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Le Web des Cheminots

Retraites - Greves - 16 Novembre 2007


Messages recommandés

Ca fait du bien de lire des cheminots qui commencent à se rendre compte que l'affaire des retraites c'est pas demain que l'on va gagner mais bien dans un mois ...

Je le répète. Arrêtons la casse...

c'est fait du mal aussi qu'un certain nombre de gars , au lieu de soutenir leurs"collègues" qui sont toujours en lutte, leurs cassent le moral "genre foncer dans le mur..."pire que le grt. revoltages

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c'est fait du mal aussi qu'un certain nombre de gars , au lieu de soutenir leurs"collègues" qui sont toujours en lutte, leurs cassent le moral "genre foncer dans le mur..."pire que le grt. mdrmdr

No comment, on verra bien dans quelques temps, si vous aurez obtenu le retrait des 40 ans de cotisations.

C'est pas moi qui l'a écrit le préavi.

Je ne casse pas le moral, je suis réaliste c'est tout.

Bonne continuation de grève politicojusqueboutiste...

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Tu peux m'expliquer ça, je ne te suis pas là ?

Si tes déléguès sont un peu honnête, ils te diront que les 40 ans de cotisations et les décôtes c'est mort et çà ils le savent depuis le début.

Il reste à négocier la compensation financière pour combler le trou financier dû aux décotes.

Cela permettant de partir à 55 ou 50 ans avec la même somme qu'avant. Et çà, je l'entend de plus en plus dans vos mails, et sur le piquet de mon UP par les mêmes déléguès qui il y a encore 8 jours refusé les 40 ans de cotisations. (voir interview direct d'un déléguè CGT de Bordeaux tout à l'heure au JT de france2)

Sauf que cet argent n'arrivera jimais de l'état mais bien par la négociation entreprise par entreprise (avec l'état, comme la CGT l'a demandé)

C'est pour cela que je dit que les négociations par entreprise sont 1000 fois plus importante à gagner que celle de l'état. Donc dans un mois limite.

Mais quand je vous le dit, vous ne le croyez pas, ou plutôt cela ne vous arrange pas de le croire.

Car le croire, c'est donner raison à la seule OS qui n'a pas fait grève le 13 novembre.

Enfin je terminerais mes propos par cette information : Les OS en grève demandent à la direction de remettre à plat les avancées obtenues par la FGAAC. Et çà c'est pas du pipo, la aussi appelé vos FD vous verrez si elles sont honnêtes..

Voilà la réalité les gars, vos OS sont mal à l'aise, le gouvernement ne lâche pas, la base non plus, sauf que depuis le début elles vous mentent. Les 37,5 ans n'ont jamais était leur combat...

Et vous n'êtes encore 32%, il est encore temps de se mettre à la table des négociations, le rapport de force est encore jouable. Lundi, vous serez combien encore en grève? Le rapport de force sera t'il encore là?

Je vous pose la question

Cordialement

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Si tes déléguès sont un peu honnête, ils te diront que les 40 ans de cotisations et les décôtes c'est mort et çà ils le savent depuis le début.

Il reste à négocier la compensation financière pour combler le trou financier dû aux décotes.

Cela permettant de partir à 55 ou 50 ans avec la même somme qu'avant. Et çà, je l'entend de plus en plus dans vos mails, et sur le piquet de mon UP par les mêmes déléguès qui il y a encore 8 jours refusé les 40 ans de cotisations. (voir interview direct d'un déléguè CGT de Bordeaux tout à l'heure au JT de france2)

Sauf que cet argent n'arrivera jimais de l'état mais bien par la négociation entreprise par entreprise (avec l'état, comme la CGT l'a demandé)

C'est pour cela que je dit que les négociations par entreprise sont 1000 fois plus importante à gagner que celle de l'état. Donc dans un mois limite.

Mais quand je vous le dit, vous ne le croyez pas, ou plutôt cela ne vous arrange pas de le croire.

Car le croire, c'est donner raison à la seule OS qui n'a pas fait grève le 13 novembre.

Enfin je terminerais mes propos par cette information : Les OS en grève demandent à la direction de remettre à plat les avancées obtenues par la FGAAC. Et çà c'est pas du pipo, la aussi appelé vos FD vous verrez si elles sont honnêtes..

Voilà la réalité les gars, vos OS sont mal à l'aise, le gouvernement ne lâche pas, la base non plus, sauf que depuis le début elles vous mentent. Les 37,5 ans n'ont jamais était leur combat...

Et vous n'êtes encore 32%, il est encore temps de se mettre à la table des négociations, le rapport de force est encore jouable. Lundi, vous serez combien encore en grève? Le rapport de force sera t'il encore là?

Je vous pose la question

Cordialement

Tu ne réponds absolument pas à la question !

tu as dit :

Ca fait du bien de lire des cheminots qui commencent à se rendre compte que l'affaire des retraites c'est pas demain que l'on va gagner mais bien dans un mois ...

Alors je veux bien comprendre qu'il faut que les négociations débutent à la SNCF, pour compenser les 40 annuités qui sont certainement inéluctables maintenant, mais en quoi va t-on gagner dans un mois ?

Que vient faire "un mois" là dedans ?

Si les négociations ont lieu en position de faiblesse ( la grève suspendue ), il n'y pas de notion de 1 mois ou pas, nous prendrons le risque que la Direction ne lâche rien de plus que les miettes qu'elle claironne partout d'avoir lâchée !

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Pour ma part j'ai un peu peur du week-end ! Combien seront nous aux AG de demain et de dimanche ? Ce matin à l'AG en discutant avec certains collègues, j'ai pu voir que les mecs étaient inquiets sur la suite de la grêve, faut il continuer ? Est-ce qu'il ne faudrait pas essayer de négocier une fois pour toute ? Certains agent du matériels veulent le blocage des voies en expliquant que les pêcheurs et les taxis ont eu gains de causes grâce au blocage ! Malheureusement le ministre nous a laissé un mois pour négocier au bout duquel la réforme sera faite, combien seront nous après 1,2 ou 3 semaines de grêve à la continuer ? Je me pose des questions et je pense ne pas être le seul

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La grève dans les transports va se prolonger ce week-end

Il y a 7 heures

PARIS (AFP) — La grève dans les transports entamée mercredi, qui entraînait toujours vendredi de fortes perturbations, va se prolonger durant le week-end, syndicats et gouvernement se livrant à un dialogue de sourds, alors que se profile un mouvement des fonctionnaires pour mardi.

A la SNCF, les premières assemblées générales de cheminots organisées vendredi matin ont reconduit la grève contre la réforme des régimes spéciaux jusqu'à samedi, conformément à ce qu'ont demandé sept syndicats. A Nantes, le mouvement a même été prolongé jusqu'à lundi.

Le mouvement donnait pourtant vendredi, selon la direction, des signes d'essoufflement avec 32,2% d'agents en grève, contre 42,8% la veille et 61,5% mercredi.

Les assemblées générales d'agents de la RATP des métros, bus et RER ont décidé elles aussi la reconduction de la grève jusqu'à samedi ou souvent lundi, selon la CGT.

Dans ces conditions, la direction de la régie de transports ne prévoyait guère d'amélioration du trafic samedi, avec une rame de métro sur 5 en moyenne (sauf sur les lignes 1 et 14 où le service est meilleur), des lignes A et B du RER "fortement perturbées" et seulement 40% des bus et tramways.

Gouvernement et syndicats se livraient à un dialogue de sourds au troisième jour de grève, alors qu'une issue rapide semblait se dessiner mercredi. Les fédérations de cheminots demandaient ainsi au ministre du Travail, Xavier Bertrand, la tenue "dès vendredi" d'une réunion tripartite "pour fixer le cadre" des négociations dans les entreprises.

Mais le ministre conditionnait de son côté l'ouverture "immédiate" de négociations à "un appel à la reprise du travail" de la part des organisations dans les entreprises.

Dans la branche électrique et gazière, le premier syndicat, la CGT, a refusé de participer vendredi matin à une réunion de négociation sur les salaires et les retraites, malgré la présence d'un représentant de l'Etat.

Gaz de France se dit pourtant prêt à mettre en place un système de retraite complémentaire pour ses salariés et à concéder des hausses de salaires pour compenser l'allongement de la durée de cotisation des agents.

Nicolas Sarkozy devait recevoir vendredi à 16H00 à l'Elysée les dirigeants des quatre entreprises (SNCF, RATP, EDF et GDF) concernées par la réforme pour faire avec eux "un point sur la situation au sein de ces entreprises" après avoir reçu, à 15H45, le Premier ministre François Fillon, le ministre du Travail Xavier Bertrand et le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau.

Ce dialogue interrompu entre syndicats, entreprises et gouvernement, a entraîné de premières tensions autour de certains piquets de grève.

Des grévistes de la SNCF ont ainsi empêché des trains qui devaient desservir la gare Saint-Lazare de quitter leur dépôt, en se mettant sur la voie avec des pétards et des fumigènes. Une attitude "inacceptable", selon la direction.

Pour Edgar Stemer, secrétaire général adjoint de la CFDT, "des trains ont été stoppés sur le réseau Saint-Lazare et sur celui de la partie Nord de Paris ainsi que sur la grande ligne Lille-Paris. Des signaux ont été fermés et des systèmes de sécurité actionnés manuellement", a-t-il précisé.

Selon lui, "ce ne sont certes pas des actes de sabotage, mais cela provoque des arrêts de train en pleine voie qui peuvent mettre en danger les passagers".

Si le mouvement perdure au delà du week-end, il pourrait réaliser la jonction avec la grève prévue par les fonctionnaires mardi sur les salaires et l'emploi.

http://afp.google.com/article/ALeqM5ge4o78...1MQCwJroVkdSUEg

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Pour ma part j'ai un peu peur du week-end ! Combien seront nous aux AG de demain et de dimanche ? Ce matin à l'AG en discutant avec certains collègues, j'ai pu voir que les mecs étaient inquiets sur la suite de la grêve, faut il continuer ? Est-ce qu'il ne faudrait pas essayer de négocier une fois pour toute ? Certains agent du matériels veulent le blocage des voies en expliquant que les pêcheurs et les taxis ont eu gains de causes grâce au blocage ! Malheureusement le ministre nous a laissé un mois pour négocier au bout duquel la réforme sera faite, combien seront nous après 1,2 ou 3 semaines de grêve à la continuer ? Je me pose des questions et je pense ne pas être le seul

http://www.rennes-infhonet.fr/article-societe-791.html

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bonjour a tous ,moi je ne suis pas syndiqué et pourtant je pense quil faut continuer a faire pression sur le gourvernement,ce n'est que comme ca que lon obtiendra peut etre quelque chose.Comment on fait les marins (quoique se sont fait enc.... par la suite).

ca fait un mois que la greve du 18 octobre a eu lieu et vous croyez pas quil avait le temps pour les negotiations,arretez la greve pour negotier mais faut pas ce foutre de notre gueule

D'accord on attend un mois et dans un mois on aura quoi.......des clopinettes

Je crois que si l'on continu le mouvement il faudra bien lache du leste,vous vous rendez compte pour l'economie du pays ce que represente une journée de greve a la SNCF

SVP ne pretez pas attention aux medias qui veulent nous faire croire n'importe quoi et nous monter les un contre les autres

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D'ailleurs jesperes que toute la france cheminote sera encore en greve lundi et mardi surtout

Pourquoi mardi? on se bat sur nos revendications, le mélange des genre ne nous apporteras rien, et on s'en rendras éventuellement compte mercredi 21, lorsque les fonctionnaires aurons tous repris le boulot; il est urgents que gvt et OS entames enfin ces p...s de négotiations que l'on puissent s'extraire de ce piège a rats. :Smiley_54:

Philippe

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32.2% de grèvistes à 11h d'après la direction, soit à peu près 10% de cheminots de moins (15000 agents).

Et d'après la police, tu as les chiffres? :Smiley_54:

Modifié par ____
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Communiqué CFDT

La CFDT Cheminots a organisé ce jour une consultation de ses équipes syndicales pour échanger sur l'évolution du conflit en cours.

Après analyse de la situation, la CFDT Cheminots a proposé au vote la résolution suivante :

« La CFDT Cheminots propose que les Assemblées Générales représentatives se prononcent pour la suspension du mouvement mais exige en contre partie du Gouvernement le lancement immédiat des négociations tripartites.

Dans le cadre du calendrier fixé par le Gouvernement, la CFDT Cheminots dépose un préavis de grève à partir du 20 décembre 2007. Ce préavis conservatoire sera confirmé ou non suivant l'analyse qui sera faite du résultat global du contenu des négociations tripartites. »

Cette résolution a été votée à l'unanimité, et une majorité des responsables s'est prononcée pour sa diffusion immédiate.

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Communiqué CFDT

La CFDT Cheminots a organisé ce jour une consultation de ses équipes syndicales pour échanger sur l'évolution du conflit en cours.

Après analyse de la situation, la CFDT Cheminots a proposé au vote la résolution suivante :

« La CFDT Cheminots propose que les Assemblées Générales représentatives se prononcent pour la suspension du mouvement mais exige en contre partie du Gouvernement le lancement immédiat des négociations tripartites.

Dans le cadre du calendrier fixé par le Gouvernement, la CFDT Cheminots dépose un préavis de grève à partir du 20 décembre 2007. Ce préavis conservatoire sera confirmé ou non suivant l'analyse qui sera faite du résultat global du contenu des négociations tripartites. »

Cette résolution a été votée à l'unanimité, et une majorité des responsables s'est prononcée pour sa diffusion immédiate.

Bonne initiative de la cfdt,et moi je deposerai meme un preavis plutot a partir du 24/12,comme ca tout le monde passera noel en famille puisqu'il faut l'égalité!!!!

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Bonne initiative de la cfdt,et moi je deposerai meme un preavis plutot a partir du 24/12,comme ca tout le monde passera noel en famille puisqu'il faut l'égalité!!!!

En tous cas si c'est le cas, ça sera sans moi !

marre d'être pris pour une marionnette par des Syndicats qui nous manoeuvrent au gré du sens du vent Gouvernemental !

Modifié par pasdid84
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Et d'après la police, tu as les chiffres? lotrela

Et bien d'après la cgt c'est 36% alors que c'était 46% hier (toujours d'après la cgt).

Je ne suis pas doué en mathématique mais cela fait toujours 10% de moins.

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Grève : l'unité syndicale à la SNCF

mise à mal par le retrait de la CFDT

Par Par Anne-Pascale REBOUL AFP - PARIS (AFP) -

L'union affichée par la quasi-totalité des syndicats à la SNCF dans la grève contre la réforme des régimes spéciaux a été mise à mal vendredi par le retrait de la CFDT et pourrait encore souffrir de divergences entre organisations et de tentatives de séduction de la part de la direction.

La CFDT-cheminots, 4e syndicat à la SNCF (11,6% des voix aux élections des représentants du personnel) a "suspendu" vendredi son mouvement et "exige en contrepartie du gouvernement le lancement immédiat de négociations".

Arnaud Morvan, son secrétaire général, se trouvait pris en étau entre sa base et sa confédération, dont le numéro un François Chérèque, favorable à la réforme mais avec des aménagements, estimait avoir obtenu "les éléments pour suspendre la grève".

D'un autre côté, soulignait M. Morvan, "nous ne voulons pas revivre 2003 qui nous a coûté plus de la moitié de nos adhérents", lorsque la CFDT avait accepté la réforme Fillon des retraites.

Le syndicat avait d'ailleurs, avec six autres fédérations de cheminots (CGT, Sud-Rail, CFTC, FO, Unsa, CFE-CGC), demandé jeudi aux assemblées générales de reconduire la grève.

Cette position commune était apparue comme un tour de force alors que la plupart des fédérations ont "quelques états d'âme" et "tiraillements" vis-à-vis de leurs confédérations, plutôt conciliantes sur la réforme, analyse un syndicaliste fin connaisseur des conflits cheminots.

"Tout syndicat SNCF qui prend le risque d'appeler à la reprise du travail en pâtira aux prochaines élections professionnelles", prévient-il.

La réunion intersyndicale se tenait au siège de la CGT à Montreuil (Seine-Saint-Denis), la fédération cégétiste des cheminots, première à la SNCF (40,1% des voix) ayant une incontestable suprématie.

Didier Le Reste, son secrétaire général, avait tenté de sortir du dialogue de sourds avec le gouvernement, en plaidant pour une "première réunion" de cadrage avec Etat et direction dès vendredi.

Six fédérations ont écrit jeudi au ministre du Travail dans ce sens mais la demande est restée lettre morte, Xavier Bertrand exigeant d'abord que les organisations syndicales appellent à la fin de la grève, ce qu'a finalement fait vendredi la CFDT.

Sud-Rail, 2e syndicat à la SNCF (15% des voix), né après le long conflit sur les régimes spéciaux de 1995, n'a pas signé le courrier au ministre. Le syndicat réclame "le retrait pur et simple" de la réforme.

A l'opposé de la CFDT, mais aussi la CFTC (8,1%) et la CFE-CGC (1%), qui ont discrètement négocié un accord avec la direction dans la nuit de mardi à mercredi, au moment où la grève débutait à la SNCF. Il prévoit la suppression rapide des mises à la retraite d'office, préalable à l'ouverture de négociations pour ces syndicats.

Un accord conclu trop vite et devenu embarrassant pour la direction, selon la CFE-CGC, qui veut désormais "voir reconnaître (sa) prise en compte intégrale" pour retirer son préavis.

La direction de la SNCF a déjà réussi à arracher la Fgaac du front syndical en négociant des avantages pour les agents de conduite tout au long de la journée de grève du 18 octobre, à laquelle participait ce syndicat catégoriel (3% des voix mais 2e syndicat chez les conducteurs).

Selon plusieurs sources syndicales, la Fgaac est "bonne élève" car elle cherche à obtenir la reconnaissance de sa représentativité au niveau de la branche ferroviaire.

"Unité syndicale, ne pas faiblir", martèle l'Unsa-cheminots (14,5% des voix, 3e) qui dénonce les tentatives de "divisions" orchestrées selon elle par le gouvernement et la direction.

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