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Dom Le Trappeur

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  2. Le temps qui passe et qui revient... Fronde et recours contre les fichiers de police Reuters Les deux nouveaux fichiers de la police française ont continué à provoquer des remous lundi, le champ des mécontents s'étendant à un député de la majorité, et feront l'objet d'un recours devant le Conseil d'État. Jacques-Alain Benisti, prenant la vague de la contestation des parlementaires UMP contre le gouvernement, a qualifié le choix de créer ces fichiers par décret dimanche au Journal officiel de « profonde atteinte au travail parlementaire ». La possibilité de mentionner dans les fichiers l'origine géographique des personnes est la cible des critiques des associations et des partis de gauche. SOS Racisme annonce le dépôt imminent d'un recours devant le Conseil d'État sur le fichier relatif à « la prévention des atteintes à la sécurité publique », et demande de « sanctionner l'imprécision de la mention “ origine géographique ” ». La députée socialiste Delphine Batho dénonce un recul majeur par rapport au texte qui encadrait le fichier des renseignements généraux, car il ne restreint pas le fichier aux personnes ayant recouru à la violence. « Comme pour son prédécesseur Edvige 1, le décret élargit potentiellement de façon très importante le nombre de personnes susceptibles d'être inscrites dans ce fichier de renseignement », écrit-elle dans un communiqué. Les mentions de l'origine géographique et de l'appartenance syndicale sont, selon le député et maire socialiste d'Évry, Manuel Valls, « susceptibles de raviver les craintes provoquées par le fichier mort-né Edvige ». Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) ne dit pas autre chose et note que « l'origine géographique peut renvoyer à un territoire (banlieue…), mais également par exemple à « l'origine africaine » pour une personne française née en France, dont la couleur de peau est noire ». UNANIMITÉ Sur la forme, le choix du décret est dénoncé par Delphine Batho comme par Jacques-Alain Benisti, tous deux coauteurs d'un rapport sur le sujet et qui s'estiment bafoués. La commission des lois de l'Assemblée nationale avait adopté en mars à l'unanimité une proposition de loi encadrant le fichage et imposant que « toute nouvelle catégorie de fichier ne puisse être créée que par la loi ». « Le rapport que nous avions remis avec Delphine Batho avait abouti à un consensus salué par tous », dit le député du Val-de-Marne dans un communiqué. « Même si, sur le fond, l'ensemble des préconisations que nous avions élaborées ont été respectées, je regrette vivement que le gouvernement n'ait pas accepté que ce texte face l'objet d'un débat au Parlement », ajoute-t-il. Pour Manuel Valls, « la qualité de ce travail contraste avec les précipitations du gouvernement ». Le porte-parole du Parti socialiste, Benoît Hamon, a lui aussi réclamé lundi que le gouvernement légifère sur ces fichiers « en passant devant le Parlement ». Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a défendu dimanche la création de ces nouvelles « bases de données » de la police française en assurant qu'ils ne pourraient « en aucun cas » comporter de données sur les origines raciales ou ethniques. Selon Brice Hortefeux, l'indication d'origine géographique est indispensable pour lutter contre le terrorisme. L'accès aux deux fichiers sera limité à quelques catégories de fonctionnaires de police et aucune interconnexion entre ces bases de données ne sera autorisée. Les données pourront être conservées pendant cinq ans maximum et concerner des mineurs de plus de 13 ans. La semaine dernière, des députés UMP de la commission des lois et la commission des finances sont déjà allés à l'encontre du gouvernement en votant en faveur d'une taxe additionnelle pour les établissements de crédit ou en suggérant une exception au bouclier fiscal. Clément Guillou et Yves Clarisse, édité par Gilles Trequesser
  3. http://www.observatoiredustressft.org/
  4. http://www.observatoiredustressft.org/
  5. Peut être le sujet du jour : La gauche aura besoin de plus de voix que la droite pour obtenir une majorité de députés LE MONDE | 19.10.09 | Oui ou non, le projet de redécoupage des circonscriptions législatives présenté par le gouvernement répond-il aux nécessités d'égalité des suffrages ? Oui ou non, donne-t-il un avantage à l'UMP ? Avant le vote de ratification de l'ordonnance prévu mardi 20 octobre, Le Monde revient sur les points de désaccord que les trois jours de débats à l'Assemblée nationale ont mis en évidence. Fallait-il procéder à un redécoupage ? Oui. Personne ne le conteste. Le découpage actuel des circonscriptions date de 1986, sur la base des chiffres du recensement de 1982. Le Conseil constitutionnel a rappelé à plusieurs reprises l'obligation de procéder à un nouveau découpage des circonscriptions, tenant compte des évolutions démographiques. La méthode de répartition utilisée est-elle la plus équitable ? Non. Le gouvernement, écartant d'emblée l'idée d'une refonte générale de la carte électorale et, a fortiori, celle d'un changement du mode de scrutin incluant la proportionnelle, a de nouveau choisi la méthode dite de la tranche (méthode Adams), utilisée lors des précédents découpages. Celle-ci attribue un siège par tranche de population en fonction d'un diviseur préalablement fixé plus un siège supplémentaire par tranche entamée. D'autres méthodes étaient possibles, comme celle dite de Sainte-Laguë, qui arrondit le nombre de sièges attribué à l'entier le plus proche. Du fait de l'augmentation de la population et de la création de nouvelles circonscriptions pour Saint-Barthélemy et Saint-Martin (1) et pour les Français établis hors de France (11), la tranche a été portée de 108 000 à 125 000. Or plus le diviseur est important, plus il a pour effet de favoriser globalement les petits départements au détriment des grands. Ainsi, les 50 départements les plus peuplés disposent de 417 sièges avec la méthode Adams (1 siège pour 117 000 habitants) et de 430 sièges avec la méthode de Sainte-Laguë (1 pour 113 000), alors que les 50 départements les moins peuplés obtiennent 139 sièges avec la méthode Adams (1 pour 102 000) et 127 avec la méthode de Sainte-Laguë (1 pour 112 000). Un différentiel de 13 % dans un cas et d'à peine 1 % dans l'autre. Le même calcul effectué dans les 20 départements les plus peuplés et les 20 moins peuplés donne des écarts encore plus significatifs. Avec la méthode Adams choisie par le gouvernement, le différentiel est de 22 % : un député pour 119 000 habitants en moyenne dans les 20 départements les plus peuplés, 1 pour 93 000 dans les 20 moins peuplés. Le choix de cette méthode conduit à une inégalité des suffrages. Le découpage du gouvernement avantage-t-il la droite ? Oui. De nouvelles circonscriptions ont été délimitées dans 42 départements et 4 collectivités d'outre-mer ayant perdu ou gagné des sièges, et dans 25 autres départements ayant conservé le même nombre de sièges mais dont les frontières ont été redessinées. Au total, 238 circonscriptions sur 577 sont restées inchangées : 45 % des membres du groupe UMP conservent intactes leurs circonscriptions, alors que seulement 35 % des députés de gauche voient les leurs préservées. En ce qui concerne les 33 circonscriptions supprimées, le rapport est également déséquilibré : 18 de gauche et 15 de droite, selon le secrétaire d'Etat à l'intérieur, Alain Marleix, ce que conteste l'opposition qui estime, elle, ce rapport à 23-10. C'est cependant dans les circonscriptions nouvellement créées et dans le redécoupage de certains départements que l'opération semble s'être effectuée selon des critères n'obéissant pas toujours aux seules considérations démographiques. Et qui s'écartent même, parfois, de la simple logique géographique. Au prix d'improbables figures géométriques, le gouvernement parvient à fractionner certaines communes et cantons sans aucune justification sérieuse. Habilement, dans les circonscriptions de France métropolitaine ou d'outre-mer comme dans les circonscriptions créées pour les Français établis hors de France, le découpage parvient à regrouper des secteurs favorables à la gauche dans des circonscriptions qu'elle emportera avec une confortable marge afin de dégager des circonscriptions plus favorables à la droite, avec une marge moindre mais en plus grand nombre. Ce découpage a une conséquence : la gauche aura besoin de plus de voix pour obtenir une majorité de députés qu'il n'en faudra à la droite pour être majoritaire. Le président du groupe socialiste, Jean-Marc Ayrault, l'a assimilé à "un bouclier électoral". Patrick Roger
  6. Mais que vont-ils inventer demain matin ?
  7. Dans l'article cité plus haut en lien il n'y a aucun motif à cette grève... (comme d'hab je dirai...)
  8. Et est-ce que c'est pareil quand tu vas à Lyon, Lille, Strasbourg, Bordeaux, Toulouse, Marseille etc ...(Liste non exhaustive...) ? :Smiley_29:
  9. Depuis le début des années 90 on assiste à une lente dégradation de la régularité et à l'apparition d'incidents extrêmes de plus en plus nombreux avec des répercussions et conséquences graves Manifestement les années passent et ça ne s'arrange pas...
  10. Euh... et c'est pour quels motifs la grève ?
  11. J'adore la conclusion de l'article David Douillet élu député dans les Yvelines AP David Douillet va siéger à l'Assemblée nationale: l'ancien champion olympique de judo, qui portait les couleurs de l'UMP, a remporté dimanche le second tour de la législative partielle organisée dans la 12e circonscription des Yvelines face au maire socialiste de Poissy Frédérik Bernard. David Douillet a été élu avec 52,10% des suffrages exprimés contre 47,90% à Frédérik Bernard, selon les résultats définitifs annoncés dimanche soir par la préfecture des Yvelines. L'ancien judoka l'a emporté avec 985 voix d'avance (12.203 contre 11.218). La participation a été de 33,70%. Au premier tour, il était arrivé en tête avec 44,19% des suffrages contre 21,87% à Frédérik Bernard et 14,82% au candidat Vert Alain Lipietz. Le taux de participation s'était élevé alors à 30,13%. Le nouveau député du parti majoritaire a été acclamé dimanche soir par ses partisans à Poissy, la candidate de l'UMP pour les régionales en Ile-de-France Valérie Pécresse à ses côtés. Il s'est félicité du score, "52-48, on a bien gagné". "Très heureux", le vainqueur a remercié ensuite sur i>télé les électeurs qui "ont compris à qui ils avaient affaire". "Le travail paie", s'est-il félicité, promettant de "s'investir à 100%". "Les citoyens manquent d'écoute, manquent de proximité", a lancé l'ancien judoka qui a souhaité "que des gens de la société civile s'investissent en politique". "Ce n'est pas simple, ce sont de vrais combats, et c'est une vraie vocation. Il faut réfléchir, moi j'ai choisi, c'est ma nouvelle vie j'en suis fier". La polémique sur la candidature du fils du chef de l'Etat Jean Sarkozy à la tête de l'Epad n'a pas compliqué la campagne entre les deux tours, a-t-il assuré: "la preuve que non, puisque j'ai gagné ce soir". "J'étais en direct avec le terrain", a-t-il affirmé, et "je n'avais personne qui m'en parlait". Après les tatamis, David Douillet, 40 ans, va donc faire son entrée dans l'hémicycle, quelque mois seulement après avoir intégré les instances de l'UMP en même temps que le chanteur Gilbert Montagné. Le grand ami des Chirac, devenu membre du cercle des people sarkozystes, avait été nommé en mars dernier à la direction nationale du parti majoritaire, comme secrétaire national à la Vie sportive. Le populaire judoka, nouveau-venu en politique, a ensuite été choisi pour défendre le siège de l'UMP dans la 12e circonscription des Yvelines après l'inéligibilité du député Jacques Masdeu-Arus, condamné dans une affaire de corruption. Frédérik Bernard avait accusé l'UMP d'avoir voulu profiter de la célébrité de David Douillet, assurant que l'ancien champion se contentait de signer des autographes sur les marchés, et lui reprochant "une absence de propositions concrètes" et une "méconnaissance des dossiers". Fidèle parrain de l'opération "Pièces jaunes" de Bernadette Chirac au profit des enfants hospitalisés et leurs familles, David Douillet fait partie des personnalités préférées des Français. En 2001, il avait même réussi à détrôner l'abbé Pierre dans le classement du "Journal du Dimanche". Ce massif Normand avait pris sa retraite sportive à 31 ans, après les Jeux de Sydney en 2000, qui l'avaient vu remporter son second titre olympique dans la catégorie des plus de 100 kilos. Avec ses deux médailles d'or, sa médaille de bronze et ses quatre titres mondiaux (1993, 1995 deux fois, et 1997), chez les lourds et en toutes catégories, il était entré alors dans la légende du judo en devenant le combattant le plus titré de l'histoire. Depuis sa retraite, il est resté proche du monde sportif, co-président de la commission des athlètes de haut niveau au CNOSF, le comité national olympique, mais aussi comme consultant sur Canal+. Dans les affaires, il a connu moins de bonheur, avec la faillite de l'agence de voyage Travelstore dont il était actionnaire, qui lui avait valu une mise en examen pour "recel et complicité de banqueroute par détournements d'actifs". La gauche avait alors soupçonné l'Elysée d'avoir préparé la loi du 6 août 2002, qui permet une amnistie présidentielle pour des personnes s'étant distinguées de manière exceptionnelle dans des domaines comme le sport, pour lui venir éventuellement en aide. AP
  12. Chien chèvre... J'aime trop les animaux pour les comparer au Petit Prince Jean...
  13. As-tu fait une recherche sur le forum ? Cette question a déjà fait l'objet de quelques fils de discussions. As-tu relu le réglement du travail RH077 ? Régime C 118 RP +14 RU = 132 repos les 132 repos doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre de l'année en cours de même que les 28 congés journée de travail durée moyenne 8h02 (avec la suppression du lundi de Pentecôte merci Raffarin...) Avec les nombreux taquets imposés par la réglementation il est nécessaire et préférable l'introduire les RU dans les roulements double repos voir triples repos repos des Samedi-dimanche réduire la durée des Grande Période de Travail avec un maxi : 4 jours de travail ceci étant pour le matériel il y a un article spécifique de la réglementation du travail : l'article 38 la direction de l'établissement doit normalement présenté aux chsct et DP un programme semestriel (avant le début du semestre civil soit en décembre pour le 1er semestre et en juin pour le second...) présentant l'organigramme de l'Etablissement et l'organisation du travail horaires, roulements de repos etc...
  14. Et pendant ce temps là Edvige revient par le soupirail... Parution au JO de décrets portant création de deux nouvelles bases de données AP Des décrets portant création de deux nouvelles bases de données policières sont parus dimanche au Journal officiel. L'un des "traitements automatisés de données à caractère personnel" concerne la prévention des atteintes à la sécurité publique, en particulier en milieu urbain ou lors d'événements sportifs; l'autre est relatif aux enquêtes administratives liées à la sécurité publique. Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait justifié mardi la création de ces nouvelles bases de données, assurant qu'elles seraient établies "dans le respect des libertés individuelles". Les deux décrets datés du 16 octobre stipulent que le traitement de données "ne fait l'objet d'aucune interconnexion, aucun rapprochement ni aucune forme de mise en relation avec d'autres traitements ou fichiers". Le premier autorise le ministre de l'Intérieur à mettre en oeuvre un traitement automatisé de données, qui a "pour finalité de recueillir, de conserver et d'analyser les informations qui concernent des personnes dont l'activité individuelle ou collective indique qu'elles peuvent porter atteinte à la sécurité publique". Cette base a notamment pour objectif de "recueillir, de conserver et d'analyser les informations" relatives aux individus "susceptibles d'être impliqués dans des actions de violence collective, en particulier en milieu urbain ou à l'occasion de manifestations sportives". Peuvent être recensés dans le traitement les données liées au motif de l'enregistrement, des informations ayant trait à l'état civil, à la nationalité et à la profession, adresses et numéros de téléphone, les signes physiques et photographies, les titres d'identité, l'immatriculation des véhicules, les informations patrimoniales, les activités publiques, comportements et déplacements, les agissements susceptibles de recevoir une qualification pénale et des informations les personnes entretenant ou ayant eu des relations "directes et non fortuites" avec l'intéressé. Le traitement ne comporte pas de dispositif de reconnaissance faciale à partir de la photographie, précise le texte. Le second décret a trait à la création d'un traitement automatisé de données à caractère personnel afin de "faciliter la réalisation d'enquêtes administratives liées à la sécurité publique". Peuvent être enregistrées dans cette base les informations relatives au motif de l'enquête, celles concernant l'état civil, la nationalité, la profession, adresses et numéros de téléphone, photographies et titres d'identité. Est aussi conservé le rapport de l'enquête administrative "contenant les éléments permettant de déterminer si le comportement de la personne concernée n'est pas incompatible avec l'exercice des fonctions ou des missions envisagées, compte tenu de leur nature". "Il faut que l'on progresse dans la recherche de renseignements", avait déclaré Brice Hortefeux mardi sur France Info, après les violences du week-end précédent à Poitiers. "Près de 60%" des 18 "personnes placées en garde à vue" lors de ces incidents "étaient inconnues des services de police", avait-il fait valoir. Le fichier Edvige, qui avait fait l'objet d'une vive contestation, "est mort, il n'est pas question de le ressusciter", avait ajouté le ministre de l'Intérieur. Mais "je souhaite, comme l'ensemble des responsables publics qu'il y ait des bases de données". "Des travaux ont été engagés, ils sont passés devant le Conseil d'Etat, ils ont été discutés devant, à ma demande, des associations comme la LICRA, SOS Racisme", qui "sont attentives aux libertés individuelles". "Et il y aura naturellement, comme cela s'avère nécessaire, des bases de données plus précises mais dans le respect des libertés individuelles", avait affirmé M. Hortefeux. "C'est un sujet (sur) lequel je ne transige pas". AP
  15. ça s'appelle le "déroulement de carrière moyen" ... et c'est prévu au statut... dans le droit syndical... A noter que cela vaut aussi pour les cheminots détachés dans les associations sportives et culturelles mais aussi pour les cheminots détachés professionnellement à l'étranger ou dans des organismes extérieurs (ministères, régions, entreprises...) Ce que j'adore dans l'article du Figaro c'est que quand un syndicat signe un accord après avoir négocier avec un employeur (ce qui est quand même son rôle) c'est "qu'il fricotte" avec... mais justement un syndicat est là pour défendre les intérêts moraux et professionnels de ses membres et plus largement des salariés... et comme je le dis souvent les écrits restent les paroles s'envolent... Poist scriptum : je n'ai jamais bénéficié du déroulement de carrière moyen pour moi juste le déroulement de carrière à l'ancienneté (même mes mérites n'ont jamais été reconnus...HiHiHi
  16. Tu crois qu'ils vont nous convaincre...? Guaino et le «prince Jean» CéDRIC MATHIOT Si la pression de l’opinion n’y change rien, Jean Sarkozy devrait accéder, le 4 décembre, à la présidence de l’Etablissement public d’aménagement de la Défense (Epad). Pour contrebalancer les critiques, les représentants de la majorité ont défilé toute la semaine aux micros pour réciter le même argumentaire. En substance : Jean Sarkozy n’a bénéficié d’aucun passe-droit ou marchepied. Le 13 octobre, sur BFM TV, Henri Guaino, conseiller spécial de l’Elysée, a donc narré la belle ascension de Jean. Une histoire un brin romancée. Pour prétendre à la tête du conseil d’administration de l’Epad, encore fallait-il, c’est la règle, que Jean Sarkozy en soit membre. Ce qui a été rendu possible par la démission du maire de Meudon, Hervé Marseille, qui occupait l’un des deux sièges d’administrateur dévolus au conseil général des Hauts-de-Seine. Interrogé sur cette opportune démission, Guaino a assuré : «Il a démissionné pour des raisons complètement différentes du fait de laisser entrer [Jean Sarkozy], il avait d’autres raisons.» Voilà une curieuse dénégation d’une réalité que même l’intéressé lui-même reconnaît. Le maire de Meudon a admis, sans détour, avoir laissé son siège, un an et demi avant son terme, pour faire place nette à Jean Sarkozy. Interrogé par l’AFP, il est revenu sur les conditions du jeu de chaises musicales : «Depuis un certain temps, Jean Sarkozy était candidat. Il est élu du périmètre et préside le groupe [uMP-NC du conseil général, ndlr]. On en a parlé entre nous et, en responsabilité, j’ai pensé qu’il me revenait de laisser mon siège.» Bref, l’élu Nouveau centre assume parfaitement. La seule chose que Marseille a niée - mais sans convaincre l’opposition -, c’est d’avoir cédé sa place en échange de contreparties. Allusion au poste de membre du Conseil économique et social auquel Marseille a accédé grâce à un décret signé de la main de Sarkozy père, le 15 juillet. La présentation de Guaino appelle une autre précision. Le conseiller spécial insiste lourdement sur le fait que Sarkozy fils doit encore être élu par les administrateurs de l’Epad : «Il va être élu à la tête de l’Epad, par le conseil d’administration (CA), non pas désigné, élu», a insisté Guaino sur BFM TV. Ce qui est vrai, même s’il faut apporter une nuance de taille. Le CA de l’établissement est composé de 18 membres, dont une moitié de représentants des collectivités, et l’autre de hauts fonctionnaires nommés par l’Etat. On compte un représentant du ministère de la Culture et de la Communication, trois représentants de Bercy, quatre du ministère de l’Equipement et un issu du ministère de l’Intérieur. Autant de hauts fonctionnaires qu’on imagine mal se rebeller contre la dynastie sarkozienne lors du vote. Voilà donc neuf voix, plus la sienne (car le candidat est autorisé au vote) qui suffisent à donner la majorité absolue synonyme de présidence. Même une élection dans le canton de Neuilly-Sud est plus aventureuse. «[Hervé Marseille] a démissionné pour des raisons différentes du fait de laisser entrer Jean Sarkozy.» «Jean Sarkozy va être élu à la tête de l’Epad […], pas désigné, élu.»
  17. Soit pour la fgaac mais il s'agit de militants actifs Les adhérents ont-ils vraiment suivis ?
  18. Pas suffisant, je le verrai bien en sauveur du monde face à une attaque terroriste à la bombe atomique contre l'Elysée ...
  19. C'est d'une clarté ce budget... Publié le 16/10/2009 à 19:28 Le Point.fr COMMUNICATION L'Élysée dévoile l'étendue de son budget AFP Le compte rendu officiel de l'audition à l'Assemblée nationale du directeur de cabinet du président Nicolas Sarkozy, Christian Frémont, a été modifié dans la nuit de jeudi à vendredi, a constaté vendredi. M. Frémont a été auditionné mardi devant la commission des Finances sur les crédits de l'Elysée, où il a notamment fourni des explications sur le budget sondages de la présidence, épinglé en juillet par la Cour des comptes. Selon le compte rendu mis en ligne jeudi soir sur le site internet de l'Assemblée nationale et imprimé par l'AFP, Christian Frémont a déclaré: "en 2009, notre estimation est que OpinionWay percevrait environ 820.000 euros et Ipsos environ 300.000 euros". Vendredi, cette phrase a été modifiée sur le compte rendu que l'on peut désormais lire sur le site de l'Assemblée: "en 2009, notre estimation est que Publifact et Publiopinion percevraient environ 820.000 euros et Ipsos environ 300.000 euros". Publifact et Publiopinion sont deux sociétés appartenant au politologue Patrick Buisson, qui bénéficie d'un contrat avec l'Elysée. L'institut de sondage OpinionWay avait démenti jeudi auprès de l'AFP avoir facturé le moindre euro en sondages à la présidence en 2009. En fin de journée, vendredi, l'Assemblée a précisé sur son site que le compte rendu avait été "rectifié à la demande de Christian Frémont". "Ses propos tenus devant la commission et initialement retranscrits dans le compte rendu comportaient une inexactitude dont il a demandé rectification", peut-on désormais lire. La députée PS Delphine Batho qui, la première, avait dévoilé le contenu de cette audition sur son blog, a déclaré vendredi à l'AFP que "si M. Frémont a commis une erreur, il lui suffisait de corriger publiquement" et estimé que sa "façon de faire est assez ridicule sinon grossière". "Cela illustre une fois de plus l'immense embarras de l'Elysée dans cette affaire. Et sur le fond, la révélation est plus grave" avec les propos rectifiés "puisque c'est en fait M. Buisson qui a touché 820.000 euros entre janvier et juillet", a-t-elle dénoncé. Lors de son audition de mardi, Christian Frémont a précisé que le spécialiste des sondages Pierre Giacometti fournit à l'Elysée "un certain nombre d'analyses et d'études pour lesquels il reçoit une rémunération mensuelle de 43.500 euros", un montant "diminué de 21%" depuis mars. De son côté, Patrick Buisson, qui dispose depuis juillet "d'un contrat de conseil" et dont la collaboration avec la présidence ne concerne donc plus les sondages, est rémunéré "à hauteur de 10.000 euros hors taxes par mois". M. Giacometti a contredit jeudi auprès de l'AFP les propos de M. Frémont en affirmant que sa "rémunération" concernait sa société de conseil "GiacomettiPeron et Associés" et non lui seul. L'Elysée a prévu un budget sondages "d'environ 1,3 million d'euros" en 2010, selon M. Frémont.
  20. "Chez Sarkozy, tout est psychologique. Il déteste ne pas être aimé" Le Post Public Sénat Visite surprise à Gandrange, interview dans Le Figaro… Face aux difficultés que rencontre Nicolas Sarkozy dans l’opinion et la majorité, le chef de l’Etat revient sur son terrain favori: l’action. Opération réussie ? «Il manque une ligne directrice», tranche François Miquet-Marty, directeur associé de l’institut d’étude Viavoice, joint par Public Sénat. «La chose frappante dans son interview, c’est que Nicolas Sarkozy balaie les enjeux d’actualité. Or on a ici le sentiment d’un exécutif qui se cherche», ajoute-t-il. «C’est plus un communiqué qu’une interview», nous explique de son côté Jean-Marc Lech, coprésident de l’institut de sondage Ipsos. Pour François Miquet-Marty, «sa visite surprise à Gandrange est l’illustration de ce manque de cap. Pourquoi n’y est-il pas allé la semaine dernière, quand il est venu en Moselle ? » D’un Sarkozy maitre de l’agenda médiatique, on passerait à un Sarkozy qui le subit. «On voit que la communication n’est plus maitrisée, continue Mickey-Marty. C’est surprenant, car on est habitué à quelqu’un qui maitrise sa communication ». «Sarkozy se laisse aller à ses pulsions» Selon les spécialistes des sondages, la visite d’hier à Gandrange n’est pas en mesure de répondre à la baisse du Président dans l’opinion. Pire, elle risque de se retourner contre lui : «Plus il multiplie les gestes symboliques, plus il doit avoir des résultats. Or une action qui n’a pas de résultat ne sert à rien. Ça peut aggraver ses difficultés d’image et de popularité», pense Jean-Marc Lech, alors que Nicolas Sarkozy vient de se voir dépasser dans le baromètre politique de Paris-Match par…Dominique de Villepin. Le coprésident d’Ipsos pointe lui aussi la communication sarkozienne. Réagir vite à l’actualité ne serait pas payant: «Sa communication a toujours été très empirique. Elle n’est pas structurée. Quand l’actualité a du talent, il est vite débordé.» Et de pointer «les bavures qui entourent ses déplacements. De son voyage à New York, on ne retiendra pas l’interview télé, mais l’enguelade d’Arlette Chabot», chef de l’information sur France2. Selon Jean-Marc Lech, c’est la psychologie du chef de l’Etat qui lui joue des tours : «Chez Sarkozy, tout est psychologique. Il déteste ne pas être aimé, il déteste ne pas avoir raison, il déteste être désavoué. Dans ces cas là, son surmoi ne fonctionne pas. Il se laisse aller à ses pulsions». Et continue de défendre l’arrivée de son fils Jean à la tête de l’Epad, alors que « pour la première fois, sur ce point, une majorité des électeurs UMP (51%) lui est hostile ». «On a un mi-mandat de flottement », analyse François Mickey-Marty. Problème : «A cause de la crise, il est difficile de répondre à la préoccupation numéro un des Français qui est l’emploi, selon Jean-Marc Lech. Et de prédire : «la phase de difficultés pour l’exécutif n’est pas terminée». François Vignal
  21. La cote de popularité de Sarkozy en baisse à 38%, selon Ifop Reuters La cote de popularité de Nicolas Sarkozy perd un point en octobre à 38% d'opinions positives tandis que celle de François Fillon gagne un point à 51%, selon le baromètre Ifop pour Le Journal du Dimanche à paraître samedi. Au total, 61% des personnes interrogées jugent défavorablement l'action du chef de l'Etat (contre 60% en septembre) et 46% sont mécontentes de l'action du Premier ministre (contre 47% en septembre). L'enquête a été réalisée auprès de 1.841 personnes âgées de 18 ans et plus du 8 au 16 octobre. Sophie Louet
  22. Ben tu confirmes bien qu'il y a une vérification entre les deux fichiers celui de la carte vitale (en lien avec la sécu ou la CPR par exemple) et celui du fichier de la Carte Nationale d'identité... tout ça pour lutter contre un taux de fraude (OK la fraude c'est inadmissible...) qui doit avoisiner 0,2 % des remboursements de la sécu... donc il faut que toute la population soit fichée prochaine étape : une puce derrière l'oreille de tous les bébés à leur naissance avec suivi GPS évidemment...
  23. Pour une fois que s'annonce un renouvellement politique avec un jeune de 23 ans... Bon d'accord c'est un jeune... loup aux dents longues... Ha là là jamais content... nonmais
  24. Grève des Entreprises Ferroviaires privées (ECR Véolia) et négociations nationales (convention collective nationale) Réponse de la CGT au tract FO sur le lien suivant : http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=21163 2009_10_16_cgt_LaDesinformationdeFO.pdf

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