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Le Web des Cheminots

Service Minimum


Invité ____

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Oui, c'était peut être un peu abrupte comme intervention, mais bon, je ne pense pas être le seul à avoir fait le rapprochement, ma première visite au Bourget m'a surpris, j'y ai découvert l'UNSA à l'exécution, alors que d'habitude, ce sont plutôt des sections maîtrises et cadres, d'ailleurs dans mon dépôt, il n'y a que les CTT qui sont UNSA, et ils vont tirer nos trains même quand leur Fédération appelle aussi à la grève...

Sur Paris-Est il y a (vait) une section UNSA chez les ASCT

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Sur Paris-Est il y a (vait) une section UNSA chez les ASCT

Hello,

Il y a même quelques mécanos aujourd'hui...

Le souci, c'est qu'à l'UNSA on peut trouver les mecs les plus impartiaux du monde, et aussi des mecs qui ont leur carte pour être peinards, mais qui se foutent à plat ventre quand on leur demande, pour aller tirer des trains par exemple.

Ce qui me choque plus avec l'UNSA, c'est qu'ils foutent ces mecs là dans les IRP, notamment au CHSCT, et ces personnes passent plus de temps à critiquer les questions des autres représentants qu'à poser les leurs... Et je ne crois pas que ce soit leur rôle.

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En tout cas, on parlait du rh plus haut, et bien chacun l'interprète comme ça l'arrange, et en particulier à la banlieue... Faut voir les mégas magouilles de "ouf" que certains font pour ne surtout pas dormir en rhr (bagnole en bout de ligne, quelques heures de sommeil et ça repart), les 2 journées en une pour avoir son tgv plus tôt, etc... etc... Si la direction était si méchante que cela...

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En tout cas, on parlait du rh plus haut, et bien chacun l'interprète comme ça l'arrange, et en particulier à la banlieue... Faut voir les mégas magouilles de "ouf" que certains font pour ne surtout pas dormir en rhr (bagnole en bout de ligne, quelques heures de sommeil et ça repart), les 2 journées en une pour avoir son tgv plus tôt, etc... etc... Si la direction était si méchante que cela...

Et le pire, c'est que ce sont souvent les mêmes, qui gueulent auprès de la commande pour que le RH soit respecté, ou bien quand on supprime des découchés dans le roulement !

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En tout cas, on parlait du rh plus haut, et bien chacun l'interprète comme ça l'arrange, et en particulier à la banlieue... Faut voir les mégas magouilles de "ouf" que certains font pour ne surtout pas dormir en rhr (bagnole en bout de ligne, quelques heures de sommeil et ça repart), les 2 journées en une pour avoir son tgv plus tôt, etc... etc... Si la direction était si méchante que cela...

Disons que certains ont une lecture très sélective et oubli de voir qu'il y a écrit "dans la mesure du possible", "en cas de circonstances accidentelles", ... Et ne prenne que ce qui leur va bien. Et comme tu dis tu leur mets qq chose qui dépasse de une minute ils hurlent mais qd ils ne dorme que 4h car ils ont mis la voiture, ...

Après doubler leur journée c'est bien mais ce sont ceux-là même qui n'assume pas lorsqu'il y a un soucis et que le CUP de leur tombe sur le dos comme ce fut le cas dans une UP BL de la ligne C à PSO. Après il diront que c'est un con, qu'il est dur, ... mais ils ne comprennent pas que ce qu'il veut dire c'est qu'ils se tirent une balle dans le pied. Et qu'il demande juste à ce que pour les bidouilles les ADC respectent la RH.

Modifié par Romano
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source:Le Figaro

Le service minimum, à l'Éducation nationale aussi

Avec le service minimum, les enfants seraient accueillis à l'école les jours de grève.

DE QUOI ravir les parents d'élèves... et probablement irriter une partie des enseignants. Poursuivant, hier, ses consultations des syndicats, Nicolas Sarkozy est revenu sur sa volonté d'instaurer un service minimum en cas de grève. Dans l'esprit du public - et des syndicalistes -, il s'agit surtout d'éviter une paralysie des transports en commun. Mais le nouveau président a précisé à la CFTC et à l'Unsa qu'il voulait aussi que le service minimum s'applique à l'Éducation nationale. Les parents auraient l'assurance, non pas que les cours sont assurés les jours de grève, mais au moins que leurs enfants sont accueillis à l'école.

Actuellement, les élèves du secondaire trouvent toujours les portes de leur lycée ou de leur collège ouvertes les jours de grève. À défaut de professeurs pour leur faire cours, ils sont confiés à des surveillants, dans des salles de permanence ou - au pire - dans les cours de récréation. Seule exception, très rare : en cas d'occupation des locaux ou de menace d'« invasion » par des casseurs, comme ce fut le cas dans certains établissements lors des grèves du printemps 2005 contre la réforme du bac lancée par... François Fillon.

En maternelle et en primaire, en revanche, des règles strictes imposent un nombre maximal d'élèves par enseignant. Si trop d'instituteurs sont absents, le directeur ne peut que fermer son école. Et - sauf si la mairie vole à leur secours en mobilisant ses animateurs de centres de loisirs - les parents n'ont plus qu'à recourir au système D : pose de RTT, renfort des grands-parents, appel des voisins au secours... Mettre fin à ce genre de situation supposerait donc sans doute que des enseignants puissent être réquisitionnés quand un nombre important de grévistes est prévu dans une école.

Négociations par entreprise

Deux participants à ces entrevues d'hier précisent cependant que le sujet a été abordé de façon « informelle » et que le nouveau président de la République n'a pas semblé en faire une priorité immédiate. Il a, en revanche, répété sa détermination à progresser rapidement sur le service minimum à la SNCF, mais aussi dans les transports en commun des villes de province. Mais sur les moyens d'y parvenir, ses interlocuteurs ont ressenti une souplesse plus explicite encore que ceux de la veille. « Il nous a indiqué que si des négociations rapides, entreprise par entreprise, sur des systèmes de type alarme sociale, donnaient des résultats, il n'y voyait pas d'inconvénient », a assuré Jean-Claude Mailly (FO). La menace d'une loi reste néanmoins brandie en cas d'enlisement des discussions.

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  • 2 semaines plus tard...
Invité ibrahima

Le service minimum ne serait plus la priorité des usagers

PARIS (Reuters) - Le service minimum voulu par le gouvernement de François Fillon n'est plus la priorité des usagers, estime la Fédération des usagers des transports et des services publics (FUTSP).

"Le service minimum n'est plus la priorité des priorités pour les usagers", écrit la fédération dans un communiqué, en s'inquiétant d'un éventuel bras de fer sur ce sujet entre le gouvernement et les syndicats, qui pourrait conduire selon elle à des grèves dans les transports.

Pour la FUTSP, la "dégradation de la qualité des transports" constitue désormais le sujet de préoccupation numéro un des usagers.

"Le nombre trop important de pannes, retards et trains annulés régulièrement sur certaines lignes - notamment dans la banlieue parisienne - fait que des usagers sont quotidiennement bloqués dans les transports, non pas à cause des grèves, mais essentiellement à cause d'incidents techniques liés à la vétusté du matériel et à son mauvais entretien", juge-t-elle.

La fédération rappelle en outre que, depuis dix ans, "le nombre de jours de grève a tendance à baisser en France".

Xavier Bertrand, ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité, a réaffirmé lundi la volonté du gouvernement d'instaurer avant janvier 2008 un service minimum dans l'ensemble des transports urbains afin de limiter l'impact des grèves sur les usagers.

Il a toutefois ajouté que "seul le résultat comptait", soulignant le souci du gouvernement de laisser aux partenaires sociaux le temps de négocier.

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Rencontre Sarkozy-Thibault ce jour 29 mai 2007

entre autre sur la question dite du "service minimum".

Ce qui semble en ressortir :

- pas question de toucher au droit de grève

- améliorer les procédures de négociations-concertations entre directions et syndicats dans le cadre de la prévention des conflits (alarmes sociales)

- les autorités publiques locales et les directions d'entreprises définiront les services assurés (en cas de conflit) par les non-grévistes

- donc à priori pas "de réquisition" de grévistes en cas de grève...

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Dépêche de presse sur le sujet :

mardi 29 mai 2007, 12h13

Thibault (CGT) "vigilant" sur la loi-cadre dans les transports de Sarkozy

PARIS (AFP) - Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, a appelé lundi les syndicats à rester "vigilants" lors de la rédaction du projet de loi-cadre sur le service minimum voulue par Nicolas Sarkozy, à l'issue d'un entretien avec le président de la République.

M. Thibault a été reçu avec une délégation de la CGT pendant plus d'une heure à l'Elysée, dans le cadre de rencontres bilatérales de M. Sarkozy avec les syndicats et organisations d'employeurs. Le Premier ministre François Fillon, les ministres de l'Economie et de l'Emploi, Jean-Louis Borloo, et du Travail, Xavier Bertrand, étaient présents aux côtés du président pendant la rencontre.

"J'y vois plus clair" sur le projet des pouvoirs publics concernant le service minimum dans les transports et "il nous faut rester vigilants", a déclaré M. Thibault, incluant dans ce "nous" les autres "organisations syndicales".

"Le président de la République nous a dit qu'il n'avait pas l'intention de remettre en cause les conditions d'exercice du droit de grève. Il ne veut pas de procès d'intention" sur le sujet, "nous n'avons pas de raison de ne pas le suivre" et de le soupçonner du contraire, a-t-il poursuivi.

M. Thibault a indiqué que la "prochaine étape" du gouvernement consistera à déposer le projet de loi à l'Assemblée nationale "en juillet". "Nous serons très attentifs sur la rédaction" de ce texte, a-t-il prévenu.

Le dirigeant syndical a confirmé que le projet de loi-cadre comporterait deux volets: le premier instaurera des "procédures plus précises pour prévenir les conflits" dans les entreprises de transport sur le modèle des "alarmes sociales" ; le second incitera autorités publiques locales et entreprises à "mieux définir les services assurés" par les non-grévistes en cas de grève.

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Une dépêche datée de la veille

Interview de Didier LeReste

lundi 28 mai 2007, 14h32

SNCF: pas question pour la CGT de négocier une "remise en cause du droit de grève"

PARIS (AFP) - La CGT s'est déclarée lundi "disponible" pour discuter de "l'amélioration du dialogue social et d'une meilleure prévention des conflits" à la SNCF, mais a averti qu'elle ne "se mettrait pas autour de la table pour négocier la remise en cause du droit de grève".

"La fédération CGT des Cheminots est disponible pour discuter de l'amélioration du dialogue social et d'une meilleure prévention des conflits, mais elle ne se mettra pas autour de la table pour négocier la remise en cause du droit de grève, c'est à dire la remise en cause des conditions d'exercice du droit de grève", a déclaré Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT Cheminots.

Interrogé sur les propos du ministre du Travail, Xavier Bertrand, lundi matin selon lequel il y aurait "bien évidemment" un service minimum à la SNCF avant la fin décembre, M. Le Reste a estimé qu'il y avait "une certaine cacophonie au gouvernement, qui cache peut-être une certaine fébrilité".

"Au départ, il (le nouveau gouvernement) voulait un service minimum dans les transports et l'Education nationale, maintenant on ne parle plus que de la SNCF", a-t-il souligné.

"M. Bertrand ne doit pas prendre souvent le train, car il y a un service minimum de fait. La semaine dernière, il y avait une grève sur la ligne E du RER et 65% des trafics étaient assurés. Si ce n'est pas un service minimum, qu'on m'explique le contraire", a-t-il dit.

Plus généralement, M. Le Reste accuse le nouveau président de vouloir, par le service minimum, "beaucoup plus fondamentalement interdire, à terme, les cheminots d'utiliser la grève comme moyen d'expression".

"En 2004, lorsque nous avons signé un accord sur l'amélioration du dialogue social et la prévention des conflits, M. Sarkozy avait déclaré aux députés UMP que la SNCF et la CGT leur avaient +coupé l'herbe sous les pieds+ et que pour faire passer une réforme, il faut la faire dans les 100 jours après une élection".

"Le gouvernement spécule sur le fait que s'il peut contraindre la possibilité d'utiliser la grève, il aura les mains beaucoup plus libres pour casser les régimes spéciaux de retraite et porter de nouvelles attaques contre le régime général" a ajouté M. Le Reste.

"Ca me fait penser à la politique de Margaret Thatcher au Royaume Uni dans les années 80: elle s'est attaquée au droit syndical et au droit de grève avant de s'attaquer aux mineurs et aux dockers et de privatiser les chemins de fer", a-t-il conclu.

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Modifié par Dom-trappeur
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Et une dépêche précédente

mardi 29 mai 2007, 9h51

Service minimum: Bernard Thibault (CGT) reçu à l'Elysée

Par Isabel MALSANG

PARIS (AFP) - Le numéro un de la CGT, Bernard Thibault, est reçu mardi à l'Elysée par Nicolas Sarkozy et François Fillon, alors que le gouvernement estime qu'une "voie de passage" sur le service minimum dans les transports, respectant droit de grève et droit au travail, est possible.

Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a été catégorique lundi matin sur les radios: il y aura "bien évidemment" un service minimum à la SNCF dès le 1er janvier 2008, selon lui.

"Il n'y aura pas de remise en cause du droit de grève qui est un droit constitutionnel", a assuré M. Bertrand sur RTL. "Mais il y a aussi le droit au travail: c'est aussi respecter les Français qui ont besoin des transports en commun pour aller travailler que de mettre en place ce service minimum", a fait valoir M. Bertrand.

"Est-ce que les deux sont conciliables? Oui je le pense, je crois qu'il y a une vraie voie de passage" entre droit de grève et "droit au travail", a-t-il ajouté sur RMC, en faisant référence notamment à la loi cadre annoncée vendredi par Nicolas Sarkozy à plusieurs dirigeants syndicaux, qui appellerait à négocier dans les entreprises de transport sur la prévention des conflits.

Mais les propos de Xavier Bertrand, et surtout le "bien évidemment", ont fait bondir le secrétaire général de la CGT Cheminots, Didier Le Reste, pour qui une négociation sur "l'amélioration du dialogue social et d'une meilleure prévention des conflits" à la SNCF ne doit pas se traduire par une "remise en cause du droit de grève ou des conditions d'exercice du droit de grève". "Au départ, il (le nouveau gouvernement) voulait un service minimum dans les transports et l'Education nationale, maintenant on ne parle plus que de la SNCF" a-t-il déclaré à l'AFP, en fustigeant "une certaine cacophonie" et "fébrilité" au gouvernement.

Plus globalement, M. Le Reste accuse le nouveau président de vouloir, par le service minimum, "interdire à terme les cheminots d'utiliser la grève comme moyen d'expression", à l'approche de la délicate négociation à venir sur les régimes spéciaux de retraite prévue en 2008.

"Ca me fait penser à la politique de Margaret Thatcher au Royaume Uni dans les années 80: elle s'est attaquée au droit syndical et au droit de grève avant de s'attaquer aux mineurs, et aux dockers et de privatiser les chemins de fer" a-t-il tonné.

Ce durcissement de ton avait pourtant été précédé vendredi d'échanges plus apaisés entre le chef de l'Etat et les partenaires sociaux, lors d'une rencontre à l'Elysée, où l'ensemble des chantiers sociaux du gouvernement (du service minimum au contrat unique) avaient été débattus.

Le numéro un de Force Ouvrière (FO) Jean-Claude Mailly, en était sorti "rassuré", en estimant qu'il n'y avait "pas de volonté de remise en cause du droit de grève". Dimanche, le secrétaire général de la CGT Bernard Thibault est resté prudent, en indiquant au Journal du Dimanche qu'il souhaitait "vérifier" lors de sa rencontre avec M. Sarkozy "qu'on ne parle pas d'une loi portant atteinte au droit de grève".

Il a reconnu que "dans la pratique", le préavis de cinq jours, censé "favoriser la négociation" avant une grève, "est peu utilisé pour négocier". Il a semblé faire une ouverture en précisant qu'il n'était pas opposé à ce que les collectivités locales fixent les dessertes prioritaires les jours de grève, "s'il s'agit de mieux organiser le travail que feront les non-grévistes".

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Le dirigeant syndical a confirmé que le projet de loi-cadre comporterait deux volets: le premier instaurera des "procédures plus précises pour prévenir les conflits" dans les entreprises de transport sur le modèle des "alarmes sociales" ; le second incitera autorités publiques locales et entreprises à "mieux définir les services assurés" par les non-grévistes en cas de grève.

C'est bien ainsi que je le voyais et je trouve cela assez logique, en somme une gestion plus fine des moyens les jours de greve que ce qui est fait aujourd'hui

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Invité ibrahima

C'est bien ainsi que je le voyais et je trouve cela assez logique, en somme une gestion plus fine des moyens les jours de greve que ce qui est fait aujourd'hui

Si c'est ainsi que le problème se pose, il n'y a vraiment pas besoin de loi pour simplement qu'un organisme gére au mieux son personnel les jours de grève ; mais une fois de plus celà aura été un moment de démagogie traditionelle que d'exhiber ce maigre trophée de chasse qui satisfera le bon peuple téléspectateur qui ne verra sans doute pas la supercherie...

Peut-être aussi est-ce l'occasion de reposer la question de la gestion par activités ? Exemple, dans un triage si les TA et les CRLO font grève, que faire de l'ensemble du personnel ? Car sans engin de manoeuvre, pas de triage. On pourrait envoyer donc ce personnel dans les B.V. par exemple pour renforcer mais est-ce compatible avec la gestion par activité ? Le frêt prétera-t-il son personnel au V.F.E. ou au T.E.R ?

Autre exemple, va-t-on envoyer les mécanos non-grévistes de Dijon-Perrigny (marchandises) faire les trains de voyageurs de Dijon-Ville (voyageurs) ?

Ibrahima

Modifié par ibrahima
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Si c'est ainsi que le problème se pose, il n'y a vraiment pas besoin de loi pour simplement qu'un organisme gére au mieux son personnel les jours de grève ; mais une fois de plus celà aura été un moment de démagogie traditionelle que d'exhiber ce maigre trophée de chasse qui satisfera le bon peuple téléspectateur qui ne verra sans doute pas la supercherie...

Ibrahima

Lorsque l'on voit les jours de greves le nombre de conducteurs a rien faire car leurs trains supprimés du fait du plan de greve mis en place par la direction ça laisse reveur.......des le depart de cette histoire je pensais que ce serait a la SNCF de mieux utiliser les conducteurs présents ces jours là. Pour moi il n'y a pas supercherie, Sharkozy a parler d'un service minimum mais n'a jamais dit comment il s'y prendrait, obliger les entreprise a mieux utiliser le potenciel humain ces jours là est une voie. Une grande majorité des collègues se sont "amusés" a se faire peur avec une atteinte au droite de grève ou des ordres de réquisition, c'etait aller un peut vite

Nous verrons en fin d'année quel chemin aura été utilisé pour ce but.

Peut-être aussi est-ce l'occasion de reposer la question de la gestion par activités ? Exemple, dans un triage si les TA et les CRLO font grève, que faire de l'ensemble du personnel ? Car sans engin de manoeuvre, pas de triage. On pourrait envoyer donc ce personnel dans les B.V. par exemple pour renforcer mais est-ce compatible avec la gestion par activité ? Le frêt prétera-t-il son personnel au V.F.E. ou au T.E.R ?

Autre exemple, va-t-on envoyer les mécanos non-grévistes de Dijon-Perrigny (marchandises) faire les trains de voyageurs de Dijon-Ville (voyageurs) ?

Ibrahima

Avec la spécialisation se genre de question se posera de moins en moins

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Invité ibrahima

Lorsque l'on voit les jours de greves le nombre de conducteurs a rien faire car leurs trains supprimés du fait du plan de greve mis en place par la direction ça laisse reveur.......des le depart de cette histoire je pensais que ce serait a la SNCF de mieux utiliser les conducteurs présents ces jours là. Pour moi il n'y a pas supercherie, Sharkozy a parler d'un service minimum mais n'a jamais dit comment il s'y prendrait, obliger les entreprise a mieux utiliser le potenciel humain ces jours là est une voie. Une grande majorité des collègues se sont "amusés" a se faire peur avec une atteinte au droite de grève ou des ordres de réquisition, c'etait aller un peut vite

Nous verrons en fin d'année quel chemin aura été utilisé pour ce but.

Avec la spécialisation se genre de question se posera de moins en moins

Donc celà ne va pas dans le sens d'une utilisation optimale des ressources humaines... Il va être vraiment difficile a assurer ce service minimum dans ces conditions (quelle différence du point de vue "voyageurs" comparé à l'ancien système, on le verra en effet mais il y a peu de chance de voir une amélioration flagrante, peut-être celà sera pire)...

Le personnel qui restera a rien faire le restera faute de V140 sur la carte par exemple... Toujours est-il qu'une fois de plus on apporte une réponse législative à un problème qui n'attendait pas ce genre de réponse. C'est une spécialité française que de faire des lois pour tout et au final la législation est illisible.

Ibrahima

Modifié par ibrahima
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Malheureusement, le service minimum existe déjà !

Trains bondés, sales, en retard, voire supprimés, etc.

Personne dans les petites gares pour informer les voyageurs, et pas assez de monde dans les grandes gares...

Tel est le quotidien de bon nombre d'usagers et c'est navrant.

Alors le gouvernement, quelle est l'urgence ? Légiférer ou donner des moyens pour assurer un véritable service public de qualité ?

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Pour tous ceux qui n'ont pas vu le site de Libé, ou qui n'ont pas eu le courage de tout lire : je vous mets cette intervention en citation, car elle m'a fait pisser de rire... mdrmdrmdrmdrmdrmdr

Pourquoi ?

Pourquoi les syndicats de la SNCF sont autant attaché au droit de grêve ? Simplement parce que tous les employés de la SNCF ont le DROIT à 5 jours de GREVE par an PAYE !!! En gros s'il ne font pas au moins 5 jours de grève ils perdent 5 jours de VACANCE !!!! J'ai un ami qui bosse à la SNCF et le boulot est tellement dur qu'ils arrivent à s'aménager des temps de pause de 2h au lieu de 30 min et de jouer à la PETANQUE !!! Il voulait un boulot cool il l'a eu... Il faut arrêter de prendre les gens pour des imbéciles maintenant, la gauche qui se dit héritière de la révolution devrait être la première à critiquer ces privilèges d'un autre temps !! Lundi 28 Mai 2007 - 18:36

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Oui, mais à ce niveau, j'en avais jamais vu. Il y a quand même des concitoyens qui en tiennent une couche... mdrmdr Je tombe de l'arbre...

Sarko arrive bien à prendre une p'tite heure pour se faire un jogging... helpsoso

alors deux p'tites heures pour une pétanque...

Faut réfléchir entre deux boules mdrmdr

et y'a le pastaga... mdrmdr

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