091125/tfr-a...le-019dcf9.html http://www.lepost.fr/article/2009/11/25/18...-x-douteux.html
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Big Brother
L'UMP ouvre la porte à la création de nouveaux fichiers LE MONDE | 25.11.09 | http://www.lemonde.fr/societe/article/2009...#ens_id=1271925 La proposition de loi visant à encadrer la création et le fonctionnement des fichiers de police présentée, jeudi 19 novembre, par Delphine Batho (PS, Deux-Sèvres) a été rejetée, mardi 24 novembre, par la majorité de l'Assemblée nationale. Ont aussi été rejetées les deux autres propositions de loi - sur le droit de finir sa vie dans la dignité et sur la régulation de la concentration dans les médias - défendues par le groupe socialiste dans le cadre de sa journée d'initiative parlementaire. Le texte sur les fichiers de police présentait la particularité d'être issu d'une proposition commune de Mme Batho et de Jacques-Alain Bénisti (UMP, Val-de-Marne), rédigée dans la foulée du retrait des décrets créant le fichier Edvige. Cette proposition avait été adoptée, le 16 juin, à l'unanimité de la commission des lois de l'Assemblée. Selon celle-ci, l'autorisation de créer des fichiers intéressant la sécurité publique ou ayant pour objet la prévention, la recherche, la constatation ou la poursuite des infractions pénales devait relever de la loi. Elle détaillait précisément les points sur lesquels le législateur devrait statuer, les caractéristiques des fichiers qui devraient être déterminées. Un recul C'est ce qu'a rappelé Mme Batho, mardi, avant le vote qui devait aboutir au rejet de la proposition. "Nous étions tous d'accord, a-t-elle souligné, pour refondre entièrement le cadre juridique des fichiers de police, (...) améliorer la protection des citoyens et (...) moderniser les outils dont disposent les policiers." "Tous d'accord", avant que le gouvernement ne publie, le 18 octobre, deux décrets autorisant la création de deux fichiers "post-Edvige" sur des délinquants potentiels "susceptibles d'être impliqués dans des actions de violences collectives" ou "dont l'activité indique qu'elles peuvent porter atteinte à la sécurité publique" (Le Monde du 20 octobre). Ainsi a été balayé par le gouvernement le travail des parlementaires de la majorité et de l'opposition. Dès lors, le gouvernement ne souhaitait plus que la proposition de loi voie le jour. Mais ce qui aurait pu n'être qu'un épisode de plus dans l'opposition de l'exécutif et du législatif prend une tout autre tournure après ce qui s'est passé, mardi, en commission des lois. En effet, si l'UMP a refusé de voter la proposition de loi coécrite par un de ses membres, elle a en revanche approuvé une série d'amendements déposés sur le même sujet par... M. Bénisti à une proposition de loi dite "de simplification et d'amélioration de la qualité du droit" qui doit être examinée mardi 1er décembre en séance. Des amendements en totale contradiction avec la proposition de loi initiale puisqu'ils autorisent la création de fichiers par simple arrêté gouvernemental et énumèrent de façon extrêmement large, et générale, les catégories et les finalités de fichiers pouvant être créés. Loin de "préciser" la loi, ils constituent en ce sens un recul par rapport au droit existant. "Ces amendements venus d'ailleurs sont une sorte de blanc-seing donné au gouvernement pour passer par la voie réglementaire", s'insurge Mme Batho. Patrick Roger
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Big Brother
Euh... est-ce que quelqu'un ou quelqu'une sait où est passé le fil sur notre amie Edvige ?
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Votre Ordinateur Possède Sa Propre Couleur
Et le votre Dom l'archéologue (Il pleut dehors...)
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La nuit...sur l'écran de votre ordinateur...
Allez on en remet une petite couche sur ce qui se passe la nuit... :blink:
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Big Brother
4,8 millions de Britanniques dans le fichier ADN Londres Correspondante Les policiers anglais, gallois et nord-irlandais auraient tendance à multiplier les arrestations dans le souci d'alimenter leur fichier ADN. C'est l'une des conclusions d'un rapport publié, mardi 24 novembre, par l'autorité indépendante qui conseille le gouvernement sur les questions de génétique, la Human Genetics Commission (HGC). http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/...tor=AL-32280184
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France-Irlande
On peut signer ... à la main ? ;)
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Un tiers de l'humanité vit dans le noir
Toujours de la lumière Tu t'éclaires à la bougie ?
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Un tiers de l'humanité vit dans le noir
Et chez vous il y a de la lumière... Bon moi je pédale pour faire fonctionner le vieux générateur pour rester connecter au monde extérieur... :Smiley_58:
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Actualités Politiques
Une garde à vue à 1 million d’euros http://www.france-info.com/chroniques-le-p...508-81-184.html Un entrepreneur versaillais va réclamer cet après-midi un million d’euro de dommages et intérêts contre la police. Bernard Copin soutient qu’il a été victime, avec deux autres personnes dont sa compagne, d’une garde à vue abusive au mois d’aout 2008. Une véritable histoire de fous...
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Question RH (utilisation du personnel)
Pour moi il y a déjà à vérifier la durée réduite de ton premier repos RP (avant ta prise de nuit) ainsi que le précédent si tu es en roulement 3x8 et donc ensuite la durée de ton repos après descente de nuit qui doit être allongé des heures manquantes de tes repos réduits... De plus la durée du RCF Férié qui t'es attribué d'office doit avoir une durée minimum de 36 heures (entre FS et PS) ... A vu d'oeil je verrai bien un NU