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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Ah ! c'est vrai depuis que les gens vont à pieds... J'ai pas entendu dire qu'il y avait eu beaucoup de jours de grève dans le secteur automobile récemment... Un recul significatif du marché automobile est attendu Le Figaro http://www.lefigaro.fr/societes/2010/11/02/04015-20101102ARTFIG00354-un-recul-significatif-du-marche-automobile-est-attendu.php Extrait... La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, s'est ainsi adressée cette semaine aux préfets, dans un courrier cosigné avec le secrétaire d'Etat à l'Emploi Laurent Wauquiez et le ministre de l'Industrie Christian Estrosi, afin qu'ils se tiennent prêts à déployer rapidement les dispositifs de soutien public. Le gouvernement craint en effet des faillites en série dans les prochains mois. Selon le rapport rendu par la commission pour le soutien aux sous-traitants automobiles, les fournisseurs pourraient supprimer plus de 40.000 postes sur la seule année 2010. Les secteurs en première ligne sont «l'emboutissage, le secteur des moules et modèles et la plasturgie», est-il précisé dans la circulaire.
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La police a retrouvé le...voleur quand au portable...il court toujours avec tous les n° de téléphone en mémoire... Marrant ...je croyais que la police pouvait suivre un téléphone portable même à la trace...
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Dans la série des analyses... Mouvement social, climat social, perspectives politiques... Le Monde Retraites : "Le mouvement laissera des traces dans l'opinion" http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/11/01/retraites-le-mouvement-laissera-des-traces-dans-l-opinion_1433786_823448.html#ens_id=1305816 -
Le vrai problème c'est qu'un voleur lui ait piqué son téléphone portable... Le voleur du téléphone mobile de Besancenot arrêté grâce à des caméras de surveillance http://fr.news.yahoo.com/82/20101101/tpl-le-voleur-du-tlphone-mobile-de-besan-3835b8e.html Les caméras de vidéosurveillance ont permis d'identifier et d'interpeller à Paris le voleur du téléphone portable du leader du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) Olivier Besancenot, a indiqué une source policière lundi. Le comité NPA du XVIIIe arrondissement a lancé le 8 octobre 2009 une campagne demandant un débat et le gel du projet d'installer 1.250 caméras de surveillance à Paris, interrogeant: "Pourquoi investirait-on à Paris 300 millions d'Euros dans un système réputé aussi peu efficace?". Olivier Besancenot s'était fait voler son téléphone le 25 octobre alors qu'il sortait du métro Barbès-Rochechouart (Paris XVIIIe) et il avait aussitôt porté plainte. Selon la police, le voleur a été identifié grâce aux caméras de surveillance. Il a été interpellé par la police de l'arrondissement le 30 octobre. Le téléphone, déjà revendu au marché noir, n'a pu être restitué à son légitime propriétaire. "Je n'ai pas changé d'avis contre la vidéosurveillance, en raison de son coût et de ce que cela représente en terme de choix de société" a déclaré M. Besancenot à l'AFP. "Si la police est si sûre de son efficacité, je pense qu'elle va bientôt retrouver mon téléphone portable et les ordinateurs volés à des journalistes qui travaillaient sur le dossier de Mme Bettencourt" a ajouté M. Besancenot.
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Je viens de relire l'intégralité de cette discussion. Et j'ai toujours une question qui me turlupine : que fait la Direction SNCF (limitons nous à elle...) pour développer la prévention et faire en sorte que les agressions ne se produisent pas ? Je veux pas paraître vieux jeu (encore que...) mais il y a 10 ans (2000), 20 ans (1990), 30 ans (1980), on en parlait déjà ...
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
J'avais mis ce message sur un autre fil mais tout compte fait il n'est pas plus mal ici... Bon qu'est-ce que vous faites le samedi 6...? Les formes de lutte évoluent, c'est une réalité... Nous avons déjà eu l'occasion d'en parler sur le forum. On peut constater que c'est souvent vers/à la fin d'un long mouvement social que le débat se christalise sur cette question et ses aspects récurents que sont les tensions et les divisions tout comme les dérapages radicaux des uns et des autres, les pour, les contre, les anti et les sans opinion... Le problème c'est que le mouvement social qui parcourt le pays n'est pas terminé puisqu'il accompagne la-les crise(s) - économiques, culturelles, politiques, financières, industrielles, sociales...- qui se succèdent depuis 1968. cela fait plus de 40 ans que ça dure. Or une crise dans le système capitaliste consisite à casser une partie de l'existant pour le remplacer, laisser la place à quelque chose de nouveau dans un espace géographique. Depuis les années 1850, de crises locales, puis régionales nous sommes passés à des crises nationales, sectorisées, continentales et aujourd'hui globales avec la mondialisation... ça donne l'impression d'une course en avant dans un monde qui évolue avec une rapidité fulgurante et où même le technologiquement moderne entre en crise rapidement poussé par l'exigence du capital financier de faire toujours plus de profits pour répondre aux attentes des actionnaires et des marchés financiers qui vampirisent le travail huamin. Or on sent bien aujourd'hui que l'exigence portée par ces derniers c'est de remettre en cause les acquis sociaux obtenus par plus d'un siècle de luttes sociales. car d'une part ces acquis sont une ressource financière qui n'entre pas dans le giron des marchés financiers d'autre part ils sont l'un des socles sur lesquels repose notre société (libertés, démocratie, travail, solidarité, culture, exigence de paix...). On voit donc bien l'entreprise de démolition mise en oeuvre. C'est dans ce cadre que se développe le mouvement social en France fait de luttes quotidiennes et de temps forts de grande ampleur comme celui que l'on vit depuis plusieurs mois voir plusieurs années sur la question des retraites (il faut se rappeler des périodes 1993, 1995, 2003, 2007 sur ce sujet par exemple). Ce qui semble significatif dans la période Septembre-Octobre 2010, c'est que la question des retraites s'adosse à un mécontement de plus en plus fortement exprimé par une grande partie du Peuple avec une exacerbation de mesures considérées comme injustes et-ou innacceptables dans un tas de domaine. (la question des roms ou les affaires Woerth-Bettencourt et bien d'autres choses encore n'y sont pas pour rien...) Mais cela se passe au coeur d'une guerre idéologique de très grande ampleur exacerbées par l'utilisation des médias anciens ou nouveaux. Si le pouvoir (droite - gouvernement - patronat) maîtrise une partie de la presse, de la télévision ou des radios, il est loin de maîtriser l'internet où règne quand même une jungle ou des labyrinthes incroyables. Or le Peuple est un contre-pouvoir puissant mais ça part dans tous les sens (du fait des divisions autant que des diversités). Et l'opinion publique est fluctuante entre ceux qui ont des opinions tranchées, des opinions affirmées ou ceux qui roulent en fonction du sens du vent ou tout simplement qui ne pensent rien... La construction d'un mouvement, d'une opinion est bien plus compliquée et difficile que la déconstruction. C'est plus facile d'être contre que d'être pour quelque chose. C'est plus facile de s'exprimer être contre et de démolir que d'argumenter, de construire un projet, d'affirmer des idées, de donner des perspectives... Il en est de même au coeur du mouvement social, au coeur d'une lutte que chacun vit individuellement (pour ou contre, actif ou passif, anti ou spectateur, ignorant ou fermant les yeux...) Comme je l'ai affirmé plusieurs fois, les mouvements sociaux sont en train d'évoluer dans leurs formes d'action en devenant à la fois plus radicaux pour ce qui concernent les militants et salariés engagés (les raffineries par exemple) et plus populaires dans les formes collectives que sont les formes de soutien ou les manifestations avec une multiplication des manifestations dans les petites villes voir les petites communes (sauf en région parisienne ?). le problème c'est que chaque individu y va à son rythme, avec ses opinions, avec ce qu'il a dans la tête à un moment donné, à un instant donné, en étant offensif ou en y croyant pas trop... Ce qui me semble significatif du mouvement de septembre - octobre c'est le retournement de l'opinion publique majoritairement opposé au projet de réforme anti-social du gouvernement-ump-medef mais c'est un mouvement qui se cherche, qui demande-exige des perspectives et qui sent se rapprocher l'échéance de 2012 et son impératif : battre cette droite-patronat au pouvoir total depuis 2002... et ce pouvoir autoritaire insupportable porté par le Sarkozysme ambiant. Il y a donc de nouvelles échéances à construire et à gagner à commencer par les manifestations du Samedi 6 novembre 2010 et les suites tant syndicales-sociales que politiques à donner. C'est pour cela que les combats d'arrière-garde pour refaire tant le grand soir que le passé, les tentatives de divisions et d'exacerbation des tensions à coups de réglements de compte par des gens qu'on a peu vu ou entendu pendant la période récente ne sont qu'un leurre. Les vrais acteurs du mouvement social sont déjà passés à autre chose et regardent devant eux vers l'avenir qu'ils ont à construire . -
Manifs , Casseurs, flics infiltrés, violences etccc
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Voir le message n°82 de ce fil de discussion... du 27 octobre 2010 à 14h57 Radio Cheminots.fr avait donné l'information... -
Main basse sur la cagnotte des retraites
Dom Le Trappeur a répondu à fabrice situé dans Brin de causette
Dans la même ligne... Les 3 Frères Sarkozy... http://lociol.wordpr...0/les-3-freres/ Extrait : Le Pôle Emploi, né de la fusion de l'ANPE et de l'ASSEDIC sur une idée de Nicolas Sarkozy, compte 50.000 employés. La Sécurité Sociale, comprenant l'Assurance Maladie, l'Assurance Vieillesse et les URSSAF compte 120.000 employés. Ces deux organismes ont été concernés par une réforme récente concernant les complémentaires santé. Ainsi, depuis le 1er janvier 2009, 170.000 employés ont été contraints de résilier leurs contrats avec leurs mutuelles pour adhérer à une "mutuelle employeur obligatoire". Ceux qui ont des enfants ont également été obligés d'inscrire ces derniers sur le nouveau contrat (sauf s'ils étaient déjà ayant-droits sur le compte du conjoint via une mutuelle employeur obligatoire). On peut appeler ça du passage en force. C'est une conséquence de la loi Fillon de 2003. Ce qui est encore plus étonnant, c'est de constater que c'est le même organisme qui a remporté les deux marchés.Je ne connais pas les modalités des appels d'offre mais je m'étonne de voir que c'est le groupe Malakoff-Médéric qui a raflé la mise, obtenant d'un coup, d'un seul, 170.000 adhérents supplémentaires, sans compter les ayant-droits.Ajoutez à cela les 800.000 salariés CHR (café-hôtellerie-restauration) qui rentreront dans le dispositif en janvier 2011… c'est encore Malakoff Médéric qui a emporté le marché. Revenons donc sur l'histoire de cette compagnie d'assurance et de prévoyance pour comprendre un peu mieux les enjeux. et la suite de cet article...sur le groupe Malakoff-Méderick http://lociol.wordpress.com/2010/10/15/malakoff-mederic/ -
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Prendre la mesure de ce qui s'est réellement passé en Septembre-octobre lors du mouvement social malgré la propa-intox du gouvernement ump-medef... Pénurie de carburants : la France a frôlé la "catastrophe économique" LEMONDE.FR avec AFP | 01.11.10 http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/11/01/penurie-de-carburants-la-france-a-frole-la-catastrophe-economique_1433696_3234.html#ens_id=1305816 -
A mon avis, c'est un inspecteur du fisc ou un représentant de l'URSAFF... Bon comme on est mensualisé ou trimestrialisé mais de toute façon mal rémunéré (tant pour le salaire des actifs que la pension des retraités ...) on a rien a caché ...
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Nicolas Sarkozy a ruiné le dialogue social, juge François Bayrou Reuters Le conflit sur la réforme des retraites débouche sur une situation "perdant-perdant" en France, a déploré dimanche le président du MoDem, François Bayrou. Lors du "Grand rendez-vous Europe 1/Le Parisien", le dirigeant centriste a estimé queNicolas Sarkozy avait "ruiné la perspective de dialogue social", déplorant qu'il n'y ait pas eu de référendum sur cette "question de société" après le débat parlementaire. Puisque la loi qui repousse l'âge légal de la retraite à 62 ans a été votée mercredi, "il serait inimaginable que la promulgation n'intervienne pas", comme le réclament les syndicats et l'opposition, a déclaré François Bayrou. "Je considère dans cette affaire qu'il y a des dégâts très importants qui sont faits. Il y a des situations où on dit 'tous gagnants', 'gagnant-gagnant'. Là, on est dans une situation où je crois qu'on peut dire 'tous perdants', 'perdant-perdant'", a-t-il estimé. "Les syndicats auront du mal à relancer un mouvement de cette ampleur puisque le mouvement n'a rien obtenu, encore qu'ils aient été responsables et modérés en face d'une partie de leur base", a jugé le fondateur du MoDem. "Le pouvoir se trouve dans une situation où il a ruiné la perspective du dialogue social dont pourtant il faisait un totem, verbal certes, mais un certain nombre de gens l'avait cru", a-t-il attaqué. "Je pense que la France n'a pas avancé ces dernières semaines : elle a reculé". Il est revenu sur la méthode choisie par l'exécutif qui aurait dû commencer selon lui par "une solide séquence de discussions dans laquelle chacun amène ses questions et ses réponses" avec les partenaires sociaux. "Après ça, le gouvernement fait ses choix, il les expose au pays. Ces choix sont examinés devant le Parlement et, après, si c'est une grande question qui engage le destin du pays, c'est le peuple qui tranche", par le biais d'un référendum, a fait valoir François Bayrou. Les Français auraient été appelés à approuver ou rejeter "le projet de loi qui a été voté par les députés et les sénateurs". Les députés ont mis un terme mercredi à un marathon législatif en adoptant la réforme qui portera progressivement de 60 à 62 ans l'âge légal de départ à la retraite et de 65 à 67 ans l'âge pour une retraite à taux plein, quel que soit le nombre de trimestres cotisés. Jeudi, la contestation s'est essoufflée mais les syndicats n'en ont pas moins réaffirmé leur détermination à poursuivre la lutte contre un texte qu'ils jugent injuste et inefficace Laure Bretton, édité par Clément Guillou -
Agression d'un conducteur
Dom Le Trappeur a répondu à Typiac situé dans Actualité ferroviaire générale
je vois que tu aimes bien modifier tes messages... -
Encore mieux que Big Brothers... Auto-taggage... Y'en a qui rêve de faire la même chose pour les manifs rien que pour compter le nombre de participants ? Record : Plus de 7 000 personnes taggées sur une photo de Facebook Plus de 7 000 festivaliers ont établi un nouveau record en se taggant sur une photo via le site Facebook.Lire la suite l'article Ce sont plus de 7 000 festivaliers qui ont brisé un nouveau record en se "taggant" sur une photographie prise lors du Glastonbury festival. C'est la marque Orange qui est l'initiative de ce projet. Plusieurs photographies en haute résolution ont ainsi été prises et assemblées afin d'obtenir un panorama sur les festivaliers. Sur la photo, prise le 23 juin dernier, les internautes ont pu zoomer suffisamment pour s'identifier parmi la foule de 70 000 festivaliers, et se "tagger" ainsi que leurs amis. Le Glastonbury festival est l'un des évènements musicaux les plus importants de Grande Bretagne. Il attire chaque année des milliers d'amateurs de musique. Les têtes d'affiches de cette année ont été Stevie Wonder et le groupe Gorillaz. 7.000 sur 70.000 quand même...! http://fr.news.yahoo.com/55/20101031/tod-record-plus-de-7-000-personnes-tagge-17baed7.html
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Loin d'être des mouvements de 3 semaines unitaires... si ma mémoire est bonne.
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Agression d'un conducteur
Dom Le Trappeur a répondu à Typiac situé dans Actualité ferroviaire générale
Les formes de lutte évoluent, c'est une réalité... Nous avons déjà eu l'occasion d'en parler sur le forum. On peut constater que c'est souvent vers/à la fin d'un long mouvement social que le débat se christalise sur cette question et ses aspects récurents que sont les tensions et les divisions tout comme les dérapages radicaux des uns et des autres, les pour, les contre, les anti et les sans opinion... Le problème c'est que le mouvement social qui parcourt le pays n'est pas terminé puisqu'il accompagne la-les crise(s) - économiques, culturelles, politiques, financières, industrielles, sociales...- qui se succèdent depuis 1968. cela fait plus de 40 ans que ça dure. Or une crise dans le système capitaliste consisite à casser une partie de l'existant pour le remplacer, laisser la place à quelque chose de nouveau dans un espace géographique. Depuis les années 1850, de crises locales, puis régionales nous sommes passés à des crises nationales, sectorisées, continentales et aujourd'hui globales avec la mondialisation... ça donne l'impression d'une course en avant dans un monde qui évolue avec une rapidité fulgurante et où même le technologiquement moderne entre en crise rapidement poussé par l'exigence du capital financier de faire toujours plus de profits pour répondre aux attentes des actionnaires et des marchés financiers qui vampirisent le travail huamin. Or on sent bien aujourd'hui que l'exigence portée par ces derniers c'est de remettre en cause les acquis sociaux obtenus par plus d'un siècle de luttes sociales. car d'une part ces acquis sont une ressource financière qui n'entre pas dans le giron des marchés financiers d'autre part ils sont l'un des socles sur lesquels repose notre société (libertés, démocratie, travail, solidarité, culture, exigence de paix...). On voit donc bien l'entreprise de démolition mise en oeuvre. C'est dans ce cadre que se développe le mouvement social en France fait de luttes quotidiennes et de temps forts de grande ampleur comme celui que l'on vit depuis plusieurs mois voir plusieurs années sur la question des retraites (il faut se rappeler des périodes 1993, 1995, 2003, 2007 sur ce sujet par exemple). Ce qui semble significatif dans la période Septembre-Octobre 2010, c'est que la question des retraites s'adosse à un mécontement de plus en plus fortement exprimé par une grande partie du Peuple avec une exacerbation de mesures considérées comme injustes et-ou innacceptables dans un tas de domaine. (la question des roms ou les affaires Woerth-Bettencourt et bien d'autres choses encore n'y sont pas pour rien...) Mais cela se passe au coeur d'une guerre idéologique de très grande ampleur exacerbées par l'utilisation des médias anciens ou nouveaux. Si le pouvoir (droite - gouvernement - patronat) maîtrise une partie de la presse, de la télévision ou des radios, il est loin de maîtriser l'internet où règne quand même une jungle ou des labyrinthes incroyables. Or le Peuple est un contre-pouvoir puissant mais ça part dans tous les sens (du fait des divisions autant que des diversités). Et l'opinion publique est fluctuante entre ceux qui ont des opinions tranchées, des opinions affirmées ou ceux qui roulent en fonction du sens du vent ou tout simplement qui ne pensent rien... La construction d'un mouvement, d'une opinion est bien plus compliquée et difficile que la déconstruction. C'est plus facile d'être contre que d'être pour quelque chose. C'est plus facile de s'exprimer être contre et de démolir que d'argumenter, de construire un projet, d'affirmer des idées, de donner des perspectives... Il en est de même au coeur du mouvement social, au coeur d'une lutte que chacun vit individuellement (pour ou contre, actif ou passif, anti ou spectateur, ignorant ou fermant les yeux...) Comme je l'ai affirmé plusieurs fois, les mouvements sociaux sont en train d'évoluer dans leurs formes d'action en devenant à la fois plus radicaux pour ce qui concernent les militants et salariés engagés (les raffineries par exemple) et plus populaires dans les formes collectives que sont les formes de soutien ou les manifestations avec une multiplication des manifestations dans les petites villes voir les petites communes (sauf en région parisienne ?). le problème c'est que chaque individu y va à son rythme, avec ses opinions, avec ce qu'il a dans la tête à un moment donné, à un instant donné, en étant offensif ou en y croyant pas trop... Ce qui me semble significatif du mouvement de septembre - octobre c'est le retournement de l'opinion publique majoritairement opposé au projet de réforme anti-social du gouvernement-ump-medef mais c'est un mouvement qui se cherche, qui demande-exige des perspectives et qui sent se rapprocher l'échéance de 2012 et son impératif : battre cette droite-patronat au pouvoir total depuis 2002... et ce pouvoir autoritaire insupportable porté par le Sarkozysme ambiant. Il y a donc de nouvelles échéances à construire et à gagner à commencer par les manifestations du Samedi 6 novembre 2010 et les suites tant syndicales-sociales que politiques à donner. C'est pour cela que les combats d'arrière-garde pour refaire tant le grand soir que le passé, les tentatives de divisions et d'exacerbation des tensions à coups de réglements de compte par des gens qu'on a peu vu ou entendu pendant la période récente ne sont qu'un leurre. Les vrais acteurs du mouvement social sont déjà passés à autre chose et regardent devant eux vers l'avenir qu'ils ont à construire . -
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
La SNCF annonce un retour à la normale Reuters samedi 30 octobre 2010 10h00 Le trafic ferroviaire en France, perturbé depuis plusieurs semaines par le mouvement social contre la réforme des retraites, reviendra à la normale au cours du week-end de la Toussaint, annonce la SNCF. Quelques perturbations ponctuelles étaient encore attendues samedi du fait des opérations techniques nécessaires pour revenir à un trafic normal, précise-t-on de même source. Patrick Vignal -
Nouvelles du Royaume Les Copains...de mes copains ça vaut l'coup de s'en jeter un petit derrière le gosier de temps en temps... Il avait démissionné après avoir été contrôlé en état d'ivresse : l'ex-conseiller de Fillon "promu" http://fr.news.yahoo...nt-019dcf9.html
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C'est l'Automne...
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Ils n'en ont pas fini avec le mouvement social... Préavis de grève pour les hôtesses et les stewards http://fr.news.yahoo.com/4/20101030/tts-aerien-greve-preavis-ca02f96.html Grève des sorties la nuit aux Affaires Maritimes Ou Travailler plus na nuit mais vous ne serez pas payés de nuit... http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/affaires-maritimes-greve-des-sorties-la-nuit-30-10-2010-1099171.php
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Le train traîne la voiture sur 365 m à Pluduno (22)
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Le train traîne la voiture sur 365 m à Pluduno (22) http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Le-train-traine-la-voiture-sur-365-m-a-Pluduno-22-_39382-1569996_actu.Htm Le train régional reliant Saint-Brieuc et Dinan a heurté une voiture sur la voie ferrée à 7 h 15, au lieu-dit La Chapette à Pluduno. Heureusement, le conducteur et la passagère ont réussi à sortir de la voiture avant le choc. Le train a traîné la voiture sur 365 m avant de s’immobiliser. Il n’y avait qu’un seul passager à bord du train. Lui aussi est indemne. Le trafic a été interrompu jusqu’à 15 h, le temps d’enlever la voiture, totalement encastrée sous la locomotive. Deux trains ont été supprimés. La SNCF a mis en place un système de taxis pour conduire les passagers éventuels aux gares de Saint-Brieuc et Dinan. -
Détresse d'un TGV Paris Nantes
Dom Le Trappeur a répondu à kerguel situé dans Actualité ferroviaire générale
C'est pas le même TGV...ni la même date celui du sanglier ça doit être hier seulement...à Sablé http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Le-TGV-heurte-un-sanglier-3-h-30-de-retard-entre-Paris-et-Nantes_39382-1569767_actu.Htm Le TGV heurte un sanglier : 3 h 30 de retard entre Paris et Nantes -
Reservation sens de la marche
Dom Le Trappeur a répondu à Eurostar situé dans Clients de SNCF Voyageurs & SNCF-Connect
controleursncf Et si tu ne veux pas être dans le sens de la marche... C'est la même problèmatique ? Faut sortir de polytechnique ou des Hautes Etudes de Commerce pour résoudre cette énigme... -
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
J'ai reçu ce texte par e-mail aujourd'hui qui va bien avec la photo juste au-dessus... Il n'y avait pas de sources ou d'origines indiquées mais je pense qu'il va faire bien vite le tour de la toile... « Humm, que j'aime le claquement des banderoles dans le petit matin frais! > Inlassablement, ils repartent au combat. Tous les 15 jours. Puis > toutes les semaines. Et puis même le week-end. Ils y vont. Malgré > tout. À cause de tout. Déterminés. Joyeux. Féroces. Ils sont là. > Bien sûr, il y a les abonnés du pavé. Comme une grande confrérie. > Manif après manif, ils se retrouvent toujours, immanquablement, comme > guidés par un tropisme atavique. Ce sont les vieux gauchos, les > soixante-huitards fatigués, le poil blanchi sous le harnais de la > lutte permanente et continue contre l'ordre qui broie, qui ronge, qui > reprend, patiemment, miette par miette, tout ce que les anciens > avaient gagné au terme de bras de fer immenses et acharnés. Je me > souviens de quelques soirées électorales où on s'est retrouvés à cinq > autour d'une table, dans la pénombre d'une salle municipale déserte. > Et de quelques marches désabusées, à filer droit, quelque pelés > bravant un ciel qui fait aussi la gueule. Les vétérans de la lutte. > Les poilus du refus. Les militants de toujours, qui se traîneront > avec leur perf' de chimio s'il le faut, on s'en fout, il faut y être > et c'est tout! Toujours dans le mauvais camp. Celui de ceux qui ne > sont pas au pouvoir. Le camp du peuple. De la populace qui ennuie et > qui effraie, aussi, ceux qui sont censés la gouverner. > Bien sûr, il y a les jeunes. Avec leur enthousiasme. Leur esprit de > contradiction. Leur envie d'en découdre. Leur envie d'exister, d'être > entendus, de compter comme des citoyens à part entière. Pas toujours > très au fait des subtilités de la pensée politique, mais souvent bien > plus lucides, bien plus pertinents que ne le pensent généralement les > vieux cons. Ils ne lâchent rien. Jamais. Ils restent toujours au > milieu de la place bien après que les vieux militants se soient > prestement dispersés pour retourner à une vie normale. Ils aiment > plus que tout prolonger le chaos, le faire durer. Ils ne cherchent > pas à être là où ça bouge, ils font bouger la foule, la font danser, > la font crier. Ils ont la vie devant eux et pas l'intention de la > laisser filer. Ils sont notre avenir et ils ne peuvent pas fuir. > Et puis, il y a les nouveaux. Nombreux. Toujours plus nombreux. La > majorité silencieuse qui a décidé qu'elle n'en pouvait plus. La masse > de ceux qui pensaient que la politique, ce n'est pas pour eux. > Jusqu'à ce que la politique s'occupe d'eux. Les poursuive. Dans leur > salon. Dans leur boulot. Même pendant les courses au supermarché. > Devant l'école des gosses. Ceux qui ont fini par comprendre que la > politique actuelle ne fait pas de quartier, pas de prisonniers. Ceux > qui ont pris la crise dans la gueule, dans les tripes. Les salaires > qui patinent, les boulots qui disparaissent, la gangrène hideuse du > chômage qui les talonne, la santé trop chère, l'école qui se > déballonne. Toutes ces fausses promesses qui n'ont engagé que ceux > qui y ont cru. Toutes ces paroles creuses qui éclatent sur une > réalité sociale qu'on ne peut plus faire semblant de ne plus voir. > Et puis là, le truc de trop : deux années de plus à trimer pour > des clous. La goutte d'eau qui fait déborder le trop-plein > d'amertume. Ils en ont juste eu marre, ils ont posé des RTT, ils ont > pris les gosses sous le bras et les voilà à faire nombre dans les > cortèges. Ras-le-bol général. Refus total de lâcher une seule petite > chose de plus. Refus de se laisser récupérer, d'adhérer, de se faire > compter. Refus total. Et ivresse de la foule. > Et puis, il y a tous les autres. Les 71 % de gens qui en ont ras la > cafetière de tout, qui veulent que ça pète, qui veulent que ça > change, qui aspirent à autre chose, mais qui comptent sur les potes > pour faire le sale boulot à leur place. C'est à tous ceux-là que je > parle. C'est à toi que j'écris. > Je comprends. > Tu as toujours une bonne raison de ne pas y aller, même si tu > soutiens le mouvement de tout ton cœur, de toutes tes forces. Tu as > un boulot. Et tu as peur de le perdre. Ou tu es irremplaçable. Je > t'ai déjà dit que les étagères de Paul Emploi sont blindées de gens > irremplaçables. Tu as une famille. Et personne pour garder les mômes. > Tu n'as plus de boulot. Tu as besoin de ton salaire. Tu as le crédit > de ta baraque à rembourser, ta banque te tient les bollocks au creux > de la pogne. Et puis, dans ta branche, les « rouges », les > syndicalistes, les grandes-gueules, les fouteurs de merde, tous ces > gens-là, c'est vachement mal vu quand même. > Tu es l'armée de réserve. Tu attends que ça pète pour te jeter > dans l'arène à ton tour. Parce que là, tout de suite, les petites > randos de santé en centre-ville, tu y crois moyen. Et puis, tu > n'aimes pas les vieux militants, les syndicalistes bornés, les gamins > en roue libre et les braillardes à banderoles. Tu n'aimes pas la > foule. Et les retraites, tu sais que c'est grave ce qui se passe, > mais d'un autre côté, ça fait un bon moment que tu en avais fait ton > deuil. C'est que tu es un lucide, toi. C'est que tu vois les choses > globalement : d'un peu plus haut. D'un peu plus loin. Tu me dis qu'on > n'a pas besoin de toi. Qu'un mec tout seul, ça ne changera rien au > final. > Alors, tu nous regardes passer sous les fenêtres de ta boîte que > tu détestes et tu continues ton boulot qui n'a pas de sens pour > gagner un salaire en peau de chagrin. Et tu nous soutiens. De toutes > tes forces! > Sauf qu'au combat, tu le sais bien, chaque soldat compte. Tout > comme tu sais, même si ça te fait chier de te l'avouer, que nous > sommes au cœur d'une véritable guerre des classes, une guerre sociale > et comme tous les gonzes qui défilent à tes pieds, je sais que tu as > compris que les mecs en face n'ont pas l'intention de faire de > prisonniers. Tu sais qu'à partir de maintenant, nous n'avons plus le > droit à la défaite. Tu sais que si nous fléchissons maintenant, ils > nous achèveront demain. Nous faire trimer jusqu'à la tombe n'est que > le début, c'est juste la partie émergée de l'iceberg libéral, ce > n'est qu'une étape vers le véritable objectif de ceux qui tiennent > les manettes : le retour au temps joyeux de Zola, où nous n'avions > rien et où ils avaient tout. > Toi aussi, tu les vois en train de dépecer notre tissu social > comme une meute de charognards excités par l'odeur lourde et collante > de la misère et du malheur des exploités. Tu as encore tant de choses > à perdre, que tu refuses encore de descendre dans la rue. Tu as tant > de choses à perdre, et eux ne voient là qu'autant de choses à te > reprendre. Et ils le feront. Petit à petit. Morceau par morceau. > Jusqu'à ce qu'il ne te reste rien de ce que tu t'échines à construire > depuis tant d'années. > Ce n'est pas qu'une question de retraite. Et tu le sais bien. C'est > une vision du monde, un choix de société. Ce sont les forces de > l'argent qui ont décidé qu'elles en avaient marre de concéder des > miettes aux pauvres pour avoir la paix. Ce sont nos exploiteurs qui > ont décidé que nous étions des gêneurs, des surnuméraires, des > empêcheurs de jouir de tout comme des porcs. Alors, ils reprennent > tout : le droit de se reposer après une vie de labeur, le droit de ne > pas vieillir dans la misère, le droit d'être soigné, le droit d'être > instruit, le droit d'être convenablement nourris, le droit d'être > correctement logé, le droit à une vie décente. > Tu sais tout cela, toi qui nous regardes défiler de ta cage > climatisée. Tu sais tout cela et tu nous soutiens. > Mais cela ne suffit plus. > Si nous faiblissons, nous sommes perdus. Ils sont à l'affût, avec > la suite de leur programme ignoble : encore une journée de travail en > plus, pour les vieux, encore des remboursements en moins, encore des > subventions qui s'assèchent, encore des taxes qui frappent dur les > plus pauvres, encore des restrictions, encore de la rigueur, encore > de la déconstruction sociale, encore, encore, comme une litanie, > encore, encore, comme notre sang qui s'écoule doucement sur les > pavés, encore, encore, comme la curée de la meute, encore, encore… > Tu sais qu'on y est. Cela fait même pas mal d'années qu'on y est. > Et là, c'est la position qu'on ne doit pas lâcher. C'est le point de > résistance où se joue la déroute en rase campagne. Si on perd > maintenant, ils vont nous dépecer vivants. > Ce n'est plus le temps de la palabre. > Plus le temps des stratégies. > Plus le temps de la neutralité. > Choisis ton camp : tu es avec nous dans la rue ou tu continues à nourrir la main qui t'étrangle, lentement! » -
Petite question simple (et peut être ... bête) : Es-tu pour ou contre le projet de réforme du système des retraites présenté par la majorité de droite Ump au gouvernement Sarkozy-Fillon-Woerth ? (la loi n'étant pas encore promulguée)
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ADN : 1,2 millions de personnes fichées en France... Fichier génétique : un maraîcher relaxé, 2% de la population fichée http://www.rue89.com/2010/10/29/fichier-genetique-un-maraicher-relaxe-2-de-la-population-fichee-173739 Dans les commentaires j'ai retenu celui-ci...où on comprend mieux l'augmentation du nombre de Gardes à Vue en quelques années... De diogene_ Arrêté à la suite de la manif sur les retraites du 19 octobre à Nice, je suis poursuivi pour refus de déposer mes empreintes et de me laisser prendre en photo. Alors que les policiers m'ont annoncé que j'allais être libéré et qu'aucune charge n'était retenu contre moi, ils ont voulu prendre mes empreintes. Ca me semblait illogique, voire illégal, j'ai donc demander à consulter mon avocat par téléphone, ce qui m'a été refusé. Les policiers m'ont dit qu'ils avaient ordre de ficher tous ceux qui avaient été placé en garde à vue, or il y a eu l'année dernière 750 000 garde à vue qui n'ont donné lieu à aucune poursuite. Bref, pour pouvoir justifier la prise d'empreinte par une infraction préalable, le Parquet de Grasse a décidé de changer d'avis et de me poursuivre quand même pour... "entrave à la circulation" (pour ma participation à une manif autorisée) ET le refus de déposer mes empreintes. Les audiences auront lieu en décembre et février. HALTE à la criminalisation de l'action revendicative.