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PLANONYME

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Tout ce qui a été posté par PLANONYME

  1. A l'échelle de la SNCF, ce n'est pas un délai anormal. L'entreprise reçoit, bon an mal an, 250 candidatures par jour. Si elle les retenait toutes (ce qui est loin d'être le cas), en un mois elle aurait déjà dans son vivier plus de postulants qu'elle n'a de recrutements à réaliser dans l'année. Pour rassurer, les rejets de candidatures arrivent souvent assez vite (je dirais de l'ordre de deux mois). Les candidatures retenues prennent davantage de temps (jusqu'à 6 mois il me semble pas qu'il y ait quelque chose d'anormal). Sous toutes réserves.
  2. Feu votre père, contractuel ayant plus de 15 ans de service mais moins de 25, les facilités de circulation maintenues aux ayants droit seront les suivantes (extrait ; je n'ai pas mis toutes les tranches d'âge pour les enfants) : L'agence famille en charge de la délivrance de ces facilités de circulation sera celle des retraités. Je ne pense pas que vous ayez les identifiants pour la joindre via son service en ligne : https://services-aux-retraites.sncf.com/site/Account/LogOn?ReturnUrl=%2fsite%2f Vous pourrez donc essayer par un autre moyen :
  3. Me sentant coupable d'un hors sujet plus haut, pour répondre à la publication cette fois, j'ai demandé à Google qui m'a renvoyé à un dictionnaire en ligne de la langue française : https://www.lalanguefrancaise.com/dictionnaire/definition/aubine Sur le plan technique, on en parle ici : http://cnum.cnam.fr/pdf_ocr/8LE144_cnum_ocr.pdf J'avoue que j'aurais été incapable de dire avant ce que c'était. Mais maintenant je vois à peu-près. Quant à l'inventeur Aubine, il ne semble pas avoir laissé sa biographie sur la toile autrement que pas l'évocation de son système (1863).
  4. Mon adresse principale est toujours en Wanadoo. De même que d'autres adresses toujours en usage par des membres de mon foyer. Je me souviens de l'insistance d'Orange à vouloir imposer la bascule. Orange n'est pas le pire des F.A.I. mais je me méfiais que lors de cette bascule il y ait des problèmes techniques et que je n'aie personne à qui causer pour rétablissement. Je n'ai donc pas répondu aux injonctions qui étaient pourtant de plus en plus pressantes. Et aujourd'hui, j'ai encore une adresse Wanadoo. Ça signe le client fidèle et peu volatile ! Pour moi Orange il y a un petit air de P.T.T. * Je suis resté attaché. -------- * Anecdote. Dans mes dernières années d'activité (il y a plus de 10 ans) j'animais une formation ayant pour thème la prochaine ouverture à la concurrence (on y est !). Dans mon propos, je prenais à témoin mon auditoire composé essentiellement de jeunes agents du service commercial (spontanément rétifs à cette ouverture à la concurrence) et je leur faisais remarquer que dans la salle j'étais peut-être le seul à avoir encore un abonnement téléphonique P.T.T. (lire France Telecom à l'époque). J'ai eu droit à cette question en retour : c'est quoi les P.T.T. ? Moment de solitude.
  5. S.A. SNCF Voyageurs (source Bilan Social 2020) Retraité, je n'ai eu accès "par la bande" qu'au bilan social de la S.A. SNCF Voyageurs. Le Bilan Social est censé être mis à la disposition de tout salarié qui en fait la demande (article L.2323-72 du Code du travail). En activité, j'aurais volontiers testé...
  6. L’objectif du médecin du travail est d’adapter l’individu à son environnement et inversement. La médecine d’aptitude sécurité est quant à elle structurée autour d’une expertise technique dépersonnalisée. Le lien social de face-à-face avec le patient est remplacé par un acte médical délégué au personnel infirmier du travail. L’infirmier recueille l’urine du patient selon un protocole standardisé. Ce dernier doit vérifier qu’il n’y a pas de tricherie en contrôlant la température de l’urine recueillie puis procède à la mise sous scellés de trois échantillons (en cas de contestation) devant le patient. Pour la détection de l’alcool, une prise de sang est nécessaire. https://journals.openedition.org/communiquer/85
  7. "Mardi 4 janvier 2022 à 15h33 un accident grave de personne a eu lieu en gare de Saint Cloud sur un train en direction de La Verrière. II a eu pour conséquence : • L’interruption totale des circulations sur la ligne L entre Suresnes Mont Valérien et Versailles ainsi qu’entre Suresnes Mont Valérien et Garches Marne La Coquette dans les 2 sens. • L’interruption totale des circulations sur la ligne U entre La Défense et La Verrière dans les 2 sens. A 18h00, l’ Officier de Police Judiciaire a autorisé la reprise du trafic sur l’ensemble des lignes Transilien L et (source : https://malignel.transilien.com/wp-content/uploads/2022/01/EN2-ACCIDENT-PERSONNE-SCD-ET-LGK-DU-04-ET-05-JANVIER-2022.pdf ----------
  8. Très régulièrement des retraités s'adressent encore à la Caisse de Prévoyance de Retraite pour leurs facilités de circulation !
  9. Ce sont des tests psychotechniques, pas un contrôle de connaissances ! Par définition, on ne s'entraîne pas sauf pour faire illusion, à condition d'y réussir... et ce n'est pas gagné d'avance ! Chacun vient comme il est. Si un candidat sait que sa nature est de stresser outre-mesure, de paniquer, de ne pas savoir gérer les priorités, d'être tétanisé lorsque les choses ne se passent pas comme prévu, il doit bien sûr s'attendre à être recalé. Mais qu'y faire ? Chacun est comme il est. Quoiqu'il en soit, en situation opérationnelle stresser un minimum est somme toute une bonne chose. C'est une manière de se protéger et de protéger les autres en ne faisant pas n'importe quoi de manière irréfléchie et inconsciente. Les recruteurs se méfient de ceux qui ne stressent pas du tout, jamais ! Ce sont des têtes brûlées, potentiellement dangereuses dans les métiers de sécurité. A recaler aussi.
  10. Le COFO car il semble le plus qualifié (normalement !) au niveau d'un établissement pour savoir quelles sont les passerelles professionnelles, les pré-requis pour une formation, pour un changement de filière, en un un mot la politique de l'entreprise en la matière... et que le cas échéant c'est peut-être lui aussi qui a la casquette de la gestion prévisionnelle des ressources, sinon qu'il est nécessairement en boucle avec celle-ci. Mais vu de l'extérieur, le DPX est là en train de te balader. Postule à la conduite s'il y a des offres internes et si tu es retenu après les tests et les vérifications d'aptitude comme tout un chacun parmi les candidats, l'entrée dans une école de formation se fera. Ce n'est même pas ton DPX qui sera amené éventuellement à discuter de la meilleure date pour cette entrée en formation mais bien au-dessus de lui si les contraintes de production sont trop fortes. Imagine-toi croiser un jour Farandou (ça peut arriver). Il sera très intéressé de connaitre le nom de ton DPX qui décide à sa place que non les candidatures internes pour la conduite ça ne fait pas son affaire, ça ne l'intéresse pas pour des contraintes de gestion opérationnelle du remplacement dans le service cédant.
  11. Le DPX n'est décideur de rien en la matière. Le lui dire ou ignorer ce qu'il dit. A la rigueur, dans le staff de l'établissement il doit y avoir quelqu'un qui a spécifiquement en charge la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (on dit maintenant "gestion des parcours professionnels") et c'est à ce niveau-là que les entrées et les sorties se concertent. Lors d'un entretien individuel annuel (avec le DPX cette fois), il pourra d'ailleurs être utilement noté contradictoirement à la partie "souhaits de l'agent", son désir (et ses démarches !) pour entrer en formation d'agent de conduite afin que nul ne l'ignore en gestion prévisionnelle.
  12. Postuler là ou il y a des demandes. Il y aura une sélection pour entrer en formation. Que ça plaise ou non à l'établissement cédant, si validé ça se fera. Au mieux il y aura une négociation / concertation sur la date pour que l'établissement cédant puisse s'organiser dans sa propre production. Mais l'intérêt supérieur de l'entreprise prime (et c'est heureux comme ça). Cet intérêt supérieur c'est que l'entreprise a besoin de former des agents de conduite et qu'elle estime, avec raison certainement, qu'elle aura moins d'échec avec des candidats déjà rompus aux métiers du chemin de fer. Ne surtout pas laisser paraître ça ou savoir le surmonter ! Le métier d'agent de conduite nécessite une forte capacité de résilience. Ça sera d'ailleurs testé.
  13. C'est le souhait, l'espoir, que le jugement du Conseil de Prud'hommes soit ainsi ? Ou c'est l'attente de la notification d'un tel jugement déjà prononcé ? Car, vu de l'extérieur, il m'apparaît peu probable qu'un Conseil de Prud'hommes puisse valablement déclarer nulle (*) la rupture du contrat de travail consécutive à une réforme. Puisqu'il s'agit d'un décision, censée par assimilation émaner d'une autorité publique et qui sur le fond est donc sous contrôle, en cas de litige, des tribunaux administratifs. Et n'importe comment si une décision prud'homale en a, par cas d'espèce, décidé ainsi il reste encore le recours en appel que ne manquera sans doute pas d'engager la SNCF. ----- (*) Et donc remettre les parties dans l'état où elle se trouvaient avant la décision frappée de nullité, selon la formule juridique consacrée. ----- Sous toutes réserves.
  14. Il s'agit à la base d'une réorganisation et, pour la mener à bien sur le plan social, l'entreprise active le RH00910 bien nommé : "Dispositions pour accompagner la mobilité résultant des mesures d'organisation et d'évolution de l'emploi". Dans ce référentiel on peut lire plusieurs passages qui évoquent la mobilité concertée plutôt que contrainte et l'exploitation des opportunités tirées des projets individuels : Ce faisant, avoir demandé un changement de résidence en postulant, même s'il contient une part de convenances personnelles, ne s'oppose pas au RH00910 et aux mesures qu'il prévoit. Les RH ajoutent au référentiel des restrictions qui n'y figurent pas. C'est ma lecture. Sous toutes réserves bien entendu.
  15. Autre source fiable (normalement !), le Bilan Social 2021. Les montants intégrés ici intègrent tout ce qui est considéré comme éléments de rémunération, à l'exception par définition des allocations (de déplacement notamment) qui sont réputées être des remboursements forfaitaires de frais et non pas la compensation financière d'une sujétion professionnelle. C'est peut-être un problème d'ailleurs ?
  16. Je ne voudrais pas être oiseau de mauvais augure mais lorsque ce courrier va arriver à l'adresse unique nationale d'Amiens (pour y être numérisé et alimenter la file informatique de l'agence famille de rattachement), sans numéro de CP valide et reconnu il va rester dans la pile des inclassables... jusqu'à ce quelqu'un s'en occupe. Quel numéro / identification à la Caisse de Prévoyance puisqu'il semble, si j'ai bien lu plus haut, que cette inscription ait été menée à bonne fin ? Je ne suis pas convaincu par le chiffre 4 devant le numéro de CP pour identifier un retraité. Le chiffre 1 j'aurais été d'accord, mais en fait aucun service, ni caisse de retraite, ni agence famille ne semble l'utiliser puisque les 7 chiffres et la lettre suffisent (par nature il n'y a pas de doublon possible avec le numéro de CP d'un actif).
  17. C'est donc que la version du Statut que j'ai sous les yeux n'est plus à jour. A la réflexion, je me souviens effectivement avoir entendu parler que la notation à la qualification supérieure à partir du deuxième niveau de la qualification inférieure avait été retirée. Ce n'était d'ailleurs qu'une recommandation, quelque chose présenté comme relevant de la normalité, mais à laquelle il était possible de déroger déjà. C'est du choix n'importe comment ! A périodicité normale, une fois par an en vue des vacances déjà prévisibles. Ça se fait au cours du premier trimestre (en fait, les ébauches de classement sont déjà commencées depuis bien longtemps... depuis que vous tenez votre poste actuel). Toute la procédure est décrite dans le Statut.
  18. Tout ça est normalement dans le règlement du régime spécial de retraite qui aborde aussi la réforme et donc l'invalidité : https://www.cprpsncf.fr/documents/20182/24214/Règlement+du+régime+spécial+de+retraite+du+personnel+de+la+SNCF/813cd6a4-6a64-4cc9-b171-269174717d57?version=1.4 C'est la base. Plus ici ou là certainement des référentiels RH mais qui ne sont que les modalités et les procédures d'application.
  19. C'est le résultat d'une notation, d'une sélection pour alimenter "un vivier" à partir duquel les postes seront pourvus. Ça repose sur plusieurs critères énumérés dans le Statut, qui ne sont certainement pas une science exacte mais qui permettent d'avoir quelques repères : compétences, connaissances professionnelles confirmées, esprit d'initiative, faculté d'adaptation, capacité de commandement et d'organisation, etc. Libre aux notateurs / évaluateurs de ne chercher les bons candidats que parmi ceux qui ont un minimum d'ancienneté dans le niveau 2 de la qualification qui précède.
  20. Ici peut-être : https://services-aux-retraites.sncf.com/site/Account/ChangePassword
  21. Je ne vois la question que maintenant... La réponse a certainement été trouvée ailleurs mais elle sera néanmoins utile aux visiteurs de ce forum à la recherche d'une information similaire. La CPRPSNCF est la mieux placée pour répondre à cette question sur le cumul entre pension de réforme et revenu d'activité. Pour éviter des incompréhensions et des problèmes, il faut lui demander de préciser les choses. Par écrit ! Ne pas se contenter d'une réponse téléphonique par auteur inconnu. Et même par écrit, continuer à lui poser la question jusqu'à ce qu'elle ait répondu ce qui suit : Il arrive parfois en effet que la CPRPSNCF réponde une chose et son contraire. A la décharge de ses collaborateurs, c'est le domaine de la complexité. Sous toutes réserves.
  22. On en déduira donc que le papier bleu (convocation devant le Conseil de Prud'hommes) que la RATP a reçu lui aura fait activer l'édition des documents sociaux de fin de contrat, sauf à imaginer une pure coïncidence. Les places étant chères devant le Conseil de Prud'hommes, vu le délai somme toute assez long pour une simple audience d'orientation et de conciliation (c'est le CPH de Paris vraisemblablement), penser à se désister auprès du Greffe ce qui lui permet de libérer la place. Sauf à ce qu'il y ait d'autres contentieux que n'était ce défaut de remise de l'attestation pôle emploi. Au fait, le certificat de travail remis aussi ? C'est beaucoup plus important qu'un reçu pour solde de tout compte qui lui est un document pour l'employeur dont libre à lui de s'en passer (et n'importe comment s'il y a litige quelque part le salarié ne délivrera pas ce reçu !). Le certificat de travail est susceptible d'être demandé par un autre employeur potentiel. Pour ce qui est de la question de l'éligibilité au dispositif de Transition Professionnelle, tout est déjà dans les commentaires successifs de ce sujet. Et la réponse est négative pour un salarié d'un employeur public en auto-assurance. Il me semble assez vain de poursuivre la RATP devant le Conseil de Prud'hommes sur ce point : ce n'est pas sa décision mais celle de l'autorité administrative qu'est Pôle Emploi. Organisme qui devrait être comptable des mauvais renseignements donnés mais ça c'est une autre histoire !
  23. Rd72 a exprimé ses craintes ou interrogations par rapport à une possible réforme. Il s'agit donc d'un agent du cadre permanent. Sa "caisse", celle dont il dépend, ce n'est nulle autre que la Caisse de Prévoyance du personnel du cadre permanent de la Sncf (qui effectivement dans l'organisation de l'assurance maladie obligatoire a le statut et les fonctions d'une Caisse Primaire d'Assurance Maladie, un régime spécial ici). En fait c'est le médecin conseil de cette Caisse de Prévoyance qui émet un avis confirmant que l'agent en arrêt de travail au-delà de 6 mois, puis de 3 ans, est atteint d'une maladie grave mais curable permettant d'envisager la reprise d'un emploi au sein du groupe SNCF. Condition sine qua non pour le maintien de la rémunération (éléments fixes) à taux plein pendant un temps (limité) supérieur à 6 mois, si tant est que l'établissement accepte cette perspective (ce qu'il fait en général), sauf à engager une procédure de réforme. Je n'ai pas entrepris ce commentaire pour chipoter sur les termes et leur formulation. J'ai pour ma part compris le propos mais je crains qu'un lecteur moins avisé passant par ici puisse s'interroger sur "la caisse dont il dépend" (sic). C'est à dire penser à la CPAM de sa localité. Ce serait bien le cas pour un(e) contractuel(le) mais pas pour un agent du cadre permanent. Et dans le régime général, l'avis de la DRH ne serait pas demandé. Occasion de souligner que les contractuel(le)s bénéficient par accord collectif d'entreprise d'un régime de maintien de salaire en cas de maladie et également de prévoyance en cas d'invalidité. Mais là n'était pas le sujet. ----- Je suis resté ici dans le cadre d'un arrêt maladie puisque la reconnaissance comme conséquence (au moins partielle) d'un accident du travail n'est pas encore établie selon l'exposé de la publication. Si la rechute de l'accident du travail est confirmée, ça change quelque peu la donne et la protection du salarié sera somme toute meilleure (enfin le coût et le risque pour l'entreprise de le rayer trop vite de ses effectifs est plus élevé).
  24. Un jugement de Conseil de Prud'hommes (définitif ?) qui ordonne la réintégration ? Plutôt, au mieux, un jugement qui propose la réintégration en alternative à une indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse, non ? Seul un licenciement juridiquement nul pourrait conduire à la réintégration. Et en droit social, il n'y a pas de nullité sans texte sanctionnant ainsi expressément une décision de l'employeur (ça se voit par exemple pour les salariés protégés : représentants du personnel, femmes enceintes, accidentés du travail pendant la période de suspension du contrat de travail...). La réforme est par ailleurs une décision ayant la valeur d'un acte réglementaire (au sens droit administratif) ne relevant donc pas, sur le fond, de la compétence du Conseil de Prud'hommes. Ce dernier ne peut apprécier que la bonne application de la procédure et, s'il y a eu des écarts, en tirer des conséquences en matière indemnitaire sans pour autant que ça ne remette a priori en cause la décision déjà prise. Pour répondre enfin à la question, dans l'hypothèse d'une nullité de la rupture du contrat de travail, les parties (la Sncf employeur et le salarié) sont remis dans la situation où il se trouvaient avant la décision annulée. C'est donc une réintégration, même lieu, même emploi, même poste sauf pour les parties à trouver un meilleur accord. Et s'il y a problème pour la tenue de ce poste (inaptitude somme toute ?) engager de nouveau, à défaut de reclassement, la procédure idoine de réforme en veillant à ce qu'elle ne s'expose cette fois à aucun grief juridique. Sous toutes réserves de compléments d'informations.

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