Cyril83

Ligne fermée ? déposée ?

Oui.

Je vous propose à présent de trouver le lieux exact car le périmètre de recherche est suffisamment restreint. Le seul piège est que cet EP ne figure pas sur le schéma de ligne proposé sur Wikipédia.

Oui.

Oui.

Ni en PACA ni en Occitanie.

Pas en Rhône-Alpes.

Non. Donc quart sud-est.

C’est effectivement une cimenterie. Mais ce n’est ni dans la moitié nord ni en Centre-Val-de-Loire.

Ce n'est pas en Île-de-France.

Pas du tout.

Versailles matelots ?

Tagueur, street artist, saboteur, islamiste, céréale killer, tout ça c’est la même engeance. Depuis le temps que je dis que ce pays a besoin d’ordre.

Sinon, des nouvelles de Normandie : https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/l-homme-arrete-pres-de-voies-sncf-a-oissel-affirme-avoir-voulu-faire-du-street-art-1381506 Jusqu’à preuve du contraire il n’y a donc pas de lien avec le sabotage des LGV.

C’est totalement faux, le groupe de Tarnac existait, il exploitait une sorte d’épicerie islamo-gaucho-wokiste dans la commune en question. Tiens, les amateurs de délire policier liront avec intérêt cet article qui relate une note policière de cette époque sur la prétendue identité entre le « groupe AZF » (« mon gros loup », pas la filiale de Total) et les auteurs présumés (« groupe de Tarnac ») des sabotages de 2008 : http://www.uneinstructionfrancaise.fragmentsduvisible.org/lhypothese-azf-un-da-vinci-code-facon-rg/ Si les auteurs de ces sabotages n’ont jamais été formellement identifiés, on sait aujourd’hui qu’ils n’avaient strictement rien à voir avec le « groupe AZF » dont la motivation était purement crapuleuse et qui a été jugé au début de cette année, 20 ans après les faits.

On peut être très bête et aussi très bien organisé.

Article du Monde ce matin : on ne sait toujours rien des auteurs des sabotages, que ce soit à la SNCF ou sur les réseaux de télécommunications. Une "source sécuritaire", évidemment anonyme (point commun avec les saboteurs), remet un jeton dans le bastringue au sujet des possibles "complicités internes", alors que le même journal citait il y a quelques jours un syndicaliste qui soulignait que c'était à la portée de n'importe qui.

Les électeurs ont récemment placé en tête des partis qui ont pour seul projet de bordéliser le pays. Il ne faut donc pas s’étonner si cela donne des ailes aux saboteurs. On peut désormais faire confiance à la justice… pour prononcer une relaxe générale.

On est donc d'accord. Et je ne comprends pas qu'"un syndicaliste" alimente ce fantasme de besoin d'information hautement confidentielle pour pouvoir saboter avec efficacité.

Entre autres approximations journalistiques (reprise en l'occurrence dans mon message) je pense qu'il y a une confusion entre poste et "bâtiment contenant des installations intéressant la signalisation". Ce sont ces derniers qui me semblent très faciles à trouver. Et les câbles au bord des voies le sont encore plus, il suffit de se baisser. En prime c'est faux de dire que des bifurcations ont été ciblées, à Vergigny il me semble bien que ça ne bifurque nulle part, ou en tout cas pas en service régulier.

Quand on parle de poste, on parle bien d'un bâtiment à côté d'une bifurcation qui, elle, est facile à trouver ? Donc, quand on a trouvé la bifurcation, il suffit de chercher (sur une vue aérienne) le bâtiment le plus proche, sachant que tout cela se passe en rase campagne où les bâtiments sont rares ? Cas pratique réglé en moins de deux minutes :

Message de service : le contributeur CGO est attendu dans le fil "où que c'est quoi que c'est".

À ce que je sache, les voleurs de cuivre qui ont beaucoup sévi à une époque n'ont jamais bénéficié de complicité interne et n'ont pas de connaissance spécifique du domaine ferroviaire. Je ne vois pas bien pourquoi il en serait différemment des incendiaires qui ont un mobile différent mais un mode opératoire finalement très proche.

Cela lui donne la qualité d'officier de police judiciaire, même s'il n'est plus fonctionnaire de police.