Cyril83

Je suis d'accord. La FNAUT est très décevante sur ces questions. Ils connaissent pourtant le sujet, ils devraient savoir qu'il n'y a pas de correspondance entre compagnies (aériennes ou ferroviaires) différentes.

Si la CRIIRAD était "des guignols", ça se saurait quand même.

C'est un fait que... http://www.fnaut.asso.fr/index.php/etudes-et-debats/277-ouverture-a-la-concurrence-et-droit-des-voyageurs-.html Faudrait quand même savoir...

VFLI est-elle assurée ? Il me semble que la SNCF est son propre assureur, comme l'État.

Je pense que les gens ont compris que s'il s'agit de prendre connaissance des dernières promos à Carrouf (la grande distribution est un très gros annonceur pour la "PQR"), les prospectus et catalogues publicitaires ont le double mérite d'être gratuits et distribués à domicile, et que s'il s'agit d'en faire un usage hygiénique, le papier du même nom est moins cher et plus adapté. (N.B. : Mon propos n'est pas dirigé contre les journalistes qui travaillent dans la "PQR", qui écrivent ce qu'on leur demande d'écrire parce que comme tout le monde il leur faut bien gagner leur vie.)

D'après Wikipédia, cette scène a été tournée sur la ligne, deux ans avant la fermeture définitive et 28 ans après la fermeture au trafic voyageurs : Il ne reste plus grand chose aujourd'hui : http://goo.gl/maps/Q15Z

Dans le même registre, je regrette beaucoup la mise en place du SISVE sur le RER B. Avant, à Cité universitaire en direction du sud, le conducteur prenait lui-même le micro pour annoncer la destination du train, et finissait généralement son annonce en souhaitant une bonne journée aux voyageurs. Ce n'était pas toujours très audible (manque d'articulation, sono pourrie), mais cela permettait de se rappeler qu'il y a un conducteur dans la rame. Aujourd'hui, la voix de Simone-RATP est certes parfaitement audible, avec les annonces de la correspondance avec Orly-VAL en anglais et en espagnol, mais c'est totalement impersonnel, d'autant que l'annonce se termine par un "merci" qui ne veut rien dire.

Puisqu'il a pris 5 minutes pour la numériser et la faire circuler, j'espère qu'il a aussi pris 5 minutes pour y répondre.

Pas les présidentielles, les primaires du PS. Mais tu confonds avec la Dépêche du midi, torchon du même acabit mais qui sévit en Midi-Pyrénées (contre Languedoc-Roussillon pour Midi libre).

Je suis d'accord avec CRL cool : il ne faut pas exagérer. D'ailleurs, il y a bien d'autres manières que les faux en écritures comptables pour plomber les comptes de la SNCF et améliorer la rentabilité de ses filiales low-cost.

Contrairement aux chienchiens à leur mémère, les chats ont le bon goût de recouvrir leurs saletés. Mais cela reste une initiative à proposer au chef de la gare d'Annemasse.

Evidemment que la SNCF se fiche des chats écrasés, mais répondre à une lettre qui n'est ni impolie ni déplaisante, ça me semble toujours plus utile en terme d'image que de payer très cher des agence de com' pour décider de dire SNCF au lieu de la SNCF et pondre un énième logo Intercités.

Et puis encore une fois l'auteur de la lettre ne comprend pas qu'un train ne s'arrête pas quand le conducteur voit un chat sur les rails, ça nous paraît peut-être une question idiote, mais la majorité des gens, et même des descendants de cheminots, n'ont aucune notion de l'exploitation ferroviaire. Donc un peu de compassion, fût-elle de façade, ne ferait pas de mal.

Et notamment à Paf, chien héroïque qui a connu une fin tragique à quelques mètres du buisson.

Il y a beaucoup de trajets (quasiment tous ceux avec 2 correspondances, tous ceux avec plus de 2 correspondances) qui sont inconnus de VSC et nécessitent donc le recours au guichet. Notons que la DB et son logiciel HAFAS permettent des recherches d'itinéraire beaucoup plus sophistiquées que sur VSC. Il n'est pas impossible que la SNCF finisse par suivre la même orientation : un site internet qui vend tout, donc plus d'excuse pour aller au guichet, donc facturation de la vente au guichet.

Moi qui pensais que les cheminots appliquaient le règlement à la lettre. Bon, c'est certain que cette affaire de compostage ne remet pas en cause la sécurité des circulations... Justement, un expert aurait-il la réponse à la question que j'ai posée plus haut : peut-on faire une pause même si elle n'est pas mentionnée sur le billet (par exemple avec un billet ouvert qui mentionne juste "De Bordeaux à Roanne via Gannat, Clermont-Fd") ?

Ce n'est pas ce que j'ai lu dans la lettre, où il est écrit que le conducteur a sifflé. Il n'y pouvait rien, mais l'auteur de la lettre n'est peut-être pas très au fait de l'exploitation ferroviaire. J'espère que la SNCF enverra une réponse avec les banalités de circonstance ("nous sommes vraiment désolés", "toutes nos excuses", "il était malheureusement impossible au conducteur de s'arrêter", etc.). Si l'auteur de la lettre ne reçoit pas de réponse mais découvre qu'on se moque ouvertement de lui sur ce forum, je ne suis pas sûr que son image de l'entreprise en sortira grandie.

À Clermont-Fd, le guichet situé à l'arrière de la gare, côté parking, a été supprimé il y a une dizaine d'années, remplacé par une agence Avis. Peu après, la gare a obtenu le label "NF services". Quelques années plus tard, la BLS jaune qui se trouvait à l'entrée du passage souterrain a à son tour disparu, remplacé par un distributeur automatique de boissons et autres cochonneries sucrées. Ainsi tous les voyageurs sans billets qui arrivent par le parking doivent traverser le souterrain et se rendre au BV avant d'emprunter à nouveau le souterrain pour atteindre leur quai.

J'ai en effet le souvenir de la mention (sur les billets ?) suivante : "Le voyage doit être terminé au plus tard le lendemain du jour de compostage, à minuit." Mais le règlement actuel parle de voyage terminé "dans les 24 heures suivant le compostage", ce qui n'est pas la même chose et interdit par exemple de partir de Bordeaux à 8 heures, d'arriver à Clermont-Fd à 16 heures et de repartir pour Roanne le lendemain à 15 heures 30. C'est bien ce qui me semblait. Bon à savoir, pour les trajets avec réduction soumise à la réalisation d'un trajet A/R (je pense notamment à la carte Escapades). Sinon, des trajets avec plus de 4 segments, ça ne doit pas être fréquent quand même. Je ne me souviens pas avoir utilisé des billets de plus de 2 pages.

Je comprends mieux en effet les travaux vus à PBY début juin. Le parking côté Seine n'était plus qu'un vaste bac à sable. Cette gare est horriblement mal fichue (pas de bancs sur les quais, salle d'attente peu agréable), ça ne devrait pas s'améliorer avant quelques années, en revanche construire une gare routière et ajouter un panneau d'affichage, ça, ça se fait en quelques semaines ! Les élus auvergnats apprécieront. Par "centre de supervision", tu veux sans doute parler de la capitainerie ?

Bah non, dans ce cas, le billet n'est plus valable. Il faut donc faire établir deux billets séparés.

Pas 24 heures plus tard : 23 heures au plus... En principe, il ne te le demandera pas, et le règlement n'exige pas de recompostage. L'ASCT pourrait même te demander pourquoi ton billet est composté deux fois...

L'article 3.4 est assez clair. Je me suis déjà fait reprendre par l'ASCT car je n'avais composté que la première page. Cela étant, ce passage du règlement est assez ridicule. Les différentes pages forment un seul billet, donc si une page est compostée, le billet est forcément composté, avec tout ce que ça induit (impossibilité de demander l'échange et le remboursement, obligation de l'utiliser sur le champ). J'imagine déjà la réaction du voyageur qui se ferait verbaliser par un ASCT tâtillon parce qu'une seule des pages a été compostée.

Merci à Assouan. Le lien exact est celui-ci : http://a1848.g.akama...erales_SNCF.pdf Eh non ! Toutes les pages doivent être compostées avant de commencer le voyage.

Il s'agit d'un seul billet : Page 1/2 : Départ le 21/07 de Bordeaux, arrivée à Gannat, IC n ° ... Départ le 21/07 de Gannat, arrivée à Clermont-Fd, TER n° ... Page 2/2 : Départ le 22/07 de Clermont-Fd, arrivée à Roanne, TER n° ...