-
Compteur de contenus
14 623 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
-
Au fait ils sont où les 3.000 cadres que Pépy devait remettre sur le terrain ? moins 3.000 cadres PLUS 6.000 exécutions oui mais pour encadrer 6.000 exécutions, combien faudrait-t-il de cadres...??? Ceci dit vu le déficit financier du Fret, la direction du de la SNCF devrait même proposer de payer les trafics à réaliser... mais c'est peut être ce qu'elle fait déjà... Je suis mauvaise langue ô si peu...
-
230 km/h : le TGV bat un record de vitesse en Bretagne
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
230 km/h : le TGV bat un record de vitesse en Bretagne http://www.ouest-france.fr/actu/actuDetFdj...100687_actu.Htm -
Ainsi va le Monde ... Des Suisses s'en prennent à "la racaille d'Annemasse" LE MONDE | 09.10.09 Depuis plusieurs semaines, les frontaliers sont la cible du Mouvements citoyens genevois (MCG), un parti populiste né en 2005 : "Réservons les emplois aux Genevois ! Frontaliers assez !" Alors que les Genevois élisent, dimanche 11 octobre, leurs députés au Grand Conseil (le parlement cantonal), les affiches du MCG sont placardées sur les murs, à l'arrière des autobus et même à la douane de Moillesulaz (à l'entrée d'Annemasse, Haute-Savoie). Elles fustigent les quelque 60 000 travailleurs français, employés à Genève dans la banque, l'informatique, l'horlogerie ou l'hôtellerie. Sur Internet, des blogs et des forums regorgent d'anecdotes sur des Suisses dont l'emploi a été volé par un "Frouze", pour un salaire inférieur. Lundi 5 octobre, l'Union démocratique du centre (UDC) genevoise, rivale du MCG, est entrée dans la danse. S'offrant une demi-page dans la Tribune de Genève, elle a appelé au rejet du CEVA - un projet de RER reliant Annemasse à la gare genevoise de Cornavin sur lequel les Genevois voteront le 29 novembre. Un "nouveau moyen de transport pour la racaille d'Annemasse", dit le slogan. Le jeu en vaut la chandelle : l'électorat populiste est estimé à 20 %. Parmi les partisans du projet d'agglomération franco-valdo-genevoise (quelque 950 000 habitants en 2025), cette surenchère xénophobe scandalise. Le maire socialiste d'Annemasse, Christian Dupessey, a annoncé qu'il allait porter plainte contre le président de l'UDC genevoise pour diffamation et insultes racistes. Jeudi 8 octobre, à Genève, 300 personnes ont manifesté à l'appel des syndicats et des partis de gauche pour dénoncer un "matraquage vomitif" de la part du MCG et de l'UDC. "Fantasme" Des élus et experts genevois contre-attaquent. Le Vert David Hiller, président du Conseil d'Etat (exécutif cantonal), a rappelé que Genève comptait 60 000 emplois de plus que ce que peut occuper la population locale. Le radical François Longchamp, ministre en charge de l'emploi, a affirmé dans le quotidien Le Matin, que "sans le personnel soignant et infirmier frontalier, nous devrions fermer la moitié des lits dans les EMS (maisons de retraite) et les hôpitaux". Depuis l'ouverture des frontières suisses aux travailleurs européens, en 2004, le nombre des frontaliers a doublé à Genève. "C'est une pénurie de personnel qualifié qui a incité les entreprises genevoises à aller chercher du personnel en France", estime l'économiste Yves Flückiger, vice-recteur de l'université de Genève. Sur la base d'études, il réfute le "fantasme" selon lequel les frontaliers seraient prêts à travailler pour des salaires au rabais : le canton - où le salaire moyen est de 6 100 francs (4 000 euros) - dispose d'instruments efficaces pour contrer le dumping salarial. Mais il reconnaît que pour les chômeurs genevois - 6,8 % de la population - "la concurrence avec les frontaliers, mais aussi avec les travailleurs venant de Lausanne", est de plus en plus vive. Agathe Duparc (Genève, correspondance)
-
Christine Lagarde écrit à Pepy
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
L'article d'Aubin sur le site du nouvel obs date d'hier et si je ne m'abuse c'est (encore ?) le secrétaire générale de la CFTC cheminots... -
recrutement apres demission
Dom Le Trappeur a répondu à bebelmondo situé dans Recrutement SNCF et formations internes aux métiers
Bon rien à ajouter aux réponses faites... Il est évident que la direction va ressortir ton dossier et l'examiner avec attention. Donc ta lettre de motivation et CV vont être hyper importants. Tu peux t'attendre à quelques questions sensibles sur ta démission de la SNCf (j'espère que tu as conservé le double de ta lettre de démission car les paroles s'envolent et les écrits restent...) mais aussi sur ta (future-prochaine) démission du tram à Lyon ... Pourquoi quitter le tram à Lyon et vouloir revenir à la SNCF ? 32 ans : à mon avis la direction sncf ne te reprendra pas au statut mais seulement comme contractuel PS25 (CDI mais peut être aussi CDD...) Je ne connais pas le nombre de retour à la SNCF après démission mais à mon avis il ne doit pas être tellement élevé. -
Les rats commenceraient-ils à quitter le navire ? Taxe professionnelle: Sarkozy "se fout du monde", estime Juppé Reuters L'ancien Premier ministre Alain Juppé (UMP) estime que le gouvernement "se fout du monde" sur les modalités de la suppression de la taxe professionnelle, principale recette fiscale des collectivités territoriales. Dans un entretien paru mercredi dans le quotidien Sud-Ouest, le maire de Bordeaux ne prend pas de précautions oratoires à l'adresse du président de la République, signe des tensions qui agitent la majorité sur le dossier de la réforme de ces collectivités, dont l'Elysée veut supprimer des échelons. "Ce n'est pas un bouleversement. Mais c'est toujours pareil avec (Nicolas) Sarkozy, on vous dit que c'est une rupture avec tout ce qu'on a fait par le passé... ", a-t-il déclaré à propos de cette modification prévue pour la fin de l'année. Il estime que l'élection des conseillers territoriaux "sera un changement très profond", dont un des objectifs, "quelque peu démagogique, est de diminuer le nombre d'élus". Alain Juppé estime par ailleurs que "le gouvernement cherche la provocation" sur les modalités de la suppression de la taxe professionnelle, une mesure en faveur des entreprises. Prenant exemple sur la Communauté urbaine de Bordeaux (Cub) dont il est vice-président, il remarque que dès la deuxième année elle "perdrait plusieurs millions". "C'est tout de même se foutre du monde. Le président Sarkozy avait promis une compensation euro par euro mais il avait oublié de dire pendant un an", explique-t-il. "Jeudi et vendredi, pour les Journées des communautés urbaines, cela va être un festival anti-gouvernement", ajoute-il à la veille de ces journées qui se déroulent à Bordeaux. DES DÉCISIONS "COURAGEUSES" Ces propos d'Alain Juppé confirment que les différends se multiplient entre le gouvernement et sa majorité parlementaire. Le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, a rejeté les accusations de l'ancien Premier ministre. "J'ai beaucoup de respect pour Alain Juppé mais je n'ai pas vraiment le sentiment que le président de la République se moque du monde", a-t-il déclaré lors du compte rendu du conseil des ministres. Nicolas Sarkozy "a pris deux décisions difficiles, courageuses, qui sont, l'une, de réformer en profondeur notre système d'organisation territoriale", a-t-il poursuivi. "Et deuxième décision difficile, c'est la question de la taxe professionnelle, avec un objectif : améliorer la compétitivité de notre industrie." La reprise des travaux au Parlement a été marquée à l'Assemblée nationale par des passes d'armes entre certains ministres et les députés, qui laissent augurer de difficultés lorsque commenceront les débats sur le budget 2009, qui s'ouvre à la mi-octobre, la réforme de la taxe professionnelle et la création de la taxe carbone. "Je n'avais pas vu ça depuis longtemps", a dit en septembre le président de l'Assemblée, l'UMP Bernard Accoyer. Ces réformes sont vivement contestées par une grande partie de la majorité tant à l'Assemblée qu'au Sénat qui craint d'en payer le prix aux élections régionales du printemps prochain. Claude Canellas, édité par Yves Clarisse
-
Je tombe la dessus juste à l'instant... Et tout va très bien Madame la Marquise... De 510000 à 520000 chômeurs de plus en 2009, selon Pôle emploi Reuters Le nombre de demandeurs d'emplois de catégorie A devrait augmenter environ de 510000 à 520000 en 2009 en France, une hausse moins forte qu'initialement prévue, déclare Christian Charpy, directeur général de Pôle emploi, dans un entretien aux Echos. Pôle emploi tablait jusqu'alors sur une augmentation du nombre de chômeurs de 595.000 sur l'ensemble de l'année mais l'organisme a revu ses prévisions à la baisse sous l'effet du ralentissement de la hausse du chômage. "On s'attend désormais à une hausse du nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A de 510.000 à 520.000 en 2009", déclare Christian Charpy. Il précise toutefois que "août, septembre et octobre sont des mois de forte inscription et leur rythme est de 20 à 25% supérieur à celui de l'an dernier". Le gouvernement a fait état le mois dernier de 18.100 demandeurs d'emplois de plus en août en catégorie A - c'est-à-dire sans activité et tenus de faire une recherche active d'emploi - pour un total de 2.553.300 en France métropolitaine. Selon le dernier point de conjoncture de l'Insee, le taux de chômage, qui était de 9,1% à la fin juin en métropole, est prévu à 9,7% à la fin décembre et à 10,1% en comprenant les départements d'Outre-Mer. Clément Dossin, édité par Jean-Loup Fiévet
-
Préavis de grève CGT et CFDT-Fgaac pour le 20 octobre à la SNCF
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Préavis de grève CGT et CFDT-Fgaac pour le 20 octobre à la SNCF Reuters Deux syndicats, la CGT et la CFDT-Fgaac, vont déposer un préavis de grève à la SNCF pour le 20 octobre afin d'attirer l'attention des Français sur la situation du service fret et réclamer des mesures en faveur de l'emploi et des salaires, a-t-on mardi de source syndicale. Les quatre fédérations de cheminots tenaient réunion mardi pour décider des modalités d'une éventuelle action commune. L'Unsa a décidé de ne pas se joindre à cet appel à une "grève carrée de 24 heures" de toutes les catégories de personnel et Sud-Rail n'a pas encore fait connaître sa position, a expliqué à Reuters Serge Bonneaud de la CFDT-Fgaac. Dans un communiqué, Sud-Rail se prononce pour une grève organisée le 22 octobre, en même temps que la prochaine journée d'action interprofessionnelle. "On préfère que notre grève s'inscrive dans le cadre d'une journée d'action générale plutôt que faire une journée spécifique pour les cheminots la veille, surtout que les préoccupations se recoupent", a déclaré à Reuters le secrétaire général de Sud-Rail, Christian Mahieux. Les quatre fédérations ont demandé aux cheminots de participer aux rassemblements, meetings et manifestations prévus mercredi par sept centrales syndicales pour réclamer davantage de mesures sociales face à la crise économique. Laure Bretton, édité par Yves Clarisse -
y'a aussi "rail rit" ... HiHiHi... lotrela
-
ça tombe bien, j'voudrais aussi modifier mon pseudo... j'peux ?
-
Une interview qui en dit long sur le gouvernement Sarkozy... «Les empêcher de bander ne va pas régler la récidive» Interview Libération Le psychiatre Louis Albrand dénonce l’inutilité de la castration chimique : Par JACKY DURAND Le docteur Louis Albrand, qui fut récemment l’auteur d’un rapport sur la prévention du suicide en prison pour le ministère de la Justice, s’intéresse depuis vingt ans à la castration chimique et en a mesuré les limites. A la demande de Jacques Toubon, garde des Sceaux de 1995 à 1997, il avait étudié l’expérience canadienne. A l’époque, affirme-t-il, le Canada avait déjà tiré les leçons de la castration en instaurant des traitements reposant, en partie, sur la cure psychanalytique et les groupes de parole. Que pensez-vous de la castration chimique ? Je suis scandalisé par ce débat où des ministres, comme Nadine Morano, se ridiculisent en affirmant que «la réflexion sur la castration chimique est indispensable». Tous les psychiatres savent que la castration médicale, ça ne marche pas, c’est une hérésie de faire croire aux bonnes gens que la chimie va couper les couilles aux délinquants. Pourquoi ? Parce qu’il ne suffit pas que les testicules soient pleins d’hormones pour passer à l’acte. La délinquance sexuelle trouve son origine dans le cerveau, dans le passé psychique, et les causes sont beaucoup plus profondes qu’une montée de testostérone. Parmi les auteurs, 70% ont eux-mêmes été victimes de délinquance sexuelle. Comment opère la castration chimique ? On prescrit un produit pour que la testostérone n’agisse plus. Vous bandez moins, mais le désir sexuel est toujours là et nous, psychiatres, savons que les trois quarts des délinquants sexuels sont impuissants. Ce n’est pas en les empêchant de bander que l’on va régler la question de la récidive. Que faire alors ? Les délinquants sexuels, comme les cleptomanes, sont des malades. Avec des neuroleptiques, la psychanalyse, des groupes de parole, on arrive à sortir les gens de leur maladie. Quand j’ai étudié l’expérience des Canadiens, il y a plus de dix ans, ils avaient déjà tiré les leçons de l’échec de la castration chimique et mis en place des groupes de parole réunissant détenus, surveillants et psychiatres. Ça marche comme pour les Alcooliques anonymes, et les Canadiens sont les champions du monde dans la réduction de la récidive. En France, il n’y a que 1,6% des auteurs de crimes sexuels et 3,4% des auteurs de délits de mœurs qui récidivent. N’est-ce pas encore trop ? Dans mon rapport à Rachida Dati, j’ai montré que 50% à 60% des délinquants sexuels emprisonnés ne voient aucun psychiatre. A la prison de Riom [Puy-de-Dôme, ndlr], j’ai rencontré des délinquants sexuels qui avaient été condamnés à dix ou quinze ans de réclusion et qui n’avaient jamais vu de psy. C’est pour cela aussi qu’il y a autant de suicides, 107 depuis le début de l’année, derrière les barreaux. Le problème, c’est que les délinquants sexuels sont considérés comme des «pointeurs» en prison. On les isole pour éviter la violence des autres détenus, et ils sont oubliés par tout le monde. Et à la sortie de prison ? Il faut que le délinquant sexuel qui a purgé sa peine et a été remis en liberté voie un psychiatre tous les huit à dix jours. Si ce n’est pas le cas, le juge d’application des peines [JAP, ndlr] doit lui dire : «Soit tu fais les soins, soit tu retournes en prison.» Le problème, c’est qu’il n’y a pas assez de JAP et peu de suivi [350 juges pour 250 000 dossiers, toutes peines confondues]. Vous n’êtes pas tendre avec les politiques pour un ancien conseiller ministériel… Chaque fois qu’il se passe un drame, Nicolas Sarkozy dit : «On va faire une loi.» J’étais conseiller technique de Rachida Dati quand un schizophrène a poignardé un jeune homme à Grenoble. Le soir même, on nous a dit qu’il fallait refaire une loi sur l’hospitalisation d’office. Le lendemain, l’Elysée et la garde des Sceaux s’étaient un peu calmés et l’on nous a dit : «On va faire une commission mixte justice-santé.» Au final, cette commission n’a accouché de rien.
-
Allez on recrute tout le monde sur la position de rémunération la plus basse... Et tout le monde sera payé au Smic... Euh en dessous du smic d'ailleurs... Moyenne d'âge des recrutements : exécution 25 ans maitrise 28 ans cadre 29 ans Au cadre permanent bien entendu car pour les contractuels CDI c'est largement au dessus des 30 ans ... Au fait si on ne reconnait plus les diplômes ce ne sera plus la peine de faire des études...
-
Je rejoins ton analyse dans ses grandes lignes mais j'ai plus le sentiment que c'est lié à la structures donc aux moyens plus qu'aux orientations et positions revendicatives ? Le problème c'est que pour l'instant, nous en restons à des opérations d'appareil (dirigeants nationaux ou militants de structures régionales - au sens de régions sncf...- (fo, cftc, cgc, unsa, fgaac, cfdt qui ont peu de véritables structures locales chez les cheminots) Seules la CGT et à priori sud disposent de véritables syndicats ou sections syndicales locales (au sens localités, villes ou sites ferroviaires importants ) A ma connaissance pour l'instant il ne semblerait pas y avoir beaucoup de transfert de et vers ces deux OS du moins à titre collectif.
-
Bienvenue à Toi... Et pour notre science personnelle C'eétait quoi le problème sauf si il s'agit d'un secret d'état ? lotrela
-
lettre ouverte au PDG de France Télécom
Dom Le Trappeur a répondu à bagnis situé dans Brin de causette
ça me rappelle quelques pratiques de la direction sncf avant que je ne quitte cette entreprise pour une retraite bien méritée... http://eco.rue89.com/2009/10/02/un-cadre-d...s-ete-robotises Un cadre de France Télécom : « On a tous été robotisés » Par Guillemette Faure | Eco89 | 02/10/2009 Selon ce témoin privilégié, les dirigeants affrontent la crise sans changer les méthodes brutales décriées en interne. Conférence de presse de Xavier Darcos et de Didier Lombard à propos des suicides à France Telecom (C. Platiau/Reuters) Le terme de salariés « fragiles » a remplacé celui de « à faible employabilité ». Mais d'après le témoignage d'un cadre de France Télécom à Eco89, la direction répond à la « crise » actuelle sans changer ses pratiques managériales. « Ils ont compris qu'il y avait un problème mais ils continuent sur le même schéma. » En 2002, Thierry Breton arrive à France Télécom, suivi un an plus tard de son lieutenant, Louis-Pierre Wenes, numéro deux du groupe, aujourd'hui cible de virulentes attaques internes. Petit à petit, raconte ce cadre, se met en place un « fonctionnement militaire » où les ordres viennent d'en haut et où les voix dissidentes sont écartées : « Dès qu'il y en avait un pour l'ouvrir, on lui disait de se taire, plus personne ne disait rien. Ceux qui s'exprimaient et disaient ce qu'ils pensaient ont été écartés, c'est comme ça qu'on est devenu des moutons. » En interne, on parle alors des « hors jeu » pour les managers un peu rebelles qui disent ce qu'ils pensent. Le terme fait partie d'un nouveau langage reflet d'une nouvelle culture d'entrepris : « Il fallait repérer ceux, trop nombreux, “qui ne pouvaient pas suivre”, car considérés comme faibles. On entend aussi parler des “gens à faible employabilité”. » « Il n'y avait plus d'innovation, il ont sorti le système des idées-clics » « On dit que les techniciens sont robotisés, mais tout le monde a été robotisé », résume ce cadre qui décrit une organisation où tout est soumis à objectif et tout est contrôlé. Dans les entretiens d'évaluation, « on demande “c'est quoi ton chiffre ? ” mais on oublie le travail quotidien ou des contributions plus qualitatives ». A chaque question soulevée, répondent de nouvelles directives avec leurs tiroirs d'objectifs. « Quand ils ont réalisé que les réunions d'équipe étaient oubliées pour satisfaire aux exigence de la performance et à la pression de la mise en compétition interne, Wenes a fixé un nouvel objectif à satisfaire : le nombre de réunions. “Et quand ils se sont rendus compte qu'avec ce système, il n'y avait plus d'innovation, ils ont sorti le système des idées-clics. On nous a donné un objectif d'idées-clics et la part variable (du salaire) des cadres dépendait de la réalisation de cet objectif.” “Quand on essaie de vous alerter, vous prenez ça pour une critique” Quand les médias relaient de nouveaux suicides en septembre, c'est la panique et la peur que ça arrive dans sa propre entité -la peur de passer aux yeux des dirigeants comme responsable, de ne pas avoir tout fait pour “repérer” et aider un salarié “fragile”. “Ils ont nommé un directeur de ‘la crise’”. Et il y a des “conférences sanitaires” avec les médecins pour faire “remonter les personnes fragiles.” Une réunion de cadres été organisée mercredi. Il s'agirait maintenant de créer quelque postes à faible valeur ajoutée pour ceux qui ne “peuvent pas évoluer”. “Quelqu'un a parlé d'un problème de liberté d'expression en disant ‘quand on essaie de vous alerter, vous prenez ça pour une critique’, Wenes lui a répondu, parce que les cadres aussi sont infantilisés, qu'il ne fallait pas hésiter à poser des questions si on ne comprenait pas. C'est sa conception de la liberté d'expression… Au fond, rien n'a changé.” -
Tempête dans un verre d'eau...Non ? Pour l'instant ces histoires restent l'affaire des dirigeants et responsables... Est-ce que les militants et adhérents de terrain suivent ? Est-ce que cela change quelque chose au niveau des salariés non syndiqués ? (92% des salariés français, 80 à 85% des salariés cheminots SNCF...) Ce qui semble se produire c'est l'érosion accélérée des petites structures (cgc, cftc, syndicats indépendants ou autonome comme la fgaac ...) au profit des grandes mais autour d'un positionnement réformiste... Peut-être cela engendrera-t-il ensuite une recomposition plus intense au niveau supérieur (Unsa, Fo, Fsu)... rien n'est moins certain même si cela resterait possible...
-
1er message de ta part ? Tu t'étais inscrit sur le forum avant ton opération de nettoyage ?
-
Grève dans les Transports en Commun de Lyon
Dom Le Trappeur a répondu à DavidKorner situé dans Brin de causette
Solidaire également avec les salariés en lutte ... Quand au patron de Kéolis et au Maire de Lyon... nonmais -
Mouvements locaux : les sédentaires aussi parfois...
Dom Le Trappeur a répondu à assouan situé dans Actualité ferroviaire générale
Tout à fait... des infos supplémentaires ? -
La p'tite dernière Sarkozy a menti : il a soutenu le smic jeunes et le CPE http://www.rue89.com/2009/09/30/sarkozy-a-...eunes-et-le-cpe
-
Le dessin du jour...
-
Mais que fait donc notre très Cher Président de la République, ex Ministre de l'intérieur...? Joggeuse enlevée dans l'Essonne: le suspect a avoué et désigné l'endroit où reposerait le corps AP L'homme suspecté d'avoir enlevé lundi une joggeuse à Oncy-sur-Ecole (Essonne) a avoué l'avoir tuée, a-t-on appris mercredi de source judiciaire. "Il a désigné un endroit où le juge d'instruction doit se rendre", ajoute-t-on de même source. L'homme âgé de 47 ans a été mis en examen pour "enlèvement et séquestration en état de récidive légale". Le meurtrier présumé aurait laissé le corps de sa victime dans le secteur de Malesherbes (Loiret), une commune située à mi-chemin entre le lieu de l'enlèvement et son domicile à Echilleuses (Loiret), a-t-on indiqué de source proche de l'enquête. Le parquet a ouvert un réquisitoire supplétif pour "assassinat". Le suspect "n'a toujours pas donné d'explications. Il ne comprend pas lui-même ce qui l'a poussé à faire cela", a déclaré son avocat, Me Laurent Caruso, devant la presse. "Donc, il n'y a pas de raison particulière, il n'y a aucune explication logique à son geste". L'avocat a précisé qu'on ignorait pour l'heure où se trouvait le corps de la joggeuse, une femme de 42 ans. "Il faudra que le juge fasse les investigations nécessaires et donne les instructions aux gendarmes pour aller sur les lieux mais pour l'instant, on n'en sait pas beaucoup plus", a-t-il dit. La joggeuse avait elle-même donné l'alerte lundi matin grâce à son téléphone portable. Elle a indiqué qu'un homme venait de la forcer, sous la menace d'un couteau, à monter dans le coffre d'une 106, dont elle avait même communiqué l'immatriculation. Aucune arme de ce type n'a été retrouvée dans le véhicule qui était garé dans l'enceinte de la résidence d'Echilleuses dont le suspect est le gardien. Selon le parquet, le suspect qui avait été condamné en 2002 à 11 ans de prison pour l'enlèvement et le viol d'une adolescente de 13 ans deux ans plus tôt dans le Loiret avait bénéficié d'une libération conditionnelle le 5 mars 2007. "Cette remise en liberté ordonnée par un juge d'application de Melun (Seine-et-Marne) avait été discutée pendant un an et demi", précisait-on de même source en ajoutant que le détenu "offrait des garanties de représentation sérieuse, un emploi et ne devait pas revenir habiter dans le village où séjournait sa victime". Le parquet a précisé que l'homme qui avait déclaré habiter à Morangis (Essonne) avait suivi un traitement contre l'alcoolisme. "Sa peine s'est achevée en novembre 2008 sans qu'aucun incident n'ait été signalé". Rien n'interdisait alors à cet homme de revenir à Echilleuses où il s'est installé à quelques centaines de mètres du domicile de son ancienne victime, à une trentaine de kilomètres d'Oncy-sur-Ecole. AP