Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Sarkzoy Veut Encadrer Le Droit De Grève Pour Réformer Librement


Messages recommandés

  • Réponses 65
  • Création
  • Dernière réponse

Les plus actifs dans ce sujet

Autrefois, je votais pour le meilleurs des candidats a mes yeux, mais depuis deja plusieurs année je choisis le moins pire (c'est deja plus pareil).

Pour la prochaine présidencielle les candidats en course qui sont crédibles sont vraiment tres peu nombreux. Apres avoir entendu S.Royale a France-Info durant son discourt de Dimanche j'ai été surpris par le ton employé, ça manquait de conviction de plus les mesures proposées me semblent ne pas avoir été suffisament développés tout cela est tres vagues pour un choix qui va engagé le pays pour plusieurs années (parfois bien a dela de la presidence de 5 ans). En bref je n'ai pas l'impression que S.Royale ait la "carure" d'une presidentiable et si N.Sarkozy ne se prends pas les pieds dans le tapis d'ici là, c'est joué.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Exactement okok

Sauf que je ne vois pas bien le pourquoi des 10 ans ? Quand la France se réveillera douloureusement de 5 ans d'aire SARKO, à moins qu'elle soit un peu maso ( quelques fois on se demande si ce n'est pas le cas !) je doute qu'elle en reprenne pour 5 ans supplémentaire nonmais

Humour inside okok

Sarko élu en mai 2007, on peut imaginer que la constituion a été modifiée, que le président est elu a vie donc pas de question a se poser sur la réélection du président sortant, que la guillotine a été remontée spécialement pour Villepin et que les goulags de lozère ont été etrennés par la famille Chirac , suivis de pres par les dirigeants de gauche... sans parler des ministères clefs attribués aux grand propriétaires des medias francais... okok

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Autrefois, je votais pour le meilleurs des candidats a mes yeux, mais depuis deja plusieurs année je choisis le moins pire (c'est deja plus pareil).

Pour la prochaine présidencielle les candidats en course qui sont crédibles sont vraiment tres peu nombreux. Apres avoir entendu S.Royale a France-Info durant son discourt de Dimanche j'ai été surpris par le ton employé, ça manquait de conviction de plus les mesures proposées me semblent ne pas avoir été suffisament développés tout cela est tres vagues pour un choix qui va engagé le pays pour plusieurs années (parfois bien a dela de la presidence de 5 ans). En bref je n'ai pas l'impression que S.Royale ait la "carure" d'une presidentiable et si N.Sarkozy ne se prends pas les pieds dans le tapis d'ici là, c'est joué.

Je suis comme toi. J'attendais beaucoup du discours de Ségolène mais je suis resté sur ma faim. On parle de démagogie chez Sarko mais elle n'a pas fait mieux. C'est bien beau de faire des promesses mais encore faut il les financer et à ce sujet, rien de rien. De plus, concernant des thèmes importants comme le problème de l'avenir des retraites, rien non plus.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Autrefois, je votais pour le meilleurs des candidats a mes yeux, mais depuis deja plusieurs année je choisis le moins pire (c'est deja plus pareil).

Je suis tout à fait d'accord avec toi

Pour la prochaine présidencielle les candidats en course qui sont crédibles sont vraiment tres peu nombreux. Apres avoir entendu S.Royale a France-Info durant son discourt de Dimanche j'ai été surpris par le ton employé, ça manquait de conviction de plus les mesures proposées me semblent ne pas avoir été suffisament développés tout cela est tres vagues pour un choix qui va engagé le pays pour plusieurs années (parfois bien a dela de la presidence de 5 ans). En bref je n'ai pas l'impression que S.Royale ait la "carure" d'une presidentiable et si N.Sarkozy ne se prends pas les pieds dans le tapis d'ici là, c'est joué.

Je pense en effet qu'elle manque d'envergure et d'expèrience dans des grands ministères.Et en ce qui concerne les mesures qu'elle propose je suis curieux de savoir comment elle va financer tout cela.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

salut a tous...

ma fois pour en discuter avec un peu tout le monde ...

meme si c est po specialement mon truc j en suis a attendre de potasser le programme de bayrou...

malheureusemement j ai l impression qu il n y en a pas vraiment un pour relever l'autre ...

comme l'a dit vinces... "choisir le moins pire" ca risque meme de pas etre evident!!!

bonne soiree a tous

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un petit site intéressant avec un comparatif des programmes des différents candidats

et un système de recherche (thème, mot...)

http://www.votons.info/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis tout à fait d'accord avec toi

Je pense en effet qu'elle manque d'envergure et d'expèrience dans des grands ministères.Et en ce qui concerne les mesures qu'elle propose je suis curieux de savoir comment elle va financer tout cela.

Juste parce que cela m'agace : tous les commentateurs s'entendent à dire que - à 2 ou 3 milliards d'euros près, une bricole - S. Royal et N. Sarkozy ont le même "cout" de programme : pourquoi est-ce-que je n'entends parler du problème du financement QUE pour Ségolène Royal ???????? Aucun info, à ma connaissance, sur la manière dont le candidat de l'Ump va financer son programme... Comprends pas.... !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le Sarkoshow continue...

mardi 13 février 2007, 20h00

Nicolas Sarkozy veut une loi "dès juin" sur le service minimum

PARIS (AP) - Nicolas Sarkozy veut, s'il est élu président, "une loi dès juin" instaurant un service minimum dans les transports et les autres services publics.

"Je veux un service minimum dans les transports et les autres services publics. C'est la contrepartie du monopole", explique le candidat UMP dans un entretien paraissant mercredi dans "Les Echos". "Sur ce point, il y aura une loi dès juin".

Par ailleurs, Nicolas Sarkozy veut "poser la question du vote à bulletin secret dans les entreprises, les universités, les administrations au bout de huit jours de grève". AP

*****

C'est la contrepartie du monopole :

quid de l'ouverture au privé ?

Et si c'est un monopole privé ?

Au bout de 8 jours de grève :

1986

1995

...

et quelques grèves locales

Quel cauchemard !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

....

C'est la contrepartie du monopole :

quid de l'ouverture au privé ?

Et si c'est un monopole privé ?

.....

+1 pascontent en lisant cela seul les Agents assurant un train de voyageur serait concerne aujourd'hui puisque le fret est deja ouvert a la concurence

Modifié par Vinces
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je suis comme toi. J'attendais beaucoup du discours de Ségolène mais je suis resté sur ma faim. On parle de démagogie chez Sarko mais elle n'a pas fait mieux. C'est bien beau de faire des promesses mais encore faut il les financer et à ce sujet, rien de rien. De plus, concernant des thèmes importants comme le problème de l'avenir des retraites, rien non plus.

+1 pascontent je reste dans les indécis okok entre le sarko qui veut tout casser et la dame que je trouve molasse mais bon courage il reste un peu de temps avant le premier tour :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Juste parce que cela m'agace : tous les commentateurs s'entendent à dire que - à 2 ou 3 milliards d'euros près, une bricole - S. Royal et N. Sarkozy ont le même "cout" de programme : pourquoi est-ce-que je n'entends parler du problème du financement QUE pour Ségolène Royal ???????? Aucun info, à ma connaissance, sur la manière dont le candidat de l'Ump va financer son programme... Comprends pas.... !

Bonjour

Certainement parceque les medias sont à la solde du ministre-candidat

http://www.monde-diplomatique.fr/2006/09/BENILDE/13928

http://www.acrimed.org

Bonne journée

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un livre vient de paraitre

"Pourquoi la droite est elle dangereuse."

de Jacques Généreux

Présentation de l’éditeur

Au printemps 2002, les socialistes convaincus que la campagne de Lionel Jospin menait à la catastrophe s’étaient tu pour ne pas affaiblir davantage leur candidat. J.G. était de ceux là, dont le silence a seulement étouffé une chance d’éviter la catastrophe. Il a désormais résolu de ne plus se taire. Il s’engage résolument contre toute tentative de quelque candidat(e) que ce soit, socialiste ou UMP, de brouiller dans un discours racoleur le clivage qui oppose plus que jamais la droite néolibérale et la gauche socialiste. Une campagne socialiste qui, comme en 2002, au prétexte de gagner des voix sur la droite, viserait un rassemblement au centre en affichant des convergences avec la droite (sur la sécurité, l’éducation, l’Europe, etc.), conduirait à nouveau la gauche à la défaite. Or l’enjeu de l’élection qui vient est bien plus grave que par le passé. Car la droite a radicalement changé de nature et avec elle l’enjeu véritable du débat et des élections. Jusqu’aux années 1990, l’enjeu d’une alternance était une orientation plus ou moins libérale des politiques économiques et sociales, dans le cadre d’un modèle social et républicain largement commun et d’une conception convergente de l’Union Européenne. Le quinquennat qui vient de s’écouler révèle que la nouvelle droite française est engagée, comme partout dans le monde développé, dans un projet de transformation radicale du modèle de société qui s’était imposé depuis l’Après-guerre.

Mais beaucoup d’acteurs et de commentateurs du débat public conçoivent encore l’enjeu des élections avec la grille de lecture ancienne et totalement obsolète. Ainsi, on oppose une droite plus soucieuse de réalisme économique et de la performance des entreprises à une gauche plus préoccupée par la redistribution et les droits sociaux ; une droite survalorisant la sécurité et privilégiant la répression de la violence, à une gauche plus attachée à la prévention et à l’éducation ; une droite fidèle à la Ve République et une gauche aspirant à une démocratie plus parlementaire et participative, une droite visant une Europe plus libérale face à une gauche en quête d’Europe sociale. L’alternative en jeu dans l’élection opposerait donc deux conceptions différentes de l’efficacité économique, de la sécurité publique, de l’Europe et de la démocratie, deux chemins différents en quête de finalités au fonds similaires.

Contresens fatal explique J.G. qui démontre qu’en réalité le projet idéologique et la pratique politique de la nouvelle droite néo-conservatrice détruisent les perspectives de progrès économique, maximisent l’insécurité, menacent la paix civile, détruisent le projet européen et bafouent la démocratie. La droite néo-conservatrice ne vise plus une démocratie de marché efficace qui surmonte les tensions sociales par la prospérité générale. Elle vise une dissociété des individus livrés à la guerre économique, privés de tout pouvoir pour orienter collectivement leur destin, disciplinés par la peur ou la pression morale de leur « communauté », au prix, le cas échéant d’une restriction croissante des libertés publiques. Il n’est pas anodin que Nicolas Sarkozy ne cache pas son admiration pour l’administration Bush qui est la plus avancée dans l’accomplissement du modèle néo-conservateur. Ce projet est en réalité contraire aux intérêts du plus grand nombre, y compris de celui de l’immense majorité des électeurs de droite.

La nouvelle droite est aussi dangereuse pour une raison plus insidieuse et plus redoutable : elle a en partie gagnée la bataille culturelle, la bataille des idées et des valeurs, au point que nombre d’élites à gauche adhèrent désormais au culte de la responsabilité de soi et de la performance individuelle, approuvent la chasse aux « déviants » ou aux parasites qui vivent des indemnités de chômage, expliquent la nécessité d’adapter notre système social et fiscal aux exigences imposées par la guerre économique mondiale, etc. Il s’ensuit un brouillage complet du clivage gauche - droite qui transforme l’élection présidentielle en compétition des personnalités et non plus des projets politiques et qui, partout en Europe nourrit l’abstention ou le vote protestataire aux extrêmes.

Là se trouve une source essentielle de la défection des classes populaires qui a conduit bien des socialistes et des sociaux-démocrates à la défaite électorale. Le drame pour la gauche européenne est que la réaction de ces derniers a jusqu’ici consisté à prendre acte de la défection de l’électorat populaire et à renforcer leur dérive centriste pour prendre des voix à la droite. L’intention de J.G. est clairement ici de faire pression sur le ou la candidat(e) socialiste pour renoncer à cette stratégie suicidaire qui a déjà conduit à l’effondrement du candidat socialiste le 21 avril 2002.

Pour J.G. la gauche doit en effet conquérir une partie de l’électorat de la droite. Mais elle n’y parviendra pas en « droitisant » son discours, en brouillant son opposition au projet de la droite, et en renonçant à reconquérir d’abord la confiance des petits, des sans-grade, des estropiés de la compétition sauvage... Elle peut le faire en expliquant combien le projet de la nouvelle droite est dangereux pour la paix civile, pour la sécurité des personnes, pour la prospérité de notre économie, pour la démocratie et pour la préservation de l’Union européenne.

Biographie de l’auteur

J.G. est désormais l’un des économistes de gauche les plus en vue, connu pour sa pédagogie, ses émissions de radio, ses chroniques et ses nombreux best-sellers de l’initiation à l’économie. Il est aussi l’auteur de nombreux essais politiques, notamment du best-seller des partisans du «non » à la constitution européenne (Manuel critique du parfait Européen - 16000 ex.) et cette automne de La Dissociété. Membre du Conseil national du parti socialiste, membre de la direction du courant NPS (Emmanuelli - Peillon), il a fait campagne pour l’investiture de Laurent Fabius pour l’élection présidentielle.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce que ferait Sarkozy les 100 premiers joursx.gifx.gif

2209841.gifLe candidat détaille dans Le Parisien les mesures qu'il entend prendre au cours des 100 premiers jours de son mandat s'il est élu.

2209841.gifIl promet de faire voter un "paquet fiscal" dès juillet qui comprendra notamment la défiscalisation des intérêts de l'emprunt pour l'achat d'un appartement.

- le 21/02/2007 - 09h08

Dans une interview publiée mercredi par Le Parisien, Nicolas Sarkozy annonce toutes les mesures qu'il entend prendre au cours des 100 premiers jours de son mandat, s'il est élu. Il s'engage ainsi à voter dès juillet un collectif budgétaire qui comprendra : l'exonération de cotisations sociales et d'impôts sur le produit des heures supplémentaires, qui seront payées de la même façon dans toutes les entreprises ; la défiscalisation des intérêts de l'emprunt pour l'achat d'un appartement ; la suppression des droits sur les successions et les donations "pour 90% des Français"; la possibilité pour un contribuable soumis à l'impôt sur la fortune d'investir jusqu'à 50.000 euros dans des PME françaises "quelles qu'elles soient, c'est-à-dire pas seulement les plus innovantes".

La question de l'abaissement du bouclier fiscal de 60% à 50% du revenu, "plus complexe", sera traitée à l'automne, précise le candidat, qui entend aussi défiscaliser "pour dix ans" les biocarburants et demander aux partenaires européens de la France la baisse à 5,5% de la TVA sur les produits écologiques.

Pas de piquet de grève

Nicolas Sarkozy souhaite aussi engager un "paquet social" qui comprendra les mesures dont il ne "discute pas et celles qui seront soumises à la concertation". "Ainsi, la loi sur le service minimum dans les services publics n'a pas à être discutée. Elle est plébiscitée par les Français (...) Elle sera votée à l'été." "C'est la même chose pour le vote obligatoire à bulletins secrets au bout de huit jours de grève dans les entreprises et les universités en grève", ajoute Nicolas Sarkozy, qui précise que si la majorité est favorable à la reprise du travail, la minorité pourra continuer à faire grève. "Cela veut juste dire qu'il n'y aura pas (...) de piquets de grève."

Le candidat de l'UMP réaffirme son intention de réformer les régimes spéciaux de retraite : "La négociation commencera tout de suite. Il faudra être prêt pour 2008." En ce qui concerne la lutte contre la délinquance, il promet deux réformes rapides : l'abaissement de la majorité pénale de 18 à 16 ans pour les mineurs récidivistes ; des peines planchers pour les multirécidivistes majeurs (50% de la peine prévue à la première récidive, 75% à la deuxième, 100% à la troisième).

http://neufportail.lci.fr/infos/elections-...ers-jours-.html

si la majorité est favorable à la reprise du travail, la minorité pourra continuer à faire grève. "Cela veut juste dire qu'il n'y aura pas (...) de piquets de grève."

Là je ne comprends pas cartonrouge

Modifié par ____
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant



×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.