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Et je vous jure que ça marche , je viens de faire l'essai avec Firefox mais y'a quasiment plus rien à lire sur ce fil de discussion... Pour télécharger l'application... https://addons.mozil...fox/addon/8120/
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Mozilla propose un monde... sans Sarkozy ! Que serait le monde sans Nicolas Sarkozy et sa chère épouse? L'extension Sarkofree vous permet d'en avoir un bref aperçu le temps d'une navigation Internet. "Invisible", voilà le mot qui a fait naître chez le créateur du logiciel Sarkofree 1.6, le besoin de faire disparaître... Nicolas Sarkozy et Carla Bruni du Web. L'extension de Mozilla Firefox disponible gratuitement, offre à tous ceux que l'hyper-médiatisation du président de la République exacerbe la possibilité de faire abstraction, le temps d'une navigation internet, du couple Sarkozy. Sarkofree 1.6, appelé add-on dans le langage spécialisé, permet ainsi aux utilisateurs de Mozilla de bannir de leurs recherches Internet toutes références à Sarkozy ou à sa femme. Il procède en supprimant automatiquement lors de vos téléchargements les paragraphes contenant les noms et les photos des Sarkozy. Avec l'omniprésence du couple présidentiel à la télévision, dans la presse, et à la radio, Internet semble donc être le seul endroit pour vivre sans lui. Mais vous risquez de ne pas pouvoir lire grand chose... http://www.zigonet.com/nicolas-sarkozy/mozilla-propose-un-monde-sans-sarkozy_art16819.html
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Allez un p'tit coup pub "parce qu'il le vaut bien " (même si lui il ne reçoit pas d'enveloppes kraft de la part dela p'tite Liliane...) http://www.cheminots.net.com/ -
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Premier grand conflit social du XXIème siècle ? Et si c’était le premier grand conflit social français du XXIe siècle ? Par son contexte, son ampleur, ses formes et les aspirations qu’il révèle, le mouvement contre la réforme des retraites échappe à tous les anciens clichés. Les formes inédites du mouvement des retraites. Décryptage en dix points. 1. Le gouvernement a perdu la bataille d’idées. Le gouvernement n’est pas parvenu à convaincre. Le désaccord principal touche le coeur de sa réforme : le report de l’âge légal de départ en retraite à 62 ans et à 67 ans pour le taux plein. Cette opinion s’est doublée d’un fort soutien au mouvement social, jusqu’à 71 % d’opinions favorables. La dernière enquête BVA, réalisée les 20 et 21 octobre, parle d’un « soutien toujours massif », à 69 %. « La France en âge de travailler se montre favorable au mouvement social dans toutes ses dimensions (74 %). Les jeunes le soutiennent de façon écrasante (73 %) », analyse Gaël Sliman, directeur adjoint de l’institut de sondage. Hier, une enquête Ifop pour Ouest-France, montrait que la poursuite de la mobilisation est justifiée pour 63 % des sondés alors que la loi a été adoptée au Sénat. 2. Un sentiment d’injustice qui déborde. Les salariés ont vite fait les comptes : le relèvement brutal de l’âge de départ à 62 et 67 ans, c’est perdant-perdant. De plus, la réforme pénalise ceux qui ont commencé à travailler jeunes, qui subissent des carrières discontinues, c’est-à-dire les plus fragiles. Alors que le gouvernement a trouvé des milliards d’euros pour sauver les banques pendant la crise, il choisit de faire peser 80 % du financement de sa réforme des retraites sur les salariés. La contestation sociale s’ancre dans ce sentiment d’injustice et se cumule à une prise de conscience que l’argent existe. « Y a d’la tune chez L’Oréal » fait partie des slogans vedettes dans les manifestations. Un verrou a sauté. 3. Des salariés qui parlent des conditions et du sens du travail… « Envie de se poser avant de crever », ce slogan brandi dans les manifestations résume la question : derrière le refus de travailler au-delà de 60 ans, les salariés posent la question du sens du travail. La course à la rentabilité et le dogme du « court terme » ont développé de nouvelles pénibilités, physiques et morales. Les trente-cinq heures ont amené des espaces de liberté mais il a fallu, souvent, faire la même chose en moins de temps. Nicolas Sarkozy ne cesse de fustiger cette « erreur », mais il oublie de préciser que la France préserve un des plus forts taux de productivité horaire au monde. Sans compter que, depuis vingt ans, la flexibilisation des horaires, l’explosion de la précarité, les temps partiels imposés grignotent la maîtrise du « temps pour soi ». Dans ce cadre, la retraite incarne pour beaucoup un espace de liberté délié de la relation salariale, un temps où l’on peut faire ce que l’on n’a pas pu. Elle est devenue un horizon après le travail que le report de l’âge légal bouche. 4. Les femmes et la retraite, tout un symbole ! Souvent invisibles, les voilà aux premières loges. La réforme des retraites se révèle être particulièrement régressive pour les femmes. Voilà sans doute une des raisons qui fait des inégalités hommes/femmes un point de crispation contre le texte gouvernemental. Aujourd’hui, moins de la moitié des femmes valident une carrière complète à 65 ans. Pour ne pas subir de « décote » sur leur pension, beaucoup n’auront d’autre choix que de pousser jusqu’à 67 ans, soit bien au-delà de l’espérance de vie en bonne santé, calculée pour elles à 64 ans. La réforme les pénalise en premier lieu, elles qui occupent 83 % des emplois à temps partiel. Pire, elle s’ajoute aux réformes précédentes (1993 et 2003) qui ont déjà creusé l’écart sur les pensions (826 euros en moyenne contre 1 455 euros pour les hommes). En ce sens, le droit à la retraite pour les femmes montre qu’un statut quo serait porteur du creusement des inégalités de sexe. Aborder la question à partir d’elles amène inévitablement à la nécessité d’une « autre réforme des retraites ». 5. Un mouvement de solidarité intergénérationnel. Depuis le contrat d’insertion professionnelle (CIP) qu’Édouard Balladur avait dû remettre dans ses cartons en 1993, jusqu’au contrat première embauche de Dominique de Villepin en 2006, lui aussi remballé, les jeunes se mobilisent sur des thèmes qui touchent à leur avenir immédiat, en termes d’études (réforme scolaire) ou d’insertion professionnelle. Pour la première fois, les lycéens sont entrés dans le mouvement en portant l’idée du partage du travail entre les générations. La jonction avec les salariés révèle une forte anxiété sur leur avenir professionnel. Alors que le chômage touche 25 % des jeunes et que l’âge du premier emploi stable tourne autour de 28 ans, le report de l’âge de la retraite « bloque » les postes de travail. Le mépris avec lequel le gouvernement traite leur engagement, en considérant qu’ils sont manipulés par les adultes, n’a fait qu’attiser leur colère. Du coup, les lycéens manifestent de plus en plus fortement leur opposition à Nicolas Sarkozy. Le décrochage avec les 15-24 ans est profond. Entre 70 et 80 % désapprouvent la réforme des retraites et, dans les mêmes proportions, l’action du chef de l’État. 6. Les salariés du secteur privé sont entrés très massivement dans le mouvement. Certains commentateurs continuent de ne pas le voir mais, si le secteur public est fortement mobilisé, les salariés du privé le sont tout autant. La locomotive du mouvement s’incarne même dans la figure ouvrière puisque ce sont les salariés des 12 raffineries françaises qui mènent la grève. À la différence du conflit contre la réforme Juppé de 1995, les salariés du secteur privé ne font pas grève par procuration. Ils décident d’un arrêt de travail quand ils peuvent, comme ils peuvent, souvent sur des temps d’une à quatre heures pour sortir manifester où participer à une initiative. Ils manifestent très massivement, utilisant les journées de manifestation programmées le samedi pour se faire entendre. Les ouvriers font parti des plus sûrs soutiens au mouvement social : 84 % d’entre eux disent approuver les grèves et les manifestations, selon un sondage BVA pour Canal Plus publié vendredi dernier. 7. Des frontières public-privé qui s’effacent. Le nombre de manifestations est sans cesse plus grand, jusqu’à 260 lors des journées nationales d’action. On manifeste dans les grandes villes mais aussi, par exemple, sur l’île d’Ouessant où à Belle-Île au large des côtes bretonnes. Depuis début octobre, le conflit s’enracine dans les villes, les départements, où chaque jour se déroulent de multiples manifestations à caractère interprofessionnel. Cheminots, raffineurs, fonctionnaires et métallos se retrouvent à l’entrée des dépôts pétroliers, dans les gares, sur les places publiques. Les heures de grève sont mises à profit pour sortir, extérioriser la lutte, lui donner de la visibilité. Vendredi, par exemple, 200 métallurgistes du Bas-Rhin sont allés occuper le siège de l’UIMM, patronat du secteur, pendant que ceux de STX Lorient s’offraient une « balade nocturne » aux aurores jusqu’à l’embauche. * 8. Un mouvement qui s’organise pour durer. Depuis le 7 septembre, chaque journée de mobilisation compte entre 2 et 3 millions de participants, c’est du jamais-vu ! Les manifestants expriment une conscience claire qu’il en faudra beaucoup pour faire céder le gouvernement. Ils sont nombreux à dire : « On ira jusqu’au bout. » Mais il faut apprendre à durer dans des conditions nouvelles, car la crise rend plus difficile une longue grève et le pouvoir joue la tension pour tenter de rendre le mouvement minoritaire. Il s’agit donc de parvenir à gripper la machine économique sans perdre le soutien populaire. D’où, des opérations de blocage de « points stratégiques » de l’économie souvent très mouvantes, qui ne résistent pas face à une intervention policière, ne durent jamais très longtemps, et toujours rejettent la faute d’une radicalisation du mouvement sur le gouvernement. Dans les entreprises, le débat continue pour convaincre les hésitants. On s’organise pour être dans un mouvement permanent sans perdre trop d’argent. 9. L’unité syndicale, un élément de confiance. Pilier du mouvement, l’intersyndicale ne fléchit pas, bien que beaucoup lui prédisent des divisions à chacune de ses réunions. D’emblée les huit organisations ont travaillé ensemble. Unies sur le caractère injuste de la réforme, elles gardent des différences d’approche sur la question des retraites sans en faire des points de confrontation nuisibles à ce qui les rassemble. Bien que la réforme de la représentativité syndicale reste en embuscade, leurs relations ont gagné en maturité. Alors que depuis des décennies, les grands mouvements sociaux sont essentiellement défensifs, ils ont réussi cette fois-ci à imposer l’idée que des alternatives existent et qu’il faut négocier une autre réforme. 10. La démocratie, c’est entendre ce qui s’exprime dans la rue. Depuis son installation à l’Élysée, Nicolas Sarkozy considère que sa légitimité politique issue des urnes lui permet d’imposer un train de réformes socialement régressives. Sauf que la réforme des retraites n’était pas inscrite au programme du président. Il n’est donc pas « mandaté » pour liquider la retraite à 60 ans. Qu’il s’y autorise, en continuant de se réclamer de la même légitimité électorale, accélère la crise de confiance. La sortie du chef de l’État, lors du conseil national de l’UMP de juillet 2008, déclarant que « désormais, quand il y a une grève, personne ne s’en aperçoit », est restée dans les mémoires. Depuis, il ne cesse de prendre à rebours la conviction, très ancrée en France, que l’expression de la rue est aussi un exercice de la démocratie. Le gouvernement a imposé un calendrier serré. Il a refusé de prendre le temps nécessaire de la négociation. Les salariés viennent lui rappeler que le droit de grève et de manifester exprime l’opinion majoritaire que sa réforme n’est pas la bonne. Paule Masson L'Humanite.fr 25 octobre 2010 -
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Rendons à Isabelle ce qui lui appartient même si je ne regarde pas cette émission ne Mergaultons pas... -
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Voir la modif au dessus avec mes plus plates excuses... -
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Sauf les Boukistanais de sang ou de coeur... Modification... Voilà que "je mélenche" les pays maintenant -
Et oui c'est ici en Sarkozie... Encore une drôle d'affaire... où on retrouve toujours un peu les mêmes... Si jean-Marc Morandini n'avait été à l'insu de son plein gré touché par cette affaire qui semble bien ne pas le concerner... en aurions nous été informé car elle semble avoir quelques mois d'ancienneté (Le site) Jeanmarcmorandini.com suspendu à cause d'une procédure judiciaire visant son prestataire http://www.lemonde.f...tor=AL-32280184 et dans les différents liens... http://www.rue89.com/2010/06/02/omar-harfouch-le-proprietaire-mystere-des-indiscretscom-153336
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Je vous conseille d'aller faire un tour sur le document PDF qui présente les résultats du sondage et de regarder de près le fossé qui se creuse dans notre pays... qui pense quoi ... 57% des Français satisfaits des syndicats sur les retraites Reuters Près de six Français sur dix se déclarent satisfaits de l'action des syndicats durant la crise sociale liée à la réforme des retraites alors que plus de deux sur trois se disent mécontents de celle de Nicolas Sarkozy, montre lundi un sondage Ifop pour le quotidien France Soir. Le journal a interrogé un millier de personnes sur l'action de sept grands acteurs de cette crise et 57% d'entre elles ont jugé satisfaisante l'action des syndicats dans leur ensemble. Tous les autres acteurs concernés récoltent une majorité d'opinions défavorables, du président de la République, avec 68% de "mécontents", au premier secrétaire du Parti socialiste, Martine Aubry (55%), en passant par le Premier ministre, François Fillon (56%) et le ministre du Travail, Eric Woerth (61%). Le sondage a été réalisé les 21 et 22 octobre auprès d'un échantillon national représentatif de 956 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marc Angrand, édité par Gilles Trequesser http://www.ifop.com/media/poll/1288-1-study_file.pdf http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=1288 -
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
J'ajouterai même que les dirigeants de ce grand syndicat de policiers seraient dans la mouvance ump selon une rumeur... beurk -
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un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans Brin de causette
Y'a même un syndicat de policiers qui demande au ministre de l'intérieur de poursuivre Jean-Luc Mélenchon... Enfin ce syndicat de policiers, on ne l'a pas beaucoup entendu sur la question des retraites... Mais... "Ne Mélenchons pas tout..." -
"Les propositions de la Commission portant sur l’aide que le secteur devrait apporter pour rétablir le système financier et contribuer aux budgets publics sont insatisfaisantes, sans ambition et inacceptables. " Taxes sur les Transactions Financières : 0,05 %... Ensemble luttons contre la pauvreté... ça c'est ambitieux !
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Démocratie... ? L'assemblée fantôme de la République Depuis le 1er octobre, les (rares) visiteurs du site officiel de la troisième assemblée de la République découvrent un étrange avis : "Le mandat des membres du Conseil économique, social et environnemental (CESE) a expiré le 30 septembre 2010. L'assemblée sera renouvelée au cours des prochaines semaines." L'agenda de Jacques Dermagne, 72 ans, qui préside le CESE depuis 1999, est vide. Le président ne préside plus. Les 170 membres, sur 233, qui ont été choisis par la société civile (syndicats, patronat, représentants de l'écologie, etc.), dans le cadre de la réforme instituée par la révision constitutionnelle de 2008, ne siègent pas. Le Conseil est devenu une assemblée fantôme. Pour qu'il puisse fonctionner de nouveau, le CESE attend le bon plaisir de l'Elysée. Soixante-trois membres - 40 personnalités qualifiées (PQ), sept représentants d'associations, quatre jeunes, onze citoyens d'outre-mer et un responsable de l'économie solidaire - doivent être nommés en conseil des ministres. Nicolas Sarkozy a la haute main sur les 40 PQ. Mais en plein conflit des retraites, le président a d'autres soucis. En août 2009, une loi organique avait déjà prorogé d'un an le mandat des conseillers, indiquant que "cette prorogation ne pourra excéder la date du 30 septembre 2010". La date butoir est dépassée mais, depuis, rien, silence radio. "On pourrait faire jouer l'article 16 de la Constitution, plaisante un conseiller sortant, qui confère au chef de l'Etat des pouvoirs exceptionnels si le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu." L'OMBRE DU REMANIEMENT La situation est inédite, pour ne pas dire abracadabrantesque. Si d'aventure les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat voulaient faire usage de leurs nouveaux droits de saisine du CESE, ils trouveraient porte close. Il en serait de même si au moins 500 000 personnes déposaient une pétition sur une question économique et sociale, comme les retraites. L'effet est le même que si l'assemblée avait été dissoute, confirmant au passage le peu de cas que M. Sarkozy fait des corps intermédiaires et des contre-pouvoirs. Si les 63 conseillers manquants ne sont pas nommés, rétroactivement au 1eroctobre, au conseil des ministres du 27 octobre - ce que l'on n'ose imaginer -, les 170 autres ne toucheront pas leur indemnité (3 767,91 euros, brut). L'ombre du remaniement plane sur l'assemblée fantôme, le CESE étant souvent perçu comme une maison de retraite politique dorée pour ministres déchus. Lâché par le patronat, d'où il vient, et les syndicats, M. Dermagne n'a guère de chances de se succéder à lui-même. Dans les coulisses du palais en hibernation, la bataille de la présidence se joue entre Jean-Paul Delevoye, le médiateur de la République qui rêvait de devenir, en 2011, le Défenseur des droits, et Jean-Pierrre Davant, président de la Mutualité française. M. Delevoye, maire UMP de Bapaume (Pas-de-Calais), fait figure de favori. A suivre. Michel NoblecourtLe Monde
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Retraites : l'Assemblée et le Sénat parviennent à un accord en commission mixte paritaire Les sept députés et sept sénateurs réunis lundi 25 octobre en commission mixte paritaire (CMP) pour élaborer un texte de compromis sur la réforme des retraites sont parvenus à un accord, ce qui permettra un vote définitif du projet de loi mercredi. La CMP, à majorité de droite, a aplani les quelques points de divergence entre les deux chambres pour parvenir à un texte commun, a annoncé la présidente de la commission des affaires sociales du Sénat, la centriste Muguette Dini. Le vote du Sénat devrait suivre mercredi. Le projet de loi portant sur la réforme des retraites aura alors achevé son parcours législatif. Restera encore l'écueil d'une éventuelle saisine du Conseil constitutionnel par l'opposition, qui pourrait retarder la promulgation de la loi par le chef de l'Etat. Une fois ce dernier obstacle levé, il restera au chef de l'Etat à promulguer la loi. Selon son conseiller social, Raymond Soubie, la signature pourrait avoir lieu d'ici au 15 novembre. L'Elysée compte ensuite passer au plus vite à d'autres sujets, en ouvrant notamment des chantiers "sociaux" à même de faire remonter la cote de Nicolas Sarkozy auprès des Français. "UN NAUFRAGE DÉMOCRATIQUE" "Nous en sommes arrivés à un point de véritable naufrage démocratique : refus de débat avec l'opposition, refus de dialogue avec les organisations syndicales, refus de compréhension de ce qui se passe dans le pays et tout cela pour aboutir à un texte ni juste, ni responsable", a déclaré la députée PS Marisol Touraine lors d'un point de presse. Les élus PS ont voté contre tandis que ceux du PCF ont claqué la porte de la réunion. La majorité de la CMP a rejeté l'unique amendement socialiste qui demandait l'ouverture immédiate de négociations avec les partenaires sociaux. "Nous avons eu le sentiment d'une majorité totalement hors sol, incapable de comprendre ce qui se passe dans le pays, totalement fermée au mouvement", alors que "nous nous apprêtons à vivre la septième journée de grève et de manifestations", prévue jeudi. "Nous lui avons proposé une porte de sortie, d'accepter d'engager immédiatement des négociations avec l'ensemble des partenaires sociaux", or cet "amendement a été balayé d'un revers de la main sans discussion", a-t-elle déploré. Elle a annoncé que l'opposition exprimerait sa"colère" mardi lors du débat dans les deux chambres sur les conclusions de la CMP. "Les salariés de notre pays sont les grands perdants de cette réforme et le gouvernement ne s'en sortira pas comme ça", a renchéri la sénatrice Christiane Demontès. Le Monde 25-10-2010-13h15 -
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Au pas de charge... 12h35. L'amendement des socialistes demandant l'ouverture immédiate de négociations avec les partenaires sociaux, est rejeté par la commission mixte paritaire. Laquelle doit désormais conclure ses travaux dans quelques instants. Accord Assemblée-Sénat sur la réforme des retraites La commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat sur la réforme des retraites convoquée lundi au Palais du Luxembourg est parvenue à un accord. Le texte, mis au point par la CMP composée de sept députés et de sept sénateurs, sera soumis mardi matin au Sénat qui l'examinera et se prononcera dans la foulée. Le texte sera examiné mardi après-midi par l'Assemblée qui se prononcera mercredi après-midi par un vote solennel. Le projet de loi réformant les retraites sera alors définitivement adopté par le Parlement. Emile Picy, édité par Yves Clarisse -
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Projet de loi Réforme des Retraites ... De pire en pire... Info Libération ... 11h50. Surprise à la commission mixte paritaire qui travaille depuis ce matin à l'unification des versions de l'Assemblée du Sénat. Selon les informations de Libération, l'amendement Jacquat sur la médecine du travail (du nom du rapporteur UMP du texte à l'Assemblée), a été adopté: il prévoit que seul l'employeur peut être élu président du service de santé au travail, avec voix préponderante au sein du conseil d'administration. Et ce à la place d'une présidence tournante salariés-employeur, chacun pour trois ans, et d'un vrai paritarisme, comme l'avait voté le Sénat. Pour François Desriaux, rédacteur en chef de Santé et Travail, «cela montre la volonté du medef de garder la main sur les services de santé au travail, et visiblement, le gouvernement laisse faire…» 9h15. La Commission mixte paritaire, sept députés et sept sénateurs chargés d'unifier les versions de l'Assemblée nationale et du Sénat, commence à se réunir. Selon les informations de Libération, le député (PCF) Roland Muzeau quitte la séance. Le sénateur communiste Guy Fischer fait de même. «Cette CMP n’apportera rien de significatif. Nous dénonçons ce simulacre de discussion parlementaire puisque les quelques mesures ajoutées au texte initial (ndlr: pendant le débat parlementaire)l’ont été avec l’accord de l’Elysée», invoque Muzeau. Marisol Touraine, chargée des retraites au PS, dénonce un «naufrage démocratique» sur les retraites. Le PS attaque aussi la majorité sur l'amendement adopté en fin de semaine dernière prévoyant une réfléxion sur une «réforme systémique». Aveu par la droite que la réforme est partielle? Cette réforme en profondeur, en 2013, devrait déboucher sur un système pérenne, admet la sénatrice (UMP) Isabelle Debré, tandis que son collègue UMP de l’Oise, Allain Vasselle, accuse les socialistes d’avoir organisé le mouvement social. Toujours selon nos informations, les socialistes préparent un amendement demandant l’ouverture immédiate de négociation avec les partenaires sociaux. -
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Réforme des retraites : Thibault (CGT) demande à Sarkozy... "de ne pas promulguer" la loi http://www.lepost.fr/article/2010/10/25/2280280_reforme-des-retraites-thibault-cgt-demande-a-sarkozy-de-ne-pas-promulguer-la-loi.html#xtor=AL-235 -
Calcul retenu jours de Grève
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Et en plus si tu fais 20 jours de grève d'affilée (journées de travail et journées de repos) par exemple du 1er au 20 du mois tout est retenu en une seule fois sur la paye du mois M : pas d'étalement dans le temps ! -
Sondage IFOP - Planet.fr L'opinion des 50-65 ans... Présidentielles 2012... Hypothèses candidatures et report des voix... Prenez le temps de regarder les différentes pages et tableaux du 2ème lien... http://www.ifop.com/?option=com_publication&type=poll&id=1285 http://www.planet.fr/elections-2012-1ers-resultats-du-barometre-politique-des-50-65-ans-planet-fr-ifop-elus-2-0.35769.1696.html
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Une des phrases les plus hilarantes de l'année 2010 : Liliane Bettencourt : « Je n'ai pas payé François-Marie Banier. En tout cas, pas plus que d'autres. » http://www.20minutes.fr/article/612275/politique-liliane-bettencourt-je-paye-francois-marie-banier-tout-cas-plus-autres
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Libération ... Premières estimations du coût de la grève... Chaque journée de grève interprofessionnelle (8 depuis le début du conflit des retraites) coûterait entre 200 et 400 millions d’euros, selon Le Figaro qui cite comme source le ministère de l’Economie. Ce chiffre, qui équivaut à un coût total de 1,6 milliard à 3,2 milliards d’euros, tient compte des heures de travail perdues et des pertes dans les différents secteurs, d’après le quotidien. Le ministère de l’Economie ajoute dans Le Figaro «qu’il faut aussi prendre en compte la dégradation de l’image de la France, inchiffrable» Selon les Syndicats ou la Police ? entre 200 et 400 millions d’euros 1,6 milliard à 3,2 milliards d’euros Bon à priori c'est plus facile pour le gouvernement UMP de chiffrer le nombre de manifestants à l'unité près que le "coût économique des grèves"... -
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Lundi 25 Octobre 2010 Le mouvement contre la réforme des retraites n'entend pas faiblir, malgré la Toussaint LEMONDE.FR avec AFP La bataille contre la réforme des retraites , qui devrait être adoptée définitivement mercredi 27 octobre, entre dans sa dernière ligne droite avec une semaine ponctuée par de nouvelles manifestations, la poursuite des grèves et des pénuries de carburant. Une semaine charnière Au plus bas dans les sondages, à seulement 29 % d'opinions favorables en octobre, selon l'IFOP,Nicolas Sarkozy est confronté à la plus grave crise depuis son élection en 2007. Il compte sur les vacances de la Toussaint et l'accélération du calendrier législatif pour affaiblir la mobilisation, avant de remanier son gouvernement. Mais les syndicats vont lancer toutes leurs forces dans le dernier bras de fer avant la promulgation de la loi en maintenant la pression dans le secteur de l'énergie et en organisant plusieurs journées d'action : les étudiants seront mardi dans la rue, avant une journée nationale d'action jeudi, puis une autre le 6 novembre. Pour jeudi, qui sera la septième journée d'actions nationale depuis la rentrée, les syndicats espèrent malgré les vacances faire aussi bien que lors des précédentes mobilisations, où entre 1,1 et 3,5 millions de personnes (selon les sources) étaient descendues dans les rues. Mais s'ils ont réussi à maintenir la mobilisation à un niveau inégalé en France depuis 15 ans, la gestion de la sortie du conflit pour des syndicats s'annonce à hauts risques en raison de la pression de la base et des divergences de stratégie. La CGT réclame la non-promulgation de la loi Interrogé sur Europe 1, le conseiller social du président, Raymond Soubie, a estimé, dimanche, que la promulgation – c'est à dire la parution du texte au Journal officiel – interviendra vers le 15 novembre. Un peu plus tard, sur France 5, Bernard Thibault, le secrétaire général de la CGT, a demandé à Nicolas Sarkozy de "ne pas promulguer la loi", réaffirmant que l'"objectif" des syndicats était"l'ouverture de négociations sur l'avenir des retraites". De son côté, le Medef s'est alarmé de "la gravité de l'impact sur l'économie" du conflit social. Si les conséquences économiques de la grève n'ont pas encore été chiffrés, l'organisation patronale a relevé "l'arrêt ou quasi arrêt des livraisons des marchandises (matières premières ou produits finis) transitant par le fret ferroviaire" et les"retards considérables des livraisons transitant par le fret routier" ; le Medef réclame ainsi un report des paiements de charges pour les entreprises les plus touchées par la crise. Carburants : les blocages se poursuivent Dimanche, la France connaissait encore des pénuries de carburants, avec une station sur quatre à sec et des difficultés concentrées en région parisienne et dans l'Ouest. La situation pourrait se dégrader lundi, selon l'Union française des industries pétrolières, du fait du repos obligatoire des chauffeurs de camions-citernes qui alimentent les pompes. Le ministre de l'énergie, Jean-Louis Borloo, a confirmé que des "difficultés" supplémentaires seraient à prévoir lundi. "Cela ne voudra pas dire qu'on repart vers une dégradation du système", a toutefois relativisé le ministre lors d'un entretien téléphonique avec l'AFP. Il a expliqué que, compte tenu du repos imposé dimanche aux chauffeurs de citernes par la législation sur le transport de matières dangereuses, la "matinée de remise en route de la tournée des camions" devrait "être digérée" et pourrait "créer quelques problèmes" en première partie de journée. Samedi soir, sur France 2, M. Borloo avait appelé à la reprise du travail dans les douze raffineries du pays, toutes en grève et à l'arrêt. Outre les blocages du secteur pétrolier, la contestation s'est poursuivie ce week-end avec des perturbations dans les chemins de fer, des manifestations sur les routes, et des grèves d'éboueurs dans plusieurs grandes villes, comme Marseille, Toulouse et Belfort. -
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Populaire ? Encore une bonne raison d'être mécontent... Vers une nouvelle hausse du prix de l'électricité de 3 à 4 % LEMONDE.FR avec AFP Les tarifs réglementés de l'électricité, qui ont déjà connu une hausse en août, pourraient de nouveau augmenter de 3 à 4 % au début de l'année prochaine, selon le quotidien Les Echos. Le gouvernement vient en effet d'accepter un amendement au projet de loi de finances 2011 permettant de relever la taxe dite "de contribution au service public de l'électricité" (CSPE), payée par chaque consommateur pour soutenir les énergies renouvelables, notamment le rachat de l'électricité photovoltaïque. Selon le journal, la CSPE pourrait passer de 4,50 à 7,50 euros par mégawattheure, dès janvier si le gouvernement ne s'y oppose pas expressément par un arrêté avant le 31 décembre. Un tel relèvement soulagerait les finances du groupe français, contraint d'acheter au prix fort l'électricité solaire. Mais il se traduirait par une nouvelle hausse de 3 à 4 % de la facture des particuliers et des professionnels, précise le journal. Jusqu'à présent, le gouvernement s'est gardé d'augmenter la CSPE pour éviter de prendre la responsabilité d'une hausse impopulaire du prix de l'électricité. Au début d'octobre, les députésMichel Diefenbacher (UMP) et Jean Launay(PS) avaient néanmoins rendu un rapport proposant d'augmenter la taxe de plus de 40 %. Selon eux, la hausse de la facture devait rester"relativement limitée, de l'ordre de 3 %". Interrogé dimanche soir par l'AFP, le ministère de l'économie et des finances n'a pas été en mesure de commenter l'information. La puissance du parc de panneaux solaires français a été multipliée par dix en deux ans, passant de 81 mégawatts (MW) fin 2008 à 850 MW fin 2010. En achetant l'électricité solaire, EDF accuse un surcoût, qui lui est normalement remboursé via la CSPE. Mais le niveau de la taxe, qui n'a pas bougé depuis 2004, est depuis quelques années insuffisant, et EDF accusait en 2009 un déficit de 1,6 milliard d'euros. Le 15 août, les tarifs avaient été augmentés de 3 % pour les ménages et de 4 % à 5,5 % pour les entreprises. Pour les premiers, cette hausse était la plus forte depuis juillet 2003. -
Bon Anniversaire... 4 membre(s) fêtant leur anniversaire aujourd'hui TRAM21 (54), armor22 (36), popo95 (24), Tibo42 (22)
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Une majorité de Français satisfaits des syndicats LEMONDE.FR avec AFP Une large majorité (57 %) des Français se déclare satisfaite des actions ou des prises de parole des syndicats dans le conflit sur la réforme des retraites, au contraire du personnel politique, qui fédère une majorité de mécontents, selon un sondage IFOPde lundi pour France-Soir. http://www.ifop.com/?option=com_homepage Selon cette enquête, 42 % des personnes interrogées sont mécontentes des syndicats pour leurs"actions ou prises de parole au sujet de la réforme des retraites". Du côté des dirigeants politiques, le premier ministre, François Fillon, et la première secrétaire du PS, Martine Aubry, s'en sortent un peu moins mal que les autres avec 42 % de satisfaits, contre respectivement 56 % et 55 % de mécontents. Viennent ensuite le ministre du travail, Eric Woerth, et celui de l'intérieur, Brice Hortefeux (33 % de satisfaits et 61 % de mécontents), l'ancienne candidate socialiste à la présidentielle Ségolène Royal (32 % de satisfaits, 66 % de mécontents) et enfin le chef de l'Etat,Nicolas Sarkozy (31 % de satisfaits, 68 % de mécontents). Sondage réalisé par téléphone les 21 et 22 octobre auprès d'un échantillon de neuf cent cinquante-six personnes représentatif de la population français majeure (méthode des quotas).