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Le Web des Cheminots

DavidKorner

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Tout ce qui a été posté par DavidKorner

  1. Personnellement, je m'en fiche de savoir quel ou quel syndicat à été à l'initiative d'une lutte. Bien sur, quand la CGT ou SUD le font, cela à plus de poids car ces structures ont plus de poids au sein de la SNCF que ne l'ont la CFDT ou la FGAAC. Mais s'il se trouve un nombre suffisamment élevé de cheminots qui se saisissent de la date proposée par ces deux OS pour dire que maintenant, il faut aller au carton, et bien, ce sera ma foi une très bonne chose qui ne pourra que servir de point d'appui pour les autres, syndiqués ou pas. Je pense par ailleurs que l'ensemble des directions syndicales devraient arrêter une date commune pour lancer un mouvement reconductible, à commencer par chez les mécanos qui sont les plus remontés, pour défendre le RH077. Je pousserai dans ce sens dans mon organisation syndicale. Mais c'est un mouvement reconductible dans tous les services qui permettra de faire reculer la direction. Peut être que les mécanos pourront être l'étincelle qui mettra le feu au poudre. C'est ce que je pense, en tant que cheminot d'un autre service, tout aussi décidé à défendre la réglementation, qui est celle de tous les cheminots.
  2. Elles ont sans doute voulu marquer un point d'honneur en prenant le plus de distances que possibles avec leurs confrères de la CGT ou de SUD. M'enfin. Si ça peut partir, que ça parte!
  3. La réponse c'est soit a y c; a e c ... Cela implique que la réponse à ta question doit se piocher dans un QCM dans laquelle il ne peut que y avoir une de ces deux options. Non?
  4. Cela peut être utile, puisqu'il se trouve des gens suffisament **** pour sauter sur n'importe quelle occasion pour tenter d'assimiler ces actes de sabotages aux militants de la LCR. Je suis également très soulagé de voir que pour l'instant, aucun cheminot ne soit impliqué dans cette affaire.
  5. Ben peut être une réduction de prix pour groupes si on vient suffisamment nombreux koiquesse
  6. Il n'existe pas ce "type d'éléments", à savoir des "anarchistes autonomes" dit "toto" au sein de la LCR pour les raisons que j'ai expliqué ci-dessus. Quant à la position de la LCR, dont Olivier ne fait que porter la parole, voila la position de la LCR qui est celle de tous ses militants. SNCF : qui sabote le service public ? Communiqué LCR Déjà saboté par la politique du gouvernement ,le service public de la SNCF est maintenant la victime de sabotages matériels dangereux et inquiétants. Comme par hasard, cette "affaire" fait l’actualité à la veille du jeudi 13 novembre, journée nationale de mobilisation des cheminots en faveur de la défense du service public. Dans ce climat, la LCR - qui condamne totalement ces agissements - appelle à déjouer toutes les provocations et à faire de cette journée une grande initiative unitaire de défense de ce service public en voie de démantèlement et de privatisation. Montreuil, le 11 novembre 2008
  7. Bon ben, si Krisamv peut poster ca. Moi j'ai le droit de poster ça : Vis-à-vis des mutins, je pense qu'ils avaient mille fois raison de se mutiner contre leurs propres officiers. Mille fois raison de s'en prendre à leurs supérieurs plutôt que de se laisser envoyer à une boucherie pour aller massacrer d'autres paysans et ouvriers. Et cela vaut comme d'un côté que de l'autre de la tranchée. 11 novembre 1918 : la fin d'une boucherie qui en annonçait d'autres Il y a 90 ans, le 11 novembre 1918, finissait la Première Guerre mondiale. Le fracas des canons et le sifflement des obus se taisaient enfin sur le front occidental, dans les campagnes, les villages et les villes dévastés par plus de quatre ans de guerre. Un par un, les alliés de l'Empire allemand avaient signé un armistice : la Bulgarie le 30 septembre, l'Empire ottoman le 27 octobre, l'Autriche-Hongrie le 3 novembre. Le 11 novembre enfin, en forêt de Compiègne, l'armistice était signé entre l'Allemagne et les représentants militaires français, agissant au nom des Alliés de l'Entente (France, Angleterre, États-Unis, Italie). Le camp des Empires centraux sortait de la guerre défait, tandis que celui de l'Entente remportait la victoire, pour autant du moins qu'on puisse utiliser ce mot pour un aussi sinistre résultat. 15 millions de morts... pourquoi ? Du côté des peuples, les morts, les blessés, les invalides, les veuves, les orphelins se comptaient par millions. Les historiens dénombrent environ 9 millions de morts sous l'uniforme : 2 000 000 pour la Russie, 1 800 000 pour l'Allemagne, 1 500 000 pour l'Autriche-Hongrie, 1 400 000 pour la France, 900 000 Britanniques, 600 000 Italiens, 400 000 Ottomans... En France, un mobilisé sur six n'était pas revenu, 10 % des hommes actifs. Les populations civiles n'avaient pas été épargnées : on comptait 2 000 000 de morts civils en Russie, 1 000 000 en Serbie et Autriche-Hongrie, 800 000 en Allemagne, 800 000 en Roumanie du fait de la famine, des bombardements, sans compter le massacre des Arméniens ni les ravages de la grippe « espagnole », d'autant plus meurtrière qu'elle frappait des populations épuisées. Et tout cela pourquoi ? Dans les manuels d'histoire, le déclenchement de ces quatre années de meurtres de masse est généralement présenté comme la conséquence d'un fait presque anecdotique, l'assassinat par un étudiant serbe, le 28 juin 1914, de l'archiduc François-Ferdinand de Habsbourg, héritier de la couronne impériale austro-hongroise. Il y eut ensuite l'ultimatum puis, le 28 juillet, la déclaration de guerre de l'Autriche-Hongrie, soutenue par l'Allemagne, à la Serbie ; la mobilisation russe ; puis en réponse la déclaration de guerre de l'Allemagne à la Russie de Nicolas II le 1er août, et à la France le 3 août. De déclaration de guerre en déclaration de guerre, les autres pays furent alors entraînés dans le tourbillon, le Royaume-Uni, le Japon, l'Empire ottoman, plus tard l'Italie. Le jeu des alliances aidant, dans presque toute l'Europe 70 millions d'hommes furent mobilisés et, à partir d'avril 1917, 4 millions de soldats américains. En fait l'attentat du 28 juin n'avait fait que fournir un prétexte au déclenchement d'un conflit qui se préparait depuis longtemps. Deux camps s'étaient graduellement formés, autour de l'Allemagne et de l'Autriche-Hongrie d'une part, et autour de la France, de la Russie tsariste et du Royaume-Uni d'autre part. Entre ces deux camps, les bruits de bottes ne cessaient de retentir : à propos du Maroc, entre la France et l'Allemagne, en 1905 ; entre la Serbie, la Russie et l'Autriche-Hongrie en 1908 ; à nouveau à propos du Maroc en 1911 ; puis ce furent, en 1912 et 1913, des conflits incessants dans les Balkans. après le partage impérialiste, le repartage Une course effrénée aux armements battait son plein entre les grandes puissances, en particulier entre l'Allemagne et la Grande-Bretagne pour la domination des mers. Les gouvernements faisaient voter des lois renforçant sans cesse la taille des armées. Car, à l'échelle mondiale, la concurrence entre États européens était parvenue à un point critique. Les conquêtes coloniales avaient, dans la seconde moitié du XIXe siècle, placé la Grande-Bretagne largement en tête des pillards : en 1876, elle étendait sa domination sur 22 millions de kilomètres carrés et 250 millions d'hommes. La France la suivait de loin, mais s'était imposée en Algérie, au Sénégal, en Côte-d'Ivoire, au Gabon, à Madagascar, en Nouvelle-Calédonie, en Indochine. À la fin du XIXe siècle, la Belgique, l'Allemagne et l'Italie s'étaient également frayé une place dans la course aux colonies. En Afrique, en 1914, seuls le Liberia et l'Éthiopie étaient encore juridiquement indépendants : 122 millions d'Africains étaient sous la domination de l'un ou l'autre des États européens. La situation était semblable en Asie, en Océanie, tandis que l'Amérique du Sud était dominée par l'impérialisme britannique auquel les USA rêvaient de succéder. Dans ce monde entièrement partagé, il ne pouvait plus y avoir désormais que des repartages. Les capitaux accumulés dans les pays impérialistes cherchaient des débouchés dans les pays coloniaux ou semi-coloniaux, non dans le but de les développer mais avant tout de s'assurer des profits en retour. « Le capitalisme s'est transformé en un système universel d'oppression coloniale et d'asphyxie financière de l'immense majorité de la population du globe par une poignée de pays « avancés ». Et le partage de ce butin se fait entre deux ou trois rapaces de puissance mondiale, armés de pied en cap [...] qui entraînent toute la terre dans leur guerre pour le partage de leur butin », écrivait Lénine en 1916. La guerre, produit du capitalisme La fin de la guerre aurait pu être aussi celle de ce système. En Russie, en 1917, les travailleurs avaient réussi à abattre le tsarisme et à instaurer un pouvoir ouvrier, celui des soviets. En Allemagne, ce même mois de novembre 1918 fut celui de la chute du Kaiser et de la révolution des conseils ouvriers. D'autres mouvements révolutionnaires allaient suivre dans toute l'Europe, en Hongrie, en Italie. Malheureusement la bourgeoisie, avec l'aide des partis socialistes réformistes, réussirait à reprendre la situation en main et à isoler la Russie révolutionnaire, qui deviendrait l'URSS. Au plus fort de la guerre, dans l'horreur des tranchées, beaucoup avaient juré que celle-ci serait bien la « der des der », car ils pensaient qu'après cette expérience jamais une humanité raisonnable ne pourrait envisager de retomber à un tel degré d'abomination. Il n'allait pas en être ainsi. Ni la défaite des Empires centraux, ni la « victoire » des Alliés, ni les partages de territoires auxquels ceux-ci allaient se livrer pour se répartir le butin ne résoudraient les problèmes du capitalisme. Dans l'Italie victorieuse mais épuisée par la guerre, l'échec de la révolution allait permettre au mouvement fasciste de Mussolini de prendre le pouvoir dès 1922. Dans l'Allemagne vaincue, la défaite de la révolution ouvrirait la voie aux mouvements d'extrême droite prônant la revanche et s'inspirant de l'exemple italien. À peine la Première Guerre mondiale pour le partage du monde terminée, on pouvait sentir poindre la seconde, qui viserait à remettre en cause le partage organisé par les traités de paix de 1919. Et en effet, après le krach boursier de 1929, la crise économique généralisée ouvrirait la voie au nazisme en Allemagne. La marche à la guerre allait reprendre. « Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage », avait dit Jean Jaurès, assassiné trois jours avant la déclaration de guerre du 3 août 1914. Deux fois au cours du XXe siècle, le système capitaliste s'est montré capable de précipiter le monde dans des guerres généralisées. Et si, depuis 1945, l'incontestable supériorité des USA a empêché tout conflit ouvert entre impérialistes, les rivalités entre ceux-ci ont entretenu, sinon provoqué, d'innombrables guerres dans le Tiers Monde, au total presque aussi meurtrières et destructrices. Aujourd'hui, en cette période de crise financière, le système impérialiste montre qu'au fond il n'est pas moins fou en 2008 qu'il ne l'était en 1914, en 1929 ou en 1939. Ce système aberrant, injuste, basé sur la recherche effrénée du profit, comporte toujours pour l'humanité la même menace de plongée dans la barbarie. C'est d'abord de cela qu'il faut se souvenir aujourd'hui, et dont il faut tirer les leçons. Viviane LAFFONT
  8. Les militants de la LCR considèrent les "anarchistes autonomes" comme un des plus vils déchets du mouvement social et n'entretiennent aucune relation avec eux si ce n'est une de mépris. La LCR considère que l’émancipation de la classe ouvrière résultera de l’action collective des travailleurs eux-mêmes et considère que ces actions de sabotages n'ont rien à avoir de près ou de loin, avec le mode opératoire qu'elle préconise dans les milieux ou elle intervient. Les "totos" comme on les appelle dans le jargon, argumentent contre la légitimité des Assemblées générales lors des grèves, traitent de "vendus" les salariés, passent leur temps pendant les mouvement sur les facs (parce qu'ils n'existent que à la fac bien entendus) à chier dans les couloirs (véridiques) et à saboter toutes les réunions que peuvent organiser les forces politiques et syndicales du mouvement ouvrier.
  9. Moi aussi moi aussi ze veux jouer et je me démerderai pour être de repos le 17 janvier à midi! Il y a un restaurant italien qui vient d'ouvrir à côté de la Gare Montparnasse qui est pas mal et duquel on pourrait obtenir quelques faveurs ....
  10. Çà dépend des services. Si c'est pour un achat de billets, renseignements sur les horaires, oui. Mais il existe des services annexes dans le 36 35 qui ne sont pas gérés par des cheminots.
  11. Hum. Contacter le service de recouvrement pour demander à voir le PV avec la signature, porter plainte pour usurpation d'identité. Apporter son "alibi" pour l'envoyer ensuite au service clients d'Arras...
  12. Salut, Est ce que quelqu'un sait si la SNCF a un point de vente autre que l'antenne à Picadilly? C'est pour qu'un ami puisse retirer un Eurostar CF77AD qui ne peut pas se retirer sur le réseau Anglais et pas dans l'antenne de Picadilly? Sinon ce sera un envoi par courrier ...
  13. Vis-à-vis des grèves à Paris-Est, il y en avait justement une qui touchait les agents qui travaillent à l'Escale, dont les agents qui donnent les départs. Elle était bien suivie et a débouché sur une AG et invasion du CHSCT ce vendredi 7 novembre. Les agents se mobilisent contre les suppressions de postes qui sont tombés sur le chantier. La question des bas salaires est également omniprésente. Pour l'instant, la direction refuse de cedér. Il faura donc une suite à cette lutte.
  14. J'ai voté : 1. Oui 2. Janvier 3. Paris Cela ne me gênerait aucunement de me déplacer vers n'importe quelle autre ville desservie par le TGV en 3h30 tout au plus. Histoire de pouvoir faire l'aller-retour dans la journée au départ de Paris. Ceci dit, je m'adapterai à la décision de la majorité des forumeurs intéressés.
  15. Le collègue a confirmé. Le bunker peut se visiter pendant les journées du patrimoine ou d'autres journées portes ouvertes de la SNCF, mais on peut également formuler une demande en tant que cheminot auprès de je ne sais quelle instance SNCF pour la visiter en groupe. Il a reçu déjà plusieurs propositions pour le visiter mais n'a jamais donné suite. Il va se renseigner pour voir comment il faut faire.
  16. Tes parents et beaux-parents ont droit à 4 cases de dispense de paiement du prix du billet par an. C'est à dire qu'ils ne payent que la réservation qui varie en fonction du train choisi et la période pour les TGV. La "case" est valable à partir du jour inscrit jusqu'au surlendemain midi. Demandes les cases à ton agence famille en leur envoyant une copie de ton acte de naissance pour prouver ta filiation avec tes parents. Lors de ton embauche, tu as normalement eu une fiche à cette fin ... non?
  17. Je connais un agent qui travaille au départ sur les quais de Paris-Est. Je vais voir si il a entendu parler de ce truc. Rassures toi krisamv, j'irais pas avec toi :p
  18. Revenons au sujet principal, à savoir la grève sur le RH077...
  19. Je ne poserais certainement pas un AY, cela va de soit, et je n'irais pas au travail demain. Tout est question de rapport de force, commissionnement ou pas. Au vu de ma situation, je peux me le permettre, tout comme n'importe quelle grève d'ailleurs. La direction n'attend pas mon commissionnement pour se positionner vis-à-vis du RH077 ou s'en prendre à mes conditions de travail.
  20. Ne t'inquiètes pas pour moi et gardes ta joie. En tout cas, il est pour le moins ... dérangeant ... de voir un collègue se réjouir à l'idée du licenciement supposé d'un cheminot qui exprime sa solidarité avec le mouvement de grève des mécanos par un acte concret.
  21. Ce que l'on peut souhaiter de mieux aux travailleurs des Etats-Unis, c'est qu'ils ne se fassent pas plus d'illusions sur Barack Obama que les travailleurs français en firent sur par exemple le politicard Mitterand. Quel que soit la couleur de peau du nouveau président, il a été mis en place, financé et installé par des puissances financières dont les intérêts sont aux antipodes de ceux qui subissent aujourd'hui les expulsions, les licenciements, l'augmentation des prix. Aux Etats-Unis du moins, la génération qui eut à subir la plus grande crise économique des Etats-Unis et plus généralement du monde à ce jour, celle de 1929, fut aussi celle qui su le plus réagir en menant les luttes les plus déterminées et radicales dans l'histoire du mouvement ouvrier américain. En ces temps ou les économistes n'hésitent pas à tirer des parallèles avec la crise économique de 1929 au vu du désastre qui s'installe dans les milieux populaires, j'ose espérer que le mouvement ouvrier américain saura quant à lui, tirer ses propres parallèles et trouver la voie de l'organisation et la lutte collective. La multiplication des grèves dures aux Etats-Unis ainsi que de manifestations radicales (ex : 45 jours de grève dans les usines Boeing, grèves dans l'industrie automobile contre les licenciements, manifestations à Wall Street) constituent en ce sens un signe très encourageant pour les mois à venir. Bien plus que l'élection d'un Obama, financé à coup de centaines de millions de dollars par les mêmes multinationales qui aujourd'hui expulsent et licencient.
  22. En tout cas, je n'irais pas au travail demain par solidarité avec les mécanos en grève. Vous avez évidemment raison de vous battre et j'espère que ceci constituera le coup d'envoi d'une bataille plus dure pour défendre le RH077 qui n'est pas seulement celui des mécanos, mais celui de tous les cheminots.
  23. Paris - Austerlitz a un charme indéniable, un certain air du passé, du "Paris-Orléans" d'antan que j'apprécie personnellement beaucoup. Et l'EUV est plutôt classe et high-tech de nos jours.
  24. Très très fort comme pirouette! Moi, je compare du point de vue de l'usager lambda qui veut se déplacer X km au sein d'un pays et qui se tourne donc vers l'opérateur ferroviaire du pays en question, que ce soit la SNCF en France ou la Deustche Bahn en Allemagne. Le moins cher qu'on puisse trouver pour un Paris-Stuttgart avec la SNCF, c'est 22€. C'est un PREM'S, ni écheangeable, ni remboursable. Pour un départ le lendemain pour Stuttgart, c'est 95€ en TGV. Avec la Deustche Bahn (voir son site), c'est 95€ pour un billet TGV acheté chez elle, 111€ pour un ICE. Ton exemple est de toute façon très mauvais car la Deustche Bahn et la SNCF opèrent conjointement la route vers l'Est. Tu me fais rire! mdrmdr
  25. Il est très simple de comparer les prix entre la Deustche Bahn et ceux de la SNCF. Prenons par exemple un Berlin - Munich, tarif normal (sans anticipation) varie entre 95€ et 122€ pour parcourir 576 Km. Ca prend 5-6H en plus. Un Paris-Marseille en TGV prend 3h pour parcourir 863 KM. Le prix varie entre 78.20€ et 95.70€ en période de pointe. Vérification faite aujourd'hui même sur le site de la Deustche Bahn.
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