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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. ce qui n'est pas le cas de tout le monde semble-t-il ...: "Mr Boutier a finalement accepté de les recevoir à 11h15 dans un bungalow de la cour de la région. Comble de la provocation, il est arrivé avec plus de 20 minutes de retard..."
  2. sauf s'il a travaillé une heure de moins dans la nuit de passage à l'heure d'été... une heure en moins, une heure en plus ça s'annule et dire qu'il y a des établissements pour vérifier...malheureusement
  3. Félicitations et soutien pour votre action :Smiley_35:
  4. Stéphane Gatignon (PCF en rupture) : "Je propose une nouvelle alliance avec les écologistes" LE MONDE | 23.10.09 | Europe Ecologie n'en finit plus d'attirer de nouvelles vocations. Après Eric Loiselet, principal animateur du "pôle écolo" du PS, la magistrate Laurence Vichniewsky ou la fille de José Bové, Marie Bové, c'est au tour du maire communiste de Sevran, Stéphane Gatignon de trouver la mariée écologiste décidément plus belle. Ce fils spirituel du député rénovateur François Asensi - aujourd'hui en rupture - vient d'envoyer une lettre à Marie-George Buffet l'enjoignant de s'allier avec les Verts aux élections régionales. Samedi 24 octobre, lors d'un conseil national, la secrétaire nationale devait proposer une alliance dans le Front de gauche - avec le Parti de gauche, de Jean-Luc Mélenchon, et la Gauche unitaire, de Christian Picquet - sans exclure quelques exceptions où le PCF partirait dès le premier tour avec le PS. C'est une impasse pour la gauche, explique le maire, de Sevran, 40 ans. A la veille du conseil national du PCF qui va proposer une ligne nationale d'alliance avec le Front de gauche, vous avancez une autre hypothèse, celle d'un rapprochement avec Europe Ecologie. Pourquoi ? On ne sait pas, pour le moment, quelle est la stratégie de la direction du PCF, sinon des alliances à la carte : suivant les régions, c'est soit avec le Parti socialiste, soit avec le Front de gauche qui avance difficilement. Ce que je propose, c'est que le parti engage une discussion avec les Verts et Europe Ecologie pour travailler à un projet, un programme et une nouvelle alliance électorale dès les régionales. C'est un vrai virage et un changement d'alliances que vous proposez ? Pour moi, c'est la seule voie à suivre aujourd'hui. L'alliance avec le PS ne fonctionne plus parce qu'il n'a plus de projet pour faire évoluer la société. La gauche traditionnelle a vécu. L'union de la gauche, c'est désormais du passé. Il faut l'acter et bouger pour faire bouger l'ensemble de la gauche. Si on part dans une stratégie de listes autonomes pour faire 7- 8 %, ce sera encore le PS qui restera hégémonique et qui vassalisera le PCF. Cela ne fera qu'accélérer la régionalisation du parti en vue de sauver quelques majorités régionales socialistes et quelques sièges communistes. C'est ce que vit le parti dans tout un tas de villes où il n'existe plus vraiment. Pour vous, le PS, les majorités de gauche, c'est fini ? J'en ai marre de voter au deuxième tour pour un Huchon ou pour un candidat socialiste à la présidentielle avec toujours les mêmes projets, la même routine alors que les enjeux ont changé. Le Parti socialiste va de crise en crise, perdu dans l'espoir vain de sauver son appareil. Aucune alliance ne pourra enrayer ce processus. Il nous faut revoir notre projet d'émancipation sociale au regard de la crise environnementale et participer activement à la refondation écologique, sociale et démocratique de la gauche. L'intérêt général n'a jamais été aussi visible, les peuples les plus pauvres sont menacés par le réchauffement climatique et nous devons comprendre que l'écologie est avant tout un enjeu social. Elle est posée non seulement en termes de défense des acquis sociaux mais surtout en termes de rupture avec un modèle de croissance qui épuise notre planète. Le PCF devrait être aux avant-postes de ces préoccupations. Les élections régionales nous en offrent l'occasion : faire alliance avec les écologistes peut créer un électrochoc dans la classe politique et sur l'ensemble de la gauche. Vous pensez pouvoir être entendu de vos camarades ? Pourquoi pas ? Si ce n'est pas le cas, je verrais. Aujourd'hui, je n'exclus rien. Ni de participer à la campagne d'Europe Ecologie ni d'être candidat. J'attends d'abord la réponse de mon parti. Propos recueillis par Sylvia Zappi
  5. Allez on va bien parvenir à les virer tous... Oui mais pour y mettre qui.... nonmais
  6. Ah... Les mauvaises herbes ... Et ouai y'en a beaucoup trop...
  7. Et ouai ... entre eux ça cartonne dur... Salut Audrey mdrmdr
  8. Tu parles des "bonnes" ou des "mauvaises" graines ... bigbisous
  9. C'est pour ça que je ne rigolai jamais avec les chéfaillons... parce que eux le piston, il savent souffler dedans...
  10. C'est pas une perte... C'est un investissement pour l'avenir... bigbisous
  11. http://www.rue89.com/mon-oeil/2009/10/21/c...stre-de-sarkozy Comment fonctionne l'orchestre de Nicolas Sarkozy A lire ... "les commentaires" Ah ils ne sont pas prêts de faire taire le Peuple Internet ...
  12. Ce ne sera jamais qu'un cours d'éducation civique de rattrapage... et il y a bien d'autre sujet à traiter comme celui de respecter ses collègues surtout pour les managers ...
  13. Le Who's Who, annuaire de la France qui réussit, survit au net Reuters Elizabeth Pineau Quel est le point commun entre la comédienne Dominique Blanc, le directeur de Nestlé Laurent Freixe et le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault ? Tous font leur entrée dans l'édition 2010 du Who's Who. La nouvelle version du gros livre rouge compte 22.000 biographies de personnalités - dont seulement 15% de femmes - considérées comme importantes dans la société française. On dénombre 1.084 nouveaux venus et 700 noms en moins par rapport à l'édition 2009. A l'heure d'internet, cet annuaire né en Angleterre et publié depuis 1953 en France n'est pas tombé en désuétude. Il s'en vend environ 10.000 chaque année sur papier ou via internet, au prix de 495 euros. Pour six euros, il est possible d'acheter sur le net la fiche d'une personnalité. L'occasion d'apprendre que Bernard Thibault, né le 2 janvier 1959 à Paris, est titulaire d'un CAP de mécanique ou que le musicien Manu Katché, de son vrai prénom Emmanuel, aime le ski alpin. Pour son directeur général, Etienne Prévost, le Who's Who français doit sa longévité au sérieux de sa sélection et de ses informations, soigneusement vérifiées. "A l'heure où il y a tellement de blabla sur internet, il est bon d'avoir des données fiables", a-t-il dit à Reuters. "Si vous saviez combien de personnes 'blablatent' sur leur état civil, leur date de naissance, et pas que les femmes !" A la différence du Bottin mondain - produit par le même éditeur, Lafitte-Hébrard - il ne sert à rien d'être bien né pour figurer dans le Who's Who. "Les critères sont : mérite, honorabilité, talent, compétence. On est reconnu pour ce qu'on a fait", explique Etienne Prévost. "C'est une photographie en profondeur de l'élite, dans le meilleur sens du terme, de ce qu'est la société française". NICOLAS SARKOZY, PAS CARLA BRUNI La secrétaire nationale des Verts Cécile Duflot, le président de Microsoft International Jean-Philippe Courtois, le chef d'Etat-major des armées Jean-Louis Georgelin et le malletier Frédéric Pinel font leur entrée cette année. Tous les membres du gouvernement sont représentés. Le président Nicolas Sarkozy y figure depuis son premier mandat de député. Mais pas son épouse Carla Bruni, ni son fils de 23 ans Jean, conseiller général des Hauts-de-Seine. Les footballeurs Bernard Diomède et Stéphane Guivarc'h, qui étaient entrés à la faveur de leur victoire à la Coupe du Monde de 1998, sortent du livre cette année. Pour Marianne Eshet, déléguée générale de la Fondation SNCF, figurer dans le Who's Who est "une reconnaissance" et donne "l'impression d'entrer dans un club large et très ouvert". Daniel Chaffraix, P-DG d'IBM France, nouveau venu lui aussi, juge "toujours utile de connaître l'envers du décor, d'où les gens viennent". Faut-il être dans le Who's Who pour faire carrière ? "Pas du tout", estime Jean-Philippe André, président du directoire de Haribo et ancien directeur des ressources humaines chez Danone. "Je n'ai jamais engagé quelqu'un parce qu'il figurait dans le Who's Who". De l'avis de l'animateur et écrivain Stéphane Bern, dix ans de Who's Who à son actif, l'important est de durer. "J'ai ma statue de cire au musée Grévin. Si je ne commets pas de crime, je vais rester dans le Who's Who un bout de temps, mais si je tombe dans l'anonymat, ma statue à Grévin servira à d'autres. Alors j'essaie de rester au top !", sourit-il. Edité par Clément Guillou
  14. Ce qui pose et reposera toujours la question de l'éthique, de la prévention et de la formation en interne dans l'entreprise pour éviter que de telles situations se produisent et que de tels faits surviennent ...
  15. Ouai ben moi aussi je suis le fils de mon père et de ma mère ... et ma soeur est leur fille aussi ... et je vous parle pas de mes deux grand-pères blessés au combat en 14/18 ... et de mes deux grand-mères , fortes femmes de tête et de coeur... Ceci dit le vrai problème n'est pas d'être fils ou fille de... mais le ... piston (et le renom...) donc les passe-droits ... Pour ce qui est de Marie Bové elle peut être fier de son père qui a passé quelques nuits en prison pour un combat juste et humain ... Cela étant ce n'est pas son père qui la présente mais Noël Mamère connu aussi pour ses coups fourrés...
  16. Voir plus haut dans le fil...
  17. Le temps qui passe et qui revient... Fronde et recours contre les fichiers de police Reuters Les deux nouveaux fichiers de la police française ont continué à provoquer des remous lundi, le champ des mécontents s'étendant à un député de la majorité, et feront l'objet d'un recours devant le Conseil d'État. Jacques-Alain Benisti, prenant la vague de la contestation des parlementaires UMP contre le gouvernement, a qualifié le choix de créer ces fichiers par décret dimanche au Journal officiel de « profonde atteinte au travail parlementaire ». La possibilité de mentionner dans les fichiers l'origine géographique des personnes est la cible des critiques des associations et des partis de gauche. SOS Racisme annonce le dépôt imminent d'un recours devant le Conseil d'État sur le fichier relatif à « la prévention des atteintes à la sécurité publique », et demande de « sanctionner l'imprécision de la mention “ origine géographique ” ». La députée socialiste Delphine Batho dénonce un recul majeur par rapport au texte qui encadrait le fichier des renseignements généraux, car il ne restreint pas le fichier aux personnes ayant recouru à la violence. « Comme pour son prédécesseur Edvige 1, le décret élargit potentiellement de façon très importante le nombre de personnes susceptibles d'être inscrites dans ce fichier de renseignement », écrit-elle dans un communiqué. Les mentions de l'origine géographique et de l'appartenance syndicale sont, selon le député et maire socialiste d'Évry, Manuel Valls, « susceptibles de raviver les craintes provoquées par le fichier mort-né Edvige ». Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) ne dit pas autre chose et note que « l'origine géographique peut renvoyer à un territoire (banlieue…), mais également par exemple à « l'origine africaine » pour une personne française née en France, dont la couleur de peau est noire ». UNANIMITÉ Sur la forme, le choix du décret est dénoncé par Delphine Batho comme par Jacques-Alain Benisti, tous deux coauteurs d'un rapport sur le sujet et qui s'estiment bafoués. La commission des lois de l'Assemblée nationale avait adopté en mars à l'unanimité une proposition de loi encadrant le fichage et imposant que « toute nouvelle catégorie de fichier ne puisse être créée que par la loi ». « Le rapport que nous avions remis avec Delphine Batho avait abouti à un consensus salué par tous », dit le député du Val-de-Marne dans un communiqué. « Même si, sur le fond, l'ensemble des préconisations que nous avions élaborées ont été respectées, je regrette vivement que le gouvernement n'ait pas accepté que ce texte face l'objet d'un débat au Parlement », ajoute-t-il. Pour Manuel Valls, « la qualité de ce travail contraste avec les précipitations du gouvernement ». Le porte-parole du Parti socialiste, Benoît Hamon, a lui aussi réclamé lundi que le gouvernement légifère sur ces fichiers « en passant devant le Parlement ». Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a défendu dimanche la création de ces nouvelles « bases de données » de la police française en assurant qu'ils ne pourraient « en aucun cas » comporter de données sur les origines raciales ou ethniques. Selon Brice Hortefeux, l'indication d'origine géographique est indispensable pour lutter contre le terrorisme. L'accès aux deux fichiers sera limité à quelques catégories de fonctionnaires de police et aucune interconnexion entre ces bases de données ne sera autorisée. Les données pourront être conservées pendant cinq ans maximum et concerner des mineurs de plus de 13 ans. La semaine dernière, des députés UMP de la commission des lois et la commission des finances sont déjà allés à l'encontre du gouvernement en votant en faveur d'une taxe additionnelle pour les établissements de crédit ou en suggérant une exception au bouclier fiscal. Clément Guillou et Yves Clarisse, édité par Gilles Trequesser
  18. http://www.observatoiredustressft.org/
  19. http://www.observatoiredustressft.org/
  20. Peut être le sujet du jour : La gauche aura besoin de plus de voix que la droite pour obtenir une majorité de députés LE MONDE | 19.10.09 | Oui ou non, le projet de redécoupage des circonscriptions législatives présenté par le gouvernement répond-il aux nécessités d'égalité des suffrages ? Oui ou non, donne-t-il un avantage à l'UMP ? Avant le vote de ratification de l'ordonnance prévu mardi 20 octobre, Le Monde revient sur les points de désaccord que les trois jours de débats à l'Assemblée nationale ont mis en évidence. Fallait-il procéder à un redécoupage ? Oui. Personne ne le conteste. Le découpage actuel des circonscriptions date de 1986, sur la base des chiffres du recensement de 1982. Le Conseil constitutionnel a rappelé à plusieurs reprises l'obligation de procéder à un nouveau découpage des circonscriptions, tenant compte des évolutions démographiques. La méthode de répartition utilisée est-elle la plus équitable ? Non. Le gouvernement, écartant d'emblée l'idée d'une refonte générale de la carte électorale et, a fortiori, celle d'un changement du mode de scrutin incluant la proportionnelle, a de nouveau choisi la méthode dite de la tranche (méthode Adams), utilisée lors des précédents découpages. Celle-ci attribue un siège par tranche de population en fonction d'un diviseur préalablement fixé plus un siège supplémentaire par tranche entamée. D'autres méthodes étaient possibles, comme celle dite de Sainte-Laguë, qui arrondit le nombre de sièges attribué à l'entier le plus proche. Du fait de l'augmentation de la population et de la création de nouvelles circonscriptions pour Saint-Barthélemy et Saint-Martin (1) et pour les Français établis hors de France (11), la tranche a été portée de 108 000 à 125 000. Or plus le diviseur est important, plus il a pour effet de favoriser globalement les petits départements au détriment des grands. Ainsi, les 50 départements les plus peuplés disposent de 417 sièges avec la méthode Adams (1 siège pour 117 000 habitants) et de 430 sièges avec la méthode de Sainte-Laguë (1 pour 113 000), alors que les 50 départements les moins peuplés obtiennent 139 sièges avec la méthode Adams (1 pour 102 000) et 127 avec la méthode de Sainte-Laguë (1 pour 112 000). Un différentiel de 13 % dans un cas et d'à peine 1 % dans l'autre. Le même calcul effectué dans les 20 départements les plus peuplés et les 20 moins peuplés donne des écarts encore plus significatifs. Avec la méthode Adams choisie par le gouvernement, le différentiel est de 22 % : un député pour 119 000 habitants en moyenne dans les 20 départements les plus peuplés, 1 pour 93 000 dans les 20 moins peuplés. Le choix de cette méthode conduit à une inégalité des suffrages. Le découpage du gouvernement avantage-t-il la droite ? Oui. De nouvelles circonscriptions ont été délimitées dans 42 départements et 4 collectivités d'outre-mer ayant perdu ou gagné des sièges, et dans 25 autres départements ayant conservé le même nombre de sièges mais dont les frontières ont été redessinées. Au total, 238 circonscriptions sur 577 sont restées inchangées : 45 % des membres du groupe UMP conservent intactes leurs circonscriptions, alors que seulement 35 % des députés de gauche voient les leurs préservées. En ce qui concerne les 33 circonscriptions supprimées, le rapport est également déséquilibré : 18 de gauche et 15 de droite, selon le secrétaire d'Etat à l'intérieur, Alain Marleix, ce que conteste l'opposition qui estime, elle, ce rapport à 23-10. C'est cependant dans les circonscriptions nouvellement créées et dans le redécoupage de certains départements que l'opération semble s'être effectuée selon des critères n'obéissant pas toujours aux seules considérations démographiques. Et qui s'écartent même, parfois, de la simple logique géographique. Au prix d'improbables figures géométriques, le gouvernement parvient à fractionner certaines communes et cantons sans aucune justification sérieuse. Habilement, dans les circonscriptions de France métropolitaine ou d'outre-mer comme dans les circonscriptions créées pour les Français établis hors de France, le découpage parvient à regrouper des secteurs favorables à la gauche dans des circonscriptions qu'elle emportera avec une confortable marge afin de dégager des circonscriptions plus favorables à la droite, avec une marge moindre mais en plus grand nombre. Ce découpage a une conséquence : la gauche aura besoin de plus de voix pour obtenir une majorité de députés qu'il n'en faudra à la droite pour être majoritaire. Le président du groupe socialiste, Jean-Marc Ayrault, l'a assimilé à "un bouclier électoral". Patrick Roger
  21. Mais que vont-ils inventer demain matin ?
  22. Dans l'article cité plus haut en lien il n'y a aucun motif à cette grève... (comme d'hab je dirai...)
  23. Et est-ce que c'est pareil quand tu vas à Lyon, Lille, Strasbourg, Bordeaux, Toulouse, Marseille etc ...(Liste non exhaustive...) ? :Smiley_29:
  24. Depuis le début des années 90 on assiste à une lente dégradation de la régularité et à l'apparition d'incidents extrêmes de plus en plus nombreux avec des répercussions et conséquences graves Manifestement les années passent et ça ne s'arrange pas...
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