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Le Web des Cheminots

Dom Le Trappeur

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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur

  1. galette ==>> Fève
  2. camargue => salins du midi
  3. coucougnette => Taureau
  4. Boule => Testicule
  5. Plan d'entreprise 2009/2010... http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...c=12251&hl=
  6. 11 septembre => jumelles
  7. Tu tires, tu refoules, tu tires, tu refoules.... cartonrouge
  8. http://sarkostique.over-blog.com/ Samedi 8 mars Jetez un oeil sur la vidéo du 8 mars lors de la soirée électorale de Rachida Dati.
  9. Sans parler du nombre de cheminots à la sncf et de ceux qui peuvent/veulent manger dans les cantines donc du nombre de repas... Sans parler également des questions de la TVA et de la fiscalité (URSAFF par exemple...) qui s'appliquent aux CE ... Il me semble qu'il y a eu par le passé quelques fils de discussions sur les tickets restaurants sur ce forum... avec un lien vers le site des "tickets restaurants" ... et il n'était pas dit que les TR soient si intéressants que ça ...
  10. ping-pong ==>> pong-ping mdrmdr
  11. piquet ==>> bonnet d'âne
  12. Mais aussi les heures supplémentaires et les gratifications...
  13. sang ==>> Chaude (au féminin journée de la femme oblige =
  14. mdrmdr 4 membres fêtent leur anniversaire ce jour Séb21(31), starpearl03(30), , Samuto(24) Armenak(37) :Smiley_06:
  15. chaleur ==>> froideur
  16. 1 membre fête son anniversaire ce jour 37 ans... cocolau Bon Anniversaire
  17. En Parlant de Berry mais là c'est une demoiselle http://www.dailymotion.com/video/x2gkzv ... -fev_music http://www.myspace.com/casadeberry C'est sorti il y a quelques jours Une voix magnifique et un bel univers... Berry "Mademoiselle"
  18. EPSF http://www.securite-ferroviaire.fr/index.asp Je n'ai pas trouvé les infos 2007 ?
  19. Le Président de la République dans Le Figaro du jour Nicolas Sarkozy : «Maintenir le cap et accélérer les réformes» Propos recueillis par Étienne Mougeotte, Paul-Henri du Limbert, Nicolas Barré, Philippe Goulliaud et Charles Jaigu 06/03/2008 | «Ma mission est de faire en sorte que toutes les réformes qui n'ont pas été engagées depuis tant d'années en France soient conduites à leur terme», a réitéré Nicolas Sarkozy devant les journalistes du Figaro. INTERVIEW EXCLUSIVE - Le président de la République tiendra compte de «la signification politique» des municipales, mais exclut un remaniement «en profondeur» avant la présidence française de l'UE. LE FIGARO. Nous sommes à trois jours du premier tour des élections municipales, qu'en attendez-vous ? Nicolas SARKOZY. Les Français vont choisir ceux qui gèrent leur ville et il est bien qu'ils le fassent en pensant d'abord à cette mission. Mais je sais que ce scrutin aura aussi une signification politique que j'entendrai et dont je tiendrai compte. À ce titre, je souhaite que ceux qui veulent que le changement continue, se mobilisent et fassent le choix du candidat qui porte cette stratégie du changement. Je suis élu pour cinq ans. Chaque année, il y aura des élections. Mon devoir est d'envisager les choses dans la durée, avec du recul, du sang-froid. Je n'ai pas l'intention de rythmer mon quinquennat en fonction des scrutins locaux, régionaux ou européens qui nous attendent. J'ai un cap, je tiendrai ce cap. Le cap, c'est réhabiliter le travail pour donner à chacun la chance de vivre de son activité, assurer l'autorité de l'État pour protéger les plus faibles, bâtir une justice qui protège les victimes, reconstruire des universités fortes qui soient les meilleures au monde, revenir à une école primaire où l'on enseigne à lire, écrire et compter pour mettre un terme à l'échec scolaire. Ma mission est de faire en sorte que toutes les réformes qui n'ont pas été engagées en France depuis tant d'années soient conduites à leur terme ; mon rendez-vous est clair : c'est la fin du quinquennat, et les résultats concrets que les Français en attendent à juste titre. En tout état de cause, pour moi, comme pour tous les Français, le changement est une ardente obligation. Entendez-vous réformer au même rythme, quel que soit le résultat des élections ? Je dis à tous ceux qui m'ont fait confiance que je mènerai cette politique du changement avec la même force, la même envie, le même volontarisme tout au long des quatre prochaines années. Allez-vous poursuivre l'ouverture ? Le devoir d'un président de la République est de rassembler, de refuser toute forme de sectarisme. La France a grand besoin de tolérance. J'ai souhaité associer tous les talents à notre action au service de la France. Nous avons clairement gagné les élections présidentielle et législatives. J'ai cependant voulu travailler aussi avec ceux qui n'avaient pas voté pour moi. Je ne le regrette pas. Je dois rassembler. Ne croyez-vous pas que vos électeurs désirent aussi une ouverture à droite et pas seulement à gauche ? L'ouverture est d'abord un état d'esprit. Cependant, quand nous proposons des quotas pour l'immigration avec une obligation de résultats quant aux reconduites à la frontière, n'est-ce pas une politique voulue par les Français ? La rétention de sûreté, cette nouveauté dans l'univers juridique français, ou la condamnation des multirécidivistes à des peines planchers il y a déjà près de 4 000 décisions rendues ne sont-elles pas des politiques qui rompent avec tant d'années de laxisme ? Quand nous nous réconcilions avec les Américains, n'est-ce pas un changement bienvenu et peut-on penser une minute que le contrat qu'a gagné magnifiquement EADS pour les avions ravitailleurs aurait été signé dans le climat de tension qu'on a connu entre les Américains et les Français ? Quand la France porte l'idée du traité simplifié et contribue à sortir l'Europe de la crise, n'est-ce pas une politique qui satisfait les plus européens et donc le centre ? Nous faisons après l'élection ce que nous avions promis avant. C'est une question de respect, de crédibilité et même de morale. Comment expliquez-vous votre baisse dans les sondages ? Pendant six ans, j'ai connu des sondages à leur zénith. Et mes adversaires expliquaient que cela ne signifiait rien. Aujourd'hui, après deux mois de baisse, les mêmes expliquent que la situation est très grave. Bien sûr, les bons sondages facilitent les réformes, et les mauvais les compliquent, mais cela ne change pas mon cap. Je travaille à la modernisation de la France sans me laisser distraire par les péripéties, même si je me dois d'être attentif à tout, y compris à l'humeur du moment. Que répondez-vous à ceux qui attribuent votre baisse dans les sondages à votre nouveau style ? On porte toujours sa propre part de responsabilité. J'aime l'engagement, j'aime prendre mes responsabilités, je suis quelqu'un qui ne triche pas, alors cela peut surprendre, voire déranger parfois. Pour autant, le rôle du chef de l'État, c'est de garder une certaine distance par rapport au quotidien. Il n'a pas le droit de céder à l'agitation. Avez-vous commis des erreurs qui expliqueraient cette baisse dans les sondages ? Qui serais-je si je ne reconnaissais pas mes erreurs ? On en commet, j'en ai commis. Je ne m'exonère de rien, mais je ne crois pas utile de commenter en permanence l'écume des choses ! Ce qui intéresse les Français est de savoir si le pouvoir d'achat va augmenter, si la sécurité va s'améliorer, si le chômage va baisser. Ce qui compte, c'est que, désormais, un demi-million d'entreprises proposent à leurs salariés des heures supplémentaires défiscalisées. Nous étions un pays dans lequel on décourageait les gens de travailler. Nous sommes devenus un pays dans lequel on est de nouveau récompensé lorsqu'on travaille davantage. Je veux développer massivement l'intéressement et la participation pour que plus de salariés soient associés au partage des bénéfices. J'avais promis aux Français que ceux qui ont tiré sur la police à Villiers-le-Bel seraient arrêtés, ils le sont. J'avais promis aux Français que les multirécidivistes seraient plus fortement condamnés, ils le sont. J'irai jusqu'au bout. Je veux que les criminels dangereux qui ont été condamnés avant l'adoption de la loi créant la rétention de sûreté, ne puissent pas être rendus à la liberté s'ils sont toujours dangereux. Vous avez saisi le président de la Cour de cassation après la décision du Conseil constitutionnel sur cette loi. Que répondez-vous à ceux qui vous reprochent de vouloir contourner les Sages ? Le Conseil constitutionnel dit ce qui est conforme à la Constitution ou pas. Il a validé la mesure de rétention, c'est capital. Mon devoir est de veiller à ce que des femmes, des petites filles, des petits garçons ne tombent pas dans les mains d'un violeur ou d'un pédophile qui a déjà été condamné et qu'on va libérer. C'est mon devoir de président de la République de protéger les plus vulnérables. Le principe de précaution ne s'applique pas seulement à l'environnement. Par ailleurs, qu'il me soit permis de poser la question : pourquoi serait-il impossible de faire en France ce que font les autres pays européens ? Cela fait trop longtemps que l'on oublie les victimes. J'avais promis de les mettre au cœur de mon action ; c'est ce que je fais. La popularité du premier ministre est-elle une cause de tension entre vous ? Non. Je rappelle à ceux qui spéculent sur ce sujet qu'on ne change pas un premier ministre en fonction des sondages. Le président de la République doit choisir le meilleur pour mettre en œuvre sa politique. C'est le choix que j'ai fait avec François Fillon. Y aura-t-il un remaniement après les municipales ? Je voudrais mettre un terme à cette maladie française qui consiste à changer de ministres tous les six mois. Cela donne le tournis et une grande impression de légèreté. Alors que les Anglais ont gardé Gordon Brown dix ans au ministère des Finances, nous avons connu huit ministres à Bercy pendant la même période ! Durant mon quinquennat, il y aura d'autres rendez-vous et d'autres occasions pour marquer un changement politique. Le lendemain de la présidence française de l'Union européenne sera certainement un rendez-vous important. J'ajoute qu'il me paraît peu indiqué de renouveler en profondeur le gouvernement avant la présidence française de l'Union. Les ministres doivent avoir la pleine maîtrise de leurs dossiers. Vos conseillers et le premier d'entre eux, Claude Guéant, vont-ils continuer à s'exprimer publiquement ? Qu'il y ait eu quelques erreurs, c'est certain. Je note qu'elles n'ont pas été commises par Claude Guéant. Il a toute ma confiance et mon amitié. Êtes-vous satisfait de l'UMP ? Voulez-vous lui insuffler un nouveau dynamisme ? L'UMP est devenue la première formation politique de France. Elle doit s'adapter à un nouveau contexte, ce n'est pas facile. Je souhaite qu'elle reste une force de débat, qu'elle promeuve de nouveaux talents. Après Rama Yade ou Rachida Dati, une nouvelle génération doit émerger. J'ai besoin du dévouement et de l'amitié de ces centaines de milliers de militants qui ont tout fait pour que la pensée unique ne triomphe pas et que le changement qu'ils ont voulu soit mis en œuvre. Les parlementaires UMP se plaignent de ne pas être suffisamment consultés… Il faut que nous les associions davantage. Ils sont un soutien indispensable pour mettre en œuvre la politique voulue par les Français. Ils sont la force du changement. Le rapport Attali a contrarié les élus, comptez-vous le mettre en œuvre intégralement ? Je sais qu'il a pu choquer certains, qu'il y a eu des maladresses de communication. Mais je compte retenir nombre de ses suggestions. Concernant les taxis, nous devons créer, notamment à Paris, des licences nouvelles afin que nous ne soyons pas la seule capitale au monde où l'on ne puisse trouver facilement un taxi. Cela dit, il est hors de question de spolier ceux qui sont en activité. Avez-vous l'intention d'aménager la loi de 1905 sur la séparation de l'Église et de l'État ? Non. Il peut y avoir telle ou telle modification technique sur le statut fiscal de telle ou telle association. J'ai dit ce que j'avais à dire sur le sujet : je suis de ceux qui pensent que la question spirituelle est essentielle, mais je dois veiller à ne ranimer aucune nouvelle guerre dont la France n'a vraiment pas besoin. Votre projet sur la Shoah est-il abandonné ? Non. Xavier Darcos a mis en place une commission qui rendra ses conclusions dans deux mois. Ma conviction, au moment où les survivants vont disparaître, est que l'antisémitisme et le racisme ont été sous-estimés en France pendant longtemps et qu'il est très important de transmettre cette mémoire. Êtes-vous satisfait de la réforme de la carte judiciaire ? Depuis cinquante ans, rien n'avait été décidé. Rachida Dati l'a fait. La justice de proximité, ce n'est pas un tribunal à quelques kilomètres de chez soi. C'est obtenir rapidement une décision de la justice, étayée par des motifs clairs et compréhensibles par tous. Je considère que le Garde des Sceaux est l'un des ministres les plus courageux. Elle a conduit la réforme de la carte judiciaire là où nombre de ses prédécesseurs avaient renoncé. Elle a mis en place les peines planchers quand tous les spécialistes disaient que c'était impossible. Quand la réforme des institutions va-t-elle voir le jour ? Le Parlement sera saisi après les municipales. Cette réforme renforcera le rôle et les prérogatives du Parlement. Cela passe notamment par une meilleure maîtrise de son ordre du jour. Le pouvoir de nomination du président de la République sera encadré afin qu'il n'y ait aucune nomination de connivence ou de complaisance. Les nominations devront être précédées d'auditions garantissant le choix des meilleurs. Je veux aussi que le Parlement puisse se prononcer sur l'engagement des troupes françaises à l'extérieur ou sur la politique étrangère de la France. Je souhaite, enfin, proposer une réforme du Conseil économique et social pour qu'il s'ouvre aux ONG et aux associations de jeunes qui, de façon incompréhensible, en sont aujourd'hui totalement absentes. Souhaitez-vous toujours que le président puisse s'exprimer devant le Parlement ? Il me paraît curieux que le Parlement français puisse inviter tous les chefs d'État à s'exprimer devant lui, sauf le président de la République française. Et que ce dernier puisse s'exprimer devant tous les Parlements, sauf le sien. Votre fils, Jean Sarkozy, est candidat aux cantonales à Neuilly. Ne craignez-vous pas les accusations de népotisme ? Le népotisme, c'est la nomination, pas l'élection. Mon fils souhaite simplement pouvoir tenter sa chance comme les autres. Je respecte sa liberté, je trouve qu'il mène sa campagne avec beaucoup de courage. C'est un jeune homme qui ne plie pas dans la tempête. Il a du tempérament. Si son bonheur est de faire de la politique j'en suis heureux. Je suis fier de lui. Peut-on être président de la République et être heureux ? Il se trouve que je le suis. Pendant la campagne, vous aviez dit qu'être président de la République, c'était renoncer au bonheur… Eh bien, il a dû se passer quelque chose de nouveau…
  20. Allez on dissous toutes les OS et on n'en parle plus... Quel archaïsme... Tiens vous êtes pas un peu en décalage par rapport aux évènements : Les retraités dans la rue pour défendre leur pouvoir d'achat Par Par Cédric SIMON AFP - PARIS (AFP) - L'ensemble des syndicats appellent les retraités à descendre dans la rue jeudi pour défendre leur pouvoir d'achat, qui se dégrade selon eux, mais qui est surtout marqué par de fortes inégalités. ) Les unions confédérales de retraités CGT, CFDT, FO, CFE-CGC, CFTC et la fédération des retraités de la fonction publique (FGR-FP), rejoints notamment par l'Unsa Retraités et la FSU, ont appelé à "une journée nationale d'action", pour une revalorisation immédiate et "significative" des retraites. Pour cette journée, qui, selon les syndicats, devrait donner lieu à "une grande mobilisation", des manifestations et rassemblements sont prévus à Paris, en direction de Matignon, et dans la plupart des départements. Le relèvement de 1,1% des retraites au 1er janvier, alors que l'inflation a été de 2,6%, cristallise d'autant plus le mécontentement que Nicolas Sarkozy avait fait du pouvoir d'achat des retraités un thème de campagne. Le gouvernement a annoncé qu'une nouvelle revalorisation interviendrait en 2008 et que le minimum vieillesse (garantie de ressources) serait relevé de 25% durant le quinquennat. En attendant, 200 euros doivent être versés fin mars à ses bénéficiaires. Mais les syndicats veulent également une hausse du minimum contributif (destiné aux retraites de base à taux plein d'un faible niveau), et soulignent plus généralement une dégradation du pouvoir d'achat des plus de 14 millions de retraités. Globalement, en incluant le patrimoine, "la situation moyenne" des retraités "n'est pas très loin de la parité de niveau de vie" avec les actifs, constatait en novembre le Conseil d'Orientation des Retraites (COR). Selon la direction des études du ministère de la Solidarité (Drees), en 2004, la pension totale d'un retraité de droit direct ayant effectué une carrière complète s'élevait à 1.512 euros par mois en moyenne, la moitié des retraités concernés recevant moins de 1.334 euros. Mais il y a de grandes disparités dans les montants perçus, particulièrement au détriment des retraités, souvent des femmes, ayant connu des parcours professionnels en dent de scie. Quelque 17% des retraités de droit direct perçoivent une retraite totale inférieure à 600 euros par mois et les femmes touchent des pensions sensiblement moins élevées. Si "des années 1970 jusqu'au milieu des années 1990, le revenu moyen des retraités a constamment progressé plus vite que celui des actifs (...), la tendance s'est ensuite interrompue", relève le COR. Et les réformes de 1993 et de 2003 ont globalement rendu le calcul des retraites moins favorable, notamment pour les carrières incomplètes. Parmi les retraités qui ont liquidé leur retraite entre 2001 et 2004, la moitié sont bénéficiaires du minimum contributif. Leur nombre a été multiplié par quinze en 20 ans. Et trois quarts sont des femmes, également majoritaires parmi le million de personnes ne touchant qu'une pension de réversion. La présidente de la Caisse nationale d'assurance vieillesse (Cnav), Danièle Karniewicz, estime qu'il faut également tenir compte de la "prise en charge de plus en plus fréquente des solidarités familiales" par les retraités et du "problème de la dépendance". "Avec l'évolution de l'assurance maladie, les restes à charge sont de plus en plus importants et ils sont encore plus lourds pour les retraités", ajoute-t-elle, soulignant le coût plus élevé des complémentaires santé pour les personnes âgées. Jeudi, les syndicats ont prévu de mettre en avant le coût de la protection sociale et afficheront leur opposition aux franchises médicales. Et je vous parle pas de l'interview de notre Cher Président de la République dans le figaro de ce matin... http://www.lefigaro.fr/politique/2008/03/0...es-reformes.php
  21. Dissolvons le tout dans un verre d'eau pour chasser la migraine qui nous prend... :cool:
  22. Enfin ceci étant et sorti de son contexte : ça vole haut... du SUD au Nord de Lille koiquesse
  23. De la théorie : du vide et de l'inexistant...
  24. OK avec toi et j'ajouterai : que le Comité d'Entreprise (CER et CCE) a aussi un rôle revendicatif et économique à jouer. Les Représentants du Personnel ont d'abord à remplir un mandat de représentation du personnel sur le fonctionnement et la marche de l'entreprise. Et soit dit en passant le code du travail prévoit la présentation obligatoire des comptes du CE (Budget de fonctionnement et budget Activités sociales)
  25. RH = "Langue de Bois" koiquesse
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