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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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J'adore la conclusion de l'article David Douillet élu député dans les Yvelines AP David Douillet va siéger à l'Assemblée nationale: l'ancien champion olympique de judo, qui portait les couleurs de l'UMP, a remporté dimanche le second tour de la législative partielle organisée dans la 12e circonscription des Yvelines face au maire socialiste de Poissy Frédérik Bernard. David Douillet a été élu avec 52,10% des suffrages exprimés contre 47,90% à Frédérik Bernard, selon les résultats définitifs annoncés dimanche soir par la préfecture des Yvelines. L'ancien judoka l'a emporté avec 985 voix d'avance (12.203 contre 11.218). La participation a été de 33,70%. Au premier tour, il était arrivé en tête avec 44,19% des suffrages contre 21,87% à Frédérik Bernard et 14,82% au candidat Vert Alain Lipietz. Le taux de participation s'était élevé alors à 30,13%. Le nouveau député du parti majoritaire a été acclamé dimanche soir par ses partisans à Poissy, la candidate de l'UMP pour les régionales en Ile-de-France Valérie Pécresse à ses côtés. Il s'est félicité du score, "52-48, on a bien gagné". "Très heureux", le vainqueur a remercié ensuite sur i>télé les électeurs qui "ont compris à qui ils avaient affaire". "Le travail paie", s'est-il félicité, promettant de "s'investir à 100%". "Les citoyens manquent d'écoute, manquent de proximité", a lancé l'ancien judoka qui a souhaité "que des gens de la société civile s'investissent en politique". "Ce n'est pas simple, ce sont de vrais combats, et c'est une vraie vocation. Il faut réfléchir, moi j'ai choisi, c'est ma nouvelle vie j'en suis fier". La polémique sur la candidature du fils du chef de l'Etat Jean Sarkozy à la tête de l'Epad n'a pas compliqué la campagne entre les deux tours, a-t-il assuré: "la preuve que non, puisque j'ai gagné ce soir". "J'étais en direct avec le terrain", a-t-il affirmé, et "je n'avais personne qui m'en parlait". Après les tatamis, David Douillet, 40 ans, va donc faire son entrée dans l'hémicycle, quelque mois seulement après avoir intégré les instances de l'UMP en même temps que le chanteur Gilbert Montagné. Le grand ami des Chirac, devenu membre du cercle des people sarkozystes, avait été nommé en mars dernier à la direction nationale du parti majoritaire, comme secrétaire national à la Vie sportive. Le populaire judoka, nouveau-venu en politique, a ensuite été choisi pour défendre le siège de l'UMP dans la 12e circonscription des Yvelines après l'inéligibilité du député Jacques Masdeu-Arus, condamné dans une affaire de corruption. Frédérik Bernard avait accusé l'UMP d'avoir voulu profiter de la célébrité de David Douillet, assurant que l'ancien champion se contentait de signer des autographes sur les marchés, et lui reprochant "une absence de propositions concrètes" et une "méconnaissance des dossiers". Fidèle parrain de l'opération "Pièces jaunes" de Bernadette Chirac au profit des enfants hospitalisés et leurs familles, David Douillet fait partie des personnalités préférées des Français. En 2001, il avait même réussi à détrôner l'abbé Pierre dans le classement du "Journal du Dimanche". Ce massif Normand avait pris sa retraite sportive à 31 ans, après les Jeux de Sydney en 2000, qui l'avaient vu remporter son second titre olympique dans la catégorie des plus de 100 kilos. Avec ses deux médailles d'or, sa médaille de bronze et ses quatre titres mondiaux (1993, 1995 deux fois, et 1997), chez les lourds et en toutes catégories, il était entré alors dans la légende du judo en devenant le combattant le plus titré de l'histoire. Depuis sa retraite, il est resté proche du monde sportif, co-président de la commission des athlètes de haut niveau au CNOSF, le comité national olympique, mais aussi comme consultant sur Canal+. Dans les affaires, il a connu moins de bonheur, avec la faillite de l'agence de voyage Travelstore dont il était actionnaire, qui lui avait valu une mise en examen pour "recel et complicité de banqueroute par détournements d'actifs". La gauche avait alors soupçonné l'Elysée d'avoir préparé la loi du 6 août 2002, qui permet une amnistie présidentielle pour des personnes s'étant distinguées de manière exceptionnelle dans des domaines comme le sport, pour lui venir éventuellement en aide. AP
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Chien chèvre... J'aime trop les animaux pour les comparer au Petit Prince Jean...
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RTT (RU) à disposition
Dom Le Trappeur a répondu à enzodenice situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
As-tu fait une recherche sur le forum ? Cette question a déjà fait l'objet de quelques fils de discussions. As-tu relu le réglement du travail RH077 ? Régime C 118 RP +14 RU = 132 repos les 132 repos doivent être pris entre le 1er janvier et le 31 décembre de l'année en cours de même que les 28 congés journée de travail durée moyenne 8h02 (avec la suppression du lundi de Pentecôte merci Raffarin...) Avec les nombreux taquets imposés par la réglementation il est nécessaire et préférable l'introduire les RU dans les roulements double repos voir triples repos repos des Samedi-dimanche réduire la durée des Grande Période de Travail avec un maxi : 4 jours de travail ceci étant pour le matériel il y a un article spécifique de la réglementation du travail : l'article 38 la direction de l'établissement doit normalement présenté aux chsct et DP un programme semestriel (avant le début du semestre civil soit en décembre pour le 1er semestre et en juin pour le second...) présentant l'organigramme de l'Etablissement et l'organisation du travail horaires, roulements de repos etc... -
Et pendant ce temps là Edvige revient par le soupirail... Parution au JO de décrets portant création de deux nouvelles bases de données AP Des décrets portant création de deux nouvelles bases de données policières sont parus dimanche au Journal officiel. L'un des "traitements automatisés de données à caractère personnel" concerne la prévention des atteintes à la sécurité publique, en particulier en milieu urbain ou lors d'événements sportifs; l'autre est relatif aux enquêtes administratives liées à la sécurité publique. Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait justifié mardi la création de ces nouvelles bases de données, assurant qu'elles seraient établies "dans le respect des libertés individuelles". Les deux décrets datés du 16 octobre stipulent que le traitement de données "ne fait l'objet d'aucune interconnexion, aucun rapprochement ni aucune forme de mise en relation avec d'autres traitements ou fichiers". Le premier autorise le ministre de l'Intérieur à mettre en oeuvre un traitement automatisé de données, qui a "pour finalité de recueillir, de conserver et d'analyser les informations qui concernent des personnes dont l'activité individuelle ou collective indique qu'elles peuvent porter atteinte à la sécurité publique". Cette base a notamment pour objectif de "recueillir, de conserver et d'analyser les informations" relatives aux individus "susceptibles d'être impliqués dans des actions de violence collective, en particulier en milieu urbain ou à l'occasion de manifestations sportives". Peuvent être recensés dans le traitement les données liées au motif de l'enregistrement, des informations ayant trait à l'état civil, à la nationalité et à la profession, adresses et numéros de téléphone, les signes physiques et photographies, les titres d'identité, l'immatriculation des véhicules, les informations patrimoniales, les activités publiques, comportements et déplacements, les agissements susceptibles de recevoir une qualification pénale et des informations les personnes entretenant ou ayant eu des relations "directes et non fortuites" avec l'intéressé. Le traitement ne comporte pas de dispositif de reconnaissance faciale à partir de la photographie, précise le texte. Le second décret a trait à la création d'un traitement automatisé de données à caractère personnel afin de "faciliter la réalisation d'enquêtes administratives liées à la sécurité publique". Peuvent être enregistrées dans cette base les informations relatives au motif de l'enquête, celles concernant l'état civil, la nationalité, la profession, adresses et numéros de téléphone, photographies et titres d'identité. Est aussi conservé le rapport de l'enquête administrative "contenant les éléments permettant de déterminer si le comportement de la personne concernée n'est pas incompatible avec l'exercice des fonctions ou des missions envisagées, compte tenu de leur nature". "Il faut que l'on progresse dans la recherche de renseignements", avait déclaré Brice Hortefeux mardi sur France Info, après les violences du week-end précédent à Poitiers. "Près de 60%" des 18 "personnes placées en garde à vue" lors de ces incidents "étaient inconnues des services de police", avait-il fait valoir. Le fichier Edvige, qui avait fait l'objet d'une vive contestation, "est mort, il n'est pas question de le ressusciter", avait ajouté le ministre de l'Intérieur. Mais "je souhaite, comme l'ensemble des responsables publics qu'il y ait des bases de données". "Des travaux ont été engagés, ils sont passés devant le Conseil d'Etat, ils ont été discutés devant, à ma demande, des associations comme la LICRA, SOS Racisme", qui "sont attentives aux libertés individuelles". "Et il y aura naturellement, comme cela s'avère nécessaire, des bases de données plus précises mais dans le respect des libertés individuelles", avait affirmé M. Hortefeux. "C'est un sujet (sur) lequel je ne transige pas". AP
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ça s'appelle le "déroulement de carrière moyen" ... et c'est prévu au statut... dans le droit syndical... A noter que cela vaut aussi pour les cheminots détachés dans les associations sportives et culturelles mais aussi pour les cheminots détachés professionnellement à l'étranger ou dans des organismes extérieurs (ministères, régions, entreprises...) Ce que j'adore dans l'article du Figaro c'est que quand un syndicat signe un accord après avoir négocier avec un employeur (ce qui est quand même son rôle) c'est "qu'il fricotte" avec... mais justement un syndicat est là pour défendre les intérêts moraux et professionnels de ses membres et plus largement des salariés... et comme je le dis souvent les écrits restent les paroles s'envolent... Poist scriptum : je n'ai jamais bénéficié du déroulement de carrière moyen pour moi juste le déroulement de carrière à l'ancienneté (même mes mérites n'ont jamais été reconnus...HiHiHi
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Tu crois qu'ils vont nous convaincre...? Guaino et le «prince Jean» CéDRIC MATHIOT Si la pression de l’opinion n’y change rien, Jean Sarkozy devrait accéder, le 4 décembre, à la présidence de l’Etablissement public d’aménagement de la Défense (Epad). Pour contrebalancer les critiques, les représentants de la majorité ont défilé toute la semaine aux micros pour réciter le même argumentaire. En substance : Jean Sarkozy n’a bénéficié d’aucun passe-droit ou marchepied. Le 13 octobre, sur BFM TV, Henri Guaino, conseiller spécial de l’Elysée, a donc narré la belle ascension de Jean. Une histoire un brin romancée. Pour prétendre à la tête du conseil d’administration de l’Epad, encore fallait-il, c’est la règle, que Jean Sarkozy en soit membre. Ce qui a été rendu possible par la démission du maire de Meudon, Hervé Marseille, qui occupait l’un des deux sièges d’administrateur dévolus au conseil général des Hauts-de-Seine. Interrogé sur cette opportune démission, Guaino a assuré : «Il a démissionné pour des raisons complètement différentes du fait de laisser entrer [Jean Sarkozy], il avait d’autres raisons.» Voilà une curieuse dénégation d’une réalité que même l’intéressé lui-même reconnaît. Le maire de Meudon a admis, sans détour, avoir laissé son siège, un an et demi avant son terme, pour faire place nette à Jean Sarkozy. Interrogé par l’AFP, il est revenu sur les conditions du jeu de chaises musicales : «Depuis un certain temps, Jean Sarkozy était candidat. Il est élu du périmètre et préside le groupe [uMP-NC du conseil général, ndlr]. On en a parlé entre nous et, en responsabilité, j’ai pensé qu’il me revenait de laisser mon siège.» Bref, l’élu Nouveau centre assume parfaitement. La seule chose que Marseille a niée - mais sans convaincre l’opposition -, c’est d’avoir cédé sa place en échange de contreparties. Allusion au poste de membre du Conseil économique et social auquel Marseille a accédé grâce à un décret signé de la main de Sarkozy père, le 15 juillet. La présentation de Guaino appelle une autre précision. Le conseiller spécial insiste lourdement sur le fait que Sarkozy fils doit encore être élu par les administrateurs de l’Epad : «Il va être élu à la tête de l’Epad, par le conseil d’administration (CA), non pas désigné, élu», a insisté Guaino sur BFM TV. Ce qui est vrai, même s’il faut apporter une nuance de taille. Le CA de l’établissement est composé de 18 membres, dont une moitié de représentants des collectivités, et l’autre de hauts fonctionnaires nommés par l’Etat. On compte un représentant du ministère de la Culture et de la Communication, trois représentants de Bercy, quatre du ministère de l’Equipement et un issu du ministère de l’Intérieur. Autant de hauts fonctionnaires qu’on imagine mal se rebeller contre la dynastie sarkozienne lors du vote. Voilà donc neuf voix, plus la sienne (car le candidat est autorisé au vote) qui suffisent à donner la majorité absolue synonyme de présidence. Même une élection dans le canton de Neuilly-Sud est plus aventureuse. «[Hervé Marseille] a démissionné pour des raisons différentes du fait de laisser entrer Jean Sarkozy.» «Jean Sarkozy va être élu à la tête de l’Epad […], pas désigné, élu.»
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Un perdreau de l'année...juste sortie de la couveuse
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Pas suffisant, je le verrai bien en sauveur du monde face à une attaque terroriste à la bombe atomique contre l'Elysée ... -
C'est d'une clarté ce budget... Publié le 16/10/2009 à 19:28 Le Point.fr COMMUNICATION L'Élysée dévoile l'étendue de son budget AFP Le compte rendu officiel de l'audition à l'Assemblée nationale du directeur de cabinet du président Nicolas Sarkozy, Christian Frémont, a été modifié dans la nuit de jeudi à vendredi, a constaté vendredi. M. Frémont a été auditionné mardi devant la commission des Finances sur les crédits de l'Elysée, où il a notamment fourni des explications sur le budget sondages de la présidence, épinglé en juillet par la Cour des comptes. Selon le compte rendu mis en ligne jeudi soir sur le site internet de l'Assemblée nationale et imprimé par l'AFP, Christian Frémont a déclaré: "en 2009, notre estimation est que OpinionWay percevrait environ 820.000 euros et Ipsos environ 300.000 euros". Vendredi, cette phrase a été modifiée sur le compte rendu que l'on peut désormais lire sur le site de l'Assemblée: "en 2009, notre estimation est que Publifact et Publiopinion percevraient environ 820.000 euros et Ipsos environ 300.000 euros". Publifact et Publiopinion sont deux sociétés appartenant au politologue Patrick Buisson, qui bénéficie d'un contrat avec l'Elysée. L'institut de sondage OpinionWay avait démenti jeudi auprès de l'AFP avoir facturé le moindre euro en sondages à la présidence en 2009. En fin de journée, vendredi, l'Assemblée a précisé sur son site que le compte rendu avait été "rectifié à la demande de Christian Frémont". "Ses propos tenus devant la commission et initialement retranscrits dans le compte rendu comportaient une inexactitude dont il a demandé rectification", peut-on désormais lire. La députée PS Delphine Batho qui, la première, avait dévoilé le contenu de cette audition sur son blog, a déclaré vendredi à l'AFP que "si M. Frémont a commis une erreur, il lui suffisait de corriger publiquement" et estimé que sa "façon de faire est assez ridicule sinon grossière". "Cela illustre une fois de plus l'immense embarras de l'Elysée dans cette affaire. Et sur le fond, la révélation est plus grave" avec les propos rectifiés "puisque c'est en fait M. Buisson qui a touché 820.000 euros entre janvier et juillet", a-t-elle dénoncé. Lors de son audition de mardi, Christian Frémont a précisé que le spécialiste des sondages Pierre Giacometti fournit à l'Elysée "un certain nombre d'analyses et d'études pour lesquels il reçoit une rémunération mensuelle de 43.500 euros", un montant "diminué de 21%" depuis mars. De son côté, Patrick Buisson, qui dispose depuis juillet "d'un contrat de conseil" et dont la collaboration avec la présidence ne concerne donc plus les sondages, est rémunéré "à hauteur de 10.000 euros hors taxes par mois". M. Giacometti a contredit jeudi auprès de l'AFP les propos de M. Frémont en affirmant que sa "rémunération" concernait sa société de conseil "GiacomettiPeron et Associés" et non lui seul. L'Elysée a prévu un budget sondages "d'environ 1,3 million d'euros" en 2010, selon M. Frémont.
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"Chez Sarkozy, tout est psychologique. Il déteste ne pas être aimé" Le Post Public Sénat Visite surprise à Gandrange, interview dans Le Figaro… Face aux difficultés que rencontre Nicolas Sarkozy dans l’opinion et la majorité, le chef de l’Etat revient sur son terrain favori: l’action. Opération réussie ? «Il manque une ligne directrice», tranche François Miquet-Marty, directeur associé de l’institut d’étude Viavoice, joint par Public Sénat. «La chose frappante dans son interview, c’est que Nicolas Sarkozy balaie les enjeux d’actualité. Or on a ici le sentiment d’un exécutif qui se cherche», ajoute-t-il. «C’est plus un communiqué qu’une interview», nous explique de son côté Jean-Marc Lech, coprésident de l’institut de sondage Ipsos. Pour François Miquet-Marty, «sa visite surprise à Gandrange est l’illustration de ce manque de cap. Pourquoi n’y est-il pas allé la semaine dernière, quand il est venu en Moselle ? » D’un Sarkozy maitre de l’agenda médiatique, on passerait à un Sarkozy qui le subit. «On voit que la communication n’est plus maitrisée, continue Mickey-Marty. C’est surprenant, car on est habitué à quelqu’un qui maitrise sa communication ». «Sarkozy se laisse aller à ses pulsions» Selon les spécialistes des sondages, la visite d’hier à Gandrange n’est pas en mesure de répondre à la baisse du Président dans l’opinion. Pire, elle risque de se retourner contre lui : «Plus il multiplie les gestes symboliques, plus il doit avoir des résultats. Or une action qui n’a pas de résultat ne sert à rien. Ça peut aggraver ses difficultés d’image et de popularité», pense Jean-Marc Lech, alors que Nicolas Sarkozy vient de se voir dépasser dans le baromètre politique de Paris-Match par…Dominique de Villepin. Le coprésident d’Ipsos pointe lui aussi la communication sarkozienne. Réagir vite à l’actualité ne serait pas payant: «Sa communication a toujours été très empirique. Elle n’est pas structurée. Quand l’actualité a du talent, il est vite débordé.» Et de pointer «les bavures qui entourent ses déplacements. De son voyage à New York, on ne retiendra pas l’interview télé, mais l’enguelade d’Arlette Chabot», chef de l’information sur France2. Selon Jean-Marc Lech, c’est la psychologie du chef de l’Etat qui lui joue des tours : «Chez Sarkozy, tout est psychologique. Il déteste ne pas être aimé, il déteste ne pas avoir raison, il déteste être désavoué. Dans ces cas là, son surmoi ne fonctionne pas. Il se laisse aller à ses pulsions». Et continue de défendre l’arrivée de son fils Jean à la tête de l’Epad, alors que « pour la première fois, sur ce point, une majorité des électeurs UMP (51%) lui est hostile ». «On a un mi-mandat de flottement », analyse François Mickey-Marty. Problème : «A cause de la crise, il est difficile de répondre à la préoccupation numéro un des Français qui est l’emploi, selon Jean-Marc Lech. Et de prédire : «la phase de difficultés pour l’exécutif n’est pas terminée». François Vignal
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La cote de popularité de Sarkozy en baisse à 38%, selon Ifop Reuters La cote de popularité de Nicolas Sarkozy perd un point en octobre à 38% d'opinions positives tandis que celle de François Fillon gagne un point à 51%, selon le baromètre Ifop pour Le Journal du Dimanche à paraître samedi. Au total, 61% des personnes interrogées jugent défavorablement l'action du chef de l'Etat (contre 60% en septembre) et 46% sont mécontentes de l'action du Premier ministre (contre 47% en septembre). L'enquête a été réalisée auprès de 1.841 personnes âgées de 18 ans et plus du 8 au 16 octobre. Sophie Louet
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Ben tu confirmes bien qu'il y a une vérification entre les deux fichiers celui de la carte vitale (en lien avec la sécu ou la CPR par exemple) et celui du fichier de la Carte Nationale d'identité... tout ça pour lutter contre un taux de fraude (OK la fraude c'est inadmissible...) qui doit avoisiner 0,2 % des remboursements de la sécu... donc il faut que toute la population soit fichée prochaine étape : une puce derrière l'oreille de tous les bébés à leur naissance avec suivi GPS évidemment...
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Un perdreau de l'année...juste sortie de la couveuse
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Pour une fois que s'annonce un renouvellement politique avec un jeune de 23 ans... Bon d'accord c'est un jeune... loup aux dents longues... Ha là là jamais content... nonmais -
Grève des Entreprises Ferroviaires privées (ECR Véolia) et négociations nationales (convention collective nationale) Réponse de la CGT au tract FO sur le lien suivant : http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=21163 2009_10_16_cgt_LaDesinformationdeFO.pdf
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Ah ben si en plus il faut creuser le trou du déficit de la poste... en plus de celui de la sécu... nonmais
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Affaire grave : viol à bord d'un train de banlieue
Dom Le Trappeur a répondu à kerguel situé dans Actualité ferroviaire générale
Il a déjà été constaté que les délinquant migrent vers les zones non soumises à vidéo surveillance. Dans le cas présent ce n'est pas une vidéo surveillance a bord d'un train mais semble-t-il dans une zone extérieure à une gare... Les agresseurs ont été repérés sur cette zone et il a fallu une enquête de police par recoupements pour apporter la preuve qu'ils étaient à bord du train... -
La photo sur la carte ...OK... Tout le monde avait pigé... y compris que ça ne servait à pas grand chose sinon à rien... surtout que les fichiers de la sécu sont couplés avec ceux de l'URSAFF... mais l'obligation d'adresser une photocopie de sa carte d'identité nationale ... ? Tu avais saisi parce que moi j'avais zappé cette obligation... car cela veut dire derrière une vérification sur les fichiers du Ministère de l'Intérieur Bonjour Big Brother... Problème : la Carte d'identité Nationale n'est pas une obligation... donc pas le choix, si tu veux ta Carte Vitale, faudra ta Carte d'Identité... Et qu'est-ce qu'on fait pour les enfants de moins de 18 ans ? puisqu'ils n'ont pas leur permis de conduire ... On ne leur donnera pas gratis...
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Savez vous que maintenant pour obtenir une (nouvelle) "Carte Vitale" tant pour le régime général de sécurité sociale (via une CPAM) que pour les régimes spéciaux (donc la CPR...) il faut envoyer une photo d'identité... et que bientôt il faudra renouveler les anciennes cartes "vitale" sans photos... mais ce n'est pas tout il faut aussi envoyer une photocopie d'une pièce d'identité : soit au choix Carte Nationale d'Identité Passeport Carte de séjour ou carte de résident permis de conduire de MOINS de 10 ANS donc si votre permis de conduire a plus de 10 ans vous êtes bon pour demander une Carte d'Identité Nationale et voilà comment on met en fiche toute la population... Bon c'est vrai, on est fiché partout mais quand même... on pouvait jusqu'à présent éviter le Ministère de l'Intérieur... pour se faire rembourser ses frais médicaux...
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petite question concernant les salaires
Dom Le Trappeur a répondu à himothep situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Sur quelle position de rémunération es-tu (voir cadre en haut à gauche de ta fiche de paie) ? Sur ta fiche de paie, tu n'aurais pas en dessous de la ligne traitement, une ligne "complément " ou autre ? -
Recomposition syndicale de Fo à la Cfdt Article du journal des cheminots CFDT... Pour autant ça ne fait pas un syndiqué de plus... et là ça frise un peu la technocratie et le népotisme interne... 2009_10_13_septembre_2009_CFDT_cheminot_de_France_deFOalaCFDT.pdf
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http://www.zigonet.com/cercle/un-etrang ... t8335.html Un étrange cercle lumineux dans le ciel de Moscou... :masque:
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Et aujourd'hui nous aurons droit à la Réforme des Lycées qui va accoucher d'une M... mais on verra notre très Cher Président sur toute les télés... pendant que les Députés de l'UMP entérineront dans un grand silence médiatique un nouveau charcutage électorale des circonscriptions des députés... histoire de conserver une majorité de droite en 2012 à l'Assemblée...
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Prince Jean ... Et bientôt il dirigera l'Union pour Mon Papa...