Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Roukmoute

Modérateur
  • Compteur de contenus

    17 904
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages publiés par Roukmoute

  1. Quand la personne n'a déja pas les moyens de manger à sa faim et bien regardons avant de sanctionner les moyens pour éviter justement les dérives et permettre à tous de pouvoir vivre et ne pas crever la bouche ouverte !!! cartonrouge

    Pas faux, mais ça ne donne pas le droit d'agresser quelqu'un (a fortiori un agent RATP/SNCF/autre qui ne fait que son boulot) ou de tout casser pour "exprimer son ras-le-bol de la société qui m'en veut et qui m'exclut". Il y a aussi des gens qui crèvent la dalle et qui sont respectueux des institutions et des installations, ceux-là sont-ils "trop bons - trop c***"?

  2. Up1: Enfin en RP, je commençais à avoir des yeux de hibou albinos

    Up2: J'ai pu enfin voir les images du record, il y a pas à dire, ça développe okokokokokok

    Down1: J'attends depuis ce matin le réparateur de chaudière cartonrougenonmaisnonmais

    Down2: La ligne D "commence sérieusement à me les briser menu"!

  3. La dernière est véridique, c'est creeping death de metallica okok (et oui j'ai eu ma periode trash moi aussi, mais ca fait quelques temps que j'ai arrèté lotrela)

    En tout cas ca change des messages de paix et d'amour dans le monde... okok

    Oui, c'est véridique, ça a même été tiré d'un livre qui a eu un certain succès à son époque : la Bible (il y en a qui connaissent? okok , chap l'Exode. Ah, ben oui, ça rigolait pas à l'époque quand le pharaon avait eu une prophétie, il ne faisait pas les choses à moitié. On doit tuer des nouveaux-nés? On tue des nouveaux-nés... Il n'aurait pas eu le bordel Gare du Nord, celui-là... okok

  4. Bonjour

    Je viens de Saâles dans le Bas-Rhin mdrmdr

    ( En prononçant cette phrase avec conviction, ça en a decontenancé certains )

    Mais j'habite à Vigneux (91), c'est moins poétique.

    Accessoirement Saâles est la plus haute gare du réseau Nord-Est (550m)

    Bonne journée

  5. N'empêche que la metro 14 se conduit manuellement. Une fois à chatelet la rame est tombé en panne (à 5h30 génial moi qui avait pris le premier car c'était le seul moyen d'être "à l'heure" 6/7mn avant le départ de mon train en gros mdrmdr ce fut raté ou presque) et justement un agent RATP à dévérouiller là ou il y a le petite barre en queue avec les 2 portes en-dessous (aie j'ai pas trouvé mieux et ça va déraper je sens) et c'est un pupitre certes sommaire mais qd même. Apparement la seule restriction c'est qu'ils ne peuvent dépasser 30km/h en CM.

    Bonjour

    Voir aussi ici

    Depuis, je ne parle plus des conducteurs de la ligne 14 en rigolant, parce que, eux, ne rigolent pas. Quand ils doivent intervenir, c'est que c'est la *****! mdrmdr

  6. Gare du Nord : le témoignage

    de Mohamed, 30 ans

    Mohamed, 30 ans, d'Argenteuil, était à la Gare du Nord mardi soir 27 mars. Il raconte les émeutes, son interpellation, et les conditions de sa garde à vue. Ni avocat ni médecin. Diabétique, Mohamed a été privé de son insuline pendant 36 heures. Il a fini à l’hôpital, avant d’être condamné jeudi en comparution immédiate à quatre mois de prison avec sursis pour jet de projectile sur les forces de l’ordre.

    Le témoignage :

    "J’étais pas loin, un copain m’a appelé pour me dire que c’était chaud, qu’il se passait des trucs dans la gare du Nord. Il était aux environs de 17 heures, quand je suis allé voir avec deux amis. On a vu un cordon de CRS et de policiers en civil dans le grand hall faisant face à une bonne centaine de jeunes soutenus par des passagers, des hommes, des femmes de tous âges. Ils se sont tenus en joue comme ça pendant près de trois heures. Les gens étaient de plus en plus nombreux, le bruit avait vite couru qu’un type avait été malmené, humilié pendant un contrôle, mais on ne savait rien de plus, il se disait même que c’était un mineur. Je suis resté pour tenter de calmer les jeunes, et parce que je trouvais la situation très dangereuse: les jeunes et les policiers étaient vraiment tendus, et les passagers, vieux et moins vieux, femmes et enfants continuaient de circuler.

    Il y avait un type très grand, très costaud, que j’ai reconnu, un membre de la Tribu K, qui haranguait la foule, chauffait les gamins : "On est des victimes !". J’ai aussi vu une petite dame âgée, venue me demander ce qui se passait, je lui ai parlé du jeune contrôlé de façon violente, elle a aussitôt levé son poing, elle s’est dirigée vers les forces de l’ordre, et elle leur a dit "li-bé-rez le jeune, li-bé-rez le jeune !". Les jeunes, eux, criaient : "Sarkozy, fils de …" Et puis, les CRS ont chargé, et gazé. Tout le monde a pris.

    Une autre charge nous a poussés vers les portiques qui conduisent au RER D. Là, les jeunes ont tout cassé. Moi, j’étais contre les pillages, je leur disais, "arrêtez, arrêtez ! Ca sert à rien, et en plus vous voyez pas qu’ils vous filment, les flics ! Arrêtez !" Rien à faire… Le magasin Footlocker a été détruit par un seul gamin, tout seul, avec sa barre de fer. Il a cogné, il est rentré et je l’ai vu ressortir avec des survêtements plein les bras.

    Mais le plus impressionnant, c’était les filles: elles avaient la rage, et elles étaient nombreuses, j’en ai vu une détruire toute seule le photomaton, une autre la machine à distribuer des boissons et des barres de chocolat toute seule aussi. Les charges étaient de plus en plus nombreuses, de plus en plus violentes. C’est là que j’ai pris un coup de colère. J’ai ramassé une pompe par terre devant Footlocker et je l’ai jeté sur les flics. Ils m’ont vu et je suis devenu leur cible. J’ai fait cinquante mètres en courant, mais ils m’ont rattrapé. Il était 20h15. Je me suis débattu, j’ai même arraché la matraque d’un flic. Et puis trois autres sont arrivés, je me suis retrouvé face contre terre, écrasé au sol, j’entendais un chien qui hurlait en me bouffant le crâne. Et puis ils m’ont traîné jusqu’au poste de la Gare du Nord, où je suis resté à peine cinq minutes avant qu’ils me transfèrent à rue Riquet, à la porte de la Chapelle, à l’USIT.

    Pendant le voyage, dans la voiture, le policier assis avec moi à l’arrière me tapait dans les côtes avec le bout de sa matraque. A 20h40, j’étais rue Riquet, attaché à un banc. Après, ils m’ont mis à poil, m’ont demandé de m’accroupir pour un toucher rectal. Et puis, je leur ai signalé que j’étais diabétique, qu’il me fallait de l’insuline, parce qu’en période de stress, les risques de tomber dans le coma redoublent, et je les ai prévenus que je pouvais avoir des propos incohérents. Je leur ai expliqué que normalement, avant 21 heures, j’aurais du me piquer. Ils ne m’ont pas écouté, ils s’en foutaient. Ils m’ont jeté en cellule avec les autres, j’étais KO, j’avais besoin de manger au moins.

    J’ai demandé mon repas. On ne me l’a jamais servi. Je suis resté 36 heures sans manger, ni boire une seule goutte d’eau. Et je n’ai ni de médecin ni d'avocat. Je sentais que j’allais de plus en plus mal, j’ai demandé mon insuline à plusieurs reprises. Ils m’ont transféré à 3 heures du matin dans la nuit de mercredi à jeudi au dépôt du palais de justice. J’ai des souvenirs troubles parce que j’allais vraiment très mal, là. Ils m’ont à nouveau déshabillé, à nouveau fait un toucher rectal. Je crois qu’ils pensaient que je simulais, ils trouvaient mon état étrange, j’avais du mal à parler.

    Un médecin passait voir les prévenus, il m’a examiné, a testé mon taux de sucre dans le sang. La moyenne est normalement à 1,30 g par litre de sang après un repas. Moi, j’étais à 5g par litre de sang, là. Le docteur a aussitôt prévenu que mon état nécessitait une hospitalisation en urgence. Il a insisté. Et je sais qu’il y a seulement quelques dizaines de mètres du dépôt à l’Hôtel Dieu.

    C’est pourtant à 9 heures du matin seulement que les policiers m’y ont conduit. Ils m’ont traîné jusque là-bas. J’ai été mis immédiatement sous perfusion. Ils m’ont soigné, et donné à manger. Il a fallu me réhydrater pendant quatre heures. Et puis, j’ai été ramené au dépôt, en cellule. Jusqu’à 19h30, j’ai regardé les autres partir aux comparutions immédiates, je les voyais revenir, en larmes. Le type qui est passé juste avant moi a pris quatre mois ferme pour avoir jeté une canette vide sur les policiers. Je me disais qu’avec ma basket, j’allais en prendre au moins autant que lui. Sauf que lui a dit qu’il avait agi "pour rigoler". Moi, ce n’était pas mon cas.

    J’ai expliqué que je trouvais que la police ne gérait plus du tout la situation, et que j’ai lancé la chaussure de colère, après avoir tenté de calmer les jeunes, et voyant que les flics ne cessaient de gazer tout le monde, alors qu’il y avait des passants. J’ai été condamné pour jet de projectile sur les forces de l’ordre à quatre mois de prison avec sursis. J’étais libre, jeudi, à 20h15.

    Là ils m'ont proposé de me conduire à nouveau à l'hôpital, pour mon insuline. Je leur ai dit non, je voulais rentrer chez moi."

    Propos recueillis par Elsa Vigoureux

    site nouvel observateur

    Bonsoir

    Désolé pour lui si tout ce qu'il raconte lui est vraiment arrivé. Ça serait même scandaleux. Mais perso, à sa place, à ce moment-là, je serais voir à l'autre bout de Paris si j'y suis. D'autant plus que lancer "une" chaussure sur les flics qui devaient être pour le moins tendus n'était pas la chose la plus intelligente à faire. Il a voulu faire le malin, bien mal lui en a pris.

    Quant à son interpellation, apparemment, il s'est débattu, donc qu'il ne s'étonne pas s'ils lui sont tombés dessus à 4 sur le paletot. D'ailleurs, à ce propos, quand on parle d'"agression" de la part des flics sur une personne, c'est souvent des techniques d'interpellation qui sont utilisées qui sont très spectaculaires mais efficaces et qui sont le moins "traumatisantes" possibles si on se laisse faire.

    De plus, son histoire est quand même pas très vraisemblable surtout quand il parle du Footlocker "détruit par un seul gamin". Pour ce que j'en ai vu à la télé, le magasin a été complètement pillé. C'est con, parce que si son histoire est vraie, cette phrase la décrédibilise.

    Donc, pour conclure, pour moi, il n'y a aucune pitié à avoir envers tous ces *$ù!àç_&%? qui ont tout saccagé juste pour le plaisir de saccager et qui, après, répondent "c'est pas notre faute m'sieur c'est la faute à la société, tu comprends m'sieur?... Oh enc**é!"

    Bonne soirée

  7. Avec humour, je dirai : "vous n'allez pas enore nous ressortir la vieille légende du précurseur qui était parti HLP à 120 parceque la rame réversible n'avait pas été attelée..."

    Ben, non, je ne pensais pas à ça.

    Ces essais ont eu lieu en 1996/97 (dans ces eaux-là) lors des essais de TTL (Trains très longs = 1200m) entre Metz/Lunéville/Sarrebourg. Il me semble me souvenir que, le dernier jour, des essais ont été effectués HLP et donc à 120 km/h. Je dis tout ça de mémoire, je tacherai de retrouver la revue qui en avait parlé à l'époque.

  8. Pour des essais tu peux faire plus vite... Il y a quelques années il avaient fait rouler des HLP à 120, et maintenant certaines machines sont validées HLP à 120. Récemment ils ont fait des essais à 200 HLP ... :)

    À noter que les essais de HLP à 120 avaient été faits avec des 16500 qui, quelques années plus tard, sont passés locs LF1... Va comprendre, Charles...

  9. Bonjour,

    Bien entendu que nous sommes seuls, nous avons en plus la formation Steeve Austin pour être simultanément à plusieurs endroits :Smiley_09:

    Sérieusement, bien evidemment que nous sommes au moins deux pour les essais de frein. Un équipage est au moins composé de deux personnes, un conducteur et un afrcm. Les deux personnes ont la même formation mais ne font pas conducteur ET afrcm simultanément.

    J'ai bien précisé que ce n'était pas clair, c'est pour ça que j'ai posé la question

    Je cite : "Cela veut dire que sur dans les EP le conducteur dois faire l'attelage de sa machine puis faire la RAT puis fairre l'essai de frein pour ensuite remplir un relevé de composition puis le bulletin de freinage"

    Mais me voilà rassuré :Smiley_34:

  10. Tu dois avoir raison pour les 88500, mais il me semblait qu'il n'y avait plus rien pour basculer les réducteurs à l'image des 6500 "Fret" qui n'avaient plus de manivelle pour basculer les réducteurs sur GV... Mais venant du SL, tu dois savoir de quoi tu parles.

    D'ailleurs, je pense te connaître !!!

    C'est sûr qu'il n'y a pas 50 gars qui étaient à la plaque, qui sont TB maintenant et qui sont passés par Laroche!

    Je me disais aussi qu'on doit se connaître mais pour moi ça reste flou...

    Apparemment, on se servirait des diesels pour pouvoir entrer dans les usines à bagnoles genre Poissy ou EP RNUR, et donc oui, ça passerait par la GC Sud. Mais pour l'instant, j'attends du concret, j'ai eu plusieurs infos contradictoires...

    Quant à la 36000, j'ai gardé mon autorisation, car j'en ai touché 2 ou 3 sur la GC.

  11. Effectivement, les 88500 ont leurs rapports bloqués sur "M" contrairement à ceux des 8500 qui ne sont pas bloqués.

    J'en sais quelque chose pour avoir fait beaucoup de remontes entre VSG et PLY à mes débuts !

    On avait droit aux 8500 pour tirer quelques trains ou circulations spéciales (train "Karcher" par exemple). Je ne vous explique pas les manipulations pour ne pas rester sur un cran !

    Pour ce qui est de sa formation Z2N, faut pas s'inquiéter, il fera connaissance avec le simulateur de NSY qui est une copie conforme de MI2N et il tournera de toute façon sur la banlieue Est qui utilise des MI2N et Z2N 4 caisses. Il aura donc tout le temps de s'y familiariser pendant ses stages pratiques.

    Quant à moi, je viens d'être autorisé BB 67400 et 66000 !

    Non, les réducteurs ne sont pas bloqués, la différence réside simplement dans la VL à 100 km/h au lieu de 100/140. J'en sais quelque chose: quand j'étais à la plaque (SUD), après un audit qu'on avait subi, le CUP et le chef du SL nous avait donné comme consigne de basculer les réducteurs sur V quand les locs étaient CV, y compris si c'était juste pour l'emmener à Valenton, et y compris les 88500 (et les 6500 qui avaient été mises à VL 100 à l'époque okok ). Ça avait été le principal reproche qui avait été fait à l'issue de l'audit.

    Pour en revenir au sujet d'origine, loc de base 7200/22200, maintenant je suis autorisé à peu près à tout ce qui peut tirer des wagons sous 1500V, à part 9200/300, 9600 et 25100/200. Je fus autorisé Diesel lors de mon passage à Laroche (66400 / EAD), mais j'ai appris récemment que je ne l'étais plus (TT 0035). Ça tombe bien, on va en faire à VSD à partir de cette année... Et allez, encore 2 semaines de formation qui auraient pu être évitées! lotrelalapleunicheuse nonmais

  12. bonjour

    je suis conducteur chez euro cargo rail. Pour repodre a tous ce que j'entends il est deja vrai de rappeler quie notre quotiendien professionnel est fais d'insultes et de gestes pas tres amicaux. Mais il y a quan dmeme des personnes (sncf) sympa et qui voient un peu plus loin que ca! En ce qui concerne nos condition de travail, il est vrai quelles sont differentes de celles de la sncf. En effet un conducteur ou un un tractionnaire pour ceux sncf chez euro cargo rail est aussi AFRCM ( agent formateur reconnaisseur chef de la manoeuvre). Cela veut dire que sur dans les EP le conducteur dois faire l'attelage de sa machine puis faire la RAT puis fairre l'essai de frein pour ensuite remplir un relevé de composition puis le bulletin de freinage( En gros 1h30 entre le moment d'arrivé sur sit et le depart). Mais meme si cela choque certains ca montre une autre partie du metier.De plus si incidents en ligne nous fesons preuves d'une reactivitée certaine.

    Pour ce qui est des condistions socials c'est vrai que ce n'est pas ca qui est ca et la un ttres grs travail reste a faire mais ceci reste des problemes interernes

    voila si vous avez des question je me ferai un plaisir de repondre

    PS: c'est surment moi que tyu as crois a la part dieu ds la class 66

    ballow

    Bonjour

    Une question, juste pour m'éclairer

    Quand vous faites les freins avant le départ, vous êtes tout seul, ou 2?

    C'est pas bien clair dans ce post... Si vous êtes tout seul, c'est pour le moins Rock n' Roll okok

  13. Bonjour

    Un truc qui m'est arrivé: j'ai eu un problème avec le BP (AC) SF qui avait du mal à acquitter par moment même en appyant plusieurs fois, en appuyant comme un ours, etc... J'ai tout essayé. Après le passage à plusieurs signaux fermés où je me suis fait des frayeurs, j'ai eu une première prise en charge où j'ai appliqué le GDI qui m'a permis de repartir, car à un moment il demande d'appuyer sur BP (AC) SF, et il a fonctionné.

    Au SF suivant rebelote, je me suis trouvé tout con quand le GDI me dit "appuyer sur le BP(AC) SF", j'appuie, le BP n'agit pas, le GDI me dit "dépannage terminé"! Je recommence le dépannage en prenant comme 1er indice la disjonction qui, je pensais, m'amènerait à tester puis isoler la RS (comme sur les 7200/22200). Et ben non, je suis allé droit à la DDS!

    Apparemment, pour la loc, tout allait bien et elle ne "comprenait" pas pourquoi je ne pouvais pas fermer le DJ.

    J'ai alors, de ma propre initiative, isolé la RS, et je suis reparti...

    C'est arrivé il y 2 mois et je me suis pas encore pris de tombée de mon chef, c'est donc que mes applications du GDI étaient bonnes (je craignais un peu le contraire, tellement c'était bizarre).

  14. ' Faut croire que non, puisqu'il n'y a que le CRL qui a été mis en examen. La SNCF dans son ensemble n'est pas mise en cause.

    Au fait, j'ai failli oublier, toutes mes pensés vont vers le collègue qui s'est retrouvé en taule, si j'ai bien suivi... (au moins pendant une période) mdrmdr

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.