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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. Retraites : 62 ans, trois millions de manifestants, 26 % de popularité pour Sarkozy et quelques autres rappels des évènements... http://www.lemonde.f...tor=AL-32280184
  2. Des syndicalistes sanctionnés pour une opération escargot Reuters http://fr.news.yahoo.com/4/20101029/tts-france-retraites-interpellations-ca02f96.html Trois militants du syndicat Sud arrêtés vendredi pour une opération "escargot" sur le pont d'Aquitaine à Bordeaux destinée à protester contre la réforme des retraites ont été sanctionnés d'une suspension de permis de conduire d'un mois. Le préfet a pris cette sanction administrative à effet immédiat après quelques heures en garde à vue des trois syndicalistes pour "entrave à la circulation", ont dit le syndicat Solidaires et la police. En revanche, ils ne subiront a priori aucune poursuite pénale. Le syndicat juge néanmoins la peine "sévère, injuste et inacceptable" et il en demande la levée dans un communiqué. La manifestation avait provoqué une heure de bouchons dans les deux sens sur le pont, axe autoroutier important. Après l'arrestation, Sud avait organisé un rassemblement devant le commissariat et avait reçu le soutien de la CGT. Le premier syndicat français avait demandé au préfet de renoncer à toute tentative d'intimidation, voire de criminalisation de l'action syndicale". Claude Canellas, avec Thierry Lévêque à Paris, édité par Patrick Vignal
  3. Manifestement (j'adore ce mot) ils ne sont toujours pas passés par ici...
  4. Retraites. Les îles bretonnes font de la résistance 28 octobre 2010 Si la mobilisation contre la réforme des retraites a fléchi aujourd'hui en Bretagne, elle est restée forte dans les quatre îles bretonnes où des manifestations étaient organisées. Sur l'Île-de-Batz (29), qui compte un peu plus de 600 habitants au dernier recensement, 120 manifestants se sont rassemblés cet après-midi pour dire non au texte voté par le parlement. A Ouessant (29), où résident plus de 800 personnes à l'année, 220 manifestants ont été comtés. Du côté de Belle-Ile-en-Mer (56), quelque 260 manifestants se sont rassemblés au Palais, ce qui constitue une mobilisation record Enfin, du côté de Groix (56), 160 personnes ont été dénombrées par la gendarmerie. La population totale de l'île est de 2.291 habitants au dernier recensement. Comme l'impression que le prochain mouvement social se jouera par la mobilisation dans chaque commune de France et pas seulement dans les grandes villes...
  5. Pas à ceux du Monde en tout cas... http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/10/26/le-trafic-ferroviaire-allemand-fortement-perturbe-par-des-greves_1431202_3214.html#xtor=AL-32280184
  6. Je fais remonter, le fil a du échapper à certaines personnes...
  7. Tu as tout à fait raison... Tout dépend de qui est ce "on" ? C'est vrai que certains ont l'écriture très sélective ... :cool:
  8. Communiqué CGT Cheminots du 28 octobre 2010 2010-10-29-10.10.28communiqueCGTCheminots.pdf
  9. article l'Humanité 2010-10-29-JeromeZimmer-ArticleHumanite.pdf
  10. Triage de Miramas document cgt octobre 2010 2010-10-29-SauvegardetriageMiramas.pdf
  11. Je suis étonné qu'aucun technocrate n'ait encore pensé à proposer : -de greffer une puce électronique géolocalisable derrière l'oreille de chaque citoyen directement relié aux pensées intimes de son cerveau (c'est vrai quoi ça permettrait de retrouver aisément tous les disparus...et de prévenir les actes délictueux) -de greffer un oeil vidéo électronique sur toutes les personnes ayant autorité publique (les policiers, pompiers, les ministres et les maires, les juges, les contrôleurs de trains, de bus,les managers, les conciergeset mêmes les éboueurs...) directement relié à un ordinateur central permettant de comparer tous les individus et objets entrant dans le champ de l'oeil-caméra avec les fichiers de recherche d'individus soupçonnés de faits délictueux ou de pensées troublant l'ordre public...ou tout objet volé... Désolé, je me réveille juste, je cauchemarde... j'ai du regarder un trop bon film vidéo hier soir...
  12. ou les apparitions-disparitions d'enveloppes kraft... les actes délictueux de 2007... toujours sans réponses l'affaire de Tarnac et les crochets bétons (là encore certains n'avaient pas hésité à accuser haut et fort directement ...les cheminots...) ou le "ninja" de la manif de Paris (parait que c'est un dangereux terroriste de l'extrème gauche, ultra violent et connu des forces de l'ordre (mais personne ne semble se poser de question sur le type au chapeau et au sac à dos qu'on voit sur la vidéo mais aussi à proximité des cordons de CRS au milieu de policiers en civils mais porteurs de leur brassard... mais la Direction Fret doit savoir puisqu'elle fait le lien (très rapidement) avec les grévistes, les manifestants ... C'est vrai qu'elle a de la com a rattrapper... En tout cas ces évènements sont évidemment inadmissibles et choquants (que ce soit ce type d'agression ou les coups de matraques ou de gazage de manifestants pacifiques par les forces de l'ordre) mais ils s'insèrent dans un climat social tendu où le Pouvoir d'Etat Patronal (Ump-Medef) joue sur les peurs et les divisions (avec la complaisance de la machine médiatique) pour imposer des décisions injustes. Quand au "droit de travailler" je renvoie aussi aux réquisitions de travailleurs grévistes ...
  13. et... l'absence de mouvements sociaux d'ampleur pendant les périodes où "la gauche" (PS-PCF-Verts...) était au pouvoir : blocage des directions syndicales quasiment à tous les niveaux refus des salariés je n'oublie rien ...
  14. Le texte complet de l'interview de Bernard Thibault dans Libération du 27 octobre 2010
  15. ça devient bête à en mourir...
  16. Les Patrons ont du souci à se faire Interview Bernard Thibault Libération 27 octobre 2010 2010-10-29-Liberation-InterviewBernardThibault.pdf
  17. Le texte de l'interview de Bernard Thibault dans Libération 27 octobre 2010 Je mets ce texte en ligne dans ce fil in-extenso pour inscrire les extraits de déclaration dans le contexte global de l'interview. je mettrai également le texte en document PDF dans le sous forum documents « Les employeurs ont du souci à se faire » Bernard Thibault, interview Libération 27 octobre mercredi 27 octobre 2010 « Les employeurs ont du souci à se faire » A la veille de la septième journée contre la réforme des retraites, le dirigeant CGT prédit un changement de forme du conflit et dénonce des infiltrations policières dans les manifestations.Alors que devrait être adoptée aujourd'hui la réforme des retraites, et à veille d'une nouvelle journée d'action, Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT, analyse le mouvement. Les grèves semblent s'atténuer dans plusieurs secteurs. Cette tendance annonce-t-elle la fin du mouvement ? Tout montre que l'opposition au projet reste très majoritaire parmi les salariés et dans l'opinion. Mais la manière de s'y opposer évolue. C'est la conséquence directe et logique de la grève et, pour certains secteurs, des arrêts de travail reconductibles qui commencent à peser sur le pouvoir d'achat. Mais le mouvement ne se résume pas à ceux qui ont attiré les projecteurs. Des secteurs qui ne faisaient pas la une de l'actualité s'installent dans la contestation, pendant que d'autres, un peu fatigués, décideront de passer à d'autres types d'actions. Mais changer de mode de protestation ne signifie pas pour autant renoncer à l'action. La plupart des assemblées générales qui suspendent la grève se donnent d'ailleurs rendez-vous pour la journée de demain. Attendez-vous à du monde pour cette septième journée d'action ? Notre objectif n'est pas de battre des records. Mais d'après les remontés du terrain, et même s'il est difficile d'évaluer l'impact des vacances, nous assisterons encore à un bon niveau de mobilisation, qui montrera que le sentiment de révolte n'a pas diminué. Contrairement à ce que pense le gouvernement, on ne s'approche pas de la sortie du conflit avec l'adoption de cette réforme par le Parlement. Et nous continuerons, demain, comme le 6 novembre, date d'une nouvelle journée d'action, à demander la non-promulgation de la loi. Adoptée ou non, l'affaire n'est pas finie. C'est-à-dire ? Que la majorité ne considère pas que les injustices sociales issues de la réforme vont se dissiper sous l'effet d'une loi. Je pense même que de nombreux employeurs ont du souci à se faire dans la période qui vient. Ils vont être confrontés aux salariés qui continueront de ne pas accepter - et nous serons avec eux - de voir leur durée du travail rallongée alors qu'ils sont usés physiquement. Cette réforme provoquera une multitude de conflits. Vous continuerez donc la lutte à l'échelle des entreprises ? Tout, en effet, ne découle pas forcément de la loi. Certains accords d'entreprises prévoient déjà des départs anticipés en lien avec la pénibilité des métiers. On va poursuivre ce combat à tous les échelons (branche, entreprise), même s'il aurait été plus juste d'obtenir la reconnaissance d'un droit interprofessionnel, également applicable aux salariés des PME. Car le succès de ces luttes va dépendre de notre poids syndical, lequel est forcément inégal suivant les entreprises ou les branches. Une façon de sonner la fin du mouvement sans le dire ? Jusqu'à la promulgation de la loi, nous continuons d'agir. Car même si nous sommes lucides, le Président a toujours la possibilité de renoncer. Après, on sera dans une autre étape. Vous pensez qu'il peut ne pas promulguer ? Nous allons tout faire pour, sinon nous ne ferions pas deux journées d'action. Si la loi passe et que le mouvement reflue, vous aurez le sentiment d'avoir perdu ? Non. Si la loi passe, je ne dirais pas que c'est un succès. Mais on n'apprécie pas un combat sur le résultat à un instant T. Je suis déjà satisfait qu'on reconnaisse le travail des syndicats dans cette séquence qui n'est pas terminée. Aucune loi ne peut mettre fin au combat syndical. Depuis quand n'avez-vous plus de contacts avec le gouvernement ? J'ai eu un contact très superficiel avec Raymond Soubie, le conseiller de Sarkozy, mardi. Il n'y a plus de dialogue, plus rien. François Chérèque a proposé une négociation sur l'emploi des jeunes et des seniors, que Fillon a accepté... Je rappellerai à François Fillon le scénario de 1995 où, après les grèves, Alain Juppé avait organisé une conférence sur l'emploi le 21 décembre. Ce fut un fiasco. Nous ne pouvons pas être dupes de l'exercice. Si certains pensent qu'il suffit de photos autour d'une table pour tourner la page, ils se trompent lourdement. Que l'on réponde à la question de savoir comment les entreprises vont créer un million d'emplois pour les jeunes tout en retardant le départ à la retraite de deux ans chez les seniors... Chérèque a aussi obtenu l'étude d'une réforme systémique en 2013... C'est la confirmation que la réforme ne règle rien. Cet amendement de la dernière chance revient à dire que la vertu de la loi est de devoir tout remettre à plat en 2013 pour instaurer la retraite par points ! Cela montre la faiblesse des arguments pour tenter de sauver la face. On reste hostile à la retraite par points, qui renvoie au parcours personnel de chaque individu. La Suède, qui a adopté ce système, a connu une baisse de 8 % sur deux ans du niveau des pensions... Il faut un système solidaire entre générations et entre professions. Et il faut le financer... Quelles sont les erreurs les plus flagrantes du gouvernement ? Il a sous-estimé le fait que c'est en France qu'il y a eu les plus grosses manifestations en 2009. Les Français refusant de payer la facture d'une crise dont ils n'étaient pas responsables. Et maintenant, on nous annonce que pour y répondre, il faut donner des gages aux marchés, grâce à la réforme des retraites. D'autres pays ont fait d'autres choix. Comment analysez-vous les sabotages d'hier sur la ligne Paris-Bordeaux ? Les cheminots les dénoncent vivement. Je note que nous n'avons toujours pas le moindre début d'explication plausible sur les sabotages qui se sont produits après les grèves contre la réforme des régimes spéciaux en 2007. Des commentaires les avaient mis illico sur le dos des grévistes radicaux. Beaucoup d'indices nous laissent penser qu'il s'agit d'actes coordonnés, organisés, structurés par une coordination à une échelle centrale... Le gouvernement, donc ? A une échelle centrale... Seule elle peut faire des actions le même jour, à la même heure, à plusieurs points du territoire. Mais cela ne vient pas des grévistes. Comme les violences dans les manifs ? La présence de policiers en exercice camouflés sous des badges syndicaux, à Lyon, à Paris, ne fait aucun doute. Des manipulateurs s'infiltrent et poussent au crime dans des piquets de grèves, des manifestations, des occupations de ronds-points, violentent les situations en fin de manifs pour avoir des images chocs pour la télé et créer un climat de tension. On a vu des policiers avec des badges CGT repérés par les nôtres, qui se réfugient dans un hall d'immeuble, et finissent par se faire exfiltrer par des CRS. Quand on en vient à ce genre de procédés, c'est que l'on ne sent pas très fort de l'autre côté. Par Christian Losson et Luc Peillon
  18. Jean-Luc Mélenchon s'explique sur la situation et ses déclarations... http://www.cheminots.net.com/2010/10/ca-continue-on-ne-quitte-pas-les-rangs-ce-nest-pas-joue/#more-4656 mais je vous conseille surtout la fin de son long article sur la situation en Afghanistan et la politique européenne en la matière... c'est accablant ! pas sûr du tout qu'on en entende parler dans les médias dits traditionnels (TF1, F2 etc...)
  19. Y'a le nom du directeur Fret dessus... Le lien pour ceux que ça intéresse : http://www.cheminots...314#entry338314
  20. Pour ceux qui pourraient penser que ces histoires de réquisition ne sont là que pour amuser la galerie... je verrai bien dans les prochains mois de nouveaux articles de lois déposés en catimini par l'UMP Le Conseil d’Etat au secours de l’administration ! Communiqué commun CGT/Fédération CGT des Industries Chimiques jeudi 28 octobre 2010Le juge des référés du Conseil d’Etat vient de rendre une décision validant la réquisition de « l’essentiel des salariés grévistes » d’un dépôt de carburant dans les Yvelines. Depuis quelques semaines, les préfets ont multiplié les réquisitions de grévistes ayant pour objectif de casser la mobilisation des salariés. Ces réquisitions étant manifestement illégales, elles ont d’abord été retirées dans la majorité des cas, dès lors qu’elles ont été contestées par la CGT, avant de pouvoir être examinées par le juge. Parmi les trois réquisitions finalement examinées par la justice, celle concernant la raffinerie de Grandpuits a été suspendue par le Tribunal administratif puis abrogée. Les deux autres ont été scandaleusement maintenues en application par le juge des référés. La dernière en date est celle concernant le dépôt de Gargenville. Pour tenter de donner un fondement à cette atteinte extrêmement grave au droit de grève, l’administration n’a cessé de mentir aux juges. Elle a menti volontairement en dressant un tableau aussi artificiel qu’alarmiste de la situation : risques d’émeutes, de catastrophes aériennes, de déstabilisation profonde de l’économie ... présentation diamétralement opposée à celle exposée officiellement par le gouvernement. Elle a menti en affirmant qu’aucune autre solution que les réquisitions n’était envisageable pour surmonter les difficultés liées à la pénurie d’essence. Elle a menti sur les tâches qu’elles demandaient aux grévistes d’exécuter. Le juge des référés du Conseil d’Etat a pourtant pris pour argent comptant la quasi-totalité des allégations de l’administration, faisant semblant d’y croire, éludant tous les éléments de fait qui contredisaient cette présentation et refusant d’exercer son pouvoir. Il valide ainsi une atteinte inacceptable au droit de grève des salariés de Gargenville. Une décision qui même si elle ne constitue qu’un cas d’espèce, au dépôt de carburants de la Gargenville, est grave pour les libertés puisqu’elle ouvre les portes à l’arbitraire, à l’abus et la réquisition préfectorale ne pouvant légalement être contestée qu’après son application ! Pour justifier sa décision quant aux risques pesant sur l’ordre public, le juge retient : • le manque de kérosène qu’entraîne la grève pour assurer le service normal de l’aéroport de Roissy/Charles de Gaulle et le risque de bloquer des passagers ; • la pénurie croissante d’essence et de gazole en Ile de France avec des risques liés aux bouchons devant les stations services ! Une décision du Conseil d’Etat qui est d’autant plus inacceptable qu’il reconnaît que la réquisition préfectorale ne se limite pas à répondre aux besoins d’urgence, les carburants sortis du dépôt de Gargenville pouvant servir à tout puisqu’il n’y a aucun contrôle sur leur destination et sur leur utilisation. La décision du Conseil d’Etat, au vu de ces éléments, n’est pas impartiale. Elle cautionne l’administration de l’Etat au mépris des droits et des libertés inscrits dans la Constitution française, dans les textes européens et internationaux notamment sur le droit de grève. La CGT se réserve le droit de mener, cette fois-ci au fond, des actions visant à sanctionner les atteintes manifestes au droit de grève qui ont eu lieu. Ce qui nécessitera alors un examen sérieux des faits. Montreuil, le 28 octobre 2010
  21. En 2012 il y aura deux élections (donc 4 tours) : présidentielles et législatives (dans cet ordre...merci Jospin !) La problématique étant bien d'ouvrir des perspectives dès le 1er tour sauf que personne ne peut dire qui sera au second tour (des présidentielles...)
  22. Collusion et résistance... Les manifestants empêchent Xavier Bertrand (UMP) de venir à l’entreprise Actual de Laval Une cinquantaine de manifestants sont entrés dans l’enceinte de l’entreprise Actual, spécialisée dans l'intérim, ce jeudi soir peu avant 18 h, à Laval. Plusieurs d’entre eux ont escaladé les grilles, pendant que d’autres tentaient de forcer le portail. Les vigiles ont alors décidé de l’ouvrir, pour éviter davantage de débordements. Les manifestants entendaient profiter de la venue de Xavier Bertrand pour protester contre la réforme des retraites. « Ce n’était pourtant qu’une réunion privée, entre treize chefs d’entreprises de la Mayenne, et Xavier Bertrand. Rien de plus. Nous ne souhaitions pas en faire la promotion » a déclaré Samuel Tual, directeur général de Tual. Le secrétaire général de l’UMP a annulé sa venue. Il a entendu les chefs d’entreprise par téléphone. Au moment de partir, vers 18 h, les chefs ont été bloqués dans leur voiture par les manifestants. Il a fallu l’intervention de la police (13 agents) à 18 h 40, pour disperser les manifestants. Plutôt que de risquer des débordements et des gardes à vue, ils ont préféré se retirer pour se retrouver à Soulgé-sur-Ouette, à quelques kilomètres de Laval, où se tient un débat public sur les retraites avec le secrétaire général de l’UMP. Sur place, la rencontre est surveillée par une quinzaine de gendarmes. Source Ouest France
  23. C'est bien pour cela que je parle d'une "véritable perspective"... car tout dépend de ce que tu mets derrière le mot "gauche"... Il me semble que nous avons déjà eu quelques expériences disons malheureuses... 1981 (Mitterand...) 1997 Jospin...
  24. Tu préfères au Bord de l'Eau...?
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