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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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A te lire, on dirait que 100% des jeunes manquent de civisme et de politesse... C'est une vision un tout petit peu noire de la société quand même... Je t'accorde qu'il y a de tous les côtés tendance à la généralisation excessive...
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Ben comme tu le dis : la société n'est pas assez stricte, les valeurs foutent le camp... la délinquance augmente, la criminalité enfle, (y'a quand même 60.000 personnes enfermées dans les prisons françaises pour 62 millions d'habitants et pourtant que de faits divers (vols, cambriolages, crimes, escroqueries, agressions...) même les riches n'y échappent pas malgré la vidéo surveillance et les protections à codes d'accès, alors faut bien mobiliser notre population vieillissante et conservatrice, pour qu'elle pousse majoritairement à l'instauration d'un régime encore et toujours plus fort (ce qui n'est pas synonyme d'anti-démocratique soi dit en passant) qui impose le respect des règles et des valeurs pour protéger le peuple contre lui-même et ses excès de jeunes sauvageons et d'excités de lycéens et d'étudiants, sans parler des grévistes qui tuent l'économie et prennent l'usager en otage,... sans oublier ces "terroristes invisibles" de l'Ultra-Gauche extrême et violente qui ne cherche qu'à détruire les fondements de notre économie libérale seule apte à libérer (puisqu'elle est libérale) le potentiel qui est en nous... L'avenir appartient aux gagnants... et comme la population de notre chère planète est passée d'un milliard en 1900 à 6 milliards actuellement et devrait approcher les 10 milliards en 2020/2025 voila une stricte perspective valorisante digne de relancer l'économie...
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C'est la crise...enfin pas pour tout le monde... (C'est marrant là on les entend pas les majors du disque...) YouTube, nouvelle source de revenus pour les maisons de disques ZDNet.fr La machine à audience de YouTube pourrait bien finalement se transformer en machine à gros sous : les partenariats conclus par la plateforme vidéo de Google avec des maisons de disques s'avèrent payants. Rappelons que ces accords prévoient que les revenus publicitaires générés par l'audience des clips vidéo mis en ligne gratuitement par les artistes des majors sont partagés entre les deux parties. C'est notamment le cas pour Universal Music. Dans un entretien à CNET News, un dirigeant de la major déclare que l'artiste le plus populaire rapporte « des dizaines de millions de dollars » grâce aux pages vues de ses clips vidéo sur YouTube. Selon une source industrielle proche du dossier, citée par CNET News, Universal Music devrait générer 100 millions de dollars de revenus en 2008 grâce au streaming de clips vidéo, la majorité provenant de YouTube. Rentabilité fixée pour fin 2008 Il faut dire que Google s'est donné les moyens cette année pour rentabiliser sa plateforme vidéo, acquise pour 1,65 milliard de dollars en 2006. Le moteur de recherche a ainsi adapté en novembre dernier son système Adwords pour YouTube, en lançant un service de vidéos sponsorisées : les utilisateurs comme les annonceurs peuvent placer des enchères sur des mots-clés pour faire remonter leurs vidéos dans un espace sponsorisé bien identifié. Auparavant, YouTube avait amélioré la qualité d'affichage de ses vidéos en passant au format 16/9. Jeudi 18 décembre, la plateforme a d'ailleurs lancé une nouvelle page dédiée aux vidéos en haute définition. Objectif pour Google : que YouTube soit rentable fin 2008. Selon les chiffres publiés récemment par l'institut de mesure d'audience ComScore, le site a généré 2,73 milliards de requêtes en novembre aux Etats-Unis, soit 25,4 % du total des requêtes sur les sites de Google.
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Du manque d'espoir et de perspectives La récession de retour en France en 2009 pour la première fois en seize ans AFP Laurent BANGUET Sous le choc de la crise internationale, la France basculera dans la récession au début de l'année prochaine pour la première fois depuis 1993, avec une économie en chute libre et une remontée en flèche du chômage, selon les prévisions de l'Insee publiées vendredi. Après une maigre progression du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au troisième trimestre 2008, l'Insee prévoit un effondrement de de 0,8% au dernier trimestre, suivi d'un nouveau recul de 0,4% au premier trimestre 2009. Selon l'Institut national de la statistique, les premiers effets du plan de relance se feraient sentir au deuxième trimestre, mais le PIB céderait encore 0,1%, ce qui ferait trois trimestres consécutifs de baisse à la fin juin. Une "récession" dans tous les sens du terme. Car si la croissance reste positive cette année (+0,8% contre 2,1% en 2007), l'année 2009, elle, risque fort de se solder par une nette baisse du PIB. Selon l'Insee, la contraction de l'activité devrait déjà atteindre 1,1% à la fin juin. Autrement dit, pour simplement espérer arriver à une croissance de zéro sur l'ensemble de l'année, "il faudrait que la France enregistre une croissance de 1,4% pour chacun des deux derniers trimestres de l'année", explique le chef du département de la conjoncture de l'Insee, Eric Dubois. Ce qui paraît hautement improbable, même si l'institut met en garde contre "la grande incertitude" qui pèse sur ces prévisions. De son côté, le gouvernement table toujours sur une croissance comprise entre 0,2 et 0,5% en 2009, grâce à son plan de relance. Le Premier ministre, François Fillon, a toutefois estimé jeudi "qu'aucun pays européen n'évitera la récession" et n'exclut d'ailleurs pas qu'un second plan soit nécessaire. Ce net coup de frein de l'économie se traduira inévitablement par de nombreuses destructions d'emplois: -71.000 au total en 2008, puis -169.000 au cours du seul premier semestre 2009. A la fin juin, le taux de chômage s'établirait ainsi à 8% de la population active, au même niveau que deux ans plus tôt. Comme dans les autres pays industrialisés, le choc de la crise n'épargnera en France aucun des moteurs de la croissance. En raison de la forte diminution de la demande nationale et étrangère et des difficultés persistantes d'accès au crédit, l'investissement des entreprises françaises accuserait une baisse prononcée. Un recul qui se prolongerait au moins jusqu'à la fin du premier semestre, malgré l'effet positif de certaines mesures du plan de relance. Confrontés à des stocks trop abondants, en particulier dans l'automobile, les entreprises seront contraintes de réduire fortement leurs stocks, ce qui pèsera sur la croissance et sur l'emploi, via les mesures de chômage partiel déjà annoncées. Avec des carnets de commandes dégarnis et des perspectives très sombres, l'industrie n'aura d'autre choix que de diminuer sa production: l'Insee prévoit une chute de la production manufacturière de 4,0% au dernier trimestre 2008, puis de 1,6% au trimestre suivant, avec une tendance similaire, quoique moins marquée, dans la construction. Malgré un net reflux de l'inflation, la dégradation du marché du travail et les inquiétudes sur l'avenir vont inciter les ménages à la prudence. Ils devraient privilégier "l'épargne de précaution" à la consommation, qui restera "atone" jusqu'à l'été, malgré le coup de pouce au pouvoir d'achat de la "prime à la casse" et de la "prime de solidarité active".
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la catastrophe de Zoufftgen (11/10/2006)
Dom Le Trappeur a répondu à Roukmoute situé dans Brin de causette
responsable mais pas coupable... ça me rappelle quelque chose De toute façon ce sont encore trop souvent les lampistes (même si leur responsabilité doit bien entendu être examinée) qui se retrouvent seuls devant les tribunaux... -
C'est pour ça sûrement qu'il y a autant de "faits divers de tous ordres" dans les actualités télévisées quasiment toutes chaînes confondues (mettons ARTE à part)...
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Des nouvelles du pote du copain ... Déjà un jeu de lancer de chaussures visant George W. Bush sur internet AFP Les internautes sont invités à s'essayer au lancer de chaussures virtuel sur George W. Bush grâce à un jeu en ligne lancé par un jeune Britannique dans la foulée de l'incident qui a vu dimanche le président américain esquiver les chaussures d'un journaliste irakien à Bagdad. L'objectif du jeu en ligne "Sock and awe" ( http://www.sockandawe.com ) consiste à parvenir à frapper avec des chaussures la tête d'une figurine en mouvement représentant George W. Bush. Plus d'1,4 million de chaussures ont déjà réussi à atteindre le président sur le web, selon le compteur du site, qui ajoute "bien fait!". L'internaute a 30 secondes pour jeter ses chaussures bateau à la tête du président américain qui cherche à les esquiver en se déplaçant depuis la tribune d'une conférence de presse. "Sock and awe" -littéralement "chaussette et effroi"- est un jeu de mots qui fait référence à l'opération militaire américaine "Shock and awe" ("choc et effroi") lancée en 2003 sur l'Irak de Saddam Hussein. Le jeu a été lancé par Alex Tew, 24 ans, qui s'était déjà fait remarquer en 2006 en devenant riche grâce à la vente des pixels de sa page d'accueil internet, baptisée "la page à un million de dollars". "Sock and awe" est proposé par Popjam.com, un site de partage de contenu amusant sur le net, créé il y a quelques mois par Alex Tew. Le journaliste irakien Mountazer al-Zaïdi, 29 ans, de la chaîne de télévision al-Bagdadia, a été arrêté dimanche soir après avoir jeté ses chaussures en direction du président américain et l'avoir traité de "chien", en pleine conférence de presse. Site du jeu en ligne "Sock and awe"
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Aubagne ==>> A l'échafaud...
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Votre vision du monde est fort intéressante et instructive...
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Tout Va bien... Y'a pas de problèmes... Sur les banques ne se retourneront pas vers leurs petits clients dormez tranquilles braves gens... Les ramifications du scandale Madoff atteignent les épargnants français AFP Thomas URBAIN Après les banques, des particuliers fortunés, voire moins aisés, qui avaient placé de l'argent dans des fonds de placement collectifs, pourraient payer les pots cassés en France de la fraude Madoff, avec une ardoise potentielle de 500 millions d'euros. Evènement L'affaire a été dévoilée mercredi soir par l'Autorité des marchés financiers (AMF) qui a annoncé que des fonds d'investissement dits OPCVM, des produits financiers plus connus sous le nom de Sicav ou de Fonds commun de placement (FCP), pourraient être affectés par cette escroquerie, à hauteur de "plusieurs centaines de millions d'euros". Les fonds touchés, une centaine sur les 11.000 OPCVM français agréés selon l'AMF, ont eux-mêmes investi dans d'autres OPCVM irlandais et luxembourgeois. Ceux-ci avaient placé tout ou partie de leur argent dans des fonds Madoff, dont une partie au moins se serait évaporée dans la gigantesque fraude montée par le financier américain Bernard Madoff. Dans son édition datée de vendredi, Le Monde évoque le nom du fonds luxembourgeois Lux Alpha, lié à la banque suisse UBS, et de l'irlandais Thema Fund International. Toute la journée de jeudi, la ministre de l'Economie Christine Lagarde et les représentants de l'AMF se sont voulus rassurants, affirmant que les petits épargnants français n'étaient pas concernés par cette affaire. Et Bercy a "demandé à l'AMF de préciser sa communication" par rapport à la veille. "Les petits épargnants sont épargnés, (...) ce sont des encours professionnels" qui sont touchés, a assuré Mme Lagarde. "Et ce n'est pas par les grands réseaux traditionnels des banques que c'est passé". "Cela ne porte que sur des investisseurs avisés, professionnels, qui disposent en général de fortunes importantes" et "il n'y a aucun fonds grand public qui soit impliqué", a renchéri le nouveau président de l'AMF, Jean-Pierre Jouyet. Selon les chiffres fournis par l'AMF, 92% des OPCVM français affectés n'ont "pas été distribués au grand public" et 66% concernent une "clientèle fortunée". Toutefois, 8%, soit environ 40 millions d'euros, ont été placés auprès du "grand public". "Il semblerait, selon les informations que nous avons, que les produits auraient été vendus comme des produits sûrs" aux épargnants, a affirmé jeudi à l'AFP Thierry Ottaviani, président de l'association SOS Petits Porteurs. M. Ottaviani a notamment mentionné les fonds monétaires dits dynamiques, théoriquement parmi les moins risqués. L'AMF a demandé à toutes les sociétés de gestion concernées de "prévenir sans délai leurs clients de façon individuelle et de diffuser également l'information sur leur site internet". Interrogée sur les garanties dont bénéficient les épargnants touchés, Mme Lagarde a fait valoir que "les gens très fortunés, qui investissent, (...) prennent le risque de gagner, prennent le risque de perdre", évoquant toutefois la possibilité d'une "procédure judiciaire" aux Etats-Unis. Avant de rejaillir sur des particuliers, l'affaire Madoff avait déjà touché banques et assureurs français, dont les pertes potentielles pourraient atteindre plus d'un milliard d'euros. BNP Paribas et Natixis sont les plus exposés, à hauteur respectivement de 350 et 450 millions d'euros. Mais ces pertes potentielles concernent directement les banques et pas les investissements de leurs clients, à l'inverse d'autres établissements étrangers, telles l'espagnole Santander ou l'Union bancaire privée (UBP) suisse.
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Tiens t'as remarqué ? Effectivement un peu gros les caractères... lotrela
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Sarko a sauvé la planète ... libérale ! Puisque tu le dis... Mais vu d'en bas c'est pas du tout l'impression que ça donne...
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Le 5 janvier, sur France 2, pas de pub mais un clip de l'UMP Le Post Incroyable mais vrai! Alors que le parlement examine toujours Sur une dépêche AFP datée du 16 décembre, il est écrit que le 5 janvier 2009, première soirée sans publicité sur les chaînes de France Télévisions, France 2 va diffuser "deux programmes courts, dont quatre minutes d'expression directe pour le parti UMP". Voici le passage en question dans la dépêche AFP: Contacté par Le Post, un membre de l'UMP confirme que ce programme sera bien diffusé le 5 janvier, dans le cadre de l'émission Expression directe. Vérification faite sur le site Programmetv.com, cette émission fait bien partie des programmes, à 0h05, même si le spot de l'UMP ne durerait en fait que deux minutes: Mais c'est quoi cette émission? Expression directe est une émission de service public diffusée depuis 1975. Elle permet à des groupes représentatifs, comme les partis politiques ou les syndicats, de disposer d'un espace d'expression libre sur les antennes publiques de télévision. Le plus souvent, ce sont des spots formatés dans l'esprit de la communication politique, comme l'explique Wikipedia. "Symbole déplorable" Contacté par Le Post, un membre de la société des journalistes de France 2 n'en revient pas: "C'est hallucinant! Le symbole est énorme". Avant de s'indigner : "Même si c'est un programme prévu dans la charte de France Télévisions et même si Expression directe offre des cases à tous les partis, le symbole reste déplorable. C'est quand même incroyable que cela tombe sur l'UMP ce jour là, précisément le jour où la pub est supprimée..." Contacté par Le Post, un autre membre de la société des journalistes de France 2 relativise : "Si ce clip de l'UMP passait à 20h30, cela me gênerait mais là... ce clip ne sera vu par personne. Et puis, vous savez, aujourd'hui, avec la réforme de l'audivisuel, France 2 est dans une situation terrible. On va être privé des moyens qui nous permettaient de rivaliser avec TF1... Alors, pour moi, ce clip, c'est une goutte d'eau par rapport au tsunami qui nous tombe dessus."
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la catastrophe de Zoufftgen (11/10/2006)
Dom Le Trappeur a répondu à Roukmoute situé dans Brin de causette
Catastrophe ferroviaire de Zoufftgen: prison ferme requise contre deux des employés des Chemins de fer luxembourgeois AP Le ministère public du tribunal correctionnel de Luxembourg a requis jeudi, après trois semaines d'audience, des peines de prison ferme à l'encontre de deux des employés des Chemins de fer luxembourgeois (CFL) et des peines avec sursis pour deux autres poursuivis pour homicides et blessures involontaires dans le cadre de la catastrophe ferroviaire de Zoufftgen (Moselle), a-t-on appris de sources judiciaires luxembourgeoises. L'accident survenu en octobre 2006 avait fait six morts, deux blessés graves et 14 blessés légers. Il a été demandé 48 mois de prison, dont la moitié ferme, contre le chef de circulation de l'après-midi, 42 mois de prison dont 21 ferme contre l'annonceur de trains, 12 mois avec sursis contre le chef d'équipe du matin et six mois de prison avec sursis contre l'aiguilleur. Le ministère public a dénoncé "le non-respect flagrant des procédures et le manque de conscience professionnelle" tandis que les avocats des prévenus soulignaient le manque de formation de leurs clients. Les avocats des 53 parties civiles ont regretté pour leur part que les CFL en tant que personne morale n'aient pas été incriminés. Le 11 octobre 2006, peu avant midi, un TER des CFL reliant Luxembourg à Nancy (Meurthe-et-Moselle) était entré en collision frontale avec un train de fret de la SNCF venant de Bâle. Le TER avait reçu l'autorisation de franchir un feu rouge alors que l'autre convoi s'engageait sur la seule voie libre en raison de travaux. Tous les efforts pour stopper, en quelques secondes, le TER furent vains. La catastrophe s'était produite sur la frontière. Le dernier wagon du TER avait dû reculer sous le choc et gisait en territoire luxembourgeois. Les responsables présumés étant tous des cheminots du centre de triage de Bettembourg, la justice française avait accepté que la procédure se tienne à Luxembourg. Les CFL avaient aussitôt reconnu leur entière responsabilité et versé très rapidement des dommages et intérêts aux familles des victimes. AP -
Le bonheur est contagieux...
Dom Le Trappeur a répondu à Dom Le Trappeur situé dans Brin de causette
Vive le bonheur ! lotrela -
Faut vous pacser les jeunes et vivre ensemble... Vive le Bonheur.... Tiens il est où le fil sur le bonheur ??? Ben il est là : http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=16229&hl=
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Ambiance... Le drapeau européen qui fâche en République tchèque LeMonde.fr Le gouvernement tchèque a la vie dure. A deux pas de prendre la présidence de l'Union européenne (UE), le 1er janvier 2009, l'équipe du premier ministre, Mirek Topolanek, doit se contorsionner pour adoucir les foudres lancées, du haut du Château de Prague, par celui qui est devenu leur adversaire de cohabitation : le colérique et europhobe président Vaclav Klaus. Le ministre tchèque des affaires européennes, Alexandr Vondra, a fait ses assouplissements à Paris, mercredi 17 décembre, invité par le club Grande Europe. "Le drapeau européen est dans mon bureau", a précisé le ministre, un tantinet gêné. Et encore : "Le sentiment européen ne se mesure pas au nombre de drapeaux." Cette histoire de drapeau européen est un vrai poison. Pour le président Klaus, qui se voit en "dissident de l'Europe", c'est le drapeau-qui-rend-fou. Il est le seul chef d'Etat de l'UE à l'avoir banni dans ses murs et refuse obstinément de le hisser sur le Château de Prague. Cela lui rappelle les drapeaux soviétiques, a-t-il dit, au temps du rideau de fer. Dans l'enceinte du Parlement européen de Strasbourg, mardi, le président tchèque a été sévèrement taclé. "Ce n'est à l'honneur de personne d'agir ainsi", a dit M. Sarkozy. "Nous avons été blessés quand tous les drapeaux européens ont été retirés des édifices publics. (...) On ne traite pas ainsi les symboles européens." Il faut dire que Dany Cohn-Bendit, chef du groupe des Verts au Parlement, n'avait pas arrangé les choses, début décembre. En visite à Prague avec les autres chefs de groupe et le président du Parlement, Hans-Gert Pöttering, il avait apporté un minuscule drapeau européen au président tchèque, "en cadeau", pour tester sa phobie. Le test avait été positif. "VOUS N'ÊTES PAS SUR LES BARRICADES" Le petit drapeau posé devant lui, Vaclav Klaus n'a pas supporté les questions du député sur ses positions européennes. M. Klaus : "Personne ne m'a jamais parlé ici sur ce ton ! Vous n'êtes pas sur les barricades de Paris !" Il se tourne vers M. Pöttering : "Pouvez-vous interrompre M. Cohn-Bendit et donner la parole à un autre député ?" M. Pöttering n'en fait rien. M. Klaus : "C'est incroyable. Je n'ai jamais vu autant d'insolence ici." M. Cohn-Bendit : "Forcément, c'est la première fois que vous me rencontrez ici." M. Klaus : "La manière dont M. Cohn-Bendit me parle, c'est exactement comme parlaient les Soviétiques." M. Pöttering : "Comparer l'Union européenne à l'URSS est inadmissible !" A Strasbourg, M. Sarkozy a ajouté du poil à gratter dans la cohabitation tchèque en présentant M. Topolanek, contre Vaclav Klaus, comme le gentil de la pièce : "Je me réjouis que le premier ministre Topolanek ait le courage de ne pas se laisser emporter par ces tendances."La présidence tchèque commence bien.
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Pétitions - EAS suppressions des contrôleurs et Dépôt de Dole
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Reçu par e-mail Région de Dijon Je fais suivre... Bonjour à tous, > Vous trouverez à l'adresse ci-dessous deux pétitions en ligne une contre l'Equipement Agent Seul et l'autre contre la fermeture du dépot Dole. > Le site du secteur cheminot CGT n'est pas encore finalisé, mais les pétitions fonctionnent. > Merci de faire chauffer votre carnet d'adresse pour faire signer massivement ces deux pétitions. http://www.cheminotcgtbfc.fr/petitions/ -
A qui appartient la SNCF ?
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Sur Neuf Cinq Fainéants ça le fait mieux... lotrela -
A qui appartient la SNCF ?
un sujet a répondu à Dom Le Trappeur dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Si possible avec des voyageurs dedans... ou des marchandises... la Direction les appelle " les clients" -
Radars aux passages à niveau
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Actualité ferroviaire générale
Reçu par E-mail J'ignore la source. Passages à Niveau et Radars Pour prévenir de collisions souvent meurtrières, une soixantaine de passages à niveau en France devraient être équipés, d'ici la fin 2009, de radars pour contrôler la vitesse des automobilistes qui les empruntent. Il s'agit d'une première en France et en Europe, selon Réseau ferré de France (RFF), propriétaire du réseau ferroviaire français. "Dans 99% des cas, les accidents sont liés à des comportements fautifs des automobilistes", a souligné Dominique Bussereau, le secrétaire d'Etat aux Transports, dans un entretien mercredi à l'AFP. Il a maintenu son objectif, annoncé en juin dernier, de diviser par deux, d'ici dix ans, ces collisions. Dix radars destinés au contrôle de l'allure des voitures vont être installés sur six passages à niveau en France d'ici Noël, puis 11 sites seront équipés au premier semestre 2009 et 40 au deuxième. Le premier d'entre eux devrait être mis en service jeudi à Etrembières, en Haute-Savoie. Cette décision fait suite à toute une série de collision, dont la plus meurtrière a eu lieu entre un car et un train en juin dernier à Allinges (Haute-Savoie), tuant 7 collégiens et faisant 25 blessés. Au cours des onze premiers mois de l'année, 97 collisions ont eu lieu contre 103 l'an passé, selon les chiffres de la SNCF. L'emplacement de ces radars est choisi selon plusieurs critères: le nombre de trains et de voitures en circulation et leur vitesse, la dangerosité du passage à niveau, la physiologie du site. Chaque site repéré doit faire l'objet d'une visite au préalable pour vérifier si un radar peut être installé -ainsi la présence de ligne à haute tension peut en empêcher l'installation, par exemple-. Outre les radars contrôlant la vitesse, sont également à l'étude les radars repérant les automobilistes traversant les voies alors que les feux clignotent. Sont aussi envisagés les radars aux passages à niveau avec des feux tricolores: ils permettraient de flasher les voitures roulant sur les voies au feu rouge. "Ces mesures répressives viennent s'ajouter à l'élimination des passages à niveau préoccupants", a indiqué M. Bussereau. Actuellement, on compte 16.000 passages à niveau dont 3.000 sans barrière. Il a ainsi rappelé son objectif, formulé fin juillet dernier, de supprimer 34 passages à niveau d'ici à 2010. Eliminer un passage à niveau coûte en tous les cas nettement plus cher que d'installer un radar classique. "Il faut 5 à 10 millions d'euros en moyenne. Et c'est une lourde opération qui prend du temps: 3, 4, 5 ans... On a besoin de l'accord de la municipalité ou du département et on doit souvent acheter des parcelles agricoles", a expliqué M. Bussereau. La mise en service d'un radar est meilleur marché, a-t-il reconnu, sans pouvoir cependant donner de prix. Par ailleurs, les infractions révélées par les radars sont autant d'amendes à payer par les automobilistes qui rentrent dans les caisses de l'Etat. -
Coup de gueule à Gogo... reçu par e-mail... Sale temps pour les puissances de l'argent, Les bourses qui explosent, une nouvelle arnaque à 50 milliards ( des pertes qui s'accumulent Natexis bnp -800M€, Un Gogo pour Bétencourt -1 Milliard), des chaussures qui volent vers la figure enfin presque, Des Terroristes à tous les coins de rue, Faut faire peur aux Pékins des grands magazinzins... un premier recul du nain de jardin sur la réforme scolaire, du chômage technique à gogo et les intérimaires lourdés ! Du travail le dimanche au même prix que la semaine pour des magasins qui se vident en semaine...! Vraiment le 53% de gogos sont à la fête !!!!! Ha j'oubliais aussi "la croissance avec les dents" avec 0- c'est gagné. (des gens "malveillants" ont dit: peut-on faire confiance en matière de croissance à une personne qui a arrêté la sienne à 12 ans) à plus !!!!!!!!!!!!
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Charte instituant la création du SLIP sur le forum.
Dom Le Trappeur a répondu à Cheminant situé dans Brin de causette
Faisons dans l'infinie Démesure ... -
Le Fret est sauvé... Enfin !
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Scandale Madoff: Jouyet dit ignorer si des institutions françaises sont concernées AP Jean-Pierre Jouyet, qui prendra la tête de l'autorité française de régulation des marchés financiers lundi, a déclaré dimanche ignorer si des institutions françaises avaient été victimes de l'escroquerie montée aux Etats-Unis par l'ancien patron du Nasdaq, Bernard Madoff. "Nous allons regarder quel est l'état des lieux, obtenir des informations des autorités américaines. Jusqu'à présent ce dossier relève des seules autorités américaines", a-t-il estimé. "S'il y a des établissements français, ce que je ne sais pas, ils sont soumis aux réglementations américaines (...) Ils ont d'abord à répondre à la SEC", a-t-il rappelé. La Sec est l'équivalent américain de l'Autorité des marchés financiers (AMF). A la tête de l'AMF, a souligné Jean-Pierre Jouyet, "c'est une de mes missions premières de faire en sorte qu'au niveaux international et européen il y ait une nouvelle régulation du système (financier), que ce soit sur les agences notation, sur les hedge funds (fonds d'investissement à haut risque, NDLR), sur les paradis fiscaux (...), (pour) s'assurer qu'il y ait de la part des institutions financières un meilleur contrôle des risques, de façon à ce que les épargnants soient mieux protégés". "On (la France) poussera là-dessus", a-t-il assuré. AP