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FRET veut 4000 volontaires et s'assoit sur le RH
Dom Le Trappeur a répondu à CHRIS 13 situé dans FRET SNCF
Le prix de gaz-oil ? -
Ainsi va la France... Royal: "un rapport" entre ses attaques anti-Sarkozy et la fouille de son domicile PARIS (AFP) - La "drôle de coïncidence" dénoncée par Ségolène Royal après la "mise a sac" de son appartement au lendemain d'une attaque contre "le clan Sarkozy", a provoqué une riposte de la droite qui accuse l'ex-candidate socialiste à la présidentielle de "perdre le contrôle d'elle-même". Mardi soir sur France 2, Mme Royal a établi "un rapport" entre la "mise à sac" de son appartement et son accusation de "mainmise du clan Sarkozy sur la France". Le Premier ministre François Fillon a accusé mercredi sur RTL l'ex-candidate socialiste à la présidentielle de "perdre le contrôle d'elle-même". Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, a qualifié "d'absurde", mardi sur Direct 8, la déclaration de Mme Royal. "Il y a quelqu'un qui s'imagine vraiment que le président de la République ou l'Elysée (...) puisse aller cambrioler l'appartement de Madame Royal parce qu'elle a critiqué Sarkozy. Tout ça est tellement absurde", a déclaré M. Guaino. L'UMP a dénoncé des "propos honteux". "J'observe que la semaine dernière, le lendemain où j'ai dit qu'il fallait mettre fin à la mainmise du clan Sarkozy sur la France, mon domicile a été mis à sac (...) Je fais un rapport entre les deux. Je considère qu'aujourd'hui il y a une mainmise du pouvoir sur les médias (...)", a affirmé l'ex-candidate PS à l'élection présidentielle. Comme on lui demandait s'il s'agissait d'"une forme d'accusation formulée contre le pouvoir en place", la présidente de la région Poitou-Charentes a répondu: "C'est une drôle de coïncidence. Et c'est la seconde fois (que cet appartement est fouillé, ndlr), la première a eu lieu pendant la campagne présidentielle (...)". Mme Royal a contesté le terme de "cambriolage" de son appartement parisien le 27 juin, parlant à deux reprises de "mise à sac". Elle s'est dite "la seule responsable politique à dénoncer très clairement ce qui se passe contre le service public de l'audiovisuel". "Il y a un rapt, il y a un vol sur la publicité de France 2 et de France 3 pour enrichir les amis de M. Sarkozy, MM. Bouygues, Lagardère, Bolloré, qui s'apprêtent en plus à se positionner pour la privatisation d'EDF et d'Areva (...) à un moment où il y a une crise énergétique", a-t-elle accusé. A la suite de ces déclarations, l'UMP s'est dit "révoltée". "L'UMP se sent révoltée par les propos honteux de Mme Royal sur le président de la République", a déclaré dans un communiqué une porte-parole du parti majoritaire, Chantal Brunel. "Certaines limites, qui sont celles de la diffamation et de la calomnie, ne devraient être franchies par personne, encore moins par l'ex-candidate à la présidence de la République", a ajouté Mme Brunel. "Que Mme Royal s'oppose pour s'opposer, elle est dans son rôle. Que Mme Royal se crée un personnage de martyr, poursuivie par une sorte de Cinquième colonne médiatico-politique, voilà qui dépasse les bornes", a-t-elle encore déclaré. Frédéric Lefebvre, autre porte-parole de l'UMP, a estimé dans un communiqué distinct que Ségolène Royal avait "dépassé les bornes". "La gravité des accusations proférées par Mme Royal est le signe qu'elle perd ses nerfs", a-t-il affirmé. Réagissant aux propos de M. Lefebvre, la porte-parole du groupe PS à l'Assemblée Aurélie Filippetti a déploré que "dans la France de Nicolas Sarkozy, on peut désormais mettre à sac le domicile de la principale opposante politique et cela ne déclenche que l'hilarité des porte-parole, ou plutôt des porte-flingues, du pouvoir en place". "La France de Sarkozy c'est la télé de Berlusconi et les méthodes de Poutine", a-t-elle affirmé. "Ce qui dérange l'UMP, c'est que Ségolène Royal a une voix qui porte, et qu'elle incarne à elle seule l'opposition; tenter de la faire taire en la discréditant, c'est aussi reconnaître que ses idées et sa popularité dérangent le pouvoir".
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JO de Pékin: Sarkozy confirme sa présence contestée à la cérémonie d'ouverture Par Philippe ALFROY AFP - TOYAKO Le président français Nicolas Sarkozy a confirmé mercredi sa participation attendue et déjà critiquée à la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Pékin le 8 août, alors que le dialogue ouvert entre la Chine et le dalaï lama semble au point mort. Le secrétaire général de Reporters sans Frontières (RSF), Robert Ménard, a immédiatement qualifié cette annonce de "capitulation en rase campagne". Comme il l'avait annoncé, M. Sarkozy a livré la primeur de sa décision à son homologue chinois Hu Jintao, qu'il a rencontré au matin de la journée de clôture du sommet du G8 à Toyako (Japon). Avant d'en informer la presse par un simple communiqué, distribué avant la fin de leur entretien. "Le président de la République a confirmé au président chinois son intention de se rendre à Pékin le 8 août pour prendre part à la cérémonie d'ouverture des 29èmes olympiades", indique ce texte. "Le chef de l'Etat a consulté à ce sujet l'ensemble de ses homologues européens. En accord avec eux, c'est donc en sa double qualité de président de la République française et de président en exercice du Conseil européen que le président Sarkozy assistera à la cérémonie", ajoute le communiqué. L'Elysée a ainsi fait savoir que la chancelière allemande Angela Merkel, qui a pourtant annoncé qu'elle n'irait pas à Pékin, s'était "réjouie" de la décision du président français. Cet entretien, qui marquait les retrouvailles entre les deux dirigeants depuis la visite de Nicolas Sarkozy en novembre, s'est "extrêmement bien passé", a-t-on souligné dans l'entourage du président français, "la relation franco-chinoise est à nouveau sur les rails du partenariat stratégique". Les liens entre les deux pays ont subi un coup de froid en avril à la suite du passage de la flamme olympique en avril à Paris, perturbé par des manifestants pro-tibétains dénonçant la répression par l'armée chinoise de troubles quelques semaines plus tôt au Tibet. Nicolas Sarkozy s'était déclaré "choqué" par les événements tibétains et avait assuré qu'il n'assisterait à l'ouverture des JO qu'en cas de reprise du dialogue entre la Chine et les représentants du dalaï lama. Avec la reprise de ces pourparlers la semaine dernière, la présence du président français le 8 août à Pékin ne semblait plus faire guère de doute, ses proches multipliant les confidences confirmant sa décision. Ces "fuites" ont déclenché une violente polémique en France. Le patron des députés de l'opposition socialiste Jean-Marc Ayrault a appelé Nicolas Sarkozy au boycott des JO "au nom de tous ceux qui luttent pour la liberté et les droits de l'Homme", et le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF) Robert Ménard lui a reproché d'"abandonner ses propres engagements". Lors d'un entretien le 30 juin sur la chaîne de télévision France 3, il avait une nouvelle fois précisé les conditions de sa participation. "Si ça (les discussions sino-tibétaines) devait progresser encore et si le dalaï lama et le président chinois reconnaissaient les progrès, alors l'obstacle à ma participation serait levé", avait-il dit. Malgré les déclarations d'un émissaire du dalaï lama, Lodi Gyari, se déclarant "déçu" par ses discussions avec la Chine, Nicolas Sarkozy a finalement confirmé mercredi à Hu Jintao sa venue à Pékin. Aucune information sur l'état des pourparlers sino-tibétains n'a filtré de leur entretien. "Nous avons convenu d'un commun accord que rien ne serait dit à ce sujet d'ici la prochaine session de discussions prévue en octobre", a-t-on indiqué dans l'entourage de Nicolas Sarkozy. L'Elysée a fait preuve de la même discrétion sur une éventuelle entrevue du président avec le dalaï lama lors de sa visite en France en août. Mardi, Pékin avait prévenu qu'une telle rencontre aurait des "conséquences graves" sur les relations franco-chinoises. Mercredi, le président chinois Hu Jintao a remercié son homologue américain George W. Bush, qui a annoncé récemment sa participation à la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Pékin en août, pour ne pas avoir "politisé" les JO. A l'issue de discussions avec le président américain en marge du sommet du G8 à Toyako, Hu Jintao a déclaré qu'il avait "hautement apprécié que le président Bush, en plusieurs occasions, exprime son opposition à toute politisation des jeux Olympiques". La Maison Blanche avait annoncé jeudi dernier que George W. Bush assisterait à la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Pékin le 8 août.
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Les facilités de circulation taxées par l'URSSAF
Dom Le Trappeur a répondu à AIA AIA situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Enfin... la déclaration de guerre elle date pas d'hier... déjà en 86, 95, 2001, 2002, 2005 sans oublier 2007 et la campagne présidentielle... Le Peuple se mobilise si on lui montre son avenir... Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l'action. [Victor Hugo] Extrait de Les Misérables -
La fin des 35 heures
Dom Le Trappeur a répondu à AIA AIA situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Idem pour les agents du régime B avec repos les samedis dimanches dans les établissements (siège d'établissement, UO, administratifs, Dpx et quelques autres...) -
La fin des 35 heures
Dom Le Trappeur a répondu à AIA AIA situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Les agents du régime A (en directions nationales et régionales) vont-ils réagir (car il n'y a pas que des cadres concernés) ? -
Dans la struture syndicale FGAAC : il n'y a aucun salarié en tant que tel ? (je ne parle pas des conducteurs détachés de la sncf au syndicat conformémént au statut mais des employés comme secrétaire administrative ou employé de bureau par exemple) Bien entendu je ne pense pas qu'il soit en grand nombre mais même si il n'y aurait qu'un seul salarié il faut savoir le gérer et la vie n'est jamais toute rose et sans conflit (j'ai lu quelque part que pour la Fédération des cheminots au plan national, le nombre d'employés était de sept.) Il n'est pas rare qu'un salarié lambda ait besoin au cours de sa vie d'une nourrice, d'une femme de ménage ou d'une personne pour aider un proche... Ce n'est pas si simple à gérer qu'on pourrait le penser surtout si on se retrouve en situation légale d'employeur. Pour les CER avec les cantines, centres de loisirs, bibliothèques, activités, siège le nombre moyen de salariés doit tourner autour de la centaine par CER Quand au CCE rien qu'avec les maisons familiales, les centres de vacances, le service du livre et le siège du CCE pour faire fonctionner tout ça le nombre de salariés en particulier pendant les vacances scolaires doit être de l'ordre du millier...
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ce qui est le plus inquiétant c'est cette politique de la direction d'embauche de personnel de plus de 30 ans pour tenir des postes d'exécution au plus bas de la grille des rémunérations donc avec des salaires payés au lance pierres... Embauché à 36 ans : quel déroulement de carrière possible ? quel avenir après 50 ans (risque de licenciement etc... Quelle carrière réelle pour cotiser pour la retraite 36 ans / 60 ans = 24 années de cotisations retraites (j'espère que le salarié aura travaillé quelques annuités avant ses 36 ans...)
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Electricité : changement des compteurs et augmentation en vue
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Lisez : vous ne serez pas surpris ensuite ... Encore une petite conséquence des privatisations et ouverture à la concurrence merci Bruxelles, Merci Maastricht... (1992 je crois...) EDF va tester 300.000 compteurs électriques "intelligents" à Lyon et Tours Jeudi 3 juillet, PARIS (AFP) - EDF va expérimenter 300.000 compteurs d'électricité dits "intelligents" à Lyon et à Tours, pour à la fois améliorer la concurrence sur le marché de l'électricité et inciter les ménages à mieux contrôler voire réduire leur consommation d'énergie. Cette phase-pilote doit préparer le remplacement de l'ensemble des compteurs électriques en France, au nombre de 35 millions, a rappelé la filiale distribution d'EDF, ERDF, lors d'une conférence de presse. ERDF va installer de mars à septembre 2010 100.000 compteurs en zone rurale près de Tours, et 200.000 en zone urbaine à Lyon. La généralisation s'étalera ensuite de 2012 à 2017. Les fournisseurs pourront ainsi "proposer des offres différenciées" tandis que le consommateur sera "mieux informé", notamment pour la "maîtrise de sa consommation d'énergie", a affirmé Michel Francony, président d'ERDF. "Pour le client, rien n'est facturé. Le fournisseur peut réfléchir à des nouvelles offres. Le producteur peut faire des offres différenciées. Et pour ERDF, cela simplifie la gestion", a-t-il fait valoir. La Commission de régulation de l'énergie (CRE), qui veille au bon fonctionnement des marchés de l'énergie, avait demandé le remplacement des compteurs pour "simplifier le changement de fournisseur" et donc stimuler la concurrence, alors que le marché français de l'électricité tarde à s'ouvrir. Ces nouveaux compteurs, pilotés à distance, permettront à ERDF d'économiser 300 millions d'euros par an de personnel, puisque 5 à 6.000 personnes interviennent actuellement sur les compteurs, et 150 millions d'économies sur la gestion et la fraude, a précisé Jean Vigneron, directeur du projet à ERDF. Le renouvellement des compteurs coûtera au total environ 4 milliards d'euros, dont 2 milliards pour la pose, effectuée par ERDF, et 2 milliards pour les équipements (1,9 md EUR) et le système informatique (100 millions d'euros, contrat remporté par le groupe français d'informatique Atos Origin). Pour financer cette opération, ERDF milite pour que les coûts soient couverts par les tarifs d'utilisation des réseaux (lignes basse et moyennes tension), qui pourraient donc augmenter. -
Dans le cas précis la personne est salariée du Comité d'Etablissement et non de l'Organisation syndicale, juste pour préciser. Bien entendu le CE est dirigé par un élu qui en est le secrétaire. Mais la structure "administrative" en particulier le personnel est géré par un directeur. Ceci étant toutes les OS, associations, partis politiques comme toutes entreprises peuvent être confrontés à ce type de situation : - licenciements économiques - licenciements pour fautes graves - sans parler des licenciements par accord entre le salarié et son employeur L'actualité est remplie de ce type de faits. Quelque soit la raison, en tout état de cause le salarié à des droits en particulier celui du respêct de la législation. Au delà il peut avoir recours à la justice. Ce qui est certain aussi c'est que les CE à la SNCF sont tous dans une situation difficile dont la cause principale réside dans la baisse des effectifs donc de la masse salariale donc de la subvention d'activité versée par la direction SNCF (% de la masse salairiale) Moins de cheminost moins de finance ce sont donc des activités en baisse et des difficultés financières. Ensuite il y a aussi malheureusement des méthodes rétrogrades de gestion en particulier du personnel mais qui ne sont pas le propre d'une OS... dans la société dans laquelle nous vivons à moins que la CGT ne copie sur Sarkozy...
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Air France-KLM et Veolia pourraient s'allier dans le ferroviaire
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Air France-KLM et Veolia pourraient s'allier dans le ferroviaire PARIS (Reuters) - Air France-KLM s'apprête à réduire ses capacités face à la hausse du prix du kérosène et étudie une alliance avec Veolia Transport dans les trains à grande vitesse, écrit le quotidien Les Echos dans son édition de vendredi. Revoir la réduction des capacités de la compagnie aérienne prendra effet dès la prochaine saison d'hiver, précise-t-il. Air France-KLM n'était pas joignable dans l'immédiat jeudi pour commenter ces informations. Marc Angrand -
Si je comprends bien tu es en cours de recrutement et tu as 36 ans ? Si c'est le cas tu seras recruté au statut contractuel c'est à dire régime général de sécurité sociale, en CDI Tu ne seras pas recruté au Cadre Permanent c'est à dire le Statut Cheminot (95 % du personnel) : maximum 30 ans (+1an par enfant) sauf dérogation (voir Statuts des relations collectives) En conséquence tu ne peux être recruté comme Attaché opérateur (Att op) puisque c'est un grade du CP Tu seras recruté sur un grade équivalent du statut contractuel : voir réglementation contractuel auprès de ton Bureau Administratif Donc te rapprocher de la personne qui te recrute pour demander des précisions : - ton statut exact - ton grade exact - si contractuel : catégorie et classe -deman,der salaire de base brut montant des cotisations sociales (%) salaire de base net primes éventuelles Bon courage Dom
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http://fr.news.yahoo.com/afp/20080702/vide...ce-3837155.html
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Syndicats et patronat trouvent un accord sur le stress au travail
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Syndicats et patronat trouvent un accord sur le stress au travail Par Cécile AZZARO AFP - Jeudi 3 juillet, PARIS (AFP) - Syndicats et patronat ont conclu mercredi soir une négociation sur le stress au travail par un accord destiné à améliorer la prévention de ce phénomène, "un compromis" jugé globalement positif par au moins quatre syndicats sur cinq. L'accord, qui transcrit en droit français un accord cadre européen de 2004, a été finalisé après quatre séances de négociation. Il vise à "augmenter la prise de conscience et la compréhension du stress au travail, par les employeurs, les salariés et leurs représentants" et "attirer leur attention sur les signes susceptibles d'indiquer des problèmes de stress au travail". "Dès qu'un problème de stress au travail est identifié, une action doit être entreprise pour le prévenir, l'éliminer ou à défaut le réduire", stipule le texte. La CGT, la CFDT, FO et la CFE-CGC ont exprimé un avis plutôt positif sur cet accord, indiquant qu'elles pourraient a priori le signer, après consultation de leurs instances. Seule la CFTC a affirmé ne pas pouvoir se prononcer, avant d'avoir "mesuré les gains possibles de cet accord pour les salariés". Le patronat a de son côté estimé que l'accord était un "document relativement pédagogique", notamment sur les indicateurs de stress, affirmant avoir "lâché pas mal sur l'ensemble du texte". Syndicats et patronat se sont mis d'accord sur une définition du stress en reprenant celle de l'Agence européenne pour la santé et la sécurité au travail. Selon elle, le stress est "un déséquilibre entre la perception qu'une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu'elle a de ses propres ressources pour y faire face". Les syndicats ont par ailleurs obtenu que soit retirée l'idée "d'un stress positif". Ils n'ont cependant pas obtenu que l'accord soit obligatoirement décliné dans les branches professionnelles, mais le texte précise que "des accords de branches ou d'entreprises ne peuvent déroger aux dispositions du présent accord que dans un sens plus favorable aux travailleurs". "Cela présuppose que des négociations sont possibles", a souligné Jean-Louis Malys (CFDT), soulignant aussi que l'accord "invite l'Etat, dans les meilleurs délais à prendre un décret d'extension" pour qu'il s'applique à toutes les entreprises. La CFDT se prononcera en début de semaine prochaine. Jean-René Buisson, chef de file du patronat, a reconnu "un problème avec nos fédérations, qui ne veulent pas de négociations spécifiques par branche". "Les branches sont autonomes", a-t-il ajouté. "Notre rôle sera d'inciter les branches à s'en emparer", a commenté Jean-Marc Bilquez (FO), précisant que certaines "se posent déjà la question, comme la métallurgie". "Le texte a des faiblesses", mais il s'agit d'un "compromis", a-t-il estimé. Son syndicat se prononcera "avant fin juillet". "On a fait des petites pas, mais c'est une base pour en faire d'autres demain", a dit Danièle Karniewicz (CFE-CGC). Pour Daniel Prada (CGT), le document constitue "une amélioration par rapport au texte européen" initial, avec des "avancées" sur la prévention, et notamment une "plus grande référence à l'organisation du travail". Le syndicat donnera sa réponse en septembre. La CFTC se prononcera officiellement lundi, mais son négociateur, Joseph Thouvenel, a reconnu avoir obtenu "la responsabilité des employeurs dans la prévention du stress". Il salue aussi l'annonce d'une prochaine négociation sur la violence au travail et le harcèlement, "dans un délai de 12 mois après la signature de l'accord sur le stress". -
Sur Yahoo La Colombie annonce la libération Ingrid Betancourt Reuters -21h40 - BOGOTA (Reuters) - La Colombie annonce la libération par l'armée de la sénatrice franco-colombienne Ingrid Betancourt et de trois otages américains depuis des années aux mains des Farc. Le ministre de la Défense Juan Manuel Santos a déclaré que tous les anciens otages étaient en relativement bonne santé après des années de détention dans la jungle. Onze militaires ou policiers ont également été libérés. Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) retenaient 44 otages de premier plan comme monnaie d'échange contre des centaines de militants emprisonnés. Parmi eux, Ingrid Betancourt, candidate du parti Vert à l'élection présidentielle en Colombie, avait été capturée le 23 février 2002. Une vidéo des Farc diffusée à la fin de l'an dernier l'avait montrée très amaigrie et déprimée. Les trois otages américains travaillaient pour le département de la Défense et ont été capturés en 2003 après la chute de leur avion dans la jungle lors d'une opération de lutte contre les stupéfiants. A Paris, l'Elysée n'a pas été en mesure de confirmer l'information dans l'immédiat. "Aucune réaction pour le moment. On ne dit rien on ne confirme pas", a déclaré à Reuters un conseiller du président Nicolas Sarkozy. Hugh Bronstein, version française Jean-Stéphane Brosse
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C'est une excellent nouvelle si elle se confirme : enfin !
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Vidéo pirate : la censure à France-Télévisions officiellement reconnue par le président Sarkozy Par Paul Villach Agoravox - Mercredi 2 juillet, Cet article a été rédigé par un reporter d'AgoraVox, le journal média citoyen qui vous donne la parole. La vidéo pirate, publiée par Rue 89, qui a enregistré les préparatifs de l’intervention du président Sarkozy sur France 3, lundi soir 30 juin 2008, offre l’occasion d’une utile leçon sur la relation d’information. Les apparences d’une information extorquée Selon toute vraisemblance, ces images relèvent de l’information extorquée puisqu’elles paraissent avoir été saisies à l’insu et contre le gré de leur émetteur, le président. Elles gagnent donc en fiabilité. On le voit, en effet, tancer un technicien incorrect qui n’a pas répondu à son salut, en promettant que « ça va changer » ; puis il se répand en informations indifférentes pour tuer le temps et surtout tenter de briser la glace entre lui et les journalistes qui doivent l’interviewer : il s’extasie sur la beauté du studio, se fait rappeler l’heure de l’émission comme s’il pouvait l’avoir oubliée, s’inquiète de l’écart d’heure entre la pendule du studio et sa montre qu’il détache de son poignet pour la régler, se félicite de la présence de Gérard Leclerc qu’on ne voyait plus à l’antenne, et s’inquiète de la durée qu’il a passée « au placard ». Enfin, il demande si les journalistes ont l’intention de l’interroger sur l’accident de Carcassonne, feignant de leur laisser la liberté de le faire quand ils comprennent que c’est un ordre auquel ils doivent déférer. On perçoit tout l’écart qu’il y a entre l’information donnée tissée d’amènes civilités convenues que les uns et les autres se prodiguent dès que commence l’émission, et l’information extorquée sur le conseil de rédaction brutal qui vient de se tenir sous la direction du président. À l’évidence, l’attitude incorrecte du technicien a donné au président l’occasion de s’affirmer d’entrée en patron de la rédaction face aux journalistes assis sagement à leur pupitre comme des élèves. Le directeur Paul Nahon, destinataire d’une œillade, s’est fait souffler la place faute d’avoir soufflé mot : « Ça va changer, » a grincé par deux fois le président. Le ton était donné. On connaît climat plus propice à la liberté d’expression quelques instants avant une interview présidentielle. La censure officielle reconnue par le président de la République Puis, entre deux banalités pour feindre de détendre l’atmosphère, est tombée cette révélation. Jamais, sauf erreur, on n’a entendu président de la République faire pareil aveu. C’étaient, disait-on jusqu’ici, des bruits, des ragots distillés par l’opposition, tout au plus des interprétations gratuites quand un journaliste disparaissait de l’antenne. On n’en avait pas de preuve formelle vraiment. Or, voici que, pour la première fois, un président de la République française fait état ouvertement de la censure officielle qui peut frapper un journaliste selon le bon plaisir du pouvoir dans la démocratie française. Se tournant vers Gérard Leclerc qu’il paraît assez connaître pour le tutoyer, le président s’est réjoui de le revoir à l’antenne et s’est enquis élégamment de savoir combien de temps il était « resté au placard ». Mieux, il a tenu à faire connaître qu’il avait protesté en son temps contre sa mise au placard. Un changement dans la continuité Pour qui doutait encore de la main de fer avec laquelle le pouvoir tenait l’information du service public, il ne peut être fait aveu plus clair de la part de la plus haute autorité de l’État. Or, le comportement du président est-il promesse d’un changement quand il répète « Ça va changer ! » ? La protestation qu’il dit avoir émise à la placardisation de Gérard Leclerc, est-elle l’indice d’un refus de ces méthodes de censure et d’autocensure, contraires aux règles d'une démocratie ? On songe plutôt à Henri, le cafetier du « Père tranquille », dans le film d’Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri, Un air de famille : il reçoit à la fin un coup de téléphone de sa femme qui a souhaité prendre un peu le large pour respirer et échapper à son sexisme insupportable. Or, pour la convaincre de revenir tout de suite, il se dit prêt à des concessions. On croit deviner que son épouse en doute : c’est alors qu’il explose : « Mais puisque je te dis que je vais changer ! », hurle-t-il au téléphone. Le président Sarkozy a montré, lui aussi, par son seul comportement, le changement qu’il médite. L’évocation du placard d’un des journalistes avait-il d’autre but que de servir d’avertissement à ses collègues et de les déstabiliser avant l’interview pour dissuader toute tentation d’insolence ? Enfin, dans la pure tradition monarchique, la suggestion murmurée d’une question sur la faute des militaires de Carcassonne, laissée en apparence à la discrétion des journalistes, n’était-elle pas un ordre ? Ils l’ont compris aussitôt. Le président, qui revenait du chevet des blessés, entendait donner le plus large écho à sa compassion pour les victimes et à sa colère pour les « amateurs » inconscients de cette tragédie, selon son plan-média programmé. Il reste maintenant un doute. Le président Sarkozy est trop familier des préparatifs d’une interview pour ignorer que les caméras tournent souvent et que les micros sont branchés avant le commencement d'une émission. N’aurait-il donc pas choisi, selon le mode de la « fuite organisée », de faire connaître ces informations apparemment extorquées à son insu et contre son gré, puisque le canal officiel de l’information donnée ne le permettait pas décemment ? Pour qu’il n’y ait pas de malentendu sur la réforme de France-Télévisions, dont on sait déjà qu’il entend attribuer à l’exécutif la nomination du président, il aurait tenu à avertir les personnels de ses intentions en prenant les téléspectateurs à témoin. Il avait déjà ainsi joué cartes sur tables au sujet de sa relation avec Mme Bruni qui « (était) du sérieux », lors de sa conférence de presse du 8 janvier. À bon entendeur salut ! Paul Villach
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normal il n'y a que des personnels exécution chez les roulants (TA TB)... les maitrises et cadres sont classés comme sédentaires j'crois pas que les chiffres de grévistes dans ces catégories soient fameux dans les dépôts... dans les autres services : ils comptabilisent tout le monde dans le même sac Si on ne prend que les personnels exécution des différents services et établissements : la stat remonte...
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C'est surtout qu'il s'investit dans les luttes... je sors
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Retraites SNCF : les nouveaux textes de loi parus au Journal Officiel
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=13974&hl= 2D2 nous a mis dans la partie document le pdf du journal officiel du 1er juillet 2008 avec les textes officiels des décrets sur les RETRAITES SNCF : voir les textes 26 et 27. Avant que son fil ne tombe dans les oubliettes du forum je lance un fil avec le lien que nous pourrons faire remonter de temps à autre vers le haut du forum. J'ai essayé de trouver un titre simple pour que celui qui fait une recherche puisse le retrouver facilement (si vous trouver mieux : me le dire je modifierai le titre en conséquence) Dom