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Tout ce qui a été posté par Rail cassé
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Ouaip! bof, pour le moment je ne sais quoi trop en penser. Bon, pour le coup de l'ancien détenu, je me garderais de tous jugements, il a été en son temps jugé, il à payer en purgeant sa peine, bon, comme beaucoups non? Après, choisi par sarko par ce qu'ils sont potes, ben si il n'y avait que lui! !
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Ce qu'ils font, cela s'appel " cacher la merde au chat ". koiquesse
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Salut Dom, m'ouaip! mais à ce régime, on partira à la retraite à 165 ans voir 170. mdrmdr
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Salut gomen, je pense qu'ils en ont concience, et plainement en plus, cela leur permet de s'afficher en winer du peuple, et de nous regarder en disant: Vous êtes que des sous hommes, faites ce que je vous dis, sinon....................... Je sais, c'est une réflexion très moyenageuse, mais sous couvert de cette satanée républic empreinte de démocratie, qu'a t'on de plus que les cerfs cultivant le blé des rois?
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Lienmann tâcle Aubry! Enfin un personne qui tiendrait la route dans sa réflexion? Elle va vite se retrouver au placard.
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Ce débat sur l'identité national n'a pas lieu d'être, mais nos pros de la politique masquent leurs carrance en matière de " sécurité du territoire " en tapant là où le français mouton a le plus mal. Après des decénie où ils se sont employés à entasser les petites gens dans des cages à lapins et tirer sur la productivité des travailleurs venus de tout horizons reconstruire la france et ceux d'aujourd'hui. Après, ils s'étonnent de tout ce qui se passe aujourd'hui, et c'est bien plus facile pour eux de jouer sur les peurs du peuple plutôt que de faire grandir la modernité sociale.
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Encore du foutage de gueule. http://actu.orange.fr/economie/proglio-tou...ros_479325.html
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Salut, je ne sais si cela a un rapport quelquonque, hier soir j'ai lu un livre à ma petite fille avant qu'elle s'endorme, le titre de ce livre était: Martine va à la pèche. !
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J'en remet une couche, la déclaration du 24 juin 1793 Le peuple français, convaincu que l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l’objet de sa mission. En conséquence, il proclame, en présence de l’Être suprême, la déclaration suivante des droits de l’homme et du citoyen. Article premier Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance(1) de ses droits naturels et imprescriptibles. Article 2 Ces droits sont l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété. Article 3 Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi. Article 4 La loi est l’expression libre et solennelle de la volonté générale ; elle est la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société ; elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible. Article 5 Tous les citoyens sont également admissibles aux emplois publics. Les peuples libres ne connaissent d’autres motifs de préférence, dans leurs élections, que les vertus et les talents. Article 6 La liberté est le pouvoir qui appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui : elle a pour principe la nature ; pour règle la justice ; pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait. Article 7 Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la vole de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s’assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits. La nécessité d’énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme. Article 8 La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés. Article 9 La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent. Article 10 Nul ne doit être accusé, arrêté ni détenu, que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Tout citoyen, appelé ou saisi par l’autorité de la loi, doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance. Article 11 Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l’exécuter par la violence a le droit de le repousser par la force. Article 12 Ceux qui solliciteraient, expédieraient, signeraient, exécuteraient ou feraient exécuter des actes arbitraires, seraient coupables, et doivent être punis. Article 13 Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi. Article 14 Nul ne doit être jugé et puni qu’après avoir été entendu ou légalement appelé, et qu’en vertu d’une loi promulguée antérieurement au délit. La loi qui punirait les délits commis avant qu’elle existât serait une tyrannie ; l’effet rétroactif donné à la loi serait un crime. Article 15 La loi ne doit décerner que des peines strictement et évidemment nécessaires : les peines doivent être proportionnées au délit et utiles à la société. Article 16 Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie. Article 17 Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l’industrie des citoyens. Article 18 Tout homme peut engager ses services, son temps ; mais il ne peut se vendre, ni être vendu ; sa personne n’est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu’un engagement de soins et de reconnaissance, entre l’homme qui travaille et celui qui l’emploie. Article 19 Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n’est lorsque la nécessité publique légalement constatée l’exige, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité. Article 20 Nulle contribution ne peut être établie que pour l’utilité générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir à l’établissement des contributions, d’en surveiller l’emploi, et de s’en faire rendre compte. Article 21 Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d’exister à ceux qui sont hors d’état de travailler. Article 22 L’instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l’instruction à la portée de tous les citoyens. Article 23 La garantie sociale consiste dans l’action de tous, pour assurer à chacun la jouissance et la conservation de ses droits ; cette garantie repose sur la souveraineté nationale. Article 24 Elle ne peut exister, si les limites des fonctions publiques ne sont pas clairement déterminées par la loi, et si la responsabilité de tous les fonctionnaires n’est pas assurée. Article 25 La souveraineté réside dans le peuple ; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable. Article 26 Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier ; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d’exprimer sa volonté avec une entière liberté. Article 27 Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l’instant mis à mort par les hommes libres. Article 28 Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa Constitution. Une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures. Article 29 Chaque citoyen a un droit égal de concourir à la formation de la loi et à la nomination de ses mandataires ou de ses agents. Article 30 Les fonctions publiques sont essentiellement temporaires ; elles ne peuvent être considérées comme des distinctions ni comme des récompenses, mais comme des devoirs. Article 31 Les délits des mandataires du peuple et de ses agents ne doivent jamais être impunis. Nul n’a le droit de se prétendre plus inviolable que les autres citoyens. Article 32 Le droit de présenter des pétitions aux dépositaires de l’autorité publique ne peut, en aucun cas, être interdit, suspendu ni limité. Article 33 La résistance à l’oppression est la conséquence des autres Droits de l’homme. Article 34 Il y a oppression contre le corps social lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé. <A name=a35> Article 35 Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. J'aime bien l'article 35, mais es envisageable un jour! là c'est une autre histoire.
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Salut Marc, je ne suis pas en grande forme, je suis seulement grinche de la marée de connerie humaine qui déferle autour de ce sujet, sujet que les ténors du pouvoir voudraient débattre comme on débat dans une vulgaire réunion de DP " c'est nous qu'avons raisons et vous qu'avez pas raison, Na! c'est nous les chefs et vous les basses gens. Va falloir qu'ils arrêtent de s'octroyer des droits qu'ils n'ont pas. Bon, j'm'en vais aiguiser ma fourche à ballast au cas où? helpsoso
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Hello! pour ma part, il me semble que la france est le berceau des droits de l'homme, sans viser intel ou son cousin ou bien qui que ce soit, je crois que cela ferait beaucoup de bien à beaucoup de monde de relir cela: (Je crois que je suis un grand naif, mais que voulez vous, je crois en certaines choses ). Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1948 PréambuleConsidérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde. Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme. Considérant qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression. Considérant qu’il est essentiel d’encourager le développement de relations amicales entre nations. Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, et qu’ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande. Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l’Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Considérant qu’une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement. L’Assemblée Générale proclame la présente Déclaration Universelle des Droits de l’Homme comme l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit, s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer, par des mesures progressives d’ordre national et international, la reconnaissance et l’application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction. Article 1Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. Article 2Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationales ou sociale, de fortune, de naissance ou de tout autre situation. De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté. Article 3Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne. Article 4Nul ne sera tenu en esclavage ni servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes. Article 5Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Article 6Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique. Article 7Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinctions à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination. Article 8Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violants les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par Constitution ou par la loi. Article 9Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé. Article 10Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Article 11Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées. Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d’après le droit national ou international . De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment ou l’acte délictueux a été commis. Article 12Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes. Article 13Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un état. Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays. Article 14Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l’asile en d’autres pays. Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies. Article 15Tout individu a droit à une nationalité. Nul ne peur être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité. Article 16A partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution. Le mariage ne peut être conclu qu’avec libre et plein consentement des futurs époux. La famille est l’élément naturel et a le droit à la protection de la société et de l’état. Article 17Toute personne, aussi bien seule qu’en collectivité, a droit à la propriété. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété. Article 18Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites. Article 19Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que se soit. Article 20Toute personne a droit à la liberté de réunion et d’association pacifiques. Nul ne peut être obligé de faire partie d’une association. Article 21Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays. La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote. Article 22Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l’effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l’organisation et des ressources de chaque pays. Article 23Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’a sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale. Toute personne a le droit de fonder avec d’autres des syndicats et de s’affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts. Article 24Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques. Article 25Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de se famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d’invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans d’autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté. La maternité et l’enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciale. Tous les enfants, qu’ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale. Article 26Toute personne a droit à l’éducation. L’éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l’enseignement élémentaire et fondamental. L’enseignement élémentaire est obligatoire. L’enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l’accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leurs mérité. L’éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l’amitié entre toutes les nations et tous les groupes radicaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. Article 27Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent. Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l’auteur. Article 28Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet. Article 29L’individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible. Dans l’exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n’est soumis qu’aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d’assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d’autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l’ordre public et du bien-être général dans une société démocratique. Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s’exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies. Article 30Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un état, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.
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Très bonne réflexion. Et en effet, quel gâchis.
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Ils deviennent tous fous, retour vers le futur: 1938/39??????????????????????????????????????????? cartonrouge
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Tchuussss mon frère, mon ami Bob l'aurait apuyé ( pas contre le rail ) mais d'un " tarpé". cartonrouge
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Pour être rouge, il est bien rouge. hi! hi! jolie photo.
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Plan d'épargne entreprise
Rail cassé a répondu à Catharus situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Quels placements :Smiley_10: -
Interruption du trafic entre Annecy et La Roche-sur-Foron
Rail cassé a répondu à IGS4 situé dans Actualité ferroviaire générale
Salut garcimore, tu as bien fais d'en parler. je sais que la ligne est fermée, par contre je n'ai pas trop suivit ce qui se passe. Vont bien finir par arriver à la fermer cette portion de ligne, car " " c'est vrai que pour se rendre du Fayet à chambéry, pour les décideurs c'est bien plus pratique par Culoz. Re! :Smiley_15: -
Ne change rien, un chef éxiste en tant que tel quand il a le soutien de ses hommes! Après, avec la hiérarchie, chacun voit midi à sa porte, c'est souvent un jeu d'intox.
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Ouaip! et trouver une fuite CG dans tout c'bordel de long. Procéder en plusieurs parties du train qu'ils disaient. :Smiley_39:
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CDG Express : traction sncf trop chère
Rail cassé a répondu à michael02 situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Non, on robotise et informatise tout y compris le conducteur, et on reste tranquil à la maison à compter les points. Vont bien finir à en faire une toute grosse ces nantis de pu.... de riche exploiteur se gavant sur le dos du ch'tit n'ouvrier. -
Salut, quand je dis chef je pense à encore plus haut, ça c'est certain, tu es un grouillot comme les autres, et tout à ton honneur d'en avoir concience. okok
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Yes, vive la RAT sur ce genre de trains, et sans parler des essais de freins. okok
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Ouaip! on a eu un chef en commun, toi tu diminus les tours et lui il monte en zone rouge. , qu'es qui sont tendus ces chefs, pour un rien ils s'énervent. Ils n'aprennent pas à gérer leurs stress dans leurs formations de dicta! ( j'sais pas écrir manadgment, re ! ) Non, sans dec, c'est là que l'on voit qu'ils ne sont que des hommes, et à leur faire croire qu'ils sont des sur hommes au dessus de la mélée des grouillots, les chevilles deviennent plus grosses que la tête, alors que c'est avec la tête que l'on agit et réfléchit, et là ils sont vite dépassés par les évennements.