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J'aime beaucoup la formule :

Nicolas Hulot:

"la gravité de la crise écologique

n'a pas percuté le logiciel des principaux candidats"

PARIS (AP) - "La gravité de la crise écologique n'a pas percuté le logiciel des principaux candidats", regrette Nicolas Hulot, estimant que "la 'priorité' écologique", évoquée lors de la signature de son Pacte écologique "semble désormais rangée au rayon des accessoires".

"L'impératif écologique est-il perçu à son juste niveau -c'est-à-dire déterminant- pour que les programmes des uns et des autres en soient imprégnés dans leurs déclinaisons économiques, sociales et culturelles?", s'interroge le militant écologiste dans une tribune publiée dans "Le Monde" daté de jeudi.

Il répond lui-même à la question: "A cette étape de la campagne présidentielle, il est permis d'en douter". Et de déplorer que "la 'priorité' écologique, évoquée lors de la signature du Pacte, semble désormais rangée au rayon des accessoires ou, du moins, jamais envisagée comme le préalable indispensable, hors duquel aucun projet de société ne tiendra la route du futur".

Rappelant que "leur parole les oblige", Nicolas Hulot s'interroge: "Les candidats n'ont-ils pas confondu une révolution copernicienne avec une simple formalité?".

Ainsi, "à l'exception de Dominique Voynet -mais elle a peu de chance d'être élue présidente de la République-", les candidats préfèrent, selon lui, "croire que tout peut continuer comme avant et que les possibilités de production et de redistribution de la richesse ne seront pas plus conditionnées par l'état de la planète demain quelles ne l'étaient hier".

Et de conclure, plusieurs mois après la signature du son Pacte écologique: "Le défi, c'est bien de parvenir à un approfondissement du progrès humain tout en inversant la tendance au toujours plus de production et de consommation. A ce jour, aucun des principaux candidats n'a vraiment souhaité le relever". AP

Pas de lien pour l'instant sur le site du Monde...

Ah mais parce qu'en plus il y croyait à son pacte ? okok

Bienvenue dans le monde politique mon petit Nicolas ...

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Mieux que le sondage :

le vote électronique

un petit logiciel de démonstration du vote électronique qui arrive dans les bureaux de vote...

suivre le lien sur le forum

http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...ost&p=94115

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Petit sondage du jour

sondage réalisé 26 et 24 mars 2007

jeudi 29 mars 2007, 8h18

Sarkozy perd trois points au 1er tour, à 28%,

selon BVA

PARIS (Reuters) -

Nicolas Sarkozy perd trois points dans les intentions de vote

au premier tour de l'élection présidentielle

avec 28%

et devance Ségolène Royal d'un point, celle-ci en gagnant trois,

selon un sondage BVA Orange pour la presse régionale jeudi.

François Bayrou gagne également trois points à 20%

par rapport à une précédente enquête

effectuée une semaine plus tôt.

La baisse de Nicolas Sarkozy est avant tout liée

à un mouvement au sein des sympathisants de droite,

analyse Jérôme Sainte-Marie, directeur de BVA-Opinion,

parmi lesquels le candidat de l'UMP perd six points

alors que François Bayrou en gagne sept.

Derrière les trois candidats de tête,

Jean-Marie Le Pen est crédité de 13% des intentions de vote (-1 point).

Parmi les "petits" candidats,

Olivier Besancenot recueille le plus d'intentions de vote avec 4,5% (+0,5),

devant Arlette Laguiller 3% (+1),

Marie-George Buffet 2% (-2)

José Bové 1% (-1)

et Dominique Voynet 1%

et Philippe de Villiers, à 1% et tous deux stables.

Au second tour,

Nicolas Sarkozy l'emporterait avec 51% contre 49% à la candidate socialiste,

à comparer à un résultat de 54-46 lors de la précédente enquête.

Le sondage a été effectué les 26 et 27 mars auprès d'un échantillon de 958 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. Parmi les personnes interrogées, 11% n'ont pas exprimé d'intention de vote.

***********

manque Nihous et Schivardi...

N'oublions pas également de dire qu'un sondage reflète l'état de l'opinion publique à un moment T et qu'une marge d'erreur en plus et en moins de 3% est à prendre en compte...

Voili, voilou, le sondage du jour...

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Le grand marché du collage d'affiches officielles...

ou la disparition des colleurs bénévoles...

Présidentielle: un groupe américain pour coller les affiches des candidats

Par Olivier LUCAZEAU

PARIS (AFP) - Fini le temps des "colleurs" bénévoles: de Le Pen à Laguiller, les affiches officielles des candidats à la présidentielle seront collées par la même entreprise, le groupe américain Clear Channel, numéro 1 mondial de l'affichage publicitaire, le tout aux frais de l'Etat.

Depuis 2002, les partis ont le choix pour leurs affiches officielles de campagne, qu'ils doivent coller sur les panneaux métalliques installés devant les bureaux de vote: mobiliser leurs militants, bénévoles donc, ou faire appel à des professionnels de l'affichage.

Mais les militants ne sont visiblement plus très motivés. A la grande satisfaction de Clear Channel France, qui vient de décrocher ce marché juteux. Avec environ 1 million d'affiches à coller, soit une grande et une petite pour chaque candidat, devant chacun des 85.000 bureaux de vote, ce sont trois millions d'euros que va empocher la filiale de l'entreprise texane, basée à San Antonio.

"J'ai effectivement entre les mains les 12 documents de subrogations" des 12 candidats en lice, s'est félicité Philippe Jay, directeur du développement et des relations institutionnelles de Clear Channel France.

C'est grâce à ces documents que Clear Channel pourra se faire rembourser pour le travail effectué, dans chaque département, auprès des Préfectures. A raison de 2,02 euros par grande affiche et de 1 euro par petite.

Coller les affiches de Philippe de Villiers, François Bayrou ou Olivier Besancenot est en tout cas une affaire rentable pour le numéro un mondial de l'affichage publicitaire. D'après Philippe Jay, la marge visée est d'environ 50%. Soit près de 1,5 million d'euros.

Le tout pour environ huit jours de travail pour le millier de "colleurs" qui sera mobilisé par Clear Channel, à partir du lundi 9 avril 00H00, début de la campagne officielle.

Paradoxalement, le groupe américain était seul en lice pour ce marché. Aucun des autres groupes spécialisés dans l'affichage publicitaire, le Français JCDecaux ou l'Américain Viacom, ne s'étaient mis sur les rangs, selon M. Jay.

Une information confirmée au siège de campagne de José Bové.

"Il n'y avait pas le choix", a expliqué Roland Mérieux, le mandataire financier du candidat altermondialiste. "On s'est renseigné, mais aucune autre entreprise ne semblait être capable de coller ces affiches, en fait il y a visiblement eu des pré-accords entre eux, on est dans un système libéral jusqu'à preuve du contraire", a-t-il ironisé.

De fait, Clear Channel domine ce marché de l'affichage politique depuis la présidentielle de 2002, quand l'entreprise avait déjà "collé" pour 7 des 16 candidats. Régionales de 2004, européennes de 2004, et maintenant présidentielle 2007, avec 100% des candidats dans son portefeuille: le groupe américain est aujourd'hui en situation de monopole.

Jean-Marie Le Pen, Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal, Dominique Voynet, Arlette Laguiller: de l'extrême droite à l'extrême gauche, Clear Channel s'est engagé à "coller professionnellement". Selon M. Jay, "tous les partis ont l'assurance d'être collés dans les mêmes conditions (...), sans jugement de valeur".

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Le grand marché du collage d'affiches officielles...

ou la disparition des colleurs bénévoles...

Présidentielle: un groupe américain pour coller les affiches des candidats

Par Olivier LUCAZEAU

PARIS (AFP) - Fini le temps des "colleurs" bénévoles: de Le Pen à Laguiller, les affiches officielles des candidats à la présidentielle seront collées par la même entreprise, le groupe américain Clear Channel, numéro 1 mondial de l'affichage publicitaire, le tout aux frais de l'Etat.

Depuis 2002, les partis ont le choix pour leurs affiches officielles de campagne, qu'ils doivent coller sur les panneaux métalliques installés devant les bureaux de vote: mobiliser leurs militants, bénévoles donc, ou faire appel à des professionnels de l'affichage.

Mais les militants ne sont visiblement plus très motivés. A la grande satisfaction de Clear Channel France, qui vient de décrocher ce marché juteux. Avec environ 1 million d'affiches à coller, soit une grande et une petite pour chaque candidat, devant chacun des 85.000 bureaux de vote, ce sont trois millions d'euros que va empocher la filiale de l'entreprise texane, basée à San Antonio.

"J'ai effectivement entre les mains les 12 documents de subrogations" des 12 candidats en lice, s'est félicité Philippe Jay, directeur du développement et des relations institutionnelles de Clear Channel France.

C'est grâce à ces documents que Clear Channel pourra se faire rembourser pour le travail effectué, dans chaque département, auprès des Préfectures. A raison de 2,02 euros par grande affiche et de 1 euro par petite.

Coller les affiches de Philippe de Villiers, François Bayrou ou Olivier Besancenot est en tout cas une affaire rentable pour le numéro un mondial de l'affichage publicitaire. D'après Philippe Jay, la marge visée est d'environ 50%. Soit près de 1,5 million d'euros.

Le tout pour environ huit jours de travail pour le millier de "colleurs" qui sera mobilisé par Clear Channel, à partir du lundi 9 avril 00H00, début de la campagne officielle.

Paradoxalement, le groupe américain était seul en lice pour ce marché. Aucun des autres groupes spécialisés dans l'affichage publicitaire, le Français JCDecaux ou l'Américain Viacom, ne s'étaient mis sur les rangs, selon M. Jay.

Une information confirmée au siège de campagne de José Bové.

"Il n'y avait pas le choix", a expliqué Roland Mérieux, le mandataire financier du candidat altermondialiste. "On s'est renseigné, mais aucune autre entreprise ne semblait être capable de coller ces affiches, en fait il y a visiblement eu des pré-accords entre eux, on est dans un système libéral jusqu'à preuve du contraire", a-t-il ironisé.

De fait, Clear Channel domine ce marché de l'affichage politique depuis la présidentielle de 2002, quand l'entreprise avait déjà "collé" pour 7 des 16 candidats. Régionales de 2004, européennes de 2004, et maintenant présidentielle 2007, avec 100% des candidats dans son portefeuille: le groupe américain est aujourd'hui en situation de monopole.

Jean-Marie Le Pen, Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal, Dominique Voynet, Arlette Laguiller: de l'extrême droite à l'extrême gauche, Clear Channel s'est engagé à "coller professionnellement". Selon M. Jay, "tous les partis ont l'assurance d'être collés dans les mêmes conditions (...), sans jugement de valeur".

Salut ,

Même pô drooooooooole .

Il y aura plus de baston entre colleurs d'affiches .

Tout se perd en France !!!!...

MODE PROVOQ OFF je ... bigbisous

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Le nombre d'enquêtes d'opinion publiées pour la présidentielle va atteindre un record,

se situant dans les 250 à horizon du 6 mai, selon la commission des sondages,

mais la hausse par rapport à 2002 tient pour beaucoup

au sondage quotidien d'un institut et à la primaire PS.

Quand aux prévisions des sondages

par rapport à la réalité

on devrait être vacciné...

Et bien non, on en redemande paraît-il...

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Quatre Français sur dix restent indécis

A 14 jours du premier tour, c'est chez les électeurs de François Bayrou que l'on trouve la plus forte proportion d'indécis: 52%, contre 38% parmi les électeurs de Ségolène Royal et 35% parmi ceux de Nicolas Sarkozy.

La campagne officielle pour l'élection présidentielle commence lundi. Encore deux semaines avant le choix final.

© AFP

A deux semaines du premier tour de l'élection présidentielle, la proportion d'indécis reste très importante: si 58% des Français se disent tout à fait sûrs de leur choix, 42% déclarent pouvoir encore changer d'avis, selon un sondage CSA-CISCO publié dimanche 8 avril dans Le Parisien/Aujourd'hui en France.

Parmi les quatre candidats crédités des meilleurs scores au premier tour, c'est chez les électeurs de François Bayrou (UDF) que l'on trouve la plus forte proportion d'indécis (52%).

Même proportion pour Royal, Sarkozy et Le Pen.

La part des électeurs pouvant encore changer d'avis est relativement voisine pour les trois autres candidats: 38% d'indécis parmi les électeurs de Ségolène Royal (PS), 35% parmi ceux de Nicolas Sarkozy (UMP) et 32% parmi ceux de Jean-Marie Le Pen (FN).

"Bayrou peut terminer entre 12 et 29%"

Dans un entretien au Parisien Dimanche, Roland Cayrol, directeur général de l'institut CSA, explique que la proportion d'indécis est plus élevée chez les électeurs du candidat centriste car François Bayrou "est le réceptacle des déçus, provisoires de Ségolène et de Sarko. Ses électeurs ne se sont pas complètement identifiés à leur nouveau choix. Ils se demandent s'ils vont aller jusque-là."

"La marge de progression -ou de régression- de Bayrou est la plus forte de tous les candidats. Il peut terminer entre 12 et 29%", affirme Roland Cayrol. (avec AP)

Sondage réalisé par téléphone du 28 février au 29 mars auprès d'un échantillon national représentatif de 3.587 personnes âgées de 18 ans et plus inscrites sur les listes électorales, constitué d'après la méthode des quotas.

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Les RG éliminent SégolèneRoyal au 1er tour

Info Obs Une enquête des Renseignements généraux donne Nicolas Sarkozy en tête devant Jean-Marie Le Pen et François Bayrou au coude à coude. Les RG démentent. Nouvelobs.com maintient.

Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal, François Bayrou et Jean-Marie Le Pen (Reuters)

La Direction Centrale des Renseignements Généraux est en possession d’une enquête confidentielle sur l’état de l’opinion qui annonce l’élimination de Ségolène Royal au 1 er tour. Cette enquête, effectuée dans le cadre des missions de prise de température de l’opinion sur des thèmes non politiques, baptisée "Mercure", est effectuée sur un échantillon de 15.000 personnes sur tout le territoire français. Officiellement, les Renseignements Généraux ne font plus de sondages électoraux. Mais, ces dernières semaines, les RG régionaux ont eu pour consigne de faire remonter des informations sur le vote du premier tour.

Déflagration

Les informations, centralisées, cette semaine, par une cellule d’une dizaine de fonctionnaires, rue des Saussaies, à Paris, sont destinées à nourrir la réflexion du ministre de l’Intérieur. Ce sondage "Mercure", donnant Nicolas Sarkozy en tête, Ségolène Royal éliminée, et François Bayrou et Jean-Marie Le Pen au coude à coude, avec une "conjoncture positive" pour ce dernier, pourrait annoncer un deuxième tour entre Nicolas Sarkozy et le leader du Front National.

Cette information, que la place Beauvau ne peut révéler, pourrait provoquer une déflagration politique. Certains informateurs précisent que l’annonce d’une défaite possible de la candidate socialiste au premier tout pourrait réveiller les indécis et les encourager à retourner vers un vote en sa faveur dès le premier tour. "Certains candidats, Sarkozy, ou Bayrou, n’ont aucun intérêt à divulguer les résultats de ce sondage, souligne un fonctionnaire des RG. La révélation de cette info pourrait faire remonter Madame Royal…"

Les RG démentent

Les Renseignements généraux (RG) ont démenti en fin d'après-midi avoir réalisé une telle enquête. "Depuis le 15 juillet 2004, nous n'avons plus le droit de nous livrer à des prévisions électorales", a-t-on déclaré à la Direction des RG. "Cet article n'a aucun fondement de vérité", a-t-on ajouté.

Selon une source proche des RG, en aucun cas ce service ne serait livré à une telle enquête, a fortiori sur 15.000 personnes, ce qui aurait exigé des moyens considérables.

En revanche, on n'exclut pas que le secrétariat général ou un autre service du ministère de l'Intérieur ait commandé une enquête d'opinion à un institut spécialisé, comme cela a été fait il y a quelques mois en liaison avec d'autres organismes.

Confirmation

Selon nos sources, contrairement au démenti officiel, les RG ont bien livré une enquête sur les intentions de vote des Français. "Ils ne peuvent faire autrement que nier cette activité, car elle est devenue illégale depuis trois ans", confirme un collaborateur du ministère de l'Intérieur, qui poursuit: "En réalité, il ne s'agit pas à proprement parler d'un sondage, mais plutôt d'une étude qualitative améliorée". Nicolas Sarkozy y est largement en tête, entre 25 et 26 %, suivi de loin, à 19 %, par Le Pen, Bayrou, et, dans un mouchoir, Ségolène Royal. Cette dernière est donc légèrement distancée et peut revenir dans la course à tout moment. C'est pour cette raison que la direction centrale des RG dément sa "disqualification" au 1er tour, selon l'expression même des enquêteurs. S.R.

nouvelosbs.com

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Arnaque, manipulation, mattraquage...??? :)

Ce qui semble certain c'est que Sarkozy chûte dans les sondages. En une semaine il a perdu au moins 5 points selon plusieurs instituts de sondage passant de 30 à 25 %...

Sûrement un problème de "gênes"...

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Arnaque, manipulation, mattraquage...??? :)

Ce qui semble certain c'est que Sarkozy chûte dans les sondages. En une semaine il a perdu au moins 5 points selon plusieurs instituts de sondage passant de 30 à 25 %...

Sûrement un problème de "gênes"...

Ah! toi aussi tu maintiens qu'on nait cocu helpsosookokhelpsoso helpsoso

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Sondage CSA-Cisco pour Le Parisien, Aujourd'hui en France et I Télé, réalisé le 16 avril

Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal sont à égalité à 50% chacun d'intentions de vote pour le second tour de l'élection présidentielle, selon un sondage CSA-Cisco pour Le Parisien, Aujourd'hui en France et I Télé.

C'est la première fois que la candidate socialiste se retrouve au coude à coude avec son rival de l'UMP depuis les 21 et 22 mars, où deux sondages LH2 et CSA donnaient également ce résultat.

Toutes les autres enquêtes d'intention de vote publiées depuis le 15 janvier donnaient Nicolas Sarkozy vainqueur au second tour.

C'était le cas notamment du précédent sondage de CSA, réalisé les 11 et 12 avril, qui créditait le candidat de l'UMP de 51% et sa concurrente du PS de 49%.

L'écart se resserre au premier tour, où Nicolas Sarkozy obtient 27% (+1) précédant Ségolène Royal 25% (+2) et François Bayrou, en recul de deux points à 19% devant Jean-Marie Le Pen à 15,5% (+ 0,5).

Des huit autres candidats c'est Olivier Besancenot qui est crédité du meilleur score avec 4% (=). Suivent Marie-George Buffet à 2% (-0,5) et Dominique Voynet également à 2% (+1). Frédéric Nihous (-0,5%), Philippe de Villiers (=) et José Bové (=) sont à 1,5% d'intentions de vote chacun. Arlette Laguiller est à 1% et Gérard Schivardi est sous la barre des 0,5%.

Selon CSA, le taux d'abstention et de bulletins blancs ou nuls serait de 21% au 1er tour et de 24% au second.

- Sondage réalisé par téléphone le 16 avril auprès d'un échantillon de 1006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la commission des sondages. (AFP

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L'institut 3C Etudes donne

Ségolène Royal en tête au 1er tour

Le sondage crédite la candidate PS de 25% des intentions de vote. Nicolas Sarkozy, François Bayrou et Jean-Marie Le Pen seraient au coude-à-coude avec un score situé entre 17 et 20%.

© AFP

Depuis quelques jours, l’institut de sondages tunisien 3C Etudes publie une enquête d'opinion réactualisée en permanence. L'institut, qui a, d'abord, publié des résultats bruts -c'est-à-dire avant corrections- de ses enquêtes, devait donner, vendredi 20 avril à 19h00 GMT (21h00 à Paris), le sondage corrigé.

Selon ses estimations, Ségolène Royal devrait réaliser un score situé autour de 25%, Nicolas Sarkozy, François Bayrou et Jean-Marie Le Pen obtenant chacun entre 17 et 20% des intentions de vote.

- Enquête 3C Etudes en cours de réalisation par téléphone auprès d'un échantillon de 1000 personnes, représentatif de la population française de France métropolitaine âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas (sexe, âge, PCS, région). Dates de passation : 18, 19 et 20 avril 2007.

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L e dernier que j'ai trouvé est interdit en France

il a été publié cet aprés midi sur dle site de La Tribune de Genéve.

Un sondage interdit montre un resserrement entre les trois favoris

EXCLUSIF | 17h05 Depuis vendredi minuit, les sondages ne peuvent plus être publiés dans les médias français. Mais ils continuent de circuler dans un petit cercle d’initiés. La Tribune de Genève et 24 heures ont pu avoir accès à l’un d’eux. Qui montre que rien n’est encore véritablement joué.

Le blog de Claude Ansermoz, notre correspondant à Paris

Ce samedi matin, les sondages sont officiellement interdits de publication dans la presse française. Ce qui n’empêche pas les instituts de poursuivre leurs enquêtes d’opinion et de les présenter à quelques happy few (garde rapprochée des candidats, journalistes, politologues, chefs d’entreprise) lors de petits déjeuners « exclusifs ». La Tribune de Genève et 24 heures ont pu avoir accès à l’un de ces précieux et derniers sondages, sous couvert de la protection des sources (on rappelle que les médias français risquent 75 000 euros d’amende en cas de divulgation de ces chiffres). Réalisé vendredi 20 avril auprès de 1 000 personnes selon la méthode des quotas, ce sondage montre que Nicolas Sarkozy baisse à 26% et le Pen à 12,5%. Chemin inverse pour Ségolène Royal (23 %) et François Bayrou (20,5%).

Notre insider nous a également fourni, chose extrêmement rare, les données brutes de cette étude. C'est-à-dire avant que ces chiffres ne soient redressés par les instituts pour corriger certaines estimations, notamment le vote caché des électeurs du Front National. A ce jeu là, Nicolas Sarkozy (25%) est toujours en tête, mais son avance sur Ségolène Royal et François Bayrou (tous les deux à 24%) est minime. De son côté, Jean-Marie Le Pen est à 5%.

C’est le cas du candidat centriste qui est le plus intéressant. D’abord, parce que le nombre d’électeurs qui sont désormais certains de voter pour lui a explosé en deux jours (de 39 à 61%). Ensuite, parce qu’il l’emporterait assez facilement s’il se qualifiait au second tour, quel que soit son contradicteur (à 55% contre Sarkozy et à 58% contre Royal). « Enfin, poursuit notre interlocuteur, le vote des indécis, des nouveaux inscrits et des jeunes de banlieue semble incliner vers le président de l’UDF ».

Il semble que ce resserrement, toujours selon notre spécialiste, se constate chez tous les instituts de sondage, sauf CSA. Pour ce dernier, selon des chiffres publiés hier sur le site internet du Parisien, c’est Jean-Marie Le Pen qui serait désormais le troisième homme (16,5%) juste devant François Bayrou (16%). Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal seraient loin devant et au coude à coude, avec respectivement 26,5% et 25,5%.

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TNS-Sofres donne Nicolas Sarkozyà 51% et Ségolène Royal à 49%

Il s'agit du plus faible écart entre les deux candidats dans les sondages publiés depuis le premier tour. 25% des voix de François Bayrou se reporteraient sur le candidat de l'UMP et 46% sur sa rivale socialiste.

Nicolas Sarkozy recueillerait 51% des voix au second tour de la présidentielle et Ségolène Royal 49%, selon un sondage TNS-Sofres pour RTL, Le Figaro et LCI rendu public mardi 24 avril. Il s'agit du plus faible écart entre les deux candidats dans les sondages publiés depuis le premier tour. Les six précédentes enquêtes donnaient entre 52% et 54% à Nicolas Sarkozy, entre 46% et 48% à Ségolène Royal. 25% seulement des voix de François Bayrou se reporteraient sur Nicolas Sarkozy et 46% sur Ségolène Royal, le reste des électeurs Bayrou s'abstenant.

- Sondage réalisé par téléphone lundi et mardi auprès de 1.000 personnes de plus de 18 ans inscrites sur les listes électorales (méthode des quotas). Notice détaillée disponible auprès de la Commission des sondages.

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TNS-Sofres donne Nicolas Sarkozyà 51% et Ségolène Royal à 49%

Il s'agit du plus faible écart entre les deux candidats dans les sondages publiés depuis le premier tour. 25% des voix de François Bayrou se reporteraient sur le candidat de l'UMP et 46% sur sa rivale socialiste.

(...)

Mais rien n'est perdu en effet !!!!

Si, mathématiquement, S. Royal ne peut pas gagner il tombe bien que les élections ne soient pas une équation d'algèbre ! Je suis convaincue que "l'avènement" annoncé de Sarkozy peut faire un gros flop le jour J !!! Si tous les électeurs à sensibilité de gauche et tous les allergiques au monsieur vont voter il pourrait bien avoir des surprises !

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Allez le p'tit dernier sorti tout frais...

Sondage CSA: Sarkozy 52% (-1,5), Royal 48%

PARIS (AFP) - Nicolas Sarkozy battrait Ségolène Royal par 52% (-1,5) contre 48% (+1,5), selon un sondage CSA-CISCO réalisé mercredi 25 avril pour Le Parisien, Aujourd'hui en France et I-Télé, rendu public jeudi par Le Parisien.

19% des électeurs s'abstiendraient ou voteraient blanc ou nul le 6 mai (-1).

Sur 100 électeurs de François Bayrou le 22 avril, 47 voteraient pour Ségolène Royal (+2), 35 (-4) voteraient pour Nicolas Sarkozy et 18 s'abstiendraient (+2).

Sur 100 électeurs de Jean-Marie Le Pen le 22 avril, 21 voteraient Royal (+2), 61 Sarkozy (+1) et 18 s'abstiendraient (-3).

Sur 100 électeurs d'Olivier Besancenot, 66 voteraient Royal (+7), 7 Sarkozy (+3) et 27 s'abstiendraient (-10).

La comparaison est faite avec le sondage CSA fait le 22 avril après l'annonce des résultats du premier tour.

C'est le douzième sondage réalisé depuis le 22 avril donnant M. Sarkozy vaniqueur le 6 mai, avec des scores allant de 51% à 54%.

Sondage réalisé mercredi 25 avril par téléphone, auprès d'un échantillon représentatif de 1005 personnes âgées de 18 ans et plus inscrites sur les listes électorales (méthode des quotas).

Notice détaillée disponible à la commission des sondages.

HiHiHi... ils z'ont pas trouvé les 100 électeurs de Schivardi...

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Les "Bayrouistes" de plus en plus tentés de voter Royal au second tour

Selon deux sondages LH2 et Ifop réalisés en partie après le débat Royal-Bayrou, la proportion des électeurs du leader centriste au premier tour voulant voter Ségolène Royal au second est en augmentation. Nicolas Sarkozy est cependant toujours donné gagnant dans ces deux sondages.

(Reuters)

Deux sondages réalisés en partie samedi, c'est-à-dire après le débat entre la candidate PS Ségolène Royal et l'ancien candidat UDF François Bayrou, et publiés lundi 30 avril, montrent une augmentation du vote socialiste au second tour chez les électeurs centristes du premier tour. Nicolas Sarkozy est cependant donné gagnant dimanche prochain dans les deux cas.

Selon un sondage LH2 pour RMC, BFM TV et 20 minutes, parmi les électeurs de François Bayrou, 55% se reporteraient sur la candidate socialiste, contre 45% sur le candidat UMP (contre 50-50 le 22 avril au soir).

Toujours selon LH2, Nicolas Sarkozy l'emporterait au second tour de la présidentielle par 52% (-2) des voix contre 48% (+2) à Ségolène Royal.

80% des personnes interrogées disent avoir fait définitivement leur choix, 12% ont une préférence marquée pour un candidat tout en pouvant encore changer d'avis, et 8% hésitent encore.

74% des électeurs de Jean-Marie Le Pen choisiraient le candidat UMP le 6 mai, et 26% Ségolène Royal (contre 90-10 au soir du premier tour le 22 avril).

57% des "Barouyistes" derrière Royal selon Ifop

Selon un autre sondage, réalisé par l'institut Ifop à paraître cette semaine dans Paris Match, 57% des électeurs de François Bayrou (+4 par rapport à un sondage du même institut publié samedi) choisiraient Ségolène Royal au second tour, contre 43% (-4) pour Nicolas Sarkozy.

Nicolas Sarkozy l'emporterait au second tour de la présidentielle par 53% (+0,5) des voix, contre 47% (-0,5) à Ségolène Royal, selon ce sondage.

Parmi les électeurs de second tour de la candidate socialiste, 85% se disent sûrs de leur choix, contre 15% qui peuvent encore changer d'avis. Parmi ceux du candidat UMP, la proportion est de 84% et 16%.

Selon cette enquête, 89% des électeurs de Jean-Marie Le Pen (+12) se reporteraient sur le candidat UMP, contre 11% (-12) pour la socialiste, selon cette enquête.

Quant à ceux qui avaient donné leur voix aux candidats d'extrême gauche (Gérard Schivardi, Arlette Laguiller, Olivier Besancenot et José Bové), ils voteraient le 6 mai à 79% pour Ségolène Royal, contre 21% pour Nicolas Sarkozy.

- Sondage LH2, réalisé les 27 et 28 avril par téléphone auprès d'un échantillon de 1.002 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).

Notice détaillée disponible à la commission des sondages. Sondage Ifop réalisé les 27 et 28 avril par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 956 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus inscrite sur les listes électorales (méthode des quotas).

Notice détaillée consultable à la commission des sondages.

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