Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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FRET : Annonces gouvernementales et Rassemblement CGT du Bourget mercredi 16 septembre 2009
L'Etat engage 7 milliards d'euros pour développer le fret Reuters L'Etat va investir sept milliards d'euros d'ici 2020 dans le cadre d'un "engagement national" en vue de développer le fret ferroviaire en France. Cet engagement, présenté par le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo mercredi en conseil des ministres, entre dans le cadre du Grenelle de l'environnement, qui a fixé pour objectif de porter à 25% d'ici 2022 la part des transports de marchandises alternatifs à la route, contre 14% aujourd'hui. "Il est aujourd'hui indispensable de donner au fret ferroviaire une nouvelle ambition, un nouveau souffle", a déclaré Luc Chatel, porte-parole du gouvernement, à l'issue du conseil des ministres. L'engagement de l'Etat en la matière doit permettre de réduire de plus de deux millions le nombre de trajets de poids lourds sur les routes françaises d'ici 2020, et de plus de deux millions de tonnes les émissions de CO2, précise le ministère de l'Ecologie dans un communiqué. "La réussite de ces objectifs passe avant tout par la reconquête de parts de marché par le fret ferroviaire: la croissance des modes les plus respectueux de l'environnement devrait en effet être assurée à 85% par le mode ferroviaire et à 15% par le fluvial", a souligné le ministère. Dans le cadre du paquet "énergie-climat" adopté l'année dernière au niveau européen, les Vingt-Sept se sont engagés à réduire de 20% leurs émissions de gaz à effet de serre par rapport à l'année de référence 1990. "CHAMPION FRANÇAIS" L'investissement public pour le fret vise notamment à accroître le ferroutage, qui consiste à charger les camions sur les trains, développer les "opérateurs ferroviaires de proximité" et le "TGV ferroviaire" sur les lignes à grande vitesse, ou encore améliorer la desserte des grands ports français en parallèle à la réforme des ports. "La SNCF va investir au moins un milliard d'euros dans les cinq prochaines années" pour participer au développement du fret express sur les lignes à grande vitesse ou des opérateurs de proximité dans les zones à faible trafic où les camions prennent le relais du ferroviaire, a ajouté Luc Chatel. La même idée présidera à la création d'opérateurs dans les ports commerciaux, notamment au Havre ou à La Rochelle, et à l'aménagement des terminaux dans les aéroports de Roissy ou Lyon-Saint-Exupéry. Cet engagement doit aller de pair avec la réforme de l'activité fret à la SNCF, en difficulté depuis plusieurs années et qui a compté au premier semestre pour 323 millions des 496 millions de pertes affichées par l'entreprise. La réorganisation du fret, qui doit être dévoilée le 22 septembre lors du Comité central d'entreprise à la SNCF, est la cible depuis plusieurs mois de mouvements sociaux. La CGT, première organisation syndicale à la SNCF, a demandé au début du mois au Premier ministre François Fillon une table ronde sur ce dossier et les organisations représentatives ont menacé d'une grève en marge du CCE. L'implication de la SNCF entre dans le projet de l'Etat de doter la France d'un "champion français" du transport combiné, sur ce marché ouvert à la concurrence depuis avril 2006. L'Etat entend notamment renforcer les grands axes Lyon-Turin ou Perpignan-Luxembourg et une liaison dite "Atlantique" entre le sud de l'Aquitaine et le Nord. Réseau ferré de France (RFF), déjà lié par un "contrat de performance" de 13 milliards pour moderniser son réseau d'ici 2015, est en outre chargé d'étudier la possibilité d'une liaison transverse entre le Rhône et l'Atlantique. Enfin, l'essentiel de l'investissement public portera sur les travaux de contournement des agglomérations de Lyon, de Nîmes et de Montpellier, pour un total de 4,5 milliards d'euros. Grégory Blachier, édité par Yves Clarisse
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FRET : Annonces gouvernementales et Rassemblement CGT du Bourget mercredi 16 septembre 2009
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Goodi de Cheminots.net
Les Dieux et ...les Déesses...
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Actualités Politiques
Une loi votée en mai 2009 évite à la Secte Scientologie une dissolution Reuters Thierry Lévêque Une réforme législative votée par la majorité UMP en mai dernier et passée inaperçue jusqu'ici va sauver l'Eglise de scientologie, qui était menacée de dissolution en France dans un procès pour escroquerie. C'est la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) qui a découvert la suppression de la peine de dissolution d'une personne morale en matière d'escroquerie, votée le 12 mai 2009 à l'Assemblée nationale. Cette réforme d'application immédiate a été votée juste avant le procès, au détour d'un texte sur la "simplification du droit", technique et complexe. La gauche dit n'avoir rien vu. Parlant de décision "scandaleuse", le Syndicat de la magistrature, classé à gauche, a mis en cause le ministère de la Justice, qui selon lui n'a pas pu ignorer l'épisode. L'Union syndicale de la magistrature (USM, majoritaire) veut une enquête. "Il serait souhaitable de savoir si ce vote est ou non une coïncidence", a dit son président, Christophe Régnard. L'avocat de victimes de la Scientologie, Me Olivier Morice, souhaite aussi une enquête parlementaire. Se disant "scandalisé", il a demandé des explications au ministère de la Justice. Le président de la Miviludes, Georges Fenech, a demandé dans un communiqué le rétablissement de la possibilité de dissolution. "Face à des organisations à caractère sectaire présentant un réel danger pour l'ordre public et la santé publique, la justice doit toujours pouvoir disposer d'une telle mesure", écrit-il. La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, y a consenti mais, quoi qu'il arrive, la Scientologie française est à l'abri, au moins dans le cadre du procès qui s'est tenu entre fin mai et fin juin à Paris. DISSOLUTION IMPOSSIBLE Dans son jugement qui sera rendu le 27 octobre, le tribunal correctionnel ne pourra en effet plus légalement suivre les réquisitions du parquet formulées le 15 juin. Elles demandaient la dissolution des principales entités juridiques françaises de la Scientologie pour "escroquerie en bande organisée". Même en cas d'appel, après un éventuel rétablissement de la disposition, elle ne pourra pas non plus être appliquée, une loi qui durcit le droit ne pouvant être rétroactive. Le tribunal pourra cependant toujours prononcer une interdiction d'activité définitive ou une fermeture d'établissement, mais ces sanctions ont une portée moindre. Le député UMP Jean-Luc Warsmann, rapporteur de la loi, a assuré dans un communiqué avoir agi dans un but de "clarification de la loi". Mais la gauche se dit sceptique. "C'est honteux. On nous a tiré dans le dos. Il faut savoir qui a tenu la plume", a dit à Reuters le député communiste Jean-Pierre Brard. Il souhaite lui aussi une enquête. Au procès, l'accusation avait par ailleurs demandé quatre millions d'euros d'amende contre la Scientologie en France, et des peines de prison avec sursis de deux ans à quatre ans assorties d'amendes de 10.000 à 150.000 euros et de privation de droits civiques contre quatre de ses responsables français. L'accusation dit que l'organisation utilise des techniques frauduleuses pour dépouiller ses adeptes. Deux plaignants disent avoir été dépouillés en 1998 de 21.000 et 49.500 euros. Fondé en 1954 par l'écrivain de science-fiction Ron Hubbard, la Scientologie, très puissante financièrement et influente internationalement, a parlé de "procès en sorcellerie". Dans un communiqué publié lundi, elle se dit paradoxalement indignée de cette péripétie qui vient à son secours. "Qu'il s'agisse d'incompétence ou de manipulation, cette affaire est scandaleuse. Elle a déjà porté à l'Église un grave préjudice, dont Georges Fenech est l'un des responsables", écrit-elle. Des responsables de la Scientologie ont déjà été condamnés pour escroquerie à Lyon en 1997 et Marseille en 1999. Une autre affaire a tourné court à Paris à la fin des années 1990 avec la disparition inexpliquée de dossiers judiciaires. Quand il était ministre de l'Economie, Nicolas Sarkozy avait suscité la controverse en recevant le porte-drapeau de la Scientologie, l'acteur Tom Cruise, à Bercy en 2004. En février 2008, sa directrice de cabinet à l'Elysée Emmanuelle Mignon avait déclaré que les sectes étaient un "non-problème". Avec Nicolas Bertin, édité par Yves Clarisse
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Paris - Granville - Pas de fuel dans la motrice !
De plus en plus catastrophique ...
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Actualités Politiques
LE PS remporte l'élection municipale partielle de Carcassonne Reuters Le socialiste Jean-Claude Perez a remporté l'élection municipale partielle de Carcassonne (Aude), organisée dimanche après l'annulation pour fraude du scrutin remporté par l'UMP en 2008, annonce le Parti socialiste à Paris. "Cette victoire est celle d'une gauche rassemblée, unie pour proposer une alternative de progrès. Elle vient confirmer les bons résultats enregistrés par la gauche à l'occasion des dernières élections partielles", a dit le Parti socialiste dans un communiqué. La victoire aux municipales de 2008 du maire sortant de Carcassonne Gérard Larrat (UMP) face au même Jean-Claude Pérez, obtenue avec 56 voix d'avance, avait été annulée en mai par le Conseil d'Etat. Le Conseil d'Etat fondait sa décision sur la présence avérée d'une centaine de "faux électeurs" sur les listes électorales. Ces personnes avaient leur vraie résidence dans des communes voisines. Il s'agissait en quasi-totalité d'agents de la commune ou de membres de leur entourage immédiat, ou encore de proches du candidat élu ou de ses colistiers. Le Conseil d'Etat retenait aussi comme manoeuvre irrégulière le fait que 1.033 électeurs avaient voté par procuration au second tour de l'élection, contre 633 au premier, 347 procurations ayant donc été dressées entre les deux tours. Thierry Lévêque
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Le TGV lui passe dessus, il est indemne
C'est l'effet chouchenn-Lambig... Encore un qui pourra dire que même le train lui est passé dessus... Tout est bien qui finit bien... okok
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Taxe carbone
Et comment as-tu calculé les 115Euros ? question subsidiaire : d'où sorte les 25 euros de différence ? (115 - 90 = 25 )
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ayant droit 90%
Bien sur : tu utilises la carte de réduction 90%... tu n'utilises pas un fichet de voyage gratuit
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Actualités Politiques
ça sent vraiment pas bon... La majorité met en cause internet dans l'affaire Hortefeux Reuters Thierry Lévêque La majorité de droite française met en cause le rôle d'internet dans la violente polémique visant des propos jugés racistes du ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux, qu'il conteste. Après plusieurs conseillers de l'Elysée, le ministre de la Relance Patrick Devedjian et son collègue de l'Immigration Eric Besson ont estimé que l'épisode témoignait d'un fonctionnement malsain de la "Toile". Seraient, selon eux, mis en exergue des propos tenus dans un contexte privé, interprétés de manière contestable. La gauche continue de son côté de demander la démission du ministre, considérant au contraire que ces propos dénotaient des idées profondes de Brice Hortefeux. De son côté, Hélène Risser, présidente de la société des journalistes de Public Sénat, a expliqué à Reuters dimanche que lorsqu'il a tenu les propos litigieux, Brice Hortefeux n'était pas dans un cadre privé, mais suivi par une équipe de cette chaîne câblée, avec caméra et micro identifié par un logo. Public Sénat, dont les dirigeants avaient d'abord renoncé le jour des faits à diffuser les images, y ont finalement consenti vendredi après que l'enregistrement ait "fuité" sur le Monde.fr. "Ce ne sont pas des images volées, ils ont été tenus dans le contexte d'une réunion publique, il y avait un contexte politique qui justifiait la diffusion de cette information", a déclaré Hélène Risser. La société des journalistes a demandé des explications à sa rédaction en chef sur la ligne éditoriale. Les dirigeants de la Chaîne parlementaire et de Public Sénat, qui ont été nommés par les présidents UMP des deux assemblées, expliquent leur "censure" initiale notamment par la mauvaise qualité sonore de l'enregistrement. BESSON SOUTIENT SON COLLÈGUE Sur la vidéo, enregistrée le 5 septembre à l'université d'été de l'UMP, on entend une militante du parti majoritaire dire en présence d'un Maghrébin : "C'est notre petit Arabe." Brice Hortefeux déclare : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes." Brice Hortefeux assure qu'il parlait des Auvergnats, dont il est aussi question avant dans la conversation. Il a multiplié les gestes pour tenter de faire taire la polémique, partageant notamment un dîner de rupture du jeûne du ramadan avec des musulmans. Le gouvernement et l'Elysée le soutiennent et refusent la démission demandée par l'opposition. Le ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale Eric Besson a soutenu dimanche son collègue, estimant que la mauvaise qualité de l'enregistrement sonore laissait un doute sur le sens des propos. "Je crois que c'est quelqu'un qui est humaniste, qui est pétri (...) dans son histoire personnelle de catholicisme social, qui n'a rien de raciste", a-t-il dit sur Europe 1. Eric Besson souhaite qu'on laisse "les hommes publics être jugés sur leurs résultats et leurs actions publiques". "Les hommes politiques sont devenues des cibles. La frontière entre la vie publique et la vie privée s'efface de plus en plus. On cherche dans leurs propos les moyens de les accuser", a dit Patrick Devedjian sur Radio J. La gauche souligne que Brice Hortefeux a déjà plusieurs fois dans le passé tenu des propos équivoques de la même nature, notamment lors d'une cérémonie publique concernant sa collègue du gouvernement Fadela Amara. Le journal Le Monde de dimanche a ainsi raconté que Brice Hortefeux avait justifié une fois devant des journalistes sa décision de régulariser une famille d'étrangers sans-papiers par le fait qu'ils aient donné des prénoms "français, catholiques" à leurs enfants. Le politologue Roland Cayrol a estimé sur I-télé que la phrase de Brice Hortefeux avait un sens politique. "La plaisanterie, c'est la chose qui peut dénoter réellement la possibilité d'être raciste dans un pays. Si on en plaisante, c'est que ça va de soi", a-t-il dit. Edité par Jean-Stéphane Brosse
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Taxe carbone
L'Humanité La taxe Sarkozy est arrivée Les familles seront les grandes perdantes de la création de la taxe carbone. Au contraire des entreprises, qui verront au final leur impôt allégé. Ce sera 17 euros la tonne de CO2, 4,5 centimes par litre de fuel ou de gasoil, 4 centimes par litre d’essence. En déplacement à Artemarre dans l’Ain, le président de la République, Nicolas Sarkozy, a présenté hier les modalités de la taxe carbone qui rentrera en vigueur dès le 1er janvier 2010 et qui frappera la consommation d’énergie fossile (l’électricité ne sera pas taxée). Dans son allocution, le chef de l’État a pris soin de se présenter en champion de la lutte contre le réchauffement climatique. LA SUITE LOGIQUE DE SA POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE Dramatisant l’enjeu afin de tenter de surfer sur les craintes légitimes que suscite le réchauffement climatique, rappelant longuement les décisions du Grenelle de l’environnement, il a inscrit la création de son nouvel impôt dans la suite logique de la politique environnementale poursuivie depuis son élection. Une manoeuvre doublement utile. Elle lui permet d’éviter d’ouvrir le débat sur la politique fiscale qu’il initie tout en jetant le discrédit sur ceux qui s’y opposent. Ceux-là sont présentés abusivement comme des irresponsables faisant peu de cas du péril climatique où comme des politiciens bafouant leurs engagements passés. « Je ne comprends pas comment on peut avoir signé le pacte de Nicolas Hulot au printemps 2007 et aujourd’hui renier sa parole et ne pas faire ce que l’on a dit qu’on ferait », lance-t-il ainsi pour stigmatiser le PCF et ceux qui au PS s’opposent à sa taxe. À entendre le chef de l’État, il n’y a donc qu’une seule politique possible pour répondre aux enjeux environnementaux : la sienne. Conscient de l’hostilité de l’opinion publique vis-à-vis de ce nouvel impôt et de ses conséquences sur le pouvoir d’achat, Nicolas Sarkozy assure que la taxe carbone sera compensée. Les familles avec deux enfants assujetties à l’impôt sur le revenu bénéficieront d’une réduction de 112 euros si elles habitent en zone urbaine et de 142 euros en zone rurale. Les foyers non assujettis bénéficieront d’un « chèque vert » des mêmes montants. Ceux qui changeront leurs habitudes de consommation seront « doublement gagnants », ose le président de la République en affirmant que le montant de la réduction de l’impôt sera supérieur à celui de la taxe dont ils devront s’acquitter. Ce ne sera pas le cas de l’immense majorité des foyers qui ne bénéficient pas d’alternative à la voiture ou au chauffage au fuel. Pour tenter de rassurer sur le pouvoir d’achat le chef de l’État a également choisi un montant inférieur aux 32 euros la tonne de CO2 demandés par le président de la commission des experts, Michel Rocard. Mais cette modération sera de courte durée car « la taxe carbone sera introduite de manière progressive ». Les entreprises seront les grandes gagnantes de la création de la taxe carbone. Certes, elles y seront assujetties mais auront tout loisir le de la reporter sur le consommateur. Mieux pour elles, « la taxe carbone va s’accompagner de la baisse, voire de la disparition, simultanée et équivalente, d’autres impôts ». Suppression de la taxe professionnelle ? Nouvelles exonérations de charges sociales ? Le chef de l’État ne le précise pas. Une chose est sûre pourtant, en agissant ainsi, il oppose l’écologie au social. La taxe carbone massivement désapprouvée en France. La contribution climat-énergie est désapprouvée par 65% des personnes interrogées selon un sondage Ifop. L’instauration de l’impôt nouveau sur les énergies polluantes appelé "taxe carbone" ou "contribution climat-énergie" est désapprouvée par 65% des Français, selon un sondage Ifop pour Paris Match paru mercredi 9 septembre. Les opposants se recrutent aussi bien chez les sympathisants socialistes (69%) que de l’UMP (60%). Globalement, l’idée n’est approuvée que par un tiers des personnes interrogées, 34%. L’opposition est nette et majoritaire dans toutes les catégories socio-professionnelles et politiques, même chez les Verts, note l’Ifop. Les sympathisants du parti écologiste s’y déclarent en effet hostiles à 56% contre 44%. Une écrasante majorité des personnes interrogées (84%) dit penser que la mesure "va alourdir la fiscalité, notamment sur les plus modestes". Quelque 55% des personnes interrogées ne la jugent "pas indispensable pour réduire l’utilisation des énergies polluantes". L’idée consiste à taxer les utilisateurs de voitures ou de chauffages polluants. Un mécanisme de compensation pour les personnes les plus pauvres, par un reversement d’argent ou un crédit d’impôt sur le revenu, est prévu, ce qui selon ses opposants, ou même ses partisans, en perturbe la lisibilité. L’Elysée doit trancher mercredi sur les modalités de ce nouvel impôt. - Enquête réalisée les 3 et 4 septembre sur un échantillon de 1.007 personnes formé par la méthode des quotas.
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La ligne Chartres - Orléans opérationnelle en 2020
Diésel...taxe carbone sur les billets...?
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Taxe carbone
Débat hier soir à C'dans l'air sur la 5 Bon je crois avoir compris la partie "taxe carbone"... prenons ma petite voiture (vendue à l'époque pour 5,6 litres aux 100 mais consommant en réel 8 litres aux 100...) 12.000 km par an 8 litres au 100 soit 960 litres d'essence 960 x 0.04 euro soit 38,40 euros de taxe carbone... Disons que je garde la voiture 6 ans : 38,40 x 6 =230.40 euros Je change de voiture disons pour une voiture moins gourmande ou électrique pourquoi pas... Quelle compensation ? 230,40 euros ? Si j'ai bien compris il s'agirait d'un "chèque vert" forfaitaire... bref j'ai encore pas tout compris à cette histoire de compensation... mais j'ai bien compris qu'une fois de plus ils taxent les petits et les moins riches... comme avec la CSG ... Donc si je veux pas être taxé...je marche à pied mais les godasses sont taxées à19,6 de TVA ... donc je ressorts les sabots de bois...
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La ligne Chartres - Orléans opérationnelle en 2020
Voilà une bonne chose... ça ne fera jamais que 30 ans que cheminots et populations revendiquent cette réouverture.
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Actualités Politiques
CONTEXTE... Campus UMP Brice Hortefeux: le verbatim Le Post Le Nouvel Observateur a publié un verbatim de ce que l'on arrive à entendre, dans la vidéo publiée par le Monde.fr ce jeudi: Un participant : "Ah ça, Amin, c'est l'intégration." Brice Hortefeux : "Il est beaucoup plus grand que nous en plus" [à propos du jeune homme] Un autre participant : "Lui, il parle arabe". [ Rires de l'assemblée ] Jean-François Copé : "Ne vous laissez pas impressionner, ce sont des socialistes infiltrés" Une participante : "Il est catholique, il mange du cochon et il boit de la bière"; Brice Hortefeux : "Il ne correspond pas du tout au prototype" [ Rires de l'assemblée dont Jean-François Copé ] Brice Hortefeux : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes. Allez, bon courage…" Note de la rédaction du Post : l'échange a eu lieu lors du campus de l'UMP à Seignosse, et non pas lors de l'université d'été du MEDEF, comme l'indique l'article du site du Nouvel Observateur ce vendredi matin. Voir le document du Monde.fr http://www.lemonde.fr/
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Actualités Politiques
INTOX DESINTOX Libération 10 septembre 2009 Le gouvernement biaise sur le forfait hospitalier Face aux critiques concernant le projet d'une hausse du forfait, la majorité tente de se défendre... non sans une certaine mauvaise foi CEDRIC MATHIOT Intox Dimanche dernier, le Journal du dimanche a lancé le débat en révélant un projet d’augmentation de 16 à 20 euros du forfait hospitalier, qui correspond à une prise en charge partielle des frais d’hébergement et de restauration des malades. Depuis, le gouvernement essaye de déminer les critiques. Dimanche sur Europe 1, Eric Woerth, ministre du Budget, a renvoyé les socialistes dans leur camp, affirmant : «C’est le PS qui a créé le forfait hospitalier en 1983. Et c’est le PS qui a le plus augmenté le forfait hospitalier. Il l’a augmenté sept fois, dont une fois de 38 %. Donc, qu’ils ne nous donnent pas de leçon.» Argument repris par Jean François Copé sur France Inter mercredi, avec une variante : «c'est le PS qui a crée le forfait hospitalier, et qui l'a augmenté, je crois, 38 fois». Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, a tenté elle une autre statégie de défense, rejetant la responsabilité de la piste d'une hausse du forfait aux partenaires sociaux. Dimanche, sur France 5, elle affirmait : «Le JDD a repris un certain nombre de préconisations de l’assurance maladie qui étaient sans doute passées inaperçues dans la torpeur de l’été parce qu’elles datent du mois de juillet». Desintox Commençons par Eric Woerth. C’est bien le PS qui a créé, en 1983, le forfait hospitalier, qui s’élevait alors à 20 francs, soit trois euros. En revanche, Woerth a la mémoire un peu sélective lorsqu’il assure que c’est le PS qui a le plus augmenté le forfait depuis. Car droite et gauche ont mené, sur le sujet, une politique similaire, faite de hausses régulières, entrecoupées de quelques pauses et flambées ponctuelles. Entre 1983 et 1986, la gauche renchérit le forfait d’un franc par an. A partir de 1987, la droite, puis la gauche (à partir de 1989) le font croître de 2 francs par an. En 1991, avec la gauche, le forfait connaît sa première forte hausse, passant de 33 à 50 francs. La droite le fait ensuite progresser en moyenne de 5 francs par an entre 1993 et 1996. C’est sous le gouvernement Jospin qu’il connaît sa plus longue stabilité demeurant à 10,67 euros pendant cinq ans. En 2004, la droite l’augmente à 13 euros. Depuis, il a grimpé d’un euro par an entre 2005 et 2007, jusqu’à 16 euros. Montant inchangé depuis. Au total, la droite a fait croître le forfait hospitalier à huit reprises, le PS à sept reprises. La présentation de Woerth est au moins partiale… Copé, quant à lui, est totalement à côté de la plaque. L'affirmation selon laquelle le PS a augmenté 38 fois le forfait hospitalier est certes spectaculaire, mais tout à fait fantaisiste. Le chef des députés UMP (mauvaise lecture des fiches?) a probablement confondu le montant de la plus forte hausse du forfait sous les socialistes (quelque 38% en 1991) avec le nombre de hausses du forfait sous les socialistes. Enfin, l'affirmation de Roselyne Bachelot est, elle, carrément mensongère. La hausse du forfait à 20 euros n’est pas une préconisation des partenaires sociaux de l’assurance maladie qui serait, selon la ministre de la santé, «passée inaperçue dans la torpeur de l’été». «L’augmentation du forfait ne figure absolument pas parmi les propositions remises au gouvernement en juillet par les conseils des caisses d’assurance maladie», a rectifié Michel Régereau, président (CFDT) du conseil d’administration de la CNAM. De fait, l’assurance maladie a bien rendu publiques, en juillet, 24 propositions pour 2010. Le forfait hospitalier n’y est nulle part mentionné.
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Ça sent la greve chez EUROCARGORAIL
Perdre les résultats des élections ? Mais que font les délégués de listes (représentants les OS dans les bureaux de vote...) ? Et où sont passés tous les documents officiels, et les photocopies..., et les résultats sur informatiques, et les résultats recueillis par les OS ? Zarbi tout ça... Enfin ça en dit long sur le niveau du dialogue social... ceci dit : il est déposé ce préavis où c'est juste une perspective... ?
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Actualités Politiques
Dans la série : Les Tribunaux ... Relaxe d'un jeune enseignant à la Sorbonne poursuivi pour 'violences' sur un CRS LeMonde.fr Poursuivi pour 'coups et blessures volontaires' sur un CRS en mars, Clément Onimus, jeune agrégé d'histoire, doctorant à l'Ecole pratique des hautes études et moniteur à la Sorbonne, a été relaxé par la 24e chambre correctionnelle du tribunal de Paris. L'enseignant de 27 ans était accusé d'avoir lancé une bouteille en verre sur le bouclier d'un CRS lors d'une manifestation place de la Sorbonne, le 26 mars. Clément Onimus avait été interpellé à l'issue de l'évacuation de la Sorbonne, alors occupée par des étudiants et des professeurs. Placé en garde à vue, puis transféré au dépôt du palais de justice, où il a passé quarante heures, il avait été identifié par un policier comme l'auteur du lancer. Une accusation formellement démentie par le doctorant, qui souligne, entre autres incohérences dans le dossier, que les vêtements qu'il portait ne correspondaient pas à ceux décrits par le policier. Il est convoqué une première fois devant le tribunal le 27 mai, mais le procès sera reporté. Depuis, Clément Onimus n'a eu de cesse de récolter photos et témoignages afin de prouver son innocence. 'MACHINATION POLICIÈRE' Mercredi 9 septembre au matin, une cinquantaine de personnes s'étaient mobilisées pour soutenir le jeune enseignant familles, amis, étudiants, professeurs, membres du collectif Sauvons l'université ou de la Ligue des droits de l'homme. Clément Onimus, qui se dit victime d'une 'machination policière', a été décrit par ses trois témoins comme un homme extrêmement sérieux et calme. Le procureur a plaidé la mise hors de cause, 'au bénéfice du doute, faute de preuve matérielle'. Il a été suivi par le tribunal, qui a prononcé la relaxe, sans toutefois remettre en cause la parole du CRS. Le jeune homme se déclare satisfait, mais il s'interroge : 'En aurait-il été ainsi en comparution immédiate, au plus fort de la répression du mouvement universitaire ?'
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"Sarko facho"... même pas grave? Le Post tian Ce 22 octobre 2007, devant le lycée Carnot dans le XVIIème arrondissement de Paris, une manifestation avait lieu pour protester contre « la récupération politicienne » de la mémoire du jeune communiste Guy Môquet. On se souvient qu’à cette époque, Nicolas Sarkozy avait décidé que la lettre de Guy Môquet à sa mère devait être lue dans les lycées. Une initiative qui avait provoquée en France un vent de révolte chez les enseignants et les anciens résistants. Ce jour-là, plusieurs dizaines de lycéens avaient manifesté devant l’établissement. Puis une cinquantaine de manifestants s’étaient rendus dans la station de métro Guy Môquet où le sous-préfet Frédéric Lacave devait rendre un hommage officiel aux résistants communistes, rappelle LCI. Le sous-préfet Lacave s'était alors adressé à Maria Vuillet, venue soutenir sa fille lycéenne. Le représentant de l’Etat lui avait dit : « Attention, je représente la République ». Et la mère de famille lui avait répondu : « Oui, mais pas celle que voulait Guy Môquet ». Le problème c’est que ce jour-là, le sous-préfet n’a pas entendu la même phrase. Selon lui, la mère de famille, lui aurait alors répondu : « Vous représentez l'Etat. Vous représentez Sarko. Sarko facho. Donc vous êtes facho ». Le problème c’est que cette répartie n’a été entendue que par le chauffeur du sous-préfet… Le 4 septembre 2008, le tribunal correctionnel de Paris avait finalement relaxé Mme Vuillet. Le parquet avait fait appel de cette décision. LCI rappelle que lors de l'audience d'appel, le 3 juin, la cour avait entendu quatre nouveaux témoins, des policiers chargés d'encadrer la manifestation. Des policiers qui n'avaient finalement pas apporté d'éléments nouveaux sur la teneur exacte des propos échangés, selon LCI. Aujourd’hui, la cour d'appel de Paris a estimé que les différents éléments du dossier "n'établissaient pas avec une certitude suffisante que Maria Vuillet aurait traité la partie civile de facho". Maria Vuillet a été relaxée…
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Restructurations à l'Exploitation - Expression Exploitation Région PRG
Restructurations à l'Exploitation Evolution des Etablissements Exploitation Expression Exploitation Région PRG CGT - 9 septembre 2009 - 2009_09_09_EvolutionEEx.pdf
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1500 départs en retraite en moins que prévu
Réduction des effectifs donc des postes de travail : 2.600 ... ça c'est le chiffre qui ne change pas...
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RTT cadre
Directions centrales et régionales : régime A du titre II de la réglementation du travail (RH077) sauf les entités opérationnelles (comme par exemple CNO, CRO, SUGE etc...) qui relèvent soit du régime B (en gros travail de nuit) ou du régime C (pas de travail de nuit)... Le mieux est d'ouvrir le RH077... revoltages
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Bernard Thibault appelle à une journée d'action le 7 octobre
Six syndicats appellent à une nouvelle mobilisation interprofessionnelle le 7 octobre AP Les syndicats CGT, CFDT, CGC, FSU, UNSA et Sud ont décidé mardi d'appeler ensemble à une nouvelle journée de mobilisation le 7 octobre pour exiger du gouvernement et du patronat un changement de politique face à la crise, a-t-on appris de sources syndicales. Cette date est celle choisie par la Confédération syndicale internationale (CSI) pour une journée mondiale d'action pour la défense du travail décent. FO n'a pas pris part à cet appel, et la CFTC n'a pas donné sa réponse. Aucune des deux organisations n'étaient présentes à la réunion intersyndicale, mardi après-midi au siège de la CGC à Paris, officiellement pour "indisponibilité". AP
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Benoît Hamon sur la visite "orchestrée" de Sarkozy: "Pathétique" LePost Qui? Le porte-parole du PS, Benoît Hamon. Où? Sur le réseau de microblogging Twitter, ce lundi matin. Contexte: La RTBF (télé belge) a diffusé samedi un reportage sur la visite de Nicolas Sarkozy à l'usine Faurecia de Flers (Orne), le 3 septembre dernier. Dans la vidéo diffusée au journal télévisé, on apprend que les ouvriers présents à l'image derrière le président de la République pendant son discours, ont été triés sur le volet. Avec un critère de sélection : la taille ! (vidéo postée sur Dailymotion par RichardTrois) Dimanche soir, l'Elysée a réagi, déclarant: "C'est totalement saugrenu et grotesque". Sur Le Post, un syndicaliste de l'usine confirme ce lundi que la taille était un critère pour figurer derrière le Président: "Les grands ne pouvaient pas poser à côté de Sarkozy". Bonus-track: "Cette mise en scène, si elle était confirmée, serait assez pathétique." Edit de la rédaction du Post, ce lundi, à 14h45: Contacté par Le Post.fr, un autre délégué syndical de l'usine Faurecia de Flers (Orne) -souhaitant également rester anonyme- confirme également l'existence de ce critère, en donnant des faits plus précis. Il raconte notamment que deux jours avant la venue de Nicolas Sarkozy, il a été convoqué par la direction de l'usine, qui lui a "dit clairement qu'il ne fallait pas des gens de grande taille pour figurer aux côtés du chef de l'Etat". Il pense également que l'ordre est venu de la présidence de la République "puisque la direction était en contact avec l'Elysée pour préparer la visite".