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le p'tit sondage du jour

mais faut-il y croire ?

mercredi 14 février 2007, 0h01

Une majorité de Français trouve Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal trop médiatisés,

selon un sondage

PARIS (AP) - Une majorité de Français trouve que les médias accordent une place trop importante aux candidats Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, selon le baromètre TNS-Sofres de la confiance des Français dans les médias que publie mercredi le quotidien "La Croix".

En cette période de campagne électorale, 63% des sondés (contre 30%) pensent par ailleurs que les journalistes ne sont pas indépendants face aux pressions des partis politiques et du pouvoir et 60% (contre 29%) qu'ils ne résistent pas aux pressions de l'argent.

Parmi les candidats à la présidentielle, c'est Nicolas Sarkozy qui est jugé le plus surmédiatisé aux yeux des sondés: 58% jugent que les médias lui accordent une place trop importante, contre 35% qui la trouvent conforme à ce qu'il représente dans la société française, et seulement 5% qui la considèrent pas assez importante. La marge d'erreur est de plus ou moins trois points de pourcentage.

Le candidat UMP est suivi par la candidate PS Ségolène Royal (50% trop importante, 40% conforme et 8% pas assez importante), José Bové (30% trop importante, 43% conforme, 21% pas assez importante) et Jean-Marie Le Pen (28% trop importante, 49% conforme, 20% pas assez importante).

A l'inverse, c'est le candidat de l'UDF François Bayrou qui est perçu comme le plus sous-médiatisé: 35% des sondés trouvent insuffisante la place qui lui est accordée (51% conforme, 8% trop importante).

Si tous les médias voient leur cote de confiance augmenter en 2007 par rapport à 2006, c'est toujours à la radio que les Français se fient le plus pour restituer fidèlement l'information: 57% (+3 points par rapport à janvier 2006) pensent qu'elle rapporte les choses comme elles se sont passées ou à peu près. La radio devance ainsi la presse écrite (51%, +3 points).

Ils sont moins nombreux 48% (+4) à penser que la télévision rapporte les choses comme elles se sont passées, la majorité (51%, -4) pensant le contraire. Internet obtient le plus faible niveau de confiance 30% (+6) contre 20% mais 50% ne se prononcent pas.

- sondage réalisé en face à face au domicile les 7 et 8 février auprès d'un échantillon national de 1.000 personnes représentatif de la population âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas. AP

Modifié par Dom-trappeur
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Faites votre choix.... revoltages

Dernière enquête d'opinion : 79 % des sondés pensent que le 1er tour de la présidentielle n'est pas jouée... Il peut se produire plein de choses d'ici le 22 avril 2007

Autre enquête d'opinion : 27% de ceux qui ont acceptés de répondre au sondage déclarent qu'ils s'abstiendront, voteront blanc ou nul...

Marge d'erreur : ENORME !

nonmais

En attendant faites votre choix :

Présidentielle: 44 candidats déclarés

et un 45ème possible ....

PARIS (AFP) - Après le retrait samedi de Jean-Michel Jardry, du Centre national des indépendants et paysans (CNI), 44 candidats sont officiellement déclarés pour le scrutin présidentiel du 22 avril.

Les prétendants doivent toutefois franchir l'écueil des 500 parrainages d'élus. Ils pourraient être moins nombreux au premier tour qu'en 2002, où on avait atteint le chiffre record de 16 candidats.

CANDIDATS DECLARES :

- François Bayrou, 55 ans, président de l'UDF. Candidat en 2002 (6,84%).

- Olivier Besancenot, 32 ans, porte-parole de la LCR. Candidat en 2002 (4,25%).

- Marie-George Buffet, 56 ans, secrétaire nationale du PCF, candidate pour "porter le rassemblement antilibéral".

- Arlette Laguiller, 65 ans (5,72% en 2002), porte pour la sixième fois les couleurs de LO.

- Jean-Marie Le Pen, 78 ans, président du Front national.

- Ségolène Royal, 53 ans, présidente de Poitou-Charentes, investie par le PS et soutenue par les radicaux de gauche et le Mouvement républicain et citoyen.

- Nicolas Sarkozy, 52 ans, président de l'UMP, ministre de l'Intérieur.

- Philippe de Villiers, 57 ans, président du Mouvement pour la France. Candidat en 1995 (4,74%).

- Dominique Voynet, 47 ans, investie par les Verts, sénatrice de Seine-Saint-Denis. Candidate en 1995 (3,32%).

- José Bové, 53 ans, altermondialiste, ancien leader paysan.

- Nicolas Dupont-Aignan, 44 ans, député de l'Essonne ex-UMP (souverainiste)

- Corinne Lepage, 55 ans, présidente de Cap 21, ancienne ministre de l'Environnement de 1995 à 1997. Candidate en 2002 (1,88%).

- Frédéric Nihous, 39 ans, candidat de Chasse Pêche Nature Traditions (CPNT).

- Gérard Schivardi, 56 ans, maire de Mailhac (Aude) et conseiller général, soutenu par le Parti des travailleurs

- Antoine Waechter, 57 ans, président du Mouvement écologique indépendant (MEI), candidat en 1988 (3,78%).

- Jacques Cheminade, 64 ans, président de "Solidarité et progrès". Candidat en 1995 (0,28%).

- Jean-Philippe Allenbach, 58 ans, ancien dirigeant du Parti fédéraliste.

- Rachid Nekkaz, 34 ans, président du "Club des élus Allez France".

- France Gamerre, 64 ans, présidente de Génération Ecologie.

- Eric Taffoureau-Millet, 43 ans, président de "Attention! Handicap".

- Yves-Marie Adeline, 46 ans, président de l'Alliance Royale.

- Roland Castro, 64 ans, architecte-urbaniste, fondateur du "Mouvement de l'utopie concrète".

- Christian Chavrier, 40 ans, président du Parti fédéraliste.

- Leila Bouachera, 45 ans, chargée de mission au CSA.

- Jean-Marc Governatori, 47 ans, président du mouvement "La France en action".

- Soheib Bencheikh, 45 ans, ancien grand mufti de Marseille.

- Yvan Bachaud, 67 ans, retraité, défenseur du référendum d'initiative citoyenne.

- Nicolas Miguet, 45 ans, président du Rassemblement des contribuables français.

- Michel Martucci, 75 ans, président de la Confédération nationale des syndicats CID (artisans, commerçants).

- Romdane Ferdjani, 59 ans, adjudant-chef à la retraite.

- Robert Baud, 57 ans, pour une "majorité des minorités en souffrance morale et sociale"

- Alain Mourguy, 58 ans, président de l'union droite-gauche

- Jean-Christophe Parisot, 39 ans, président du Collectif des démocrates handicapés

- Michel Baillif, 62 ans, président de la Fédération nationale de l'invalidité

- Lucien Sorreda, 64 ans, candidat pour que "les revenus du bas tirent vers le haut"

- Yves Aubry, 38 ans, permettre aux Rmistes, aux pauvres de vivre décemment

- Edouard Fillias, 27 ans, président d'Alternative libérale

- Jean-Paul Le Guen, 63 ans, "apolitique"

- Pierre Larrouturou, 41 ans, délégué national du PS, candidat "pour pousser la gauche à plus d'audace".

- Jacques Borie, 41 ans, candidat de France Equité

- Franck Abed, 25 ans, candidat de "Réconciliation nationale"

- Gabriel Enkiri, 74 ans

- Hervé Mathiasin, 38 ans, candidat du Centre humain ouvert à tous (CHOAT).

- Cindy Lee, candidate du Parti du plaisir

CANDIDATS POSSIBLES :

Le président de la République Jacques Chirac, 74 ans, a annoncé qu'il ferait connaître sa décision au 1er trimestre sur une éventuelle candidature.

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Si je ne me trompe pas, Chirac ne se représente pas.

Et je pense que sur le 44 (ce qui est énorme), seuls une dizaine auront les 500 signatures...

Voici un site où on peut voter : http://www.votez2007.com/

Chaque semaine représente une élection, du lundi au jeudi le 1er tour, et du vendredi au dimanche le second.

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vendredi 23 février 2007, 15h30

Quelques éléments sur l'élaboration des sondages

PARIS (AP) - Voici quelques éléments permettant de comprendre la façon dont les sondages portant sur les intentions de vote sont élaborés:

ECHANTILLON

Pour tenter de reconstituer "l'état de l'opinion" à un moment donné, les instituts de sondage interrogent un échantillon d'électeurs, constitué grâce à la méthode dite des "quotas". Il s'agit de sélectionner les personnes interrogées -généralement près de 1.000- de façon à ce que leurs caractéristiques socio-démographiques (sexe, âge, catégorie professionnelle, lieu de vie...) soient les mêmes que celles de la population française.

CORRECTION DES REPONSES

Les intentions de vote recueillies après un sondage sont très loin de correspondre au vote réel des Français, notamment parce que certains sondés cherchent à dissimuler leurs opinons, en particulier à l'extrême droite. Les instituts procèdent donc à des "redressements" avant de publier leurs résultats.

La plupart du temps, ils demandent, en plus des intention de vote, pour qui les personnes interrogées ont voté lors des dernières élections et corrigent les intentions de vote en fonction de la différence entre les réponses à cette question et les résultats officiels du scrutin. Par exemple, si 8% des sondés affirment avoir voté pour Jean-Marie Le Pen en 2002, alors qu'ils étaient en réalité plus de 16%, l'institut doublera aussi le poids des intentions de vote affichées par ces mêmes personnes: si elles sont 7% à affirmer voter FN, le chiffre "redressé" finalement publié sera de 14%.

Selon Jean-François Doridot, directeur général du département "politique et élections" d'Ipsos, les intentions de vote des électeurs frontistes, les plus corrigées, sont ainsi régulièrement doublées avant publication. Celles attribuées au Parti socialiste sont en revanche minorées de "20% à 30%" au profit des autres formations de gauche. Cette méthode, dont les détails sont gardés secrets par les instituts, soulève évidemment des interrogations et reste imparfaite. "Mais c'est la moins pire", juge Jean-François Doridot.

MARGE D'ERREUR

La marge d'erreur d'un sondage dépend surtout de la taille de l'échantillon. Pour un panel d'un millier de sondés, on estime qu'elle est au maximum d'environ plus ou moins trois points de pourcentage: un sondage qui crédite un candidat de 30% signifie plutôt que son score devrait se situer entre 27% et 33%. La marge d'erreur s'accroît quand le résultat s'approche des 50%.

INTERPRETATION

Tous les sondeurs insistent sur le fait que leurs études ne sont que "des photographies de l'état de l'opinion" au moment de leur réalisation et ne sont pas des prédictions du résultat à venir. "Le plus intéressant, c'est l'évolution" des intentions de vote d'un sondage à l'autre, avance Leïla Boutamine, de l'institut BVA. AP

Cinq ans après le 21-Avril,

les sondages rythment à nouveau la campagne

PARIS (AP) - Incapables de déterminer à l'avance le résultat des élections, surpris par la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la dernière présidentielle, les sondages n'en continuent pas moins de rythmer la campagne, fournissant en arguments les commentateurs dans les jours qui suivent chaque grande apparition des principaux candidats.

Ainsi, les dernières performances de Ségolène Royal, présentée en perte de vitesse par les sondeurs, ont été immédiatement suivies de sondages abondamment commentés. La candidate socialiste "doit encore convaincre" titrait ainsi "Le Parisien/Aujourd'hui en France" le 13 février, au-dessus du premier sondage réalisé après la présentation de son programme. Après son passage à l'émission "J'ai une question à vous poser" de TF1 lundi, le même journal a titré "Royal retrouve de l'oxygène" sur la foi d'un seul sondage.

"Ils rythment la campagne et ils influent beaucoup sur la tonalité des commentaires, alors qu'ils ne sont pas fait pour ça", constate Matthias Guyomar, secrétaire général de la Commission des sondages. Pour Loïc Blondiaux, professeur de sciences politiques à Sciences-Po Lille, les sondages jouent traditionnellement "un rôle majeur" dans la vie politique française. Pour lui, la désignation de Ségolène Royal comme candidate du PS en a même été "l'un des effets majeurs" cette fois-ci.

Echaudés par les critiques, les sondeurs sont pourtant unanimes à appeler à la retenue dans l'interprétation. "A l'heure actuelle, les sondages n'ont aucun caractère prédictif, ils mesurent seulement l'état d'un rapport de force", souligne Emmanuel Rivière, directeur du service politique au sein du département stratégies d'opinion chez TNS-Sofres. Les enquêtes publiées ne sont que des "photographies de l'opinion à un moment donné" et elles ne peuvent rendre compte que partiellement de ce que sera le résultat du scrutin.

La tâche est d'autant plus compliquée que "l'opinion des sondés est de plus en plus volatile" et que ces derniers ont tendance à arrêter leur choix dans les tout derniers moments, ajoute Matthias Guyomar.

Pour autant, les instituts ont peu modifié leur façon de travailler depuis le "fiasco" de 2002. "On essaie de tenir un discours le plus prudent possible", affirme Jean-François Doridot. "Mais on a du mal à être relayés", notamment par les médias, se défend-il.

Ainsi, Ipsos a essayé de publier des fourchettes à la place d'un seul pourcentage, ce qui aurait par exemple mieux mis en évidence la possibilité que Jean-Marie Le Pen puisse devancer Lionel Jospin le 21 avril 2002. Mais ces fourchettes, "trop compliquées pour être reprises par les médias audiovisuels", ont été délaissées.

Pour Emmanuel Rivière, la prudence consiste aussi à éviter de se focaliser sur le 2e tour de la présidentielle, puisque "le 1er tour changera forcément la donne politique". Face à la "demande", la Sofres a en publié, mais "on n'a pas testé qu'une hypothèse, on a testé Jean-Marie Le Pen et François Bayrou au second tour", se félicite-t-il.

"En réalité, pas grand-chose n'a changé dans la manière dont on fait parler les sondages", observe Loïc Blondiaux. Ce chercheur du CNRS regrette en particulier "l'absence de réflexion collective" qui aurait poussé les sondeurs à arrêter tout simplement de publier des questions relatives au second tour.

"L'industrie est très réticente à s'expliquer sur ses techniques de redressement", déplore-t-il également. Les instituts de sondage sont de longue date critiqués pour ne pas dévoiler complètement comment ils "corrigent" les données recueillies, alors même qu'ils vont jusqu'à multiplier par deux certains résultats, comme ceux du Front national.

Les entreprises expliquent pondérer les résultats bruts en fonction des résultats des élections précédentes pour corriger les sous-déclarations liées à certains votes, mais ne dévoilent jamais leurs données brutes, classées "secret industriel".

La Commission des sondages est la seule à avoir accès à l'ensemble des chiffres. Sans en dire plus, elle juge le travail de redressement "globalement correct".

Les instituts soulignent également que leurs études sont globalement confirmées dans les urnes. S'ils ont bien été surpris de l'élimination de Lionel Jospin, le résultat final restait très proche des enquêtes réalisées dans les derniers jours de la campagne de 2002. "Tous les éléments étaient dans nos enquêtes: la percée de l'extrême droite, le bon niveau de l'extrême gauche, le score très faible du PCF et celui historiquement bas de Lionel Jospin", rappelle Emmanuel Rivière. AP

Modifié par Dom-trappeur
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Deux sondages confirment une baisse de Nicolas Sarkozy au premier tour

LEMONDE.FR avec AFP | 26.02.07 | 17h58 • Mis à jour le 26.02.07 | 17h58

Ségolène Royal gagne 2 points d'intentions de vote au premier tour à 27 %, selon un sondage LH2 pour RMC-20 Minutes-BFM TV rendu public lundi 26 février. François Bayrou est crédité de 17 % pour la troisième fois dans un sondage, gagnant 3 points sur la précédente enquête LH2. Pendant ce temps, Nicolas Sarkozy perd trois points à 30 %. Jean-Marie Le Pen est stable à 13 %.

Une autre enquête, également réalisée les 23 et 24 février, après l'annonce du remaniement de l'équipe de Mme Royal, montre une évolution similaire : la candidate du PS gagne 3 points en une semaine, à 26 % d'intentions de vote et le président de l'UDF progresse d'1,5 point à 17,5 %, selon ce sondage Ipsos pour Le Point.

Le candidat de l'UMP perd deux points à 31 %, son niveau le plus bas depuis le début de la campagne, dans les enquêtes Ipsos. Le champion du FN est stable à 13 %.

"Mme Royal a vraiment repris la main", estime François Miquet-Marty, de LH2. Nicolas Sarkozy pâtit de l'"inquiétude" qu'il suscite "toujours" chez certains électeurs et "peine à aller au-delà de son propre camp", selon l'analyste.

François Bayrou "est bien perçu sur la critique du clivage droite-gauche, séduit par son discours sur la dette et progresse aussi sur les difficultés de Nicolas Sarkozy", ajoute-t-il. Quant à Jean-Marie Le Pen, il ne disposerait plus comme en 2002 d'un "réservoir" d'électeurs populaires prêts à voter pour lui au dernier moment, selon M. Miquet-Marty.

UNE CAMPAGNE "SURDÉTERMINÉE" PAR LE SOUVENIR DE 2002

Selon ces deux sondages, les candidats d'extrême gauche voient leurs intentions de vote se tasser. Olivier Besancenot est crédité de 3,5 %, score inchangé, devant Marie-George Buffet, qui perd un point à 2,5 %, selon l'enquête LH2. Arlette Laguiller est stable à 2 %, quand José Bové recule d'un point à 1,5 %. Dominique Voynet reste créditée d'1 % d'intentions de vote. Gérard Schivardi est sondé à 0 %.

La campagne, très suivie, est "surdéterminée" par le souvenir de 2002, ce qui explique que "les petits candidats de gauche ont du mal", estime François Miquet-Marty, de LH2.

A droite, Frédéric Nihous, le candidat de Chasse, pêche, nature, traditions gagne un point à 1 % et Philippe de Villiers perd 1,5 point à 1 %. Nicolas Dupont-Aignan est crédité de 0,5 % des voix (+ 0,5), Corinne Lepage de 0 %.

11 % des sondés qui se disent certains d'aller voter n'ont pas exprimé d'intentions de vote pour le premier tour et 12 % pour le second. 44 % des personnes interrogées affirment avoir fait définitivement leur choix pour le premier tour, 33 % avoir une préférence marquée mais pouvoir encore changer d'avis, tandis que 23 % hésitent encore.

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17% pour Bayrou ??? Rappelez moi un peu avec combien était passé Le Pen en 2002 ????

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Deux sondages confirment une baisse de Nicolas Sarkozy au premier tour

LEMONDE.FR avec AFP | 26.02.07 | 17h58 • Mis à jour le 26.02.07 | 17h58

Ségolène Royal gagne 2 points d'intentions de vote au premier tour à 27 %, selon un sondage LH2 pour RMC-20 Minutes-BFM TV rendu public lundi 26 février. François Bayrou est crédité de 17 % pour la troisième fois dans un sondage, gagnant 3 points sur la précédente enquête LH2. Pendant ce temps, Nicolas Sarkozy perd trois points à 30 %. Jean-Marie Le Pen est stable à 13 %.

Une autre enquête, également réalisée les 23 et 24 février, après l'annonce du remaniement de l'équipe de Mme Royal, montre une évolution similaire : la candidate du PS gagne 3 points en une semaine, à 26 % d'intentions de vote et le président de l'UDF progresse d'1,5 point à 17,5 %, selon ce sondage Ipsos pour Le Point.

Le candidat de l'UMP perd deux points à 31 %, son niveau le plus bas depuis le début de la campagne, dans les enquêtes Ipsos. Le champion du FN est stable à 13 %.

"Mme Royal a vraiment repris la main", estime François Miquet-Marty, de LH2. Nicolas Sarkozy pâtit de l'"inquiétude" qu'il suscite "toujours" chez certains électeurs et "peine à aller au-delà de son propre camp", selon l'analyste.

François Bayrou "est bien perçu sur la critique du clivage droite-gauche, séduit par son discours sur la dette et progresse aussi sur les difficultés de Nicolas Sarkozy", ajoute-t-il. Quant à Jean-Marie Le Pen, il ne disposerait plus comme en 2002 d'un "réservoir" d'électeurs populaires prêts à voter pour lui au dernier moment, selon M. Miquet-Marty.

UNE CAMPAGNE "SURDÉTERMINÉE" PAR LE SOUVENIR DE 2002

Selon ces deux sondages, les candidats d'extrême gauche voient leurs intentions de vote se tasser. Olivier Besancenot est crédité de 3,5 %, score inchangé, devant Marie-George Buffet, qui perd un point à 2,5 %, selon l'enquête LH2. Arlette Laguiller est stable à 2 %, quand José Bové recule d'un point à 1,5 %. Dominique Voynet reste créditée d'1 % d'intentions de vote. Gérard Schivardi est sondé à 0 %.

La campagne, très suivie, est "surdéterminée" par le souvenir de 2002, ce qui explique que "les petits candidats de gauche ont du mal", estime François Miquet-Marty, de LH2.

A droite, Frédéric Nihous, le candidat de Chasse, pêche, nature, traditions gagne un point à 1 % et Philippe de Villiers perd 1,5 point à 1 %. Nicolas Dupont-Aignan est crédité de 0,5 % des voix (+ 0,5), Corinne Lepage de 0 %.

11 % des sondés qui se disent certains d'aller voter n'ont pas exprimé d'intentions de vote pour le premier tour et 12 % pour le second. 44 % des personnes interrogées affirment avoir fait définitivement leur choix pour le premier tour, 33 % avoir une préférence marquée mais pouvoir encore changer d'avis, tandis que 23 % hésitent encore.

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17% pour Bayrou ??? Rappelez moi un peu avec combien était passé Le Pen en 2002 ????

j'espére que le nain va continuer sa dégringolade

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j'espére que le nain va continuer sa dégringolade

T'inquiete, Iznogoud ne passera jamais, tout est gonflé grace a ses affinités dans le monde des médias, en terme de popularité ce type ne vaut pas une tune! Je suis meme certain que Bayrou ou le Pen vont lui passer devant au premier tour...

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Daniel Mermet à passé un chanson de style zouk pour la promotion de Sarkozy. Même les américains n'atteignent pas autant de mauvais goût :Smiley_41: . Cette campagne atteind des somment en matière de vulgarité et de manipulation médiatique :Smiley_19:beurk beurk

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Surprise... Surprise... :Smiley_41:

quelle surprise?

BAYROU ce soir c'est le retour de Giscard, la baisse des charges au profit des patrons et la remise en cause (la fin?) des 35h00.

pour le reste un gros molasson..............

Un sondage LH2 donne Sarkozy

et Royal à 50-50 au second tour

L'enquête réalisée vendredi et samedi derniers est la première depuis janvier où la candidate socialiste revient à hauteur de son concurrent UMP au deuxième tour.

Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal seraient à égalité 50-50 au second tour de l'élection présidentielle, selon un sondage LH2 pour RMC, 20 Minutes et BFM TV rendu public lundi, première enquête depuis janvier où Ségolène Royal revient à hauteur de son concurrent UMP au deuxième tour.

Le ministre de l'Intérieur avait été donné vainqueur (avec un écart maximal de 55-45) dans les 29 sondages précédents réalisés depuis le 15 janvier, même si l'écart entre les deux principaux concurrents s'était resserré dans les deux enquêtes précédentes.

Bayrou crédité de 17% pour la troisième fois

Selon le sondage LH2, Ségolène Royal gagne deux points au premier tour à 27% tandis que Nicolas Sarkozy perd trois points à 30%.

François Bayrou est crédité de 17% pour la troisième fois, gagnant 3 points, et Jean-Marie Le Pen est stable à 13%.

11% des personnes interrogées, se disant certaines d'aller voter, n'ont pas exprimé d'intentions de vote pour le premier tour et 12% pour le second.

- Sondage réalisé par téléphone les 23 et 24 février auprès d'un échantillon de 1.005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible à la commission des sondages.

Modifié par antoine
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quelle surprise?

BAYROU ce soir c'est le retour de Giscard, la baisse des charges au profit des patrons et la remise en cause (la fin?) des 35h00.

pour le reste un gros molasson..............

Un sondage LH2 donne Sarkozy

et Royal à 50-50 au second tour

L'enquête réalisée vendredi et samedi derniers est la première depuis janvier où la candidate socialiste revient à hauteur de son concurrent UMP au deuxième tour.

Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal seraient à égalité 50-50 au second tour de l'élection présidentielle, selon un sondage LH2 pour RMC, 20 Minutes et BFM TV rendu public lundi, première enquête depuis janvier où Ségolène Royal revient à hauteur de son concurrent UMP au deuxième tour.

Le ministre de l'Intérieur avait été donné vainqueur (avec un écart maximal de 55-45) dans les 29 sondages précédents réalisés depuis le 15 janvier, même si l'écart entre les deux principaux concurrents s'était resserré dans les deux enquêtes précédentes.

Bayrou crédité de 17% pour la troisième fois

Selon le sondage LH2, Ségolène Royal gagne deux points au premier tour à 27% tandis que Nicolas Sarkozy perd trois points à 30%.

François Bayrou est crédité de 17% pour la troisième fois, gagnant 3 points, et Jean-Marie Le Pen est stable à 13%.

11% des personnes interrogées, se disant certaines d'aller voter, n'ont pas exprimé d'intentions de vote pour le premier tour et 12% pour le second.

- Sondage réalisé par téléphone les 23 et 24 février auprès d'un échantillon de 1.005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible à la commission des sondages.

En ce qui concerne le borgne, l'histoire a montré que , bien malheureusement, les sondages ne refletent pas du tout la realité en ce qui le concerne... je me réfère a un excellent article paru dans Marianne il y a deux semaines, qui explique comment l'électorat du FN s'est élargi et il devrait atteindre, à mon avis, au moins 20% okok en Avril... sous réserve d'avoir les 500 signatures

En effet, entre Royal et Sarkozy, aucun pronostic n'est valable tant qu'on ne connaitra pas la liste des candidats ayant obtenu les 500 parrainages. Dans tous les cas, le FN aura un role d'arbitre de premier choix à jouer dans cette election...

Modifié par thesofasurfer
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D'accord avec le post précédent...

Ci-dessous, une étude d'opinion sur la fixation du choix de l'électeur...

Si le début de l'article est intéressant

il est malheureusement dévié par le final

qui se repositionne sur la bipolarisation

alors que la réalité démontre qu'elle a explosé ces deux-trois dernières semaines.

jeudi 1 mars 2007, 9h16

La fixation du choix des électeurs est déjà très avancée,

selon BVA

PARIS (AFP) - La fixation du choix des électeurs pour la présidentielle, ou "cristallisation", "est déjà très avancée" à moins de deux mois du premier tour le 22 avril, selon un sondage BVA pour Orange rendu public mercredi.

55% des personnes interrogées par BVA affirment savoir pour qui elles vont voter et être sûres de ne pas changer d'avis (61% chez les sympathisants de droite et 52% chez ceux de gauche).

25% disent savoir pour qui elles vont voter, mais qu'elles peuvent encore changer d'avis (28% à gauche et 25% à droite). 10% déclarent hésiter entre plusieurs candidats et 9% ne pas savoir du tout pour qui elles vont voter.

L'intérêt pour la campagne est élevé, "plus qu'en 2002", et va "de manière croissante au fil des semaines", note Jérôme Sainte-Marie, directeur de BVA Opinion. 28% des sondés se disent très intéressés par la campagne et 44% plutôt intéressés. A l'inverse, 19% se déclarent pas vraiment intéressés et 9% pas du tout intéressés, soit 28%.

Ces résultats varient fortement en fonction de la position sociale: 90% des cadres supérieurs se disent intéressés, mais seulement 58% des ouvriers et 68% des employés. Les jeunes se distinguent: 75% des 18-34 ans se disent intéressés.

Une écrasante majorité (77%) des personnes interrogées considèrent que la manière dont se déroule la campagne les incite "plutôt à aller voter".

Les sympathisants du PS se disent moins souvent incités à aller voter que ceux de l'UMP (78% au lieu de 92%), ce qui "montre que les difficultés de la campagne de Ségolène Royal demeurent présentes dans les esprits", selon M. Sainte-Marie. La moitié des Français affirment parler souvent de la campagne. Ceux qui disent n'en parler jamais ne sont que 17%.

Sondage réalisé par téléphone les 26 et 27 février auprès de 954 personnes constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la commission des sondages.

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Record d'audience pour Canal+

avec Nicolas Sarkozy au Grand Journal

agrandir la photo

PARIS (AFP) - L'émission le Grand Journal, qui recevait Nicolas Sarkozy vendredi de 19H10 à 20H50, a permis à Canal+ de battre ses "records historiques (d'audience) sur cette tranche horaire depuis sa naissance" en 1984, avec 2,2 millions de téléspectateurs, a annoncé la chaîne samedi.

Cette émission, présentée par Michel Denisot et diffusée en clair, a réalisé 9,3% de part d'audience pour la seconde partie (à partir de 20H05), rassemblant ainsi 2.242.400 téléspectateurs, a indiqué Canal+ dans un communiqué.

Pour l'ensemble de l'émission, le Grand Journal a également battu son record, avec 1,8 million de téléspectateurs et 8,1% de part d'audience, et le pic d'audience a atteint "plus de 3,6 millions de téléspectateurs".

Vendredi, le président de l'UMP et ministre de l'Intérieur était "rédacteur en chef du Grand Journal" pour une édition spéciale élection présidentielle.

La venue, dans les mêmes conditions, du candidat UDF François Bayrou le 6 février avait déjà permis au Grand Journal de battre son propre record d'audience pour la tranche horaire entre 20H15 et 20H45 avec quelque 2,1 millions de téléspectateurs.

La candidate PS, Ségolène Royal, sera à son tour l'invitée de cette émission jeudi 8 mars.

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Suspicion de détournement :

Miguet toujours en garde à vue

Nicolas Miguet, président du Rassemblement des contribuables français et candidat à la présidentielle, était encore en garde à vue mercredi matin dans le cadre d'une enquête sur une suspicion de détournement de parrainages.

La garde à vue de Nicolas Miguet, candidat du Rassemblement des contribuables français (RCF), a été prolongée mercredi 7 mars en début d'après-midi, a-t-on appris de source judiciaire.

Nicolas Miguet, placé mardi en garde à vue, est entendu à la Brigade de répression de la délinquance faite aux personnes (BRDP). Il est soupçonné d'avoir tenté d'induire en erreur les élus en leur adressant un "guide officiel" pouvant être utilisé comme parrainage à l'élection.

Sa garde à vue se termine jeudi aux alentours de 14h. D'ici là, le parquet devrait choisir s'il ouvre ou non une information judiciaire contre M. Miguet.

Mardi, les locaux de son association avaient été perquisitionnés et d'autres locaux pourraient faire l'objet de perquisitions mercredi.

Des documents présentés comme des guides officiels

Placé en garde à vue mardi, Nicolas Miguet est soupçonné d'avoir envoyé des documents présentés comme des guides officiels à destination des élus qui leur demandaient aussi d'envoyer leurs parrainages à une adresse parisienne, accompagnés d'un modèle de présentation au nom de Nicolas Miguet.

Cette enquête préliminaire fait suite à une dénonciation officielle du Conseil constitutionnel qui a dénié fin février "tout caractère officiel à cette documentation", exhortant les maires "à ne tenir aucun compte de ces envois".

Ces documents ont au moins été envoyés à des édiles de l'Aube, du Gers, des Landes, du Loir-et-Cher, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne, mais cet envoi "pourrait être plus étendu". Intitulés "Guides officiels à destination des élus - Parrainages des candidats", ils les invitent à renvoyer les parrainages à l'adresse "RF République Française - Opération parrainage, 63 rue de Courcelles, 75008 Paris". Ils sont accompagnés d'un modèle de présentation au nom de Nicolas Miguet. (AP)

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Record d'audience pour Canal+

avec Nicolas Sarkozy au Grand Journal

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PARIS (AFP) - L'émission le Grand Journal, qui recevait Nicolas Sarkozy vendredi de 19H10 à 20H50, a permis à Canal+ de battre ses "records historiques (d'audience) sur cette tranche horaire depuis sa naissance" en 1984, avec 2,2 millions de téléspectateurs, a annoncé la chaîne samedi.

Cette émission, présentée par Michel Denisot et diffusée en clair, a réalisé 9,3% de part d'audience pour la seconde partie (à partir de 20H05), rassemblant ainsi 2.242.400 téléspectateurs, a indiqué Canal+ dans un communiqué.

Pour l'ensemble de l'émission, le Grand Journal a également battu son record, avec 1,8 million de téléspectateurs et 8,1% de part d'audience, et le pic d'audience a atteint "plus de 3,6 millions de téléspectateurs".

Vendredi, le président de l'UMP et ministre de l'Intérieur était "rédacteur en chef du Grand Journal" pour une édition spéciale élection présidentielle.

La venue, dans les mêmes conditions, du candidat UDF François Bayrou le 6 février avait déjà permis au Grand Journal de battre son propre record d'audience pour la tranche horaire entre 20H15 et 20H45 avec quelque 2,1 millions de téléspectateurs.

La candidate PS, Ségolène Royal, sera à son tour l'invitée de cette émission jeudi 8 mars.

D'ailleurs, le 8 mars, ils inviteront egalement El kabbach et Duhamel, vu qu'ils sont bien copains avec Royal lotrela

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Salut ,

Je ne crois pas au sondage ou plutôt si à leur manipulation :

Tout à l'heure lors de la visite de ma boite mail "défouloir" ( j'ai une boite pour chaque usage , et toute la pub et spam

sont aiguillés sur celle ci) , je vois une enquète d'un institut de sondage sur le net qui me demande un avis sur les élections .

Je commence à repondre au questions du début ( surtout sur le "profil" ) et aprés on me remercie de ma participation

sans aller plus loin .

Apparament je ne devait pas être la bonne "cible" , donc par de là on voit bien une certaine orientation du résultat .

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  • 2 semaines plus tard...

Tiens, en v'la une qui n'a pas besoin des sondages...

elle se verrait bien en "conseillère spécial es-économie"

Présidentielle:

Laurence Parisot reproche aux principaux candidats

"de manquer d'ambition"

PARIS (AP) - La présidente du MEDEF Laurence Parisot a reproché dimanche à Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et François Bayrou, les trois candidats en tête des intentions de vote des Français pour l'élection présidentielle, "de manquer d'ambition".

Invitée du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, elle leur a suggéré "de penser une politique économique plus globale, plus cohérente, plus stimulante, qu'on peut appeler une politique économique de l'offre, alors qu'ils sont très concentrés sur une politique de la demande".

"Depuis des décennies, on n'a fait que des politiques de la demande qui stimulent la consommation, qui stimulent les revenus au détriment des investissements, des créations, des innovations, au détriment aussi de la recherche", a-t-elle poursuivi.

Elle a estimé qu'aucun des candidats ne parle suffisamment "de la compétitivité de la France qui se dégrade", dénonçant notamment le fait que les entreprises françaises sont "les plus chargées fiscalement et socialement au monde". "C'est là le problème numéro un de la France", a-t-elle souligné.

"Ce que nous souhaitons, ce sont des candidats, qu'ils soient de gauche ou de droite, qui comprennent la logique, le fonctionnement de l'économie de marché (...), qu'ils soient capables de l'expliquer au public", a observé la candidate du MEDEF.

Elle a aussi souhaité que "celui ou celle qui sera élu accepte de travailler avec les entreprises" d'une "manière normale".

Concernant les candidats en tête des intentions de vote dans les sondages, elle a estimé qu'"il y avait une très grande écoute" de la part de Nicolas Sarkozy. Pour François Bayrou, elle a noté "une volonté d'échange très grande. Même sur des points sur lesquels nous étions en désaccord, il y avait de sa part le désir de comprendre nos arguments".

Quant à Ségolène Royal, avec laquelle elle avait eu un échange un peu vif sur les 35 heures lors de l'émission "France Europe Express" sur France-3 la veille, elle a estimé qu'il y avait "des ambiguïtés parfois dans ses réponses". Alors qu'elle "prône le débat, l'échange n'est pas toujours facile", a-t-elle estimé.

"Il y a des moments où je pense qu'elle a une approche plutôt moderne, à la blairiste", et d'autres moments où une "approche qui consiste à augmenter, augmenter les dépenses est privilégiée", a affirmé Laurence Parisot.

Interrogée sur le président Jacques Chirac, elle a dit avoir "beaucoup d'estime" et "beaucoup d'admiration" pour lui, notamment sur sa politique extérieure. "Sur les questions économiques, nous avons eu plus de mal à nous comprendre", a-t-elle jugé, avant d'ajouter: "il y avait, je crois, dans sa relation avec les entreprises, pas mal de paradoxes et d'ambiguïtés". AP

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Douze candidats en lice,

dont José Bové

PARIS (Reuters) - Il y a douze candidats en lice pour l'élection présidentielle du 22 avril et du 6 mai, annonce le président du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré.

La candidature de l'altermondialiste José Bové a été retenue par le Conseil, dont les huit autres membres entouraient le président de l'institution.

Les candidats avaient jusqu'à vendredi dernier 18h00 pour déposer un minimum de 500 parrainages d'élus nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle.

Jean-Louis Debré a précisé que 16.900 formulaires avaient été reçus et que 16.615 avaient été validés.

Les candidats, par ordre alphabétique, sont les suivants :

François Bayrou (UDF)

José Bové (Altermondialiste)

Marie-George Buffet (PCF)

Olivier Besancenot (LCR)

Arlette Laguiller (LO)

Jean-Marie Le Pen (FN)

Frédéric Nihous (CPNT)

Ségolène Royal (PS)

Nicolas Sarkozy (UMP)

Gérard Schivardi (PT)

Philippe de Villiers (MPF)

Dominique Voynet (Verts).

Depuis que le président de la République est élu au suffrage universel,

le nombre de candidats a été de

six en 1965,

sept en 1969,

12 en 1974,

10 en 1981,

neuf en 1988 et 1995

et enfin 16 en 2002,

ce qui constitue un record.

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Tirage au sort des panneaux électoraux : de gauche à droite helpsoso

Un tirage au sort a été effectué au Conseil constitutionnel, pour déterminer l'ordre des panneaux d'affichage électoral officiels. Chaque sage a tour à tour tiré un nom (sauf le président). Quatre en ont tiré deux. Le hasard a placé en tête le jeune postier LCR Olivier Besancenot et en dernier le champion UMP Nicolas Sarkozy.

La liste dans l'ordre officiel est: Olivier Besancenot (Ligue Communiste Révolutionnaire), Marie-George Buffet (PCF), Gérard Schivardi ("candidat des maires", soutenu par le Parti des Travailleurs), François Bayrou (UDF), José Bové (altermondialiste), Dominique Voynet (Verts), Philippe de Villiers (Mouvement pour la France), Ségolène Royal (PS), Frédéric Nihous (Chasse, pêche nature et traditions), Jean-Marie Le Pen (Front national), Arlette Laguiller (Lutte Ouvrière), Nicolas Sarkozy (UMP).

Besancenot à l'extrème gauche....Sarkozy à l'extrème droite... lotrela

Laguiller entre Lepen et Sarkozy ...DurDur okok

Assez marrant comme tirage au sort :

pour un peu le positionnement politique aurait presque été respecté... okok

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Sondage: il y a trop de candidats à la présidentielle pour 66% des Français

PARIS (AP) - Avec douze candidats à la présidentielle 2007, 66% des Français estiment qu'il y a trop de prétendants à l'Elysée, selon un sondage OpinionWay pour "Le Figaro" et LCI rendu public vendredi.

Ils sont 28% à juger que "c'est juste comme il faut" et six pour cent que ce n'est pas assez.

- sondage réalisé les 20 et 21 mars auprès d'un échantillon auprès d'un échantillon représentatif de 1.021 personnes, selon la méthode des quotas.

Notre prochain sondage :

il y a trop de sondages...

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Tiens, en v'la une qui n'a pas besoin des sondages...

elle se verrait bien en "conseillère spécial es-économie"

Présidentielle:

Laurence Parisot reproche aux principaux candidats

"de manquer d'ambition"

PARIS (AP) - La présidente du MEDEF Laurence Parisot a reproché dimanche à Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et François Bayrou, les trois candidats en tête des intentions de vote des Français pour l'élection présidentielle, "de manquer d'ambition".

Invitée du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, elle leur a suggéré "de penser une politique économique plus globale, plus cohérente, plus stimulante, qu'on peut appeler une politique économique de l'offre, alors qu'ils sont très concentrés sur une politique de la demande".

"Depuis des décennies, on n'a fait que des politiques de la demande qui stimulent la consommation, qui stimulent les revenus au >détriment des investissements, des créations, des innovations, au détriment aussi de la recherche", a-t-elle poursuivi.

Elle a estimé qu'aucun des candidats ne parle suffisamment "de la compétitivité de la France qui se dégrade", dénonçant notamment le fait que les entreprises françaises sont "les plus chargées fiscalement et socialement au monde". "C'est là le problème numéro un de la France", a-t-elle souligné.

"Ce que nous souhaitons, ce sont des candidats, qu'ils soient de gauche ou de droite, qui comprennent la logique, le fonctionnement de l'économie de marché (...), qu'ils soient capables de l'expliquer au public", a observé la candidate du MEDEF.

Elle a aussi souhaité que "celui ou celle qui sera élu accepte de travailler avec les entreprises" d'une "manière normale".

Concernant les candidats en tête des intentions de vote dans les sondages, elle a estimé qu'"il y avait une très grande écoute" de la part de Nicolas Sarkozy. Pour François Bayrou, elle a noté "une volonté d'échange très grande. Même sur des points sur lesquels nous étions en désaccord, il y avait de sa part le désir de comprendre nos arguments".

Quant à Ségolène Royal, avec laquelle elle avait eu un échange un peu vif sur les 35 heures lors de l'émission "France Europe Express" sur France-3 la veille, elle a estimé qu'il y avait "des ambiguïtés parfois dans ses réponses". Alors qu'elle "prône le débat, l'échange n'est pas toujours facile", a-t-elle estimé.

"Il y a des moments où je pense qu'elle a une approche plutôt moderne, à la blairiste", et d'autres moments où une "approche qui consiste à augmenter, augmenter les dépenses est privilégiée", a affirmé Laurence Parisot.

Interrogée sur le président Jacques Chirac, elle a dit avoir "beaucoup d'estime" et "beaucoup d'admiration" pour lui, notamment sur sa politique extérieure. "Sur les questions économiques, nous avons eu plus de mal à nous comprendre", a-t-elle jugé, avant d'ajouter: "il y avait, je crois, dans sa relation avec les entreprises, pas mal de paradoxes et d'ambiguïtés". AP

Mes poils ( et le peu de cheveux que j'ai) s'hérissent en lisant de telles conneries!

"Depuis des décennies, on n'a fait que des politiques de la demande qui stimulent la consommation, qui stimulent les revenus au détriment des investissements, des créations, des innovations, au détriment aussi de la recherche", a-t-elle poursuivi.

>>>Le detriment de l'investissement et de la recherche a été sollicité par le patronnat et les actionnaires au profit de leurs benefices a court terme

Elle a estimé qu'aucun des candidats ne parle suffisamment "de la compétitivité de la France qui se dégrade", dénonçant notamment le fait que les entreprises françaises sont "les plus chargées fiscalement et socialement au monde". "C'est là le problème numéro un de la France", a-t-elle souligné.

>>> Faux, faux et archi faux!!! C'est de la calomnie! La Suede et le Danemark, par exemple, taxent beaucoup plus lourdement les entreprises et ne distribuent pas 65 millards d'euros d'aides.. Ca elle n'en parle pas...

"Ce que nous souhaitons, ce sont des candidats, qu'ils soient de gauche ou de droite, qui comprennent la logique, le fonctionnement de l'économie de marché (...), qu'ils soient capables de l'expliquer au public", a observé la candidate du MEDEF.

>>> C'est ca, va expliquer ton economie de marché au type qui pointe a l'ANPE depuis 5 ans...

Elle a aussi souhaité que "celui ou celle qui sera élu accepte de travailler avec les entreprises" d'une "manière normale".

>> Ok, on retire toutes les aides et subventions genereusement offertes aux entreprises et la on travaillera de manière normale

Concernant les candidats en tête des intentions de vote dans les sondages, elle a estimé qu'"il y avait une très grande écoute" de la part de Nicolas Sarkozy. Pour François Bayrou, elle a noté "une volonté d'échange très grande. Même sur des points sur lesquels nous étions en désaccord, il y avait de sa part le désir de comprendre nos arguments".

Quant à Ségolène Royal, avec laquelle elle avait eu un échange un peu vif sur les 35 heures lors de l'émission "France Europe Express" sur France-3 la veille, elle a estimé qu'il y avait "des ambiguïtés parfois dans ses réponses". Alors qu'elle "prône le débat, l'échange n'est pas toujours facile", a-t-elle estimé.

>>> C'est sur, avec le patron le dialogue est toujours facile : soit tu fermes ta gueule, soit c'est la porte

"Il y a des moments où je pense qu'elle a une approche plutôt moderne, à la blairiste", et d'autres moments où une "approche qui consiste à augmenter, augmenter les dépenses est privilégiée", a affirmé Laurence Parisot.

Interrogée sur le président Jacques Chirac, elle a dit avoir "beaucoup d'estime" et "beaucoup d'admiration" pour lui, notamment sur sa politique extérieure. "Sur les questions économiques, nous avons eu plus de mal à nous comprendre", a-t-elle jugé, avant d'ajouter: "il y avait, je crois, dans sa relation avec les entreprises, pas mal de paradoxes et d'ambiguïtés". AP

>>> Elle attendait quoi? Qu'il prône le retour au servage?

En guise de conclusion, je dirais que le syndicat qui est aujourd'hui le plus conservateur, le plus retrograde, le plus intransigeant, c'est bien le MEDEF!

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J'aime beaucoup la formule :

Nicolas Hulot:

"la gravité de la crise écologique

n'a pas percuté le logiciel des principaux candidats"

PARIS (AP) - "La gravité de la crise écologique n'a pas percuté le logiciel des principaux candidats", regrette Nicolas Hulot, estimant que "la 'priorité' écologique", évoquée lors de la signature de son Pacte écologique "semble désormais rangée au rayon des accessoires".

"L'impératif écologique est-il perçu à son juste niveau -c'est-à-dire déterminant- pour que les programmes des uns et des autres en soient imprégnés dans leurs déclinaisons économiques, sociales et culturelles?", s'interroge le militant écologiste dans une tribune publiée dans "Le Monde" daté de jeudi.

Il répond lui-même à la question: "A cette étape de la campagne présidentielle, il est permis d'en douter". Et de déplorer que "la 'priorité' écologique, évoquée lors de la signature du Pacte, semble désormais rangée au rayon des accessoires ou, du moins, jamais envisagée comme le préalable indispensable, hors duquel aucun projet de société ne tiendra la route du futur".

Rappelant que "leur parole les oblige", Nicolas Hulot s'interroge: "Les candidats n'ont-ils pas confondu une révolution copernicienne avec une simple formalité?".

Ainsi, "à l'exception de Dominique Voynet -mais elle a peu de chance d'être élue présidente de la République-", les candidats préfèrent, selon lui, "croire que tout peut continuer comme avant et que les possibilités de production et de redistribution de la richesse ne seront pas plus conditionnées par l'état de la planète demain quelles ne l'étaient hier".

Et de conclure, plusieurs mois après la signature du son Pacte écologique: "Le défi, c'est bien de parvenir à un approfondissement du progrès humain tout en inversant la tendance au toujours plus de production et de consommation. A ce jour, aucun des principaux candidats n'a vraiment souhaité le relever". AP

Pas de lien pour l'instant sur le site du Monde...

Modifié par Dom-trappeur
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