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Actualités Politiques


katamiaw

Messages recommandés

(...) une riposte de la droite qui accuse l'ex-candidate socialiste à la présidentielle de "perdre le contrôle d'elle-même".

Frédéric Lefebvre, autre porte-parole de l'UMP, a estimé dans un communiqué distinct que Ségolène Royal avait "dépassé les bornes". "La gravité des accusations proférées par Mme Royal est le signe qu'elle perd ses nerfs", a-t-il affirmé.

Pas d'avis sur le fond mais sur la forme je rejoins parfois S. Royal : emploierait-on ses mots là pour un homme ??? beurk

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Comme quoi ça va être difficile de découper les choses en tranches...

Fureur à l'UMP après les accusations de Ségolène Royal

PARIS (Reuters) - Ségolène Royal a déclenché de violentes attaques de Matignon et de l'UMP en dénonçant un possible lien entre un cambriolage de son appartement le 27 juin dernier et ses critiques virulentes contre Nicolas Sarkozy et le gouvernement.

Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, a jugé que l'ex-candidate PS à l'Elysée avait "pété un câble".

"Elle ne recule devant rien pour exister. Ca a atteint maintenant un niveau de stupidité qui est véritablement affligeant", a dit le président de l'Assemblée Bernard Accoyer. François Fillon estime qu'elle "perd le contrôle d'elle-même".

"Cette façon, sans aucune espèce évidemment de preuve, cette espèce d'insinuation qu'elle nous lance comme ça, je trouve que c'est honteux", a dit le Premier ministre sur RTL.

La présidente de Poitou-Charentes a déposé plainte après avoir découvert, selon ses déclarations, son logement de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) "retourné" le 27 juin. Rien n'a été volé, souligne-t-elle.

Selon la police, des bijoux, dont les boucles d'oreille de la fille de l'ex-candidate, ont été retrouvés exposés sur les meubles. Le texte d'une plainte concernant un précédent cambriolage du même logement en août 2006 a été retrouvé déchiré en deux. L'enquête n'a pour l'instant rien donné.

"J'observe que la semaine dernière, au moment où j'ai dit qu'il fallait mettre fin à la mainmise du clan Sarkozy sur la France, mon domicile a été mis à sac", a-t-elle dit lors du journal de 20h de France 2 mardi soir.

"Je fais un rapport entre les deux, en effet (...) C'est une drôle de coïncidence et c'est la seconde fois, la première a eu lieu pendant la campagne présidentielle", a-t-elle ajouté.

Les représentants de la majorité jugent impensable que le chef de l'Etat ou ses proches puissent ordonner une telle opération.

DES PRÉCÉDENTS

Les proches de Ségolène Royal rappellent que plusieurs de ses collaborateurs ont connu aussi des cambriolages ou des vols pendant la campagne présidentielle, comme sa conseillère Sophie Bouchet-Petersen, qui s'était fait dérober son ordinateur.

Son conseiller pour l'écologie Bruno Rebelle avait fait l'objet d'une enquête et d'une fiche des Renseignements généraux, faits reconnus par ce service de police qui affirmait cependant avoir agi en raison de son ex-qualité de président de Greenpeace-France.

"La seule chose dont on soit absolument certain, c'est qu'elle est ciblée. Il ne s'agit pas d'un cambriolage ordinaire mais d'une mise à sac (...) Je trouve choquant de moquer cela. C'est une manière de dire grosso modo qu'elle est folle", a dit son avocat Jean-Pierre Mignard à Europe 1.

Au PS, les proches de Ségolène Royal la soutiennent, comme les députées Aurélie Filipetti et Delphine Batho, qui estiment que la majorité devrait dénoncer la mise à sac du logement.

Le président du groupe socialiste à l'Assemblée Jean-Marc Ayrault a prêté sur RMC au chef de l'Etat un comportement "étonnant, étrange et éloigné de sa fonction".

Ségolène Royal "a raison de parler comme elle parle, sans ambages, en disant ce qu'est aujourd'hui le sarkozysme", a estimé de son côté Arnaud Montebourg.

Laurent Fabius a en revanche pris ses distances. "Soit ce qu'elle dit est tout à fait exact et dans ce cas-là évidemment c'est scandaleux, soit ce n'est pas exact et il ne faut pas le dire", a dit l'ex-Premier ministre sur Europe 1.

L'épisode fait suite à d'autres déclarations virulentes de Ségolène Royal contre l'Elysée, quand elle a souligné que Nicolas Sarkozy n'avait joué aucun rôle dans la libération d'Ingrid Betancourt, ou après ses déclarations ironiques sur les grèves, quand elle l'avait qualifié de "roi qui s'amuse".

La bataille pour la direction du PS, qui sera désignée après le congrès PS de novembre, s'annonce très ouverte entre elle et les autres candidats possibles, Bertrand Delanoë, Pierre Moscovici ou encore Martine Aubry.

Thierry Lévêque, édité par Pascal Liétout

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Sur le fond...

Sarkozy se fait le porte-parole d'un clan, estime Bayrou

PARIS (Reuters) -

Nicolas Sarkozy se fait le porte-parole d'un clan et s'attaque jour après jour à tout ce qui charpente la société française, armée, syndicats et service public, estime François Bayrou.

"Au lieu d'être l'homme de la nation, il se fait le porte-parole d'un clan. Il n'est plus la figure du rassemblement et de la réconciliation. Il devient une figure d'affrontement et de fracture", estime le président du MoDem dans une interview au Figaro, à paraître jeudi.

Pour François Bayrou, "c'est la fonction elle-même qui est ainsi mise en cause."

De même, le dirigeant centriste voit un "très mauvais signe" dans l'aggravation du déficit français "qui était en mai 2007 de 40 milliards d'euros - c'était déjà trop - et en mai 2008, après exactement un an de pouvoir, de 50 milliards.".

"Deuxièmement, jour après jour, on attaque tout ce qui charpentait solidement la société française, les fondations du modèle français", ajoute-t-il.

François Bayrou déplore "une série d'attaques blessantes contre l'armée, non seulement des mots très durs et offensants, mais une enquête de contre-espionnage pour identifier des officiers généraux qui ont livré au Figaro une analyse critique du livre blanc !".

"Le lendemain même, l'annonce d'un plan sans précédent de prise de contrôle de l'audiovisuel, l'arrêt des recettes publicitaires dirigées vers les chaînes privées et la décision de nommer le président de France Télévisions par le pouvoir. Enfin, le ricanement humiliant pour les syndicats et les grévistes", ajoute-t-il.

Prié de dire si tout cela pourrait le conduire à faire alliance avec le Parti socialiste qui a également reproché au chef de l'Etat de se comporter en "chef de clan", François Bayrou répond : "Pour proposer au pays un destin autre que celui vers lequel on l'amène, il faudra des alliances larges."

"Les socialistes sont aujourd'hui devant de grandes difficultés de ligne et aussi de leadership. Donc, pour l'instant, ils s'enferment. Mais un jour, ils seront bien obligés d'ouvrir les yeux", ajoute-t-il.

François Bayrou dit également penser aux gaullistes qui vont vivre "le choc du retour de la France dans le commandement intégré de l'Otan et le renoncement de ce qui faisait, symboliquement, l'originalité de la France dans le monde." "Un jour, tous ceux-là se ressaisiront", dit-il.

Gérard Bon

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Et un chômeur, un :(:blush:

Dernier 20h00 sur TF1 pour PPDA, qui a reçu sa lettre de licenciement

PARIS (AFP) - P

Patrick Poivre d'Arvor, qui présentera ce jeudi soir son dernier journal de 20h00 à TF1, a reçu sa lettre de licenciement, a-t-il indiqué jeudi sur France Inter, déclarant trouver "très étrange" son éviction.

"J'ai reçu une lettre de licenciement, donc je suis viré", a-t-il déclaré. TF1 lui a proposé de rester, "mais, pour moi, il n'était pas envisageable de rester dans un placard", a-t-il ajouté.

Revenant sur son éviction du 20h00, le présentateur vedette a estimé qu'il n'y avait "aucun fait objectif" pouvant l'expliquer, tout en se refusant à "commenter les rumeurs" selon lesquelles elle serait due à des pressions politiques.

"Je retrouverai un emploi et la vie recommencera. Mais j'ai trouvé cela très étrange", a-t-il ajouté.

Dans un entretien au Parisien/Aujourd'hui en France jeudi, il a précisé qu'en quittant la chaîne il allait également arrêter, "à regret", son émission littéraire Vol de nuit.

Alors que son avocat a déjà démenti les affirmations de plusieurs blogs évoquant des indemnités comprises entre 3,8 et 4,5 millions d'euros si M. Poivre d'Arvor quittait la chaîne, ce dernier a soutenu qu'il existait "pour l'instant zéro négociation" avec les dirigeants de la chaîne.

"Je pense qu'ils attendent de savoir quand je vais partir", a ajouté le journaliste, affirmant "ne pas avoir pensé" à ce qu'il dirait à l'antenne pour son dernier JT.

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Le bilan de Sarkozy jugé négatif par 57% des Français, selon CSA

PARIS (Reuters) - Une majorité des Français (57% contre 38%) jugent le bilan de Nicolas Sarkozy négatif, un an après son arrivée à l'Elysée, selon un sondage CSA à paraître ce vendredi dans Le Parisien.

Les personnes interrogées sont partagées sur la suite du mandat du chef de l'Etat, 25% souhaitant qu'il accélère le rythme des réformes, 33% qu'il le ralentisse et 33% qu'il conserve le rythme actuel.

Pour 58% des Français, Nicolas Sarkozy sait où il va, tandis que 37% sont d'un avis contraire.

Ce sondage a été réalisé par téléphone les 9 et 10 juillet auprès d'un échantillon de 913 personnes âgées de 18 ans et plus.

Gérard Bon

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Pris en charge par la sécu ?

François Fillon au repos complet en raison d'une sciatique

Reuters - Lundi 14 juillet, PARIS

Le Premier ministre, François Fillon, a annulé tous ses rendez-vous depuis vendredi car il souffre d'une sciatique, fait savoir son entourage.

"Il a une sciatique. Les médecins lui ont conseillé le repos complet depuis vendredi", a indiqué une conseillère de Matignon.

François Fillon n'a pas participé au sommet de lancement de l'Union pour la Méditerranée, dimanche au Grand Palais à Paris. Il était également absent des cérémonies du 14-Juillet.

Son entourage a précisé que François Fillon se trouvait à Matignon. L'agenda du Premier ministre publié lundi soir annonce sa présence mardi à 16h00 au Sénat pour un discours à l'occasion du débat en deuxième lecture sur la réforme des institutions.

Elizabeth Pineau, édité par Thierry Lévêque

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Rachida Dati... du mal à marcher dans l'herbe ? mdrmdr

Par Purepeople.com Pure People -

Le 1er juillet, la France s'est installée à la présidence de l'Union Européenne pour une durée de six mois.

A cette occasion, Nicolas Sarkozy a reçu José Manuel Barosso, président de la commission européenne, à l'Elysée, après la cérémonie qui s'est déroulée sous l'Arc de Triomphe.

Rachida Dati était présente ce jour-là, tout comme Jean-Louis Borloo ou encore Bernard Laporte.

Lors d'une promenade dans les jardins du palais présidentiel français, la garde des sceaux avait bien du mal à tenir sur ses jambes.

Il est vrai que marcher dans l'herbe avec des chaussures à talons n'est pas très évident. Heureusement, le secrétaire d'Etat aux sports était là pour lui permettre de marcher droit, même si le bras de Bernard Laporte ne lui a pas permis de garder le cap !

Les mauvaises langues disent qu'elle aurait trop... bu ? Mais non,mais non !

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Rachida Dati... du mal à marcher dans l'herbe ? :blush:

Par Purepeople.com Pure People -

Le 1er juillet, la France s'est installée à la présidence de l'Union Européenne pour une durée de six mois.

A cette occasion, Nicolas Sarkozy a reçu José Manuel Barosso, président de la commission européenne, à l'Elysée, après la cérémonie qui s'est déroulée sous l'Arc de Triomphe.

Rachida Dati était présente ce jour-là, tout comme Jean-Louis Borloo ou encore Bernard Laporte.

Lors d'une promenade dans les jardins du palais présidentiel français, la garde des sceaux avait bien du mal à tenir sur ses jambes.

Il est vrai que marcher dans l'herbe avec des chaussures à talons n'est pas très évident. Heureusement, le secrétaire d'Etat aux sports était là pour lui permettre de marcher droit, même si le bras de Bernard Laporte ne lui a pas permis de garder le cap !

Les mauvaises langues disent qu'elle aurait trop... bu ? Mais non,mais non !

ou fumée ........................................ l'herbe?

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Pour Robert Badinter, la réforme des institutions risque d'instaurer "la monocratie"

PARIS - Pour l'ancien garde des Sceaux Robert Badinter, la réforme des institutions souhaitée par Nicolas Sarkozy instaurerait de fait "la monocratie" si elle était votée et s'accompagnerait d'un "sacre à Versailles" pour le président de la République.

Robert Badinter a déclaré sur RTL qu'il ne voulait pas voir "le président entrant en majesté devant le Congrès", délivrant un "message (...) pour louer son bilan et surtout annoncer le programme qui doit être celui de l'année à venir".

"Le public verra le président de la République physiquement en chef de la majorité présidentielle", a regretté Robert Badinter, car "que devient le Premier ministre dans ce cas-là, tout petit sur son banc parmi les ministres silencieux ?", s'est-il interrogé.

"Si la révision est rejetée, ce que nul à cet instant ne peut dire, ça n'est certainement pas de la faute de l'opposition", a assuré le sénateur socialiste des Hauts-de-Seine, critiquant "le pouvoir de nomination si considérable" déjà accordé actuellement au président de la République.

Robert Badinter a également dénoncé "l'obstination incroyable de la majorité sénatoriale qui entend garder un système absolument antidémocratique" afin de "rompre avec toute tentative tendant à permettre une alternance". AP

Institutions: Badinter (PS) refuse un "sacre" du président devant le Parlement

PARIS (AFP) - Le sénateur PS Robert Badinter a refusé mercredi un "sacre à Versailles" du président de la République, en dénonçant le droit d'adresse devant le Congrès qui lui est accordé par le projet de réforme des institutions.

"Si la révision est rejetée - ce que nul à cet instant ne peut dire - ce n'est certainement pas de la faute de l'opposition", a-t-il dit sur RTL. La réforme doit être soumise aux parlementaires lors d'un congrès à Versailles le 21 juillet. Une majorité des 3/5èmes y sera requise.

"C'est tout simplement à cause" du "maintien par le président et l'accroissement de ses pouvoirs" et de "l'obstination incroyable de la majorité sénatoriale qui entend garder un système absolument antidémocratique", a-t-il jugé, en évoquant le mode de scrutin au Sénat.

L'ancien ministre de la Justice a critiqué le droit d'adresse du président devant le Congrès. "Imaginez la scène: ce sera le président entrant en majesté devant le Congrès, on se lèvera. Il prononcera le message sur l'état de l'union, ça veut dire: louer son bilan et surtout annoncer le programme de l'année à venir".

"Toute sa majorité se lèvera dans une immense ovation à la fin. Le public verra le président de la République physiquement en chef de la majorité. Que devient le Premier ministre dans ce cas-là, tout petit sur son banc parmi les ministres, silencieux?", a lancé M. Badinter, refusant "cette espèce de sacre à Versailles".

Nicolas Sarkozy "tient le gouvernement" et "il tient aussi le Parlement, le législatif, parce qu'il est le chef de la majorité présidentielle", a-t-il affirmé. "C'est la +monocratie+, le pouvoir d'un seul".

Modifié par Dom-trappeur
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Ainsi va la France sous Nicolas 1er

Sans-papiers: 741 régularisations recensées par la CGT et Droits Devant

PARIS (AFP) -

La CGT et l'association Droits Devant ont annoncé mercredi avoir enregistré 741 régularisations de travailleurs sans-papiers sur les 1.500 dossiers qu'elles ont parrainés depuis le début d'un mouvement de grève coordonné en Ile-de-France il y a trois mois.

Le ministère de l'Immigration n'a pas donné de nouveaux chiffres depuis la fin mai, où il avait annoncé environ 250 régularisations sur un millier de dossiers reçus.

"On a à cette heure-ci 741 régularisations. C'est totalement inédit, certains disent historique", s'est réjouie la secrétaire confédérale CGT Francine Blanche lors d'une conférence de presse devant le restaurant parisien "Chez Papa" (Xe), un des premiers en grève où trois sans-papiers sur 39 restent à régulariser.

"Le 20 mai, on avait 63 régularisations. Ca signifie qu'on en a eu près de 700 en deux mois", a souligné le porte-parole de Droits Devant, Jean-Claude Amara.

"Il reste 31 grévistes de la première vague qui ne sont pas régularisés parce qu'il y a des difficultés entres les préfectures qui se renvoient les dossiers, notamment en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne", a affirmé Mme Blanche. "La priorité des priorités, c'est de terminer les dossiers de la première vague, dans les jours qui viennent", a-t-elle ajouté.

La préfecture de Seine-Saint-Denis, jointe par l'AFP, a estimé à 181 le nombre de sans-papiers régularisés ou en voie de l'être, sur 498 dossiers déposés à ses guichets ou, dans la majorité des cas, réorientés par d'autres préfectures. Elle n'a pas précisé combien de dossiers ont été examinés sur les 428 reçus.

Le mouvement de grève a été déclenché le 15 avril, avec le dépôt de 600 dossiers de demandes de régularisation en une semaine dans cinq préfectures de région parisienne, avant d'atteindre le millier début mai, selon la CGT. Une deuxième vague a été lancée le 20 mai.

En province, 227 dossiers ont été déposés en préfecture des Alpes-Maritimes. D'autres sont en préparation dans une "dizaine de départements" dont l'Isère, les Bouches-du-Rhône ou la Haute-Corse.

"On a absolument besoin de critères harmonisés qui permettent de banaliser la régularisation par le travail sur tout le territoire", a souligné Mme Blanche.

La CGT fait toujours état de cas "compliqués" dans les secteurs de l'aide à la personne et de l'intérim. Seules six femmes travaillant dans l'aide à domicile ont ainsi été régularisées, sur 90 dossiers déposés.

D'autres syndicats ont rejoint le mouvement. L'union syndicale Solidaires occupe ainsi depuis mercredi avec une dizaine de sans-papiers un chantier de consolidation de carrières souterraines à Arcueil (Val-de-Marne).

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Retraites: le gouvernement confirme à la CNAV l'allongement de la durée de cotisations

AP -PARIS -

Le gouvernement a confirmé à la commission de législation de la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV) l'allongement progressif de la durée de cotisations pour bénéficier d'une retraite à taux plein, qui passera de 40 à 41 ans entre 2009 et 2012 à raison d'un trimestre par an, a-t-on appris mercredi auprès de la CGT.

"Le gouvernement vient de notifier à la CNAV l'allongement d'un trimestre par an de la durée de cotisations exigée à compter de 2009 pour bénéficier du taux plein", déclare la CGT dans un communiqué diffusé mercredi.

La confédération siège dans les instances de la Caisse au même titre que l'ensemble des partenaires sociaux. La commission de législation de la CNAV est une émanation de son conseil d'administration. Les syndicats sont tous opposés à ce passage à 41 ans dans les conditions actuelles.

A compter du 1er janvier 2009, la durée de cotisations sera de "161 trimestres pour les assurés nés en 1949, 162 trimestres pour ceux nés en 1950, 163 trimestres pour ceux nés en 1951 et 164 trimestres pour ceux nés en 1952".

La CGT estime que "le gouvernement confirme son passage en force et refuse toujours l'engagement de la moindre négociation sur la durée de cotisations, les minima de pensions et l'équilibre financier des régimes, tel que cela était prévu dans la loi d'août 2003".

"Il choisit la période des vacances pour faire passer la mesure contestée", ajoute la CGT selon laquelle "la CNAV n'a même pas eu la possibilité de délibérer sur la mesure".

La CGT "renouvelle sa totale opposition à l'allongement de la durée de cotisations qui, socialement injuste, ne résout pas les problèmes de financement des régimes". AP

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Retraites: le gouvernement confirme à la CNAV l'allongement de la durée de cotisations

AP -PARIS -

Le gouvernement a confirmé à la commission de législation de la Caisse nationale d'assurance-vieillesse (CNAV) l'allongement progressif de la durée de cotisations pour bénéficier d'une retraite à taux plein, qui passera de 40 à 41 ans entre 2009 et 2012 à raison d'un trimestre par an, a-t-on appris mercredi auprès de la CGT.

"Le gouvernement vient de notifier à la CNAV l'allongement d'un trimestre par an de la durée de cotisations exigée à compter de 2009 pour bénéficier du taux plein", déclare la CGT dans un communiqué diffusé mercredi.

La confédération siège dans les instances de la Caisse au même titre que l'ensemble des partenaires sociaux. La commission de législation de la CNAV est une émanation de son conseil d'administration. Les syndicats sont tous opposés à ce passage à 41 ans dans les conditions actuelles.

A compter du 1er janvier 2009, la durée de cotisations sera de "161 trimestres pour les assurés nés en 1949, 162 trimestres pour ceux nés en 1950, 163 trimestres pour ceux nés en 1951 et 164 trimestres pour ceux nés en 1952".

La CGT estime que "le gouvernement confirme son passage en force et refuse toujours l'engagement de la moindre négociation sur la durée de cotisations, les minima de pensions et l'équilibre financier des régimes, tel que cela était prévu dans la loi d'août 2003".

"Il choisit la période des vacances pour faire passer la mesure contestée", ajoute la CGT selon laquelle "la CNAV n'a même pas eu la possibilité de délibérer sur la mesure".

La CGT "renouvelle sa totale opposition à l'allongement de la durée de cotisations qui, socialement injuste, ne résout pas les problèmes de financement des régimes". AP

et en plein été hein

quelle bande de fumiers

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Latribune.fr

Les nouvelles règles de la représentativité obligent les "petits" syndicats à se regrouperUn rapprochement entre la CGC et l'Unsa est déjà engagé. La CFTC semble isolée. Solidaires est "déterminée à continuer à exister". Conséquence par ricochet des nouvelles règles de la représentativité syndicale, la recomposition syndicale est en marche. Qu'ils aient ou non signé la "position commune" qui a servi de base au projet de loi sur la démocratie sociale et le temps de travail (seules la CFDT et la CGT sont signataires), actuellement examiné en urgence à l'Assemblée nationale, les syndicats savent que si les choses évoluent au parlement, ce sera à la marge.

Résultat: tous savent qu'à terme seuls les syndicats qui auront recueilli au moins 10% des suffrages aux élections professionnelles et 8% (à titre provisoire) au niveau des branches et au niveau interprofessionnel seront reconnus représentatifs. Ce qui menace l'existence même des "petits" syndicats actuellement représentatifs, CGC et CFTC, voire FO, dans un situation particulièrement difficile, et complique la tâche de l'Unsa et l'Union syndicale Solidaires (syndicats Sud) qui peinent à être reconnus dans les entreprises.

(...)

Modifié par aydeg
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Concrètement cela veut dire que les petites OS n'auront plus le droit d'exister ? Ou d'avoir d'élus ? Ou autre chose ?

Pourrais-tu expliquer stp ?

Il pourra toujours y avoir des petites OS

mais pour qu'un accord ssocial signé avec une direction d'entreprise soit valable il faudra que la ou les OS qui signe représente au moins 30% des salariés aux élections précédentes

et/ou que cet accord ne soit pas dénoncé par une ou plusieurs OS représentants au moins 50% des salariés. Il faudra donc que dans le cadre des négocitations Direction et OS recherche la voie d'un réel accord.

Nous avons tous en mémoire et c'est encore d'actualité en ce moment des exemples sur cette question.

Jusqu'à présent il suffisait qu'une OS même représentant 2 ou 3 % du personnel paraphe un texte pour que celui-ci soit valide

Une loi de 2002/2003 (de mémoire) a entériné le droit d'opposition (mais cela reste un droit d'opposition ce qui n'est positif pour personne surtout pour les salariés.

On a le même type de principe sur les accords dans les co-propriétés ou logements sociaux sociaux où il faut une majorité d'opposants pour s'opposer à une décision du syndic sauf que lors d'un vote les abstentionnistes sont considérés comme ayant voté pour...

Sur le fond n'en demeure pas moins que restent posées deux réalités incontournables

- le faible taux de syndicalisation (6/7% au niveau national pour les salariés actifs

- la division syndicale tant au niveau national qu'au niveau des branches ou des entreprises)

Ceci étant le tract de la CFTC ci-dessus prouve que l'intox et la propagande n'ont pas disparu : chacun retient que ce qu'il veut bien retenir.

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La décision du tribunal arbitral favorable à Bernard Tapie

est une "opération d'intoxication", selon François Bayrou

AP -PARIS -

François Bayrou s'en est à nouveau pris violemment jeudi à la décision du tribunal arbitral qui a condamné le Consortium de réalisation (CDR) gérant le passif du Crédit Lyonnais, à verser 285 millions d'euros à Bernard Tapie.

Le président du Mouvement Démocrate a évoqué sur RTL "une opération d'intoxication", prise "sans décision de justice", ajoutant que "cette somme ce n'est pas le Crédit Lyonnais qui va la payer, (...) c'est le contribuable".

Pour François Bayrou cette décision est scandaleuse car la somme allouée à l'ancien homme d'affaires "représente la totalité de tous les salaires annuels des 15.000 postes d'enseignants français qui vont être supprimés l'année prochaine" ou "l'effacement de déficit de l'hôpital public en France".

"On a voulu mettre en place des arbitres qui sont des personnes privées, d'ailleurs lourdement dédommagées, (...) pour éviter la décision de justice dont on savait qu'elle serait défavorable à Bernard Tapie", a-t-il assuré.

"Il y a toujours eu des aventuriers qui jouent avec les banques et avec le fisc pour essayer de faire fortune, c'est la responsabilité de l'Etat de l'empêcher" a expliqué M. Bayrou, qui "n'en veut pas personnellement" à l'ancien président de l'OM.

"On donne 45 millions d'euros à Tapie pour préjudice moral, et il suffit de regarder le pedigree de Tapie, comme on dit pour les chevaux, pour avoir une idée de ce que moral en l'occurrence signifie" alors qu'en comparaison pour "une personne victime du cancer de l'amiante on donne 45.000 euros", s'est-il insurgé.

"Il y a eu des protections au plus haut niveau", a indiqué le député des Pyrénées-Atlantiques, soulignant que Bernard Tapie avait soutenu Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle.

M. Bayrou a rappelé que Bernard Tapie "n'a pas des dettes à cause de cette affaire Adidas", mais "en raison d'affaires multiples et antérieures : l'affaire du Phocéa, l'affaire Testud, des fraudes fiscales pour lesquelles il a été condamné par millions et millions d'euros".

Le fondateur du MoDem a déclaré que Bernard Tapie "va avec cette somme être parmi les grandes fortunes françaises et pendant ce temps les pauvres gens on les conduit au désespoir et on les pressure".

M. Bayrou a réclamé enfin "une commission d'enquête parlementaire (...) qui accepte d'aller regarder quel est l'enchaînement de décisions qui a conduit à écarte la justice et à la remplacer dans des conditions aussi controversées par des arbitres entre guillemets". AP

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Le modèle américain si cher à notre très cher Président de la République...

Etats-Unis : l'inefficacité du système de santé entraîne 101.000 morts prématurées par an

WASHINGTON (AFP) -

L'inefficacité du système de santé américain, pourtant plus coûteux que celui d'autres grands pays industrialisés, fait que les Etats-Unis enregistrent jusqu'à 101.000 décès prématurés annuels de plus qu'ils ne le devraient, selon une étude publiée jeudi.

"Les Etats-Unis dépensent pour la santé deux fois plus par tête d'habitant que les autres grands pays industrialisés, et les coûts continuent à augmenter plus vite que les revenus", souligne l'organisation privée Commonwealth Fund foundation.

Utilisant un système de notation sur 100 points, avec pour critères 37 catégories telles que l'accès au soins et la qualité des soins, les Etats-Unis arrivent à une note de 65 points, deux de moins qu'en 2006, ce qui les place à la 19e place parmi les pays industrialisés quand il s'agit de prévenir des décès prématurés dus à des crises cardiaques.

Jusqu'à 101.000 personnes de moins mourraient de façon prématurée aux Etats-Unis si le pays avait un taux de mortalité équivalent à celui de la France ou du Japon, selon le rapport.

En 2007, 75 millions d'Américains appartenant à la population active étaient soit non assurés ou insuffisamment assurés, alors qu'ils n'étaient que 61 millions en 2003, selon le rapport.

En outre les délais pour obtenir un rendez-vous ont augmenté: "en 2007, comme en 2005, moins de la moitié des adultes souffrant d'un problème de santé ont pu obtenir un rendez-vous rapidement".

Enfin les procédures administratives ne sont guère meilleures: seulement 28% des médecins américains utilisent des archives électroniques, contre près de 100% dans d'autres pays industrialisés.

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La décision du tribunal arbitral favorable à Bernard Tapie

est une "opération d'intoxication", selon François Bayrou

AP -PARIS -

François Bayrou s'en est à nouveau pris violemment jeudi à la décision du tribunal arbitral qui a condamné le Consortium de réalisation (CDR) gérant le passif du Crédit Lyonnais, à verser 285 millions d'euros à Bernard Tapie.

Le président du Mouvement Démocrate a évoqué sur RTL "une opération d'intoxication", prise "sans décision de justice", ajoutant que "cette somme ce n'est pas le Crédit Lyonnais qui va la payer, (...) c'est le contribuable".

Pour François Bayrou cette décision est scandaleuse car la somme allouée à l'ancien homme d'affaires "représente la totalité de tous les salaires annuels des 15.000 postes d'enseignants français qui vont être supprimés l'année prochaine" ou "l'effacement de déficit de l'hôpital public en France".

"On a voulu mettre en place des arbitres qui sont des personnes privées, d'ailleurs lourdement dédommagées, (...) pour éviter la décision de justice dont on savait qu'elle serait défavorable à Bernard Tapie", a-t-il assuré.

"Il y a toujours eu des aventuriers qui jouent avec les banques et avec le fisc pour essayer de faire fortune, c'est la responsabilité de l'Etat de l'empêcher" a expliqué M. Bayrou, qui "n'en veut pas personnellement" à l'ancien président de l'OM.

"On donne 45 millions d'euros à Tapie pour préjudice moral, et il suffit de regarder le pedigree de Tapie, comme on dit pour les chevaux, pour avoir une idée de ce que moral en l'occurrence signifie" alors qu'en comparaison pour "une personne victime du cancer de l'amiante on donne 45.000 euros", s'est-il insurgé.

"Il y a eu des protections au plus haut niveau", a indiqué le député des Pyrénées-Atlantiques, soulignant que Bernard Tapie avait soutenu Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle.

M. Bayrou a rappelé que Bernard Tapie "n'a pas des dettes à cause de cette affaire Adidas", mais "en raison d'affaires multiples et antérieures : l'affaire du Phocéa, l'affaire Testud, des fraudes fiscales pour lesquelles il a été condamné par millions et millions d'euros".

Le fondateur du MoDem a déclaré que Bernard Tapie "va avec cette somme être parmi les grandes fortunes françaises et pendant ce temps les pauvres gens on les conduit au désespoir et on les pressure".

M. Bayrou a réclamé enfin "une commission d'enquête parlementaire (...) qui accepte d'aller regarder quel est l'enchaînement de décisions qui a conduit à écarte la justice et à la remplacer dans des conditions aussi controversées par des arbitres entre guillemets". AP

Tapie est membre du PRG, le parti que sarko viens d'acheter pour avoir les quelques voix qui lui manquaient pour faire passer sa "réforme" des institutions.

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Des précisions intéressantes ...

Remous autour de l'indemnisation record accordée à Bernard Tapie

PARIS (Reuters) -

L'indemnisation record de 285 millions d'euros accordée à Bernard Tapie par un tribunal arbitral, qui pourrait atteindre après une autre audience 400 millions, suscite l'indignation et les interrogations de François Bayrou et du Parti communiste.

L'ancien candidat centriste à la présidentielle a demandé la constitution d'une commission d'enquête parlementaire. Il estime que Bernard Tapie a bénéficié de l'appui de Nicolas Sarkozy.

"Chaque fois que Nicolas Sarkozy a été, soit au ministère des Finances, soit à la présidence de la République, comme par hasard des protections se sont déclenchées au profit de Bernard Tapie, lequel lui-même s'est enrôlé toujours sous ses bannières", a dit François Bayrou sur RTL.

Le groupe communiste du Sénat estime que l'opération "concernant un ancien ministre, homme médiatique et politique, soutien affiché de l'ancien président de la République, est révélatrice des pratiques politiques actuelles".

La décision définitive rendue par le tribunal arbitral de trois personnalités, dont l'ex-président du Conseil constitutionnel Pierre Mazeaud, visait un litige sur la vente du groupe Adidas par une filiale du Crédit lyonnais en 1993.

Bernard Tapie avait pris le contrôle majoritaire d'Adidas en 1990, mais son entrée au gouvernement l'avait amené à céder ses parts en 1993 pour l'équivalent de 318 millions d'euros, grâce à un mandat de vente confié à la Société de banque occidentale (SBDO), filiale du Crédit lyonnais.

On sait aujourd'hui que l'acheteur d'Adidas, un groupe d'entrepreneurs, était contrôlé en sous-main par la SDBO, grâce à un montage financier clandestin "offshore".

Les parts d'Adidas ont été revendues en décembre 1994 à l'homme d'affaires Robert-Louis Dreyfus pour l'équivalent de 708 millions d'euros. Ce dernier les a ensuite valorisées en bourse en novembre 1995 pour 1,067 milliard d'euros.

NOUVELLE AUDIENCE LE 24 JUILLET

Ce montage est sanctionné par le tribunal arbitral qui estime que la banque a manqué à ses obligations de "loyauté", ce qui explique à ses yeux l'indemnisation de 240 millions d'euros.

Le reste, 45 millions d'euros, indemnise le "préjudice moral" de Bernard Tapie, caractérisé, dit la décision publiée dans Le Monde, par "la violente campagne conduite par la banque, nourrie d'agissements graves".

Cette décision est intervenue après l'abandon par le Consortium de réalisation (CDR), structure d'Etat chargée de gérer le passif du Crédit lyonnais, d'une voie judiciaire qui avait abouti pour elle à un succès en octobre 2006.

A cette date, la Cour de cassation, plus haute instance judiciaire française, avait annulé un arrêt de la cour d'appel de Paris accordant 135 millions d'euros à Bernard Tapie. L'affaire aurait dû être rejugée par une autre cour d'appel, avec un sort incertain pour l'homme d'affaires.

Le CDR pouvait se prévaloir de la décision de la Cour de cassation estimant que le Crédit lyonnais ne pouvait être "obligé par un contrat auquel il n'était pas partie", car il concernait sa filiale SDBO, "personne morale distincte".

"On a voulu mettre en place des arbitres pour éviter la décision de justice dont on savait qu'elle serait défavorable à Bernard Tapie", a estimé François Bayrou.

Le 24 juillet, jeudi prochain, le même tribunal arbitral devra dire jusqu'à quel niveau la somme de 240 millions d'euros sera augmentée des intérêts courant depuis 1994, ce qui pourrait faire monter l'indemnisation à 400 millions d'euros.

Bernard Tapie a parallèlement une lourde ardoise fiscale depuis les années 90, qui s'augmente aussi d'intérêts. Il estime le solde en sa faveur à une vingtaine de millions d'euros. D'autres évaluations vont jusqu'à 80 millions.

Emprisonné en 1997 pour un match de football truqué entre Valenciennes et l'Olympique de Marseille, qu'il présidait, condamné dans d'autres affaires, Bernard Tapie, ancien ministre de la Ville de François Mitterrand devenu comédien et animateur de radio, a soutenu Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle.

Thierry Lévêque, édité par Gilles Trequesser

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