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Lundi 12 Avril 2010 - 6ème jour - Grève des cheminots
La Fédération des cheminots s'adresse à toutes les cheminotes et à tous les cheminots. Information datée du 12 avril à l'aube de la 6ème journée de grève nationale mise en circulation dans la soirée du dimanche 11 avril 2010 Cette information est disponible ici :
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Adresse à tous les cheminots
Conflit social à la SNCF Adresse à tous les cheminots Fédération des Cheminots CGT Lundi 12 avril 2010 6ème jour de grève La Fédération des Cheminots CGT s'adresse à tous les cheminots... 2010-04-11-cgt-cheminots-2010.04.11-Adresse a tous les cheminots.pdf
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grèves début avril 2010
Voir le dernier communiqué de la CGT et la lettre de sud... La direction, le gouvernement et une grande partie des médias nous mentiraient-ils sur le conflit et la mobilisation actuelle des cheminots ? C'est vrai que le management doit bosser en ce moment...
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
Lettre de Sud à Pépy...
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
Le trafic SNCF devrait être légèrement plus perturbé ce lundi 17h00 Reuters La grève des cheminots se poursuivait dimanche pour la cinquième journée consécutive sans grandes conséquences sur le trafic, à l'exception du sud-est de la France, a-t-on appris auprès de la SNCF. Après un quasi retour à la normale durant le week-end, la SNCF a annoncé des perturbations un peu plus importantes pour ce lundi. La CGT-Cheminots et Sud-Rail, qui ont appelé à une grève illimitée pour exiger de nouvelles négociations sur les salaires le recrutement, affirment pour leur part que le conflit est loin d'être terminé. Face à "la surdité, l'intransigeance et l'irresponsabilité de la direction de la SNCF et du gouvernement d'ouvrir des négociations, l'action de grève va se renforcer dès lundi matin", affirme la CGT dans un communiqué. Le conflit va s'élargir, notamment en région parisienne, "avec une paralysie totale de la ligne D du RER", a dit une source syndicale. La SNCF a reconnu des retards et une certaine désorganisation samedi, qui marquait le premier chassé-croisé des vacances scolaires de printemps, mais la direction estimait s'acheminer dimanche vers un retour progressif à la normale. Pour lundi, en revanche, les prévisions de l'entreprise publique évoquent une situation comparable à celle de vendredi. Sur le réseau d'Ile-de-France, 90% des trains circuleront en pointe et en journée et pour les TER, le trafic sera de 78% en moyenne sur l'ensemble des régions, indique-t-elle dans un communiqué. Pour les TGV, 83% des trains circuleront sur TGV Sud Est et TGV Province-Province. Pour les trains Intercités, le trafic sera de 73% et pour Téoz, de 57 %. Le trafic international sera normal sur Eurostar, Thalys, et sur les trains à grande vitesse à destination de l'Allemagne. Sud Rail reproche pour sa part à la direction de la SNCF de cacher l'ampleur de la grève et de laisser les passagers se présenter dans les gares "alors que les perturbations sont importantes." "Cette situation conduit à des tensions importantes entre les usagers et les personnels d'accueil notamment", déplore le syndicat dans un communiqué. "Les cheminots sont de plus en plus ulcérés par le manque de considération de la direction qui refuse d'ouvrir de nouvelles négociations", prévient-on à la CGT-Cheminots. "Face à la détermination des cheminots, la direction ne fait aucun geste. Elle laisse le conflit durer. Elle préfère la provocation, c'est son choix, les cheminots ont rejeté cet manière d'agir", estime de son côté Sud Rail. Les autres syndicats se sont désolidarisés du mouvement, le troisième de l'année à la SNCF, certains jugeant cette grève incompréhensible. Gérard Bon, édité par Laure Bretton
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
Dimanche 11 avril 2010 SNCF: Didier Le Reste met en garde contre un "regain de tension" si la direction n'ouvre pas des discussions AP 9h00 Le secrétaire général de la fédération CGT des cheminots Didier Le Reste met en garde contre un "regain de tension" en Ile-de-France lundi et des "perturbations" si la direction de la SNCF n'ouvre pas des négociations. "La mobilisation se maintient autour de la grève des conducteurs et des contrôleurs de train", a-t-il expliqué à RTL dimanche. "Plus ça va durer, plus ça va se compliquer. Il va y avoir un regain de tension pour l'Ile-de-France lundi et il va y avoir des perturbations que je peux déplorer, mais la direction a encore peut-être le moyen de l'éviter à la condition qu'elle ouvre des négociations". Les usagers sont aujourd'hui "confrontés à la fois, bien sûr, aux conséquences d'un mouvement social mais surtout, à l'intransigeance d'une direction qui ne veut ouvrir aucune discussion. C'est complètement incompréhensible et inacceptable", a tempêté le responsable syndical. "Nous sommes tout à fait" disposés à "dénouer le conflit à la condition qu'on puisse nous inviter à négocier". La CGT dénonce les suppressions de postes et les restructurations dans l'entreprise, au premier rang desquelles celle du fret. Le conflit porte également sur les salaires alors qu'un projet d'accord pour l'année 2010 divise les syndicats. AP
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Bon Anniversaire !
Bon Anniversaire à ceux du jour : 6 membre(s) fête(nt) son/leur anniversaire aujourd'hui Pepe (33), monjo1187 (23), Sin (26), BB22294 (64), katydie (34), Innova (40) Bon Anniversaire Ami Pepe
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
Trafic quasi normal à la SNCF, à l'exception du Sud-Est 15h Reuters La grève des cheminots se poursuit ce samedi pour la quatrième journée consécutive sans grandes conséquences sur le trafic, à l'exception du Sud-Est de la France, a-t-on appris auprès de la SNCF. La CGT-Cheminots et Sud-Rail, qui ont appelé à une grève illimitée pour exiger de nouvelles négociations sur les salaires et le recrutement, font état de leur côté d'un "conflit qui s'installe" et qui pourrait même "s'élargir lundi". Certaines assemblées générales régionales ont reconduit la grève jusqu'à dimanche, d'autres jusqu'à lundi matin. Samedi marquait le premier chassé-croisé des vacances scolaires de printemps mais "ça s'est plutôt bien passé", a déclaré à Reuters une porte-parole de la SNCF. Elle a évoqué "des retards et de la désorganisation" mais vendredi soir et samedi, "tout le monde a pu être acheminé". Les prévisions de trafic pour le week-end faisaient état d'un "retour progressif à la normale" avec un trafic à 100% sur le réseau Transilien et 78% des liaisons TER en moyenne sur l'ensemble des régions. Pour les TGV, la SNCF parle d'un trafic normal à l'exception de la région Sud-Est où 80% des trains circulent. Selon la CGT pourtant, "la mobilisation continue et le conflit s'installe". La première organisation syndicale de la SNCF a recensé samedi entre 43 et 45% de grévistes parmi les conducteurs et les contrôleurs sur tout le territoire, avec des "pointes" à plus de 80% en Provence-Alpes-Côte d'Azur. "Les cheminots sont de plus en plus ulcérés par le manque de considération de la direction qui refuse d'ouvrir de nouvelles négociations", prévient-on à la CGT-Cheminots. Lundi, "le conflit va s'élargir, notamment en région parisienne", a-t-on ajouté de même source, tablant sur une paralysie totale de la ligne D du RER. La grève a été reconduite pour dimanche et lundi matin à Marseille, a fait savoir Sud-Rail. "Face à la détermination des cheminots, la direction ne fait aucun geste. Elle laisse le conflit durer. Elle préfère la provocation, c'est son choix, les cheminots ont rejeté cet manière d'agir", peut-on lire dans un communiqué du syndicat. Les autres syndicats se sont désolidarisés du mouvement, le troisième de l'année à la SNCF, certains jugeant cette grève incompréhensible. Les prévisions de la SNCF pour la journée de lundi seront diffusées aux usagers et à la presse dimanche après-midi. Laure Bretton
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Actualités Politiques
Sophie de Menton ...Ethic ... ça ne vous rappelle rien les cheminots .... ? Medef : Sophie de Menthon candidate ? Par Marc Landré le 10 avril 2010 18h42 | Réagir EXCLUSIVITE "LES DESSOUS DU SOCIAL" PLUS LA DATE LIMITE de dépôt des candidatures (1er mai) approche, plus les rumeurs sur les supposés prétendants au poste de patron des patrons s'accélèrent. Geoffroy Roux de Bézieux hors jeu - il a annoncé ce samedi 10 avril dans une interview au Figaro qu'il ne se lancerait pas cette année dans la course à la présidence du Medef -, voici que deux nouveaux noms sont miraculeusement sortis du chapeau pour donner du fil à retordre à Laurence Parisot, quasiment assurée de se succéder à elle-même le 1er juillet, et pimenter la dernière ligne droite avant la deadline. "Les dessous du social" font le point sur ces supposées candidatures à J-20. Contrairement à ce qu'annoncait vendredi le site d'informations Wansquare, Bruno Grandjean, le PDG de Redex, n'aurait aucune intention de se lancer dans la course la semaine prochaine et ne serait pas soutenu implicitement par Yvon Jacob, le président de la Fédération des industries mécaniques. "Il n'a jamais eu l'intention de se présenter, m'a certifié ce samedi même l'un de ses proches conseillers en qui j'ai une totale confiance pour le connaitre depuis très longtemps. Il a la capacité de jouer un rôle dans l'univers patronal mais il n'est absolument pas candidat à la présidence du Medef." Vendredi, c'était Yvon Jacob lui-même qui me répondait ne pas être au courant de cette candidature et surtout ne pas la soutenir, même implicitement. "Si c'est vrai, c'est une initiative personnelle que je ne soutiens pas", m'a affirmé le candidat malheureux à la présidence du Medef en 2005. Donc exit aussi Bruno Grandjean. Parallèlement, la rumeur dit depuis vendredi que Sophie de Menthon, la très médiatique et blonde présidente d'Ethic va très prochainement se lancer dans la course et concurrencer Laurence Parisot. Pas moins de trois personnes m'ont appelé en 24 heures pour me demander si je croyais à cette candidature pas vraiment surprenante. On sait que Sophie de Menthon ne porte pas dans son coeur l'actuelle présidente du Medef et qu'elle fourmille d'idées pour réveiller une organisation qu'elle estime mal conduite. Elle a d'ailleurs organisée il y a quelques semaines un colloque prospectif où se sont succédés tous les meilleurs ennemis de Laurence Parisot à la tribune. La présidente d'Ethic avait elle-même claqué la porte du comité éthique du Medef il y a un peu plus d'un an car elle était en désaccord avec la manière dont la réflexion sur la rémunération des grands patrons était menée. Et bien j'ai contacté Sophie de Menthon pour savoir si elle comptait ou non se présenter. Voici sa réponse. La présidente d'Ethic se dit "très sollicitée" et m'a assuré n'avoir "absolument pas pris de décision". Elle n'infirme donc pas la rumeur. Tout juste confirme-t-elle donc être intéressée par le poste et réfléchir à la possibilité de se présenter. Fin du suspense dans les jours qui viennent... Catégories: * EXCLUSIF
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Insertion d'une piece jointe
Essaie avec la souris blanche qui va sortir de la tour... okok
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
Communiqué CGT cheminots : 4ème jour de grève http://www.cheminots.net/forum/index.php?/topic/23882-la-cgt-communique-en-ce-4eme-jour-de-greve/page__pid__304103__st__0&#entry304103
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Insertion d'une piece jointe
Si j'ai bien compris ton problème : Si tu veux joindre un fichier à un message tu ne devrais pas avoir de problème que ce soit un fichier jpeg, pdf ou doc par exemple... par contre si tu veux faire un copier coller à partir d'un fichier doc avec photo incorporée, ça ne devrait pas le faire dans ce cas tu ne copies-colles que la partie texte ou tu tapes un texte dans la cadre adéquat et tu joins le fichier soit PDF, soit Doc soit jpeg (fichier joint, parcourir, joindre de fichier...)
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La Direction à nos cotés!
Si même les plus fautes instances dirigeantes régionales... okok
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
Je pense que la CGT a analysé et pris acte des mouvements de grève depuis 15 ans (en particulier 1995, 2001, 2003, 2007 et 2009...) : Une forte mobilisation dans certains secteurs y compris par des mouvements longs (grève reconductible plus ou moins organisée...), une mobilisation par temps forts sur d'autres secteurs et pour un nombre plus grands de cheminots, un refus de s'engager dans des mouvements qu'ils soient ou non de grande ampleur pour d'autres agents. La CGT s'appuie donc sur les secteurs qui se mobilisent et adaptent sa stratégie sur les autres secteurs et activités. (D'où le nombre de préavis de grève selon les secteurs d'activités, les régions, les établissements...) Ceci dans un contexte d'affrontement idéologique sérieux avec la Direction SNCF et le pouvoir UMP et des désaccords plus ou moins importants sur le fond et la forme avec toutes les autres organisations syndicales (pas seulement sud, il y a aussi la cdft-fgaac, l'unsa mais encore la cftc et fo, la cgc quasi inexistante depuis longtemps...). Pour l'instant en début de grève dure, la direction sncf tente de tenir le choc en mobilisant sa hiérarchie managériale pour assurer avec les non-grévistes, une partie du trafic : celui qui se voit (TGV, IDF en heures de pointe, Banlieue des grandes villes...). Je ferai l'hypothèse que nous ne sommes plus dans le style des mouvements d'avant 1986/1987 Nous avions déjà constaté une forte évolution en 95 (35% de grévistes en moyenne sur les 20 et quelques jours du conflit et de fortes pointe de mobilisation sur les grandes journées de manifestation) Je n'aurai garde d'oublier la pression idéologique menée par les médias tant au niveau de ceux qui ignorent purement et simplement le mouvement que de ceux qui s'y opposent farouchement. Dans un contexte de développement des conflits sociaux dans le pays avec des actions frôlant l'extrême par des salariés quasi désespérés, il est certain que le pouvoir sarkoziste ne veut pas voir la mobilisation sociale prendre de l'ampleur surtout à la veille de 1er mai. Faites donc un tour sur le site suivant : http://www.collectifcontrelespatronsvoyous.com/ Enfin je note le quasi silence des politiques* sur la question et surtout sur les questions de fond (trafic de marchandises, salaires, emploi, service public etc...)... ça promet pour le prochain affrontement sur les retraites. * Sur les sites internet des partis politiques rien sur ceux de l'UMP, du Modem, ud PS, du PCF, l'Europe-écologie, de lutte ouvrière un article sur celui du NPA http://www.npa2009.org/content/sncf-bras-de-fer-pour-defendre-le-service-public
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
Sur Libération également SNCF: polémique sur la mobilisation au troisième jour de grève La SNCF indique avoir recensé ce matin 29,81% de conducteurs en grève et 32,44% des contrôleurs, soit un repli par rapport à jeudi, au troisième jour d'une grève à l'appel de la CGT et de Sud. Le premier syndicat de l'entreprise publique, la CGT, a compté pour sa part 47% de grévistes chez les conducteurs et 45% chez les contrôleurs vendredi, sur la base de 120 établissements tests. Jeudi, 35,8% des conducteurs et 38,8% des contrôleurs avaient cessé le travail selon la direction, 40 et 43% selon la CGT. Un peu plus tôt dans la matinée, la direction avait communiqué un taux global de participation dans l'entreprise de 5,29%, aussitôt contesté par la CGT qui n'a appelé ce vendredi que les conducteurs, contrôleurs et agents du fret à se mobiliser. Le préavis illimité de Sud rail, l'autre syndicat engagé dans la grève, couvre lui l'ensemble des personnels. (Source AFP)
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Nantes : 17 heures de retard
Bizarre aucun nom de compagnie aérienne ou de tour-opérateur...?? Rien vu sur le site internet d'Ouest-France ce matin à ce sujet mais un article sur les vols low-cost Pas de petites économies pour les vols low cost samedi 10 avril 2010 Ouest France Comment font les compagnies aériennes pour offrir des prix très bas ? Elles font tourner les avionsau maximum et réduisent tous leurs coûts a minima. En limite, parfois, avec la légalité. Un décollage à Gérone plutôt que Madrid, à Reus au lieu de Barcelone ; un supplément pour tout bagage en plus, comme pour monter le premier à bord car les sièges, qui sont un peu serrés, ne sont pas numérotés. Un sandwich ? Il faudra encore payer. Et ce sera sans doute du pain suédois car, dit-on, ça fait moins de miettes à nettoyer ! C'est, côté passager, le prix à payer pour voyager « pas cher » à bord de Ryanair. Les compagnies low cost ont toutes, pour stratégie, de réduire leurs coûts au maximum. Plusieurs pistes : Faire voler l'avion au maximum. C'est la première source d'économie des low cost. « Pas plus de vingt minutes au sol », explique Emmanuel Combe, professeur d'économie à l'université Paris I. Car « un avion au sol, c'est un coût ; un avion en l'air, c'est du profit ». Un avion low cost vole onze heures par jour. « Quand Air France fait quatre rotations, Ryanair en fait cinq. » Avantage : les avions sont à l'heure. « Une ponctualité qui a séduit beaucoup d'hommes d'affaires : ils composent 50 % de la clientèle d'easyJet. » Des taxes d'aéroports allégées. En optant pour des aéroports secondaires, les compagnies réduisent le montant des redevances aéroportuaires. La compagnie irlandaise Ryanair a renoncé à faire partir ses passagers de Roissy, au profit de Beauvais. « Ça lui permet d'afficher des prix 30 € moins cher qu'easyJet », illustre Emmanuel Combe. Ryanair touche, en plus, des aides : grosse pomme de discorde avec Air France. (Lire ci-dessous). Hôtesses et femmes de ménages. Les personnels navigants sont réduits au maximum. Et « les pilotes d'easyJet sont payés comme les pilotes d'Air France... mais ils volent 20 % de plus et ont donc un salaire horaire inférieur », indique l'économiste. Au final, les coûts salariaux représentent 13 % des coûts totaux de Ryanair, contre 30 % chez Air France (rapport Beigbeder, sur le modèle économique du low cost, 2007). Ce sont, par ailleurs, souvent les hôtesses qui sont chargées du nettoyage des avions entre deux vols. Qu'en pensent les syndicats ? Chez Ryanair, rien, car ils n'ont pas droit de cité. Une offre standard. Une flotte homogène, rien de mieux pour réduire les coûts d'entretien ou de formation. Ainsi, sur easyJet, on navigue essentiellement sur Airbus A319 ou 320, et avec Ryanair, principalement sur Boeing 737, et dans une seule classe. « Contrairement à ce que l'on croît, les compagnies low cost sont parmi les plus sûres : leurs avions sont les plus récents, car moins consommateurs de carburant. » Simplicité aussi des trajets : un avion va d'un point à un autre et revient à son point de départ systématiquement. Les personnels dorment ainsi toujours à leur « base », ça réduit les frais dits de « découchés ». Des coups marketing gratos. Voyager debout ? Ou payer pour aller au cabinet ? Michael O'Leary, le patron de la compagnie Ryanair est coutumier de ces annonces provocatrices. « En réalité, des gros coups de pub gratuits. Car ça fait immédiatement réagir les médias... », souligne le professeur Emmanuel Combe. Le tout Internet. Dans le low cost, le recours à Internet est systématique : ça permet d'éviter les intermédiaires. Pas de commission d'agence, pas d'agent commercial. Mais c'est là que l'économiste dit au consommateur : « Méfiance. Il faut vraiment savoir lire un contrat dans ses détails : poids des valises, changement de billet, assurance etc. Car ça grimpe très vite. Et puis, en fonction des périodes de réservations, tous les billets ne sont pas si bon marché que ça. Air France peut parfois être moins cher que Ryanair. » Carine JANIN.
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Bon Anniversaire !
Bon Anniversaire à ceux du jour Bon anniversaire Necroshine 10 membre(s) fête(nt) son/leur anniversaire aujourd'hui raintee (35), wurdalack (35), Seberak (39), Savu (27), Tod (48), mikachou (29), necroshine (37), Fustec René (73), manu80 (39), jeanfrancois (49)
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Personne dans la tour de contrôle... l'avion est dérouté
Personne dans la tour de contrôle... l'avion est dérouté LePost Mercredi, en fin d’après-midi, cet avion de la Ryanair, s’est présenté à la tour de contrôle de l’aéroport de Carcassonne-Salvaza, dans l'Aude, avec trois heures de retard. L’avion avec 130 passagers arrivait de Charleroi-Bruxelles. Mais faute de contrôleur aérien, l’avion n’a pu se poser à Carcassonne. Le Boeing 737-600 de la compagnie irlandaise a été dérouté vers Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales. Et les passagers ont ensuite été transportés en autocar jusqu’a Carcassonne, où ils sont arrivés vers 23h, au lieu de 17h 30, l’heure initiale d’arrivée à l’aéroport. L’explication de ce retard semble kafkaïenne. Comme l’aiguilleur du ciel avait terminé son travail, il est tout simplement parti, sans attendre l’arrivée du vol en provenance de Charleroi-Bruxelles. « C’est un incident très ennuyeux pour les passagers, il y avait des handicapés, des familles avec des bébés, on a essayé de gérer au mieux » confie Myriam Ledoux, directrice de la communication de la CCI, qui gère l’aéroport. Selon une autre source, le contrôleur aérien n’a pas pris la responsabilité d’assurer la rotation du vol pour la simple raison que s’il effectuait un dépassement d’horaire, il aurait porté la responsabilité en cas d’incident. En fin d’année 2009, les aiguilleurs de Carcassonne ont perdu un de leur collègue, qui n’a pas été remplacé, rappelle La Dépêche. Les aiguilleurs du ciel ne sont plus que neuf sur le site de Carcassonne, alors qu’il en faudrait deux de plus pour assurer l’augmentation du trafic de l’aéroport, précise La Dépêche.
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
La CGT envahit la Direction SNCF pour exiger l'ouverture de négociations Secteur Fédéral CGT Cheminots Dijon - Communiqués Vendredi, 09 Avril 2010 07:28 http://www.cheminotcgtbfc.fr/ La Direction de la Fédération CGT des Cheminots, accompagné de délégations des secteurs CGT de la région parisienne, s'est rendue cet après-midi au siège de la SNCF, pour demander en direct et en responsabilité à la Direction SNCF d'ouvrir de véritables négociations sur les revendications de tous les cheminots. Face à la posture désinvolte et irresponsable de la Direction de la SNCF de refuser toute négociation dans le cadre du conflit débuté le 6 au soir, la Fédération CGT des Cheminots a de nouveau voulu montrer sa disponibilité pour nouer un véritable dialogue social permettant de faire avancer les revendications soutenues massivement par les cheminots, et créer les conditions d'une issue au conflit, souhaitable pour tous. La Direction RH de la SNCF, contrainte de recevoir une délégation CGT, est restée droite dans ses bottes en fermant la porte ïà toute négociation. Cependant, l’envoi d’huissiers à grands frais dans les établissements et les tentatives d’intimidations de certaines directions régionales et locales, sont le reflet d’une Direction SNCF fébrile et enfermée dans une stratégie dangereuse pour la démocratie dans l’entreprise. L’intox organisée autour de la communication des prévisions de trafic, loin d’être conformes à la réalité, relève d’une stratégie fondée sur le pari de la démobilisation des cheminots. Une mobilisation qui n’a pas faibli chez les ADC et les ASCT entre le premier et le deuxième jour de grève : 38,86% des ASCT étaient en grève aujourd’hui selon la SNCF (53% selon la CGT), 35,93% chez les ADC selon la SNCF (50% selon la CGT). La balle est donc toujours dans le camp de la Direction SNCF et du Gouvernement. La Direction de la SNCF, qui a refusé toute négociation sur ces aspects avant le conflit, ne peut continuer de mépriser ainsi les cheminots et les usagers. L’appui des organisations syndicales qui l’accompagnent dans son projet d’abandon du service public SNCF et la casse du statut social des cheminots, ne peut justifier une telle attitude. Une attitude de plus en plus illisible et incompréhensible aux yeux des cheminots qui renforce la responsabilité pleine et entière de la SNCF dans ce conflit. En appui d’une mobilisation significative des cheminots, la Fédération CGT des Cheminots renouvelle sa disponibilité immédiate pour s’inscrire dans une négociation constructive qui permette de faire avancer les revendications pour tous les cheminots.
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J'ai un problème...
C'est un virus ? Au secours Bachelot... Passe peut être en version 3.6.3 de Firefox Mozilla/5.0 (Windows; U; Windows NT 5.1; fr; rv:1.9.2.3) Gecko/20100401 Firefox/3.6.3
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Actualités Politiques
Jean-Luc Mélenchon bouscule ses alliés du Front de gauche et pousse ses pions pour 2012 LEMONDE | 09.04.10 | 14h31 • Avec le Front de gauche - l'alliance qu'il a passée avec les communistes et les amis de Christian Picquet de la Gauche unitaire -, Jean-Luc Mélenchon sait qu'il a réussi à exister à la gauche du PS. Mais tout cela va trop lentement. "Je suis trop petit pour bouger seul et trop gros pour me taire", lance-t-il. NOUVEAU : Les articles du journal Le Monde dès 15h dans un grand confort de lecture Abonnez-vous au Monde.fr : 6€ par mois + 1 mois offert M. Mélenchon veut débattre du rôle des médias Jean-Luc Mélenchon vient s'expliquer sur sa vision du journalisme au Centre formation des journalistes (CFJ) à Paris. Une semaine après s'être emporté contre un étudiant de l'école de journalisme de Science-Po, qui l'interrogeait sur un sujet qu'il jugeait inopportun - le député européen avait invectivé la profession en parlant de "métier pourri" et de "sale corporation voyeuriste", et traité son interlocuteur de "petite cervelle" dans une séquence qui fait florès sur Internet -, M. Mélenchon veut "débattre du rôle des médias". La rencontre a lieu vendredi 9 avril, à l'invitation du directeur du CFJ, Christophe Deloire, et il s'en dit "enchanté". M. Deloire avait entendu le président du Parti de gauche lors d'un débat à l'ENA à Strasbourg, en octobre 2009, et avait été intéressé par les critiques formulées. "Il a commencé par dire aux 400 journalistes présents "je vous hais" et "vous êtes une ruse de l'histoire" et finit une heure plus tard sous les ovations. Dans ce qu'il dit, il y a quelque chose à entendre pour notre profession", dit-il pour expliquer l'invitation dans la prestigieuse école. Sur le même sujet Georges Frêche, président du conseil régional de Languedoc-Roussillon, le 2 février 2010. Les faits Georges Frêche alerte le CSA après un sketch de Canal+ Point de vue Dépendance des médias à l'égard du pouvoir ? Vrai constat, fausse analyse, débat piégé, par Philippe Merlant et Luc Chatel Compte rendu Quand Xavier Bertrand s'en prend avec virulence à un journaliste du "Courrier picard" Les faits Une journaliste de France Inter devient conseillère de Ségolène Royal Edition abonnés Archive : Jean-Luc Mélenchon, politiquement insultant De fait, de cette drôle d'alliance aux régionales, les médias auront surtout retenu le nom de Mélenchon. Au point de confondre le sigle de son parti - le Parti de gauche (PG) - avec celui du Front de gauche. C'est lui, l'ancien socialiste, qu'on invite sur les plateaux de télévision, pas Marie-George Buffet et encore moins Pierre Laurent, le numéro deux du PCF. La direction communiste a beau se féliciter des résultats "globalement positifs" obtenus lors des régionales, sans lui, le Parti communiste serait au plus bas. Mais Jean-Luc Mélenchon sait aussi que, sans le PCF, le Front de gauche n'existerait pas. Et son petit parti - quelque 5 000 militants - non plus. Alors, il pousse des coups de gueule, multiplie les propositions. Pour faire encore "bouger les communistes". Pour lui, le Front de gauche doit franchir une deuxième étape. "On a fait nos preuves comme cartel d'organisations mais cela ne peut plus durer comme ça", explique le député européen. Il veut discuter d'un projet et d'un commandement commun pour la présidentielle, dit-il. Et tout ça dans un "paquet" qu'il propose à ses amis communistes, afin de présenter ensemble des candidats aux cantonales, aux législatives et un seul à la présidentielle. "Je ne veux plus un truc de petits pas", prévient-il. Stratégie de la lenteur Las, le PCF, lui, préfère avancer doucement. Si Mme Buffet n'a pas dit non à une éventuelle candidature commune en 2012, elle a repoussé la discussion en 2011... après le congrès des communistes qui se tiendra en juin. La numéro un du PCF rétorque qu'au lieu de parler de personne elle préfère penser "projet" en organisant des "assises". "Il faut traiter les échéances quand elles viennent", insiste encore la numéro un du PCF. Le temps de la présidentielle viendra mais pas avant un an. Une stratégie de la lenteur qui agace au plus haut point le député européen. "Tout le monde sait qu'un candidat communiste ne fera pas de score. Si on réussit les régionales, c'est parce que c'est le Front de gauche", râle M. Mélenchon qui pense que, pour "entraîner l'électorat", il est le meilleur. Il rappelle qu'un sondage Ifop pour Sud-Ouest (réalisé les 25 et 26 mars auprès de 855 personnes) le donne à 6 % des intentions de vote à la présidentielle, devant Olivier Besancenot, porte-parole du NPA. "C'est pas mal pour un début", sourit-il. Ajoutant : "Je fais confiance à l'idée de l'évidence", sourit-il. Pour lui, il suffit d'"être clair" : "On veut être le recours à gauche ? alors il faut se battre pour ça et ne pas dire qu'on prépare un gouvernement rose-rouge-vert !", dit-il en pestant contre les "ambiguïtés" du PCF vis-à-vis du PS. L'élection présidentielle étant la mère de toutes les batailles - "un candidat doit avoir un projet pour gouverner sinon il n'existe pas", argumente son bras droit François Delapierre -, il faut en être et la préparer. Le PG réfléchit donc déjà aux parrainages, au budget et au type de campagne. En le disant tranquillement, l'ancien socialiste cherche à bousculer encore. "Je veux obliger les communistes à trancher à leur congrès", prévient-il. Bousculer sans braquer, l'équilibre est délicat. "On respecte le temps des communistes qui ont un congrès qui va peser. Et puis ni Marie-George ni Pierre Laurent n'ont dit qu'il fallait un candidat communiste...", remarque-t-on au PG. Alors le "camarade Jean-Luc" espère. En attendant, il vient de lancer une nouvelle idée : la possibilité d'adhésions directes au Front de gauche, en dehors des trois organisations qui le composent et de leur rigidité. Un peu à l'image d'Europe Ecologie. Le PCF traîne des pieds ? Qu'importe ! M. Mélenchon joue la stratégie du contournement. "C'est de la bombe atomique", s'amuse-t-il. Sylvia Zappi
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Vendredi 9 - Samedi 10 - Dimanche 11 Avril 2010 - Grève des Cheminots
La grève faiblit à la SNCF, où le trafic est légèrement perturbé 13h00 Reuters La proportion de grévistes à la SNCF est en baisse ce vendredi malgré l'appel de la CGT et Sud-Rail à poursuivre le mouvement de grève, annonce l'entreprise publique. Le trafic restait légèrement perturbé, conformément aux prévisions annoncées la veille. Le taux de participation à la grève était de 5,29% à 11h00 contre 13,85% la veille, a dit la SNCF dans un communiqué. Le taux de grévistes dépasse 20% dans la région Languedoc-Roussillon. Environ 30% des contrôleurs et 32% des conducteurs sont en grève, une baisse de 17% par rapport à jeudi, a précisé la SNCF. Trois TER sur quatre circulent dans l'ensemble des régions et quatre TGV sur cinq sont maintenus. Dans les réseaux locaux Intercités et Téoz, le trafic est respectivement de 75% et 57%. Neuf trains sur dix circulent en Ile-de-France sur le réseau Transilien, en périodes de pointe et dans la journée. Le trafic international est normal sur Eurostar, Thalys et sur les trains à grande vitesse à destination de l'Allemagne. La CGT Cheminots et Sud Rail, respectivement première et troisième organisation syndicale de l'entreprise publique, ont estimé jeudi que la direction refusait de négocier sur les salaires, les effectifs et le démantèlement présumé de l'activité fret. De nouvelles assemblées générales décideront dans la journée de vendredi de la suite à donner au mouvement de grève, le troisième de l'année à la SNCF. Les autres syndicats se sont désolidarisés du mouvement, certains jugeant cette grève incompréhensible. Clément Guillou, édité par Gilles Trequesser
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France télécom condamné à payer 1 miliards d'euros
La justice poursuit France Télécom après une vague de suicides Reuters Une information judiciaire pour harcèlement moral relative aux suicides de salariés à France Télécom, imputés à une politique de restructuration et de management jugée "pathogène", a été ouverte vendredi par le parquet de Paris. Pour la première fois en France, la politique de gestion des ressources humaines d'une entreprise est susceptible de constituer une infraction pénale en elle-même et d'entraîner un procès en correctionnelle de dirigeants, voire de la société. Cette décision fait suite à un rapport de l'Inspection du travail remis en février, visant 14 cas de suicides, tentatives ou dépressions graves de salariés, et à une plainte du syndicat Sud-PTT, déposée en décembre dernier. Le syndicat CFE-CGC/Unsa s'est porté partie civile à la fin mars. Cette plainte vise l'ancien P-DG Didier Lombard, l'ex-directeur exécutif Louis-Pierre Wenes et le directeur des ressources humaines, Olivier Barberot. France Télécom conteste que sa politique générale ait pu provoquer tous les suicides objets de l'enquête. "On ne peut pas parler de politique de harcèlement, il faudra replacer chaque suicide dans son contexte", a dit Me Claudia Chemarin, avocate du groupe, lors d'une conférence de presse. MANAGEMENT Un juge d'instruction sera désigné pour enquêter sur l'organisation du travail dans son ensemble. Est également visée une infraction au code du travail sur l'absence de remise d'un document d'évaluation des risques. L'ouverture juridique remonte à un arrêt rendu en novembre dernier par la Cour de cassation, plus haute juridiction française, qui stipule que le harcèlement moral peut procéder d'une politique de management et non plus seulement d'un problème relationnel entre les employés et leur supérieur. Peuvent donc être poursuivis les mutations forcées ou objectifs de performance impossibles à atteindre s'ils risquent de "dégrader les conditions de travail, sont susceptibles de porter atteinte aux droits et à la dignité (du salarié, ndlr), d'altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel", a dit la Cour. Selon la direction de France Télécom, 32 employés se sont suicidés en 2008 et 2009. Les syndicats avancent un bilan de 35 morts. Les suicides se poursuivent, avec une dizaine de cas depuis le début de l'année, selon les syndicats. France Télécom est une ancienne administration d'Etat devenue société anonyme en 1996, et dont l'actionnariat est majoritairement privé depuis 2004. "PATHOGÈNE" L'Inspection du travail a conclu dans son rapport transmis au parquet au "caractère pathogène de la politique de restructuration et de management" et relève que les alertes nombreuses des médecins du travail entre 2006 et 2009 ont été ignorées. "Les réorganisations, restructurations et les méthodes de management mises en oeuvre au sein de l'unité économique et sociale France Télécom sont de nature à provoquer des troubles de la santé mentale", écrit l'Inspection du travail dans le rapport relaté à Reuters par une source judiciaire. Cette politique avait pour objectif de réduire les effectifs de 22.000 personnes, de provoquer un changement de métier pour 10.000 autres employés, d'en recruter 6.000, d'augmenter la mobilité, de rajeunir la pyramide des âges, détaille-t-elle. La brutalité des techniques utilisées pour la mise en oeuvre de ces objectifs est considérée comme directement à l'origine des suicides, de dépressions et de souffrances psychologiques. Les avocats des syndicats affirment que la direction a mis au point des techniques pour pousser les fonctionnaires du groupe à partir. Les fonctionnaires, qui ne peuvent être licenciés, constituent 65% des 100.000 salariés. "C'est une mauvaise lecture et nous répondrons devant le magistrat instructeur", a dit l'avocate de France Télécom. La vague de suicides est à l'origine d'un changement de directeur général, Stéphane Richard remplaçant à ce poste en février Didier Lombard, qui a gardé la présidence non exécutive. Alors que le phénomène était contesté, voire nié auparavant, Stéphane Richard a présenté aussitôt un plan de prévention des suicides avec une promesse de dialogue social. Les mutations forcées avaient été suspendues à la fin de l'année dernière. Les syndicats demandent davantage, estimant que la politique de restructuration elle-même est en cause. Le parquet a précisé que les enquêtes de police préliminaires déjà ouvertes à Paris et en province sur des cas isolés de suicides seraient sans doute regroupées dans le nouveau dossier d'information. Thierry Lévêque, édité par Sophie Louet
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Actualités Politiques
Sur Libération.fr Bouclier fiscal : une tranche d’intox Quand il ne reste plus d’arguments pour défendre une mesure, autant en inventer http://www.liberation.fr/economie/01016290...tranche-d-intox