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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Sans perte de temps... car le temps c'est de l'argent... SeaFrance : Louis Dreyfus promet de relancer la ligne Calais-Douvres http://www.liberation.fr/economie/01012382652-seafrance-nbsp-louis-dreyfus-promet-de-relancer-la-ligne-calais-douvres Le patron de LDA a annoncé ce mercredi vouloir embaucher 300 anciens de SeaFrance, sans toutefois reprendre les bateaux de la compagnie de ferries, placée en liquidation lundi. «Notre projet n'est pas de reprendre SeaFrance, notre projet est de relancer une activité sur la ligne entre Calais et Douvres avec des navires qui seront les nôtres dans un premier temps et le recrutement de 300 personnes», a expliqué mercredi matin le président de Louis Dreyfus Armateurs (LDA) sur RTL. «Les navigants et le personnel non navigant seront français, sur des navires français, et les conditions de travail seront celles qui sont dans le groupe Louis Dreyfus depuis toujours», a-t-il dit, ajoutant que ces conditions s'apparentent quasiment à celles d'un «emploi à vie», même s'ils sont «moins avantageux» que ceux qui étaient en vigueur à SeaFrance. «Développer le transmanche» «Nous reprendrons les marins et les personnels qui nous enverront leurs CV et nous les reprendrons en fonction de leurs compétences et de leurs qualités spécifiques», a précisé Monsieur Dreyfus. A ceux qui l'accusent de vouloir reprendre à bas prix les bateaux SeaFrance pour renforcer d'autres lignes, Dreyfus a répondu avoir «une véritable envie de développer le transmanche», affirmant : «Cette ligne Calais-Douvres, c'est un projet industriel, ce n'est pas de la gesticulation politique ou médiatique.» Cette ligne «peut être rentable dans les conditions que nous imposerons», a-t-il estimé. «Nous ne reprenons pas les navires de SeaFrance. Peut-être que la question se reposera dans quelques mois mais, pour l'instant, ce n'est pas le cas. Nous avons nos propres navires, la flotte (du partenaire danois) DFDS et le marché.» «Phase business» LDA «ne (compte) pas demander d'aides publiques», mais est déjà entré dans «la phase business» de son projet, en nouant notamment des contacts avec la ville de Calais et le liquidateur. Monsieur Dreyfus a par ailleurs annoncé qu'il allait attaquer en diffamation le PDG d'Eurotunnel, Jacques Gounon, pour ses propos tenus dans Libération de lundi. «Je ne lui laisse pas le choix de nous insulter comme il l'a fait dans la presse en disant que nous ne respections pas nos engagements. C'était un mensonge total.» (AFP) http://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Louis_Dreyfus http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Dreyfus_Armateurs http://www.lda.fr/
  2. Un vrai roman...policier ! Sauf que c'est la réalité... dans les méandres du Pouvoir... Comment le "chantier" monté par l'IGS s'est retourné contre les policiers http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/01/11/comment-le-chantier-monte-par-l-igs-s-est-retourne-contre-les-policiers_1628113_3224.html#ens_id=1628126 Bureau des affaires réservées, 14 h 55, le 30 mai 2007, à la préfecture de police à Paris. La porte s'ouvre avec fracas. L'inspection générale des services (IGS), la "police des polices" débarque, provoquant la stupeur des employés. Zohra Medjkoune et Dominique Nicot, deux agents expérimentés du service, doiventquitter leur bureau, escortées par les enquêteurs de l'IGS. Deux jours et une longue garde à vue plus tard, elles sont mises en examen pour "corruption" et "trafic d'influence" par la juge Michèle Ganascia. On les accuse d'avoir indûment délivré des titres de séjour. Trois autres personnes sont ciblées par l'IGS, qui se fonde sur des écoutes téléphoniques : Bruno Triquenaux, administrateur civil, chef du bureau des affaires réservées, Christian Massard, officier de sécurité de l'ancien ministre socialiste de l'intérieur Daniel Vaillant. Et Yannick Blanc, le patron de la police générale à Paris, connu pour ses sympathies à gauche. Gros émoi au sein de la préfecture, les fonctionnaires sont suspendus. Et vite oubliés. Quatre ans et demi après, que reste-t-il de cette affaire? Rien. Toutes les charges sont tombées. Seul flotte un parfum de scandale. Les cinq fonctionnaires ont compris qu'ils avaient été l'objet d'une manipulation policière. Il fallait avoir la peau du soldat Blanc, par tous les moyens. Ils se sont retournés contre l'administration, ont saisi la justice, qui leur a donné raison. Balayée, l'enquête initiale. Place aux investigations sur l'IGS et ses méthodes douteuses. L'enquête de l'IGS avait débuté en janvier2007. Et dès le 3 avril 2007, les policiers semblaient sûrs d'eux, assurant que M. Blanc était "parfaitement au courant de toutes les interventions et manœuvres de Mme Medjkoune". Quelques semaines plus tard, lors de leurs auditions, les suspects se défendent pourtant de toute implication dans le trafic de papiers, produisent des preuves, carnets de chèques, attestations, établissant qu'ils n'ont octroyé aucun passe-droit en échange de cadeaux. Rien n'y fait. Dans une note adressée le 2 juin 2007 à Michel Gaudin, tout nouveau préfet de police nommé par Nicolas Sarkozy, le n°3 de l'IGS, Claude Bard, aujourd'hui directeur du service, se montre très ferme: "Mme Medjkoune a reconnu avoirpermis, de sa propre initiative et sans contrôle de sa hiérarchie, l'attribution de plusieurs titres de séjour à des clients d'un individu (…) en contrepartie de cadeaux et de sommes d'argent". Mme Nicot a droit au même traitement. Ces accusations reprennent les termes d'une synthèse d'enquête, réalisée par l'IGS le 1er juin 2007 et adressée au magistrat instructeur. Les mises en examen ont été décidées sur la seule foi de ce document. Les deux femmes, le 7 juin 2007, font l'objet d'un arrêté de suspension, qui reprend exactement les arguments retenus dans l'enquête judiciaire par l'IGS. Pourtant, une procédure administrative ne peut se fonder sur des éléments judiciaires. Une anomalie de plus dans une affaire qui en est truffée… LE FAUX RAPPORT DE SYNTHÈSE Très curieusement, le 18 juillet 2007, MmeMedjkoune est visée par un second arrêté, signé par Michel Gaudin lui-même. Il y est cette fois ci simplement fait mention du fait que "Mme Medjkoune a été entendue" par l'IGS "sous le régime de la garde à vue". Il n'y a plus d'accusations précises. Encore moins d'aveux. Un revirement brutal, qui s'explique aujourd'hui… C'est que la synthèse présentée par l'IGS à la juge est mensongère. Le cas de Mme Nicot est emblématique. Celle-ci, selon la synthèse de police, aurait "reconnu avoir favorisé à l'insu de sa hiérarchie"la délivrance d'un titre de séjour. Que découvre MeDavid Lepidi, son avocat, en consultant les procès-verbaux de garde à vue de sa cliente? A la question d'unofficier de police, elle répond, clairement: "cette intervention a été envoyée à M.Blanc". Sa hiérarchie avait donc été avisée, contrairement à ce que prétend la synthèse policière. Autre élément révélateur, elle aurait, selon l'IGS, "reconnu être intervenue dans la régularisation du dossier" d'un ressortissant japonais. En garde à vue, Mme Nicot a pourtant contesté cette accusation, assurant même "qu'il y a eu une intervention du cabinet du préfet. Je pense que ce devait être M. Gaudin". Mieux, à en croire la synthèse policière, la fonctionnaire aurait "reconnu" avoir agi ainsi "sur l'intervention" d'un commerçant, Simon C., soupçonné d'être au cœur du trafic. Or, entendue en garde à vue, MmeNicot a dit précisément le contraire, assurant n'avoir"jamais rien fait" en faveur de cet homme. Manifestement, les policiers n'ont pas relu leurs PV avant de rédiger leur compte rendu d'enquête… Les déclarations initiales de Mme Medjkoune ont subi le même sort, tronquées, gonflées dans le procès-verbal de synthèse. C'est sur la base de ce document que les deux femmes ont pourtant été mises en examen, puis suspendues de leurs fonctions. MeLepidi décide donc de saisir la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris, estimant que des "faux en écritures publiques" ont été commis sciemment par les enquêteurs de l'IGS. Car, dans la foulée de la suspension de ses deux collaboratrices, l'adjoint de Yannick Blanc, Bruno Triquenaux, est lui aussi placé en garde à vue, le 19 décembre 2007. Un nouveau procès-verbal de synthèse est rédigé par l'IGS, encore une fois adressé à la juge Ganascia. On y lit, sous la plume du commandant Jean-Pierre Delcher: "Concernant Yannick Leblanc [blanc]: l'analyse des 123 dossiers saisis à la police générale fait apparaître que de nombreuses régularisations ont été opérées avec son aval, sinon sur ses instructions, en détournant la législation en vigueur ou pour la convenance personnelle de ses collaborateurs". Entendu le 18 mars 2010, en tant que partie civile, M. Blanc a rappelé: "Un mois après la date de ce procès-verbal de synthèse, j'ai été limogé". Saisie de l'affaire, la cour d'appel rend, le 25 janvier 2011, dans l'indifférence générale, une décision spectaculaire. "Dispenser des informations juridiques à des usagers ne sauraitconstituer une infraction pénale", relève le président Patrick Desmure, un magistrat expérimenté. La chambre de l'instruction ne "peut que s'étonner de l'ampleur des moyens procéduraux déployés", ajoute l'arrêt. Tant Mmes Nicot et Medjkoune que MM. Massard et Triquenaux sont totalement blanchis. Tous bénéficient de non-lieux, qui entérinent le fiasco judiciaire. Fait rarissime, la juge Ganascia est dessaisie, et c'est le juge Philippe Jourdan qui reprend l'enquête. Comment l'IGS a-t-elle pu commettre de telles fautes? Le magistrat n'est pas au bout de ses surprises. LES ÉCOUTES FALSIFIÉES Il va, notamment, se pencher sur les retranscriptions des écoutes téléphoniques réalisées par l'IGS. Au tout début des investigations, deux services, l'Unité de soutien aux investigations territoriales (USIT) et l'IGS opéraient les mêmes interceptions. Mais il semble que l'IGS ait choisi son camp. En effet, en écoutant les conversations du commerçant suspecté de vouloir corrompre des fonctionnaires, la police des polices note qu'il est de mèche avec des enquêteurs du 3e district de police judiciaire de Paris (DPJ). Simon C.promet à ses interlocuteurs, moyennant leur intervention pour faire sauter des contraventions, des produits de beauté, des portables… L'USIT relève, le 6 mars 2007 : "Vous aurez plein de produits de beauté pour toi et ta femme et pour Christophe et sa femme", lâche le suspect, en ligne avec un enquêteur du 3e DPJ. Réponse du policier, retranscrite par l'USIT: "OK ben, c'est sympa, ça roule." Dans la retranscription de l'IGS, la réponse du fonctionnaire a disparu, remplacée par un laconique: "N'intéresse pas l'affaire en cours." D'autres extraits très gênants pour le 3e DPJ sont ainsi caviardés. Or, il apparaît que des policiers du 3e DPJ se font fournir gratuitement du matériel téléphonique, qu'ils jouent les intermédiaires auprès de collègues pour rendreservice au commerçant, etc. Mais la cible de l'IGS, c'est le bureau des affaires réservées. Quitte à fabriquer des preuves. C'est ce qui ressort de l'audition, le 15septembre 2010, de Jean-Pierre Delcher, alors à l'IGS, aujourd'hui retraité. C'est lui qui est censé avoir signé le procès-verbal de synthèse mettant gravement en cause, le 19décembre 2007, Yannick Blanc. Que dit-il à la juge Jeanne Duyé, qui instruit la plainte de ce dernier? Que cette synthèse ne peut avoir été écrite qu'à partir de 23h45 puisqu'elle reprend les passages d'une audition réalisée tard dans la soirée. Or, M. Delcher ne travaillait pas au-delà de 20heures, en raison d'une grave maladie. En conséquence, il ne peut avoir rédigé ce document. M.Delcher précise à la juge: "Pour ce qui est de la signature, ce n'est pas la mienne. Ce n'est même pas mon “gri-gri”. Ce n'est pas moi qui ai rédigé ce compte rendu. C'est monstrueux. J'ai l'impression que je me suis fait avoir…" Les magistrats enquêtent: qui a pu rédiger cette synthèse? "C'est un style rédactionnel de commissaire", pense savoir le policier. Qui rappelle la très forte hiérarchisation du service. "Les OPJ étaient totalement sous contrôle", avait déjà indiqué Pascal Collot, l'ancien adjoint de M. Delcher. "La phrase incriminant M. Blanc ne pouvaitavoir été rédigée que sous le contrôle et avec l'approbation du directeur de l'IGS et de son adjoint, voire sous leur dictée", avait-il certifié à la magistrate. Isabelle Sablayrolles, une fonctionnaire de l'IGS, n'avait pas hésité à parler de "censure", expliquant que "tout était relu à la virgule près". Jusqu'au commissaire divisionnaire Daniel Jacquème, actuel n°2 de l'IGS, qui a eu cette réflexion troublante devant les juges, le 14avril 2010: "il fallait gérer politiquement la garde à vue de M. Blanc". LE CARNET DE CHÈQUES DU PATRON DE L'IGS Les juges remontent donc la chaîne hiérarchique. Après M.Jacquème, ils vontentendre, le 27avril 2011, Claude Bard, patron de l'IGS depuis juillet2010. En effet, au cours de leurs investigations, les magistrats ont relevé l'intervention à l'IGS, en juin2007, d'un attaché de la préfecture de Lyon, mandaté pour analyser les pièces saisies au service des affaires réservées. Tout sauf un expert assermenté du droit des étrangers. Stéphane Béroud débarque à l'IGS le 21juin et le 31octobre 2007. C'est Claude Bard qui est allé le chercher, en province, sur les conseils d'un ami, Christophe Bay, un ancien de la PP, ex-directeur adjoint du cabinet de Brice Hortefeux au ministère de l'intérieur. Alors n°3 de l'IGS, Claude Bard va jusqu'à signer deux chèques de son compte personnel – de 230 puis 254,20euros – afin d'héberger"l'expert" dans un hôtel à Créteil et d'assurer son couvert. Du jamais vu. "Je sais qu'il s'est posé le problème de frais", s'est justifié devant les juges M. Bard. Il aurait simplement voulu faire preuve de "courtoisie et délicatesse" en défrayant l'attaché de préfecture. M. Bard, qui vit cette affaire comme "un écorché vif", dit-il, se défend d'avoir jamais"été instrumentalisé dans un quelconque dossier". Et il assure: "Je suis stupéfait devoir qu'à l'inspection générale des services on pourrait faire un faux". M. Béroud, qui a eu l'obligeance, peut-être par retour de courtoisie, de rendre en 2007 un avis très négatif sur les initiatives prises par les proches de M. Blanc, parlant de "fait du prince", pense avoir pu faire l'objet d'une manipulation de l'IGS. Mais "à mon insu, peut-être", admet-il le 6 mai 2010 devant les magistrats. PERQUISITION CHEZ DANIEL VAILLANT Les magistrats tentent aussi de comprendre les raisons de la mise en cause de Christian Massard, ex-officier de sécurité de Daniel Vaillant. Ce commandant de police a eu droit à une longue garde à vue le 31 mai 2007. Il a dénoncé, depuis, des violences volontaires sur sa personne : le tutoiement qu'on lui a imposé, l'interrogatoire subi alors qu'il souffrait d'un cancer de l'œil, la non-observation par l'IGS des recommandations des médecins, qui avaient enjoint les policiers de l'amener à un nouvel examen médical, le 1er juin 2007… Pour ajouter à l'humiliation, on a même fait défiler son fils, pas encore majeur, devant sa cellule de garde à vue. Les magistrats ont enquêté sur la perquisition de son bureau, à la mairie du 18e arrondissement, le 31 mai 2007. Un Massard sans lacet, tenant son pantalon avec ses mains, honteux, planté devant son patron, le maire Daniel Vaillant. Les policiers ont déboulé sans s'annoncer dans le bureau de l'ancien ministre. Entendu le 15 janvier 2010, M. Vaillant a relaté au juge son souvenir d'un Massard "au bord des larmes (…) Ils n'ont pris aucune précaution". L'IGS ira même jusqu'à fouiller l'ordinateur du chef de cabinet de M. Vaillant, en pleine période électorale. "Le poste du chef de cabinet a été perquisitionné alors que les officiers de sécurité ne s'en servaient pas", a déclaré aux juges la secrétaire du maire. Les magistrats ont aussi entendu, comme témoins assistés, les préfets Pascal Mailhos, ex-patron des RG, ancien secrétaire général adjoint du ministère de l'intérieur, et Michel Gaudin lui-même. Ils s'étonnent que MM. Gaudin et Mailhos aient pu avoir connaissance des éléments de la procédure judiciaire et suspendresur cette base les fonctionnaires des affaires réservées. Le 1er mars 2011, des perquisitions menées par les juges place Beauvau ont permis de saisir les dossiers administratifs de MM. Triquenaux et Blanc. Ils contenaient des éléments judiciaires, au mépris de la séparation des pouvoirs. Gérard Davet et Fabrice Lhomme
  3. On en rigole encore... Taxe Tobin. Déjà votée en 2001! http://www.letelegra...hp#go_reagissez Une taxe sur les transactions financières, dite taxe Tobin, que Nicolas Sarkozy entend instaurer, a déjà été adoptée par le Parlement en 2001 et figure dans le code général des impôts, comme le révèlent plusieurs titres de presse dont Le Canard Enchaîné. L'article fixe un taux maximum de 0,1 % sur les transactions de plus de 75.000 €. Mais son dernier alinéa le rend inapplicable. Il prévoit que le texte ne prendra effet que lorsque «les Etats membres de la Communauté européenne» auront, eux aussi, adopté une telle taxe. Un sujet toujours d'actualité.
  4. Sur l'ensemble du groupe SNCF... filiales comprises Evidemment ça dépend des activités, métiers, qualifications... Voir le fil ouvert au sujet de Sea France
  5. 55 cheminots l'annonce de 250 cheminots a été rectifiée par le journaliste. Voir le post de l'ami Kerguel un peu plus haut (n°105)
  6. " les deux ouvriers leaders de la CFDT ont chacun accumulé des fortunes gigantesques ces dernières années." Sur le lien cité dans l'article : Libération pour l'un des deux syndicalistes... on est loin d'une "fortune gigantesque"... un capital immobilier certes qui lui rapportera vraiment quand il aura fini de payer tous ses emprunts... Les «purs» plans immobiliers de la CFDT Les deux principaux dirigeants de la centrale de SeaFrance sont d’heureux multipropriétaires. 8 commentaires Par GAËTANE DELJURIE Envoyée spéciale à Calais http://www.liberation.fr/economie/01012381889-les-purs-plans-immobiliers-de-la-cfdt Au delà, l'objectif politique et médiatique c'est de semer le doute ... "tous pareils tous pourris"... là manifestement on a des mecs qui se démerdent comme des millions de français "moyens" qui "investissent" dans la pierre... mais qui certes et certainement sont des TPMG ... mais pas de quoi fouetter un chat... Par contre ce serait plus du "syndicalisme" immobilier et affairiste... Malheureusement derrière il y a aussi 800 salariés et autant de sous-traitants et de retombées éconmiques... Si ma mémoire est bonne celà fait quand même près de 30 ans qu'au centre du GROUPE SNCF on parle de l'armement naval SNCF puis de Sea-France Donc la situation actuelle a peut-être bien été préparée de longue date... je suis assez étonné que dans cette affaire personne ne s'intéresse aux dirigeants-managers de Sea-France...
  7. SeaFrance. À Calais, tristes et amers, ils veulent encore y croire http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-SeaFrance.-a-Calais-tristes-et-amers-ils-veulent-encore-y-croire-_3636-2030469_actu.Htm Calais. De notre envoyé spécial À travers les vitres de l'agence, la femme de ménage fait de grands gestes. « Non, non, il n'est plus là. C'est la liquidation ! » Il est près de 14 h. Un peu plus tôt à Paris, le Tribunal de commerce a tiré un trait sur SeaFrance. Fidèle au poste après 33 ans de maison, Marc a travaillé ou plutôt fait acte de présence jusqu'au bout, jusqu'à hier midi, dans l'agence commerciale de la compagnie qui donne sur la place d'Armes, en plein coeur de la ville. « Depuis l'arrêt des navires, le 15 novembre, je ne vendais plus rien. » Et comme tous les autres commerciaux, il dirigeait les clients vers les concurrents P & O ou Eurotunnel. Un crève-coeur ! Marc est un des soixante derniers cheminots de la compagnie maritime qui compte une multitude de statuts différents. La liquidation ? Qui ne s'y attendait pas ? « Trois ans que ça dure et une semaine qu'on est en plein Dallas, de rebondissement en rebondissement, bougonne-t-il. On n'aurait pas été en campagne électorale, il y a longtemps qu'on serait morts ! » « Tous les jours, le stress » « Tous les jours, vous aviez ça dans la tête. Tous les jours, le stress ! » Laurence Le Gonidec avait beau s'attendre à cet épilogue. Elle ne s'y fait pas. Et craque. « J'ai du mal à finir mes phrases... » Laurence, 45 ans, deux enfants, 22 ans de SeaFrance, fait partie de ce collectif de salariés qui, en fin de semaine dernière, a voulu pousser une alternative à la coopérative de salariés (Scop) défendue par la CFDT Maritime Nord de Didier Cappelle et d'Éric Vercoutre. « On veut sauver un maximum d'emplois et on ne veut pas passer à côté d'un avenir qui nous a été volé. » Le regard se tourne vers LDA (Louis Dreyfus Armement) associé au Danois DFDS. Il y a quelques semaines, Natacha Bouchart, la maire UMP de Calais, avait essayé - en vain - de convaincre « le syndicat majoritaire » (la CFDT) de recevoir le tandem d'armateurs. Pour la CGT de SeaFrance qui doit rencontrer, demain mercredi, des représentants de LDA-DFDS, c'est clairement l'une des solutions. Le syndicat a réuni ses troupes au moment où tombe, à Paris, le couperet. Et, dans la Bourse du travail, le ressentiment fait des vagues. « Ça fait trop longtemps qu'on confond CFDT et marins, gronde un militant. De 2000 à 2009, c'est elle qui menait l'entreprise avec la direction de l'époque. Voilà où ça nous a menés. » Deuxième ville la plus pauvre de France, un chômage de plus de 16 %, Calais encaisse. La liquidation de SeaFrance, ce sont 880 emplois directs supprimés et autant d'indirects menacés. Il est 16 h. Sollicitée de toutes parts, la sénateur-maire, Natacha Bouchart, fait front. « Au-delà des parts de marché, ce sont des hommes, des femmes menacés. Mais il reste des solutions à étudier dès demain : LDA-DFDS, la Brittany Ferries, Eurotunnel... » En début de soirée, elle doit présenter ses voeux à la population et elle a eu, dit-elle, l'assurance des marins qu'en revenant de Paris, ils ne provoqueraient pas « de troubles à l'ordre public ». Ils sont rentrés vers 18 h 15, avec, dans les têtes, abattement et colère froide. « On a pris une claque ce matin, concède Éric Vercoutre, le leader cédétiste. Mais la Scop est encore jouable. J'ai pas le droit de dire à mes adhérents : « On est morts. » D'ailleurs, faire déplacer un ministre (Nathalie Kosciusko-Morizet) à Calais 14 h après la liquidation (ce matin), on peut penser que c'est pas pour vendre du vent... » Toute la journée, les CRS ont patrouillé dans la ville. Calais n'a pas fini d'attendre. Marc PENNEC.
  8. Une affaire de gros sous pour payer la facture du mariage ??? Lyon. La mariée doit retirer son foulard : 50.000 € de dommages et intérêts réclamés http://www.letelegra...012-1559580.php Nassima A., une femme à qui une élue de Lyon avait demandé de retirer le foulard qui couvrait sa chevelure, lors de la célébration de son mariage en juin 2011, ainsi que son époux, ont demandé au maire de la ville 50.000 € de dommages et intérêts. Fatiha Benahmed, adjointe (EE-LV) au maire du IXe arrondissement, a pris une décision "illégale", selon l'avocat du couple, qui a porté "atteinte à la liberté fondamentale qu'est la liberté de religion" et a créé "une humiliation lors de ce moment si précieux qu'est la célébration du mariage", peut-on lire dans la lettre adressée au sénateur-maire PS de Lyon, Gérard Collomb. Il lui est demandé 25.000 € pour chacun des époux, faute de quoi ils engageront un recours devant la justice administrative pour être indemnisés. Le couple a déjà introduit devant le tribunal administratif de Lyon une "requête en annulation", sur le fond, contre l'ordre donné à Nassima A. de retirer son foulard. L'affaire ne devrait pas être examinée avant plusieurs mois. Défendre la "liberté de la femme" Me Gilles Devers, l'avocat du couple, s'appuie sur la législation relative aux contrôles de la validité des mariages. "L'officier d'état civil doit s'assurer de l'identité des futurs époux, mais seul le port d'une pièce vestimentaire dissimulant le visage l'empêcherait", explique-t-il. Le couple est soutenu par la Coordination contre le racisme et l'islamophobie(CRI), une association lyonnaise. Pour justifier sa demande, l'élue avait affirmé peu après le mariage défendre "la liberté de la femme". Elle avait reçu le soutien du préfet du Rhône, qui avait salué son "attitude républicaine".
  9. Tout est relatif quand même ... Sur wikipédia "Fils de Gérard Coupat, médecin, et de Jocelyne Coupat, cadre supérieur chez Sanofi-Aventis" http://fr.wikipedia.org/wiki/Julien_Coupat
  10. Tarnac : la justice enquête sur des écoutes illégales menées avant l’affaire du sabotage http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/01/09/tarnac-la-justice-enquete-sur-des-ecoutes-illegales-menees-avant-l-affaire-du-sabotage_1627308_3224.html C'est une nouvelle petite victoire pour les mis en examen de Tarnac (Corrèze), soupçonnés depuis novembre 2008 d'avoir saboté des lignes de la SNCF. Une information judiciaire a été ouverte dans l'affaire des écoutes sauvages de l'épicerie gérée par le petit groupe, un dossier annexe au sabotage. La juge d'instruction de Brive-la-Gaillarde a estimé, le 3 janvier, qu'il y avait lieu àinstruire sur le chef d'"atteinte au secret des correspondances" et d'"atteinte à l'intimité de la vie privée" que le procureur de la République souhaitait écarter. Pour MeWilliam Bourdon, l'avocat de la société du Magasin général de Tarnac, qui avait porté plainte avec constitution de partie civile en février 2011, la justice rentre ainsi dans la "phase sombre du dossier". Le 11 novembre 2008, neuf personnes appartenant à la mouvance "anarcho-autonome" sont interpellées à Tarnac (Corrèze) et Paris. Elles sont accusées d'avoir posé des crochets métalliques sur des caténaires pour désorganiser les lignes de la SNCF en octobre et novembre 2008. A l'issue de leur garde à vue, quatre d'entre elles sont remises en liberté, cinq sont placés en détention provisoire. Tous sont mis en examen pour "association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte terroriste", sauf Julien Coupat, considéré comme le leader du groupe, qui est mis en cause pour "direction ou organisation d'un groupement formé en vue de la préparation d'un acte terroriste". Installé dans le petit village de Corrèze depuis le début des années 2000, le groupe s'occupe d'une épicerie-bar-restaurant et élève des animaux sur les 40 hectares de la ferme du Goutailloux. La qualification terroriste des faits, le maintien en détention de M.Coupat jusqu'en mai 2009 sont largement médiatisés ainsi que le contrôle judiciaire strict imposé dans un premier temps aux remis en liberté. La fragilité des éléments à charge de ce que la ministre de l'intérieur de l'époque, Michèle Alliot-Marie, avait qualifié d'"opération réussie" dans le "milieu de l'ultragauche" est assez vite apparue. Notamment les accusations d'un témoin sous X, rapidement démasqué par la presse et qui aurait subi des pressions des policiers. ZONES D'OMBRE L'affaire des écoutes, quant à elle, est antérieure aux sabotages. Tout débute en mars2008, alors que le groupe vit tranquillement à Tarnac. Gaëtan Fussi, l'un des cogérants de l'épicerie, qui ne sera pas concerné par l'affaire des sabotages, remarque que les télédéclarations de carte bancaire, par l'une des deux lignes téléphoniques du magasin, ne sont plus effectuées. La petite équipe se tourne d'abord vers sa banque. Après une série de tests et un changement de machine, toujours rien. Le problème vient de la ligne téléphonique. Un technicien de France Télécom se rend sur place, le 4 avril. Et là, dans le local technique, surprise : un boîtier d'origine inconnue est branché, en parallèle de la ligne. M. Fussi plaisante : et si c'était la police? Le technicien répond, très sérieusement: "Ça se pourrait bien, je vais appeler mon chef, on verra bien." Après le coup de fil du technicien à son responsable, M. Fussi comprend qu'il s'agit bien d'un dispositif d'espionnage et le boîtier est débranché. Le petit groupe a donc été écouté. Ce n'est pas forcément une surprise. En 2008, la mouvance de l'ultragauche fait l'objet de toutes les attentions du renseignement français. Trois membres du groupe de Tarnac sont fichés aux renseignements généraux dès 2002, après une occupation sur le campus universitaire de Nanterre; en 2005, la fiche de Julien Coupat est modifiée pour "mise sous surveillance"; en janvier 2008, enfin, Julien Coupat et sa compagne Yldune Lévy ont été signalés par le FBI après s'être soustraits à un contrôle d'identité à la frontière canadienne. Pour autant, "aucun fondement juridique ne pouvait justifier une quelconque écoute", souligne Me Bourdon. L'enquête préliminaire pour "association de malfaiteurs à visée terroriste" n'a été ouverte par le parquet de Paris que le 16 avril 2008. Elle fait suite à un signalement du groupe au procureur par la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire. Sur quelles bases le groupe a-t-il été signalé à la justice, et donc surveillé de manière officielle, puis mis en cause dans l'affaire des sabotages de lignes SNCF? Si des écoutes illégales étaient à l'origine de ces procédures en cascade, c'est tout le dossier qui pourrait être touché. Car l'instruction de Brive vient s'ajouter à une autre information judiciaire ouverte en novembre2011 par le parquet de Nanterre pour "faux et usages de faux en écriture publique" concernant un procès-verbal policier. Le "PV104" est une pièce majeure du dossier. Il s'agit du compte rendu de la filature de Julien Coupat et Yldune Lévy la nuit des sabotages sur les lignes de la SNCF, les 7 et 8 novembre 2008. Pour la police, il prouve que le couple se trouvait à proximité d'une des lignes sabotées, en Seine-et-Marne. Selon la défense, il est truffé d'incohérences, peut-être destinées àmasquer la pose illégale – là encore – d'une balise sous la voiture de Julien Coupat. Autant de zones d'ombre qui pèsent sur l'instruction principale concernant les faits de sabotage que le juge d'instruction Thierry Fragnoli devrait boucler dans les prochains mois, après d'ultimes auditions. Laurent Borredon
  11. Landerneau. Rencontre avec le père de l'indice de bonheur mondial http://brest.leteleg...012-1558071.php Ancien énarque, Pierre Le Roy publie depuis dix ans son indice de bonheur mondial, une mesure du développement des pays qui contraste avec l'austère PIB. C'est avec joie qu'il a répondu à l'invitation de Don Bosco à Landerneau (*) et à nos questions. Quelle est la méthodologie de votre indice de bonheur mondial? Je l'ai élaboré en quatre chapitres: "paix et sécurité", "liberté, démocratie et droit de l'homme", "qualité de vie", "formation, culture". Chaque chapitre contient dix indicateurs. Lorsque j'ai démarré ce calcul, en 2000, j'ai placé au niveau 100chacun des 40 critères (les classement sur le site www.globeco.fr). En dix ans, mon indice du bonheur mondial (IBM) a progressé de 1% par an. Sur cette même période, le produit intérieur brut mondial a augmenté de 40%. L'argent ne fait donc pas le bonheur? L'IBM tempère la vision idyllique du PIB. Sa contribution au bonheur est tout à fait discutable. Quels pays réalisent le plus grand écart? Les États-Unis sont parmi les premiers au monde selon le PIB, ils sont bien moins classés par l'indice de développement humain (IDH) à cause de leur espérance de vie (inférieure à Cuba par exemple) et se retrouvent très mal classés à l'indice de bonheur mondial (22e sur les 60pays de plus de 5millions d'habitants retenu) car c'est un pays perpétuellement en guerre et frappé d'un taux de morts violentes très supérieur à la moyenne. Les pays nordiques s'illustrent par un décalage inverse. Prenons la Suède, seulement 70e au classement PIB, elle est seconde à l'IDH et je la classe première à l'IBM. Et la France? Septième ou huitième au PIB, 13-14e à l'IDH et 11e à l'IBM. Je me demande si nous n'allons pas intégrer le top ten car l'Irlande, dixième, régresse. On n'est pas si malheureux que cela en France alors? Dernièrement, l'Insee a réalisé un sondage auprès de 25.000 Français, leur demandant de placer leur niveau de satisfaction sur une échelle allant de 1à 10. À la grande stupéfaction, le curseur s'est arrêté à une moyenne de 7,2. Après, si on leur demande comment va la France, il y a peut-être moins d'enthousiasme. Vos paramètres signalent néanmoins des choses à améliorer... Oui, le taux de pauvreté ne diminue plus depuis 5-10 ans, par exemple. Mon critère d'analyse révèle un taux de pauvreté de 13,5% en 2010. Moins bien que les pays scandinaves (autour de 8-10%) mais mieux que la Grande-Bretagne (15%) et que l'Allemagne (16%) pourtant citée en modèle pour son faible taux de chômage. C'est oublier qu'en Allemagne, 5millions de jeunes doivent faire des petits boulots pour obtenir leur allocation de 500 € par mois. (*) Conférence au siège de Don Bosco (parc d'innovation de Mescoat, Landerneau), à 16h15 ce lundi (entrée libre et gratuite). Projection du film «Indices», au cinéma Le Rohan, par le collectif ciné, à 20h30 (5 €), suivie d'échanges avec la salle. Une démarche prise au sérieux Don Bosco s'inspirera de l'indice de bonheur mondial et de bonheur national brut (autre création, plus récente, de Pierre Le Roy) dans la rédaction de son futur Agenda 21 social. «Une bonne idée», soutient Pierre Le Roy. «Je veux bien leur donner un coup de main. Qu'une association mène une réflexion peut inciter des collectivités, des municipalités, des administrations, des ONG à débattre à leur tour». Selon le développeur de l'IBM et du BNB, on peut retenir dans la liste de ses 40 critères, ceux qui paraissent significatifs et utiles à l'amélioration des conditions de vie de chacun. Des élus ont d'ailleurs déjà mené cette réflexion. Pierre Le Roy cite Jean-Louis Borloo à la mairie de Valenciennes et Marie-Christine Blandin quand elle était présidente du conseil régional Nord-Pas-de-Calais. «Mais ils n'ont pas osé appeler cela du bonheur». Cache ta joie Un terme tabou? «Quand j'ai annoncé à ma femme mon intention de créer un indice du bonheur mondial, elle m'a prévenu que l'on allait se foutre de moi». Pierre Le Roy s'en moque. Il sourit quand les Pays-Bas instaurent un indice de bien-être économique, quand un institut de Dubaï celui de prospérité. Du bonheur qui ne dit pas son nom. Mieux encore, l'ONU prend la démarche de Pierre Le Roy de plus en plus au sérieux: «Elle a ajouté des critères que j'utilisais déjà, comme la sécurité, à son indice de développement humain. Du coup, son classement est très proche du mien. Seule différence, je suis le seul à ne pas avoir honte de parler de bonheur».
  12. Il y a des fois ... On ne sait à quel saint se vouer... SeaFrance : un syndicalisme à la dérive http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/01/09/seafrance-un-syndicalisme-a-la-derive_1627342_3224.html#ens_id=1593764 Demain, des syndicats dans la gendarmerie ? http://moreas.blog.lemonde.fr/2012/01/07/demain-des-syndicats-dans-la-gendarmerie/
  13. Bon Ben pas d'anniversaire aujourd'hui... désolé !
  14. Cérémonies des Voeux : c'est la crise... economies tous azimuths...
  15. Dans ce cas tu relèveras du statut contractuel ex-PS25. Il y a des fils de discussions sur le forum qui traite de cette situation. Peux-tu nous dire ton âge excatement ? "Le recruteur" ne t'a pas donné d'indications sur ta future rémunération ? Est-ce qu'il t'a donné d'autres indications : grade ? statut ? catégorie comme contractuel ?...
  16. «La gauche, ce n’est pas que la social-démocratie bégayante» Jean-Luc Mélenchon espère convaincre, au-delà du Front de gauche, les électeurs socialistes, avec des idées plus affirmées que François Hollande : http://www.liberation.fr/politiques/01012381841-la-gauche-ce-n-est-pas-que-la-social-democratie-begayante Déjà un an qu’il est candidat. Jean-Luc Mélenchon, représentant du Front de gauche à la présidentielle, compte sur le mois de janvier pour décoller. Après l’adresse aux Français de François Hollande dansLibération, l’ancien socialiste répète qu’il est là pour porter les couleurs d’une «autre gauche» en 2012.
  17. La solution : Une plage morbihanaise bien accueillante cartonrouge cartonrouge
  18. La France coupée en 5 Sondage en ligne JDD-IFOP: http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/intentions-de-vote-hollande-sarkozy-plus-que-deux-points-d-ecart-08-01-2012-1558333.php Nathalie Arthaud..............................0,5% Philippe Poutou...............................0,5% Jean-Luc Mélenchon...................... 6% Eva Joly ..........................................3%, François Hollande.........................28 Jean-Pierre Chevènement............. 0% François Bayrou...........................12% Christine Boutin............................. 0,5% Corinne Lepage............................ 0,5% Dominique de Villepin................... 2,5% Nicolas Dupont-Aignan.................. 0,5%, Hervé Morin................................... 1%, Nicolas Sarkozy.............................26% Marine Le Pen...............................19%
  19. Aurais-tu conservé un lien ou une source. Merci d'avance.
  20. France : Chiffres clés du transport - Édition 2011 http://www.developpement-durable.gouv.fr/Chiffres-cles-du-transport-Edition.html
  21. Ouverture du Fret ferroviaire à la concurrence http://www.developpement-durable.gouv.fr/Ouverture-du-Fret-ferroviaire-a-la.html Dans le cadre de l’application des textes communautaires, la France a ouvert à la concurrence le marché du fret ferroviaire. Conformément aux dispositions du premier paquet ferroviaire, cette ouverture n’a d’abord concerné que le fret international sur les lignes du réseau trans-européen de fret. Elle a été effective au 7 mars 2003 (décret n° 2003-194 du 7 mars 2003 /relatif à l’utilisation du réseau ferré national/). Suite à l’adoption du deuxième paquet ferroviaire, transposé pour la dernière étape par la loi n°2006-10 du 5 janvier 2006 /relative à la sécurité et au développement des transports/, le transport ferroviaire de marchandises est une activité qui est entièrement ouverte à la concurrence (fret international et domestique) en France depuis le 31 mars 2006. Pour pouvoir circuler sur le réseau ferroviaire français, les entreprises ferroviaires doivent disposer, d’une part, d’une licence européenne d’opérateur de fret ferroviaire délivrée par leur pays d’établissement (par le ministère chargé des transports pour les entreprises françaises) ou par un autre Etat membre de l’Union européenne, et d’autre part, d’un certificat de sécurité délivré, pour les lignes sur lesquelles l’opérateur souhaite circuler, par l’Établissement Public de Sécurité Ferroviaire (EPSF). CFTA Cargo a été le premier « nouvel entrant » à circuler en France en juin 2005. Son activité d’entreprise ferroviaire a été ensuite reprise par VEOLIA Cargo France. En fin d’année 2009, la SNCF a repris les activités de Veolia Cargo en Allemagne, aux Pays-Bas et en Italie. Eurotunnel (ou plus précisément sa filiale Europorte) a repris les activités françaises de Veolia Cargo. Si Fret SNCF continue d’être un acteur incontournable en France, aujourd’hui, neuf autres entreprises ferroviaires circulent sur le réseau ferré français. L’activité des nouveaux entrants, qui était en 2006 très limitée (moins de 1% de part de marché), a atteint pour 2007 une part de marché de 4,7 % en tonnes-kilomètres transportées, a dépassé en 2008 une part de marché de 10 % et atteint 20%, fin 2010.
  22. Le secteur ferroviaire sur le même site ministériel http://www.developpement-durable.gouv.fr/-Secteur-Ferroviaire,1323-.html
  23. 8 janvier 2012 L’atlas du tramway dans les villes françaises Issu du programme de recherche IPRAUS-PREDIT(*), et lancé à l’initiative de la direction de la recherche et de l’innovation (CGDD/DRI), cet ouvrage, qui comprend une riche iconographie, sera utile à tous les experts des transports et aux décideurs publics, responsables des collectivités et porteurs des politiques nationales de transports. L’auteur, spécialiste de l’histoire et de la morphologie urbaine, décrit le retour du tramway au cours des quatre dernières décennies, au travers de vingt-huit portraits de villes, révélés par les itinéraires des lignes et des cartographies originales. Post-facé par un membre de la mission transports du service de la recherche de la DRI, cet atlas éclaire les transformations induites par le tramway dans la ville -centres et entrées de ville, désenclavement des quartiers et prise en compte de l’étalement urbain- et les spécificités de ce mode de transport public particulièrement pertinent au regard des objectifs de la Ville durable. (*) PREDIT : Programme de recherche et d’innovation dans les transports terrestres - IPRAUS : Institut Parisien de Recherche : Architecture, Urbanistique, Sociétés, Département du CNRS, Laboratoire de l’Ecole nationale supérieure d’architecture (ENSA) de Paris-Belleville et Laboratoire de l’Université Paris X-Nanterre http://www.developpement-durable.gouv.fr/spip.php?page=article&id_article=24855
  24. Transports routiers de marchandises au troisième trimestre 2011 http://www.developpement-durable.gouv.fr/Transports-routiers-de,25787.html En données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables, l’activité de transport routier de marchandises du pavillon français, mesurée en tonnes-kilomètres, est en hausse de 2,4% au troisième trimestre 2011, après une progression de 1,1% (révisée) au deuxième trimestre. Le transport pour compte propre progresse de 2,7%, à un rythme légèrement supérieur à celui du transport effectué pour compte d’autrui (+2,4%). La croissance de l’activité est tirée davantage par le transport national qui augmente de 2,5% comparée à une évolution plus lente de 1,3% du transport international.
  25. A comme Anti-social... Le livret A dans la ligne de mire du gouverneur de la Banque de France Ne pas revaloriser le taux du livret A, même si l'inflation augmente. C'est le petit calcul qu'envisage Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France, quitte à déroger aux règles qui régissent le calcul de ce taux. S'il franchissait le pas, il s'agirait d'un nouveau coup porté contre le pouvoir d'achat des Français, déjà bien attaqué par les plans d'austérité successifs du gouvernement et la crise actuelle. Soutenir la croissance L'intervention de Christian Noyer ce matin sur Europe 1 a tout du ballon sonde pour habituer l'opinion à cette idée, avant de la rendre effective. La mise en place de cette mesure aurait pour conséquence de rendre un peu moins attractif le Livret A, donc d'inciter les Français à consommer plutôt que d'épargner. Or, avec le retour de la récession, nos compatriotes ont fait le choix inverse. Le total des dépôts sur le Livret A a atteint des sommets: +16,53 milliards d'euros déposés depuis 2011. Un livret A à 2.25% plutôt qu'à 2.75% Le gouverneur se cache derrière des arguments techniques pour justifier une telle entorse aux règles de la Banque de France. Celles-ci édictent, via un calcul savant et presque bicentenaire, que le taux du livret A doit évoluer proportionnellement à l'évolution de l'inflation. Or, l'inflation devrait repartir à la hausse en ce début 2012. De 2,25% actuellement, le taux de rémunération du livret A devrait passer au 1er février à 2,50%, voire 2,75%. Le gouverneur et sa boule de cristal C'est sans compter Christian Noyer qui, tel Madame Irma, pressent que l'inflation va décroître au second semestre 2012. Or, le gouverneur peut suspendre pour un temps l'évolution du taux du Livret A. "Ce que je regarderai, c'est l'inflation qui va venir, parce que ça ne servirait à rien que le taux augmente légèrement pour rebaisser immédiatement ensuite", a-t-il prévenu. "Si l'inflation baisse il n'y a pas de raison d'augmenter le Livret A, en effet." Il faut noter que le gouverneur de la Banque de France n'a jamais réalisé la bidouille inverse: maintenir un taux de livret A élevé alors que les prévisions d'inflation s'orientaient à la baisse.
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