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Rail cassé

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Tout ce qui a été posté par Rail cassé

  1. Echange radio enregistré, frappe informatique aussi ( + imprimé en temps réel ), ainsi que le n°de dépêche enregistré dans la mémoire du KADB.
  2. ECLAIR montre ses limites tous les jours, c'est pour cela qu'il sera remplacé par la signalo suisse lors de la modernisation. ECLAIR était une très bonne idée, mais développé avec une informatique obsolète dès le départ! et trop cher !
  3. Faudra venir me chercher, et pour cela faudra grimper à 4810 mètres d'altitude! ######!
  4. Pourquoi? aux vue de certaines photo et une visite lors de la construction, on peu se poser ces questions.
  5. Et j'aime bien un bon pinot noir avec! hic!
  6. par expérience des trains de montagne à forte pente: Tu prends le CF du montenvers, les évacuations d'eau sont nétoyées plusieurs fois par saisons, et si ils pouvaient le faire à la petite cuillère, ils le ferait. des revois d'eau déviant hors de la plate forme ( coté vide ) doivent être aménagés le plus près possible des un des autres. Sur cette ligne du puy, on dirait que la sous couche de la voie est beaucoup trop impermiable , non?
  7. En espérant que cela ne se transforme pas en fiasco avec une fermeture ou quoi que se soit!!!!!
  8. Moi je veux une assiette de charcuterie pour manger la fondue savoyarde, ça c'est de la rebélion!!!!!!!!
  9. la construction de ce chemin de fer me fait penser à " cacher la merde au chat sous le tapis ", tout ce qui est visible est joli, propre et rutilant, mais ce qui est invisible et dons servant à la longévité de l'outil ainsi qu'à la sécurité est qu'une affaire d'économie. Encore la politique du risque calculer, merde, il se sont fais eu dès le premier jour. hi! hi! hi!
  10. http://auvergne.france3.fr/info/mauvais-depart-74102370.html Un des expert suisse est sébastien J..... le concepteur des véhicules stadler à crémaillère, ( chef de la division engins spéciaux ). Un très très bon ( il a quasi tout construit ce qui roule en suisse et ailleurs ). j'étais avec lui il y a 15 jours chez stadler et nous avons beaucoup parler du train du puy. Vu son interwiew, il ne semble pas très étonné de la chose. ( w o u a r f! ).
  11. Hello! C'est dommage pour eux cette mésaventure, mais au moins, ils ont testé les moyens et systèmes de secours en temps réel! Pour le "ravinage du ballast " comme on dit chez nous, je vois plusieurs facteurs pouvant agraver les choses sur cette ligne. Les caniveaux servant à évacuer les eaux sont de simples " cunettes " de béton. ( certainement pas assé profond pour drainer les eaux d'un orage.) La voie suit la route, un muret béton sépare les deux, cella empêche l'eau de s'évacuer et elle russelles sous la voie. ( il doit y avoir des évacuations, mais se font boucher par le ballast si l'intensité de l'eau est forte ). la voie est très sur élevée par rapport à la route et le petit muret en béton, il ne faut pas grand chose pour affouiller la banquette et la sous couche de ballast. Un point positif pour eux, les traverses en Y mont maintenut le chassis de voie solidement.
  12. Cela se passe comme ça la promotion canapé là bas!!!! hic!
  13. la désobéissance civil ne peut avoir lieu que sur un thème globale et en rassemblant tous les divers courants d'idées ! S'enterrer idéologiquement sujet par sujet, le syndicalisme le pratique très bien! W o u a r f! Désobéir civilement contre la main mise des banquiers sur le peuple et ceci grace au gouvernement peut être un motif! Mais cette désobéissance civil n'est qu'une gabegie inventé par un pseudo courant contestataire bien pensant! A cette désobéissance, je préfère largement l'application de l'article 35 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen: Article 35 Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
  14. Sorts couvert!!!!!!!! le plastique c'est fantas..................................................;!!!!
  15. Les ennemis de nicolas ont aussi leur assos, et cela depuis longtemps! cgt, sud, fsu ect................... w o u a r f!
  16. Là tu cites l'état d'esprit des politiques, à l'inverse, les soldats ne veulent surtout pas aller là bas une main devant et l'autre derrière!
  17. Cela favorise ta concentration! hi! hi! hi! dans les options de ton PC, il y a certainement la fonction " loupe pour vieux "! Bise!!!!
  18. Ce pays ne sera jamais en paix!
  19. L'Afghanistan à Chicago : sept points pour comprendre Le sommet de l'Otan aura lieu dimanche et lundi. "Il faut trouver la porte de sortie. Et vite." Voilà ce que j'écrivais, à l'automne 2008, en conclusion de mon livre "Mourir pour l'Afghanistan" (1). Rien de ce qui s'est passé dans ce pays depuis lors ne m'a fait changer d'avis, bien au contraire. A la veille du sommet de l'Otan à Chicago, qui sera en grande partie consacré à ce sujet et alors que l'élection de François Hollande accélère le calendrier de retrait français, tentons de faire le point. 1) Ensemble. La France est militairement présente en Afghanistan par pure solidarité avec les Américains. C'est parce que les Etats-Unis ont été attaqués le 11 septembre 2001 et que le gouvernement afghan de l'époque protégeait les auteurs des attentats que la France s'est jointe aux Etats-Unis. Elle l'a fait dans le cadre du droit international (résolution des Nations Unies) et de l'Alliance atlantique, avec la mise en oeuvre de l'article 5. Jusqu'en 2012, la position française a toujours été la même : "nous sommes arrivés ensemble, nous repartirons ensemble". Une position qui excluait toute démarche unilatérale de Paris vis-à-vis de Washington. 2) Rupture. Cette doctrine française a craqué en janvier 2012. Nicolas Sarkzoy est responsable de ce tournant. François Hollande s'est contenté de faire de la surenchère sur son rival... Un peu d'histoire est nécessaire : en juin 2011, Obama annonce le retrait américain pour la fin 2014. Dans les heures qui suivent, un communiqué de l'Elysée calque la position française sur celle des Etats-Unis. Mais le 20 janvier 2012, cinq militaires français sont assassinés par un soldat afghan sur la base de Gwan. Face à l'émotion de l'opinion publique et alors que la France entre en campagne électorale, Nicolas Sarkozy annonce, le 27 janvier, que le retrait français s'opérera avec un an d'avance sur le calendrier prévu; donc fin 2013. Le 26 janvier, François Hollande présente ses "engagements". Le soixantième et dernier est consacré à la défense. On y lit ceci : "Il n'y aura plus de troupes françaises en Afghanistan à la fin de l'année 2012". Il y donc eu consensus entre les deux principaux candidats sur la nécessité de partir plus vite que les Américains, seul le rythme les oppose. 3) Signal. Le départ d'Afghanistan est une opération complexe, risquée et couteuse. Nous l'avons écrit à plusieurs reprises sur ce blog. Pour faire simple, il est matériellement impossible de quitter l'Afghanistan en six mois, c'est à dire à la fin 2012. Mais au delà de la manoeuvre logistique, les problèmes sont politiques, autant avec l'Afghanistan qu'avec nos alliés de l'Otan. La France ne peut pas partir en claquant la porte. La France est liée, depuis janvier 2012, par un traité d'alliance avec l'Afghanistan. Il organise la coopération entre nos deux pays ; c'est le gage d'une présence française dans ce pays à l'avenir. Même chose avec nos alliés, au premier chef (sic), les Américains. Ils ont compris que la seule justification du départ français était que le candidat Hollande l'avait promis pour se faire élire et qu'il tiendra ses promesses... au moins jusqu'aux législatives. Pas la peine de polémiquer avec lui. L'important sera dans les "détails" de l'application concrète de cette mesure. Reste qu'aux yeux des Européens, le départ français rompt la solidarité entre les pays alliés. Angela Merkel (et même le gouvernement socialiste belge) n'ont pas manqué de dire qu'eux resteraient jusqu'au bout... Ce n'est pas un bon signal, mais ce n'est pas gravissime. 4) Vocabulaire. Il y aura toujours des militaires français en Afghanistan en 2013... et sans doute après. Tout l'enjeu est de trouver la bonne formule, celle qui satisfera tout le monde : les Afghans, les militaires français, les Américains, la gauche française, etc. C'est avant tout une question de vocabulaire : à la Maison Blanche, François Hollande a évoqué le retrait des "troupes combattantes". Celles qui resteront seront-elles des "troupes non-combattantes"? La formule ne plait guère aux chefs militaires. 5) Route. Quelle était la principale mission confiée aux Français par les Américains dans la région Est ? Car ne l'oublions pas les troupes françaises y sont placées sous commandement américain. Une mission à la fois simple et difficile : tenir ouvert l'axe Vermont, c'est-à-dire permettre aux convois de circuler sur la route qui passe par la vallée de Kapissa, permettant de rejoindre la grande base de Bagram, sans passer par Kaboul. C'est un axe de contournement stratégique, au cas où les choses se passeraient mal dans la capitale... En gros : 50 kilomètres de route en zone insurgée. Quand les Français quitteront la Kapisa, de deux choses l'une : soit l'Armée nationale afghane sera capable de tenir l'axe et, dans ce cas, la mission pourra être présentée comme un succès français. Soit elle n'en sera pas capable et les Américains devront s'en occuper. Et dans ce cas là, l'affaire sera présentée comme un fiasco français. Il est aujourd'hui trop tôt pour le savoir. 6) Afghantsy. Les militaires français aimeraient partir avec l'assurance que leur mission est un succès, ne serait-ce que parce que 83 des leurs sont morts là-bas. S'en aller, sous les yeux de leurs pairs étrangers - Américains en premier lieu - n'est pas très agréable. Toute une génération de jeunes cadres, qui seront l'armée de demain, s'est formée en Afghanistan. Ce sont nos "Afghantsy", comme disaient les Soviétiques. Le nouveau Chef des Armées a intérêt à trouver les mots et la manière de faire avec eux pour qu'ils n'aient pas l'impression d'être trahis par le pouvoir politique. On connait l'histoire récente de l'armée française : comme en géologie, certaines failles pourraient rejouer... Il faut y prendre garde et l'affaire se joue aujourd'hui en Kapisa. 7) Facture. L'autre mission des militaires français en Afghanistan est la formation des forces de sécurité (armée et police) capables de prendre la relève. Celle-ci devrait se poursuivre en 2013. Mais tout le monde pense déjà à l'après 2014, lorsque les Américains commenceront à partir. On estime aujourd'hui à quatre milliards de dollars par an le cout d'entretien des forces de sécurité afghane, coût qui pourrait être révisé à la baisse, si l'on réduit les effectifs (plus ou moins de 300.000). Qui paiera ? Le gouvernement afghan ne pourra pas en financer plus de 10 à 15%, les Etats-Unis devraient en prendre à la charge plus de la moitié. Le reste sera partagé entre les alliés. La contribution française pourrait s'élever à une centaine de millions de dollars par an. Le prix à payer de notre départ précipité ? (1) Jean-Dominique Merchet, "Mourir pour l'Afghanistan". Editions Jacob-Duvernet, 2ème édition. 2010.
  20. ca y est, à mon tour de flipper pendant 6 mois!
  21. Déjà quelque chose ce jour là.
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