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E.T.G.

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  1. En juin 1996, la BB63737, arborant un marquage latéral quelque peu inhabituel de son numéro est garée chez elle, devant l'atelier du dépôt de Longueau (80).
  2. Quelques vues en vrac d'E.A.D. faites en différents endroits en 1989 et en 1992, avec un pupitre d'élément à boîte Voith (absence, sous la commande de l'avertisseur sonore, de plaque "correspondance des vitesses", à laquelle se rapporter quand les mécaniciens doivent passer les rapports de vitesse à la main sur les éléments à boîte de vitesses mécanique), compartiment première classe d'une Ambulance, vue intérieure du fourgon, pupitre de la X4770 (équipée K.V.B. et D.A.A.T., entrainant une modification de la disposition des manomètres C.G. et R.P.) juste sortie de révision limitée et sièges de première classe d'un élément modernisé "E.P.R.".
  3. Batterie de T.G.V. Sud-Est encore en livrée orange en gare de Paris-Lyon (75) en mai 1997. Au premier plan, bien que minoritaires, nous trouvons les rames 116 et 110 tritension, chacune sur un train différent. La 110 n'est pas encore passée en Opération-Périodique-Confort-Esthétique puisqu'elle conserve son numéro sur sa trappe d'évacuation de cabine.
  4. Arrivées à Breil sur Roya (06) en septembre 1996 de trains assurés en Aln663 des F.S. avec respectivement les 1157, 1167 et 1200 en tête, venant respectivement de Limone, Vintimille et Limone. Les trains à tranche Nice et Vintimille - Piémont étaient scindés ou raccordés ici. Dix Aln étaient équipés de la veille automatique pour assurer les trains parcourant le tronçon Breil - Nice. Reverra-t-on un jour de telles liaisons directes (et à tranches)?
  5. En septembre 1995, la BB22381 vient d'arriver à Rennes (35) en tête d'une rame de voitures vertes, elles-même complétées par une des dernières D.E.V. Inox.
  6. SNCF !!! Les éléments automoteurs X4614-XR8639 et X4708-XR8705 possédaient la particularité de posséder le premier à ses deux extrémités, le second côté remorque seulement des logos S.N.C.F. de grande taille. Cette fantaisie semble provenir des Ateliers du Mans qui appliquaient les logos selon la mode du moment. Enfin, en principe! Car certains éléments passés en révision ou réparation accidentelle en sont parfois ressortis avec un logo qui n'était pas le dernier en date. Du reste, le fait que peu d'engins puissent avoir eu ce logo de taille inhabituelle reste inexpliqué puisque cet établissement ne se fournissait en principe pas de logos de grande taille, habituellement destinés à des locomotives, ni ne s'approvisionnaient par commande de trois pièces, à moins que les autres pièces soient restées à prendre la poussière quand on aurait enfin pu disposer de nouveau de logos à taille normale pour les E.A.D. Bref, nous voyons donc ici le X4614 au dépôt de La Plaine (93) en août 1995 et la XR8705 (X4708) au dépôt de Lyon-Vaise (69) en septembre 1996. Pour vous permettre de faire la comparaison, voici également la X4418 vue en gare du Mans (72) en août 1996, arborant le logo de taille habituellement employée sur les E.A.D.
  7. Segments R.I.O. Provence-Alpes Côte d'Azur vus à Nice (06) et Toulon (83) en septembre 1996 et mai 1997. En bonus, vue d'un intérieur de seconde classe de ces segments vu en août 1993 à Cannes (06), qui par souci de vandalisme possédaient pour ceux utilisés autour de Nice la particularité de n'avoir des rideaux que côté mer (ils n'assuraient pas de parcours en triangle). La sellerie n'est pas sans rappeler, par sa matière et ses couleurs, celle d'origine des T.G.V. Sud-Est en seconde classe (sièges majoritairement bleu foncé avec quelques-uns bleu clair et vert pomme disséminés disséminés dans la salle pour rompre la monotonie).
  8. Et aujourd'hui, 36 ans d'Argenton-sur-Creuse. Une pensée pour les victimes, merci pour elles. Je n'ai aucune photo de la stèle, mais le plus important, c'est d'y penser.
  9. Des photos que j'avais oublié de mettre dans ce fil alors qu'elles y ont toute leur place: En gare de Nantes (44) en juillet 1994, une composition X92100 + XR96000 vient d'arriver du Croisic et va rentrer au dépôt. Non pas que les matériels T.E.R. de Nice et Limoges se rencontr(ai)ent habituellement, mais plus prosaïquement le dépôt de Marseille qui n'a toujours pas eu le temps d'estampiller certains de ses X2200 dont ceux-ci vus à Nice, qui lui sont affectés depuis déjà sept mois, en mai 1997... Toutefois, tout ne va pas si mal, quelques-uns de ces sept X2200 et quatre XR6100 destinés à la desserte de la ligne du col de Tende ont tout de même reçu leurs bandeaux T.E.R. et/ou logos régionaux!
  10. Le X2866 est en repos chez lui, au dépôt de Lyon-Vaise (69), en septembre 1996.
  11. Après mon aller-retour à Soissons mercredi dernier, où j'étais invité par la municipalité à participer à une réunion de travail pour préparer la commémoration l'année prochaine des cinquante ans de la catastrophe, commémoration que nous voudrions célébrer comme une "commémoration +" avec notamment une exposition qui pourrait durer plusieurs jours et bien d'autres choses, vue du portail sud du tunnel en août 1995. Toujours occupé par un agent-circulation, le bâtiment-voyageurs pourrait paraître à l'abandon mais il arbore une affiche relativement récente puisque porteuse du logo Desgrippes, affiche promouvant la politique tarifaire de la S.N.C.F. jusque dans les gares les moins fréquentées! Arrêtons-nous en juin 1996 sur les tombes de trois des 108 victimes de la catastrophe, explicitement indiquée.
  12. Un exemplaire unique, l'élément automoteur X94630-XR98630. En voici différentes vues faites à Cannes et Ranguin (06) en 1993 et 1995. Comme l'indique sa numérotation, il n'appartient pas à la S.N.C.F. mais à un tiers, en l'occurrence le Syndicat Intercommunal des Transports Publics Cannes-Le Cannet, qui en a fait l'acquisition afin de reprendre la desserte voyageurs Cannes - Ranguin. Des difficultés ayant contrarié la réouverture totale de la ligne, qui si elle avait été faite, aurait justifié l'achat d'un second élément pour rallier Grasse. L'occasion de rendre ici hommage à la ténacité des membres du Comité Cannes-Grasse qui se sont battus et ont pu arracher cette victoire compte-tenu des obstacles qu'ils ont rencontrés. Sans eux, rien n'aurait été possible. D'un point de vue technique, cet élément, appelé localement "Perruche", et "Cannes-Ranguin" aux Ateliers du Mans, qui en étaient Directeurs, a été commandé le 04 mars 1977 sur délibération du 26 octobre 1976, livré le 25 avril 1978 et mis en exploitation le 27 mai suivant. Il a couté 2988949 F.H.T. Par rapport aux éléments X4630 de la plus récente commande S.N.C.F., desquels il est dérivé, il présente outre sa livrée certaines particularités: _capacité de 149 places (60 pour la motrice et 89 pour la remorque), toutes en seconde classe; absence de cartouches d'indication de classes, de numérotation des places et de garde-places, "fumeurs" ou "non-fumeurs"; absence de cloisonnettes des locaux à bagages à mains; montage de quatre composteurs de tickets (seuls les tickets du réseau urbain sont valables dedans); indication des places pour mutilés; _dispositif de commande de fermeture des portes avec ronfleur depuis les postes de conduite et signalétique correspondante ("interdiction de monter ou descendre dès que le signal sonore retentit"), bien qu'il soit équipé du dispositif de correspondance; _dans le fourgon à bagages, montage de deux banquettes sans dossier et au plafond de deux barres avec poignées de maintien type autobus au lieu de la barre à crochets destinée au transport de bicyclettes; tableau de commande éclairage et chauffage muni d'une trappe verrouillable à la clé de Berne; pas de casiers à plis ni de tablette pour agent de train; vue son utilisation prévue, absence des câblots de couplage et jumelage et de leurs supports (toutefois, l'engin reste couplable ou jumelable avec les autres autorails ou éléments automoteurs en utilisant les câblots de ces derniers), installation d'un coffre à outillage dans le fourgon; _en motrice, pas de strapontins sur la plate-forme; _en remorque, en entrant dans le compartiment voyageurs côté extrémité 1, première banquette à quatre places de front; absence de cabinet-toilette sur l'extrémité 2; pose d'une barre de maintien verticale supplémentaire sur la plateforme de cette extrémité. Sa conduite est assurée par un mécanicien S.N.C.F. accompagné par un agent du réseau urbain. Il assurera selon les années dix à douze allers-retours journaliers (temps de trajet d'une course: douze minutes) jusqu'au 26 novembre 1995, à la veille de grandes grèves. Sa fréquentation allant décroissante, il était question avant les grèves d'arrêter son exploitation et il ne sera pas remis en service à la reprise du trafic sur le réseau. Les mercredis après le service, il s'octroyait une escapade au dépôt de Nice-Saint-Roch pour faire ses pleins; ou plus longtemps pour aller en maintenance à Marseille-Blancarde, voire en reprofilage au tour en fosse d'Avignon, auxquels cas il était remplacé par un X4500 accompagné par un contrôleur S.N.C.F. Son kilométrage qui ne le justifiant pas d'une opération périodique, il a fait l'objet d'une Révision Limitée en 1984 aux Ateliers du Mans pour tenir compte de sa présence continuelle dans des environnements à l'air salin; ainsi que la remorque a bénéficié d'une Réparation Accidentelle aux Ateliers de Nevers-Machines en 1994 ou 1995 (face latérale partiellement arrachée lors d'une prise en écharpe au dépôt de Nice-Saint-Roch). A l'issue de sa carrière, il est racheté par la S.N.C.F. qui compte, chose incompréhensible alors que les X4630 justiciables d'une Opération Périodique sont en quantité insuffisante pour fournir toutes les demandes de modernisations sur cette série, le mettre au type non modernisé! Transféré dans cette optique aux Ateliers de Nevers-Machines, les Ateliers du Mans demanderont son transfert chez eux et obtiendront gain de cause afin de le moderniser pour le compte de la Région Picardie. La motrice, dont on pourrait dire qu'on lui a mélangé le bleu et le jaune, ressort en livrée verte en 1997 sous le numéro X4744 accompagnée de l'ancienne XR8717 renumérotée 8744. La remorque, qui n'était déjà plus celle d'origine pour avoir été croisée lors du séjour en 1984 (je n'ai en revanche, excusez-moi, jamais pu retrouver sous quel numéro est repartie la 98630 primitive ni savoir quelle remorque l'a remplacée en reprenant son numéro) est du fait d'un nouveau remplacement ressortie en livrée jaune et renumérotée en 8801, accouplée à l'ex 94751 devenue 4801. X94630 et XR98630 ont poursuivi sous leur nouveau numéro leur carrière respectivement jusqu'en 2009 et 2011.
  13. Mini tronçon T.G.V. à deux niveaux, précurseur des Duplex, vu en septembre 1994 à Villeneuve (94).
  14. En septembre 1996 au dépôt de Lyon-Vaise (69), le Y7451 dont la livrée s'accorde bien avec celle des E.T.G. est utilisé pour manoeuvrer les caisses de deux d'entre eux afin de reconstituer un élément hybride pour pallier les indisponibilités de caisses différentes sur les deux éléments.
  15. En septembre 1996 au dépôt de Lyon-Vaise (69), formation d'un E.T.G. hybride T1507-TR21014-T51014-T1014 pour envoi en Réparation Accidentelle aux Ateliers du Mans après une prise en écharpe des éléments 7 et 14. Bien que sans être conséquents les dégâts justifièrent un traitement en Grand Atelier, ces deux éléments dont l'avenir était limité ont eu de la chance d'être remis en état, sans doute par manque criant de matériel... Au retour du Mans des caisses avariées, les deux compositions seront remises en ordre dans leur élément numériquement normal. On notera que la livrée du Y7451 s'accorde bien avec celle des E.T.G. et que contrairement aux E.A.D., dont les caisses des E.T.G. sont dérivées, il n'existe pas de bourrelet inférieur horizontal (supprimé sur les E.A.D. passant en révision à partir de 1986), puisqu'ici sa place est prise par un amortisseur anti-roulis. Il y avait quelques autres différences mineures de carrosserie et leurs accessoires sur certaines points comme entre les pieds de marchepieds, entre lesquelles était fixée une place verticale empêchant sur les E.T.G. de mettre le pied plus vers l'axe du véhicule. Les emplacements des câblots électriques et des prises femelles n'étaient pas non plus les mêmes: sur les E.A.D., les premiers étaient fixés sur les remorques et se branchaient sur les motrices qui possédaient donc les prises femelles (de ce fait, par exemple, les motrices X4900 n'auraient pas pu circuler sans leur remorque intermédiaire). Sur les E.T.G., cette logique n'a pas été reconduite avec une disposition spéciale entre les remorques.
  16. Fer à repasser avec la BB12096 dont les plaques ont très probablement été volées, vue à Fives (59) en juin 1996.
  17. X4600. Cet élément qui est le centième des X4500 est vu ici relayant au dépôt de Saint-Brieuc (22) en septembre 1995. Il se singularise par une histoire relativement mouvementée: _il est livré le 15 février 1968 avec la composition X4600-XR8400; _une permutation de remorque est opérée à Longueau avec l'élément X4347-XR8556. Ces deux éléments seront impliqués dans la terrible catastrophe de Vierzy. L'élément X4600-XR8556 placé en queue du train Paris - Laon en sortira quasiment indemne. Après un rapide séjour aux Ateliers du Mans il sera remis en service à peine un mois et demi plus tard (la XR8400 aurait mieux fait de rester avec la X4600 puisque placée en tête du train Laon - Paris, elle sera détruite tandis que sa motrice X4347 très endommagée ne sera pas réparée non plus - pour la petite histoire, les deux trains ne s'étant pas rencontrés dans l'accident, les caisses permutées ne s'y sont pas revues). Signalons pour l'anecdote une guéguerre entre les personnels de conduite qui indiquaient "Vierzy" en cabine en souvenir qu'il y avait été impliqué tandis que ces inscriptions étaient régulièrement effacées en dépôt pour être remises ensuite par les mécaniciens. Cette pratique cessera lorsque l'élément sera muté à Rennes où personne ne lui connaissait cette implication dans la catastrophe, dont le souvenir en Bretagne n'avait rien de vivace. Pour autant, l'élément X4570-XR8589 lui aussi survivant de la catastrophe et pourtant un peu plus endommagé que le 4600 ne faisait pas l'objet du souvenir. Sans doute faut-il y voir le fait que le numéro 4600, numéro relativement "rond", sortait plus facilement du lot et a donc été plus facilement mémorisé; _le 18 octobre 1984, notre élément X4600-XR8556 circulant remorque en tête heurte à environ 100 km/h un semi-remorque sur un passage à niveau à Ponts-et-Marais, près du Tréport. Les Ateliers du Mans reconstitueront un nouvel élément X4600-XR8667, cette remorque étant récupérée sur la X4671, dont elle n'était déjà pas l'originelle, accidentée qui sera elle remariée avec la XR8556. Cette dernière ayant été très sévèrement endommagée (cabine écrasée, châssis sous la cabine sectionné et relevé de plusieurs cm, carrosserie endommagée en différents points, bogies avariés, etc.), on profitera de l'immobilisation de plusieurs mois de ce nouvel élément X4671-XR8556 pour sa remise en état afin d'en faire le prototype des Ambulances, après que des maquettages d'essais aient été menés sur la motrice diésel du T.G.S.). Lors de cet accident, le mécanicien, ayant aperçu l'ensemble routier rouler si vite qu'il ne pourrait s'arrêter avant le passage à niveau, eut le temps de quitter la cabine et n'eut qu'un pied cassé en se jetant dans l'allée du compartiment de première classe, où le contrôleur s'apprêtant à le rejoindre en cabine sans envisager l'accident contrôlait le dernier voyageur, de la queue de l'élément à sa tête; _désigné en 1990 pour être modernisé "Bretagne", l'élément ressort comme il est entré, en X4600-XR8667, la 8667 n'étant plus celle originelle mais en fait la 8597 maquillée, prise sur la 4437; la 8667 originelle allant sous le numéro 8356 rejoindre la X4356; _à sa radiation en 2007, l'élément sera vendu à la compagnie roumaine Régio Trans, chez qui il prendra le numéro 4535.
  18. Voiture de cantonnement sur base Ocem au dépôt de Cannes-la-Bocca (06) en août 1993.
  19. Changer d'appareil-photos peut tout changer! Deux XR6200 T.E.R. Centre, l'une garée en attente d'un prochain service, la seconde en attente qu'un X2200 vienne se raccorder dessus sont visibles en gare de Tours (37), respectivement en août 1992, la seconde en août 1996. La première était faite avec mon tout premier appareil, un format 110, qui commençait à être bien fatigué (mais qui m'a néanmoins fait 2340 photos, pas toutes pourries), la seconde avec un compact format 135, qui était d'assez bonne facture.
  20. Un train de fret tracté par une BB7200 traverse le Rhône à la sortie de Lyon-Perrache (69) en août 1996.
  21. Le 24 juin 1992, des cabines découpées d'E.A.D. qui sont passés en modernisation sont stockées aux Ateliers du Mans (72) afin d'être greffées sur des éléments accidentés non destinés à la modernisation et présentant entre autres dégâts une cabine abîmée. Sur la première photo, pas inédite mais nécessaire pour introduire le sujet, les cabines des X4793, XR8794 et X4794 (ces cabines sont en parfait état puisqu'issues des éléments les plus récents. Deuxième photo: cabines récupérées sur la XR8438, dont le numéro de sa motrice X4664 est reporté "à la sauvette" à côté, afin que les mécaniciens sachent quelle est la motrice de leur élément (c'est elle qui détermine le numéro de l'élément). Ironie du sort, ces cabines faites pour en remplacer des accidentées sont issues d'un élément lui-même accidenté, mais dont les cabines n'ont pas été touchées (éventrations latérales multiples par sa benne après la percussion d'un camion-multibennes à chaînes suivi d'un couchage de la remorque, face latérale à reconstituer entièrement). C'est seulement à partir des années 90 que les deux numéros seront indiqués directement plutôt que seul le numéro de la remorque à côté duquel le numéro de la motrice était sommairement gribouillé. Troisième photo: cabine de la X4392, cabine reconstruite entièrement après une collision (avant le début des modernisations, donc pas de récupération de cabines pour rechange à cette époque). A l'issue de sa modernisation, cette motrice sera de nouveau accidentée avant même d'avoir pu rejoindre son nouveau d'attache, et il faudra remettre sa nouvelle cabine en état! Quatrième photo: cabines des XR8438 (X4664) et XR8611 (X4392). Dernière photo: alignement de cabines (vue d'intérieurs), avec celle de la X4664 au premier plan. Remarquer la présence d'une banquette au sol, faisant penser à un squat.
  22. Terminons avec le départ en retraite en septembre 1996 au dépôt de Lyon-Vaise (69) de mon ami Jean-Louis, désormais ex mécanicien, avec encore quelques photos de l'assistance, puis l'enlèvement de la plaque sur le X2870 (qui tractait la XR6012), et enfin, quelques visiteurs de l'autorail avant qu'il ne démarre et soit considéré comme rentré dans le dépôt afin de faire les pleins puis d'être dirigé soit vers l'atelier soit préparé pour son prochain service.
  23. En août 1996, l'élément automoteur Z7336-ZR17336 quitte la gare de Tours (37) pour rentrer au dépôt de Saint-Pierre-des-Corps.
  24. Les éléments automoteurs X4568-XR8384 et X4649-XR8444 sont au dépôt de La Plaine (93) en U.M. prêts à être dégarés pour assurer un prochain train, en août 1995.
  25. La CC6538, dernière de la première sous-série, évolue en gare de Lyon-Perrache (69).

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