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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Monsieur et Madame Delamain ont trois enfants. Comment les prénomment ils ?
  2. nonmais http://www.lemonde.fr/societe/article/2009...tor=AL-32280184 Claudine Attias-Donfut, sociologue, directrice de recherche à la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV) "On occulte la réalité de l'intégration de la majorité des immigrés" LE MONDE | 03.12.09 | Claudine Attias-Donfut est sociologue, directrice de recherche à la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV). Elle vient de publier, avec François-Charles Wolff, Le Destin des enfants d'immigrés, un désenchaînement des générations (Stock). Cet ouvrage rend compte d'une enquête menée auprès de 6 200 immigrés de toutes nationalités, âgés de 45 à 70 ans, qui ont également été interrogés sur le destin de leurs enfants. Ce travail bat en brèche un certain nombre d'idées reçues sur les immigrés et l'intégration scolaire et professionnelle de leurs enfants. Vous montrez, dans votre enquête, que les enfants d'immigrés sont, en grande majorité, sur la voie de la réussite... Effectivement. Les enfants d'immigrés réussissent bien à l'école, comparativement au reste de la population. Dans les catégories sociales les plus défavorisées, ils réussissent même mieux que ceux des autochtones. La migration joue un rôle d'aiguillon : le projet migratoire parental doit s'accomplir dans la réussite scolaire et l'intégration des enfants. Chez les immigrés, il y a un désir très fort de mobilité sociale, de s'élever au-dessus de sa condition. Peut-on dire globalement que l'intégration des enfants d'immigrés est réussie ? Si on prend le critère de la réussite scolaire, oui. Mais cela ne suffit pas, on le voit avec l'intégration professionnelle, où les résultats sont plus nuancés. Ainsi, parmi les diplômés, les enfants d'immigrés ont plus de risques de chômage. En revanche, il n'y a pas de différence entre les taux de chômage des enfants d'immigrés non diplômés et ceux du reste de la population dans la même situation. Encore ne faut-il pas généraliser. Dans leur ensemble, les Portugais ont un taux de chômage inférieur à la population française. Notre enquête fait apparaître un taux de chômage un peu supérieur chez les Algériens et les Marocains, mais pas chez les Africains, les Tunisiens et les Turcs. Ce qui tend à montrer que le taux de chômage n'est pas nécessairement dû qu'à la discrimination : il peut aussi s'expliquer par d'autres facteurs, notamment par le choix de la filière suivie. Quelle est la part des discriminations dans ces barrières à l'emploi ? Le phénomène n'est pas aussi général qu'on le pense. Lorsque l'on demande aux personnes si elles ont eu le sentiment d'avoir été discriminées en fonction de leurs origines, une majorité répond "jamais". Ceux qui déclarent le plus souvent être discriminés, tout en restant minoritaires au sein de leur groupe, sont les Africains de l'Afrique subsaharienne, puis, dans des proportions équivalentes, les Maghrébins et les Asiatiques. Le vécu de la discrimination n'est pas aussi répandu qu'on pourrait le croire, mais il est aussi parfois minimisé par les intéressés. Les jeunes, notamment, ne se vivent pas dans la victimisation. Il existe certes des cas de discrimination dure, pouvant aller jusqu'à des violences. Mais le vécu d'expériences positives, par le biais de rencontres avec des personnes tolérantes, contribue grandement à atténuer le sentiment global de discrimination. Vous avez également enquêté sur le sentiment d'appartenance des immigrés de la première génération... Le sentiment d'appartenance à la communauté française est important chez les immigrés de première génération même pour ceux qui n'ont pas acquis la nationalité française. Il n'est pas circonscrit à la citoyenneté, il est fondé sur la participation à la vie sociale, à la culture, à la langue.... La protection sociale est également un facteur important d'adhésion à la France, comme l'expriment les immigrés retraités : la reconnaissance d'une vie de travail par la perception d'une pension de retraite donne un sentiment d'appartenance à la société. Les valeurs de solidarité, de justice et d'égalité qui se jouent à travers la protection sociale sont de puissants facteurs d'intégration. L'identité nationale ne se réduit donc pas au fait d'avoir la nationalité ? Non, même si la carte d'identité renforce incontestablement le sentiment d'identité nationale. L'identité nationale n'est pas univoque, elle est polymorphe. Il y a plusieurs appartenances. Pour les immigrés de première génération, certains se sentent d'abord appartenir aux pays d'origine puis en second lieu à la France, pour d'autres, c'est l'inverse. D'autres encore, notamment parmi les Européens, se disent avant tout citoyens de l'Europe. Il est frappant de voir que l'adhésion à l'identité française est plus importante chez les immigrés non européens que chez les Européens. Ils aspirent fortement à participer à la communauté française. Pour les enfants, en revanche, appartenir à la France va de soi. Etre intégré peut se jouer de différentes façons. Cela peut vouloir dire vouloir être reconnu au même type que n'importe quel autre Français. Ou être intégré sans être nié dans ce que je suis, dans ma culture d'origine. Dans votre enquête, vous montrez que la grande majorité des immigrés ont le sentiment d'être sur le chemin de l'ascension sociale par le biais des générations qui leur succèdent. Deux catégories font pourtant exception, une partie des Algériens et des Noirs africains... L'ascension sociale chez les Algériens est très nette. Ce n'est pas forcément le cas chez les Africains, du fait qu'une grande partie de l'immigration est issue des élites urbaines qui, une fois en France, ne retrouvent pas leur statut. Ce sont les seuls à avoir un taux d'ascension sociale plus faible que les autres immigrés. C'est en outre un problème pour l'Afrique, qui se vide de ses élites. Algériens et Africains se rejoignent en revanche sur le sentiment de déclassement réel ou vécu comme tel, mais pour des raisons très différentes. Chez une partie des Algériens, c'est l'héritage de la guerre d'Algérie et des relations tourmentées entre la France et l'Algérie qui pose problème. Ce passé ne passe pas et suscite un ressentiment à l'égard de la France, le sentiment de ne pas être aimé. Dans le cas de l'Afrique noire, les séquelles de la colonisation sont moins vives. Mais on observe un grand décalage dans les modes d'éducation et les structures familiales entre l'Occident et l'Afrique. L'éducation en Afrique est l'affaire de la famille élargie et du groupe : les parents n'ont pas le rôle exclusif de l'éducation. Le rapport entre enfants et adultes est très différent, soumis à une discipline stricte et un respect absolu des aînés. Les Africains sont scandalisés par la façon dont les jeunes sont éduqués en Occident. Pour les enfants, se retrouver entre ces deux modèles éducatifs peut être très perturbant. Que vous inspire le débat sur l'identité nationale ? Je doute de son opportunité. Lancer un tel débat implique que l'on vivrait une crise identitaire, ce qui, de mon point de vue, n'est pas le cas. Il existe certes des problèmes réels dans ce qu'on appelle les zones sensibles, et il est urgent de les résoudre. Mais on a tendance à les généraliser à tort à tous les immigrés et à leurs enfants, ce qui alimente les peurs. A trop insister sur les difficultés des immigrés, que ce soit pour les accabler ou pour les victimiser, on occulte la réalité de l'intégration, somme toute très banale, de la très grande majorité d'entre eux. Il serait plus utile de débattre de notre modèle d'intégration. A mon sens, il faut tourner le dos à l'idée d'assimilation des étrangers, qui nie les différences et l'identité de chaque personne dans son appartenance. Il faut conserver l'esprit de l'intégration à la française en reconnaissant l'existence d'identités multiples. Améliorons l'enseignement de la langue française, préservons le creuset de l'école républicaine. Développons la participation à la société. Et en même temps, acceptons de reconnaître les autres religions, et la diversité de notre pays. La France est un vieux pays d'immigration qui s'ignore. Elle est constituée de citoyens de toutes origines, qui en font sa richesse. Elle doit apprendre à le reconnaître, sans cécité sur ses origines, en acceptant la diversité de ces influences. Propos recueillis par Cécile Prieur et Laetitia Van Eeckhout
  3. Comme cabot chef tu peux nous exempter de la corvée de chiottes citée plus haut... ceci dit t'es vraiment un vrai génie... "Aucun regret, l'armée rend con le soldat comme le gradé, le premier par son asservissement volontaire à une autorité illégitime et le second par l'abus d'utilisation de l'autorité que lui confère le système." un peu comme le management ... ?.
  4. http://cheminotbzh.forumactif.net/100-de-g...uichets-n17.htm Bon à priori c'est ici au dessus par le lien...
  5. Vous pouvez nous en dire plus sur la grève elle même : AG, 24h, continuité... Des infos pour populariser ? Bizarre la forme de ton message avec tous ces sigles barbares en plus il y a des liens (fonctionnent-ils ?) dedans qui n'apparaissent pas mais figure dans ma réponse ci-dessus ? Les liens ne s'ouvrent pas...Dommage
  6. Un très bon article sur le site de Canaille le Rouge Jeudi 3 décembre 2009 H1N1, protection sanitaire et sociale, Ambroise Croizat http://canaille-le-rouge.over-blog.com/art...t-40516408.html
  7. Les dix de Tarnac cessent leur contrôle judiciaire France Info - 03 12 2009 Les dix personnes mises en examen dans l’affaire des sabotages de la SNCF et arrêtées l’an dernier dans le village de Tarnac, dont Julien Coupat et sa compagne Yldune Lévy, ont annoncé qu’ils allaient cesser de respecter leur contrôle judiciaire. Ils veulent ainsi dénoncer l’enquête qu’ils considèrent comme absurde. Les modalités de leur contrôle judiciaire, ils les ont déjà malmenées pour leur annonce. Les dix jeunes gens mis en examen dans l’affaire des sabotages de la SNCF, dont Julien Coupat et sa compagne Yldune Lévy, ont décidé de ne plus respecter le contrôle judiciaire qui leur a été imposé à leur libération conditionnelle. Pour rédiger le texte de la tribune qu’ils publient aujourd’hui dans Le Monde, ils se sont contactés, ce qui leur est normalement strictement interdit.“ Nous désertons. Nous ne pointerons plus et nous comptons bien nous retrouver, comme nous l’avons fait, déjà, pour écrire ce texte. Nous ne chercherons pas à nous cacher”, écrivent-ils. Outre l’interdiction de se contacter, leur contrôle judiciaire leur impose de pointer au commissariat, et l’interdiction de résider dans le village de Tarnac, en Corrèze, où leur arrestation a fait grand bruit l’an dernier, et provoque toujours l’incompréhension. Ils formaient une communauté qui tenait l’épicerie du village. Ils ont donc décidé de ne plus se plier à ces obligations pour dénoncer une enquête qu’ils estiment absurde et qui, selon eux, ne continuerait plus que pour justifier sa propre existence. C’est ainsi qu’ils analysent la récente mise en examen du dernier d’entre eux, Christophe Becker : “Sa mise en examen situe le point où une procédure ne se poursuit qu’afin de se sauver elle-même”, estiment-ils, en dénonçant une “bouffée délirante de l’Etat”. “Une société qui se maintient par des moyens si évidemment criminels n’a de procès à intenter à personne”, poursuivent-ils. Pour eux, la procédure vise à “impressionner le plus grand nombre”. Ce non-respect de leur contrôle judiciaire risque de leur valoir un placement en détention provisoire.
  8. >Une idée pour Greenpeace ou d'autres d'ailleurs... Pénurie de papier toilette au parlement anglais Zigonet.com Londres, Grande-Bretagne - Les membres du parlement anglais se sont retrouvés lundi 1er décembre à court de papier toilette. Plus de 13.300 personnes ont été étonnées de constater qu'il n'y avait plus assez de papier toilette pour elles à Westminster lundi dernier. C'est l'entreprise de nettoyage chargée de garder les locaux du parlement impeccables qui serait responsable de cette pénurie. Le personnel de l'entreprise s'était en effet plaint d'une insuffisance de papier toilette depuis plusieurs jours, suite à une politique d'approvisionnement en flux tendu. Certains membres du parlement ont immédiatement envoyé leur staff au supermarché le plus proche, afin de leur fournir du papier hygiénique. La société de nettoyage a quant à elle promis de résoudre cette crise du papier toilette.
  9. Dont acte pour la rémunération... Après désolé on ne me fera jamais pleurer sur les militaires...
  10. Et en plus le Trappeur il a toujours payé ses impôts...
  11. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
    Au suivant... revoltages
  12. lotrela L'opération Greenpeace échauffe les esprits à l'Assemblée Reuters Emile Picy L'irruption de militants de l'organisation écologiste Greenpeace dans l'hémicycle continue de faire des remous à l'Assemblée nationale. Le soutien affiché par les trois députés Verts, notamment Noël Mamère et Yves Cochet, à cette action spectaculaire, mercredi, a provoqué de vives réactions dans la majorité et l'embarras d'autres élus de gauche. Pour appeler les élus et Nicolas Sarkozy à agir contre le réchauffement climatique, des militants de l'ONG écologiste munis de cordes et de banderoles sont montés sur le toit du Palais-Bourbon et l'un d'eux a tenté de descendre en rappel dans l'hémicycle. Le président de l'Assemblée, Bernard Accoyer, a confirmé avoir porté plainte contre Greenpeace pour ces deux incidents. Sans citer de noms, il a déclaré qu'un ou plusieurs députés Verts avaient "probablement" aidé les militants. "Il y aura certainement des suites qui vont être données, non pas pour les applaudissements mais pour, probablement, un certain nombre d'initiatives qui ont été prises et qui ont probablement facilité cette opération", a-t-il dit sur France Info. Selon des sources parlementaires, Noël Mamère, qui dément toute implication, est soupçonné d'avoir laissé Greenpeace utiliser son bureau pour y entreposer du matériel destiné à l'action qui n'a pas été détecté par les services de sécurité à l'entrée de l'Assemblée. Le président du groupe Nouveau Centre, François Sauvadet, a demandé des sanctions à l'encontre du député de Bègles. Le public peut assister aux débats dans l'hémicycle en demandant des invitations, appelées "tickets de séance", aux députés, ce que l'ONG dit avoir fait. Greenpeace assure que son équipe n'a bénéficié d'aucune aide extérieure. "On a en quelque sorte respecté les procédures de l'Assemblée", déclare Pascal Husting, directeur général de Greenpeace France, sur le site lexpress.fr. "ATTEINTE À LA DÉMOCRATIE" Selon le groupe socialiste à l'Assemblée, trois députés PS ont vu leur bonne foi abusée" par les militants de Greenpeace qui leur avaient demandé des invitations. "Il leur est évidemment impossible de vérifier l'identité et les motivations de chaque demande, sauf à se transformer en enquêteurs ce qui n'est pas dans leur mission", précise un communiqué du PS. Le président de l'Assemblée a estimé que ces deux incidents relevaient de méthodes "antidémocratiques et violentes". "Si on empêche la représentation nationale de faire son travail, on porte atteinte à la démocratie", a pour sa part jugé le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand. "Même les députés les plus hostiles au gouvernement ne s'y retrouvent pas", a-t-il dit sur France 2. Une alerte à la bombe et l'évacuation de l'hémicycle qui a suivi ces incidents a paralysé les travaux pendant près de trois heures mercredi. Les procédures de contrôle et de sécurité ont été renforcées dès jeudi. Ces incidents s'ajoutent à l'atmosphère parfois lourde que connait l'Assemblée nationale depuis plusieurs mois. Depuis la rentrée, l'examen de certains textes, comme la réforme de la taxe professionnelle ou celle des collectivités locales, critiquées tant par l'opposition qu'au sein de la droite, a contribué à dégrader le climat au Palais-Bourbon. Le débat, à partir du 15 décembre, sur le projet de loi réformant le statut de La Poste, vivement contesté par la gauche, s'annonce tout aussi périlleux. Bernard Accoyer a dû venir un moment jeudi dans l'hémicycle pour calmer les esprits lors d'une réunion de la commission des Affaires économiques, son président, l'UMP Patrick Ollier, refusant de siéger en séance au côté de Noël Mamère. "On ne peut pas reprendre les débats avec la même personne comme si rien ne s'était passé", a estimé le député de la majorité. Après intervention du président de l'Assemblée, les travaux ont pu reprendre, les deux députés assis côte-à-côte. Avec le Service France, édité par Gilles Trequesser
  13. un message dans un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
    Bon ben moi j'en connais encore un pour qui je ne voterai pas aux prochaines régionales ... au suivant...
  14. Il n'y a plus d'appelés... il n'y a plus que des soldats (de métier) professionnels ... et à priori ils sont mieux payés que les cheminots... De toute façon ; les cheminots ne sont pas de la chair à canon... Appelé en 74 (une année de perdue...) je n'ai jamais été à la gendarmerie pour les informer de mes changements d'adresse...
  15. Quelque 1,3 million de Français vaccinés contre la grippe A (en rouge : mes commentaires...) Reuters La vaccination contre la grippe A(H1N1) monte en puissance avec environ 1,3 million de personnes vaccinées en 18 jours en France métropolitaine, 1.300.000 en 18 jours : 72.000 personnes par jour... A ce rythme, il faudrait 888 jours pour vacciner l'ensemble de la population... où le virus a fait 92 morts depuis le début de l'épidémie. Pas moyen de savoir si les décès sont liés à la grippe A H1N1 ou à la grippe tout cours... Près d'un million de personnes (993.000) ont consulté pour des infections liées au virus la semaine dernière, soit une progression hebdomadaire de 40%, a souligné jeudi la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot. Là encore il semble que la majorité des consultatuions concernent la grippe saisonnière... et non le virus H1N1 En une semaine, 24 nouveaux décès ont été enregistrés et l'augmentation du nombre de cas graves semble se poursuivre, avec un total de 481 personnes hospitalisées. "Cette hausse semble ralentir un peu", a toutefois déclaré Roselyne Bachelot lors d'un point sur l'épidémie avec son homologue de l'Intérieur, Brice Hortefeux. Après une période d'attentisme de la part des Français, des centres de vaccination ont été pris d'assaut ces derniers jours, ce qui a poussé le gouvernement à renforcer le dispositif et faire appel aux bénévoles de la Croix-Rouge et de la Protection Civile, notamment. Selon Brice Hortefeux, 1,33 million de Français ont été vaccinés en 18 jours, ce qui semble montrer une amélioration du dispositif gouvernemental. "Au rythme actuel, le nombre des vaccinations aura doublé en une semaine", a-t-il assuré. OBJECTIF: 12 MILLIONS DE FRANÇAIS Le gouvernement, qui a acheté 94 millions de doses de vaccins, entend proposer la vaccination à tous les Français qui le souhaitent sur une durée de quatre mois. Mais un ordre de priorité a été défini. Le Premier ministre, François Fillon, a indiqué que l'objectif était de vacciner 12 millions de Français dans les semaines qui viennent. 94 millions de doses 12 millions de français en 4 mois Franchement y'a pas un blème...??? 72000 personnes par jour pendant 4 mois = 8.600.000 personnes... Il faudrait donc augmenter les moyens actuels de 50%... Il avait annoncé mardi un renforcement du dispositif de vaccination, s'excusant des tensions créées par la mise en place de "la plus grosse entreprise de santé publique" jamais organisée en France. Tous les centres de vaccination seront désormais ouverts de 08h00 à 22h00 du lundi au samedi "notamment en zone urbaine", a précisé le Premier ministre. Dans les grandes agglomérations, sur décision des préfets, les centres seront ouverts sept jours sur sept à partir de dimanche prochain. Malgré les appels répétés des syndicats de médecins, qui souhaitent participer à la campagne, le Premier ministre a réitéré le refus du gouvernement de faire pratiquer des vaccinations dans les cabinets libéraux. Cinq mille personnes seront recrutées d'ici dix jours pour pallier l'engorgement des centres de vaccination contre la grippe A(H1N1) en France, a affirmé de son côté le secrétaire d'Etat à l'Emploi, Laurent Wauquiez. Le gouvernement va permettre aux associations de recruter "5.000 contrats aidés supplémentaires qui seront financés à 100% et seront là pendant six mois", a-t-il dit sur RMC et BFM TV. Les embauches seront faites par la Croix-Rouge, a-t-il précisé, et devront être achevées "au maximum dans les dix jours". Clément Guillou et Gérard Bon, édité par Yves Clarisse Franchement j'ai l'impression que ce gouvernement nous prend pour des cons...
  16. "...Zorro est arrivé ... héhé ..." :Smiley_15:
  17. Par contre Mamère était au top... (et dieu sait si je ne le porte pas trop dans mon coeur celui là...)
  18. Pour une fois qu'il y a enfin de l'ambiance à l'Assemblée Nationale... J'ai entendu la réaction d'Ayrault (Président du groupe PS) : Toujours aussi nul celui là... :Smiley_15:
  19. Les corbeaux volent sur le dos pour ne pas voir la misère... J'adore la langue de bois... même si je n'y comprends pas grand chose... :Smiley_33:
  20. Uni pour une soirée ??? L'Express La fondation Copernic rassemble ce mardi soir des personnalités de gauche du PCF au PS, en passant par le NPA. Une initiative commune pour s'élever d'une même voix contre la taxation des accidentés du travail. Comment réussir à réunir la gauche du NPA au PS? Il suffit d'une bonne cause. Ils sont tous réunis ce mardi soir dans un même meeting à Paris contre la taxation des accidentés du travail, à l'appel de la Fondation Copernic, cercle de réflexion qui s'inscrit dans le mouvement altermondialiste. Besancenot et Hamon ensemble, alors que le NPA refuse toute alliance pour gérer des régions avec le PS? Rien à voir avec toute démarche politicienne, assure Pierre-François Grond, du comité exécutif du NPA, contacté par LEXPRESS.fr. "En participant au meeting, on veut envoyer un geste à la population sur ce qui se passe actuellement," explique-t-il évoquant la décision de taxer les indemnités journalières des accidentés du travail, voté à l'instigation de Jean-François Copé par la commission des finances de l'Assemblée nationale dans le cadre du projet de budget 2010." Ce rassemblement unitaire est ponctuel, précise Pierre-François Grond qui prend l'exemple de la consultation sur la Poste. "On a toujours dissocié le terrain des résistances de celui des consultations sur un thème donné. Ces rassemblements se font indépendamment des désaccords stratégiques et programmatiques". Ben on avance non...?
  21. J'suis d'accord avec toi... Mais quand on voit sur certains festivals d'été (surtout en Bretagne) que même les heures de bénévolat sont comptabilisées en euros pour effectuer des versements financiers aux associations locales... lapleunicheuse
  22. Gare en ... mouvement ... Combien d'usages abusifs de l'escalator dans l'année ? Mode ON Faut mettre un radar, des caméras de vidéo-surveillance, un capteur d'empreintes, un analyseur automatique d'AND ... et dix vigiles maîtres-chiens et on lâche les fauves... Mode OFF
  23. La nature a horreur du vide mais là c'est vraiment un gouffre sans fin...
  24. Deux articles intéressants sur le Monde : "Seul un Français sur quatre n'a pas les moyens de donner à une association" http://www.lemonde.fr/societe/article/2009...tor=AL-32280184 Qui donne aux associations ? http://fr.news.yahoo.com/64/20091130/twl-q...ns-acb1c83.html
  25. On pourrait transformer tous les lieux de cultes en hôtels pour les sans abris...

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