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En parlant de gateaux et cadeaux d'anniversaire...

depuis 2002 qu'il est au gouvernement notre cher et adoré Président de la République

Sans-papiers: la CGT joue le pragmatisme face à un afflux de demandes

Par Simon VALMARY AFP - Lundi 5 mai, 21h11PARIS (AFP) - La CGT, à l'origine d'une grève coordonnée de salariés sans papiers dans une vingtaine d'entreprises franciliennes depuis le 15 avril, a affirmé lundi son intention de se concentrer sur les mille dossiers qu'elle a déposés, malgré un afflux de nouvelles demandes de régularisation.

"Réglons d'abord les mille premiers, on verra la suite", résume Raymond Chauveau (CGT), niant avoir été débordé par l'ampleur du mouvement revendicatif, alors que seuls 22 sans-papiers ont été régularisés jusqu'à présent.

"Les convocations en préfecture arrivent au compte-gouttes", dit-il. 600 salariés sans papiers étaient toujours en grève lundi dans la vingtaine de piquets de grève installés dans des entreprises de restauration, sécurité ou nettoyage d'Ile-de-France.

Après trois premières régularisations dans les Hauts-de-Seine mercredi soir, 19 nouvelles ont été annoncées lundi par les préfectures de Seine-Saint-Denis et de l'Essonne.

Face à la médiatisation du mouvement, qui a reçu le soutien des chanteurs Cali et Tiken Jah Fakoly, et aux premiers résultats obtenus, la CGT reconnaît avoir été sollicitée par "plusieurs milliers de sans-papiers".

Depuis vendredi, 500 à 800 sans-papiers de la Coordination 75, qui regroupe différents collectifs parisiens, montrent leur impatience en occupant des locaux syndicaux de la CGT à la Bourse du travail à Paris, affirmant que la préfecture de police refuse de recevoir leurs dossiers.

La préfecture les a, selon elle, renvoyés vers la CGT, qui refuse de déposer les 1.000 dossiers de la Coordination 75, après en avoir déjà déposé un millier fin avril dans cinq préfectures d'Ile-de-France (Paris, Essonne, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne).

Mais le ministère de l'Immigration a indiqué lundi que les salariés sans-papiers qui le souhaitent peuvent déposer des dossiers de demande de régularisation "à titre individuel", sans passer nécessairement par la CGT.

La Coordination 75 regrette d'avoir été oubliée par la centrale syndicale après avoir "commencé le combat ensemble" début février.

"Le 15 avril, on a appris la grève coordonnée dans les médias", déplore Mamoudou Diallo, porte-parole de la Coordination 75, plaidant le "malentendu" avec la CGT, "un allié incontournable".

Outre des frustrations d'organisation, le différend relève aussi d'une différence de stratégie.

"Il ne faut pas prendre les promesses du gouvernement au pied de la lettre", estime M. Diallo. "Il faut démultiplier le mouvement et le mener dans un cadre unitaire pour qu'il profite à un maximum de gens".

"C'est comme un conflit social", explique de son côté M. Chauveau. "S'il y a des travailleurs qui font grève pour leurs salaires, on n'arrive pas de l'entreprise d'à côté en demandant: +Tenez, demandez pour nous en même temps+".

Les grévistes se sont tous syndiqués à la CGT avant d'entamer le mouvement, a indiqué M. Chauveau.

Avec le ministère de l'Immigration, "on travaille comme peut travailler une organisation syndicale avec un employeur, où l'on se met d'accord sur la manière de régler le problème", ajoute-t-il.

Le ministre de l'Immigration Brice Hortefeux a réaffirmé lundi que les régularisations "se limiteront à quelques centaines", dans le cadre de l'article 40 de la loi de novembre 2007.

Pour M. Chauveau, "on n'a pas organisé ce mouvement pour quelques régularisations. Si le gouvernement nous a menés en bateau, s'il ne respecte pas ses engagements, il y a une deuxième vague d'entreprises prêtes à partir (en grève), plus importante que la première, dans des secteurs plus sensibles".

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Et une que le Nain n'aura pas... lotrela

Mélissa Theuriau et Jamel Debbouze se sont mariés à 18h koiquessecartonrouge

selon et Par Jean-Marc Morandini jeanmarcmorandini.com -

C'est fait ! Mélissa Theuriau et le comédien-humoriste Jamel Debbouze se sont mariés en fin d'après midi en région parisienne avant des festivités organisées à Marrakech.

Joint par l'AFP, le service de presse du comédien a indiqué que ce dernier ne souhaitait pas communiquer.

Au cours des derniers mois, Jamel Debbouze a systématiquement attaqué les magazines faisant étalage de sa liaison avec Mélissa Theuriau.

L'union civile doit être enregistrée par le maire de Cernay (Yvelines), René Memain, à l'occasion d'un transport exceptionnel de l'officier ministériel dans l'ancienne abbaye cistercienne des Vaulx-de-Cernay transformée en hôtel-restaurant. Une bénédiction oecuménique était également prévue.

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Et hop dans les dents...Une bonne droite ça fait mal... okok

Les reproches de Nicolas Sarkozy "parfaitement infondés", selon Le Parisien

PARIS (AFP) -

Le directeur des rédactions du Parisien, Vincent Régnier, a estimé jeudi "parfaitement infondés" les reproches de Nicolas Sarkozy au quotidien, parmi d'autres organes de presse, dont se sont fait l'écho mercredi des participants à une réception des députés UMP à l'Elysée.

Le président Sarkozy s'en est pris mercredi à la presse, l'accusant notamment de ne pas avoir suffisamment relayé la condamnation de Ségolène Royal dans l'affaire de ses ex-collaboratrices, selon des députés UMP. Selon eux, il s'en est pris au Parisien, à L'Express et à l'AFP, incriminés dans le cadre de "l'affaire Royal". Il a aussi visé Marianne et le Journal du dimanche.

Dans une "mise au point" publiée dans l'édition de jeudi du Parisien/Aujourd'hui en France, le directeur des rédactions du quotidien écrit que le président "a notamment cité Le Parisien, lui reprochant en outre (ainsi qu'à ses confrères L'Express, Marianne, l'AFP et le Journal du dimanche) de +s'attribuer la fonction d'opposition+".

"Ces propos sont parfaitement infondés", estime Vincent Régnier, soulignant que Le Parisien a "fait état de cette affaire, à plusieurs reprises, et en donnant la parole aux différents protagonistes".

"Notre exigence, au Parisien et Aujourd'hui en France, est d'informer au quotidien sans parti pris, avec rigueur et en toute indépendance", conclut Vincent Régnier.

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Et une gauche directe venue de l'AFP

Significative cette stratégie de l'UMP

L'AFP n'a pas vocation à être "une machine à diffuser des communiqués"

déclare son PDG

PARIS (AFP) - Le PDG de l'Agence France-Presse, Pierre Louette, a déclaré vendredi que l'AFP n'a pas vocation à "devenir une machine à diffuser des communiqués", après de nouvelles déclarations du porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre reprochant à l'agence de ne pas avoir publié un de ses textes.

"La rédaction a des règles de fonctionnement qui reposent sur la notion de choix faits en permanence parmi la multiplicité des faits, des événements, des déclarations", a ajouté M. Louette qui ne tient "évidemment pas à alimenter une polémique avec un élu porte-parole d'un grand parti politique".

Frédéric Lefebvre a réaffirmé vendredi matin sur France Inter que si "les journaux, les radios sont libres" (...) il ne "reconnaît pas à une agence de presse une ligne éditoriale quand il s'agit de traiter un communiqué d'un parti politique". Le 1er mai, il avait écrit au PDG de l'AFP pour se plaindre que l'agence n'ait pas traité un communiqué dans lequel il attaquait le PS et Ségolène Royal.

"Même si nous nous devons de distribuer une information la plus complète, nous ne ne prétendons pas à l'exhaustivité ni en France, ni à l'étranger", souligne également le PDG de l'AFP.

"Pendant ce temps, des centaines de journalistes de l'Agence contribuent jour après jour dans des conditions souvent dangereuses et difficiles (en Birmanie, en Irak ou au Liban aujourd'hui) à produire une information de qualité qui est le socle de toutes les démocraties", ajoute-t-il.

Dans une note interne diffusée jeudi, Pierre Louette a rappelé que "la vigueur des attaques venues de la gauche, hier, avec Mme Royal, ou de la droite aujourd'hui, sont le meilleur indicateur externe de notre neutralité et absence de parti pris".

"Etre journaliste, c'est toujours faire des choix, décider ce qui est une information et ce qui ne l'est pas. La plupart des acteurs économiques ou politiques l'ont compris depuis longtemps", soulignait-il également.

Mercredi, l'UMP avait accusé de nouveau l'AFP de "censure" pour n'avoir pas diffusé un de ses communiqués, quelques heures après une mise en cause par Nicolas Sarkozy du Parisien, de l'Express et de l'AFP de ne pas avoir suffisamment relayé la condamnation de Mme Royal dans un litige avec d'anciennes collaboratrices.

Depuis, les syndicats de l'AFP (CFDT, SNJ, FO, CGT et SUD) ainsi que la Société des Journalistes (SDJ) avaient "condamné fermement" les "tentatives de pressions politiques" sur l'AFP.

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Suite...

Albanel veut que l'AFP diffuse les communiqués

des partis et des syndicats,

les journalistes s'insurgent

AP - PARIS -

En pleine polémique autour des critiques que Nicolas Sarkozy aurait émises contre certains médias, la ministre de la Culture Christine Albanel suggère dans "Le Journal du dimanche" que l'Agence France Presse (AFP) pourrait diffuser l'intégralité des communiqués de presse des partis et des organisations syndicales. La société des journalistes de l'AFP s'insurge contre l'idée, estimant qu'"on n'est plus dans le domaine du journalisme".

Selon le "JDD", le principe de ce "service supplémentaire" de l'AFP est inclus dans le projet de loi autorisant les journalistes à ne pas divulguer leurs sources, que Mme Albanel et la ministre de la Justice Rachida Dati présenteront à l'Assemblée nationale la semaine prochaine. La ministre de la Culture juge que les partis et syndicats pourraient ainsi exprimer "plus largement et de façon totalement neutre leurs points de vue".

Ces communiqués apparaîtraient "sur un espace spécifique et facilement accessible, selon des modalités à préciser et à organiser", précise-t-elle, avant d'ajouter qu'elle soumettra cette idée au directeur de l'AFP vendredi.

Christine Albanel assure toutefois que ce "service" ne se substituerait "en aucun cas au travail de rédaction et d'éditorialisation des journalistes de l'AFP sur les sujets politiques ou sociaux quand ils le jugent nécessaires et pertinents".

Christophe Beaudufe, représentant de la Société des journalistes (SDJ) de l'AFP, s'est élevé contre un mélange des genres. "Notre travail de journaliste, c'est de faire une information vérifiée, recoupée et remise dans son contexte", a-t-il rappelé sur France-Info, on "ne publie jamais un communiqué, on traite un communiqué".

Pour ce journaliste, l'idée de Mme Albanel est "un peu curieuse et pas très pratique car il y aurait des centaines de communiqués". "Créons une boîte aux lettres géante où tout le monde viendra mettre ses communiqués, et on verra bien ce qu'il en ressortira", suggère-t-il, "mais on n'est plus dans le domaine du journalisme".

Interrogée sur les relations tendues entre le président de la République et les médias après qu'il a accusé certains titres de "s'attribuer la fonction d'opposition", Christine Albanel rappelle que c'est Nicolas Sarkozy qui "avait pris l'engagement d'inscrire le principe de la protection des sources des journalistes dans la loi" quand il n'était encore que candidat.

"Comme tout un chacun, le président a le droit de réagir à certaines critiques, notamment lorsqu'elles sont systématiques, qu'elles le ciblent, qu'elles sont violentes et récurrentes", estime-t-elle. "Cela étant, ce n'est pas contradictoire avec son profond attachement à la liberté de la presse".

Selon "Le Parisien/Aujourd'hui en France" de jeudi, Nicolas Sarkozy a accusé la presse lors d'une réunion de l'UMP de ne pas avoir donné assez d'écho à la récente condamnation de Ségolène Royal dans l'affaire de ses ex-collaboratrices parlementaires. Il aurait également mis en cause "L'Express", "Marianne", l'AFP et le "Journal du Dimanche", les accusant de "s'attribuer la fonction d'opposition".

Quant à l'opposition, elle se plaint de la surexposition de l'UMP. Les socialistes sont "inaudibles" car ils sont "au pain sec et à l'eau médiatiques", estime Arnaud Montebourg, dans le "JDD". "Aujourd'hui, l'expression en faveur de l'UMP, président de la République et collaborateurs compris, a augmenté de 256 % sur TF1 et 196 % sur France 2", selon le député PS de Saône-et-Loire, qui cite des chiffres du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA). L'élu accuse par ailleurs "le sarkozisme" de "s'attaque® à tous les contre-pouvoirs: juges, avocats et journalistes". AP

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ca, ca pue de la gueule

et la nouvelle loi sur la protection des sources du journaliste pue également de la gueule car contrairement à son nom cette loi ne protègera pas au contraire les sources du journaliste

et quand on sait que certaines grosses affaires ne voient le jour QUE grace à des sources anonymes, je vous laisse deviner à qui "profite le crime" car c'est le cas avec cette loi.

on est entrain de mettre la presse en coupe réglé et ca schlingue vraiment.

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Où on voit mieux les choses se mettre en place :

Projet de loi Dati sur la protection des sources:

texte "particulièrement insuffisant", selon le SNJ

PARIS (AFP) -

Le Syndicat national des journalistes (SNJ), premier syndicat de la profession, a jugé lundi "particulièrement insuffisant" le projet de loi Dati sur la protection du secret des sources des journalistes qui doit être examiné jeudi par l'Assemblée natinonale.

"Si le texte actuel n'est pas très sérieusement amendé, ses dispositions seront plus dangereuses qu'utiles", a estimé le SNJ dans un communiqué publié lundi.

Selon lui, "les dérogations au principe de protection du secret des sources sont très insuffisamment encadrées et très imprécises dans leur formulation."

Le syndicat rappelle aux députés "qu'il ne demande pas la protection des journalistes mais la protection de leurs sources. A ce titre, ce sont, en plus des journalistes, tous les porteurs de ce secret qui doivent bénéficier de la même protection ainsi que tous les lieux où les journalistes exercent leur profession et pas seulement leur entreprise et/ou leur domicile", estime-t-il.

Le SNJ estime par ailleurs qu'une nouvelle définition de la profession de journaliste, déjà définie dans le Code du travail et réglée par la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels, "doit disparaître de ce texte où elle n'a rien à faire."

Les députés examinent jeudi le projet de loi Dati sur la protection du secret des sources des journalistes, auquel ils veulent apporter des garanties supplémentaires, jugées très insuffisantes par la profession.

************************

Le SNJ-CGT dénonce un "harcèlement"

contre les médias et en particulier l'AFP

PARIS (AFP) -

Le syndicat de journalistes SNJ-CGT a "dénoncé" lundi "le harcèlement" dont sont victimes selon lui "les médias et en particulier l'Agence France-Presse", et a appelé "l'ensemble de la profession à réagir" contre "ces manoeuvres d'intimidation".

"Devant les difficultés que connaît le pouvoir actuel dans les sondages, les penseurs en cour au sommet de l'Etat voudraient transformer les médias en simples courroies de transmission du gouvernement et du parti majoritaire auprès de l'opinion publique", estime le SNJ-CGT dans un communiqué.

La ministre de la Culture, Christine Albanel, "voudrait transformer" l'AFP en "agence de communication pour diffuser des communiqués partisans", affirme le syndicat.

Dans une interview au Journal du Dimanche, Mme Albanel avait déclaré que l'AFP "n'est pas une machine à reproduire des communiqués", tout en suggérant une formule qui permettrait la diffusion des textes des partis et syndicats via l'agence.

Mme Albanel "ne peut pas à la fois dire que l'agence n'est pas +une machine à reproduire des communiqués+ et affirmer le contraire peu après", souligne le SNJ-CGT.

Le syndicat estime par ailleurs que le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, qui a reproché à l'AFP de ne pas avoir relayé un communiqué de son parti sur Ségolène Royal, "devrait balayer devant sa porte avant de donner des leçons aux journalistes de l'AFP".

Le SNJ-CGT relève que ces "attaques réitérées" contre l'AFP interviennent au moment où l'agence "renégocie son Contrat d'objectifs et de moyens pour les 5 ans à venir". Elles sont "d'autant plus inquiétantes qu'elles font suite à des déclarations, par voie de presse du PDG de l'agence et à des propositions du parti au pouvoir pour privatiser l'AFP" et "casser le statut de 1957 qui assure à la rédaction de l'agence son indépendance rédactionnelle", ajoute le syndicat.

***********************************

Reporters sans frontières "s'inquiète"

des accusations de membres de la majorité contre la presse

PARIS - AP

Reporters sans frontières (RSF) a déclaré lundi dans un communiqué s'inquiéter "des propos de certains membres de la majorité gouvernementale qui ont accusé la presse française de 'manque de neutralité'".

La ministre de la Culture et de la Communication Christine Albanel, rappelle RSF, "a appelé l'Agence France-Presse (AFP) à créer un service spécial pour diffuser à l'état brut les communiqués des groupements politiques et des syndicats. Ces déclarations interviennent quelques jours après les critiques émises par le président français Nicolas Sarkozy à l'encontre de certains médias, les accusant de jouer le rôle de l'opposition".

Pour l'organisation de défense de la liberté de la presse, la proposition de Mme Albanel est "inquiétante et ressemble à un déni du journalisme dans la mesure où les médias ne seraient plus que des tableaux d'affichage pour le gouvernement, les partis politiques ou encore les syndicats".

C'est "également une défiance par rapport aux journalistes que le gouvernement et la majorité parlementaire ne pensent pas capables de juger de l'intérêt d'une information. Dans un pays démocratique, un communiqué officiel ne tient pas lieu d'information", souligne RSF. AP

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Invité MarcM

Où on voit mieux les choses se mettre en place :

Projet de loi Dati sur la protection des sources:

texte "particulièrement insuffisant", selon le SNJ

PARIS (AFP) -

Le Syndicat national des journalistes (SNJ), premier syndicat de la profession, a jugé lundi "particulièrement insuffisant" le projet de loi Dati sur la protection du secret des sources des journalistes qui doit être examiné jeudi par l'Assemblée natinonale.

"Si le texte actuel n'est pas très sérieusement amendé, ses dispositions seront plus dangereuses qu'utiles", a estimé le SNJ dans un communiqué publié lundi.

Selon lui, "les dérogations au principe de protection du secret des sources sont très insuffisamment encadrées et très imprécises dans leur formulation."

Le syndicat rappelle aux députés "qu'il ne demande pas la protection des journalistes mais la protection de leurs sources. A ce titre, ce sont, en plus des journalistes, tous les porteurs de ce secret qui doivent bénéficier de la même protection ainsi que tous les lieux où les journalistes exercent leur profession et pas seulement leur entreprise et/ou leur domicile", estime-t-il.

Le SNJ estime par ailleurs qu'une nouvelle définition de la profession de journaliste, déjà définie dans le Code du travail et réglée par la Commission de la carte d'identité des journalistes professionnels, "doit disparaître de ce texte où elle n'a rien à faire."

Les députés examinent jeudi le projet de loi Dati sur la protection du secret des sources des journalistes, auquel ils veulent apporter des garanties supplémentaires, jugées très insuffisantes par la profession.

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Le SNJ-CGT dénonce un "harcèlement"

contre les médias et en particulier l'AFP

PARIS (AFP) -

Le syndicat de journalistes SNJ-CGT a "dénoncé" lundi "le harcèlement" dont sont victimes selon lui "les médias et en particulier l'Agence France-Presse", et a appelé "l'ensemble de la profession à réagir" contre "ces manoeuvres d'intimidation".

"Devant les difficultés que connaît le pouvoir actuel dans les sondages, les penseurs en cour au sommet de l'Etat voudraient transformer les médias en simples courroies de transmission du gouvernement et du parti majoritaire auprès de l'opinion publique", estime le SNJ-CGT dans un communiqué.

La ministre de la Culture, Christine Albanel, "voudrait transformer" l'AFP en "agence de communication pour diffuser des communiqués partisans", affirme le syndicat.

Dans une interview au Journal du Dimanche, Mme Albanel avait déclaré que l'AFP "n'est pas une machine à reproduire des communiqués", tout en suggérant une formule qui permettrait la diffusion des textes des partis et syndicats via l'agence.

Mme Albanel "ne peut pas à la fois dire que l'agence n'est pas +une machine à reproduire des communiqués+ et affirmer le contraire peu après", souligne le SNJ-CGT.

Le syndicat estime par ailleurs que le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, qui a reproché à l'AFP de ne pas avoir relayé un communiqué de son parti sur Ségolène Royal, "devrait balayer devant sa porte avant de donner des leçons aux journalistes de l'AFP".

Le SNJ-CGT relève que ces "attaques réitérées" contre l'AFP interviennent au moment où l'agence "renégocie son Contrat d'objectifs et de moyens pour les 5 ans à venir". Elles sont "d'autant plus inquiétantes qu'elles font suite à des déclarations, par voie de presse du PDG de l'agence et à des propositions du parti au pouvoir pour privatiser l'AFP" et "casser le statut de 1957 qui assure à la rédaction de l'agence son indépendance rédactionnelle", ajoute le syndicat.

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Reporters sans frontières "s'inquiète"

des accusations de membres de la majorité contre la presse

PARIS - AP

Reporters sans frontières (RSF) a déclaré lundi dans un communiqué s'inquiéter "des propos de certains membres de la majorité gouvernementale qui ont accusé la presse française de 'manque de neutralité'".

La ministre de la Culture et de la Communication Christine Albanel, rappelle RSF, "a appelé l'Agence France-Presse (AFP) à créer un service spécial pour diffuser à l'état brut les communiqués des groupements politiques et des syndicats. Ces déclarations interviennent quelques jours après les critiques émises par le président français Nicolas Sarkozy à l'encontre de certains médias, les accusant de jouer le rôle de l'opposition".

Pour l'organisation de défense de la liberté de la presse, la proposition de Mme Albanel est "inquiétante et ressemble à un déni du journalisme dans la mesure où les médias ne seraient plus que des tableaux d'affichage pour le gouvernement, les partis politiques ou encore les syndicats".

C'est "également une défiance par rapport aux journalistes que le gouvernement et la majorité parlementaire ne pensent pas capables de juger de l'intérêt d'une information. Dans un pays démocratique, un communiqué officiel ne tient pas lieu d'information", souligne RSF. AP

vive la loi martiale ..................

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Rejet surprise du texte OGM:

revers cinglant pour Sarkozy et sa majorité

Par Souk CHANTHALANGSY PARIS (AFP) -

Le gouvernement de Nicolas Sarkozy et sa majorité ont subi mardi un revers cinglant à l'Assemblée avec le rejet inattendu du texte sur les OGM, sur un point de procédure, avec une seule voix d'écart, par les députés alors que tous s'attendaient à un vote définitif sans encombre.

Un coup de tonnerre a secoué l'hémicycle juste avant 18H00, alors que les députés votaient, dans une indifférence quasi-générale, sur la question préalable plaidée avec fougue par le député PCF André Chassaigne, à l'occasion de la deuxième lecture de ce texte très controversé.

Ni le ministre, Jean-Louis Borloo (Ecologie), ni sa secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet, ni le rapporteur, Antoine Herth (UMP), n'avaient voulu s'exprimer au sujet de la motion PCF, laissant la parole à l'orateur UMP Marc Laffineur.

L'annonce du vote de la motion de procédure par 136 voix contre 135 a douché la droite, tandis que les élus de gauche exultaient et applaudissaient durant plusieurs minutes. Le leader altermondialiste José Bové était debout dans les tribunes du public.

Des cris de joie montaient des abords du Palais-Bourbon, où étaient rassemblés des centaines de manifestants anti-OGM, après un "pique-nique sans OGM" sur l'esplanade des Invalides.

Le Premier ministre, François Fillon, a très vite annoncé la convocation de la Commission mixte paritaire (CMP composée de sept sénateurs et sept députés, majoritairement de droite) pour soumettre à nouveau le texte "au vote des deux chambres".

Le PS a aussitôt réclamé une audience à Nicolas Sarkozy pour demander que le gouvernement ne "passe pas en force" en représentant le même texte.

Le ministre Roger Karoutchi (Parlement) a déclaré en soirée à l'AFP que la CMP se réunirait "mercredi après-midi".

Le vote des conclusions de cette CMP dans chacune des deux assemblées, synonyme d'adoption définitive du texte, devrait intervenir "dans les semaines à venir", "bien avant fin juin, si possible même avant fin mai", a-t-il précisé.

Le dernier texte, rejeté via une motion de procédure, était la proposition de loi sur le PACS le 9 octobre 1998. En raison de son origine parlementaire, la gauche "plurielle" de l'époque avait dû présenter un autre texte.

Mardi, à l'ouverture des débats, rien ne laissait présager une telle issue.

"Ce texte est fidèle aux engagements du Grenelle malgré tout ce que j'ai pu entendre dire (...) Nous disposons d'un cadre juridique d'une totale cohérence", s'était réjoui Jean-Louis Borloo.

La gauche poursuivait sa stratégie pour "que ce débat ne passe pas inaperçu" et que ce texte "néfaste" ne soit adopté "en catimini".

Après le rejet d'une première motion de procédure PS (exception d'irrecevabilité), c'est André Chassaigne (PCF) qui a défendu, avec succès, "la question préalable".

M. Chassaigne s'était déjà fait connaître en faisant adopter en première lecture un amendement -salué comme une "victoire" par la gauche et les anti-OGM- stipulant que "les OGM ne peuvent être cultivés, commercialisés ou utilisés que dans le respect de l'environnement et de la santé publique, des structures agricoles, des écosystèmes locaux et des filières de production et commerciales qualifiées +sans OGM+ et en toute transparence".

Le texte OGM compte parmi ses mesures phare les règles de "coexistence" entre cultures OGM et sans-OGM et l'institution d'un "délit de fauchage".

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Communiqué de l'AFP :

Psychodrame à l'UMP

Rejet texte OGM: nouveau gros couac dans la majorité, Copé en difficulté

Par Frédéric DUMOULIN PARIS (AFP) -

Le rejet, momentané, du projet de loi sur les OGM constitue, après toute une série de couacs, un nouveau coup dur pour la majorité et met en difficulté le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, qui est déjà critiqué jusqu'à l'Elysée.

La motion de procédure PCF a été votée à une seule voix de majorité, signe que les députés UMP n'étaient pas assez nombreux dans l'hémicycle. Le groupe avait pourtant promis, à la mi-journée, d'être "mobilisé" sur le texte.

Après ce coup de tonnerre, alors que la gauche exultait, les députés de droite et le secrétaire d'Etat aux Relations avec le Parlement, Roger Karoutchi, affichaient une mine déconfite.

Ils ont tenté de faire contre mauvaise fortune bon coeur en annonçant aussitôt que le texte reprendrait son cours au plus vite et serait définitivement voté dans les prochaines semaines.

Cette nouvelle tension dans la majorité intervient moins d'une semaine après le rappel à l'ordre lancé par Nicolas Sarkozy aux députés UMP qu'il recevait à l'occasion du premier anniversaire de sa victoire.

Sitôt le texte rejeté, la chasse au coupable a commencé et de nombreux regards se tournaient vers M. Copé, accusé de ne pas mobiliser suffisamment ses troupes.

"On va tous vous trancher la gorge", a ainsi lancé, dans un sourire figé, un ministre à l'un des proches de M. Copé dans les couloirs de l'Assemblée.

Selon plusieurs sources, M. Sarkozy et François Fillon ont aussitôt téléphoné à M. Copé pour "lui passer un savon". "Il y a quand même un problème de gestion du groupe", a déclaré à l'AFP une source gouvernementale.

"Si Sarkozy peut se débarrasser de Copé à cette occasion, il n'hésitera pas", a estimé une autre source.

Selon Le Canard Enchaîné, M. Copé avait déjà beaucoup agacé le chef de l'Etat, fin avril, en déclarant qu'il n'existait pas de majorité au sein du groupe UMP pour voter, en l'état, le texte sur la réforme des institutions.

A l'automne, l'Elysée n'avait pas non plus apprécié plusieurs "manquements" de la majorité sur les tests ADN, le financement du Nouveau Centre ou encore pendant les débats sur le projet de loi Sécu.

M. Copé avait toutefois réussi à redresser la barre en se faisant accepter par ses troupes au départ critiques et en s'imposant comme l'un des hommes forts de la majorité.

Le texte sur les OGM réussit décidément mal à la majorité. En première lecture, les déclarations de Nathalie Kosciusko-Morizet (Ecologie), accusant son ministre de tutelle, Jean-Louis Borloo, et M. Copé de "lâcheté", avaient entraîné un psychodrame au Palais Bourbon.

Alors que son entourage semblait abattu, M. Copé a lancé: "j'assume mes responsabilités. Les blâmes, j'y suis habitué. La définition de +tenir son groupe+ est beaucoup plus complexe que certains ne le pensent".

"C'est une manoeuvre de l'opposition, même si j'ai bien compris qu'elle était de bonne guerre", a-t-il déclaré à l'AFP.

"Les derniers décomptes faisaient état de 105 députés présents à droite et 75 à gauche. Nous n'étions donc pas inquiets. On ne comprend pas comment on arrive à ce résultat", a-t-on avancé dans l'entourage de M. Copé avant d'ajouter: "c'est la preuve que le groupe UMP est vraiment très divisé sur les OGM".

Cette passe d'armes gauche-droite tombe au plus mal à une semaine du débat sur la réforme constitutionnelle, qui nécessite un consensus ou du moins la neutralité bienveillante de la gauche.

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Rejet surprise du texte OGM:

revers cinglant pour Sarkozy et sa majorité

Et comme pour le referendum,si ca passe pas, on recommence jusqu'a ce que ca passe,à la fin du mois je crois. Il est vraiment temps de la jeter cette Vème. Comme on dit,la democratie est la solution la moins pire (quoique la majorité n'a pas toujours raison).

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Bonjour ,

Ne tirez pas sur le plaquiste ! :

http://www.libeorleans.fr/libe/2008/05/chmage-nicolas.html

La réponse de l 'ANPE de Melun est un peu hallucinante:

«La personne qui lui a dit cela est déséquilibrée et n’aurait jamais dû être présente ce jour-là. Le président aurait pu comprendre qu’il avait, face à lui, une personne souffrant de troubles graves».

mais enfin, plus on est de fous .... lapleunicheuse

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La réponse de l 'ANPE de Melun est un peu hallucinante:

«La personne qui lui a dit cela est déséquilibrée et n’aurait jamais dû être présente ce jour-là. Le président aurait pu comprendre qu’il avait, face à lui, une personne souffrant de troubles graves».

mais enfin, plus on est de fous .... beurk

Bonjour ,

lapleunicheusekoiquesse

Non , c'est le surmenage ; travailler 365 jours par an et 11 heures par jour :

http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1999

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Bonjour ,

controleursncflotrela

Non , c'est le surmenage ; travailler 365 jours par an et 11 heures par jour :

http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1999

Hallucinant... il est prêt à tout dire... :blush:

Modifié par michael02
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C'est fou quand meme!! cet homme ne vérifie rien !!!!!!!!!!!

Bosser 4000 heures par ans, les dockers d'anvers sont en fait des esclaves !

lotrela lotrela koiquesse koiquesse

helpsoso helpsoso

Je crois qu'on est mal barré en france si ce personnage continue dans sa fonction, il va rendre fou le pays a force!

bigbisous

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C'est fou quand meme!! cet homme ne vérifie rien !!!!!!!!!!!

Bosser 4000 heures par ans, les dockers d'anvers sont en fait des esclaves !

koiquesselotrelakoiquessekoiquesse

helpsosohelpsoso

Je crois qu'on est mal barré en france si ce personnage continue dans sa fonction, il va rendre fou le pays a force!

koiquesse

mensonge éhonté, le problème c'est que tous les démentis possible n'auront la force de ce mensonge

le mal est fait et pour le beauf de base les dockers étrangers sont des super bosseurs et les notres des fainéants quand bien même la vérité lui serait balancée à la gueule.

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mensonge éhonté, le problème c'est que tous les démentis possible n'auront la force de ce mensonge

le mal est fait et pour le beauf de base les dockers étrangers sont des super bosseurs et les notres des fainéants quand bien même la vérité lui serait balancée à la gueule.

Bonsoir ,

Bon , cela nous est tout à fait égal , puisque nous sommes (grassement) payés pendant les jours de grève koiquesse

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Invité MarcM

Bonsoir ,

Bon , cela nous est tout à fait égal , puisque nous sommes (grassement) payés pendant les jours de grève koiquesse

sans compter que ceux ci comptent double pour la retraite .Donc sur toute une carrière , un cheminot gréviste moyen peut envisager 6 trimestres supplémentaires koiquesse ...

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Bonsoir ,

Bon , cela nous est tout à fait égal , puisque nous sommes (grassement) payés pendant les jours de grève koiquesse

putain ouais je l'avais oubliée celle la aussi

ah et puis il y a la prime de charbon.

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Bonsoir ,

Serrer les mains de la main droite avec un couteau caché dans la main gauche :

Afin de faire oeuvre de diversion par rapport à sa courbe de popularité aussi basse et à plat au bas du graphique , Nicolas Sarkozy

s'est payé une visite très matinale chez les gens qui se lèvent tôt et travaillent dur, contrairement à certaines corporations (suivez mon

regard et ne rougissez pas ) cartonrouge , pour saluer l'exemple des Français entreprenants qui alimentent leurs étalages du coté de Rungis

( il ne faut y aller Gérard Lambert ) .

Serrage de mains devant les étalages et produits , avec en vitrine de fond son épouse ( désolé pour la comparaison limite mais je n'ai

pas pu m'en priver ) le tout de la scène fleurant bon le populisme tonitruant devant les caméras .

Mais le président a juste omis de préciser un élément de taille vis à vis de ces interlocuteurs , c'est que sous couvert du projet de la

"modernisation" de l'économie le gouvernement va faire des cadeaux à la grande distribution* , en modifiant la réglementation en vigueur .

Tout va être bon pour augmenter les marges arrières ainsi que les surfaces de vente ( modification du seuil maximum en m2 ) avec

déréglementation pour l'implantation des surfaces .

Les centrales d'achat déjà en position de force , auront encore plus de poids à l'encontre des petits circuits de production et de vente .

C'est un vrai manque de respect que d'aller voir ces petits commerçants qui viennent à Rungis pour alimenter leurs étals avec un tel

projet dans les cartons , si ces gens pouvaient apprécier la plaisanterie l'accueil pouvait être différent d'autant que notre président a

déjà eu des antécédents dans ce sens notamment dans la métallurgie .

Faites donc attention Nicolas , à force d'allumer des petits feux de paille de communication médiatique , vous risquez d'allumer

un grand incendie .

* Voir Marianne n° 579 du 24 au 30/05/2008 .

Modifié par zoreglube
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Invité MarcM

Karoutchi et Hortefeux sortent un bouquin pour démolier les regions PS

sera en vente au rayon humour dans toutes les bonnes librairies.....car je me vois déjà plié en deux en lisant l'humour en préface du joyeux drille qu'est Hortefeux !

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