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Manifs , Casseurs, flics infiltrés, violences etccc


Invité Gnafron 1er

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Hé, si en plus de ne pas voir venir le mélanchion te ne sais pas lire alors là, peu plus rien pour toi ! Je ne vais pas passer la soirée à t’apprendre l’alphabet non plus nonmais

J'ai bien lu, que tu n'as pas honte, mais je repose la question

Pourquoi aurais-tu honte ?

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Sur le blog de Jean-Luc Mélenchon... 

http://www.cheminots.net.com/2010/10/en-preparant-la-manifestation-et-la-greve-de-jeudi/#more-4604

De cette émission d’une heure,dimanche soir, la machine médiatique a tiré une dépêche sensationnaliste de quelques mots et quarante secondes d’extraits à propos de mes prétendues accusations contre « la police », en général. Il s’agit évidemment de nuire. Je n’accuse pas « la police », ni « les policiers », en général, tout le monde peut s’en rendre compte en écoutant mon intervention. Et même en se contentant de l’extrait tendancieux qui est mis en boucle.  Ou en lisant la transcription de mes propos. On voit aussitôt le montage. Loin de mettre en cause « la police » je mets en cause ceux qui organisent ces infiltrations et donnent les ordres. Le journaliste, et non moi cite le ministre de l’intérieur de la même manière que c’est le journaliste et non moi qui évoque le rôle des policiers dans les incidents et que c’est l’autre journaliste qui essaie de me faire dire que ces policiers sont des provocateurs. De mon côté, je dis, au contraire que la police et les policiers agissent sur ordre et non de leur propre initiative et je demande qui donne ces ordres ! Mais pour la meute, j’aurais accusé « la police », « les policiers » etc.… On connait la musique. D’abord il s’agit de faire du bruit, du scandale, du spectaculaire. Une armée de fainéants va recopier sans se soucier de savoir ce que j’ai dit réellement. Les mêmes perroquets et perruches qui répètent les argumentaires de l’UMP selon lesquels « le mouvement s’essouffle », « l’approvisionnement en essence est normal », « les syndicats se divisent » et autres mensonges ordinaires.  Ce procédé est destiné à diaboliser toute parole non orthodoxe. Je ne pourrai plus dire un mot si je m’en tenais à leurs injonctions. Voici donc mes propos exacts, vérifiables à l’écoute de la vidéo.

Emission Dimanche soir politique - 24 octobre 2010. Je suis interrogé par Jean-Jérôme Bertolus (i-télé), Françoise Fressoz (Le Monde) et Jean-François Achilli (France Inter). Extrait du passage sur les violences dans les manifestations. (…)

Jean-Jérôme Bertolus : « Jean-Luc Mélenchon, parlons un petit peu des incidents en marge des mobilisations, qui ont émaillé les dernières manifestations. Qui est responsable ? Est-ce que ce sont les jeunes qui sont jugés immédiatement et qui pour certains ont pris de la prison ferme ou est-ce qu'il faut voir autre chose derrière des incidents ? Les policiers ? »

JLM : « Là vous m'interrogez sur quelque chose de grave. D'abord je désapprouve totalement ces condamnations en urgence de jeunes, notamment de mineurs, à des peines de prison ferme, ce qui est un fait inouï. Pour autant notre intérêt est de bien comprendre ce qui se passe. La police nationale est une police républicaine, et nous n'avons pas, nous gens responsables à la considérer comme une armée d'occupation. Maintenant il faut que les policiers républicains, qui pour beaucoup d'entre eux marquent une distance avec les ordres qui leur sont donnés, certains ont fait valoir leur droit de retrait tant ils sont épuisés, affirment de manière beaucoup plus forte leur opposition à un certain nombre de consignes et de pratiques.

Les pratiques dont je parle, c'est cette présence, dans les cortèges de manifestants, de personnes infiltrées qui jettent des pierres,  brisent des vitrines et ensuite sortent des brassards de police. »

Françoise Fressoz : « Vous avez des preuves de ça ? »

Jean-Jérôme Bertolus : « Vous parlez des policiers ? Vous voulez dire qu'il y a des policiers qui jettent des pierres, qui brisent des vitrines ? »

JLM : « Oui, parce que j'ai même mis une photo sur mon blog, qui a été prise en Savoie par des amis et hier sur la place Beaubourg, là où nous étions en train de collecter les sous, un jeune dirigeant étudiant a expliqué comment il a vu de ses propres yeux des gens qui étaient les plus ardents à jeter des pierres ensuite sortir des brassards. C'est d'ailleurs pas la première fois qu'on voit une chose comme celle-là. »

Jean-François Aquili : « Ce sont des accusations lourdes … »

JLM : « c'est un constat Monsieur, pas une accusation. Je pose la question de savoir qui donne de tels ordres … »

Jean-Jérôme Bertolus : « alors qui ? »

JLM : « je ne le sais pas, »

Jean-Jérôme Bertolus : « vous pensez que ça remonte au ministre de l'intérieur pour être clair ? « 

JLM : « évidemment je ne pense pas que des décisions de … »

Jean-Jérôme Bertolus : « c'est Brice Hortefeux qui .. ».

JLM : « évidemment, vous ne croyez quand même pas que des policiers qui … »

Jean-Jérôme Bertolus : « non je vous pose la question …. »

JLM : « oui, mais personne ne peut croire que des policiers, de leur propre initiative, décident de se déguiser en manifestants, de jeter des pierres, pour ensuite interpeller, personne ne peut croire ça. Ils ont des ordres, ce sont des fonctionnaires, ce sont des gens qui obéissent, et personne ici ne va dire la police doit faire ce qu'elle veut. »

Jean-Jérôme Bertolus : « Brice Horetefeux, ministre de l'intérieur, demande à certains de ses policiers de se transformer en casseurs … c'est ça l'idée ? »

JLM : « c'est vous qui le résumez comme ça. Moi je me suis contenté de faire des constats. » 

Jean-François Aquili : « Ce sont des provocateurs … au moins des provocateurs … »

JLM : « Je connais très bien la manipe des médias pour faire dire quelque chose, pour ensuite … »

Jean-Jérôme Bertolus : « c'est pas ce que vous avez dit ? »

JLM : « non. J'ai posé la question. Vous m'avez posé la question de savoir s'il y a des policiers, j'ai répondu oui. Je vous ai ensuite dit que les policiers obéissent aux ordres car ils ne le font pas de leur propre initiative. Je vous le confirme, et donc je pense que le ministre de l'intérieur est au courant, c'est donc à lui qu'il faudra poser la question. »

« Pourquoi je me méfie ? Parce qu'il y a quelques jours j'ai dit qu'il fallait que chacun sache bien que quiconque casse n'est pas de notre bord et se trouve … est un sarkozyste … Je n'ai jamais eu l'intention de dire que les membres de l'UMP allaient casser des vitrines ou jeter des pierres, ou de se mettre des cagoules pour le faire … je n'ai jamais voulu dire ça … c'est pourtant ça que j'ai lu, que j'aurais accuser l'UMP d'aller faire les casseurs, non ce n'est pas vrai, ce n'est pas sérieux, ce n'ai pas ce que je dis. »

Françoise Fressoz : « Votre crainte pour cette semaine c'est la casse ? »

JLM : « mais nous, la gauche, le mouvement social, nous redoutons ça plus que tout, parce que nous savons très bien que ça ne sert que nos adversaires. Qu'est-ce qu'on montre à la télé, des images de violence, on ne montre pas les gens dans les sites en grève, on ne montre pas la famille essayant de boucler ses fins de mois après trois ou quatre jours … »

Jean-Jérôme Bertolus : « on montre, Jean-Luc Mélenchon … »

JLM : « vous aimez beaucoup ces images là, on les montre pendant que je parle, on voit du feu, on voit des flammes … »

Jean-Jérôme Bertolus: « non, non, il faut pas toujours caricaturer le travail des journalistes »

JLM : « je ne caricature pas, c'est vous qui les défendez de manière corporatiste et systématique. »…

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Invité necroshine

http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/10/25/sur-le-web-des-rumeurs-croissantes-autour-de-policiers-casseurs_1430775_3224.html#ens_id=1305816&xtor=RSS-3208

C'est un grand classique des mouvements sociaux : des accusations de "provocations" de la part d'éléments policiers infiltrés dans les cortèges de manifestants et se livrant à des dégradations pour décrédibiliser le mouvement.

Le plus souvent confinées aux cercles militants, ces accusations vont cette fois plus loin, puisque le patron du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, les a relayées, affirmant, dimanche 24 octobre, que les policiers avaient "des personnes infiltrées qui jettent des pierres, brisent des vitrines et ensuite sortent des brassards de police". Une affirmation qui lui a valu les foudres des syndicats de policiers.

INFILTRER LES MANIFESTANTS, UNE PRATIQUE COURANTE

Depuis le début des manifestations contre la réforme des retraites, plusieurs vidéos et témoignages publiés sur le Web montrent des "casseurs" présentés comme étant, en fait, des policiers. Comme celle ci-dessous, tournée à Lyon. On peut y voir une petite bande d'hommes munis d'autocollants CGT qui, selon la vidéo, retiennent des manifestants derrière une porte, jusqu'à l'intervention d'autres militants. Une équipe de gendarmes mobiles survient alors pour protéger les vrais-faux militants CGT.

Toujours à Lyon, ce témoignage non sourcé d'un syndicaliste qui assure avoir vu des pompiers obliger des policiers infiltrés qui agressaient des lycéens à quitter le cortège. Comme l'expliquait dans une note de blog récente l'ancien commissaire de police Jean-Paul Moréas, il s'agit là, très certainement, de policiers infiltrés dans la manifestation.

La police est en effet présente parmi les manifestants. Des agents de la brigade anticriminalité ou, depuis 2005, des membres des "compagnies de sécurisation", ont pour tâche d'infiltrer discrètement les cortèges. Le site du Parti de gauche a publié une photo de ces agents en marge de manifestations à Chambéry, sur laquelle on voit leur brassard de police et leur "costume" civil. "Ils ont pour but de repérer et d'interpeller les casseurs", explique Philippe Capon, porte-parole d'UNSA-Police. Pour lui, les choses sont claires : "Ils ne font pas de provocation. Il y a un code de déontologie, ils le respectent."

AFFLUENCE DE TÉMOIGNAGES AUTOUR D'UNE VIDÉO

D'autres vidéos posent pourtant question. Et notamment celle-ci, qui a fait le tour du Net et donné lieu à nombre d'explications. Elle se déroule en marge de la manifestation du samedi 18 octobre à Paris. A l'issue du parcours, un groupe de deux cents personnes, dont des militants anarchistes, décide de lancer un "cortège sauvage" qui refait le chemin en sens inverse. Mais il est marqué par les débordements d'un petit groupe de casseurs, qui s'en prend au quartier de la Bastille et à l'opéra.

Sur les images, tournées par un journaliste de l'agence Reuters, on voit un de ces casseurs, cagoulé, s'en prendre à une vitrine. Un homme cherche à l'arrêter, mais reçoit un coup d'un autre "casseur" armé d'une matraque (qui pourrait être un tonfa, la matraque à poignée utilisée par les policiers), avant d'être entouré par quatre ou cinq personnes cagoulées. Quelques secondes plus tard, l'homme qui a donné le coup de pied est filmé en train de disperser des manifestants à l'aide de sa matraque (lire le décryptage de la vidéo sur le blog de Jean-Paul Moréas).

L'homme aux cheveux blancs, Bertrand de Quatrebarbes, a apporté son témoignage à Arrêt sur images. Il explique que le "casseur" "a été sidéré de [son] intervention", que le coup qu'il a reçu dans le dos "n'était pas du tout fort" et que les personnes qui l'ont entouré ensuite lui ont "donné des coups pas violents du tout, quasiment de faux coups, jusqu'à ce qu'une voix autoritaire dise 'lâchez-le !'" Toujours selon M. Quatrebarbes et sa fille, également présente (lire son témoignage), nombre de journalistes étaient autour du groupe.

Enfin, un autre témoignage, publié sur le blog de Guy Birenbaum, vient compléter cette version. Provenant d'un participant au "cortège sauvage", il raconte sa surprise lorsque son groupe a pu retourner sur la place de la Bastille sans être intercepté par les CRS. Il dit aussi avoir vu l'homme qui décoche un coup de pied à Bertrand de Quatrebarbes, qui lui a demandé de "dégager", et dit être "sûr que c'était un flic". Le militant évoque également la suite : comment le "cortège sauvage" s'est soudain retrouvé entouré par des CRS et pris au piège près de l'opéra Bastille, où une partie des manifestants s'est soudain révélée être des policiers en civil, "une cinquantaine", selon lui. Placé en garde à vue deux jours, il dit qu'un journaliste était présent dans le commissariat où il était détenu pour le filmer avec d'autres manifestants.

Contacté par LeMonde.fr, "Mathieu", le militant auteur du témoignage, confirme son récit. Et s'étonne encore de ce "casseur" spontané : "On avançait dans la rue tranquillement, et soudain on voit ce type tout seul qui se met à casser la vitrine d'une banque. Ce n'est pas un comportement rationnel d'y aller tout seul, pas plus que celui de son 'copain', qui disperse la foule avec sa matraque au lieu d'aller l'aider." "A un moment on a vu un car de CRS s'écarter pour nous laisser passer et se retirer, au lieu de nous arrêter", s'étonne le jeune homme. Il ne comprend toujours pas pourquoi il a dû subir une garde à vue de quarante-huit heures sans avoir rien fait. Surtout, il estime avoir été instrumentalisé par les pouvoirs publics "pour servir un discours" sur l'irruption de "casseurs" dans les cortèges. La vidéo a troublé jusqu'aux policiers eux-mêmes. Sur le forum du SNOP (Syndicat national des officiers de police), "ozoff" reconnaît par exemple "qu'il y a des éléments troublants dans cette affaire".

Contactées par LeMonde.fr, ni la préfecture de police de Paris ni la direction générale de la police nationale n'ont été en mesure de nous répondre pour le moment.

UNE ACCUSATION QUI REVIENT

En 2009 déjà, Le Canard enchaîné relatait comment les policiers de la compagnie de sécurisation parisienne avaient infiltré la manifestation du 1er mai avec pour objectif de "faire monter la pression" (des photos de ces policiers infiltrés sur le site Article11.info). Selon le récit de l'hebdomadaire, ces policiers auraient lancé des invectives aux gendarmes et cherché la provocation. Des affirmations démenties par la préfecture de police de Paris et par les syndicats policiers.

Est-il possible que la police laisse faire, voire encourage des casseurs dans un but politique ? Philippe Capon, de l'UNSA, dément catégoriquement. "Vous imaginez quelqu'un donner une consigne pareille, même verbalement ? Il y a des syndicats dans la police, très attachés au droit à manifester, ils réagiraient immédiatement. Personne n'a intérêt à ce qu'une manifestation dérape."

Pourquoi avoir laissé le petit groupe de militants remonter la manifestation et "casser", le 18 octobre, plutôt que de l'interpeller ? "Le but est d'isoler le groupe du gros des manifestants pour pouvoir l'interpeller dans un milieu pas trop hostile et pour éviter qu'ils entraînent d'autres manifestants", répond le policier.

Pour lui, ce type d'accusations est un classique. "On a parlé de policiers casseurs pour le CPE, pour les infirmières... à chaque fois, on mentionne des policiers dans les cortèges, ce qui est possible, mais pas qu'ils cassent. Il n'y a pas de policiers casseurs en France."

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Invité Monsieur Le Baron

Monsieur le Baron a écouté Mélanchon au Grand Jury RTL qui lui été consacré (il y a 2 ou 3 semaines), bien évidemment face à un Apathie et à un Mougeotte : il n'a pas été spécialement bien reçu (euphémisme très doux).

Monsieur Le Baron a cru à une rediffusion de "Cartes sur table" dans les années 1970. Mélanchon, c'est le nouveau Georges Marchais, en tout cas si ce n'est lui : c'est rudement bien imité.

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Il y a des syndicats dans la police, très attachés au droit à manifester, ils réagiraient immédiatement. Personne n'a intérêt à ce qu'une manifestation dérape."

1° il y a des syndicats dans les CRS et les gendarmes mobiles ?????? première nouvelle !

2° si, il y a des individus très haut placés qui auraient un intérêt certain à ce qu'une manifestation dérape

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A chaque manif qui tourne mal les mêmes conneries ressortent encore et toujours... Le pire c'est que ceux qui colportent ces imbécillités arrivent à y croire. C'est vieux comme le monde et temps qu'il y aura des gogos qui y croient ça remonte le moral des troupes. Pas sur qu'on y gagne en crédibilité...

comme certains ressortent à chaque grève de cheminots SNCF que nous sommes payés pendant ces périodes, que nous touchons la prime de charbon, que nous touchons une prime à l'huile, j'en passe et des meilleurs........

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Les policiers peuvent se syndiquer, les gendarmes, non.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndicalisme_policier

tu as raison, il y a en effet un syndicat des CRS affilié à FO-SGP (et d'autres)

au passage, sur leur site http://www.union-crs.fr/

il y a des choses intéressantes (je n'ai pas tout regardé, par contre, ils ont le temps d'actualiser leur site eux !) .

Par exemple les salaires :

http://www.union-crs.fr/Doc/doc/TRAITEMENT.pdf

et les problèmes de vessies ...

http://www.union-crs.fr/Doc/Tracts/2010-10-18_INEMPLOI_BUS.pdf

nonmais

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Invité necroshine

2° si, il y a des individus très haut placés qui auraient un intérêt certain à ce qu'une manifestation dérape

Oh que oui, ils n'espèrent que ça même,

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Invité Gnafron 1er

ben si, ça existe ... même chez les CRS !!!! comme quoi ...

http://www.police.cgt.fr/

Le 1er président ....ça ne s'invente pas :

" Dès l’ouverture de séance, ils choisissent LANUSSE de Toulouse comme Président ....."

Toulouse a donc une constitution normale.......... lotrela

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Sur des oeufs...Boutefeux...

Hortefeux juge «inadmissible» que Mélenchon accuse la police

Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a jugé mardi «inadmissibles» les propos du président du Parti de Gauche Jean-Luc Mélenchon qui a accusé les policiers d'«infiltrer» les manifestations.

Ces propos sont «tout simplement inadmissibles» et relèvent de «rumeurs indignes qui circulent sur internet et visent à salir l'honneur de la police», a dit le ministre qui recevait les syndicats pour «soutenir» les policiers mobilisés sur la voie publique lors du mouvement contre la réforme des retraites.

Selon le syndicat Synergie Officiers, Brice Hortefeux ne compte toutefois pas porter plainte, comme plusieurs organisations le lui avaient demandé.

«Le ministre estime que ce n'est pas opportun dans la mesure ou cela donnerait une caisse de résonance et une publicité à M. Mélenchon», a expliqué à l'AFP le secrétaire général de Synergie Officiers Patrice Ribeiro.

Jean-Luc Mélenchon avait dénoncé dimanche la «présence dans les cortèges de personnes infiltrées qui jettent des pierres, brisent des vitrines et ensuite sortent des brassards de police». «Qui donne de tels ordres? Je pense que le ministre de l'Intérieur est au courant», avait ajouté le sénateur.

«Brice Hortefeux préfère faire des déclarations fermes de soutien aux policiers. S'il le fait ce sera déjà une bonne chose, mais nous on aurait aimé des poursuites. On peut pas laisser dire n'importe quoi», a ajouté Patrice Ribeiro.

Demandant la création d'une commission d'enquête parlementaire sur le sujet, les députés communistes et du parti de gauche ont évoqué des «doutes sérieux» sur «l'implication possible d'agents de la force publique dans les actes de violence dont ont été victimes des manifestants et notamment des jeunes».

(Source AFP)

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L'un d'entre vous a écouté l'interview de ce midi ??? 5121 ???

non, je t'ai demandé, mais je n'ai pas RMC programmé sur mon poste et je n'ai pas la fréquence à Paris ...

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Invité necroshine

non, je t'ai demandé, mais je n'ai pas RMC programmé sur mon poste et je n'ai pas la fréquence à Paris ...

Fais pas ton pti vieux !!! nonmais

On a la radio sur le web desormais !!!

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Fais pas ton pti vieux !!! nonmais

On a la radio sur le web desormais !!!

sur le web, j'ai Inter, Musique, Info, Vivace( disparue) et honte à moi, une privée, Classique. je n'ai même pas pensé à l'ordi pour écouter ... cartonrouge

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Invité necroshine

sur le web, j'ai Inter, Musique, Info, Vivace( disparue) et honte à moi, une privée, Classique. je n'ai même pas pensé à l'ordi pour écouter ... cartonrouge

Je te taquine !!! bien entendu...

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Sur Libération.fr...

Sauf que le titre n'est pas tout à fait en adéquation avec le texte en dessous...

Bernard Thibault dénonce le rôle de «policiers camouflés» dans les manifestations

Le leader de la CGT Bernard Thibault affirme dans un entretien àLibération que «la présence de policiers en exercice camouflés sous des badges syndicaux, à Lyon, à Paris ne fait aucun doute».

«Des manipulateurs s’infiltrent et poussent au crime dans des piquets de grèves, des manifestations, des occupations de ronds points, violentent les situations en fin de manifs pour avoir des images chocs pour le JT de 20h et créer des climats de tension», accuse-t-il.

«On a vu, ajoute-t-il, des policiers avec des badges CGT repérés par les nôtres, qui se réfugient dans un hall d’immeuble, et finissent par se faire exfiltrer par des CRS. Quand on en vient à ce genre de procédés, c’est que l’on ne sent pas très fort de l’autre côté.» (Lire l'entretien complet de Bernard Thibault mercredi dans Libération, en kiosque ou sur notre zone abonnés).

http://www.liberation.fr/societe/01012298665-des-policiers-casseurs-parmi-les-manifestants-contre-la-reforme-des-retraites

Si quelqu'un peut nous procurer l'intégralité de l'interview...Merci d'avance

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