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Le Web des Cheminots

Jay17

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Tout ce qui a été posté par Jay17

  1. Même si je ne suis pas convaincu par la pertinence d'un préavis pour le 1er mai, ta réponse est d'une stupidité affligeante. Punaise, que c'est moche d'être aigri... :Smiley_76:
  2. Certes, mais ça n'empêche pas de se demander qui sert exactement de diversion à quoi...
  3. Les salariés de Continental saccagent la sous-préfecture de l'Oise LEMONDE.FR | 21.04.09 | 16h57 • Mis à jour le 21.04.09 | 18h05 Le tribunal de Sarreguemines (Moselle) a débouté, mardi 21 avril, les salariés de Continental "sur tous les points", dans leur demande de suspension ou d'annulation de la procédure de fermeture de l'usine de Clairoix (Oise). "C'est le pire scénario, nous sommes catastrophés", a déclaré à l'AFP Pierre Rubeck, délégué syndical central CFTC et secrétaire du CCE. Plusieurs centaines de salariés de l'entreprise ont saccagé en partie les locaux de la sous-préfecture de l'Oise à Compiègne, après l'annonce de la décision du tribunal. Contacté par Le Monde.fr, Xavier Matthieu, délégué CGT, explique "que le gouvernement nous prend pour des cons", énervé de ne pas avoir été reçu depuis cinq semaines au cabinet de Christine Lagarde. "On attendait la réponse de Sarreguemines, quand elle est tombée, tout le monde s'est énervé" affirme M. Matthieu. "Je suis totalement solidaire, je n'ai rien fait pour les retenir", explique-t-il. Selon Le Parisien.fr, les bureaux de la sous-préfecture étaient déserts. Les forces de l'ordre présentes n'ont pas réussi à empêcher le saccage. Pour un porte-parole de la direction, "le tribunal a reconnu que Continental avait bien rempli ses obligations légales dans le cadre de la procédure d'information et de consultation des partenaires sociaux". "Les prochaines réunions du comité central d'entreprise, à commencer par celle de mercredi à Nice, peuvent donc avoir lieu", s'est félicité le porte-parole. La direction allemande a annoncé le 11 mars son intention de fermer les sites français de Clairoix et allemand de Hanovre qui emploient respectivement 1 120 et 780 personnes, pour réduire sa production de pneus en Europe. Ralph Blindauer, avocat du comité d'entreprise et de l'intersyndicale, avait invoqué un délit d'entrave au comité d'entreprise, celui-ci ayant été consulté alors que la décision de fermeture était, selon lui, déjà prise. Il avait également estimé que le fabricant allemand de pneumatiques, dont le siège français est à Sarreguemines, aurait dû consulter le comité de groupe européen en préalable à l'engagement de toute procédure nationale. Le parquet l'avait soutenu dans cette analyse. Ralph Blindauer avait encore estimé que la fermeture du site constituait une violation de l'accord de 2007 sur le retour aux 40 heures de travail hebdomadaire qui s'accompagnait, selon lui, d'une promesse de pérenniser l'usine jusqu'en 2012. Les représentants de l'entreprise avaient réfuté l'ensemble des arguments. "A quelle entreprise française a-t-on interdit de licencier pendant cinq ans alors que la situation économique est catastrophique ?", avait notamment demandé Me Déborah David à propos du dernier point.
  4. Samedi 18 avril, Frédéric Lefebvre a accusé Libération de "ressembler de plus en plus à un tract". Selon lui, le quotidien, "après avoir perdu ses lecteurs, perd sa crédibilité". Le quotidien, citant des participants, avait mis dans la bouche du chef de l'Etat des commentaires notamment sur le président du gouvernement espagnol Jose Luis Zapatero, qui auraient été tenus lors d'un déjeuner avec des parlementaires. Libération estime M. Lefebvre, "se vante d'avoir suscité des réactions de la presse européenne sur la soi-disant remarque du président de la République française sur M. Zapatero". "Cette attitude est tout simplement scandaleuse de la part d'un quotidien français qui, en colportant une fausse information, contribue à abîmer l'image de notre pays. Ce sont des excuses qui auraient dû figurer en une alors même que ces propos n'avaient pas été vérifiés auprès de l'Elysée", s'emporte-t-il, soulignant que les déclarations "ont d'ailleurs été démenties par des parlementaires de droite et de gauche ayant participé au déjeuner". Répondant aux accusations de l'UMP, le directeur de Libération, Laurent Joffrin, affirme que le journal maintenait "l'intégralité de ses informations", soulignant que Frédéric Lefebvre "n'était pas au déjeuner où les propos incriminés ont été prononcés". "Les propos présidentiels sont confirmés de plusieurs sources, la presse étrangère a jugé bon de s'en faire l'écho", a-t-il noté, qualifiant le porte-parole de "roquet à l'UMP" qui a "du mal à accepter l'existence d'une presse indépendante en France". Pour Laurent Joffrin, "ce qui porte atteinte à l'image de la France c'est l'irresponsabilité des propos tenus par le président de la République à l'égard de ses homologues". http://www.lemonde.fr/politique/article/20...666_823448.html On y est presque... On commence par accuser un médium de faire de l'anti-France et après on attaque les autodafés de tous les ouvrages désignés arbitrairement comme subversifs ?
  5. 2009.04.09_Communiqu__ASCT_sur_les_FC.pdf
  6. Petite précision, le mécano qui témoigne à l'air d'être celui cité plus haut dans l'article du 20minutes.
  7. Une vidéo de la SNCF expliquant les procédures et les incidences sur le trafic d'un accident de personne : Suicides sur le Réseau SNCF A noter un reportage dans le journal de 13h00 sur France2 ce midi, avec le témoignage d'un mécano.
  8. Je le connais le tableau des arrondis, c'est de lui que je tirais les chiffres... La différence doit provenir des différentes mesures nationales, vis à vis des retraites, des délais long et ce que les mecs ont réussi à grater en plus. Mais au même titre que les arrondis, la répartition s'est décidée en commission. Maintenant et pour finir sur le sujet parce qu'on ne va pas palabrer pendant cinquante ans là dessus, les mecs n'ont peut être pas assez communiqué dessus, voire pas assez préparé les choses pour les rendre plus lisible et plus prévisibles, se sont peut être trop reposés sur l'intention de faire au mieux pour tout le monde. Mais bon, quiconque a un peu milité sérieusement (je ne parle pas des chasseurs de mandats), sait parfaitement qu'on ne peut pas être partout et que parfois l'actualité est très riche, que les réformes se suivent assez rapidement actuellement (fusion des ET, séparation du Fret, mise en UO par activité, etc...). Alors tu peux traiter les mecs de bons à rien et estimer qu’ils ont fait n’importe quoi, mais ça me parait très mal venu quand on ne s'intéresse à la commission de notation que lorsqu’on estime s'être fait avoir, qu'on demande l'application pure du statut sans avoir fait de lettre de réclamation et je le répète qu'on a 28 ans de route. Je trouve ça un peu facile et surtout un peu malhonnête intellectuellement pour te paraphraser...
  9. Bon bah si le statut, c'est le statut, tu n'avais qu'à faire ta lettre et basta ! Sinon pour les autres parties de ton message, je crois que ce n'est même pas la peine de discuter...
  10. Je t'ai dis que je n'avais pas siégé à cette commission... Sinon, j'ai 31 ans, je suis TB2/13 et je pense exactement comme Pepe : Après prise d'information auprès d'un collègue ayant siégé et en me basant sur les documents préparatoires et finaux : Pour le 19, comme tu l'as déduit Bandaa : Il y avait avant la commission 5 prioritaires et 4 au choix. Après commission : 5 prioritaires, 4 au choix, 19 arrondis, 6 en liste d'attente et 2 HC. Dans les calculs d'arrondis TB, il y avait avant commission : 6 TB3, 6 TB2 et 3 TB1. On retrouve sur les différentes PR après la commission : 19 arrondis sur 18 pour 19, 7 sur 17 pour 18 et 2 sur 16 pour 17. La répartition des arrondis sur les hautes PR s'est décidée le jour de la commission. Il n'y avait que 3 ou 4 positions supplémentaires pour le FRET et c'était pour les TA, aucune pour les TB, mais je vais revérifier. Après il y a des HC pour les ADC à Naviland, ceux qui auraient du être notés sans réforme du FRET et quelques cas particuliers. C'est tout à ma connaissance... Le système est comme ça, il est injuste et amoral (et encore, pas si injuste dans le sens ou le statut tel qu'il est actuellement seraient encore plus injuste sans les lettres de réclamation...), mais il est comme ça, et ça ne date pas d'hier. Ce qui me choque c'est qu'il faille que tu sois concerné et que tu te sentes lésé pour ouvrir les yeux sur le statut, après 28 ans de route...
  11. Oui, jusqu'au TB2 (TB2 automatique au bout de 24 mois), après c'est 9 ans mini, 14 ans maxi... Note, c'est valable aussi pour les PR.
  12. Je te dis, je ne sais pas comment la répartition des PR sup (plus arrondis) s'est décidée le jour de la commission et comment ils en sont venus à tout basculer sur le 19, je n'y étais pas, je dis juste qu'à ma connaissance, il n'y a pas eu de complot.
  13. Ce que j'en sais et qui reste seulement ce que j'en sais, ça s'est décidé le jour de la commission, comment exactement, ça je n'en sais rien, mais j'ai participé à la fabrication des listings de préparation aux notations et je ne me rappelle pas avoir eut vent d'un quelconque complot.
  14. Le listing SNCF n'est pas basé sur la date de nomination, mais sur l'ancienneté dans la qualification. Pour ce qui est des lettres de réclamation, comme si c'était aussi simple que ça...
  15. Je dis pas, je résume... Même les agents initiés sont un peu paumés au milieu de toutes ces réformes, et alors, c'est nous qui les avons demandées ces putains de restructurations ? On a jonglé avec 3 listings, pas toujours à jour, puisqu'il faut parfois batailler pour obtenir les mouvements de personnel, en ajoutant ceux qui partent pas... De toutes façons, des PR, il n'y en a pas une par agent par année, à partir de là, tu auras des heureux et des déçus. Ce qui me gonfle, c'est le tous pourris. C'est trop facile de balancer des trucs comme ça, parce qu'on a pas eu une PR.
  16. Zut, j'en ai oublié, ces pourris de délégués nantis qui pensent qu'à leur gueule, c'est mieux là, non ?
  17. Ouais enfin, pour résumer, les notations, c'est comme d'hab' quoi... C'est la faute de ces pourris de délégués... koiquesse
  18. Qui se gave ? Il faut arrêter de raconter n'importe quoi. Oui, les arrondis ont été basculés sur le 19. Mais où y a t-il les plus gros blocages actuellement ? Le but du jeu, et ça avait été annoncé avant la commission (par la CGT en tous cas), était d'aller chercher les mecs dont la demande de mise à la retraite a été faite au taulier avant la commission. Je n'ai pas siégé à cette commission donc je ne me permettrai aucun jugement, sur ce qu'ont fait les délégués de mon OS ou des autres, lors de cette commission. Tu pourrais peut être nous renseigner sur ta situation personnelle (rang/date de naissance/volonté ou non de poursuivre ton activité), histoire de bien saisir où est l'injustice... Sinon, sur l'UP de PMP, tu me trouveras facilement, je suis le seul élu DP CGT... Pour les généralités, voir le message de Bandaa, très explicite. PS : Faux, tu as même des spécialistes qui en donnent à toutes les OS (Syndiqués compris). Juste une question, tu as fais quoi toi exactement tout au long de ta carrière, pour te permettre de nous traiter de bon à rien ? C'est tellement simple de chier sur les autres... Des mecs qui veulent crapahuter sur les autres, il y en a toujours eut et il y en aura toujours...
  19. Coupat terroriste? Une "dérive" de la justice pour ses défenseurs Par AFP, publié le 02/04/2009 à 17:23 PARIS - Des parlementaires de gauche et les avocats de Julien Coupat et de huit autres jeunes du groupe de Tarnac, poursuivis pour des faits qualifiés de terroristes, ont dénoncé jeudi une "dérive" de la justice, dangereuse pour la démocratie car visant des "idées dissidentes". Les neuf jeunes gens, âgés de 22 à 34 ans, ont été mis en examen en novembre pour destructions et association de malfaiteurs, le tout en relation avec une entreprise terroriste. Ils sont soupçonnés d'appartenir à un groupe d'ultragauche à l'origine de dégradations contre des lignes TGV. Coupat, présenté par les enquêteurs comme le chef de ce groupe, est toujours incarcéré, malgré l'absence de preuve matérielle selon la défense. Au-delà de leur éventuelle responsabilité dans les faits reprochés, c'est leur qualification de terroristes qui scandalise les avocats. Pour Irène Terrel, avocate de quatre d'entre eux dont Coupat, "il y a une préméditation dans toute cette affaire. Le gouvernement a ouvert "la chasse à des gens qui vivent différemment, qui ont des idées dissidentes", a dénoncé jeudi l'avocate au siège de la Ligue des droits de l'homme (LDH) lors d'une conférence de presse. "Il n'y a pas de preuve matérielle, nous sommes interrogés sur nos vies, nos lectures, nos fréquentations", relève-t-elle. La défense dénonce l'utilisation à charge par les enquêteurs de la participation de ces jeunes à des manifestations contre le fichage policier ou la politique d'immigration. Les avocats s'élèvent également contre "l'instrumentalisation" d'un texte anonyme, "L'insurrection qui vient", qui légitime les attaques contre le réseau ferré et que les enquêteurs attribuent à Julien Coupat. "Quand on commence à criminaliser des écrits pour en faire des preuves, c'est extrêmement grave et dangereux pour la démocratie", s'insurge William Bourdon, avocat de la compagne de Coupat, Yldune Levy. Le manuel de fabrication d'engin explosif téléchargé depuis une clé USB sur l'ordinateur de sa cliente n'est qu'un écrit de plus selon lui: "c'est une procédure non pas sur des faits mais sur des intentions qu'on vous prête, des intentions imaginaires". "Le terrorisme a bon dos, il sert à faire passer énormément de dérives, de dysfonctionnements en en faisant un fantasme", s'alarme Jean-Paul Dubois, le président de la LDH, qui dans un parallèle avec l'affaire Dreyfus, met en garde contre le "recours à une justice d'exception". Dans un contexte social tendu, M. Dubois se demande si cette affaire n'est pas "un message d'intimidation envoyé aux milliers de gens qui sont en colère". Démarche assez rare s'agissant d'une enquête en cours, des parlementaires de gauche ont fait part mercredi de leurs craintes d'une instrumentalisation de la législation antiterroriste. "C'est une fragilisation de notre système démocratique à laquelle on est en train d'assister", a estimé le député Vert Noël Mamère. "Il y a deux problèmes dans cette affaire: la législation antiterroriste qui est devenue beaucoup trop extensive et l'abus de détention provisoire", a observé le député PS André Vallini. Les parlementaires et les avocats ont ainsi demandé que les infractions reprochées au "groupe de Tarnac" ne soient plus frappées du sceau de la législation antiterroriste. Pour William Bourdon, "tous les éléments du dossier ont été scénarisés dans le seul objectif de les présenter comme des ennemis de l'intérieur menaçant notre démocratie". Selon lui, c'est la signature de l'impuissance des enquêteurs".
  20. Aucune idée. Je sais juste qu'après 2003, sur mon secteur, des ex CFDT sont venus à la CGT avec des exigences électorales, comme il était hors de question de céder à un quelconque chantage, une partie s'est retrouvée avec cartes et mandats chez SUD... Les pratiques douteuses n'ont pas d'étiquettes.
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