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Actualités Politiques


katamiaw

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sans vouloir entrer dans une polemique sterile à deux balles,je pense qu'on peut ne pas respecter SARKO en tant qu'homme,mais que cela n'empeche pas d'avoir un certain respect pour la fonction de president;de fait "bonjour" est une marque de politesse et pas de defference ou de quelconque soumission;qu'apres la personne n'ait pas envie de lui parler c'est autre chose et c'est surement justifiable...

Je rapprocherais ça pour ceux qui s'en souviennent de la personne de l'atelier du LANDY je crois qui a refusé de lui serrer la main...Je trouve que c'est de la symbolique à deux balles....

apres le ton cassant qui découle de "l'impolitesse" de la personne qui ne repond pas au bonsoir chacun jugera...

Quoi qu'il en soit est ce que quelqu'un d'entre nous qui entre dans un endroit et dit bonjour n'a jamais eu les glandes que certains le regardent sans meme lui repondre (et ils sont pas tous presidents ceux qui ne repondent pas....)

Nan mais sérieux la, ce type et sa majorité ont tellement chié sur les catégories de personnes qu'ils visent qu'ils n'ont que ce qu'ils méritent quand on ne les salut pas. Quelque soit leur fonctions.

Faut arreter les conneries, les uns et les autres sont jetés en pature à la vindicte populaire (ils en ont même fait une méthode de campagne électorale bordel!!!!!) et il faudrait faire des courbettes? et puis quoi encore?

Ce type et ses sbires ont pratiqué le "diviser pour régner" à outrance, en ce qui me concerne ils n'ont que ce qu'ils méritent quand on leur serre pas la main (et c'est bien peu)

j'èspère bien que ne pas serrer la main du chef de l'état ou ne pas le saluer deviendra un sport national.

J'était pas d'accord avec Chirac non plus (et c'était pas notre pote) mais il ne jamais donné envie de gerber comme celui la.

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Un peu de retenue dans les propos ne ferait pas de mal. Je trouve que certains ici sont plutot rapides a insulter les gens avec lesquels ils sont en désaccord, Il est evident que même dans une democracie, ces conditions ne sont pas propices au dialogue.

magnifique je remarque surtout que tu ne répond pas sur le fond.

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Salut, moi je trouve cela cool, ça prouve son état de petit dicta, après l'armée et le livre blanc de la défence, les médiats télévisuels publics et, qui va t'il se mettre à dos maintenant? Même dans son propre camps ils ne sont pas tous en accord avec les méthodes de l'eur président.

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Vidéo pirate :

la censure à France-Télévisions officiellement reconnue

par le président Sarkozy

Par Paul Villach Agoravox - Mercredi 2 juillet,

Cet article a été rédigé par un reporter d'AgoraVox, le journal média citoyen qui vous donne la parole.

La vidéo pirate, publiée par Rue 89, qui a enregistré les préparatifs de l’intervention du président Sarkozy sur France 3, lundi soir 30 juin 2008, offre l’occasion d’une utile leçon sur la relation d’information.

Les apparences d’une information extorquée

Selon toute vraisemblance, ces images relèvent de l’information extorquée puisqu’elles paraissent avoir été saisies à l’insu et contre le gré de leur émetteur, le président. Elles gagnent donc en fiabilité. On le voit, en effet, tancer un technicien incorrect qui n’a pas répondu à son salut, en promettant que « ça va changer » ; puis il se répand en informations indifférentes pour tuer le temps et surtout tenter de briser la glace entre lui et les journalistes qui doivent l’interviewer : il s’extasie sur la beauté du studio, se fait rappeler l’heure de l’émission comme s’il pouvait l’avoir oubliée, s’inquiète de l’écart d’heure entre la pendule du studio et sa montre qu’il détache de son poignet pour la régler, se félicite de la présence de Gérard Leclerc qu’on ne voyait plus à l’antenne, et s’inquiète de la durée qu’il a passée « au placard ». Enfin, il demande si les journalistes ont l’intention de l’interroger sur l’accident de Carcassonne, feignant de leur laisser la liberté de le faire quand ils comprennent que c’est un ordre auquel ils doivent déférer.

On perçoit tout l’écart qu’il y a entre l’information donnée tissée d’amènes civilités convenues que les uns et les autres se prodiguent dès que commence l’émission, et l’information extorquée sur le conseil de rédaction brutal qui vient de se tenir sous la direction du président.

À l’évidence, l’attitude incorrecte du technicien a donné au président l’occasion de s’affirmer d’entrée en patron de la rédaction face aux journalistes assis sagement à leur pupitre comme des élèves. Le directeur Paul Nahon, destinataire d’une œillade, s’est fait souffler la place faute d’avoir soufflé mot : « Ça va changer, » a grincé par deux fois le président. Le ton était donné. On connaît climat plus propice à la liberté d’expression quelques instants avant une interview présidentielle.

La censure officielle reconnue par le président de la République

Puis, entre deux banalités pour feindre de détendre l’atmosphère, est tombée cette révélation. Jamais, sauf erreur, on n’a entendu président de la République faire pareil aveu. C’étaient, disait-on jusqu’ici, des bruits, des ragots distillés par l’opposition, tout au plus des interprétations gratuites quand un journaliste disparaissait de l’antenne. On n’en avait pas de preuve formelle vraiment. Or, voici que, pour la première fois, un président de la République française fait état ouvertement de la censure officielle qui peut frapper un journaliste selon le bon plaisir du pouvoir dans la démocratie française. Se tournant vers Gérard Leclerc qu’il paraît assez connaître pour le tutoyer, le président s’est réjoui de le revoir à l’antenne et s’est enquis élégamment de savoir combien de temps il était « resté au placard ». Mieux, il a tenu à faire connaître qu’il avait protesté en son temps contre sa mise au placard.

Un changement dans la continuité

Pour qui doutait encore de la main de fer avec laquelle le pouvoir tenait l’information du service public, il ne peut être fait aveu plus clair de la part de la plus haute autorité de l’État. Or, le comportement du président est-il promesse d’un changement quand il répète « Ça va changer ! » ? La protestation qu’il dit avoir émise à la placardisation de Gérard Leclerc, est-elle l’indice d’un refus de ces méthodes de censure et d’autocensure, contraires aux règles d'une démocratie ?

On songe plutôt à Henri, le cafetier du « Père tranquille », dans le film d’Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri, Un air de famille : il reçoit à la fin un coup de téléphone de sa femme qui a souhaité prendre un peu le large pour respirer et échapper à son sexisme insupportable. Or, pour la convaincre de revenir tout de suite, il se dit prêt à des concessions. On croit deviner que son épouse en doute : c’est alors qu’il explose : « Mais puisque je te dis que je vais changer ! », hurle-t-il au téléphone.

Le président Sarkozy a montré, lui aussi, par son seul comportement, le changement qu’il médite. L’évocation du placard d’un des journalistes avait-il d’autre but que de servir d’avertissement à ses collègues et de les déstabiliser avant l’interview pour dissuader toute tentation d’insolence ? Enfin, dans la pure tradition monarchique, la suggestion murmurée d’une question sur la faute des militaires de Carcassonne, laissée en apparence à la discrétion des journalistes, n’était-elle pas un ordre ? Ils l’ont compris aussitôt. Le président, qui revenait du chevet des blessés, entendait donner le plus large écho à sa compassion pour les victimes et à sa colère pour les « amateurs » inconscients de cette tragédie, selon son plan-média programmé.

Il reste maintenant un doute. Le président Sarkozy est trop familier des préparatifs d’une interview pour ignorer que les caméras tournent souvent et que les micros sont branchés avant le commencement d'une émission. N’aurait-il donc pas choisi, selon le mode de la « fuite organisée », de faire connaître ces informations apparemment extorquées à son insu et contre son gré, puisque le canal officiel de l’information donnée ne le permettait pas décemment ? Pour qu’il n’y ait pas de malentendu sur la réforme de France-Télévisions, dont on sait déjà qu’il entend attribuer à l’exécutif la nomination du président, il aurait tenu à avertir les personnels de ses intentions en prenant les téléspectateurs à témoin. Il avait déjà ainsi joué cartes sur tables au sujet de sa relation avec Mme Bruni qui « (était) du sérieux », lors de sa conférence de presse du 8 janvier. À bon entendeur salut !

Paul Villach

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Vidéo pirate :

la censure à France-Télévisions officiellement reconnue

par le président Sarkozy

Par Paul Villach Agoravox - Mercredi 2 juillet,

Cet article a été rédigé par un reporter d'AgoraVox, le journal média citoyen qui vous donne la parole.

La vidéo pirate, publiée par Rue 89, qui a enregistré les préparatifs de l'intervention du président Sarkozy sur France 3, lundi soir 30 juin 2008, offre l'occasion d'une utile leçon sur la relation d'information.

Les apparences d'une information extorquée

Selon toute vraisemblance, ces images relèvent de l'information extorquée puisqu'elles paraissent avoir été saisies à l'insu et contre le gré de leur émetteur, le président. Elles gagnent donc en fiabilité. On le voit, en effet, tancer un technicien incorrect qui n'a pas répondu à son salut, en promettant que « ça va changer » ; puis il se répand en informations indifférentes pour tuer le temps et surtout tenter de briser la glace entre lui et les journalistes qui doivent l'interviewer : il s'extasie sur la beauté du studio, se fait rappeler l'heure de l'émission comme s'il pouvait l'avoir oubliée, s'inquiète de l'écart d'heure entre la pendule du studio et sa montre qu'il détache de son poignet pour la régler, se félicite de la présence de Gérard Leclerc qu'on ne voyait plus à l'antenne, et s'inquiète de la durée qu'il a passée « au placard ». Enfin, il demande si les journalistes ont l'intention de l'interroger sur l'accident de Carcassonne, feignant de leur laisser la liberté de le faire quand ils comprennent que c'est un ordre auquel ils doivent déférer.

On perçoit tout l'écart qu'il y a entre l'information donnée tissée d'amènes civilités convenues que les uns et les autres se prodiguent dès que commence l'émission, et l'information extorquée sur le conseil de rédaction brutal qui vient de se tenir sous la direction du président.

À l'évidence, l'attitude incorrecte du technicien a donné au président l'occasion de s'affirmer d'entrée en patron de la rédaction face aux journalistes assis sagement à leur pupitre comme des élèves. Le directeur Paul Nahon, destinataire d'une œillade, s'est fait souffler la place faute d'avoir soufflé mot : « Ça va changer, » a grincé par deux fois le président. Le ton était donné. On connaît climat plus propice à la liberté d'expression quelques instants avant une interview présidentielle.

La censure officielle reconnue par le président de la République

Puis, entre deux banalités pour feindre de détendre l'atmosphère, est tombée cette révélation. Jamais, sauf erreur, on n'a entendu président de la République faire pareil aveu. C'étaient, disait-on jusqu'ici, des bruits, des ragots distillés par l'opposition, tout au plus des interprétations gratuites quand un journaliste disparaissait de l'antenne. On n'en avait pas de preuve formelle vraiment. Or, voici que, pour la première fois, un président de la République française fait état ouvertement de la censure officielle qui peut frapper un journaliste selon le bon plaisir du pouvoir dans la démocratie française. Se tournant vers Gérard Leclerc qu'il paraît assez connaître pour le tutoyer, le président s'est réjoui de le revoir à l'antenne et s'est enquis élégamment de savoir combien de temps il était « resté au placard ». Mieux, il a tenu à faire connaître qu'il avait protesté en son temps contre sa mise au placard.

Un changement dans la continuité

Pour qui doutait encore de la main de fer avec laquelle le pouvoir tenait l'information du service public, il ne peut être fait aveu plus clair de la part de la plus haute autorité de l'État. Or, le comportement du président est-il promesse d'un changement quand il répète « Ça va changer ! » ? La protestation qu'il dit avoir émise à la placardisation de Gérard Leclerc, est-elle l'indice d'un refus de ces méthodes de censure et d'autocensure, contraires aux règles d'une démocratie ?

On songe plutôt à Henri, le cafetier du « Père tranquille », dans le film d'Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri, Un air de famille : il reçoit à la fin un coup de téléphone de sa femme qui a souhaité prendre un peu le large pour respirer et échapper à son sexisme insupportable. Or, pour la convaincre de revenir tout de suite, il se dit prêt à des concessions. On croit deviner que son épouse en doute : c'est alors qu'il explose : « Mais puisque je te dis que je vais changer ! », hurle-t-il au téléphone.

Le président Sarkozy a montré, lui aussi, par son seul comportement, le changement qu'il médite. L'évocation du placard d'un des journalistes avait-il d'autre but que de servir d'avertissement à ses collègues et de les déstabiliser avant l'interview pour dissuader toute tentation d'insolence ? Enfin, dans la pure tradition monarchique, la suggestion murmurée d'une question sur la faute des militaires de Carcassonne, laissée en apparence à la discrétion des journalistes, n'était-elle pas un ordre ? Ils l'ont compris aussitôt. Le président, qui revenait du chevet des blessés, entendait donner le plus large écho à sa compassion pour les victimes et à sa colère pour les « amateurs » inconscients de cette tragédie, selon son plan-média programmé.

Il reste maintenant un doute. Le président Sarkozy est trop familier des préparatifs d'une interview pour ignorer que les caméras tournent souvent et que les micros sont branchés avant le commencement d'une émission. N'aurait-il donc pas choisi, selon le mode de la « fuite organisée », de faire connaître ces informations apparemment extorquées à son insu et contre son gré, puisque le canal officiel de l'information donnée ne le permettait pas décemment ? Pour qu'il n'y ait pas de malentendu sur la réforme de France-Télévisions, dont on sait déjà qu'il entend attribuer à l'exécutif la nomination du président, il aurait tenu à avertir les personnels de ses intentions en prenant les téléspectateurs à témoin. Il avait déjà ainsi joué cartes sur tables au sujet de sa relation avec Mme Bruni qui « (était) du sérieux », lors de sa conférence de presse du 8 janvier. À bon entendeur salut !

Paul Villach

audiard avait raison

on en a la preuve au plus haut sommet de l'état.

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Il y a une grosse difference entre haïr quelqu'un et l'insulter, il y a beaucoup de gens que je n'aime pas soit pour leurs idées soit pour leur maniere de faire de la politique; S. Royale, Buffet, J, Lang, il y en a d'autre que je hais comme par exemple Besencenot qui n'a comme seul but de s'aproprier ce que les autres possedent, mais a aucun moment il me viendrait a l'esprit de les insulter... C'est l'idée que je me fait de la démocratie.

Mais ici beaucoup se lâchent sans retenue et sans aucune correction et ces mêmes personnent demanderont ensuite qu'on les respecte; a mes yeux, ils n'ont droit a aucun respect si eux-même ne sont pas capable d'en avoir un minimum vis a vis des autres et surtout que l'on ne me dise pas que c'est celui d'en face qui a commencer c'est peut-tre une explication mais nullement une excuse a de tels comportement

exact, mais c'est exactement de cette manière que pratiquent Sarko et ses sbires de l'ump, ils n'ont aucun respect pour les gens qui ne pensent pas comme eux. Et comme le disait mon vieux père si tu veux du respect commence par le mériter en respectant les autres.

Il ne me viendrait pas à l'idée de serrer la main ou de saluer de quelques manière que ce soit quelqu'un qui m'a insulté ou qui m'a manqué de respect fusse t'il le président. Ne compte pas sur moi pour tendre l'autre joue.

Si sa fonction est tout a fait respectable encore faudrait-il qu'il en soit à la hauteur, il est venu sur France 3 pour dénigrer leur boulot, pour leur annoncer qu'il allait les mettre au pas (le fameux "il va y avoir du changement").

De plus notre cher président a me semble t'il des casseroles à ce sujet. Au cours de la campagne présidentielle il avait déjà annoncé la couleur lors d'une séance de maquillage avant de passer à l'antenne. Monsieur qui se voyait déjà président n'étant pas satisfait des conditions dans lesquelles il avait été maquillé avait annoncé à l'époque qu'il y aurait du changement lorsqu'il serait élu.

De la parole aux actes il n'y a qu'un pas.

Alors quoi de plus normal que des personnes insultées, dénigrées et provoquées refusent de le saluer.

Si encore cela avait été un acte isolé, cela aurait peut etre pu porter à caution.

Mais il doit tout de meme y avoir un très gros problème de comportement de sa part car cela devient récurrent.

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Allez on ne se lasse pas...

"Désormais quand il y a une grève, personne ne s'en aperçoit"

http://www.liberation.fr/actualite/politiq...mp;xtor=RSS-450

euh ça va lui faire bizarre un de ces jours... revoltages

oh que oui (et c'est malheureux à dire, mais j'attend ce jour avec impatience :blink: )

surtout qu'il devrait demander leur avis aux usager de la B récemment :blush:

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oh que oui (et c'est malheureux à dire, mais j'attend ce jour avec impatience :blush: )

surtout qu'il devrait demander leur avis aux usager de la B récemment revoltages

Récemment c'était surtout la A arrêtée suite à l'agression d'un agent, puis la E le soir en panne...

Dejà Xavier Bertrand avait fait sa pub sur le service minimum qui n'existe que dans le titre de la Loi, mais là c'est le summum...

C'est vraiment de la perversité politique.

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Récemment c'était surtout la A arrêtée suite à l'agression d'un agent, puis la E le soir en panne...

Dejà Xavier Bertrand avait fait sa pub sur le service minimum qui n'existe que dans le titre de la Loi, mais là c'est le summum...

C'est vraiment de la perversité politique.

ah oui effectivement je me suis trompé (honte à moi) c'était effectivement la A

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Aujourd'hui sur BFM TV :

Sarko aux autres pays Européens : La france va mieux, désormais quand il y a une grève, personne ne s'en aperçoit okok

A bon entendeurs......

comme il le dit si bien....pauv'con

Modifié par aydeg
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Aujourd'hui sur BFM TV :

Sarko aux autres pays Européens : La france va mieux, désormais quand il y a une grève, personne ne s'en aperçoit lotrela

A bon entendeurs......

comme il le dit si bien....pauv'con

Une preuve de plus de son manque total de respect des salariés.

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Invité ___Compte_Supp___01

Aujourd'hui sur BFM TV :

Sarko aux autres pays Européens : La france va mieux, désormais quand il y a une grève, personne ne s'en aperçoit mdrmdr

A bon entendeurs......

comme il le dit si bien....pauv'con

Quel mépris pour la France qui se lève tôt!

Eclaté de rire qu'il était en plus ... le gnôme!

Quelle tache! lotrela

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Nous voyons bien qu'il dirige un pays comme un chef d'entreprise.

En tout cas, c'est vraiment sympa pour les routiers qui ont manifesté sans gêner les trajets pour le bac ni les premiers départ en vacances!

Et notre cher président, lui ne voit même plus la France...parce que s'il n'est pas gêner c'est parce qu'il est dans un cocon que le commun des mortels ne peut s'offrir, ce commun qu'il doit pourtant défendre! (Pour faire Lesquin lille aéroport -> Lille, il ferme l'autoroute aux heures où des milliers de personnes vont travailler pour enrichir ses copains! mdrmdr

Il est temps de réagir, sortons la guillotine, le réglage doit être encore à la bonne hauteur mdrmdr

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JO de Pékin:

Sarkozy confirme sa présence contestée à la cérémonie d'ouverture

Par Philippe ALFROY AFP - TOYAKO

Le président français Nicolas Sarkozy a confirmé mercredi sa participation attendue et déjà critiquée à la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Pékin le 8 août, alors que le dialogue ouvert entre la Chine et le dalaï lama semble au point mort.

Le secrétaire général de Reporters sans Frontières (RSF), Robert Ménard, a immédiatement qualifié cette annonce de "capitulation en rase campagne".

Comme il l'avait annoncé, M. Sarkozy a livré la primeur de sa décision à son homologue chinois Hu Jintao, qu'il a rencontré au matin de la journée de clôture du sommet du G8 à Toyako (Japon). Avant d'en informer la presse par un simple communiqué, distribué avant la fin de leur entretien.

"Le président de la République a confirmé au président chinois son intention de se rendre à Pékin le 8 août pour prendre part à la cérémonie d'ouverture des 29èmes olympiades", indique ce texte.

"Le chef de l'Etat a consulté à ce sujet l'ensemble de ses homologues européens. En accord avec eux, c'est donc en sa double qualité de président de la République française et de président en exercice du Conseil européen que le président Sarkozy assistera à la cérémonie", ajoute le communiqué.

L'Elysée a ainsi fait savoir que la chancelière allemande Angela Merkel, qui a pourtant annoncé qu'elle n'irait pas à Pékin, s'était "réjouie" de la décision du président français.

Cet entretien, qui marquait les retrouvailles entre les deux dirigeants depuis la visite de Nicolas Sarkozy en novembre, s'est "extrêmement bien passé", a-t-on souligné dans l'entourage du président français, "la relation franco-chinoise est à nouveau sur les rails du partenariat stratégique".

Les liens entre les deux pays ont subi un coup de froid en avril à la suite du passage de la flamme olympique en avril à Paris, perturbé par des manifestants pro-tibétains dénonçant la répression par l'armée chinoise de troubles quelques semaines plus tôt au Tibet.

Nicolas Sarkozy s'était déclaré "choqué" par les événements tibétains et avait assuré qu'il n'assisterait à l'ouverture des JO qu'en cas de reprise du dialogue entre la Chine et les représentants du dalaï lama.

Avec la reprise de ces pourparlers la semaine dernière, la présence du président français le 8 août à Pékin ne semblait plus faire guère de doute, ses proches multipliant les confidences confirmant sa décision.

Ces "fuites" ont déclenché une violente polémique en France. Le patron des députés de l'opposition socialiste Jean-Marc Ayrault a appelé Nicolas Sarkozy au boycott des JO "au nom de tous ceux qui luttent pour la liberté et les droits de l'Homme", et le secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF) Robert Ménard lui a reproché d'"abandonner ses propres engagements".

Lors d'un entretien le 30 juin sur la chaîne de télévision France 3, il avait une nouvelle fois précisé les conditions de sa participation. "Si ça (les discussions sino-tibétaines) devait progresser encore et si le dalaï lama et le président chinois reconnaissaient les progrès, alors l'obstacle à ma participation serait levé", avait-il dit.

Malgré les déclarations d'un émissaire du dalaï lama, Lodi Gyari, se déclarant "déçu" par ses discussions avec la Chine, Nicolas Sarkozy a finalement confirmé mercredi à Hu Jintao sa venue à Pékin.

Aucune information sur l'état des pourparlers sino-tibétains n'a filtré de leur entretien. "Nous avons convenu d'un commun accord que rien ne serait dit à ce sujet d'ici la prochaine session de discussions prévue en octobre", a-t-on indiqué dans l'entourage de Nicolas Sarkozy.

L'Elysée a fait preuve de la même discrétion sur une éventuelle entrevue du président avec le dalaï lama lors de sa visite en France en août. Mardi, Pékin avait prévenu qu'une telle rencontre aurait des "conséquences graves" sur les relations franco-chinoises.

Mercredi, le président chinois Hu Jintao a remercié son homologue américain George W. Bush, qui a annoncé récemment sa participation à la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Pékin en août, pour ne pas avoir "politisé" les JO.

A l'issue de discussions avec le président américain en marge du sommet du G8 à Toyako, Hu Jintao a déclaré qu'il avait "hautement apprécié que le président Bush, en plusieurs occasions, exprime son opposition à toute politisation des jeux Olympiques".

La Maison Blanche avait annoncé jeudi dernier que George W. Bush assisterait à la cérémonie d'ouverture des jeux Olympiques de Pékin le 8 août.

Modifié par Dom-trappeur
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Ainsi va la France...

Royal: "un rapport" entre ses attaques anti-Sarkozy

et la fouille de son domicile

PARIS (AFP) -

La "drôle de coïncidence" dénoncée par Ségolène Royal après la "mise a sac" de son appartement au lendemain d'une attaque contre "le clan Sarkozy", a provoqué une riposte de la droite qui accuse l'ex-candidate socialiste à la présidentielle de "perdre le contrôle d'elle-même".

Mardi soir sur France 2, Mme Royal a établi "un rapport" entre la "mise à sac" de son appartement et son accusation de "mainmise du clan Sarkozy sur la France".

Le Premier ministre François Fillon a accusé mercredi sur RTL l'ex-candidate socialiste à la présidentielle de "perdre le contrôle d'elle-même".

Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino, a qualifié "d'absurde", mardi sur Direct 8, la déclaration de Mme Royal. "Il y a quelqu'un qui s'imagine vraiment que le président de la République ou l'Elysée (...) puisse aller cambrioler l'appartement de Madame Royal parce qu'elle a critiqué Sarkozy. Tout ça est tellement absurde", a déclaré M. Guaino.

L'UMP a dénoncé des "propos honteux".

"J'observe que la semaine dernière, le lendemain où j'ai dit qu'il fallait mettre fin à la mainmise du clan Sarkozy sur la France, mon domicile a été mis à sac (...) Je fais un rapport entre les deux. Je considère qu'aujourd'hui il y a une mainmise du pouvoir sur les médias (...)", a affirmé l'ex-candidate PS à l'élection présidentielle.

Comme on lui demandait s'il s'agissait d'"une forme d'accusation formulée contre le pouvoir en place", la présidente de la région Poitou-Charentes a répondu: "C'est une drôle de coïncidence. Et c'est la seconde fois (que cet appartement est fouillé, ndlr), la première a eu lieu pendant la campagne présidentielle (...)".

Mme Royal a contesté le terme de "cambriolage" de son appartement parisien le 27 juin, parlant à deux reprises de "mise à sac".

Elle s'est dite "la seule responsable politique à dénoncer très clairement ce qui se passe contre le service public de l'audiovisuel".

"Il y a un rapt, il y a un vol sur la publicité de France 2 et de France 3 pour enrichir les amis de M. Sarkozy, MM. Bouygues, Lagardère, Bolloré, qui s'apprêtent en plus à se positionner pour la privatisation d'EDF et d'Areva (...) à un moment où il y a une crise énergétique", a-t-elle accusé.

A la suite de ces déclarations, l'UMP s'est dit "révoltée".

"L'UMP se sent révoltée par les propos honteux de Mme Royal sur le président de la République", a déclaré dans un communiqué une porte-parole du parti majoritaire, Chantal Brunel. "Certaines limites, qui sont celles de la diffamation et de la calomnie, ne devraient être franchies par personne, encore moins par l'ex-candidate à la présidence de la République", a ajouté Mme Brunel.

"Que Mme Royal s'oppose pour s'opposer, elle est dans son rôle. Que Mme Royal se crée un personnage de martyr, poursuivie par une sorte de Cinquième colonne médiatico-politique, voilà qui dépasse les bornes", a-t-elle encore déclaré.

Frédéric Lefebvre, autre porte-parole de l'UMP, a estimé dans un communiqué distinct que Ségolène Royal avait "dépassé les bornes". "La gravité des accusations proférées par Mme Royal est le signe qu'elle perd ses nerfs", a-t-il affirmé.

Réagissant aux propos de M. Lefebvre, la porte-parole du groupe PS à l'Assemblée Aurélie Filippetti a déploré que "dans la France de Nicolas Sarkozy, on peut désormais mettre à sac le domicile de la principale opposante politique et cela ne déclenche que l'hilarité des porte-parole, ou plutôt des porte-flingues, du pouvoir en place".

"La France de Sarkozy c'est la télé de Berlusconi et les méthodes de Poutine", a-t-elle affirmé. "Ce qui dérange l'UMP, c'est que Ségolène Royal a une voix qui porte, et qu'elle incarne à elle seule l'opposition; tenter de la faire taire en la discréditant, c'est aussi reconnaître que ses idées et sa popularité dérangent le pouvoir".

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