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Le Web des Cheminots

Le fascisme avance maintenant en plein jour


Invité JLChauvin

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Invité JLChauvin

http://actu.orange.fr//politique/propos-su...eux_478712.html

http://actu.orange.fr/politique/voile-inte...les_478686.html

Après, ce sera le tour des "communistes", des "anarchistes"... puis des "mauvais citoyens" et de tous les "déviationnistes"...

Franchement çà me fout les boules de voir cette gangrène se développer à nouveau, l'Histoire avec un grand H est déjà oubliée. Le Fléau n'était pas mort, il reprenait seulement ses forces pour une nouvelle période d'horreur. Et à mon grand désespoir, les choses s'accélèrent à une terrible vitesse. Le Fléau est déjà à l'œuvre un peu partout, il ne se cache même plus sous des dehors "respectables", il affiche même son cynisme avec une grande fierté. Et comme, dans nos contrées, il est resté endormi beaucoup plus longtemps que par le passé je ne vous fais pas un dessin sur ce qui va nous tomber sur la gueule: incessamment sous peu ce sera "chacun pour moi et Dieu pour tous". Mais si finalement çà avait déjà commencé?

cartonrouge

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j'ai plus peur du fascisme vert dont le peuple algérien à souffert dans les années 1990 et qui semble avoir trouvé une terre d'accueil dans notre pays au grand désespoir des algériens réfugiés chez nous depuis ces années noires...

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Invité JLChauvin

j'ai plus peur du fascisme vert dont le peuple algérien à souffert dans les années 1990 et qui semble avoir trouvé une terre d'accueil dans notre pays au grand désespoir des algériens réfugiés chez nous depuis ces années noires...

De quel fascisme Vert parles tu? De celui qui nous prends pour des neuneus en nous vendant très cher une conscience écolo? Il est vrai que celui-ci ma fait aussi peur, mais c'est surement parce qu'il n'est qu'un rideau de fumée déployé par les tenants de l'industrie lourde pour faire semblant de s'inquiéter du problème...

Quand à celui que tu évoque, le notre de fascisme adopte évidemment un aspect beaucoup plus civilisé, mais au fond... vraiment au fond, quelle est la différence? Qu'on le veuille ou non, la machine à conneries est déjà en marche et commence déjà à s'emballer. Ta réaction immédiate à chaud en est une triste conséquence... et montre ou en est le conditionnement des masses.

"La Dictature c'est ferme ta gueule, la "Démocratie" c'est cause toujours"...

Modifié par JLChauvin
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De quel fascisme Vert parles tu? De celui qui nous prends pour des neuneus en nous vendant très cher une conscience écolo? Il est vrai que celui-ci ma fait aussi peur, mais c'est surement parce qu'il n'est qu'un rideau de fumée déployé par les tenants de l'industrie lourde pour faire semblant de s'inquiéter du problème...

Quand à celui que tu évoque, le notre de fascisme adopte évidemment un aspect beaucoup plus civilisé, mais au fond... vraiment au fond, quelle est la différence? Qu'on le veuille ou non, la machine à conneries est déjà en marche et commence déjà à s'emballer. Ta réaction immédiate à chaud en est une triste conséquence... et montre ou en est le conditionnement des masses.

"La Dictature c'est ferme ta gueule, la "Démocratie" c'est cause toujours"...

il a fallut attendre 2010 pour que le fascisme vert soit assimilé au remue ménage de riches bobos écolos!

Pour te mettre sur la piste, une citation d'époque :

« … il fallait faire front, face à ce fascisme vert qui ne se développe et ne se meut qu'en fonction de la violence, de la barbarie et de la cruauté sadiques : c'est-à-dire quelque chose de lâche et de pathologique qu'une minorité veut imposer à la majorité en profitant soit de sa couardise, soit de son indifférence, soit de son inconscience à la fois naïve et dramatique »

"les femmes modernes continuaient à faire face, à s'habiller et à agir comme elles le voulaient. Naturellement. Spontanément. A sourire découvert. »

http://www.humanite.fr/1992-04-01_Articles_-Face-au-fascisme-vert

Non, non, il faut par mémoire laisser le mot de fascisme vert à ce qui était défini par le peuple algérien et dont on retrouve encore les écrits grâce à Internet, même de 1992 !

Et on ne peut que constater en 2010 sous NS1er que toutes les religions, toutes les sectes les plus obscurs prospèrent au nom de liberté, égalité, fraternité;

même l'indéfendable

Modifié par 2D2
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Invité JLChauvin

Ils deviennent tous fous, retour vers le futur: 1938/39??????????????????????????????????????????? cartonrouge

Et oui mon pauvre ami, retour vers le futur: les mêmes démons sont à l'œuvre... je lis des choses qui m'effarent! koiquesse

"La Dictature c'est ferme ta gueule, la "Démocratie" c'est cause toujours"... Et çà tourne de plus en plus au ferme ta gueule... comme avant la dernière!

Je ne me trompe malheureusement pas le Fléau est déjà là, parmi nous... à ceux qui en doutait encore. Je crains le pire... pour très bientôt. cartonrouge

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Ils deviennent tous fous, retour vers le futur: 1938/39??????????????????????????????????????????? cartonrouge

Dans les années 1930, la France a accueilli des allemands décrivant la brutalité des nazis.

Des juifs allemands furent aussi accueillis.

Le livre "Mon combat" été édité en France et les intellectuels de l'époque étaient au courant du futur programme d'Adolf

un article intéressant http://fr.wikipedia.org/wiki/Mein_Kampf notamment sur l'aspect dogme qui nous plonge en 2010.

Cela n'a pas empéché quelques années plus tard de livrer en pâture les réfugiés allemands aux occupants nazis sans trop de mauvaises consciences.

C'est peut-être cela que les algériens ayant fuit les barbus craignent: notre actuelle attitude si désinvolte.

PARIS, 14/01/2010 http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20100114152025/islamisme-theatre-paris-fadela-amaral-auteure-algerienne-rayhana-agressee-a-paris.html

L’auteure et comédienne algérienne Rayhana a été aspergée d’essence et insultée à Paris mardi soir, où se joue sa pièce de théâtre « A mon âge, je me cache encore pour fumer ». Déjà menacée de mort par des islamistes, elle y dénonçait notamment les violences faites aux femmes en Algérie.

« Les femmes de ce pays en voie de développement ont cette chance d’accéder à l’éducation. […] Mais malheureusement leur conscience citoyenne et leur volonté démocratique sont étouffées par le poids des traditions religieuses », avait-elle déclarée à Jeune Afrique au mois de décembre.

Oui,à gauche, ils deviennent fou.

Oui, à gauche, ils oublient Jaurés, Ferry et tous les républicains pour qui la religion reste dans le domaine privé et surtout pas s'étaler dans la sphère publique puis en politique.

Oui, à gauche, ils oublient les combats des années 1930, se trompent d'ennemis et sont capable de favoriser bêtement l'essor du fascisme vert.

Oui, la laïcité est en danger et la gauche médiatique la brade au point de faire peur à la... droite actuelle .

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Bon... grillée pour grillée... je ne risque plus rien n'est ce pas ???

Ok je ne supporte pas non plus ce genre de discours (celui de Lebfevre en particulier).

Mais bon... ça va quoi ! Nous ne sommes pas en Tchéchénie ou en Palestine ou en Chine !!!! Justement nous avons largement la place et le droit de parler de ce qui ne va pas, de ce qui ne nous convient pas, de ce dont nous ne voulons pas !

Ce n'est pas la dictature en France ni le fascisme demain. Il y a des choses qu'il ne faut pas laisser passer : nous sommes bien d'accord. Mais dramatiser tout, tout le temps, n'est pas une bonne stratégie de communication, désolée.

En ce moment, en France, bien des gens ont des problèmes tellement quotidiens et urgents (nourrir leurs gosses, sortir du chomage, se maintenir à flot malgré des baisses importantes de revenus, payer leurs traites pour la maison et le reste, etc... etc...) que les problématiques "intellectuels" (désolée !) de la burquah doivent leur sembler bien loin.

En ce moment, dans le monde, tellement de gens ont des problèmes tellements importants et urgents (nourrir leurs gosses et c'est tout !!!!!) que....

Il n'est pas question de tout laisser tomber parce que c'est pire ailleurs où que la situation ne s'y prête pas mais... quand même quoi...

Un peu de retenue dans le discours ? Cela ne veut pas dire baisser les bras ou laisser tout faire mais un peu de pudeur parfois c'est bien aussi...

Modifié par assouan
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Invité JLChauvin

Salut,

Evidemment je suis d'accord avec toi JL ... mais comment peux-tu mettre sur le même plan fascisme et anarchisme ? Et même communisme à la limite ...

Christophe

Désolé, c'était du second degrés: c'est la propagande fasciste qui traite systématiquement de "communistes", "d'anarchistes" ou de "déviationnistes" tout ceux qui ne sont pas d'accord avec le système... cartonrouge

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Hello! pour ma part, il me semble que la france est le berceau des droits de l'homme, sans viser intel ou son cousin ou bien qui que ce soit, je crois que cela ferait beaucoup de bien à beaucoup de monde de relir cela:

(Je crois que je suis un grand naif, mais que voulez vous, je crois en certaines choses ).

Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1948

PréambuleConsidérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.

Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme.

Considérant qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression.

Considérant qu’il est essentiel d’encourager le développement de relations amicales entre nations.

Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, et qu’ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande.

Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l’Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales.

Considérant qu’une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.

L’Assemblée Générale proclame la présente Déclaration Universelle des Droits de l’Homme comme l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit, s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer, par des mesures progressives d’ordre national et international, la reconnaissance et l’application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction.

Article 1Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Article 2Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationales ou sociale, de fortune, de naissance ou de tout autre situation. De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

Article 3Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Article 4Nul ne sera tenu en esclavage ni servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

Article 5Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 6Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

Article 7Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinctions à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 8Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violants les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par Constitution ou par la loi.

Article 9Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.

Article 10Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.

Article 11Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.

Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d’après le droit national ou international . De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment ou l’acte délictueux a été commis.

Article 12Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 13Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un état.

Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

Article 14Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l’asile en d’autres pays.

Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 15Tout individu a droit à une nationalité. Nul ne peur être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.

Article 16A partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.

Le mariage ne peut être conclu qu’avec libre et plein consentement des futurs époux.

La famille est l’élément naturel et a le droit à la protection de la société et de l’état.

Article 17Toute personne, aussi bien seule qu’en collectivité, a droit à la propriété.

Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.

Article 18Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

Article 19Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que se soit.

Article 20Toute personne a droit à la liberté de réunion et d’association pacifiques.

Nul ne peut être obligé de faire partie d’une association.

Article 21Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays.

La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.

Article 22Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l’effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l’organisation et des ressources de chaque pays.

Article 23Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.

Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’a sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.

Toute personne a le droit de fonder avec d’autres des syndicats et de s’affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

Article 24Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 25Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de se famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d’invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans d’autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.

La maternité et l’enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciale. Tous les enfants, qu’ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

Article 26Toute personne a droit à l’éducation. L’éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l’enseignement élémentaire et fondamental. L’enseignement élémentaire est obligatoire. L’enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l’accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leurs mérité.

L’éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l’amitié entre toutes les nations et tous les groupes radicaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.

Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants.

Article 27Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.

Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l’auteur.

Article 28Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 29L’individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible.

Dans l’exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n’est soumis qu’aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d’assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d’autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l’ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.

Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s’exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 30Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un état, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

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Hello! pour ma part, il me semble que la france est le berceau des droits de l'homme, sans viser intel ou son cousin ou bien qui que ce soit, je crois que cela ferait beaucoup de bien à beaucoup de monde de relir cela:

(Je crois que je suis un grand naif, mais que voulez vous, je crois en certaines choses ).

Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen de 1948

PréambuleConsidérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde.

Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité et que l’avènement d’un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l’homme.

Considérant qu’il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression.

Considérant qu’il est essentiel d’encourager le développement de relations amicales entre nations.

Considérant que dans la Charte les peuples des Nations Unies ont proclamé à nouveau leur foi dans les droits fondamentaux de l’homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l’égalité des droits des hommes et des femmes, et qu’ils se sont déclarés résolus à favoriser le progrès social et à instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande.

Considérant que les Etats Membres se sont engagés à assurer, en coopération avec l’Organisation des Nations Unies, le respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales.

Considérant qu’une conception commune de ces droits et libertés est de la plus haute importance pour remplir pleinement cet engagement.

L’Assemblée Générale proclame la présente Déclaration Universelle des Droits de l’Homme comme l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes de la société, ayant cette Déclaration constamment à l’esprit, s’efforcent, par l’enseignement et l’éducation, de développer le respect de ces droits et libertés et d’en assurer, par des mesures progressives d’ordre national et international, la reconnaissance et l’application universelles et effectives, tant parmi les populations des Etats Membres eux-mêmes que parmi celles des territoires placés sous leur juridiction.

Article 1Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.

Article 2Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationales ou sociale, de fortune, de naissance ou de tout autre situation. De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

Article 3Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Article 4Nul ne sera tenu en esclavage ni servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.

Article 5Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants.

Article 6Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

Article 7Tous sont égaux devant la loi et ont droit sans distinctions à une égale protection de la loi. Tous ont droit à une protection égale contre toute discrimination qui violerait la présente Déclaration et contre toute provocation à une telle discrimination.

Article 8Toute personne a droit à un recours effectif devant les juridictions nationales compétentes contre les actes violants les droits fondamentaux qui lui sont reconnus par Constitution ou par la loi.

Article 9Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé.

Article 10Toute personne a droit, en pleine égalité, à ce que sa cause soit entendue équitablement et publiquement par un tribunal indépendant et impartial, qui décidera, soit de ses droits et obligations, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle.

Article 11Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.

Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d’après le droit national ou international . De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment ou l’acte délictueux a été commis.

Article 12Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

Article 13Toute personne a le droit de circuler librement et de choisir sa résidence à l’intérieur d’un état.

Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.

Article 14Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l’asile en d’autres pays.

Ce droit ne peut être invoqué dans le cas de poursuites réellement fondées sur un crime de droit commun ou sur des agissements contraires aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 15Tout individu a droit à une nationalité. Nul ne peur être arbitrairement privé de sa nationalité, ni du droit de changer de nationalité.

Article 16A partir de l’âge nubile, l’homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.

Le mariage ne peut être conclu qu’avec libre et plein consentement des futurs époux.

La famille est l’élément naturel et a le droit à la protection de la société et de l’état.

Article 17Toute personne, aussi bien seule qu’en collectivité, a droit à la propriété.

Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.

Article 18Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

Article 19Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que se soit.

Article 20Toute personne a droit à la liberté de réunion et d’association pacifiques.

Nul ne peut être obligé de faire partie d’une association.

Article 21Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d’égalité, aux fonctions publiques de son pays.

La volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics ; cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret ou suivant une procédure équivalente assurant la liberté du vote.

Article 22Toute personne, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale ; elle est fondée à obtenir la satisfaction des droits économiques, sociaux et culturels indispensables à sa dignité et au libre développement de sa personnalité, grâce à l’effort national et à la coopération internationale, compte tenu de l’organisation et des ressources de chaque pays.

Article 23Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.

Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.

Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu’a sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s’il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.

Toute personne a le droit de fonder avec d’autres des syndicats et de s’affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

Article 24Toute personne a droit au repos et aux loisirs et notamment à une limitation raisonnable de la durée du travail et à des congés payés périodiques.

Article 25Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de se famille, notamment pour l’alimentation, l’habillement, le logement, les soins médicaux ainsi que pour les services sociaux nécessaires ; elle a droit à la sécurité en cas de chômage, de maladie, d’invalidité, de veuvage, de vieillesse ou dans d’autres cas de perte de ses moyens de subsistance par suite de circonstances indépendantes de sa volonté.

La maternité et l’enfance ont droit à une aide et à une assistance spéciale. Tous les enfants, qu’ils soient nés dans le mariage ou hors mariage, jouissent de la même protection sociale.

Article 26Toute personne a droit à l’éducation. L’éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l’enseignement élémentaire et fondamental. L’enseignement élémentaire est obligatoire. L’enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l’accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leurs mérité.

L’éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l’amitié entre toutes les nations et tous les groupes radicaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.

Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants.

Article 27Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts et de participer au progrès scientifique et aux bienfaits qui en résultent.

Chacun a droit à la protection des intérêts moraux et matériels découlant de toute production scientifique, littéraire ou artistique dont il est l’auteur.

Article 28Toute personne a droit à ce que règne, sur le plan social et sur le plan international, un ordre tel que les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration puissent y trouver plein effet.

Article 29L’individu a des devoirs envers la communauté dans laquelle seule le libre et plein développement de sa personnalité est possible.

Dans l’exercice de ses droits et dans la jouissance de ses libertés, chacun n’est soumis qu’aux limitations établies par la loi exclusivement en vue d’assurer la reconnaissance et le respect des droits et libertés d’autrui et afin de satisfaire aux justes exigences de la morale, de l’ordre public et du bien-être général dans une société démocratique.

Ces droits et libertés ne pourront, en aucun cas, s’exercer contrairement aux buts et aux principes des Nations Unies.

Article 30Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée comme impliquant pour un état, un groupement ou un individu un droit quelconque de se livrer à une activité ou d’accomplir un acte visant à la destruction des droits et libertés qui y sont énoncés.

Wouahou , grande forme bigbisous

Lolo , il me troue le cul, !

I

I

:)

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Wouahou , grande forme :)

Lolo , il me troue le cul, !

I

I

lotrela

Salut Marc, je ne suis pas en grande forme, je suis seulement grinche de la marée de connerie humaine qui déferle autour de ce sujet, sujet que les ténors du pouvoir voudraient débattre comme on débat dans une vulgaire réunion de DP " c'est nous qu'avons raisons et vous qu'avez pas raison, Na! c'est nous les chefs et vous les basses gens.

Va falloir qu'ils arrêtent de s'octroyer des droits qu'ils n'ont pas. bigbisous

Bon, j'm'en vais aiguiser ma fourche à ballast au cas où? helpsoso

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J'en remet une couche, la déclaration du 24 juin 1793

Le peuple français, convaincu que l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l’objet de sa mission.

En conséquence, il proclame, en présence de l’Être suprême, la déclaration suivante des droits de l’homme et du citoyen.

Article premier

Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l’homme la jouissance(1) de ses droits naturels et imprescriptibles.

Article 2

Ces droits sont l’égalité, la liberté, la sûreté, la propriété.

Article 3

Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi.

Article 4

La loi est l’expression libre et solennelle de la volonté générale ; elle est la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse ; elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société ; elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible.

Article 5

Tous les citoyens sont également admissibles aux emplois publics. Les peuples libres ne connaissent d’autres motifs de préférence, dans leurs élections, que les vertus et les talents.

Article 6

La liberté est le pouvoir qui appartient à l’homme de faire tout ce qui ne nuit pas aux droits d’autrui : elle a pour principe la nature ; pour règle la justice ; pour sauvegarde la loi ; sa limite morale est dans cette maxime : Ne fais pas à un autre ce que tu ne veux pas qu’il te soit fait.

Article 7

Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la vole de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s’assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits. La nécessité d’énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.

Article 8

La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés.

Article 9

La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent.

Article 10

Nul ne doit être accusé, arrêté ni détenu, que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Tout citoyen, appelé ou saisi par l’autorité de la loi, doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance.

Article 11

Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l’exécuter par la violence a le droit de le repousser par la force.

Article 12

Ceux qui solliciteraient, expédieraient, signeraient, exécuteraient ou feraient exécuter des actes arbitraires, seraient coupables, et doivent être punis.

Article 13

Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

Article 14

Nul ne doit être jugé et puni qu’après avoir été entendu ou légalement appelé, et qu’en vertu d’une loi promulguée antérieurement au délit. La loi qui punirait les délits commis avant qu’elle existât serait une tyrannie ; l’effet rétroactif donné à la loi serait un crime.

Article 15

La loi ne doit décerner que des peines strictement et évidemment nécessaires : les peines doivent être proportionnées au délit et utiles à la société.

Article 16

Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.

Article 17

Nul genre de travail, de culture, de commerce, ne peut être interdit à l’industrie des citoyens.

Article 18

Tout homme peut engager ses services, son temps ; mais il ne peut se vendre, ni être vendu ; sa personne n’est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu’un engagement de soins et de reconnaissance, entre l’homme qui travaille et celui qui l’emploie.

Article 19

Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n’est lorsque la nécessité publique légalement constatée l’exige, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.

Article 20

Nulle contribution ne peut être établie que pour l’utilité générale. Tous les citoyens ont le droit de concourir à l’établissement des contributions, d’en surveiller l’emploi, et de s’en faire rendre compte.

Article 21

Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d’exister à ceux qui sont hors d’état de travailler.

Article 22

L’instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l’instruction à la portée de tous les citoyens.

Article 23

La garantie sociale consiste dans l’action de tous, pour assurer à chacun la jouissance et la conservation de ses droits ; cette garantie repose sur la souveraineté nationale.

Article 24

Elle ne peut exister, si les limites des fonctions publiques ne sont pas clairement déterminées par la loi, et si la responsabilité de tous les fonctionnaires n’est pas assurée.

Article 25

La souveraineté réside dans le peuple ; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable.

Article 26

Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier ; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d’exprimer sa volonté avec une entière liberté.

Article 27

Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l’instant mis à mort par les hommes libres.

Article 28

Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa Constitution. Une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures.

Article 29

Chaque citoyen a un droit égal de concourir à la formation de la loi et à la nomination de ses mandataires ou de ses agents.

Article 30

Les fonctions publiques sont essentiellement temporaires ; elles ne peuvent être considérées comme des distinctions ni comme des récompenses, mais comme des devoirs.

Article 31

Les délits des mandataires du peuple et de ses agents ne doivent jamais être impunis. Nul n’a le droit de se prétendre plus inviolable que les autres citoyens.

Article 32

Le droit de présenter des pétitions aux dépositaires de l’autorité publique ne peut, en aucun cas, être interdit, suspendu ni limité.

Article 33

La résistance à l’oppression est la conséquence des autres Droits de l’homme.

Article 34

Il y a oppression contre le corps social lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.

<A name=a35>

Article 35

Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.

J'aime bien l'article 35, mais es envisageable un jour! là c'est une autre histoire.

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...

Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen de 1948

...

Article 18Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

une couche de plus:

il y a un hic: le droit de changer de religion n'est plus tolérable pour la minorité agissante salafiste qui suit "Celui qui change de religion, tuez-le"

Par contre, ces mêmes individus se réclament de la 2e partie de cet article pour la liberté de manifester en public leur religion....

On est pas là pour supporter leur contradiction?

Au milieu de tout ce foutoir, les millions des modérés, athées ou avec une opnion religieuse, pris en otage par les extrémistes de tout bord.

C'était pour bien la stricte laïcité de la république française...

Modifié par 2D2
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une couche de plus:

il y a un hic: le droit de changer de religion n'est plus tolérable pour la minorité agissante salafiste qui suit "Celui qui change de religion, tuez-le"

Par contre, ces mêmes individus pour la liberté de manifester en public leur religion....

Au milieu de tout ce foutoir, les millions des modérés, athées ou avec une opionion religieuse, pris en otage par les extrémistes de tout bord.

C'était pour bien la stricte laïcité de la république française...

Ce débat sur l'identité national n'a pas lieu d'être, mais nos pros de la politique masquent leurs carrance en matière de " sécurité du territoire " en tapant là où le français mouton a le plus mal.

Après des decénie où ils se sont employés à entasser les petites gens dans des cages à lapins et tirer sur la productivité des travailleurs venus de tout horizons reconstruire la france et ceux d'aujourd'hui.

Après, ils s'étonnent de tout ce qui se passe aujourd'hui, et c'est bien plus facile pour eux de jouer sur les peurs du peuple plutôt que de faire grandir la modernité sociale.

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Bon... grillée pour grillée... je ne risque plus rien n'est ce pas ???

Ok je ne supporte pas non plus ce genre de discours (celui de Lebfevre en particulier).

Mais bon... ça va quoi ! Nous ne sommes pas en Tchéchénie ou en Palestine ou en Chine !!!! Justement nous avons largement la place et le droit de parler de ce qui ne va pas, de ce qui ne nous convient pas, de ce dont nous ne voulons pas !

Ce n'est pas la dictature en France ni le fascisme demain. Il y a des choses qu'il ne faut pas laisser passer : nous sommes bien d'accord. Mais dramatiser tout, tout le temps, n'est pas une bonne stratégie de communication, désolée.

En ce moment, en France, bien des gens ont des problèmes tellement quotidiens et urgents (nourrir leurs gosses, sortir du chomage, se maintenir à flot malgré des baisses importantes de revenus, payer leurs traites pour la maison et le reste, etc... etc...) que les problématiques "intellectuels" (désolée !) de la burquah doivent leur sembler bien loin.

En ce moment, dans le monde, tellement de gens ont des problèmes tellements importants et urgents (nourrir leurs gosses et c'est tout !!!!!) que....

Il n'est pas question de tout laisser tomber parce que c'est pire ailleurs où que la situation ne s'y prête pas mais... quand même quoi...

Un peu de retenue dans le discours ? Cela ne veut pas dire baisser les bras ou laisser tout faire mais un peu de pudeur parfois c'est bien aussi...

D'accord avec toi Assouan... Et je suis même tellement d'accord que je me demande ce qu'un tel débat vient foutre en ce moment, tout comme celui sur l'identité nationale, à un moment où il y aurait peut être d'autres choses à faire de plus urgente. Comme empêcher que des gens ne meurent de froid dans la rue. Ah tiens, c'était une promesse présidentielle, non ?

Le problème (à mon avis...), c'est que n'ayant pas de proposition intéressante à faire, on préfère noyer le poisson en ressortant de vieux débats malsains.

Gom

Modifié par gomen
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D'accord avec toi Assouan... Et je suis même tellement d'accord que je me demande ce qu'un tel débat vient foutre en ce moment, tout comme celui sur l'identité nationale, à un moment où il y aurait peut être d'autres choses à faire de plus urgente. Comme empêcher que des gens ne meurent de froid dans la rue. Ah tiens, c'était une promesse présidentielle, non ?

Le problème (à mon avis...), c'est que n'ayant pas de proposition intéressante à faire, on préfère noyer le poisson en ressortant de vieux débats malsains.

Gom

Ce qu'ils font, cela s'appel " cacher la merde au chat ". koiquesse

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D'accord avec toi Assouan... Et je suis même tellement d'accord que je me demande ce qu'un tel débat vient foutre en ce moment, tout comme celui sur l'identité nationale, à un moment où il y aurait peut être d'autres choses à faire de plus urgente. Comme empêcher que des gens ne meurent de froid dans la rue. Ah tiens, c'était une promesse présidentielle, non ?

Le problème (à mon avis...), c'est que n'ayant pas de proposition intéressante à faire, on préfère noyer le poisson en ressortant de vieux débats malsains.

Gom

plutôt d'accord que ce débat est pour cacher la misère des propostions.

Mais alors, quelle énorme responsabilité porte au moins le PS de ne pas faire clore ce débat en rappelant simplement ses valeurs républicianes, point barre.

Là on entend des joutes verbales sybilinnes qui font retourner dans leurs tombes ceux qui se sont battus dans les années 30 pour la liberté, l'égalité, la fraternité et la religion dans la sphère privé.

Moins compliqué au 21e siècle qu' au 20e?

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plutôt d'accord que ce débat est pour cacher la misère des propostions.

Mais alors, quelle énorme responsabilité porte au moins le PS de ne pas faire clore ce débat en rappelant simplement ses valeurs républicianes, point barre.

Là on entend des joutes verbales sybilinnes qui font retourner dans leurs tombes ceux qui se sont battus dans les années 30 pour la liberté, l'égalité, la fraternité et la religion dans la sphère privé.

Moins compliqué au 21e siècle qu' au 20e?

Ils préfèrent jouer aux frères ennemis à quelques encâblures des réginales. C'est une sacro sainte tradition en france de se crêper le chinion et de monter les chose en épeingle à ces occasions.

Cela évite de faire voir au peuple qu' ils n'ont pas de sujets qui tiennent la route.

Bon, pendant cela les moutons lisent voici et gala, il y a tant d'autres potains à voir.

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j'ai plus peur du fascisme vert dont le peuple algérien à souffert dans les années 1990 et qui semble avoir trouvé une terre d'accueil dans notre pays au grand désespoir des algériens réfugiés chez nous depuis ces années noires...

+ 1

Voir aussi http://forumdesjoyeuxquinca.forumpro.fr/co...paris-t4286.htm

Celui a posé le probléme sur le "forum socialiste" (gauche du PS et à gauche du PS) vient de s'en faire virer :

Un fafounet s'est égaré sur ce forum.

http://www.fontenay-sous-bois.fr/forum1/vi...&highlight=

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Arrêtés pour avoir porté des masques de Sarko...

"Deux militants syndicaux qui portaient chacun un masque représentant Nicolas Sarkozy ont été brièvement interpellés par la police à Nice lors de la manifestation de la fonction publique, a-t-on appris de sources policière et syndicale.

Les deux militants du syndicat SNUipp-FSU, qui brandissaient également des pancartes où était écrit "Casse-toi, pauvre con", ont été interpellés au début de la manifestation et relâchés peu après. "Ils ont été libérés dans la foulée, il n'y aura pas de procédure engagée contre eux", indique-t-on de source policière.

La manifestation de la fonction publique a réuni plus d'un millier de personnes à Nice - 1.200 selon la police, 1.500 selon les organisateurs - notamment des fonctionnaires de la poste, d'EDF et des collectivités locales."

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