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Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. SNCF: la CGT demande "2.000 cheminots supplémentaires" AP Le secrétaire général de la CGT-Cheminots Didier Le Reste a demandé lundi, à la veille d'un mouvement de grève mené à la SNCF avec Sud-Rail, que soient embauchés "2.000 cheminots supplémentaires". "Aujourd'hui ce qu'il faut décider au regard des enjeux, c'est de réviser à la hausse le budget emploi de la SNCF et décider dans les prochaines semaines le recrutement au minimum de 2.000 cheminots supplémentaires", a-t-il dit sur RMC. M. Le Reste affirme qu'il faut "dissocier ce qui relève de l'affichage et de la réalité" et estime que dans les négociations avec la direction, il y a "tromperie sur la marchandise". Selon lui, une partie des propositions de la SNCF datent de 2009 et "on ne peut pas exhumer ces décisions et les mettre à l'acquis des discussions de ces derniers jours". "Les questions d'emploi à la SCNF, avec derrière la qualité de service, les conditions de travail, les questions de sûreté, méritent mieux que ce genre de discussions et de rafistolage", a-t-il poursuivi. M. Le Reste, pour qui le mouvement national "s'annonce assez conséquent", demande que le président de la SNCF Guillaume Pepy "ouvre enfin de véritables négociations" sur les restructurations, l'emploi, les salaires et les conditions de travail. La grève doit débuter mardi soir à 20h et "durera en fonction de l'ouverture ou non de négociations et des résultats", a prévenu le syndicaliste. AP
  2. Mardi 6 Avril 2010 Grève des Cheminots Les Infos du Jour Troisième grève de l'année mardi à la SNCF Reuters Pour la troisième fois depuis le début de l'année, le trafic de la SNCF en France connaîtra des perturbations en raison d'une grève qui débutera mardi à 20 heures pour une durée encore indéterminée. Deux des plus importants syndicats, la CGT (40% des voix aux élections professionnelles) et Sud Rail (18%) appellent les agents à une grève reconductible sur la question des salaires, du fret et des réorganisations au sein de l'entreprise. Pour la journée de mercredi, la SNCF prévoit que 70% des TGV, 60% des TER et 60% des Transiliens circuleront en moyenne. Pour Téoz et Intercités, le trafic sera de 50%, ajoute-t-elle dans un communiqué. Le trafic international sera normal sur Eurostar, Thalys, et sur les trains à grande vitesse à destination de l'Allemagne. La CGT a déposé des préavis pour les 6 et 8 avril et la direction s'attend à un mouvement au moins jusqu'à jeudi soir en dépit des divisions syndicales, la CFDT et la FGAAC ayant retiré leur mot d'ordre de grève. Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT des cheminots, a affirmé que la durée de la grève serait liée à "l'ouverture ou non des négociations et des résultats". "Personne ne peut dire aujourd'hui combien de temps le conflit va durer", a-t-il déclaré lundi sur RMC. Des cheminots de Sud Rail aimeraient pour leur part faire la jointure avec le dossier des retraites qui s'ouvre avec une première réunion de cadrage le 12 avril au ministère du Travail. "Si le 12 avril, il y a un mouvement fort, c'est tant mieux. Mais ce sera aux assemblées générales d'en décider", précise cependant lundi dans le Parisien Julien Troccaz, secrétaire fédéral de Sud Rail. La direction de la SNCF répète que sa porte est ouverte pour négocier sur plusieurs points, ce qu'elle a fait la semaine dernière avec la CFDT et la FGAAC (conducteurs), qui ont finalement retiré leur préavis. La CFDT semble pour sa part soucieuse de ne pas épuiser ses troupes avec le bras de fer prévisible avec le gouvernement sur le dossier des retraites. EMBAUCHES Pour Bernard Aubin, secrétaire général de la CFTC des cheminots, pas question pour son organisation "d'appeler à une grève illisible, incompréhensible, dont personne ne connaît ni le début, ni la fin, ni les modalités précises, ni les réelles finalités. "Rarement, les salariés auront à se poser autant de questions: 'je fais grève quand, avec qui, pourquoi, et combien de temps ?'", écrit-il dans un communiqué. Mais ces défections n'ont pas entamé la détermination de la CGT. "D'après mes informations, ce mouvement s'annonce assez conséquent. Il faut que le président de la SNCF ouvre de vraies discussions sur l'emploi", a dit Didier Le Reste. "On nous annonce 450 nouvelles embauches, mais il faut faire la part des choses et distinguer ce qui relève de l'affichage: une partie de ces embauches ont été décidées en 2009. Je pense qu'il y a tromperie sur la marchandise", a-t-il ajouté. La CGT exige l'embauche de 2.000 cheminots supplémentaires pour 2010, alors que, selon elle, 22.000 postes ont été supprimés depuis 2002. Le 23 mars, 34% des cheminots, selon les syndicats, avaient participé à une grève de 24 heures dans le cadre d'un journée de mobilisation intersyndicale. La CGT avait alors estimé que cette mobilisation témoignait d'un "climat social fortement dégradé" au sein de la compagnie. Gérard Bon, édité par Elizabeth Pineau
  3. Journalisme et médiacratie : un nouveau clergé http://www.agoravox.fr/actualites/medias/a...cratie-un-72843 Je vous conseille d'aller jusqu'à la conclusion de l'article... Étonnant...
  4. moi aussi mon bon Tram que même y'avait encore une loc à vapeur quand je le prenais quand j'étais petit
  5. La suite : Jean-Luc Mélenchon est en forme... où on en apprend de biens bonnes C'est long mais ça vaut son pesant... Mince! Les cloches sont de retour! http://www.cheminots.net.fr/2010/04/m...tour/#more-2779
  6. Un drôle d'affaire... sur Rue89 Lors d'une manif anti-carcérale Loi contre les bandes : cent dix manifestants arrêtés… pour rien http://www.rue89.com/2010/04/04/loi-contre...our-rien-145794
  7. Et en plus cette ligne c'était un peu beaucoup le far west à l'époque...
  8. Tu n'as que 6 ans... Faut que tu te fasses ta propre expérience Dans le temps ça permettait de faire la différence entre un train normalement plein de voyageurs : 3626 par exemple et un train vide sans voyageur : W3626 par exemple Avec la nouvelle numérotation (année ? assez récente) les lettres ont disparues de la numérotation mais le sigle W est resté dans le langage courant...
  9. En parlant des Fonctionnaires .... Déjà être gendarme et poète, ça ne doit pas être donné à tout le monde... Libération 4 avril 2010 http://www.libeorleans.fr/libe/2010/04/un-...e-suspendu.html Un gendarme poète et solidaire suspendu Un gendarme en poste dans la région centre a été «suspendu pour une durée non précisée» cette semaine pour avoir écrit un poème en soutien à son collègue Jean-Hugues Matelly. Ce dernier avait été radié sur décision du chef de l'état pour avoir critiqué le rapprochement police-gendarmerie au sein du ministère de l'Intérieur. L'adjudant A. a écrit fin mars un poème titré «Il pleut sous nos képis» publié par l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil) qui revendique 1.500 adhérents et plaide pour plus de liberté d'expression des militaires. Le gendarme y défend avec vigueur Jean-Hugues Matelly et raille le chef de l'Etat. L’un des passages de ce poème fait rimer «Je sens bien (les) larmes chaudes sous mon képi» avec «comme si sur moi Sarkozy faisait pipi». Selon l'Adefdromil, l'auteur a été identifié et une procédure disciplinaire a été engagée à son encontre. La direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) a indiqué qu'une enquête «de commandement» a été diligentée contre ce «militaire auteur» d'un «écrit outrageant». Un «dossier disciplinaire est en cours d'instruction» à son encontre et il fait l'objet d'une «suspension administrative», a-t-elle confirmé. Libération reproduit, ici, le texte incriminé dans son intégralité: «IL PLEUT SOUS NOS KÉPIS ! Il faisait beau alors, le jour où j’ai signé!
 Je me souviens comme j’étais fier de m’engager,
 D’être formé à ce métier par mes aînés… Du bon droit je voulais être le soldat,
 Dans le respect des traditions et des hommes. 
Du citoyen, à tout faire je serai l’homme! De ma personne alors, j’ai donné sans compter.
 Ma famille dans cette voie s’est trouvée liée.
 Mes devoirs étaient les siens sans qu’elle ait signé… Nos Gradés, nos Officiers étaient nos modèles.
 Ils savaient nous motiver et nous ordonner.
 Alors nous étions soudés, unis et fidèles… Nous savions des sacrifices la juste raison,
 Et étions tous reconnus “Servants de la Nation !”
 De la France, la plus noble et vieille Institution. Un nouveau Roy fût nommé, et tout a changé.
 Diviser pour mieux régner, tel était son but !
 Il y parvint bien, précipitant la chute ! Pour ce faire, il choisit bien parmi les nôtres, 
Ceux d’entre eux les plus vénaux, les moins fidèles, 
Leur fit tant miroiter, qu’il furent ses “apôtres”. Ces vendus et parjures aujourd’hui, ont ourdi
 D’enterrer sans coup férir notre belle histoire…
 De nous taire ils nous ordonnent, arguant: “Tout est dit !” L’un des nôtres osa parler sans démériter,
 se faisant ainsi le râle de notre douleur… 
Il fût vite éliminé par ces fossoyeurs ! Aujourd’hui, Sainte Geneviève saigne et pleure,
 Je sens bien ses larmes chaudes sous mon képi,
 Comme si sur moi SARKOZY faisait son pipi… Soldats nous sommes, et c’est debout que nous mourrons.
 Et à l’instar de CAMBRONNE, “MERDE” nous dirons.
 Nous briserons nos armes, mais nous taire “Pas question !” Nous ne sommes que des hommes, soldats mais citoyens,
 Et nos voix dans l’urne pèsent bien pour un scrutin…
 Qu’on les entende ensuite, d’étonnant n’a rien. Nous taire il ne faut point, surtout si c’est la fin !
 Au pays des Droits de l’Homme, on dénie les miens.
 Fidèle, loyal je suis, muet je ne suis point. Même si tout est fini, que prévue est la fin,
 Nous n’irons au sépulcre qu’après avoir tout dit.
 Geneviève, Chère Patronne, Il pleut sous nos képis ! Adjudant A. Dédié au Chef d’Escadron Jean-Hugues MATELLY» Le chef d'escadron (commandant) Jean-Hugues Matelly, 44 ans, s'était exprimé publiquement en tant que chercheur du CNRS, fin 2008, pour critiquer le rapprochement police-gendarmerie au sein du ministère de l'Intérieur, effectif depuis le 1er janvier 2009. Il a été radié des cadres le 25 mars par un décret du président de la République pour «manquement grave» à son obligation de réserve à laquelle sont strictement astreints les militaires. Les gendarmes sont de statut militaire et ne peuvent se syndiquer contrairement aux policiers relevant du civil. L'Adefdromil ajoute, sur son site internet, qu'une vidéo en soutien à Jean-Hugues Matelly ayant circulé sur Youtube - dont elle publie les dialogues - serait également dans le collimateur de la hiérarchie de la gendarmerie. Il s'agit d'un pastiche du film «La Chute» qui raconte les derniers jours d'Adolf Hitler. Pour la DDGN, il «n'est pas établi» que ce soit l'oeuvre d'un gendarme. Mourad Guichard (avec AFP / photo: Reuters)
  10. Une pensée pour le conducteur, sa famille et ses proches, ses collègues.
  11. Vous y avez échappé la nuit dernière ... L'Abbé LKata au cours de sa maintenance, a explosé le forum, c'est le frère sctroumph qui fut content il a tout repeint en bleu ou presque ... Pour l'éternité...
  12. Pour relever le niveau ?
  13. Sujet d'actualité Est-il interdit de critiquer les journalistes... http://www.agoravox.fr/actualites/medias/a...iquer-les-72796 Sur le blog de Mélenchon http://www.cheminots.net.fr/2010/03/u...ue-un-mecreant/ L'interview de Mélenchon par le stagiaire de science-po... http://www.lepost.fr/article/2010/03/30/20...tml#xtor=AL-235
  14. Dans notre beau pays... France Censuré par M6, le reportage édifiant sur McDo et KFC diffusé par Télérama En octobre, la chaîne M6 faisait parler d'elle, en refusant de diffuser une enquête de Zone Interdite sur les pratiques douteuses de la restauration rapide. Les hamburgers seraient en fait vendus jusqu'à quatre heures après leur fabrication... Les journalistes protestent contre la « censure » de la direction. « Juridiquement, le sujet n'était pas valide », justifiait un porte-parole de la chaîne. Le magazine Télérama a décidé d'enquêter sur le sujet et de diffuser le reportage (à visionner ici). «C'est bon, ils sont restés au frigo» Un reportage en caméra cachée apportant la preuve incontestable que les normes fixées par la direction des fast-food ne sont pas respectées, n'est pas une publicité rêvée pour les chaînes de restauration rapide. On découvre comment les hamburgers sont vendus quatre heures après leur fabrication, alors que McDonald's jure les jeter après dix minutes. Pire, on voit un manager exiger à son employé de remplacer les étiquettes sur les produits périmés pour les servir le lendemain. « Laisse tomber, McDo c'est des copains » A l'époque, la direction de McDonald's France, informée du reportage, refuse de répondre aux questions des auteurs du reportage. Et la pression monte... « La régie publicitaire de M6 intervient auprès de la rédaction en chef. McDonald's exige la livraison du film et de tous les rushes tournés en caméra cachée faute de quoi il menace la chaîne d'un procès. Des députés appellent le producteur en lui demandant de "laisser tomber" avec cet argument imparable : " C'est des copains ", explique Télérama. L'hebdomadaire parle de nombreux « lissages » du reportage avant que la châine M6 ordonne finalement la suppression des segments McDo et KFC. L'agence Comiti refuse et livre le reportage. M6 décide carrément de ne pas le diffuser. Télérama évoque le coût de cette non-diffusion : environ 70 000 euros. « Moins cher que de perdre un de ses annonceurs », affirme l'hebdomadaire. http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-C...320769_actu.Htm http://television.telerama.fr/television/l...pains,54290.php
  15. La Tête de la Manif CGT des cheminots retraités Paris 30 mars 2010 5.000 retraités "revendiactifs" dans la rue
  16. T'es trop jeune et moi j'suis trop vieux pas de spam non plus... je crois qu'on a été vacciné tous les deux Biz Assouan... :blink:
  17. Lettre du Directeur de la Traction à la CGT http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=23722&hl=
  18. Il parait même que Sarko réfléchit à rendre le train totalement gratuit...
  19. Il est beau le monde Sarkozien... Des salariés retranchés dans leur usine de Crépy-en-Valois (Oise) menacent de faire sauter une citerne de gaz AP Une soixantaine de salariés de l'équipementier automobile Sodimatex, dont le propriétaire a décidé la fermeture, sont retranchés depuis jeudi après-midi dans leur usine de Crépy-en-Valois (Oise) et menaçent de mettre le feu à une citerne de gaz, a-t-on appris auprès de la gendarmerie, confirmant une information du site Parisien.fr. Lire la suite l'article Un escadron de gendarmes mobiles a été déployé autour de l'usine. Après avoir été délogés jeudi matin d'un rond-point qu'ils occupaient, les salariés se sont retranchés vers 15h dans leur usine. Ils réclament notamment de meilleures conditions de départ dans le cadre de la fermeture du site décidé par le groupe Trèves, propriétaire de l'usine. Ils ont menacé de mettre le feu à une citerne de gaz si des négociations ne sont pas entamées avec la direction au sujet du plan social, qui avait été rejeté le 14 janvier dernier par la Cour d'appel d'Amiens. AP Les futurs cheminots licenciés pourront s'en inspirer... Merci Pépy
  20. Sans parler du prix de la bouteille de chouchenn (sûrement chauffé au gaz...)
  21. C'est la loi de l'offre et du marché... Vive le libéralisme...
  22. Tremblez braves gens... Mais qu'a fait notre très cher Président de ses belles promesses (qui n'engageaient que ceux qui y ont cru...) Soutien aux salariés en lutte... Kéolis Transports suspendus en banlieue parisienne après une attaque Les chauffeurs de la compagnie de transports desservant la Seine-Saint-Denis, en banlieue parisienne, ont cessé le travail jeudi au lendemain d'une attaque au cocktail Molotov contre un bus à Tremblay-en-France. Ce fait divers survient alors que le thème de l'insécurité revient dans le débat public avec une série d'événements violents et des rapports officiels montrant que 1.100 policiers ont été blessés en France en janvier et février. "Suite à un incident grave, toutes les lignes au départ du dépôt de Tremblay sont interrompues depuis 21h30 mercredi et jusqu'à nouvel ordre", dit sur son site internet la compagnie des Courriers de l'Ile-de-France (CIF), filiale de Keolis. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, devait se rendre dans la journée dans le département. Coïncidence, il présidait dans la matinée une réunion sur le développement de la vidéosurveillance dans les transports publics, une stratégie critiquée par les syndicats de police qui disent préférer un arrêt des réductions d'effectifs. Mercredi soir à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), l'autobus attaqué a été partiellement incendié après un jet de cocktail Molotov à bord, dit-on de source policière. Le chauffeur du véhicule - intercepté par une trentaine de jeunes - est parvenu à faire descendre les cinq à six passagers qui s'y trouvaient et il n'y a pas eu de victime. Un autre bus a été attaqué à coups de pierres non loin de là et peu après. LA VIOLENCE EN BANLIEUE Les enquêteurs n'excluent pas un geste de représailles de jeunes gens, soit en raison de l'interpellation lundi de quatre trafiquants présumés, soit à cause de la diffusion le même jour d'un reportage télévisé sur un trafic de drogue à Tremblay. La police ne dispose cependant d'aucune preuve d'un lien entre les deux faits, précise-t-on. Lors d'une vaste opération contre le trafic de stupéfiants à Tremblay lundi matin, la police a saisi 980.000 euros en espèces et plusieurs kilos de cocaïne et d'héroïne. Lundi soir, TF1 a diffusé dans sa nouvelle émission d'actualité "Haute définition" un reportage sur le trafic de drogue à Tremblay. La diffusion ayant fait l'objet d'une promotion par la chaîne, la police pourrait avoir accéléré une opération préparée de longue date, afin d'éviter que des suspects alertés par le reportage ne fuient ou ne mettent à l'abri des pièces à conviction, explique-t-on de source proche de la police. L'affaire de Tremblay illustre la permanence dans les banlieues françaises d'une insécurité qui avait culminé avec les violences urbaines de 2005. Les forces de police ont notamment été confrontées à une série de violences à l'école ces derniers mois et des attaques de banques à l'explosif en Seine-Saint-Denis. Une note interne de la Direction centrale de la sécurité publique divulguée mercredi par Le Figaro, qui révèle le chiffre de 1.100 policiers blessés, énumère une quinzaine d'embuscades visant la police au cours du mois écoulé. "La sécurité publique est confrontée à des individus insultants et outrageants mais également violents qui n'hésitent pas à se regrouper pour prendre à partie des policiers", dit la note. Thierry Lévêque, avec Nicolas Bertin, édité par Gilles Trequesser
  23. Je confirme que les cloches sont bien parties du Finistère... ici c'est le grand silence... M'étant mis ce matin au jardinage sous un beau soleil printanier, j'en ai même raté l'heure de l'apéro ...
  24. Bon Anniversaire à Toutes et Tous

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