Dom Le Trappeur

Au Père Spicace, Je suis bien arrivé à l’Abbaye de Meaux hier pour y effectuer ma retraite spirituelle et une introspection intérieure toute personnelle. Comme à mon habitude, je me suis donc installé directement dans la cave de l’Abbaye, c’est un endroit frais et d’un calme absolu. Je suis bien dans ce clair-obscur silencieux et odorant, un poil humide. Juste à la lueur d’une bougie flottant avec légèreté dans la pénombre, crois-je voir des ombres furtives dansées devant mes yeux fatigués. Je suis étendu sur le dos, Chous chêne, Chous le chêne, enfin chous le fût de chêne, bref sous la barrique… La bouche grande ouverte dans laquelle coule un simple filet de cette divine boisson douce… Bon Dieu qu’elle est douce… Mais il faut d’abord que je te raconte le grand malheur qui est arrivé à l'abbaye. Mes frères m’ont délégué la bien pénible mission de t’en faire part. Lundi soir, pendant que l'abbé Nédictine donnait les dernières grâces, l'abbé Quille perdit l'équilibre dans l'escalier et tomba inanimé dans les bras du Père Iscope. Après l'accident de l'abbé Quille, on alla chercher le Père Ipatéticien, le Père Manganate et le Père Itoine, les trois médecins de l'abbaye. Même le Père Fusion se hâta de venir. Ils pensaient ranimer le malheureux mais leurs efforts furent vains et celui-ci décéda peu après dans les bras du Père Noël... Tu parles d’un cadeau. Le Père Plex devant le corps allongé était embarrassé. L’Abbé Froi déclara le mort glacial. Le père Ipécie était tout excité. Les révérends pères, en perdant l'abbé Quille, perdaient leur seul et unique soutien. C'est ce que pensa l'Abbé Résina. Un seul pourtant restait joyeux : le père Fide. Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien. Il aurait bien voulu que le saint Plet l'aide à comprendre ce qui s'était passé mais rien n'y fit. En fin de journée l'abbé Stiole et l’Abbé Casse rentrèrent de la chasse, véhiculés par l'abbé Haimever et tous s’en trouvèrent fort abattus. Le lendemain fut donc célébré l’ enterrement de l’Abbé Quille. Chacun fut appelé à l'abbaye par les célèbres cloches du Père Sonnage. La messe fut dite sur une musique de l'abbé Thoven. Le père Ocquet fut chargé du sermon. Les frères l’avaient préféré au Père Pétuel aux discours sans fin. Comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du Père Choir tenu par le Père Chiste qui tremblait de tout son corps, car le Pére Sécuteur , toujours un peu malin, n’arrêtait pas de le chatouiller. Le père Oraison fut fidèle à lui-même ennuyeux, pédant et pétant. Le père Pète en profita donc allègrement. Le père Emptoire et le père Colateur s'associèrent à la douleur de la perte de leurs collègue et ami... L'abbé Dé retraça la vie de l'abbé Quille de façon très imagée. A la fin de l'homélie, le Père Cepteur fit la quête aidé par l’Abbé Néfice et l’Abbé Zef. Il remit les dons ainsi recueillis à notre frère africain, l'abbé N'Pé. Après la messe, une grande discussion s'engagea pour le transport de la bière : l'abbé Canne et l'abbé Trave voulaient passer par les champs. Le Père Clus s'y opposa. L'abbé Casse en fut enchanté. L’Abbé Vue n’y voyait pas malice. Le Père San avec sa tête de turc ne voulait rien entendre. Le Père Vers et le Père Nicieux semaient le doute dans les esprits. L’Abbé Rant en faisait autant. Le Père Uque s’arrachait les cheveux. Le Père Spective ne sachant que faire, regardait au loin. Le père Siffleur continua de médire sur le compte de l’Abbé Quille, ce qui n'est pas très charitable ! Finalement on décida que, comme à l'accoutumée, l'abbé Taillière serait chargé du transport du corps du défunt et que le Père iphérique conduirait à tombeau ouvert… Devant la tombe creusée par le Père Forateur et l’Abbé Chage, et en l'absence du Père Missionnaire, l'abbé Nédiction donna l'absolution. L’Abbé Rébasque se découvrit. L’Abbé Nitier était plein de larmes. Le Père Venche et l'abbé Gonia avaient joliment fleuri la tombe. Celle-ci fut recouverte d'une belle pierre tombale préparée par l'abbé Tonneuse. Sur le chemin du retour, le spectacle fut déchirant. Le Père Pendiculaire était plié en deux, fou de douleur et de chagrin. L'abbé Vitré était lui aussi plein de larmes. La Mère Cédès , invitée pour l'occasion, fermait la marche en compagnie de la Mère Veille et du frère du Père Igord. A l'arrivée, le Père Sil , l'abbé Chamelle et la Mère Guez préparèrent le repas tout en consultant les livres culinaires du saint Doux. L’Abbé Ctance ne fut pas le dernier à passer à table et l’Abbé Cassine avala un poulet à lui tout seul. Le repas fut très calme car le Père Turbateur était parti en voyage. La Mère Luche servit le poisson et l’Abbé Quée le dessert. Le Père Neauh, la Mère Lot et le Père Collateur servirent à boire et chacun put se remettre de ses émotions en particulier l’Abbé veurie. Le Père Manant recevra vos condoléances et vous prie de lui adresser toutes vos propositions nouvelles pour embellir le texte... Au nom du Père Eternel, Signé : L'abbé BICI Depuis L’Abbaye de meaux où les Frères malgré tout leur chagrin aiment bien les jeux de Meaux. Ps : L'abbé Hérro était souffrant Le Père Oné, ne put venir à la cérémonie, il était trop en vrac ... Le père Itonite, très malade, n'a pas pu assister à la cérémonie. Le Père Ceneige n'était pas redescendu de sa montagne Le Père Cuteur et l'Abbé Iroute étaient restés enfermés dans leur cellule de l'Abbaye Le père Ception ne manquera pas de venir les voir. L'abbé Deschamps quant à lui était trop occupé à jouer au foot. Sans parler de l'Abbé Bésoixantetroismillequatrecentquatre disparu corps et âme... Que Dieu lui Garde un reste de Viandox... de la part du Père Fusion Et Dom réveille-toi ! Put... mais qu'est-ce que je fous ici... Nota Béné... Le Père Manant remercie Frère Tram, Frère Francoué et quelques autres pour leurs idées qui ont permis d’enrichir ce texte dont l’ossature lui est parvenue par mel et dont l’origine est inconnue même si on en trouve des traces diverses sur la grande toile du monde virtuel qui nous entoure …. Amen ce que tu pourras...

Vive le privé et la loi du marché... J'espère que vous avez des actions GDF-Suez...

réforme mode UMP Médef... il a pas dit progrès social pour le peuple...

Sans préjuger de quoi que ce soit, ni juger On ne connait pas ta situation : si tu es entré à la SNCF en 2008 et donc admis au Cadre Permanent au premier jour de travail tu devrais être commissionné... Qu'en est-il excatement ? mais je te conseillerai d'écrire un courrier à ton DET actuel en faisant un historique complet de ta situation (parcours, formation, dates, postes de travail, tes demandes et propositions de carrière etc...) et en demandant un rendez-vous pour un entretien. Conserve une photocopie de ce courrier et envoie le en Lettre recommandée avec accusé de réception à ton DET Je te conseille d'organiser un dossier avec toutes les pièces nécessaires en ta possession : contrat, feuille de paie, documents que tu as eu à signer où que ta hiérarchie t'a remis y compris les textes réglementaires auquels tu pourrais faire référence (RH0939 par exemple) Je te conseille de demander l'accès à ton dossier et de photocopier ou photographier toutes les pièces s' trouvant Si tu as été convoqué à un ou plusieurs entretiens: Y-a-t-il eu un entretien pour sanction disciplinaire ou autre ? Si un délégué (ou un collègue) était présent : a-t-il fait un compte rendu écrit ? Les écrits restent, les paroles s'envolent... Si un jour tu dois te retrouver devant un tribunal (prud'hommes ou autre) je te conseille d'avoir un bon dossier car la Direction n'arrive jamais sans billes...

Patronat routier... Ouest France mercredi 24 mars 2010 Rififi syndical chez les transporteurs routiers Secouée par la crise, la profession se désunit. D'importantes entreprises changent de fédérations,sur fond de concurrence et de désaccords, notamment sur la politique salariale. Dans le milieu du transport routier, l'affaire fait du bruit. Depuis plusieurs semaines, des dizaines de sociétés quittent la Fédération des entreprises de transport et logistique de France (TLF). Chez TLF, on minimise ce mouvement, arguant que, chaque année, le nombre de partants est équivalent à celui des nouveaux adhérents. Mais on ne cache pas que certains départs font mal... Fin 2009, c'est d'abord Mory (6 700 salariés) qui a claqué la porte. Puis, en début d'année, EB Trans (3 900 salariés) et, surtout, Norbert Dentressangle, l'un des poids lourds européens (28 000 salariés), sont partis rejoindre la Fédération nationale des transports routiers (FNTR) (12 500 adhérents). Des départs qui ont surpris et déçu TLF. Mais qui s'expliquent. Privés contre public Le transport routier (36 000 entreprises) traverse une période difficile : activité en baisse de 10 % en moyenne, chute des prix de 5 % et 10 %, des centaines de sociétés en difficulté, dont beaucoup ont été liquidées, 20 000 emplois supprimés (1). Les entreprises françaises souffrent d'un manque de compétitivité face à une concurrence européenne agressive, handicapées, disent-elles, par le coût du travail et la fiscalité. Au sein de TLF, transporteurs routiers, spécialistes de la messagerie, acteurs du monde maritime et logisticiens cohabitent. Les transporteurs purs estiment que la structure ne défend pas assez leur secteur. Chez Norbert Dentressangle, on évoque « des intérêts divergents » qui rendent difficile l'élaboration de « projets communs ». Le groupe Dentressangle explique par ailleurs qu'il a « fait le choix de rejoindre une fédération qui regroupe des entreprises privées ». Traduction : l'un de ses principaux concurrents est Geodis (26 500 salariés), filiale de la SNCF, donc entreprise publique. « Elle n'a pas les mêmes contraintes ni les mêmes intérêts que nous », souligne-t-on chez Norbert Dentressangle. La FNTR n'hésite pas à parler de « concurrence déloyale ». Et à penser que Geodis a été le bras armé du gouvernement dans les difficiles négociations salariales de décembre entre syndicats de chauffeurs et patronat. Des négociations dont l'issue est jugée défavorable par les entreprises (augmentation moyenne de 3,60 %) et dans lesquelles le gouvernement est directement intervenu. La FNTR a d'ailleurs déposé récemment un recours contre l'arrêté d'extension de cet accord devant le Conseil d'État. Ambiance... Yann BESSOULE.

Taxe carbone : on n'en parle plus...ou presque...cependant...Toutefois... http://fr.news.yahoo.com/3/20100323/tpl-go...ns-cfb2994.html Le prix du gaz augmenterait de 9,5% dès le 1er avril : on n'en parle pas http://fr.news.yahoo.com/4/20100324/tts-fr...ix-ca02f96.html Le Medef et l'UMP rigolent... Ils se sont poris une raclée mais ils continuent comme si de rien n'était... Continues Sarko... Ils se foutent de not'gueule....

Remarques que passer dans une vidéo de l'UMP c'est le quart d'heure de gloire assuré... lotrela

Et bien mon brave Gnafron on ne lit plus les posts sur big brothers... http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...mp;#entry300563

Le Télégramme passe à 6.000 pour Brest... Avec un diaporama photos... http://brest.letelegramme.com/local/finist...2010-838328.php

Carte par département Attendez que les étoiles apparaissent sur la carte puis cliquez dessus... http://www.cgt.fr/spip.php?article37049

Journée d'action pour l'emploi et les retraites en France Reuters Des centaines de milliers de personnes ont fait grève et manifesté mardi dans de nombreuses villes de France dans le cadre d'une journée d'action pour l'emploi, les salaires et les retraites. Selon une estimation provisoire de la CGT, à 17h00, au moins 800.000 personnes ont participé à 177 manifestations. Le syndicat Solidaires (Sud) dénombre au moins 600.000 manifestants. Les syndicats CGT, CFDT, FSU, Solidaires (Sud) et Unsa veulent faire pression sur le gouvernement, deux jours après le dénouement des élections régionales et au lendemain d'un remaniement qui a vu Eric Woerth remplacer Xavier Darcos au ministère du Travail, et l'arrivée de Georges Tron comme secrétaire d'Etat à la Fonction publique. Les grèves, diversement suivies, ont surtout concerné les transports, les enseignants, dont 22% ont cessé le travail selon le ministère, et la fonction publique, en grève à 17,4%. Le trafic SNCF était conforme aux prévisions, soit 65% des TGV en circulation, de 35% à 75% des TER, plus de 50% des Transilien et de 50 à 60% des Corail. Le trafic des TGV internationaux (Eurostar, Thalys, Lyria, Aleo) était normal. Selon la direction de la SNCF, le taux de participation à la grève s'établissait à 28,3% à 11h00. À la RATP, le trafic était quasi normal dans le métro, sur les réseaux des bus et tramways ainsi que sur le RER A. Toutefois, seul un RER B sur deux circulait. ENSEIGNANTS EN GRÈVE L'Union des transports publics et ferroviaires (UTP) évoque dans un communiqué des "perturbations limitées", avec "un fonctionnement normal ou presque dans plus de 75% du réseau". Les villes les plus touchées ont été Cannes, Clermont-Ferrand, Morlaix, Nice, Pau et le tramway à Lille. A l'école, le ministère de l'Education nationale a annoncé 21,69% des enseignants en grève en moyenne à la mi-journée. Mais selon le Snes-FSU, plus de quatre enseignants sur dix ont cessé le travail dans les collèges et les lycées. La Fédération syndicale unitaire (FSU) a elle aussi appelé les fonctionnaires à être "massivement en grève" et à manifester, tant pour le pouvoir d'achat que pour le "dossier essentiel des retraites". A la mi-journée, le taux de grévistes était de 17,4% dans la Fonction publique de l'Etat, selon le ministère. Du côté des manifestants, le défilé parisien rassemblant plusieurs dizaines de milliers de personnes s'est rendu de la place de République à celle de la Nation. On y reconnaissait les leaders syndicaux Bernard Thibault (CGT) et François Chérèque (CFDT), la secrétaire nationale du PCF, Marie-George Buffet, et le porte-parole du Parti socialiste, Benoît Hamon. "Il y a un regain de combativité des salariés pour faire admettre aux employeurs qu'il y a un problème de partage des richesses dans ce pays", a dit Bernard Thibault sur Europe 1. La réforme des retraites, qui débouchera sur des décisions à la rentrée selon le président Nicolas Sarkozy, va être "très compliquée", a-t-il prévenu. "PAS D'ABSTENTION POUR LES PROBLÈMES SOCIAUX" Entre 13.000 selon la police et 50.000 personnes selon les syndicats ont défilé à Marseille. A Nice, de 4.500 à 8.000 personnes selon les sources ont manifesté aux cris de "Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère". A Nantes, entre 8.000 et 20.000 personnes ont marché dans le centre-ville. "Il y a une bonne mobilisation des équipes, il n'y a pas eu d'abstention au troisième tour social", s'est réjouie Isabelle Mercier, responsable de l'union départementale CFDT en Loire-Atlantique. A Rouen, la mobilisation a été importante, la police dénombrant plus de 30.000 manifestants. A Rennes, ils étaient 5.500 selon la police, le double d'après les organisateurs. "Il n'y a pas d'abstention pour les problèmes sociaux. Les vrais enjeux, ils sont là", a commenté Patrice Forgeou, secrétaire adjoint de l'union départementale CFDT en Ille-et-Vilaine. De 10.000 à 14.000 personnes ont manifesté à Lyon sur la musique des "Motivés" en chantant "retraites, revenus, logements, du pognon, ils en ont". "Retraites j'y tiens", "la crise c'est pas nous", "Sarko t'as rien compris" disaient des banderoles du défilé bordelais, qui a réuni 8.000 personnes selon la police et 30.000 selon les syndicats. Jugeant que "trop de manifs tue les manifs", la CFTC et la CGC ne se sont pas jointes au mouvement, décidé après le sommet social de la mi-février à l'Elysée. Force ouvrière défile de son côté sur la seule question des retraites. Service France, avec les correspondants de Reuters en régions, édité par Gilles Trequesser

Journée d'action pour l'emploi et les retraites Reuters Des milliers de personnes ont fait grève et manifesté mardi en France dans le cadre d'une journée d'action pour l'emploi, les salaires et les retraites. Les syndicats veulent faire pression sur le gouvernement, deux jours après le dénouement des élections régionales et au lendemain d'un remaniement qui a vu Eric Woerth remplacer Xavier Darcos au ministère du Travail, et l'arrivée de Georges Tron comme secrétaire d'Etat à la Fonction publique. Environ 160 manifestations et rassemblements étaient annoncés dans tout le pays à l'appel des syndicats CGT, CFDT, FSU, Solidaires (Sud) et Unsa. Le défilé parisien reliera dans l'après-midi la place de la République à celle de la Nation. A Nice, de 4.500 à 8.000 personnes selon les sources ont défilé au départ de la place Massena aux cris de "Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère". A Nantes, entre 8.000 et 10.000 personnes selon la police ont défilé dans le centre-ville. "Il y a une bonne mobilisation des équipes, il n'y a pas eu d'abstention au troisième tour social", s'est réjouie Isabelle Mercier, responsable de l'union départementale CFDT en Loire-Atlantique. Le trafic SNCF était conforme aux prévisions, soit 65% des TGV en circulation, de 35% à 75% des TER, plus de 50% des Transilien et de 50 à 60% des Corail. Le trafic des TGV internationaux (Eurostar, Thalys, Lyria, Aleo) était normal. Selon la direction de la SNCF, le taux de participation à la grève s'établissait à 28,3% à 11h00. À la RATP, le trafic était quasi normal dans le métro, sur les réseaux des bus et tramways ainsi que sur le RER A. Toutefois, seul un RER B sur deux circulait. L'Union des transports publics et ferroviaires (UTP) évoque dans un communiqué des "perturbations limitées", avec "un fonctionnement normal ou presque dans plus de 75% du réseau". Les villes les plus touchées sont Cannes, Clermont-Ferrand, Morlaix, Nice, Pau et le tramway à Lille. FONCTION PUBLIQUE EN GRÈVE A l'école, le ministère de l'Education nationale a annoncé 21,69% des enseignants en grève en moyenne à la mi-journée (29,80% dans le primaire, 18,30% dans les collèges, 12,66% dans les lycées professionnels et 11,12% dans les lycées technologiques). Selon le Snes-FSU, "dans le second degré, plus de quatre enseignants sur dix se sont mis en grève" La Fédération syndicale unitaire (FSU) a elle aussi appelé les personnels de la fonction publique à être "massivement en grève" et à manifester, tant pour le pouvoir d'achat que pour le "dossier essentiel des retraites". Au premier semestre 2009, plusieurs journées d'actions avaient fait descendre jusqu'à un million de personnes dans les rues. Interrogé par France 2 sur l'ampleur de la mobilisation cette fois, le secrétaire général de la CFD, François Chérèque, a répondu: "On a encore des mois devant nous, avec le 1er mai. La mobilisation, c'est un processus évolutif et ça ne s'arrête pas au soir d'une journée". Jugeant que "trop de manifs tue les manifs", la CFTC, Force Ouvrière et la CGC ne se sont pas joints au mouvement, décidé après le sommet social de la mi-février à l'Elysée. Mais pour le numéro un de la CGT, Bernard Thibault, les raisons de manifester ne manquent pas. "Il y a un regain de combativité des salariés pour faire admettre aux employeurs qu'il y a un problème de partage des richesses dans ce pays", a-t-il estimé sur Europe 1. La réforme des retraites, qui débouchera sur des décisions à la rentrée selon le président Nicolas Sarkozy, va être "très compliquée", prévoit Bernard Thibault. "C'est la raison pour laquelle j'espère qu'il y aura aujourd'hui un grand nombre de manifestants pour commencer à peser sur ce rendez-vous", a-t-il dit. Deux jours après le scrutin régional, qui a vu la gauche l'emporter dans quasiment toutes les régions, les partis communiste et socialiste se sont joints à cette journée. "La politique du gouvernement a été lourdement sanctionnée lors des élections régionales", écrit le PS dans un communiqué, accusant un gouvernement qui "refuse d'entendre ce message et semble décidé à continuer, voire à amplifier sa politique d'austérité". Service France, avec les correspondants de Reuters en régions, édité par Gilles Trequesser En photos : Marseille

Et Sur le site internet du Télégramme Social. Au moins 27.000 manifestants en Bretagne [Vidéo] Lannion (22) 2.000 manifestants ont défilé ce matin dans les rues de Lannion. Guingamp (22) Environ 300 manifestants (chiffre annoncé par les syndicats) ont défilé, ce matin, dans les rues de Guingamp pour défendre l'emploi, les retraites, les services publics ou encore le pouvoir d'achat et dénoncer plus largement la politique du gouvernement. Ce rassemblement était initié par l'intersyndicale CGT-CFDT-FSU-Solidaires-Unsa. Saint-Brieuc (22) Entre 2.300 et 4.000 manifestants ont formé un défilé ce matin dans les rues de Saint-Brieuc. Une mobilisation jugée plus faible qu'à l'ordinaire, selon les estimations de la police (2.300). Beaucoup de retraités sont présents dans le cortège. Vannes (56) Près de 1.500 manifestants se sont donnés rendez-vous ce matin pour un défilé qui devait emprunter les rues Thiers, Hoche, Monet, le boulevard de la Paix, la rue du lieutenant-colonel Maury et la rue du Mené. Direction place de l'Hotel-de-Ville où auront lieu les prises de parole en fin de matinée. Morlaix (29) Entre 1.000 et 1.500 manifestants arpentent les rues de Morlaix ce matin. Parmi eux, une délégtion assez importante de personnels de l'ADMR 29, des retraités et des personnels de la fonction publique. Rennes (35) Au moins 6.000 manifestants se sont regroupés avenue Janvier. Le cortège est composé de focntionnaires et, dans un moindre mesure de retraités. Brest (29) Près de 5.000 manifestants ont défilé ce matin dans les rues de Brest. A noter, comme à Morlaix, une forte présence des personnels de l'ADMR. Quimper (29) 3.500 manifestants ont défil ce matin dans les rues de la ville. Lorient (56) Entre 3.600 et 5.000 manifestants se sont regroupés ce matin dans le srues de Lorient pour une manifestation qui est ecore en cours. Pontivy (56) Environ 500 manifestants ont défilé ce matin dans les rues de Pontivy, essentiellement des services publics. Les raisons de la colère La plupart des syndicats ont appelé les salariés à exprimer par des grèves et manifestations, aujourd'hui, leur mécontentement de la situation sociale. Annoncée au soir du sommet social du 15 février à l'Élysée, cette journée d'action interprofessionnelle, la première depuis le 6 octobre, constituera un premier tour de chauffe pour la défense des retraites. Les syndicats abordent ce rendez-vous en ordre relativement dispersé: CGT, CFDT, FSU, Solidaires et l'Unsa font cause commune malgré des divergences, tandis que FO a appelé séparément à l'action. Le PS a appelé, hier, à une «large mobilisation aux côtés des syndicats». Éducation De nombreux établissements scolaires devraient être perturbés voire fermés aujourd'hui, notamment des écoles maternelles et élémentaires. Le SNUIpp-FSU, principal syndicat des écoles, prévoit 52% d'enseignants grévistes dans le primaire. Ces estimations reposent sur les déclarations préalables de grève rendues obligatoires par la loi sur le service minimum d'accueil. Mieux vaut toutefois se renseigner auprès de l'établissement de son enfant. Transports Dans les transports urbains, les réseaux de 45 villes pourraient être perturbés, dont ceux de Brest, Lorient, Morlaix, Nantes, Rennes, Saint-Malo et Vannes. La RATP prévoit des perturbations sur les métros et RER. Concernant le trafic ferroviaire, la SNCF prévoit que 14 TGV circuleront entre Rennes et Paris et 17TGV entre Paris et Rennes, soit 77% des circulations. Autres TGV : six Brest-Paris, quatre Paris-Brest, six aller-retour Quimper-Paris, trois Saint-Malo-Paris et deux Paris-Saint-Malo, un aller-retour Rennes-Lille, deux aller-retour Rennes-Lyon-Marseille. Quant aux trains express régionaux (TER), 252 circuleront en Bretagne, soit 64,5%. Leur liste est précisée dans chaque gare depuis dimanche soir. Justice, La Poste et autres Les syndicats CFDT, CGT, USAJ/Unsa des services judiciaires appellent «à la mobilisation interprofessionnelle des actifs et des retraités» et ils ont aussi déposé un préavis de grève reconductible à compter de demain. À La Poste, CGT, Sud, CFDT et CFTC appellent à la grève pour dénoncer «les profondes restructurations dans tous les métiers», «les suppressions d'emplois» et «l'augmentation du stress». Dans le secteur de la petite enfance, l'Association nationale des puéricultrices diplômées et des étudiantes (ANPDE) et le collectif «Pas de bébé à la consigne», qui rassemble les principaux syndicats du secteur, appellent à manifester. Par ailleurs, chez France Télécom, CGT, FO, Sud et CFDT appellent à la grève au plan national, la CGC-Unsa localement. D'autres appels à la mobilisation ont été lancés par la Confédération paysanne, FO-Énergie, l'union confédérale des retraités CGT, la section des retraités FSU, la CGT de Rhodia et encore celle de Vinci.

Bretagne MORBIHAN Lorient. Plus de 5 000 personnes (3 600 selon la Police) manifestent pour l’emploi et les retraites actuellement dans les rues de Lorient. Vannes. Ils sont plus de 2 000 manifestants à défiler dans les rues de Vannes « pour peser sur le patronat et le gouvernement pour qu’ils donnent un vrai contenu aux différents rendez-vous de l’agenda social, pour trouver des solutions concrètes aux problèmes des salariés en matière d’emploi, de pouvoir d’achat, de conditions de travail et enfin pour poser les conditions d’un vrai débat de fond sur l’avenir de nos retraites ». De nombreux salariés et fonctionnaires vannetais ont pris place dans le cortège. Parmi eux des salariés de Michelin, des agents de l'hôpital, de La Poste, de la SNCF, des enseignants, des retraités et même des policiers et des pompiers. Après s'être rassemblés sur l'esplanade du port, ils ont pris la direction de la mairie. FINISTERE Brest. Environ 4000 personnes manifestent à Brest pour « la défense de l'emploi, des retraites et le pouvoir d'achat ». Dans le cortège, on retrouve syndicalistes, élus, enseignants, étudiants et employés. Cette affluence au défilé semble significative de revendications solides et partagées. Morlaix. Autour de 1 500 manifestants dans les rues de Morlaix Quimper. Entre 3 000 et 4 000 personnes défilent dans les rues de Quimper. Hospitaliers, enseignants, personnels de la chambre des métiers mais aussi salariés du privé. ILLE-ET-VILAINE Rennes. Ce midi, dans les rues de Rennes, 8 000 à 9 000 personnes sont venues exprimer leur mécontentement : 5 500 selon la police, 15 000 selon la CGT et la CFDT. Les syndicats qui avaient des craintes, lundi, sur l’ampleur de la mobilisation, sont donc satisfaits du « message de ras-le-bol » envoyé au gouvernement. Saint-Malo. L’appel à manifester a été plutôt bien entendu, à Saint-Malo. Ce matin, à 11 h, près de 500 personnes se sont rassemblées devant l’ancienne gare, avant de défiler en ville. Parmi eux, de nombreux agents de la fonction publique (douanes, hôpital poste, enseignement, etc.) venus défendre l’emploi, le pouvoir d’achat et les retraites. Également des retraités ainsi que l’association Femmes solidaires. Une centaine de lycéens ont rejoint le cortège, venus du lycée Jacques-Cartier, à Saint-Malo, et du lycée hôtelier de Dinard. CÔTES D'ARMOR Saint-Brieuc. La manifestation a réuni environ 3 000 personnes ce midi (4 000 selon les syndicats.) Salariés du public et du privé s’y côtoyaient, lycéens et retraités aussi. « On nous annonçait un rassemblement de militants ? Eh bien, nous avons un paquet de militants ! » déclarait Jean-Edmond Coatrieux, secrétaire départemental CGT, plutôt satisfait par cette première mobilisation. Pays-de-la-Loire MAINE-ET-LOIRE Angers. 3 000 personnes manifestent dans les rues d'Angers. Les voies sur berges sont fermées à la circulation. Cholet. Entre 400 (selon la police) et 500 personnes (selon les syndicats) se sont rassemblées place Travot. Trois autres manifestations ont en même temps lieu à Angers, Saumur et Segré. Selon les syndicats, le Maine-et-Loire est touché par « des conditions de travail de plus en plus dégradées, dans le privé comme dans le public. ». Pour cette employée de France Télécom, par exemple, « il faut maintenir un service de proximité. Et embaucher. Les conditions de travail sont devenus infernales. Cet autre salarié, qui travaille dans un foyer de personnes handicapées, déplore «des salaires qui stagnent », et un « pouvoir d'achat en baisse ». Ce matin, « il fallait être là pour manifester notre solidarité », ajoute-t-il. LOIRE-ATLANTIQUE Saint-Nazaire. La navale, Airbus, des retraités, beaucoup de jeunes, des salariés de l'hôpital mais aussi d'entreprises comme le fabricant de plats cuisinés Tipiak sont réunis sur la place de l'Amérique latine à Saint-Nazaire. Nantes. Selon les derniers chiffres de la police 9000 manifestants défilent dans les rues de Nantes. Basse-Normandie CALVADOS Lisieux. La mobilisation unitaire interprofessionnelle réunit 800 manifestants selon la police, entre 900 et 1 000 selon les syndicats, depuis ce matin, 10 h, dans les rues du centre-ville de Lisieux. Employés du public, du privé, actifs et retraités, tout le monde est représenté. Sons oublier les salariés en cours de licenciement de Saint-Gobain abrasifs et une délégation de parents d’élèves de l’école Jean-de-La-Fontaine à Hauteville, dont le groupe scolaire doit fermer en 2011, s’est jointe pour manifester leurs inquiétudes. ORNE Argentan. Retraites, emploi, services publics : 300 manifestants sont descendus dans la rue à Argentan. Dans le cortège aussi des drapeaux de l'UFAP et du Parti communiste. «Tout ce qu'on a acquis, il nous le casse ! », se fâche un manifestant à l'encontre du président de la République. MANCHE Trois manifestations pour l’emploi et les retraites sont organisées dans la Manche, ce midi. À Granville, ils sont 370. À Cherbourg, la police parle de 1 000 manifestants tandis que les syndicats estiment qu’il y en a 3 500. À Saint-Lô, on parle de plus de 1 000 personnes, ce qui est beaucoup pour la ville préfectorale. Les salariés du public et du privé ont été rejoints dans leur action par des agriculteurs de l’Apli venus pour certains en tracteur.

Et au LMTR quelle distance as-tu...? Également sur une fiche-train : départ et arrivée du train

23 mars 2010 Brest 10h30 j'étais à l'heure... J'ai vu... La tête de la Manif... environ 9.000 manifestants selon les organisateurs 4.000 selon ouest France 5.000 selon Le Tégramme (4.000 + 5.000 = 9.000 le compte est bon...) le chiffre de la police n'est pas connu pour l'instant... Mettez votre photo de la tête de la manif ...

Pas touch' au D'ET c'est un petit... lotrela

Et le contraire de big brothers aussi ... WikiLeaks décrété « menace pour l'armée » par le Pentagone http://www.rue89.com/2010/03/20/wikileaks-...entagone-143688 http://wikileaks.org/ si quelqu'un trouve les pages en français ? Merci d'avance sur wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/WikiLeaks A noter que les liens en bas de page ne fonctionne pas

Et je vais de ce pas me livrer à une introspection psychologique auprès de ma divine bouteille de chouchenn

Heureusement que tu es là pour nous éclairer de ta lumière... Sois en remercié. Modifié pour faute d'orthographe et de conjugaison...

Ainsi va notre pays Sur Rue89 Un article journalistique sérieux et intéressant Polemique Noirs, Arabes et délinquance : retour sur la provoc de Zemmour http://www.rue89.com/2010/03/19/noirs-arab...zemmmour-143594

Je ne connaissais pas cette possibilité technique mais ça vient conforter les messages précédents sur l'utilisation d'internet... Votre nom et votre photo dans une vidéo de campagne de l'UMP http://www.rue89.com/regions-en-campagne/2...-de-lump-143597

Une salle vide... http://videos.tf1.fr/infos/2010/face-a-une...ue-5772405.html

Tu envoies le lien au Président du Conseil Général...

A toi de voir... avantages et inconvénients... choix de vie personnel