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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. "Suite à un incident (technique), votre train est momentanément retenu en gare. Des informations complémentaires vous seront fournies dès que possible..."
  2. Si vous cherchez la diffrénce entre ma droite et ma gauche... Travail jusqu'à 70 ans: une "mauvaise chose" pour deux tiers des Français Près de deux tiers des Français estiment que le recul de 65 à 70 ans de l'âge jusqu'auquel un salarié peut refuser d'être mis à la retraite d'office est "plutôt une mauvaise chose", selon un sondage CSA réalisé pour le Parisien/Aujourd'hui en France à paraître lundi. Les personnes sondées étaient interrogées sur l'amendement au budget de la Sécu, que doit examiner le Sénat à partir de mercredi, "permettant aux salariés qui le souhaiteraient de travailler jusqu'à 70 ans". L'âge de la mise à la retraite d'office est actuellement fixé à 65 ans. Ils devaient dire de quelle opinion ils étaient les plus proches parmi les deux suivantes: "c'est plutôt une bonne chose parce que cela permet aux personnes qui le souhaitent de travailler après 65 ans et d'augmenter leurs revenus" ou "c'est plutôt une mauvaise chose parce que cela entraînera à terme la remise en cause de l'âge de départ à la retraite". 66% des personnes interrogées ont choisi la deuxième proposition ("mauvaise chose"), contre 31% la première. 3% ne se sont pas prononcées. Parmi les sympathisants de gauche, 80% ont opté pour l'opinion négative, contre 17% pour l'opinion positive. 3% ne se sont pas prononcés. Parmi les sympathisants de droite, 60% ont en revanche considéré que la mesure était plutôt "une bonne chose" contre 37% une "mauvaise chose". 3% ne se sont pas prononcés. Le sondage a été réalisé par téléphone le 5 novembre auprès d'un échantillon national représentatif de 1.008 personnes âgées de 18 ans et plus, constitué d'après la méthode des quotas.
  3. Actes de malveillance: Bussereau et la SNCF évoquent un sabotage organisé Jacques GUILLON AFP Traumatisée par une série d'actes de malveillance identiques qui ont gravement perturbé le trafic voyageurs samedi, la SNCF s'interroge publiquement sur l'hypothèse de sabotages concertés, à laquelle le secrétaire d'Etat chargé des Transports, Dominique Bussereau, semble croire. "C'est hélas la réalité", a déclaré dimanche sur RMC M. Bussereau, à qui l'on demandait s'il croyait à l'existence de sabotages concertés, après des actes de malveillance commis samedi contre la SNCF. "J'ai demandé à la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, de faire en sorte que nos policiers, nos gendarmes sur le terrain aient un oeil particulièrement acéré sur la surveillance des voies ferrées", a-t-il ajouté. Sur la même question d'un éventuel sabotage organisé, le président de la SNCF Guillaume Pépy a répondu: "nous nous posons la question". Un porte-parole du Sirpa a pour sa part indiqué que "les constatations effectuées par les gendarmes n'ont pas permis pour le moment de confirmer ni cette hypothèse, ni une autre". Cinq des six incidents récents ont été provoqués par des fers à béton posés sur des caténaires, les fils d'alimentation électrique qui surplombent la voie. La SNCF a indiqué n'avoir pas reçu de revendication de ces actes. Samedi, le trafic de quelque 160 TGV, Thalys et Eurostar a été perturbé jusqu'en milieu d'après midi. De 23H30 samedi à 4H00 dimanche, des équipes techniques ont réparé les caténaires sur la ligne Paris-Lille au kilomètre 40 et sur la ligne Lille-Paris au kilomètre 28. La situation était revenue à la normale dimanche matin, a indiqué la SNCF. Dans la nuit de vendredi à samedi, des tiges de fer à béton avaient été fixées sur des caténaires, dans l'Oise, l'Yonne et la Seine-et-Marne, affectant les lignes à grande vitesse (LGV) Nord, Est et Sud-Est après que ces fers eurent été percutées à 170 km/h par les trains-balais. Ceux-ci vérifient quotidiennement à 05H00 la sécurité des voies avant l'ouverture au trafic commercial. Selon un spécialiste de l'entretien des caténaires, parlant sous le couvert de l'anonymat, ces actes de sabotage sont faciles à organiser pour des gens connaissant bien la SNCF et Réseau ferré de France. "Le travail d'entretien sur les caténaires s'effectue la nuit sur les lignes à grande vitesse (LGV), le courant est coupé pendant nos interventions, il suffit de savoir quand a lieu une intervention pour prendre une échelle et installer le fer à béton et repartir", a expliqué ce spécialiste à l'AFP. Les enquêtes en cours sont menées "sous la "responsabilité directe" du directeur général de la gendarmerie nationale, selon le souhait de la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie. Les sections de recherches de Paris, Amiens et Dijon sont saisies, avec l'aide des services techniques de recherche judiciaire et de documentation (STRJD) et l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). S'agissant de la prévention, police et gendarmerie ont reçu une circulaire leur demandant de contacter les directions de la SNCF qui leur signaleront "les points sensible" du réseau ferré. La situation samedi avait été aggravée dans la matinée par la découverte du corps d'un homme déchiqueté sur l'axe Paris-Lille, entre Pierrefitte (Seine-Saint-Denis) et Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise). Le commissariat de Garges-lès-Gonnesse a indiqué dimanche n'avoir toujours pas identifié cette personne et ne pas être en mesure de confirmer l'éventualité d'un suicide ou toute autre hypothèse.
  4. Modifies donc le titre de ton post en conséquence pour être plus explicite. Tu auras plus de chance d'avoir des réponses "Recherche photos sur "examen matériel" portes et confort pour réaliser document powerpoint" par exemple Pour modifier le titre dans ton premier message cliquer sur modifier puis edition complète
  5. C'est étonnant, on n'a pas entendu encore Sarko sur ce coup là... lotrela
  6. Quand un poste est vacant en cours de mois (par exemple à compter du 9 novembre 2008) il doit être combler par remplacement (mutation ou promotion) avec effet au 1er du mois suivant donc 1er décembre 2008... (une mutation est prioritaire sur une promotion) Si tu es muté en réel le 1er mars 2009, tu devrais être promu dans le poste à compter du 1er décembre donc avec effet rétro-actif... le seul problème effectivement c'est si ils se décident à y mettre quelqu'un d'autre parceque tu ne viens pas... Comme un écrit vaut mieux qu'une parole, je te conseille de prendre ta plus belle plume et d'écrire aux deux DUO pour dire que tu acceptes le poste en question. et si possible signe le 630 (le papier officiel pour le mouvement de personnel) le plus rapidement possible.
  7. Terrorisme... La SNCF victime d'un "sabotage", selon Guillaume Pepy AP Guillaume Pepy, président de la SNCF, évoque dimanche l'hypothèse du "sabotage" à propos des quatre fers à béton retrouvés samedi sur les caténaires de trois lignes à grande vitesse samedi, précisant que le "même scénario" s'était déjà produit il y a trois semaines, dans des interviews accordées au "Journal du Dimanche" et au "Parisien". "Cinq des six incidents récents ont été provoqués par des fers à béton posés sur la caténaire, le fil d'alimentation électrique qui surplombe la voie", explique Guillaume Pepy dans "Le Journal du Dimanche", précisant que samedi, deux fers à béton ont été retrouvé sur les caténaires de la ligne à grande vitesse (LGV) Nord, et deux autres sur la LGV Sud-Est dans l'Yonne, et sur la LGV Est en Seine-et-Marne. "Le même scénario s'était produit il y a trois semaines sur la LGV Est", ajoute-t-il. "Entre des actes de malveillance ou un sabotage, je n'exclus aucune hypothèse", affirme M. Pepy dans "Le Parisien". "Ces événements sont trop rapprochés dans le temps pour ne pas envisager une corrélation", souligne-t-il, en rappelant également les "tirs de carabine sur les voies à Marcoussis dans l'Essonne", le week-end dernier. Par ailleurs, Bernard Aubin, secrétaire fédéral de la CFTC Transports, réagit dimanche dans un communiqué, soulignant que les incidents recensés samedi concernent des caténaires de "25.000 volts". "Avec une tension aussi élevée, un arc électrique peut s'amorcer dès que l'on approche la caténaire à moins de 50 cm", affirme-t-il. "Il est donc peu probable que les méfaits commis en différents points du réseau soient l'oeuvre d'amateurs", poursuit-il. "Des dispositifs curieusement similaires (...), des actions répétées dans un court laps de temps, voire coordonnées sur l'ensemble du réseau, sans doute une bonne maîtrise des interventions sur haute tension. Dans cette affaire, la convergence d'un certains nombre d'éléments interpelle", conclut M. Aubin. AP
  8. Ah... Pour une fois je suis d'accord avec toi Vinces... ça fait bien longtemps que je ne regardes plus ni la une ni la deux... d'ailleurs Sur la trois je ne dois plus regarder que Thalassa ...
  9. Allez c'est pas la crise pour tout le monde ... ça en dit long sur l'état d'esprit aux USA... Les ventes d'armes ont fortement augmenté à l'approche de l'élection d'Obama Virginie MONTET Les ventes d'armes aux Etats-Unis ont fortement augmenté dans les semaines ayant précédé l'élection mardi du sénateur démocrate Barack Obama, les partisans du port d'arme redoutant des restrictions à ce qu'ils considèrent comme un droit garanti par la Constitution. Les chiffres les plus récents ne sont pas disponibles, selon la police fédérale (FBI), mais la hausse des ventes de fusils, armes de poing et semi-automatiques a commencé dès le printemps et littéralement explosé en octobre. Pour le seul mois d'octobre, les ventes d'armes à feu ont bondi de 15%, soit 150.000 armes de plus pour un total de 1,183 million, selon les chiffres de l'agence du FBI qui vérifie les casiers judiciaires des acheteurs. "L'élection sans aucun doute a un rapport avec cela. Au fur et à mesure qu'on approchait de l'élection et que cela ressemblait de plus en plus à une victoire d'Obama, les ventes ont explosé fin octobre", a expliqué à l'AFP Tony Aeschliman, porte-parole de la National Shooting Sport Foundation, une association de défense du tir sportif. Dans les armureries interrogées, les ventes étaient à la hausse. "Ils (les acheteurs, ndlr) ont peur d'un contrôle des armes, le second amendement nous dit que légalement on peut avoir des armes. Il (Obama) va essayer de nous ôter ce droit", a déploré Jimmy, responsable du magasin Republic Arms, à Houston (Texas, sud). "Les gens ne disent pas vraiment pourquoi", ils achètent des armes, mais "je suis sûr que cela a avoir avec l'élection d'Obama car il est très anti-armes à feu", a souligné Jan, responsable de Continental Arms à Baltimore (est) qui a aussi vu les ventes grimper ces dernières semaines. Lors de la campagne électorale, Barack Obama a expliqué qu'il respectait le deuxième amendement --à la Constitution-- sur lequel se basent les partisans des armes pour en posséder une, mais en tant que législateur de l'Illinois, il a voté en faveur de plusieurs mesures de restriction du port d'armes. Le deuxième amendement de la Constitution garantit pour tout citoyen américain le droit de porter des armes. "Les gens ont l'inquiétude légitime qu'avec l'administration Obama et une majorité démocrate à la Chambre et au Sénat, il y aura une tentative d'interdire certains types d'armes, notamment les fusils sportifs semi-automatiques", expliquait Dave Workman, éditeur à la revue Gun Week. "Le même phénomène s'était produit quand (Bill) Clinton a été élu la première fois" (1992, début de son premier mandat en 1993), se souvient M. Aeschliman. "Il y avait eu une panique d'achats parce qu'il n'était pas perçu comme quelqu'un qui était favorable aux armes à feu". La progression rapide du chômage (6,5%, le plus haut en 14 ans) pourrait être une autre explication, selon l'association de tir sportif. "On sait que quand le chômage progresse les chasseurs sont plus actifs. Ils ont du temps et ils peuvent donc accumuler de la viande à mettre au congélateur", a expliqué Tony Aeschliman.
  10. Est-ce que "l'Etat" est capable de dire quand finira la crise financière et économique et de donner la date à laquelle le dernier chômeur disparaitra ?
  11. Pour donner de l'information il faudrait déjà en avoir... Or c'est souvent là qu'en cas de crises , de situations perturbées, d'incidents graves il y a difficulté car si on maîtrise assez rapidement la nature de l'incident (panne d'un train, défaillance engin moteur, locomotive, rupture d'alimentation caténaires, suicides, déraillements, ...) il y a difficulté à gérer les conséquences de ces incidents et à donner des prévisions de trafic donc à prendre des décisions fermes et garanties (à quelle heure vont pouvoir circuler les trains et dans quelles conditions donc à partir du moment où il n'y a pas de décisions fermes il ne peut y avoir transmissions de l'information en interne donc informations vers les voyageurs... Avec l'augmentation des trafics voyageurs (TGV, grandes lignes, TER, Banlieue IDF...) le trafic se densifie et les incidents graves prennent une ampleur démesurée jamais atteinte et cela ne va pas aller en s'arrangeant avec le cadencement lié aux nouvelles politiques régionales de renforcement de transport ferroviaire collectif (ce qui va dans le bon sens). Il suffit de regarder la régularité malgré des investissements considérables en matériel et infrastructures (mais une baisse des effectifs...) la régularité ets toujours en recul et ce sont les incidents graves qui la plombent car hors incidents graves il y a une légère amélioration dans l'exploitation quotidienne. Ce phénomène ne date pas d'hier puisqu'il a déjà été mis en valeur au début des années 90... C'est la réponse de la direction et des pouvoirs publics en particulier l'Etat qui n'a jamais été à la hauteur Nous avons 20 ans de retard dans les investisements et surtout nous avons perdu la moitié des emplois et des effectifs en moins de 30 ans. Or le ferroviaire est avant tout une activité humaine. Le ferroviaire a besoin d'hommes et de femmes tant pour faire fonctionner la machine (14.000 trains / jour) que pour répondre aux attentes toujours plus exigeantes des voyageurs (de moins en moins patients et compréhensifs, à l'image de notre très cher Président et de son Sinistre des Transports...)
  12. La question du jour (au moins ce matin aux infos (LCI, France 2...) Comment surveiller les 34.000 km de lignes ferroviaires ? réponse de la direction : les cheminots vont ou reviennent du travail en voiture, ils peuvent surveiller les lignes en passant... 1960 : 400.000 cheminots 1980 : 300.000 cheminots 2000 : 200.000 cheminots 2008 : 150.000 cheminots de moins en moins de monde sur le terrain en particulier à l'Equipement (les gars habitaient souvent au bord ou à proximité des voies...) des cheminots qui habitent de plus en plus loin de leur lieu de travail et de toute ligne ferroviaire... de plus en plus de grillages et demain des caméras de vidéo-surveillance-protection
  13. Une politique libérale : l'oeil fixé sur les résultats financiers (l'Etat actionnaire se servant au passage) ouverture à la concurrence privé (en lui offrant même de superbes cadeaux) (après le sernam, le fret mais aussi beaucoup d'autres petits bouts de l'entreprise au passage comme la SHEM par exemple) mise en oeuvre des directives européennes (les paquets ferroviaires successifs...) préparer la privatisation des pans les plus rentables (sinon on ne verrait pas les EF privées sur le FRET -trains complets- n'est-ce pas...?) (donc il faut que ça fonctionne et que les résultats soient là, donc investissements ...) porter des coups au statut des personnels en accompagnant les politiques de réformes anti-sociales abandon de la notion de service public (surtout dans les têtes...Vive le marché, vive la financiarisation) et abandon de celle d'entreprise ferroviaire nationalisée de service public (appartenance à la nation, au service de tous, égalité de traitement...) restructurer l'entreprise en permanence pour mettre en oeuvre les objectifs de cette politique. Gallois était très bon dans CET objectif, Pépy l'est également. Ce sont les objectifs politiques, sociaux et économiques qui ne sont pas bons ...
  14. Nouvelle journée noire pour la SNCF, visée par quatre actes de malveillance Céline CORNU La SNCF a connu samedi une nouvelle journée noire, quatre "actes de malveillance" contre ses installations ayant très fortement perturbé le trafic de 160 TGV, Thalys et Eurostar, un épisode qui vient s'ajouter à une série d'incidents déjà longue pour la compagnie ferroviaire. A chaque fois, des fers à béton ont été fixés sur des caténaires, situées dans l'Oise, l'Yonne et la Seine-et-Marne, touchant les lignes à grande vitesse (LGV) Nord, Est et Sud-Est. "Très, très en colère" alors que la SNCF est victime pour la quatrième fois en trois semaines d'"actes de malveillance voire de sabotages", son président Guillaume Pépy a annoncé sur TF1 un renforcement de "la surveillance du réseau". L'entreprise va également porter plainte. En raison de ces incidents, quelque 160 trains sur l'ensemble du territoire ont été affectés, subissant des retards allant de 10 minutes à plus de quatre heures. La LGV Nord a été la plus touchée, avec environ 80 Thalys, Eurostar et TGV, et près de 20.000 voyageurs, détournés sur ligne classique, qui ont subi "en général des retards de l'ordre d'une heure". "Une trentaine de trains ont toutefois eu des retards de plus de deux heures", a précisé la SNCF. Trois TGV (Lille-Nice, Lille-Irun, Lille-Toulouse) ont été par ailleurs bloqués, subissant des retards trois à quatre heures. Sur la LGV Est, un train, bloqué, a subi un retard de 4H30 et une quarantaine d'autres ont été retardés de 30 minutes, tandis que trois TGV ont subi des retards de 1h30. Enfin, sur la LGV Sud-Est, une quarantaine de TGV ont subi des retards de 10 à 45 minutes. En fin de journée, le trafic était "complètement rétabli", selon la SNCF, qui a souligné que "l'information à bord des trains et en gares a été donnée au fur et à mesure de l'évolution des événements" et que "tous les voyageurs à bord des trains bloqués ont reçu des plateaux repas et verront leurs billets remboursés intégralement". La situation a été aggravée dans la matinée par la découverte du corps d'un homme déchiqueté sur l'axe Paris-Lille, entre Pierrefitte (Seine-Saint-Denis) et Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise), le trafic étant dévié sur une ligne RER, le temps que la police mène à bien les investigations d'usage. Concernant les actes de malveillance, les enquêtes seront menées "sous la "responsabilité directe" du directeur général de la gendarmerie nationale, selon le souhait de la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, qui a "demandé que tous les moyens, en particulier ceux de police technique et scientifique, soient mobilisés". La ministre de la Justice Rachida Dati a par ailleurs demandé "aux parquets d'ordonner systématiquement des enquêtes pénales afin d'identifier les auteurs (de ces actes, ndlr) et de les traduire devant la justice pour qu'ils soient sanctionnés avec la plus grande sévérité", selon son porte-parole. Les peines encourues pour des actes de dégradations de bien public vont de trois à 10 ans de prison ferme et jusqu'à 75.000 euros d'amende. Ces incidents surviennent alors que la SNCF a depuis cet été dû faire face à une longue liste d'avaries sur des caténaires, à l'origine d'énormes désordres pour les usagers. Le week-end dernier, une nouvelle rupture de caténaire survenue dans l'Essonne avait suscité la colère du secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, qui avait dénoncé "l'incident de trop" bien qu'il semblait dû cette fois déjà à un acte de malveillance - des tirs de fusil - et non à une défaillance de la SNCF.
  15. Purée Le Coquin c'est vraiment du lourd... et en plus, plus que difficile à lire et à comprendre... On attend toujours des éléments un peu plus probants que les quelques pétards mouillés dont vous avez fait état... (et si il s'avère que les quelques pétards sont réels, on sera d'accord pour dire que ce n'est en aucun cas acceptable) Et comme je l'ai déjà dit maintes fois sur le forum je ne suis pas le dernier à oublier d'ouvrir un carré voir de me planter d'itinéraire ou me planter dans la programmation manuelle des numéros de trains et itinéraires dans ces putains de systèmes informatisés... mais comme je le dis y'a que ceux qui font rien qui font pas de connerie... les activités humaines sont la source d'erreur humaine et ce à quelques niveaux que ce soit... Pour autant et je le dis clairement ça me gonfle ce genre de fil de discussion et ces messages du type de celui qui ouvre le présent fil car jusqu'à preuve du contraire le but de ce type de message est de cartonner les "cheminots grévistes" y compris en recourrant à la pratique de l'amalgame car qui d'autre pourrait bien être responsable de tels actes inaceptables, n'est-ce pas ?...
  16. Y'a pas un blème quelque part ?
  17. Affichette "Casse-toi pov'con": 30 euros avec sursis pour le principe Le tribunal correctionnel de Laval a condamné jeudi à une "amende de principe" de trente euros avec sursis pour offense au chef de l'Etat un homme qui avait brandi en août une affichette portant la mention "Casse-toi pov'con" devant la voiture de Nicolas Sarkozy. "Si le prévenu n'avait pas eu l'intention d'offenser, mais seulement l'intention de donner une leçon de politesse incongrue, il n'aurait pas manqué de faire précéder la phrase "Casse-toi pov'con" par une formule du genre +on ne dit pas+", souligne le jugement dont l'AFP a eu copie. En guise de "simple avertissement", le tribunal a condamné à "une amende de principe de trente euros avec sursis", poursuit la décision. Le parquet de Laval, qui avait engagé les poursuites, avait requis 1.000 euros d'amende à l'encontre d'Hervé Eon, un chômeur de 56 ans, ancien conseiller général PS à Laval, estimant que "lorsqu'on insulte le président, on insulte l'institution" lors de l'audience du 23 octobre. M. Eon a décidé de faire appel de cette condamnation, a-t-il indiqué jeudi à un correspondant de l'AFP. Son avocate, Me Dominique Noguères, avait plaidé la relaxe, estimant que le délit d'offense n'était pas constitué. Egalement militant de RESF (Réseau éducation sans frontière) et proche des mouvements altermondialistes, Hervé Eon avait brandi au passage de la voiture présidentielle une pancarte qu'il voulait initialement arborer à une manifestation en faveur des sans-papiers, en marge de la visite de M. Sarkozy. La phrase "casse-toi pauvre con" a été popularisée par une vidéo diffusée sur Internet, où l'on voit M. Sarkozy prononcer ces mots au salon de l'agriculture, à l'adresse d'un visiteur qui refuse de lui serrer la main en lui disant "ah non touche moi pas".
  18. si les enfants de + de 21 ans sont toujours à leur charge car ils poursuivent leurs études...
  19. Strauss Kahn ==>> FMI
  20. Rolling Stones ==>> Stonehenge
  21. Le fond c'est bien la stratégie de la direction SNCF : NON ?
  22. Je ne suis pas la CGT et encore moins à moi tout seul... donc perdu sur ce coup là mais ce n'est pas la première fois que quelqu'un essaie de me faire le coup avec la volonté avérée de me descendre en flêche mais bof... Tu pourras toujours relire tous les messages que j'ai posté sur ce forum pour en être convaincu. Maintenant je te laisse à tes tentatives d'analyses psychologiques sur ma personne qui me font doucement rigoler. Je te conseille toutefois de relire le premier message qui ouvre ce fil. Message d'un grand intérêt, d'une belle mentalité et d'une très grande intelligence. Message qui ne fait ni dans la dentelle ni dans le détail puisque à le lire on a l'impression d'être en pleine guerre civile ... évidemmment provoquée par les cheminots sncf à mettre tous dans le même sac. Message qui envoie une volée de missiles sans trop se soucier de l'endroit où ils vont exploser. Donc faudra pas s'étonner que les snipers soient de sortie et tant pis si cela heurte quelques âmes sensibles peu habituées à entendre les balles sifflées à leurs oreilles tellement elles ont l'habitude d'être dans le sens du vent. Si tu ne sais pas ce que veux dire "être rapide (ou lent) à (comprendre) la manoeuvre" dans le langage cheminot, je t'invite à revoir ta formation... mais enfin pour que tu comprennes bien cela veut dire simplement que ce train d'une EF privée était en retard et que moi je lui ai ouvert en grand (voie libre) devant lui car il aurait du passer haut la main, mais manque de bol il a du planter quelque part ou alors il s'est traîné lamentablement (pourtant le rail était sec...) Je n'ose penser qu'il l'ait fait exprès. (donc rien à voir avec une manoeuvre en gare... C'est une expression qu'on pourrait aussi traduire par : "pas trop fûté celui-là..." ou bien "un peu dur de la feuille") En tout cas ce qui est sur c'est que sa radio sol train ne devait pas être branchée... (mais ça ça arrive régulièrement souvent chez les privés) mais il a entendu le message puisque j'ai informé le TER du problème... Enfin mettre 12 minutes à franchir une zone d'approche + les zones de la gare alors que d'autres mettent trois minutes ça fait désordre... et ça a fait prendre 5 minutes à un TER qui lui était à l'heure... Je travaille dans des postes informatisés et si la programmation est bonne (ce qu'elle était dans le cas présent...), saches donc que c'est le système informatique qui prend en charge la formation des itinéraires et l'ouverture des carrés donc si le train qui attaque la zone d'approche est le premier train à passer dans la programmation, les carrés vont s'ouvrir devant lui sans aucun problème. Moi j'aurai juste fait mon travail d'anticipation en vérifiant que la programmation était bonne ... D'ailleurs je n'ai aucune raison d'arrêter des trains privés parceque derrière eux il y aura au moins cent trains sncf à circuler...
  23. A l'endroit où je suis j'ai besoin ni du CRO ni du régul pour faire passer les trains... Avec un vrai mécano (sncf ça va sans dire...) ça s'rait passer à l'aise...
  24. http://www.survoldefrance.fr/affichage.php...erche=1&f=0 Photo du Finistère vu d'hélicoptère
  25. Ouai... Si il avait déposé un dossier innovation aussi au lieu de régler ça en CHSCT... sa Dpx aurait eu une prime... :Smiley_47:
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