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Tout ce qui a été posté par Dom Le Trappeur
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Internet : l'effet de la diffusion l'information "du citoyen internaute" L'affaire de l'incident du salon de l'Agriculture est à mon avis, singulier de l'irruption de ce nouvel outil technologique dans la vie quotidienne et de sa maîtrise par le citoyen utilisateur lambda... Nicolas Sarkozy a su utilisé les médias traditionnels télé/journaux pendant des années en produisant coup sur coup Mais là il est lui même dépassé par un nouvel outil d'une puissance impressionnante et son utilisation par les citoyens internautes. En quelques heures un petit bout de vidéo de 45 secondes et sa diffusion sur le net se sont imposés au point d'être repris dans tous les médias du pays et bien au-delà. Ce n'est évidemment pas la première fois qu'une diffusion d'un document sur le net se produit mais dans le cas présent ce qui est singulier c'est la rapidité de la diffusion, la puissance de son utilisation surtout que la source était connu et reconnu : un journaliste du Parisien. Singulier aussi la maîtrise collective bien évidemment pas neutre car anti-sarkozy manifeste. Mais en même temps au vu du débat et des arguments avancés en particulier par les politiques de droite un autre élément va prendre le dessus : un citoyen lambda peut-il "interpeller verbalement " le Président de la République. Si nous en étions rester aux médias traditionnels, nul doute que l'incident n'aurait jamais vu le jour sauf que maintenant avec le net ce sont les citoyens internautes qui s'emparent du phénomène et en font une affaire d'état à défaut d'une affaire historique. On peut penser aussi que des journalistes règlent aussi leurs comptes avec le sytème mais les journalistes sont aussi des citoyens... Regardons même ici sur le forum l'utilisation que nous en avons fait et l'évolution en quelques heures de cette utilisation...
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Interview de Monsieur le Président de la République par un panel de lecteurs du Parisien... On en apprend de belles... l'interview a été réalisée la semaine dernière relecture de l'Elysée et ajout d'une phrase sur l'incident du salon de l'Agriculture les lecteurs apprécieront... Les "excuses" du Président Sarkozy ont été ajoutées, dit Le Parisien PARIS (Reuters) - L'esquisse de mea culpa présidentiel après les insultes du Salon de l'agriculture a été insérée par l'Elysée dans l'entretien que publie mardi Le Parisien, a déclaré Dominique de Montvalon, directeur de la rédaction du quotidien, interrogé sur Canal+. "J'aurais mieux fait de ne pas lui répondre", explique Nicolas Sarkozy dans cet interview, qui a été "amendée et corrigée" et transmise au journal lundi en fin de soirée par l'Elysée. "Cette phrase n'a pas été prononcée" devant le panel de lecteurs du Parisien qui a interrogé le chef de l'Etat, a expliqué Dominique de Montvalon. "Ils retrouvent dans le journal quelque chose que le président n'a pas dit, qu'ils n'ont pas entendu." Le directeur de la rédaction a précisé que Le Parisien publierait mercredi la version non amendée de l'entretien, qui s'est déroulé lundi matin à l'Elysée. Dominique de Montvalon a précisé que le rendez-vous à l'Elysée avait été pris la semaine dernière, bien avant la visite au Salon de l'agriculture, où Nicolas Sarkozy a insulté un visiteur qui refusait de lui serrer la main. "Il est difficile, même quand on est président de ne pas répondre à une insulte. J'ai sans doute mes qualités et mes défauts", a-t-il répondu lundi, des propos retranscrits dans Le Parisien. "Ce n'est pas parce qu'on est président qu'on devient quelqu'un sur lequel on peut s'essuyer les pieds", formait le reste de la réponse initiale. La phrase "Cela étant, j'aurais mieux fait de ne pas lui répondre" a été ajoutée, selon Dominique de Montvalon. Laure Bretton
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He oui! même si on est mal payé (travailler plus pour gagner plus )... au moins qu'est-ce qu'on se marre ... mdrmdr
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Bon anniversaire toujours à ceux du jour et à ceux d'hier que j'ai oubliés... bigbisous
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Quand on regarde attentivement la vidéo, on constate que Le Président de la République "croise" les visiteurs qui se dirigent dans l'autre sens. IL ne s'agit donc pas de mains qui se tendent spontanément vers lui comme dans un bain de foule bien organisé. De plus le visiteur lui dit "ah non, touche-moi pas". Je ne vois pas là personnellement une invective ... D'ailleurs on peut considérer que ce visiteur a du être assez surpris de se retrouver quasiment face à face du Président de la République sinon on peut supposer qu'il se serait éloigné si il l'avait vu avant à moins d'avoir la présence d'esprit et le sang froid de s'en rapprocher pour faire un esclandre... donc de préméditer son coup... "Casse-toi, alors", répond le Président de la République Là il y a invective en utilisant une formule dite populaire et la réponse effectivement ne se fait pas attendre mais là encore non par une invective mais par une affirmation qui reste polie mais affirme sans ambiguité le message de son auteur : "Tu me salis", enchaîne le badaud. "Casse-toi alors, pauvre con", réplique le Président de la République. Qui a utilisé l'invective ? Maintenant que la formule lui revienne en boomerang...
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Incident entre Sarkozy et un visiteur du salon de l'Agriculture AFP - PARIS (AFP) - Le ministre de l'Agriculture, Michel Barnier, évoquant l'incident qui a opposé samedi Nicolas Sarkozy à un visiteur au salon de l'Agriculture, a estimé lundi que le président avait répondu "d'homme à homme" à quelqu'un qui "l'agressait verbalement". "Le président de la République a répondu clairement mais assez calmement, il n'était pas du tout énervé (...) à quelqu'un qui l'agressait", a déclaré M. Barnier à Europe 1. Le ministre, qui se trouvait au côté du chef de l'Etat lors de l'inauguration du salon, a indiqué ne pas avoir entendu les mots prononcés. La visite de Nicolas Sarkozy au Salon de l'agriculture samedi a été marquée par un échange d'invectives entre un visiteur et le président, séquence filmée qui a été diffusée dans la soirée sur le site leparisien.fr. Cette séquence vidéo qui montrait notamment M. Sarkozy répondant au visiteur: "Casse-toi alors, pauvre con", a été visionnée plus de 630.000 fois ce week-end, selon le compteur du site du Parisien. "A un moment donné, quelqu'un a agressé verbalement le chef de l'Etat. (...) Et le président de la République, c'est un homme qui est spontané, direct et assez moderne dans son comportement. Il n'y a pas d'hypocrisie avec Nicolas Sarkozy, il lui a répondu d'homme à homme et il ne faut pas s'en étonner", a déclaré M. Barnier. Il a souligné que "à part ce petit incident, cette anecdote avec laquelle on fait trop de bruit", le président "était très heureux de l'accueil qu'il a reçu" au salon de l'Agriculture. "Il est resté souriant de bout en bout parce qu'il était chaleureusement accueilli par les Français". Sur le terrain, "je sens des Français qui en ont assez de cette agressivité systématique contre Nicolas Sarkozy, contre le gouvernement", a par ailleurs souligné le ministre. "Les Français sont impatients, attentifs, car on a beaucoup engagé de réformes, (...) et je sens plutôt une remobilisation à la veille des municipales", a-t-il conclu. Le ministre du Travail Xavier Bertrand a déclaré lundi matin sur RMC qu'on n'avait "pas le droit d'humilier le président de la République" en référence aux propos "blessants" selon lui tenus samedi par un visiteur du Salon de l'Agriculture, à qui Nicolas Sarkozy a vertement répondu. "J'en ai marre de ce sytème qui est complètement insensé, où on ne retient que cinq secondes de cette visite au Salon de l'Agriculture", a ajouté M. Bertrand, qui était interrogé par RMC sur ce vif échange. Selon lui, M. Sarkozy a "prononcé" lors de cette visite "un discours fondateur pour l'agriculture (...) Et qu'est-ce qu'on retient ? cinq secondes", a-t-il déploré. Un échange d'invectives entre un visiteur et le président, séquence filmée a été diffusée dans la soirée sur le site Le Parisien.fr. A 18h00 dimanche, cette séquence de 45 secondes, de piètre qualité visuelle et sonore, avait été visionnée plus de 630.000 fois, selon le compteur du site du quotidien, sans compter les consultations sur YouTube, un site spécialisé où les internautes peuvent déposer les vidéos qu'ils souhaitent partager, et où elle apparaissait à plusieurs exemplaires. La vidéo avait également été postée durant la nuit sur et Dailymotion, mais elle a rapidement disparu de ce site, sans explication. Cette vidéo montre le chef de l'Etat, très entouré et souriant, prenant un bain de foule et serrant des mains, quand un visiteur d'un certain âge et portant des lunettes, lui lance: "ah non, touche-moi pas". "Casse-toi, alors", répond M. Sarkozy. "Tu me salis", enchaîne le badaud. "Casse-toi alors, pauvre con", réplique le président. Un des journalistes du Parisien présent sur la scène a indiqué dimanche, sur France-info, avoir filmé la visite de Nicolas Sarkozy dans son intégralité, mais ne s'être rendu compte de l'incident qu'en revisionnant la vidéo, vu la cohue et le brouhaha. Le premier secrétaire du PS, François Hollande a jugé "insupportable que le président ne soit pas exemplaire", estimant qu'il "ne doit pas se comporter comme n'importe quel citoyen". En tant que président de la République, "on ne rentre pas dans un conflit avec quelqu'un qui ne vous serre pas la main", a-t-il souligné sur Canal+. Le 6 novembre, une autre algarade avait également suscité de nombreuses réactions chez les internautes: elle avait opposé le président à un marin-pêcheur du Guilvinec, "Juju", Julien Guillamet, 21 ans qui, perché sur une terrasse de la criée de ce port breton, l'avait invectivé. M. Sarkozy lui avait demandé de descendre s'expliquer. "Si je descends, je te mets un coup de boule", avait répliqué le jeune homme, sautant une barrière avant d'être arrêté par les services de sécurité. "Juju" avait ensuite été invité à faire partie d'une délégation de pêcheurs reçue en janvier à l'Elysée. En juin 2007, des images de Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse au G8 -où des internautes avaient vu des signes d'ébriété- avaient été visionnées plus de neuf millions de fois sur internet, une semaine après leur mise en ligne.
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privé ==> interdit
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Brochure Service Minimum, Février 2008
Dom Le Trappeur a répondu à katamiaw situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Tiens au fait : le médiateur ? Idem : pourquoi ne pas désigner un médiateur dès le dépôt du préavis de grève ? pourquoi attendre 8 jours de grève... -
Brochure Service Minimum, Février 2008
Dom Le Trappeur a répondu à katamiaw situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Ce qui est le plus navrant dans ce document C'est l'absence totale de référence au dialogue social de la part de la direction : aucun engagement d'améliorer le dialogue social ... Et pourtant le gouvernement (la loi) lui en donne le temps : DCI obligatoire de 8 jours Préavis de 5 jours francs Soit avec les délais plus de 15 jours pour négocier et solutionner les problématiques soulevées. En fait ce délai de 15 jours va donner à la direction le temps de s'organiser pour combattre les revendications en utilisant tous les leviers idéologiques du management (je vous conseille si vous avez le temps de faire un tour sur intranet sur le site RH et les conseils managériaux qui y figurent... Concernant le vote au bout de 8 jours de grève : pourquoi le législateur n'a-t-il pas choisi plutôt un vote avant de déposer le préavis de grève (entre la fin de la DCI et le dépôt du préavis) ? L'une des solutions pourrait venir de ce côté là si avant d'envisager un mouvement le(s) syndicat(s) envisageai(en)t cette procédure... -
bienvenue ==> malvenue
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Répartition des richesses : effectivement tu touches du doigt l'un des éléments essentiels... Mais peut-on dire que les richesses sont bien réparties en France actuellement quand 10% de la population détient 80% des patrimoines (en particulier financiers et industriels) et surtout vu ce qu'elle en fait? De plus ne tombons pas dans le misérabilisme : nous avons en France les capacités et le potentiels (financières, techniques et technologiques, humaines, recherches etc...) poure assurer un développement économique et social de haut niveau prenant en compte les contraintes et défis d'aujourd'hui (développement durable, démographie, enviromnnement, réchauffement climatiques, pollutions etc...) dans un cadre démocratique un modèle social modernisé.
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ADC l'exclusion Tract FGAAC
Dom Le Trappeur a répondu à ouragan situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
La Fgaac le saura aujourd'hui si elle participe à l'interfédérale qui se tient ce jour... mais participera-t-elle à cette réunion ? avec quelles propositions ? (Cela fait déjà plusieurs jours que j'ai posé la question et on attend toujours la réponse ? celle-ci dans le compte-rendu de la réunion ce soir ou demain...?) -
Ce qui est le plus grave c'est la politique économique et anti-sociale menés par LE gouvernement UMP-MEDEF dirigé par LE Président de la République... En moins de 12 mois on voit les dégats causés sur le pouvoir d'achat, l'inflation, l'augmentation des prix des produits de base, l'emploi, les lois anti-sociales qui tombent les unes après les autres, mais aussi les cadeaux aux amis (le bouclier fiscal pour les plus riches...).
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Droite ultra-libérale... centre mou Gauche libérale Reste à essayer une vraie Gauche anti-libérale mais je sais ce n'est pas ta tasse de thé...
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Tout à fait mais Jospin et Gayssot ne sont ni revenus en arrière ni n'ont fait évolué RFF dans un autre sens que les directives européennes successives...
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La Direction ne perd pas de temps : Service Minimum Comment limiter le droit de grève et peser sur les cheminots (Vous apprécierez dans ce document le peu de place consacré au dialogue social...) Brochure_ServiceMinimum_02_08.pdf
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Composition du Conseil d'Administration de la sncf
un sujet a été posté par Dom Le Trappeur dans Informations syndicales
La composition complète des membres du Conseil d'Administrtation de la sncf Février 2008 TempsReel_TR08030_NouveauCA_SNCF_fevrier2008.pdf -
Tout cela ne nous dit pas qui est l'inconnu... Parait que tous les journaleux que compte la France le recherche... En tout cas lui, il a fait fort... En quelques secondes, il a plus déstabilisé le pouvoir et l'Ump que les cheminots en 10 jours de grève Je sors, je suis déjà sorti... La vidéo : là elle est pas prête de disparaître... http://sarkostique.over-blog.com/article-16975294.html
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Le problème ce sera surtout que la préparation et la mobilisation pour une action de grève va devenir de plus en plus difficile DCI + préavis, déclaration, risques de sanctions : la direction va tout faire pour peser systématiquement pour empêcher la mobilisation au lieu d'engager un véritable dialogue pour améliorer les relations sociales et les négociations sauf que cette situation a automatiquement son revers : le jour où ça partira, ça partira tout seul sans DCI ni préavis et là ce sera l'affrontement... Concernant les sanctions éventuelles pour non déclaration et grève : on ne connait pas le niveau des sanctions qui seraient d'ailleurs à mon sens contraires à l'article 1 du statut sur le respect des libertés fondamentales...
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hélice ==> Navire
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okok Ceux qui ne sont pas d'accord avec lui finiront en centres fermés de rétention... zzz
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Chinook ==>> Look "Google" The Book
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Sud-Rail votera contre Pepy
Dom Le Trappeur a répondu à Typiac situé dans L'entreprise SNCF & ses cheminots
Mahieux... Mais ils sont capables de voter contre... Au fait quelqu'un aurait-il la nouvelle composition du CA de la SNCF...? -
Le retour de la monarchie parlementaire... ça finira comme en Belgique... Bientôt un royaume en Bretagne et la Corse indépendante
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okok La direction sncf elle ne se pose aucune question : elle est en train de préparer un document à très large diffusion (un par cheminot) sur le droit de grève et le service minimum... et un bout sur l'amélioration du dialogue social (sans rire) Ah ça elle ne perd pas de temps... et c'est déjà sur le forum ici (pas sûr que ce soit passé dans les mains des syndicats d'ailleurs... comme bien d'autres textes et chartes comme celle sur la déontologie par exemple...) Tremblez cheminots ! 2008_02_24_sncf_doc_Version_definitive_Service_Minimum.pdf