On peut toujours trouver quelques hypothèses explicatives :
- La pratique était peut-être courante , et jugée plus expéditive qu'un arrêt en pleine voie ? C'était au temps du vieux chemin de fer ...
- Un arrêt imprévu pouvait peut - être inquiéter d'éventuels accompagnateurs vêtus de gris-vert , dont on ne pouvait prévoir le réactions ? Le Canadairiste en question s'était retrouvé quelques mois auparavant collé au mur de la halle de Ruffec avec un canon de fusil dans le dos : refoulant pour accrocher quelques wagons sur voie de débord , hurlements derrière la loco au moment du contact . Le mécano ( ainsi appelait-on les ADC ) est extrait sans ménagement de la cabine et donc tenu en respect . Au bout de quelques minutes , ça se calme .Que s'était il passé ? Un touriste vêtu de gris vert avait délicatement mis sa main entre deux tampons au moment de l'accostage , car il ne voulait pas partir en excursion dans les provinces orientales de l'Europe... Et ses collègues de crier à l'attentat perpétré par ces méchants cheminots français .
CECI SE PASSAIT EN DES TEMPS FORT TROUBLÉS .
On ne peut juger avec des critères de 2016 des faits de 1944 ....